|
|
- Edmond Bonin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CLASSE PREPARATOIRE TD n Biologie, Physiologie du système nerveux QCM 1. Tissu nerveux : a. Le soma des neurones ne se trouve que dans la substance grise b. Les dendrites sont courtes et ramifiées c. Les axones sont longs et myélinisés d. Une cellule gliale est à l origine de la myéline e. Tous les neurones possèdent des dendrites 2. La fibre musculaire striée : a. Rouge est peu puissante b. Blanche est fatigable c. Contient des myofibrilles qui ont la même longueur qu elle d. Est individuellement connectée à un motoneurone, si bien qu il y autant de motoneurones que de myocytes e. Comporte de très nombreux noyaux 3. Un potentiel d action : a. Est une modification du potentiel de repos d une fibre nerveuse b. Est une inversion brutale de la polarisation d une fibre nerveuse c. A toujours la même amplitude quelle que soit la fibre nerveuse excitée d. N affecte, à un instant donné, qu une zone très limitée de la fibre nerveuse excitée e. A une amplitude variable en fonction de l intensité de la stimulation 4. L observation en microscopie électronique d une synapse à transmission chimique entre deux neurones montre : a. Des vésicules de sécrétion au niveau de l élément pré-synaptique b. Les membranes des deux neurones en contact c. Les membranes cytoplasmiques de deux neurones d. Des récepteurs post-synaptiques e. Un espace entre les deux neurones
2 5. Quelles propositions s appliquent au potentiel d action nerveux enregistré dans une cuve à nerf, le long d une fibre motrice isolée du nerf sciatique d un Mammifère et obtenu en réponse à une stimulation électrique supraliminaire unique? a. Sa propagation est bidirectionnelle si le point de stimulation est au milieu du segment de fibre considéré b. Il se propage de façon décrémentielle à partir du point de stimulation c. L amplitude de sa phase de dépolarisation est proportionnelle à l intensité de la stimulation qui lui a donné naissance d. Il correspond à une inversion temporaire de la polarité membranaire e. Il se propage en conservant toutes ses caractéristiques initiales 6. Quelles propositions s appliquent au nerf sciatique normal d un homme? a. C est un nerf exclusivement moteur b. Aucune des fibres nerveuses qui le composent n est myélinisée c. Il est impliqué dans la réalisation de certains réflexes myotatiques d. Ses fibres nerveuses motrices constituent des prolongements de neurones dont les corps cellulaires sont localisés au niveau de la substance grise de la corne antérieure de la moelle épinière e. Les fibres nerveuses motrices qui le composent sont des axones de motoneurones 7. Un neuromédiateur : a. Est de nature protéique b. Est synthétisé par le neurone c. Est stocké dans des vésicules synaptiques d. Se lie spécifiquement avec le Ca 2+ e. Est synthétisé dans le bouton synaptique à l arrivée du PA 8. Quelles propositions s appliquent à une synapse neuro-neuronique de type excitatrice? a. La fixation des molécules de neurotransmetteur sur les récepteurs spécifiques postsynaptiques peut être à l origine d une dépolarisation de la membrane plasmique du neurone post-synaptique b. Plus la concentration en molécules de neurotransmetteur libérées dans la fente synaptique est importante, plus la dépolarisation enregistrée au niveau de la membrane plasmique du neurone post-synaptique est importante c. Un potentiel d action présynaptique induit systématiquement un potentiel d action post-synaptique propagé le long de la membrane plasmique du neurone postsynaptique d. L action des molécules de neurotransmetteur au niveau du neurone post-synaptique est toujours d une durée supérieure à 10ms e. Plus la fréquence des potentiels d action présynaptiques est importante, plus la quantité des molécules de neurotransmetteur libérées dans la fente synaptique est élevée
3 9. Les neuromédiateurs des synapses inhibitrices : a. Sont des ions chlore ou potassium b. Peuvent être indifféremment fabriqués par le neurone pré ou le neurone postsynaptique c. Sont synthétisés par le neurone présynaptique à l arrivée du PA d. Seraient des poisons mortels si on les injectait à un sujet e. Seraient des poisons mortels si on les injectait même à l individu sur lequel on les aurait prélevés. 10. Le potentiel de repos est : a. Une différence de potentiel transmembranaire d un neurone b. Le potentiel de membrane d un nerf c. Enregistré entre deux points de la surface d un neurone d. Mesuré après stimulation d un neurone e. Est une caractéristique de toutes les cellules vivantes 11. La plaque motrice : a. Peut être définie comme une synapse neuromusculaire b. Comporte une membrane post-synaptique c. Libère de la noradrénaline quand le motoneurone est excité d. Emet un potentiel d action quand le motoneurone est excité e. Ne transmet plus lors de la curarisation 12. On place à la surface d une fibre nerveuse une électrode qui délivre des stimulations croissantes. On implante à courte distance une microélectrode permettant d enregistrer les différences de potentiel transmembranaires de cette fibre. On constate : a. En dehors de toute stimulation une absence de différence de potentiel b. En absence de toute stimulation une différence de potentiel de -70mV c. Avec une très faible stimulation une brusque et transitoire variation de potentiel transmembranaire d. Avec une stimulation plus importante dite liminaire une brusque et transitoire variation de potentiel e. Avec une stimulation supraliminaire la même variation de potentiel qu avec la stimulation liminaire 13. La période réfractaire : a. Correspond à tout état d inexcitabilité de l axone b. Désigne la période où l intégration d influx d inhibiteurs empêche l axone d émettre un potentiel d action c. Correspond au délai synaptique lors de la transmission nerveuse d. Désigne la période au cours de laquelle la région axonique émettant un potentiel d action en transitoirement inexcitable e. Désigne la période comprise entre une stimulation et l apparition du potentiel d action axonique
4 14. Le corps cellulaire et les dendrites du motoneurone : a. Se situent dans le ganglion spinal b. Entrent en contact avec plusieurs milliers de terminaisons axoniques c. Font synapse avec des neurones innervant des fuseaux neuromusculaires d. Reçoivent des informations provenant du cortex cérébral moteur e. Sont nécessaires à la réalisation de mouvements volontaires 15. Un récepteur sensoriel : a. Libère des molécules de neuromédiateurs dont la concentration varie avec l intensité du stimulus qui lui est appliqué b. Est relié à une fibre nerveuse myélinisée efférente c. Est un élément essentiel d une synapse de type inhibitrice d. Est mobilisé au cours d un réflexe myotatique e. Peut être un muscle fléchisseur 16. Le réflexe myotatique : a. Est un élément fondamental de la posture b. Est un réflexe médullaire c. Se définit comme la contraction d un muscle en réponse à l étirement de son antagoniste d. S oppose de façon systématique à l étirement e. Est un réflexe polysynaptique 17. Quelles sont les propositions exactes concernant le réflexe myotatique d étirement? a. Met en jeu des fibres nerveuses sensitives b. Est déclenché par l étirement exclusif de la peau c. Met en jeu des fibres nerveuses motrices d. Met obligatoirement en jeu un ou plusieurs interneurones e. Nécessite pour apparaitre l action de la moelle épinière sur le cerveau 18. Quelles propositions s appliquent à la synapse neuromusculaire impliquée dans le réflexe myotatique chez l Homme? a. On la qualifie aussi de plaque motrice b. Plusieurs synapses neuromusculaires peuvent partager le même axone présynaptique après que celui-ci s est divisé au niveau de l arborisation terminale c. Les récepteurs moléculaires sur lesquels se fixe le neuromédiateur, impliqués dans cette synapse, sont localisés au niveau de l enveloppe nucléaire de la cellule musculaire striée squelettique d. Elle a le GABA (Acide Gamma Amino Butyrique) comme neuromédiateur e. Il y a toujours plus d une synapse neuromusculaire par fibre musculaire
5 19. Parmi les cellules ou structures suivantes, quelles sont celles qui sont impliquées dans l arc réflexe myotatique rotulien normal chez l Homme? a. Les fuseaux neuromusculaires b. Les racines rachidiennes dorsales c. Les motoneurones α dont les corps cellulaires sont localisés dans la corne dorsale de la substance grise de la moelle épinière d. Les neurones en T dont les corps cellulaires sont localisés dans le ganglion spinal de la racine rachidienne dorsale e. Certaines fibres nerveuses qui composent le nerf sciatique 20. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui s appliquent à la notion réflexe? a. C est une réponse à une stimulation efficace b. Il peut être de nature innée c. Il se manifeste de façon automatique suite à n importe quelle stimulation d. La forme de la réponse sous laquelle il se manifeste est imprévisible e. La forme de la réponse sous laquelle il se manifeste est stéréotypée 21. Le message nerveux enregistré au niveau d une fibre issue d un fuseau de muscle efficacement étiré : a. Est un potentiel de repos b. Se propage le long d une fibre dont le corps cellulaire se situe au niveau de la racine dorsale c. A été généré au niveau d un corps cellulaire situé dans le muscle d. Est codé en modulation de fréquence e. Provient de la synapse neuromusculaire 22. Lors d un réflexe d extension, la fréquence de potentiels d action au niveau du motoneurone est : a. Toujours nulle si ce motoneurone est celui de la voie polysynaptique inhibitrice b. Plus importante si ce motoneurone est celui de la voie monosynaptique excitatrice c. Déterminée par la quantité de neurotransmetteur libéré au niveau des plaques motrices d. Déterminée par la quantité de neurotransmetteur libéré au niveau des synapses entre l interneurone et le motoneurone si ce motoneurone est celui de la voie polysynaptique inhibitrice e. Directement déterminée par l intensité de la stimulation 23. Un animal présente une section ancienne de la racine médullaire antérieure d un nerf rachidien : a. Une stimulation du bout central entrainera des manifestations de douleur b. Une stimulation du bout périphérique entrainera une contraction c. Une stimulation du bout central entrainera une contraction d. Une stimulation du bout périphérique n aura aucun effet e. Aucune des propositions précédentes n est exacte
6 24. Parmi les neurones constituant un arc réflexe polysynaptique, il y a : a. Les neurones sensitifs des racines ventrales des nerfs rachidiens b. Les motoneurones des racines ventrales des nerfs rachidiens c. Les neurones sensitifs des racines dorsales des nerfs rachidiens d. Les motoneurones des racines dorsales des nerfs rachidiens e. Les interneurones de la substance blanche 25. Sous le terme d innervation réciproque, on désigne : a. La présence dans le nerf mixte de fibres nerveuses sensitives et motrices b. La présence dans la racine postérieure de fibres nerveuses sensitives provenant de muscles extenseurs et de muscles fléchisseurs c. La présence dans la racine antérieure de fibres nerveuses innervant les muscles extenseurs et fléchisseurs d. La présence dans le muscle de fibres nerveuses sensitives et motrices e. Les circuits neuroniques qui permettent l inhibition du muscle fléchisseur pendant la contraction du muscle extenseur Définitions 1. Potentiel de repos 2. Stimulus 3. Potentiel de membrane 4. Canaux voltage dépendant 5. Potentiel d'action
7 Exercices 1. Mots croisés 1. Ensemble constitué par un motoneurone et les fibres musculaires qu il contrôle 2. Endroit où est localisé le noyau dans un neurone, on y inclut souvent les multiples dendrites qui l entourent 3. Molécule fabriquée par un neurone qui agit en se fixant sur les récepteurs d un autre neurone 4. Neurone qui transmet des messages nerveux aux fibres musculaires 5. Propriété des neurones, qui dépend de la fréquence à laquelle ils sont activés et assure un remodelage des circuits neuronaux 6. Région du cortex qui contrôle les mouvements du corps 7. A la surface des hémisphères cérébraux, il contient les corps cellulaires de milliards de neurones 8. A cet endroit, les trains de PA provoquent la libération de molécules de neuromédiateur dans un espace très étroit 9. Qualifie un muscle dont la contraction provoque un mouvement opposé à celui créé par la contraction du muscle pris comme référence 10. Lorsqu il participe à la constitution de la matière blanche ou d un nerf, on l appelle «fibre nerveuse», il transmet des messages à d autres cellules 11. Tissu nerveux qui contient les prolongements (axones et dendrites) des neurones 12. Zone où sont localisés les corps cellulaires des motoneurones médullaires 13. Type de molécule intégrée aux membranes postsynaptiques. Plus leur densité membranaire est élevée, plus la sensibilité de l élément post synaptique l est aussi.
8 14. C est l avatar dessiné par la représentation du corps sur le cortex moteur : il a de très grandes mains. 15. Tissu nerveux qui contient les corps cellulaires des neurones. 2. D après le sujet de concours pédicure-podologue AFREP 2012 Analyse des documents On réalise un dispositif expérimental présenté dans le document ci-dessous : une microélectrode est introduite dans un motoneurone M1 et une autre dans un motoneurone M2 de façon à enregistrer l activité de ces neurones. Une troisième microélectrode permet d enregistrer l activité de l axone issu du motoneurone M1. Document : Réseau neuronal étudié et son dispositif expérimental. Il est ici demandé uniquement les tracés sans commentaire. 1. Suite à une stimulation efficace en F1, quel peut être l aspect de l enregistrement en O1, en O2 et en O3. Vous prendrez soin de dessiner les trois oscilloscopes sur une même ligne. 2. Suite à une stimulation efficace de même intensité en F1+F2+F3, quel peut être l aspect de l enregistrement en O1, en O2 et en O3. Vous prendrez soin de dessiner les trois oscilloscopes sur une même ligne. 3. A partir des tracés proposés aux questions 1 et 2, quelles sont les conséquences pour les muscles concernés? 4. Dans quelle région de l organisme peut-on observer ce circuit nerveux, que vous nommerez, du document ci-dessus. 5. Proposez un protocole simple de la vie courante provoquant l utilisation de ce circuit nerveux.
9 3. D après le sujet du concours psychomotricité ISRP Paris 2012 On place une électrode stimulatrice au niveau du creux poplité. Elle permet de délivrer, à travers la peau, des stimulations d intensité variable, stimulant le nerf sciatique. Le nerf sciatique est un nerf mixte qui innerve triceps sural du mollet. Document : Montage expérimental et les électromyogrammes correspondants. On place par ailleurs, sur le revêtement cutané du mollet, au-dessus du triceps sural, deux électrodes réceptrices connectées à un dispositif d amplification et d enregistrement de différences de potentiel. Elles permettent d enregistrer les différences de potentiel qui traduisent l activité électrique du triceps sural. Les tracés de l électromyogramme sont reportés sur le document ci-dessus. Le tracé 1 correspond à une percussion du tendon d Achille. Les tracés 2, 3, 4 et 5 correspondent à des stimulations électriques percutanées du nerf sciatique d intensité croissante. 1. Que représente le tracé 1? Justifiez. 2. Réalisez le schéma titré et légendé de manière précise du circuit nerveux emprunté. 3. Analysez et expliquez les tracés 2,3 et 4? 4. Une stimulation plus forte fait apparaitre le tracé 5. Analysez et expliquez. 5. Quelle sera la conséquence sur le tracé 5 d une section ancienne de la racine ventrale en rapport avec le nerf? 6. Quelle sera la conséquence sur le tracé 5 d une section ancienne de la racine dorsale en rapport avec ce nerf?
1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailL indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com
L indépendance à chaque pas de la vie. Votre meilleur allié. Groupe Visitez notre site : www.groupe-g2m.com : Votre meilleur allié. Dispositif médical unique Le système WalkAide est une neuro-orthèse de
Plus en détailLe sens du goût. Une infinité de saveurs.
Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on
Plus en détailNEUROPHYSIOLOGIE (2)
NEUROPHYSIOLOGIE (2) B - LE SYSTEME NERVEUX (SUITE) - NEURONES ET GLIOCYTES IV - LES NEURONES ET LES GLIOCYTES 1) OBJET DE LEUR ETUDE La NEUROPHYSIOLOGIE est l étude du fonctionnement du système nerveux.
Plus en détailDéfinition. Spasticité. physiopathologie. Le réflexe d étirement. Spastikos : étirer
Définition Spasticité Physiopathologie et aspects cliniques Docteur Jacques Luauté Service de Rééducation Neurologique Professeur Dominique Boisson Hôpital Henry Gabrielle Spastikos : étirer «la spasticité
Plus en détailChapitre 9 TONUS ET MOTRICITE
1 ère partie : Neuroanatomie fonctionnelle Chapitre 9 TONUS ET MOTRICITE La physiologie du mouvement comprend la motricité, les réflexes et le tonus musculaire. Les mécanismes qui contrôlent le mouvement
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailL ELECTRICITE : SON IMPLICATION DANS LE FONCTIONNEMENT DU CERVEAU ET DANS LES SOINS
LES RENDEZ-VOUS PRESSE DU NEURODON L ELECTRICITE : SON IMPLICATION DANS LE FONCTIONNEMENT DU CERVEAU ET DANS LES SOINS Dossier réalisé avec l aide des : Professeur Yehezkel BEN ARI Directeur de l INMED
Plus en détailMON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS
MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS Le mal de dos? Nous sommes pratiquement tous concernés! En effet, plus de 80% de la population
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailEtirements des chaînes musculaires postérieure et antérieure.
Interprétation des tests sécuritaires Document réalisé par Jean Marc Blanc responsable de la préparation physique sur le pôle France d Antibes Mars 2002 Ratio abdominaux / psoas : Trois cas se présentent
Plus en détailhttp://www.neur-one.fr/ Cerveau & Psycho - N 28
1 Cerveau & Psycho - N 28 Les souvenirs sont gravés dans la mémoire sous forme de combinaisons particulières de modifications de synapses, les jonctions entre neurones. Ces modifications doivent être consolidées,
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailQuel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailBulletin. Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone?
Bulletin Numéro 34 I Novembre 2013 Vaincre la Sclérose en Plaques par la recherche Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone? Depuis 1992, les interférons (IFNs) et le Copaxone
Plus en détailLa maladie de Huntington, une maladie du cerveau
Actualités à propos de la recherche sur la maladie de Huntington. Expliqué simplement. Écrit par des scientifiques. Pour la communauté mondiale HD. La greffe de moelle osseuse dans la maladie de Huntington
Plus en détailExamen neurologique de l enfant
Examen neurologique de l enfant 2 SYSTÈMES ANATOMIQUEMENT DISTINCTS différents dans la chronologie de leur maturation Système SOUS CORTICOSPINAL Issu du Tronc cérébral Archaïque Maintient de la posture
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailLe fonctionnement de l'organisme
Seconde partie Le fonctionnement de l'organisme 1 Le système cardio-pulmonaire...2 1.1 Anatomie et fonctionnement du coeur...2 1.2 La distribution du sang aux organes...4 2 Communication et intégration
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailLes lières. MSc in Electronics and Information Technology Engineering. Ingénieur civil. en informatique. MSc in Architectural Engineering
Ingénieur civil Ingénieur civil Les lières MSc in Electronics and Information Technology Engineering MSc in Architectural Engineering MSc in Civil Engineering MSc in Electromechanical Engineering MSc
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailLa perception des couleurs par l'œil
Travaux Personnels Encadrés Thème: Images La perception des couleurs par l'œil Haïba Lekhal Per Einar Ellefsen 1 ère S 3 2001-2002 Lycée Français Jean Monnet La perception des couleurs par l'oeil par Haïba
Plus en détailL apprentissage automatique
L apprentissage automatique L apprentissage automatique L'apprentissage automatique fait référence au développement, à l analyse et à l implémentation de méthodes qui permettent à une machine d évoluer
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailArticulations du coude et de l avant-bras
Articulations du coude et de l avant-bras 1 Articulation du coude 1.1 Définition Le coude est l articulation intermédiaire du membre supérieur. Elle comprend trois articulations distinctes entre l humérus,
Plus en détailProgramme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation
Programme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation 1 1 Contexte - Public ciblé 1/3 des accidents du travail sont dus à des manutentions. Coût annuel : 1,5 milliards d euros. Les lombalgies représentent
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailProtocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires
1 Protocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires Dans la grande majorité des cas, les syndromes fémoro-patellaires (SFP) guérissent avec un traitement médical bien conduit. Pour être efficace,
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détailAllégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2
Allégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2 Objectif Les apprenants soulèvent et portent des charges correctement. Public-cible - Des apprenants
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailActivités oscillatoires haute fréquence et fonctions exécutives chez l Homme
École doctorale Neurosciences et Cognition Université Claude Bernard Lyon I Activités oscillatoires haute fréquence et fonctions exécutives chez l Homme THÈSE présentée et soutenue publiquement le 24 Octobre
Plus en détailANALYSE DU MOUVEMENT EXEMPLE : LE SQUAT
PACOUIL Christophe1 Option culturisme 2012-2013 ANALYSE DU MOUVEMENT 1. Nous étudions les articulations concernées 2. Nous analysons la mécanique 3. Nous cherchons les muscles sollicités au plan moteur,
Plus en détailSection «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée
EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen
Plus en détailREEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE
REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE Eric HALLARD, Kinésithérapeute La rupture du LCAE est de plus en plus fréquente
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailLES NEUROSCIENCES AU SERVICE DE LA PEDAGOGIE Thématique de l évaluation. Contexte de la montée en charge des neurosciences en pédagogie
LES NEUROSCIENCES AU SERVICE DE LA PEDAGOGIE Thématique de l évaluation Les neurosciences cognitives se développent de façon fulgurante depuis quelques décennies, mais leur plein essor reste récent, en
Plus en détailAdvanced Fluorescence Microscopy to Study Plasma Membrane Protein Dynamics
Advanced Fluorescence Microscopy to Study Plasma Membrane Protein Dynamics THÈSE N O 4869 (2010) PRÉSENTÉE LE 5 NOVEMBRE 2010 À LA FACULTÉ SCIENCES DE BASE LABORATOIRE DE CHIMIE PHYSIQUE DES POLYMÈRES
Plus en détailH) ATTEINTE NEUROLOGIQUE PERIPHERIQUE NEUROPATHIES ET MYOPATHIES
H) ATTEINTE NEUROLOGIQUE PERIPHERIQUE NEUROPATHIES ET MYOPATHIES Auteur : Prof. Annoni, aidé par le cours de C Bader Table des Matières 1. Objectifs du cours... 3 2. Quelques definitions :... 3 3. Physiopathologie
Plus en détailL ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma
TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -
Plus en détailProjets proposés par le Laboratoire de Physique de l'université de Bourgogne
Projets proposés par le Laboratoire de Physique de l'université de Bourgogne Titre : «Comprendre la couleur» Public : Collégiens, Lycéens. Nombre de participants : 5 à 10 (10 Maxi ) Lieu : Campus Universitaire
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailNouvelles techniques d imagerie laser
Nouvelles techniques d imagerie laser Les chimistes utilisent depuis longtemps les interactions avec la lumière pour observer et caractériser les milieux organiques ou inorganiques. La présence, dans la
Plus en détailFonctionnement de l organisme et besoin en énergie
Partie 2 Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie Y Cette partie doit permettre à l élève d appréhender quelques aspects généraux concernant le fonctionnement du corps humain. Il s agit principalement
Plus en détailReprise de la marche chez le blessé médullaire Etat actuel, nouvelles perspectives
Reprise de la marche chez le blessé médullaire Etat actuel, nouvelles perspectives Professeur Bernard BUSSEL Service de Rééducation Neurologique, Hôpital Raymond Poincaré 92380 GARCHES Tel. 01 47 10 70
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailConception de Médicament
Conception de Médicament Approche classique HTS Chimie combinatoire Rational Drug Design Ligand based (QSAR) Structure based (ligand et ou macromolec.) 3DQSAR Docking Virtual screening Needle in a Haystack
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie de Parkinson
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie de Parkinson Vivre avec une maladie de Parkinson Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous
Plus en détailStage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale"
Stage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale" Session 2014-2015 Documents produits pendant le stage, les 06 et 07 novembre 2014 à FLERS Adapté par Christian AYMA et Vanessa YEQUEL d après
Plus en détailConstruire un QCM (un questionnaire qui ne comporte uniquement ce type de questions)
Construire un QCM (un questionnaire qui ne comporte uniquement ce type de questions) Ce résumé est réalisé à partir du livre de D. LECLERCQ, «La conception des questions à choix multiple», Education 2000
Plus en détailOrganiser, plannifier
Dossier HABITAT - Organiser, plannifier Organiser, plannifier 010-011 Les métiers et l organisation Situation de départ : Les travaux de la maison vont commencer, qui doit intervenir en premier, comment
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailDETECTOR BICANAL FG2 1. DIMENSIONS ET CONNEXIONS ELECTRIQUES 2. GENERALITES. 24 VDC Alimentat. 24 Vcc. Contact Boucle 2 4 5. Contact Boucle 1 6 7
DETECTOR BICANAL FG. DIMENSIS ET CNEXIS ELECTRIQUES FRANÇAIS 4 VDC Alimentat. 4 Vcc 3 Contact Boucle 4 5 Contact Boucle 6 7 Boucle 8 9 0 Boucle Dimensions en mm. GENERALITES Applications: contrôle de barrières,
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailLes solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution
Chapitre 2 - Modèle Les solutions 1 Définitions sur les solutions 1.1 Définition d une solution : Une solution est le mélange homogène et liquide d au moins deux espèces chimiques : Le soluté : c est une
Plus en détailLes postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011
Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Introduction Le rôle du médecin MPR : poser les indications Réflexion pluridisciplinaire Définir les objectifs
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailFigure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre
Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1b Wasmannia auropunctata Taille relative et diversité morphologique (Reine et ouvrière) Figure 2 Wasmannia auropunctata (mâle
Plus en détailLa prévention c est pour la vie! LES MAUX DE DOS. La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé
D O S S I E R S P É C I A L LES MAUX DE DOS La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé La source du mal Éviter les maux de dos Écouter son corps Quand la douleur demeure : les maux de dos chroniques
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailLe mal de dos est décrit par de nombreux auteurs
Carrière et mal de dos, la nécessaire prévention Les professionnels des métiers de la petite enfance sont particulièrement confrontés au fléau social qu est le mal de dos. Touchant près de 80 % de la population
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailLa prise en charge du pied tombant : le point de vue du rééducateur
TRANSVERSAL La prise en charge du pied tombant : le point de vue du rééducateur C. Donzé* * Service de médecine physique et réadaptation fonctionnelle, hôpital Saint-Philibert, GH de l Institut catholique
Plus en détail2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)
2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2.1 Introduction 2.2 Signal 2.3 Support de transmission 2.4 Adaptation du signal aux supports de transmission 2.5 Accès WAN 2.1 Introduction Introduction Rôle
Plus en détailSTRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES
Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/
Plus en détailLes réseaux cellulaires
Les réseaux cellulaires Introduction Master 2 Professionnel STIC-Informatique Module RMHD 1 Introduction Les réseaux cellulaires sont les réseaux dont l'évolution a probablement été la plus spectaculaire
Plus en détailIl est sept heures du matin. Votre réveil sonne, La volonté d agir est-elle libre? Clés comportementales
NEUROBIOLOGIE Clés comportementales La volonté d agir est-elle libre? Gilles LAFARGUE et Angela SIRIGU Il est sept heures du matin. Votre réveil sonne, vous devez vous lever. Qu est-ce qui détermine l
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailSolva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale
Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Cours de la formation continue dans les thérapies manuelles Pour ceux qui veulent ajouter des techniques efficaces,
Plus en détailDans ce chapitre : Sommaire 93
Dans ce chapitre : Les différents types de contractions musculaires 78 Contraction statique 78 Contraction dynamique 80 Contraction isométrique 80 Contraction auxotonique 80 Contraction isotonique 82 Contraction
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailThérapies par cellules souches dans la SEP
Thérapies par cellules souches dans la SEP Rédigé en partenariat avec Sommaire Introduction 3 Qu est-ce que la SEP? 4 Que sont les cellules souches? 5 Qu est-ce qu une thérapie par cellules souches? 6
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailRéservation de matériel
Manuel Utilisateur Réservation de matériel Auteur : Logica Version : 3.1 Droit d auteur Ce texte est disponible sous contrat Creative Commons Paternité - Pas d'utilisation Commerciale - Partage des Conditions
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détailDéficit moteur et/ou sensitif des membres
1 Item 301 Déficit moteur et/ou sensitif des membres I. UN TROUBLE DE LA MOTILITÉ PEUT AVOIR DE NOMBREUSES CAUSES NON NEUROLOGIQUES II. L ORIENTATION DIAGNOSTIQUE, FACE À UN DÉFICIT MOTEUR OU SENSITIF
Plus en détail