LA CONVERSION DE DONNÉES HISTORIQUES SELON UN NOUVEAU SYSTÈME DE CLASSIFICATION POUR L ENQUÊTE MENSUELLE SUR LE COMMERCE DE GROS ET DE DÉTAIL
|
|
- Georges Jean-Jacques Gaulin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Assemblée annuelle de la SSC, juin 2003 Recueil de la Section des méthodes d enquête LA CONVERSION DE DONNÉES HISTORIQUES SELON UN NOUVEAU SYSTÈME DE CLASSIFICATION POUR L ENQUÊTE MENSUELLE SUR LE COMMERCE DE GROS ET DE DÉTAIL Susie Fotie 1 RÉSUMÉ Les systèmes de classification industielle founissent un cade commun de concepts pemettant de décie l activité économique. Au cous des années, Statistique Canada a utilisé difféentes vesions de la Classification type des industies (CTI) et, plus écemment, le Système de classification des industies de l Améique du Nod (SCIAN). Les changements de système de classification céent des bisues dans les séies chonologiques. Afin de péseve la continuité de ces séies, il devient nécessaie de conveti les estimations histoiques obtenues sous un ancien système en estimations histoiques selon la classification plus écente. Une enquête majeue de Statistique Canada, l Enquête mensuelle du commece de gos et de détail (EMCGD), subit actuellement un emaniement complet qui inclut l utilisation de la nouvelle classification et doit eleve le défi d une telle convesion. La vesion actuelle de l EMCGD a été développée à la fin des années 1980 afin de poduie pincipalement des estimations su les ventes et les stocks pou des secteus industiels définis pa la CTI de L enquête emaniée poduia doénavant des estimations selon le SCIAN à pati de Diveses options ont été considéées afin de conveti les données des secteus de la CTI en estimations pou les secteus du SCIAN. Les avantages et inconvénients de ces options seont discutés. L option choisie, étant donné les containtes eliées à l EMCGD, est pésentée. MOTS CLÉS : Rétopolation ; système de classification ; coefficient de convesion. ABSTRACT Industial classification systems povide a conceptual famewok that allows the desciption of economic activities. Thoughout the yeas, Statistics Canada has used diffeent vesions of the Standad Industial Classification (SIC) system and the Noth Ameican Industy Classification System (NAICS) fo industial classification. Changes in industial classification systems ceate disuptions in associated time seies of population estimates. To maintain continuity, existing seies unde the pevious classification must be conveted accoding to the new classification. The Monthly Wholesale and Retail Tade Suvey (MWRTS), a majo suvey conducted by Statistics Canada, is in the midst of a edesign and faces the challenges of classification convesion. The cuent MWRTS was developed in the late 1980 s to poduce sales and inventoies estimates fo SIC-based industial sectos. The edesigned suvey will poduce NAICS-based estimates stating in This pape summaizes the options consideed fo backcasting the SIC-based data into NAICS-based estimates. The pos and cons of each method ae discussed and the final stategy is pesented within the specific context of the MWRTS. KEY WORDS: Backcasting; Classification system; Concodance coefficient 1. INTRODUCTION L Accod de libe-échange, signé en janvie 1994, a céé le besoin d une classification des activités économiques commune au Canada, au Mexique et aux États-Unis. Le Système de classification des industies de l Améique du Nod (SCIAN) de 1997 a été conçu à cette fin pa les oganismes statistiques des tois pays (Statistique Canada 2002). Le SCIAN s appuie su un cade conceptuel fondé su la poduction ou l offe ; les établissements y sont goupés pa classe en fonction de la similitude des pocédés qu ils appliquent à la poduction de biens et de sevices. L utilisation du nouveau système pemet une meilleue compaaison des statistiques industielles ente les tois pays. Toutefois, ceci inteompt la continuité histoique des séies nationales basées su d autes systèmes de classification. Depuis 1948, Statistique Canada utilisait pincipalement le système de la Classification type des industies (CTI) et ses difféentes évisions (en 1960, 1970 et 1980). La convesion au SCIAN touche plusieus enquêtes majeues de Statistique Canada, dont l Enquête mensuelle su le commece de gos et de détail (EMCGD). 1 Susie Fotie (susie.fotie@statcan.ca), Immeuble R.-H.Coats, 11 e étage, Ottawa (Ontaio), Canada, K1A O6T. 13
2 Depuis 1988, les données de l EMCGD sont poduites en fonction des définitions de la CTI vesion L enquête a écemment été emaniée pou poduie des estimations de qualité selon le SCIAN à coûts éduits. Ce emaniement pemet également de éduie le fadeau de éponse, d implante des systèmes infomatiques plus pefomants et de favoise l utilisation de données administatives nouvellement disponibles, telles que les ventes selon la Taxe su les poduits et sevices (TPS) peçue (Béad 2001). Les pemies ésultats de l enquête emaniée seont publiés en Ils seont accompagnés d estimations histoiques mensuelles selon le SCIAN obtenues gâce à la convesion des données histoiques ecueillies selon la CTI. Cet aticle pésente les défis associés à la poduction de données histoiques selon un nouveau système de classification. La section 2 définit le commece de gos et le commece de détail selon chacun des deux systèmes de classification. Les difféentes méthodes considéées pou la étopolation sont bièvement discutées dans la section 3. La section 4 identifie la méthode choisie et taite de son implantation. 2. DÉFINITIONS DU COMMERCE DE GROS ET DU COMMERCE DE DÉTAIL Sous la CTI et le SCIAN, les secteus du commece de gos et du commece de détail ont la même fonction pincipale ; soit l achat de machandises aux fins de evente. La distinction ente les deux secteus dépend pa conte du système de classification utilisé (Meye 2001). Selon la CTI, la distinction est fondée su la catégoie de clients. Les machandises des détaillants sont destinées au public, pou usage pesonnel ou ménage. Les gossistes evendent des machandises à des détaillants, des industiels, des commeçants, des établissements publics, des agiculteus, des pofessionnels ou à d autes gossistes. La difféence ente le commece de gos et le commece de détail, selon le SCIAN, éside plutôt su le pocessus de poduction utilisé, à savoi le fait que les ventes sont effectuées dans un magasin ou non. Ce changement de concept entaîne un changement de secteus pou cetains magasins. Pa exemple, les magasins d odinateus, les machands de matéiaux de constuction, y compis les centes de énovation, ainsi que les magasins de founitues de bueau et de papeteie, qui étaient tous des gossistes selon la CTI, deviennent des détaillants sous le SCIAN. Les établissements dont l activité pincipale est l installation et la épaation, activité appatenant au secteu du commece de détail selon la CTI, sont maintenant classés dans le secteu des sevices selon le SCIAN. Le tableau 1 pésente un apeçu des mouvements ente les secteus de la CTI et du SCIAN. On y pésente la distibution des ventes des secteus du commece de gos et du commece de détail de la CTI selon la nouvelle classification du SCIAN. Tableau 1 Poucentage moyen de ventes selon le secteu d industie ( ) Secteu selon la classification SCIAN : SCIAN : SCIAN : commece de détail commece de gos autes secteus total CTI : commece de détail 96,3% - 3,7% 100% CTI : commece de gos 4,2% 94,3% 1,5% 100% L activité este fotement concentée dans le même secteu industiel. Pa conte, il faut souligne que l EMCGD publie ses données à un niveau plus affiné que le secteu, soit les goupes de commece. Alos que l enquête couante sous la CTI a 11 goupes de commece d intéêt pou le commece de gos et 18 pou le commece de détail, l enquête emaniée sous le SCIAN en aua espectivement 15 et 19. Les changements ente les anciens et les nouveaux goupes de commece sont nombeux et vaiés. Afin de pemette l analyse des 34 nouvelles séies selon le SCIAN, il est nécessaie d estime leus valeus histoiques à l aide de la étopolation des données obtenues sous la CTI. 3.1 Mise en contexte 3. MÉTHODES CONSIDÉRÉES Le Registe des entepises (RE) de Statistique Canada est une base de données su la population des entepises canadiennes. Les établissements de ces entepises sont épetoiés su le RE et classés ente autes selon leu type d activités industielles et leu classification géogaphique. L EMCGD ecout à un plan d échantillonnage statifié aléatoie simple sans emise qui est en place depuis 1988 et qui utilise le RE comme base de sondage. La statification industielle est en fonction de la CTI. Depuis 1998, les établissements su le RE sont classés selon la CTI et le SCIAN. Cette double classification pemet donc d obteni facilement des estimations selon le SCIAN même si le plan de sondage 14
3 est basé su la CTI. Il suffit d assigne la classification SCIAN aux unités échantillonnées selon l infomation disponible su le RE et d effectue une estimation pa domaine. La pécision des estimations est toutefois difficile à contôle. Puisque toutes les unités de la population sont classées selon les deux systèmes, il auait également été possible de pocéde pa postatification afin d amélioe la pécision des estimations selon le SCIAN. Cette option a été ejetée ca la classification SCIAN des unités hos échantillon est de moins bonne qualité que celle des unités échantillonnées ; et ce paticulièement en Les estimations selon le SCIAN seont plutôt poduites à l aide de l estimation pa domaine pou la péiode allant de 1998 jusqu à la mise en œuve de l enquête emaniée. Cetains utilisateus, comme le système de comptabilité nationale, ont besoin de séies histoiques antéieues à janvie La étopolation doit commence en janvie 1991 pou le commece de détail, alos que pou le commece de gos, elle peut commence en janvie Difféentes options pou la convesion de données de la CTI au SCIAN ont été étudiées pou plusieus enquêtes de Statistique Canada. (Hidioglou, Quenneville et Huot 2001). Pou l EMCDG, deux appoches ont été considéées. 3.2 Appoche «mico» : ajustements des micodonnées Dans l appoche «mico», l objectif est d assigne à chaque unité échantillonnée selon la CTI un goupe de commece selon le SCIAN puis de totalise les estimations. Le défi éside dans la eclassification pou la péiode antéieue à Cetains codes de la CTI ont un lien simple (un à un) avec un code du SCIAN. Une eclassification automatisée peut alos ête effectuée. Pou les codes avec liens multiples, une eclassification manuelle pa des spécialistes en la matièe auait été idéale mais impaticable, étant donné les containtes de temps et de budget. Diveses méthodes d imputation utilisées à des fins de eclassification ont été étudiées. Pa exemple, pou les unités qui sont encoe pésentes su la base de sondage en 1998, nous avons considéé la possibilité d impute les mêmes codes du SCIAN pou les années antéieues. Cette option est efficace si aucun changement d activité ne s est poduit depuis Toutefois, seulement 55 % des unités visées au début de la péiode de étopolation (soit 1991 ou 1993) sont pésentes en janvie De plus, les unités toujous vivantes ont bien souvent subi des changements de stuctue impotants mettant en doute l hypothèse de stabilité de l activité pincipale. Pou les unités qui ne sont plus su la base de sondage en 1998, un code du SCIAN peut ête attibué de manièe pobabiliste. Pou chaque code de la CTI, les pobabilités d assignation à un code du SCIAN sont déteminées de manièe empiique, c'est-à-die pa la féquence de chacun des liens CTI-SCIAN pésents en 1998 et les années suivantes. Enfin, l assignation d un code du SCIAN pou les unités classées sous un code de la CTI avec un lien «un à plusieus» peut se faie à l aide d une méthode de patage. Un cetain poucentage de la vaiable d intéêt est alos ecodé dans chacun des codes du SCIAN éligibles. Les facteus de patage sont également déivés des données pou lesquelles la classification est connue sous les deux systèmes. L avantage pincipal de l appoche «mico» est au niveau de la pécision. Les méthodes considéées sont cependant assez complexes. De plus, on suppose que les micodonnées sous la CTI concodent pafaitement aux données agégées. Ce n est pas le cas pou l EMCGD. Ente autes, une estatification impotante a eu lieu en décembe 1997 et a causé un saut dans les séies histoiques. Ce saut a été lissé gaduellement dans les mois antéieus à la estatification à l aide d ajustements «maco» L utilisation de l appoche «mico» nécessiteait donc un taitement supplémentaie pou les ajustements «maco» liés à la estatification et pou d autes ajustements «maco» minimes mais non négligeables. Nous avons ejeté cette appoche. 3.3 Appoche «maco» : coefficients de convesion Dans l appoche «maco», les unités n ont pas besoin d ête eclassifiées individuellement. Pou chaque goupe d intéêt selon le SCIAN, on utilise plutôt une combinaison linéaie pondéée du total de chacun des goupes d intéêt selon la CTI. Le total X j du goupe de commece j selon le SCIAN pou l année a et le mois m est donné pa X j = α X i i où X i est la somme du goupe de commece i selon la CTI. Les poids de la combinaison linéaie, soit les coefficients de convesion α, epésentent le poucentage du total du goupe CTI i qui est attibué au goupe SCIAN j. Ils sont estimés à l aide des données pou lesquelles la double classification est connue. Pou l EMCGD, ces données sont celles de janvie 1998 et des mois suivants. 15
4 L avantage majeu de cette appoche est qu aucun taitement supplémentaie n est nécessaie pou les ajustements à des niveaux agégés (lissage ou autes) effectués aux séies sous la CTI. Son désavantage pincipal découle de l intoduction d eeus los de l estimation des coefficients de convesion. Les souces d eeus sont détaillées dans la section 4.2. L appoche «maco» a été etenue pou l EMCGD. 4.1 Estimation des coefficients de convesion 4. IMPLANTATION Les valeus des coefficients de convesion peuvent ête déivées des données échantillonnées pou janvie 1998 et les mois suivants. Les coefficients antéieus doivent ête estimés à l aide des coefficients connus. Envion 1000 séies de coefficients de convesion, obtenues pa le coisement des goupes de la CTI et des goupes du SCIAN, ont été étudiées à l aide de 48 obsevations ( janvie 1998 à décembe 2001). Les coefficients jugés invalides pa des spécialistes en la matièe ou en valeu absolue inféieus à 0,3 % ont été éliminés et éalloués. Les 230 séies de coefficients non nuls estantes ont été analysées gaphiquement pou détecte la pésence de difféences égionales, de saisonnalité ou de valeus abeantes. Puisque les difféences égionales et la saisonnalité étaient facilement décelables (gaphique 2), il a été décidé d estime les coefficients mensuels pou les années 1991 à 1997 à l aide de la moyenne des coefficients calculés su les mois homologues des années 1998 à 2001 et ce, pou chaque égion. Gaphique 2 - Coefficients de convesion dans le temps Le coefficient X en Nouvelle-Écosse Le même coefficient X au Québec 60% 60% 50% 50% 40% 40% 30% 30% 20% jan fév ma av mai juin juil aoûtsept oct nov déc 20% jan fév ma av mai juin juil août sept oct nov déc Les coefficients de convesion peuvent donc s écie sous la fome ˆ α ˆ (1991, = K = α (1997, = δ α pou m = 1, K,12 k a= 1998 où la vaiable k est la somme su les 4 années des indicatices δ définies pa 0 δ = 1 siα est jugé abeant; sinon. Les valeus abeantes sont ainsi etiées du calcul de la moyenne. Les coefficients obtenus sont éajustés pou somme à 100% pou chaque combinaison d année a, de mois m, de égion et de goupe de commece i selon la CTI. 16
5 4.2 Souces d eeus Difféentes souces d eeus affectent l efficacité de l appoche «maco» (Hidioglou et al. 2001). Une pemièe souce d eeu potentielle est la base de sondage elle-même. Une eeu de classification selon la CTI ou le SCIAN pou un mois donné ente 1998 et 2001 affecte évidemment le mois en question ainsi que tous les mois homologues des années 1991 à Afin de éduie l impact des unités mal classées, les gos contibuteus ont été véifiés manuellement et ecodés au besoin. Les coections appotées à la base de sondage depuis 1998 ont été épetoiées dans le but d évalue leu impact ; losque jugés nécessaies, des ajustements aux séies estimées sous le SCIAN ont été appotés. Le second type d eeu povient de l utilisation des coefficients de convesion calculés su des années écentes ( ) pou estime les coefficients de convesion des années antéieues. Cette méthode est efficace si la épatition selon le SCIAN est stable d une année à l aute ; si elle ne l est pas, nous considéons quand même que le isque d eeu est plus faible en 1997 qu en L hypothèse de stabilité a été acceptée dans la majoité des cas. Il faut cependant poscie l utilisation des coefficients de convesion estimés uniquement pa la moyenne losqu une industie a subi un changement impotant tels que les centes de énovation à gande suface. Puisque que le secteu de la énovation a connu une coissance maquée au cous des denièes années et que les centes à gandes sufaces sont écents dans l économie canadienne, leu contibution au goupe de commece de la CTI en 1998 epésente mal la contibution qu ils avaient au début des années On doit donc ajuste les coefficients de convesion qui leu sont associés à la baisse pou les années 1991 à Les centes de énovation epésentent une patie d un goupe de commece de la CTI. Losque leu contibution est évisée à la baisse, la contibution des unités ésiduelles doit ête évisée à la hausse. La valeu de l ajustement lui-même est basée su l analyse des expets et les ésultats d une classification patielle sous le SCIAN au niveau mico. Ce type d ajustement pemet de modélise les vaiations dans le temps des coefficients. D autes éléments liés à la saisonnalité des coefficients tels les jous ouvables et l effet de Pâques n ont pas été considéés étant donné le peu d obsevations disponibles au moment de l analyse. Une souce d eeu additionnelle découle de l utilisation de coefficients de convesion basés su une vaiable et utilisés su une aute. L EMCGD a deux vaiables d intéêt ; les ventes et les stocks notons que les stocks ne sont pésentement publiés que pou les gossistes selon la CTI. Toute l analyse des coefficients de convesion a été effectuée au niveau des ventes. Au lieu de conveti selon le SCIAN les séies des stocks selon la CTI, nous avons conveti les séies étopolées des ventes en stocks à l aide de atios. Des atios stocks/ventes sont calculés pou chaque mois depuis 1993 au niveau des goupes de commece CTI et appliqués aux goupes de commece SCIAN coespondants. Les coespondances sont établies en fonction de la ègle suivante : un goupe de commece selon le SCIAN coespond à un goupe de commece selon la CTI si ce denie contibue à plus de 99 % du total du goupe selon le SCIAN. Sept goupes du commece de gos selon le SCIAN ont un goupe coespondant selon la CTI. Les goupes du SCIAN sans goupe coespondant selon la CTI sont taités à l aide d un atio stocks/ventes global. 4.3 Continuité des séies sous le SCIAN Les séies sous la classification du SCIAN se divisent en tois paties. Une pemièe de janvie 1991 à décembe 1997 où les estimations sont obtenues à l aide de coefficients de convesion estimés. La seconde patie commence en janvie 1998 et se teminea los de l aêt de l enquête actuelle. Dans cette patie, les séies sous le SCIAN sont obtenues pa estimation pa domaine, autement dit à l aide de coefficients de convesion obsevés. La toisième patie débute en même temps que l enquête emaniée. La deuxième et la toisième paties se chevauchent de quelques mois losque l ancienne et la nouvelle enquête seont toutes les deux en poduction (test en paallèle). On pévoit la pésence d un bis dans les séies los du passage à l enquête emaniée. Ce saut s explique pa le changement de classification mais aussi pa d autes changements méthodologiques. Les ésultats du test en paallèle pemettont d ajuste le niveau des séies étopolées. On pévoit un ajustement multiplicatif constant dans le temps pou ajuste les séies histoiques aux niveaux publiés dans la nouvelle enquête. En tenant compte de la saisonnalité, des bis dans les séies sous le SCIAN étaient également obsevables en janvie On passe alos de coefficients estimés en décembe 1997 à des coefficients obsevés. Pou amoindi l effet, toutes les données étopolées de 1998 ont été ecalculées en utilisant les coefficients estimés, c est-à-die en calculant la moyenne des quate années, incluant Notons que les coefficients de 1998 diffèent plus souvent de la moyenne que les tois autes années et que les coefficients tès abeants étaient enlevés du calcul de la moyenne. En allongeant la pemièe patie de la séie jusqu en décembe 1998, on annule la pésence de bis ente les deux pemièes paties. 17
6 5. ACTIVITÉS À VENIR Les pemièes estimations sous le SCIAN de l enquête emaniée sont pévues en Les données histoiques antéieues seont ajustées pou le niveau à l aide des ésultats du test en paallèle. Gâce aux données étopolées, les nouvelles estimations pouont ête désaisonnalisées et analysées. Le SCIAN a connu une pemièe mise à jou en 2002 qui ne touchait pas les secteus du commece de gos et du commece de détail. Une seconde évision, attendue en 2007, affectea le commece de gos. Une étopolation des données selon la nouvelle vesion du SCIAN est pévue. REMERCIEMENTS L auteue désie emecie Fançois Lavoie, Benoît Quenneville, Julie Tépanie et paticulièement Hélène Béad pou leus commentaies et leus suggestions fot utiles. RÉFÉRENCES Béad, H.(2001), The Redesign of the Monthly Wholesale and Retail Tade Suvey of Statistics Canada, Recueil 2001 de la section des méthodes d enquêtes, Société statistique du Canada, pp Hidioglou, M., Quenneville, B. et Huot G. (2001), Methodological Poblem and Options fo SIC-NAICS Convesion, Document de tavail de Statistique Canada, Division des méthodes d enquêtes aupès des entepises, octobe Meye, B.(2001), Convesion de la CTI de 1980 au SCIAN; Commece de gos et de détail; apeçu dans la pespective d un secteu d enquête, Document de tavail de Statistique Canada, Division de la statistique du commece, septembe Statistique Canada (2002), Système de classification des industies de l'améique du Nod : SCIAN, Canada 2002, poduit n o XPF au catalogue de Statistique Canada, Ottawa, Ministe de l industie, avil
Créer un observatoire de la concurrence. Créer un observatoire de la concurrence. Démarche. ntérêt. C aractéristiques.
Cée un obsevatoie de la concuence poblématique I Quelle est l'étendue d'un maché? Quelle pat du maché, une entepise peut-elle espée pende? Quels sont les atouts des entepises pésentes su le maché? ntéêt
Plus en détailoù «p» représente le nombre de paramètres estimés de la loi de distribution testée sous H 0.
7- Tests d austement, d indépendance et de coélation - Chapite 7 : Tests d austements, d indépendance et de coélation 7. Test d austement du Khi-deux... 7. Test d austement de Kolmogoov-Sminov... 7.. Test
Plus en détailGuide de l acheteur de logiciel de Paie
Note pespicacité Pivilégie les essouces humaines Guide de l acheteu de logiciel de Paie Table des matièes Intoduction Tendances écentes de Paie L automation de Paie avec libe-sevice pou employés Analyse
Plus en détailInformations Techniques A7 A141. Roulements à Billes à Gorge Profonde. Roulements à Billes à Contact Oblique. Roulements à Billes Auto-Aligneurs
ROULEMENTS Pages Infomations Techniques A7 A141 Infos Tech. Roulements à Billes à Goge Pofonde B4 B45 Roulements à Billes à Contact Oblique Roulements à Billes Auto-Aligneus Roulements à Rouleaux Cylindiques
Plus en détailCIRCULAIRE N 02/04. Elle précise les méthodes de valorisation des titres de capital et des titres de créances contenus dans les actifs de l OPCVM.
Rabat, le 02 juillet 2004 CIRCULIRE N 02/04 RELTIVE UX CONDITIONS D ÉVLUTION DES VLEURS PPORTÉES À UN ORGNISME DE PLCEMENT COLLECTIF EN VLEURS MOBILIÈRES OU DÉTENUES PR LUI La pésente ciculaie vient en
Plus en détailPo ur d o nne r un é lan à vo tre re traite
Po u d o nne un é lan à vo te e taite ez a p é P aite t e e vot joud'hui dès au E N EN T TR RE E N NOOUUSS,, CC EESSTT FFAA CC I I LL EE DD EE SS EE O M M PP RR EE NN DDRRE E CC O Toutes les gaanties de
Plus en détailFINANCE Mathématiques Financières
INSTITUT D ETUDES POLITIQUES 4ème Année, Economie et Entepises 2005/2006 C.M. : M. Godlewski Intéêts Simples Définitions et concepts FINANCE Mathématiques Financièes L intéêt est la émunéation d un pêt.
Plus en détailServeur vidéo IP. caméras analogiques PC serveur. PC Client 1. Serveur de stockage ( optionnel )
Sony RealShot Manage V3 Info Poduit Mas 2005 RealShot Manage V3.0 Logiciel de gestion des caméas IP MJPEG, MPEG-4, Audio, il sait tout enegiste! Une nouvelle vesion du logiciel RealShot Manage de Sony
Plus en détailSOMMAIRE. ATRACOM-Centrafrique Manuel de Procédures Administratives Financiers et Comptables
ATRACOM-Centafique Manuel de Pocédues Administatives Financies et Comptables G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE SOMMAIRE G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE... 1 G.1 COMPOSANTES DE LA TRESORERIE... 2
Plus en détail( Codes : voir verso du feuillet 3 ) SPECIMEN
Aide demandeu d emploi Pojet pesonnalisé d accès à l emploi Pesciption de Pô emploi RFPE AREF CRP - CTP ou d un patenaie de Pô emploi Pécisez : N d AIS Concene de naissance Pénom Né(e) Inscit(e) depuis
Plus en détailDiaDent Group International
www.diagun.co.k DiaDent Goup Intenational Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée Copyight 2010 DiaDent Goup Intenational www.diadent.com Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée w
Plus en détailTRAVAUX DIRIGÉS DE M 6
D M 6 Coection PCSI 1 013 014 RVUX DIRIGÉS DE M 6 Execice 1 : Pemie vol habité (pa un homme) Le 1 avil 1961, le commandant soviétique Y Gagaine fut le pemie cosmonaute, le vaisseau spatial satellisé était
Plus en détailRoulements à rotule sur deux rangées de rouleaux en deux parties
Roulements à otule su deux angées de ouleaux en deux paties Réduction des coûts gâce au changement apide du oulement difficilement accessible Contenu Changement apide du oulement 2 Réduction des coûts
Plus en détailtudes & documents ÉCONOMIE ET ÉVALUATION L assurance habitation dans les départements d Outre Mer n 24 Juin 2010
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 24 Juin 2010 É tudes & documents L assuance habitation dans les dépatements d Oute Me RISQUES ÉCONOMIE ET ÉVALUATION Sevice de l économie, de l évaluation
Plus en détailMoments partiels crédibilistes et application à l évaluation de la performance de fonds spéculatifs
Moments patiels cédibilistes et application à l évaluation de la pefomance de fonds spéculatifs Alfed MBAIRADJIM M. 1 & Jules SADEFO K. 2 & Michel TERRAZA 3 1 LAMETA- Univesité Montpellie 1 et moussa alf@yahoo.f
Plus en détailPermis de feu. Travail par point chaud. r Soudage r Brasage. r Découpage r Tronçonnage. r Meulage r Autres. r Poste à souder r Tronçonneuse
Pemis de feu Tavail pa point chaud Patage vote engagement Ce document doit ête établi avant tout tavail pa point chaud (soudage, découpage, meulage, ) afin de péveni les isques d incendie et d explosion
Plus en détailQuelques éléments d écologie utiles au forestier
BTSA Gestion Foestièe Module D41 V.1.1. Avil 1997 Quelques éléments d écologie utiles au foestie Paysage vosgien : un exemple d écocomplexe divesifié. Sylvain Gaudin CFPPA/CFAA de Châteaufaine E 10 ue
Plus en détailGESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE)
GESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE) SAUVEGARDE DES DONNÉES DEMANDE D INFORMATION Vous souhaitez ecevoi de l infomation elative aux solutions de la thématique Gestion de la sauvegade
Plus en détailLE LOGEMENT AU NUNAVIK
SOCIÉTÉ D HABITATION DU QUÉBEC LE LOGEMENT AU NUNAVIK DOCUMENT D INFORMATION WWW.HABITATION.GOUV.QC.CA Coodination du contenu et édaction Diection des affaies integouvenementales et autochtones Coodination
Plus en détailM F. F O Unité: [m. N] La norme du moment de force peut se calculer en introduit le bras de levier d
Chapite 2: But: connaîte les lois auxquelles doit obéi un cops solide en équilibe. Ceci pemet de décie la station debout ainsi que les conditions nécessaies pou teni une tasse dans la main, souleve une
Plus en détailRoulements à billes et à rouleaux
Fo New Technology Netwok R copoation Roulements à billes et à ouleaux CAT. NO. 222-VIII/F Manuel technique A- Roulements à billes à goges pofondes B- Roulements miniatues B- 1 Roulements à billes à contact
Plus en détailValidation CFD axisymétrique de modèle zonal des écoulements gazeux de chambre de combustion de moteur Diesel
CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS Cente d enseignement de Genoble Mémoie Mécanique des stuctues et des systèmes Validation CFD axisymétique de modèle zonal des écoulements gazeux de Auditeu: Jean-Michel
Plus en détailGESTION DES RELATIONS HUMAINES ET COMPÉTENCES
GESTION DES RELATIONS HUMAINES ET COMPÉTENCES DEMANDE D INFORMATION Vous souhaitez ecevoi de l infomation elative aux solutions de la thématique Gestion des elations humaines et des compétences? Photocopiez
Plus en détailCHAPITRE VI : Le potentiel électrique
CHPITRE VI : Le potentiel électiue VI. 1 u chapite III, nous avons vu ue losu'une foce est consevative, il est possible de lui associe une énegie potentielle ui conduit à une loi de consevation de l'énegie.
Plus en détail11.5 Le moment de force τ (tau) : Production d une accélération angulaire
11.5 Le moment de foce τ (tau) : Poduction d une accéléation angulaie La tige suivante est soumise à deux foces égales et en sens contaie: elle est en équilibe N La tige suivante est soumise à deux foces
Plus en détailLes déterminants de la diffusion d Internet en Afrique
Les déteminants de la diffusion d Intenet en Afique pa Benad Conte Maîte de Conféences, Cente d économie du développement Univesité Montesquieu-Bodeaux IV - Fance 6µWYQµ Les pogès apides des technologies
Plus en détailChapitre 6: Moment cinétique
Chapite 6: oment cinétique Intoduction http://www.youtube.com/watch?v=vefd0bltgya consevation du moment cinétique 1 - angula momentum consevation 1 - Collège éici_(360p).mp4 http://www.youtube.com/watch?v=w6qaxdppjae
Plus en détailGuide 2005 GESTION. des solutions partenaires logiciels. IBM Software. commerciale (CRM) comptable et financière logistique marketing de la qualité
IBM Softwae Guide 2005 des solutions patenaies logiciels GESTION commeciale (CRM) comptable et financièe logistique maketing de la qualité des elations humaines et compétences documentaie (GED) des appels,
Plus en détailCONSTANTES DIELECTRIQUES
9 E7 CONTANTE DIELECTRIQUE I. INTRODUCTION Dans cette expéience, nous étuieons es conensateus et nous éiveons les popiétés e iélectiques tels que l'ai et le plexiglas. II. THEORIE A) Conensateus et iélectiques
Plus en détailMODE D EMPLOI ENFANT MINEUR MONFINANCIER LIBERTE VIE
MODE D EMPLOI ENFANT MINEUR MONFINANCIER LIBERTE VIE Pou établi vote contat MonFinancie Libeté Vie pou un enfant mineu, nous vous emecions de bien vouloi éuni les éléments suivants : Le bulletin de sousciption
Plus en détailCLOUD CX263 MÉLANGEUR
COUD CX6 MÉANGEU Clealy bette soun ZONE ZONE MUSIC SOUCE MUSIC SOUCE MUSIC SOUCE MUSIC EVE MUSIC EVE MUSIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE 6 6 6 5 5 5 MICOPHONE CX6 4 4 4 F HF F HF
Plus en détailA la mémoire de ma grande mère A mes parents A Mon épouse A Mes tantes et sœurs A Mes beaux parents A Toute ma famille A Mes amis A Rihab, Lina et
Remeciements e tavail a été effectué au sein du laboatoie optoélectonique et composants de l univesité Fehat Abbas (Sétif, Algéie) en collaboation avec le goupe MALTA consolido du Dépatement du Physique
Plus en détailMécanique du point : forces Newtoniennes (PCSI)
écanique du oint : foces Newtoniennes (PCSI Question de cous On admet que, losqu'il est soumis à une foce Newtonienne F K u, la tajectoie d'un cos est lane et décite a mc K +e cosθ où C θ est une constante
Plus en détailSYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS
SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS NOTICE D UTILISATION Vous venez d acquéi un système de sécuité DAITEM adapté à vos besoins de potection et nous vous en emecions. Quelques pécautions L'installation
Plus en détailUniv. Béjaia, Faculté de la Technologie, Département d électronique
Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Dépatement d électonique L INTELLIGENCE ARTIFICIELLE APPLIQUEE AUX TELECOMMUNICATIONS Thème : Intelligence économique et télécommunication Poposé pa : D A/. KHIREDDINE
Plus en détailDEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Réservé aux particuliers) Exemplaire Client (à conserver)
GE Money Bank DEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Résevé aux paticulies) Exemplaie Client (à conseve) Vote Conseille Cachet du Conseille Le (date de l offe) O l'offe. N de poposition : N
Plus en détailPHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS
Dépatement Mico-électonique et télécommunications Pemièe année 004/005 PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS Rouge Violet Infa-Rouge Visible Ulta-Violet Cd x Hg 1-x Te InSb Ge Si GaAs CdSe AlAs CdS GaP SiC GaN
Plus en détailFlux Réseau et Sécurité
Flux Réseau et Sécuité v1.01 Yann BERTHIER Spécialiste Sécuité Systèmes et Réseaux yb@bashibuzuk.net Nicolas FISCHBACH Senio Manage, Netwok Engineeing Secuity, COLT Telecom nico@secuite.og - http://www.secuite.og/nico/
Plus en détailD'CLICS CONSO. ayez les bons réflexes! Logement, téléphonie, mobilité, budget : soyez acteur de votre consommation! www.crij.org.
n 26 2013/2014 Jounal du Cente Régional d Infomation Jeunesse Midi-Pyénées D'CLICS CONSO ayez les bons éflexes! d o s s i e Logement, téléphonie, mobilité, budget : soyez acteu de vote consommation! www.cij.og
Plus en détailÉvaluation de l'incertitude de mesure par une méthode statistique ("méthode de type A") Voir cours d'instrumentation
G. Pinson - Physique ppliquée Mesues - 16 / 1 16 - Instuments de mesues Eeu et incetitude su la mesue d'une gandeu Ce qui suit découle des pesciptions du IPM (ueau Intenational des Poids et Mesues, Fance),
Plus en détail2. De la Grâce à l action de Grâces Ph 1.3-7
De la Gâce à l action de Gâces Philippiens 1.3-7 2. De la Gâce à l action de Gâces Ph 1.3-7 Intoduction Cette semaine, j ai eu l occasion de emecie Dieu pou avoi pu appécie sa gâce en action. En fait,
Plus en détailRencontrez votre filleul... au Bangladesh
Rencontez vote filleul... au Bangladesh Vote guide de visite Afin d oganise au mieux vote visite et de péveni l équipe locale ainsi que vote filleul de vote aivée, Contactez-nous 2 mois avant il est impotant
Plus en détailCIGI 2011 Job shop sous contraintes de disponibilité des ressources : modèle mathématique et heuristiques
CIGI 2011 Job shop sous cotaites de dispoibilité des essouces : modèle mathématique et heuistiques SADIA AZEM 1, RIAD AGGOUNE 2, STÉPHANE DAUZERE-PERES 1 1 Dépatemet Scieces de la Fabicatio et Logistique,
Plus en détailMémoire de DEA. Modélisation opérationnelle des domaines de référence
Mémoie e DEA Ecole octoale IAEM Loaine / DEA Infomatique e Loaine Univesité Heni Poincaé, Nancy 1 LORIA Moélisation opéationnelle es omaines e éféence soutenu le Mai 22 juin 2004 pa Alexane Denis membes
Plus en détailRAISONNER L INVESTIGATION EN RHUMATOLOGIE
NOVEMBRE L objectif de ce document est de guide le médecin omnipaticien dans le choix des modalités de laboatoie et d imageie pou l investigation d une condition humatologique. En effet, les analyses de
Plus en détailcouleurs... Laquenexy de nouvelles l unique Jardin des Premières Nations réalisé en dehors de l Amérique du Nord.
catalogue 20 11 www.domaine-de-couson.f Les jounées des plantes DOMAINE DE COURSON 91680 Couson-Monteloup (Essonne) Tél. 01 64 58 90 12 Gold Veitch Memoial Medal 1992 de nouvelles couleus... l unique Jadin
Plus en détailMAISON DE L ARSLA 75 AVENUE DE LA REPUBLIQUE 75011 PARIS 28/03/2014
MAISON DE L ARSLA 75 AVENUE DE LA REPUBLIQUE 7511 PARIS 28/3/214 D BUDGET PREVISIONNEL 214 Le budget pévisionnel 214, d un ontant de 1 8 en dépenses et en ecettes, epend, hos éléents exceptionnels, les
Plus en détailLes pertes de charge dans les installations. Le dimensionnement des mitigeurs. octobre 2005
octobe 005 REUE PÉRIODIQUE D INFORMATIONS TECHNIQUES ET INDUSTRIELLES DES THERMICIENS Les petes de chage dans les installations Le dimensionnement des mitigeus octobe 005 Sommaie Le petes de chage dans
Plus en détailBulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier
N o 63-238-X au catalogue. Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier 2012. Faits saillants Le revenu
Plus en détailTHÈSE. présentée pour obtenir le titre de. DOCTEUR de L ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D ARTS ET MÉTIERS. Spécialité: Génie Electrique.
N d ode: 005-7 ECOLE DOCTORALE 43 Ecole Nationale Supéieue d At et Métie Cente de Lille THÈSE péentée pou obteni le tite de DOCTEUR de L ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D ARTS ET MÉTIERS Spécialité: Génie Electique
Plus en détailDEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOLOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS ONDES
UNIVERSITE DES SCIENCES ET DE A TECHNOOGIE HOUARI BOUMEDIENNE INSTITUT DE PHYSIQUE DEPARTEMENT DES ENSEIGNEMENTS DE PHYSIQUE DE BASE DEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS
Plus en détailPremière promotion de l école de police de Repentigny Six cadets-policiers ont officiellem ent été assermentés
& y LA/ i V j / " v u V 2 w ; L V
Plus en détail( Mecanique des fluides )
INSTITUT NTION GRONOMIUE ERTEMENT U GENIE RUR SECTION YRUIUE GRICOE YRUIUE GENERE ( Mecanique des fluides ) TRONC COMMUN ème NNEE atie : Statique des Fluides ( ydostatique ) atie : ynamique des Fluides
Plus en détailMagister en : Electrotechnique
انج س ت انجضائش ت انذ مشاط ت انشعب ت République Algéienne Démocatique et Populaie صاسة انتعه ى انعان انبحث انعه Minitèe de l Eneignement Supéieu et de la Recheche Scientifique Univeité Mohamed Khide Bika
Plus en détailChapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules
hapte.5a Le chap électque généé pa pluseus patcules Le chap électque généé pa pluseus chages fxes Le odule de chap électque d une chage ponctuelle est adal, popotonnel à la chage électque et neseent popotonnel
Plus en détailAmélioration des performances des aérogénérateurs
N d ode : Séie : الجمهورية الجزاي رية الديمقراطية الشعبية REPUBIQUE AGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPUAIRE MINISTERE DE ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE A RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIERSITE CONSTANTINE I Faculté
Plus en détail4. Un regard différent sur les circonstances Ph 1.12-14
Un egad difféent su les ciconstances Philippiens 1.12-14 4. Un egad difféent su les ciconstances Ph 1.12-14 Intoduction N 1 Il y a quelques semaines, j ai eçu ce couie dans ma boîte aux lettes électonique.
Plus en détailConsidérations sur les contraintes liées à la gestion des données thermodynamiques en vue de la création de la base de données THERMODDEM
Cnsidéatins su les cntaintes liées à la gestin des dnnées themdynamiques en vue de la céatin de la base de dnnées THERMODDEM Rappt final BRGM/RP-55118- FR Décembe 2006 Gnsidéatins su les cntaintes liées
Plus en détailMouvement d'une particule chargée dans un champ magnétique indépendant du temps
Moueent d'une patiule hagée dans un hap agnétique indépendant du teps iblio: Pee elat Gaing Magnétise Into expéientale: Dispositif: On obsee une déiation du faseau d'életons losqu'il aie ae une itesse
Plus en détailANNALES SCIENTIFIQUES DE L É.N.S.
ANNALES SCIENTIFIQUES DE L É.N.S. HERVÉ ACQUET Su un ésultat de Waldspuge Annales scientifiques de l É.N.S. 4 e séie, tome 19, n o 2 (1986), p. 185-229.
Plus en détailCent quinzième session. Rome, 25-29 septembre 2006
Août 2006 F COMITÉ FINANCIER Cent quinzième session Rome, 25-29 septembre 2006 Recommandations et décisions de la Commission de la fonction publique internationale et du Comité mixte de la Caisse commune
Plus en détail12 mois pour un budget
12 mois pour un budget Mode d'emploi L'échéancier prévisionnel annuel Le budget mensuel avec sa feuille de route (janvier à décembre) Le bilan annuel La maîtrise du budget est indispensable pour réaliser
Plus en détailComparaisons internationales de la dette
Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement
Plus en détailRESOLUTION PAR LA METHODE DE NORTON, MILLMAN ET KENNELY
LO 4 : SOLUTO P L MTHO OTO, MLLM T KLY SOLUTO P L MTHO OTO, MLLM T KLY MTHO OTO. toductio Le théoème de oto va ous pemette de éduie u cicuit complexe e gééateu de couat éel. e gééateu possède ue souce
Plus en détailCoût des opérations bancaires
Bureau de la consommation Coût des opérations bancaires Coût des opérations bancaires On peut obtenir cette publication sur demande en médias substituts. Communiquer avec le Centre de diffusion de l information
Plus en détailInvestissement dans la construction de nouveaux bâtiments résidentiels (travaux mis en place) Méthodologie
Investissement dans la construction de nouveaux bâtiments résidentiels (travaux mis en place) Méthodologie Division de l investissement et du stock de capital Méthodologie L'investissement dans la construction
Plus en détailLe centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015
Calendrier officiel des 2015-2016 Date des 2 premières Cours de jour : Mercredi 26 août 2015 Mardi 8 septembre 2015 du 1 e juin au 8 juillet ET du 3 au 5 août 2015 Cours de soir : Inscriptions les lundis
Plus en détailModèle de budget mensuel
Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir
Plus en détailDossier Partenaires. Contact : Anne-Laurence Loubigniac
www.voyagesimaginaies.f Dossie Patenaies Contact : Anne-Lauence Loubigniac AGENCE DE VOYAGES IMAGINAIRES/ Cie Philippe Ca 2 oute du Beau Soleil, l Estaque // 13016 Maseille Tél : + 33 (0) 4 91 51 23 37
Plus en détailRevue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16
9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur
Plus en détailModèle de budget mensuel
Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir
Plus en détailLes simulations dans l enseignement des sondages Avec le logiciel GENESIS sous SAS et la bibliothèque Sondages sous R
Les simulations dans l enseignement des sondages Avec le logiciel GENESIS sous SAS et la bibliothèque Sondages sous R Yves Aragon, David Haziza & Anne Ruiz-Gazen GREMAQ, UMR CNRS 5604, Université des Sciences
Plus en détailCLINICAL RESEARCH GRANTS FOR CLINICAL RESEARCH (PRINCIPAL INVESTIGATOR) PHRC, STIC 2007-2011 (INVESTIGATEUR PRINCIPAL)
CLINICAL RESEARCH GRANTS FOR CLINICAL RESEARCH (PRINCIPAL INVESTIGATOR) PHRC, STIC 2007-2011 (INVESTIGATEUR PRINCIPAL) Tite Année IP Nom (Sce/Eq) DACAR (étude pilote de la dialyse pa simple passage d albumine
Plus en détailMODALITÉS ET CONDITIONS DU PROGRAMME DE RÉCOMPENSES MASTERCARD DE LA BANQUE WALMART DU CANADA
MODALITÉS ET CONDITIONS DU PROGRAMME DE RÉCOMPENSES MASTERCARD DE LA BANQUE WALMART DU CANADA Les présentes conditions s appliquent au programme de Récompenses MasterCard de La Banque Wal-Mart du Canada
Plus en détailCARACTERISTIQUES DES SECTIONS PLANES
CRCTERITIQUE DE ECTION PLNE OENT TTIQUE D UNE ECTION PLNE oient une aie pane et une doite Le moment statiue de a section pa appot à m est défini pa intégae : m ( ) ( ) δ d (doénavant, on note e moment
Plus en détailDans ce document, on décrit les indices des prix des biens de la TIC qui sont produits, ainsi que les sources de données et la méthodologie.
Résumé L expansion du secteur de la technologie de l information et des communications (TIC) a rendu nécessaire un plus grand nombre d indicateurs économiques propres à ce secteur. La Division des prix
Plus en détailIf the corporation is or intends to become a registered charity as defined in the Income Tax Act, a copy of these documents must be sent to:
2014-10-07 Corporations Canada 9th Floor, Jean Edmonds Towers South 365 Laurier Avenue West Ottawa, Ontario K1A 0C8 Corporations Canada 9e étage, Tour Jean-Edmonds sud 365 avenue Laurier ouest Ottawa (Ontario)
Plus en détailUNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE
Le réseau Société Générale UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Alain Brunet Journée Société Générale - 20 juin 2000 1 Sommaire Une utilisation massive et un impact important sur notre exploitation Une
Plus en détailPITTSBURGH CORNING EUROPE N.V. / S.A. Lasne Business Park, Chaussée de Louvain, 431 D E S C R I P T I O N FOAMGLAS T4/T4 WDS S3 F 40 (**)-50-60
UBAt 04/1626 Valale du 12.07.2004 au 11.07.2009 http://www.uat.e Union elge pou l Agément tehnique dans la onstution Sevie Puli Fédéal (SPF) Eonomie, Classes moyennes, PME et Enegie, Sevie Agément et Spéifiations
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détailGUIDE FISCAL RELATIF AUX CARTES D ACHAT AU CANADA
PRÉPARATION DES DÉCLARATIONS FISCALES GUIDE FISCAL RELATIF AUX CARTES D ACHAT AU CANADA Des conseils simples pour réclamer des crédits de taxe sur intrants à l égard de transactions effectuées au moyen
Plus en détailRAPPORT FINAL. Étude sur la littératie financière chez les jeunes POR # 441-07
POR # 441-07 RAPPORT FINAL Étude sur la littératie financière chez les jeunes Préparé pour : L Agence de la consommation en matière financière du Canada Date du rapport : Août 2008 This report is also
Plus en détailSecteur de la construction au Canada
PIB en G$ CAD Survol des tendances de l industrie Secteur de la construction au Canada Principaux développements T2/214 214 Le PIB réel a atteint un sommet de 1 69 millions de dollars canadiens en novembre
Plus en détailTendances récentes dans les industries automobiles canadiennes
N o 11 626 X au catalogue N o 26 ISSN 1927-548 ISBN 978--66-2984-5 Document analytique Aperçus économiques Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes par André Bernard Direction des
Plus en détailMike Manning, Directeur général, Société financière de l industrie de l électricité de l Ontario
333, rue Bay Bureau 1250 Toronto ON M5H 2R2 416 927-1641 téléphone 416 927-0541 télécopieur Note de service Destinataire : Mike Manning, Directeur général, Société financière de l industrie de l électricité
Plus en détail48,5 Bcf RAPPORT T1 2015 SUR L'ÉNERGIE DE L ONTARIO JAN MAR 2015 PÉTROLE ET GAZ NATUREL. Infrastructure de transport du gaz naturel
RAPPORT T1 SUR L'ÉNERGIE DE L ONTARIO JAN MAR PÉTROLE ET GAZ NATUREL Prix au détail moyens de l essence ordinaire et du diesel à l'échelle provinciale ($/L) Prix du gaz naturel en vigueur pour le commerce
Plus en détailCoût de fabrication ou d achat. Calcul des besoins Management Industriel et Logistique (4) (2) (1) (2)
Etude de cas 1 : La société Lebreton fabrique un produit A dont la nomenclature est la suivante (les chiffres entre parenthèses indiquent le nombre de composants dans un composé de niveau immédiatement
Plus en détailANNEXE DE RÉMUNÉRATION DU COURTIER DU DISTRIBUTEUR
TABLE DES MATIÈRES PAGE 1. Éléments de la rémunération 3 1.1 Commission de production sur contrats d assurance vie... 3 1.2 Revenu de service acquis sur contrats d assurance vie... 3 1.3 Commission de
Plus en détailEmpowering small farmers and their organizations through economic intelligence
Empowering small farmers and their organizations through economic intelligence Soutenir les petits agriculteurs et leurs organisations grâce à l intelligence économique XOF / kg RONGEAD has been supporting
Plus en détailIn t r o d u c t i o n
In t r o d u c t i o n Qu allez-vous trouver dans ce livre? Ce livre présente une méthode en six étapes pour élaborer votre plan de formation. Son objectif est de vous permettre de concevoir un plan qui
Plus en détailComment Elaborer un Plan d Action
Comment Elaborer un Plan d Action Tenant compte du temps et des ressources limités des responsables de mise en œuvre de programmes, les outils de la série Straight to the Point (Droit au But) de Pathfinder
Plus en détailBrock. Rapport supérieur
Simplification du processus de demande d aide financière dans les établissementss : Étude de cas à l Université Brock Rapport préparé par Higher Education Strategy Associates et Canadian Education Project
Plus en détailPro-Investisseurs CIBC Barème des commissions et des frais
Pro-Investisseurs CIBC Barème des commissions et des frais En vigueur à compter du 6 octobre 2014 En tant que client de Pro-Investisseurs MD CIBC, vous avez accepté de payer certains frais selon les types
Plus en détailArticle. Bien-être économique. par Cara Williams. Décembre 2010
Composante du produit no 89-503-X au catalogue de Statistique Canada Femmes au Canada : rapport statistique fondé sur le sexe Article Bien-être économique par Cara Williams Décembre 2010 Comment obtenir
Plus en détailDossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier.
Dossier Financier Ce dossier complète notre dossier économique en apportant un éclairage financier sur notre projet. Il s appuie sur l organisation que nous avons mise en place et sur l expérience de démarrage
Plus en détailPublications de Michel Roberge
Publications de Michel Roberge DOCUMENTATION TECHNIQUE La gestion des documents administratifs, Documentor, 1983 Vocabulaire de la gestion des documents administratifs [collaborateur], Office de la langue
Plus en détailFrais bancaires Troisième rapport annuel. 20 février 2001 http://carrefourdesconsommateurs.ic.gc.ca
Frais bancaires Troisième rapport annuel 20 février 2001 http://carrefourdesconsommateurs.ic.gc.ca Aperçu Cette année, le rapport annuel porte sur : 1. L attitude des Canadiens à l égard des frais bancaires
Plus en détailPropositions législatives et notes explicatives concernant la Loi de l impôt sur le revenu
Propositions législatives et notes explicatives concernant la Loi de l impôt sur le revenu Imposition des dividendes Publiées par le ministre des Finances l honorable James M. Flaherty, c.p., député Juin
Plus en détailTout sur les frais. Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les frais reliés à vos fonds de placement
Tout sur les frais Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les frais reliés à vos fonds de placement Les frais payés directement par le client Frais d entrée Aussi appelés «frais d achat», ou «frais
Plus en détailVérification des procédures en fin d exercice
Vérification des procédures en fin d exercice DIVERSIFICATION DE L ÉCONOMIE DE L OUEST CANADA Direction générale de la vérification et de l évaluation Décembre 2011 Table des matières 1.0 Résumé 1 2.0
Plus en détail