Inondation de la Loire dans le département de la Nièvre
|
|
- Raphael St-Cyr
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Inondation de la Loire dans le département de la Nièvre Reconstitution des plus hautes eaux connues et des hauteurs de submersion consécutives Présentation de la démarche aux élus des vals du département de la Nièvre F. PASQUET DREAL Centre SPC Loire-Cher-Indre Nevers le 6 juillet 2015 Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du Logement du Centre Val de Loire
2 Plan de la présentation Contextes et objectifs des études Données utilisées Déroulement des crues du XIXème siècle Méthodologie de reconstitution Incertitudes Écarts par rapport à la version 1995 des PHEC 2
3 Contexte des études Une connaissance de la topographie grandement améliorée Des documents anciens peu ou pas encore exploités Un recensement des repères et laisses de crue plus complet Des outils informatiques permettant des calculs plus complexes 3
4 Objectifs des études Reconstituer les plus hautes eaux connues lors des inondations de la Loire Pendant les grandes crues de 1846, 1856 et 1866 Dans les conditions de l époque Sur la topographie actuelle Ouvrages et leurs défaillances du XIXème siècle Pas de prise en compte de l enfoncement du lit ou d éventuels travaux effectués depuis Des épisodes de crue maximum potentiellement différents suivant les vals et les secteurs 4
5 Avancement des études Sur la Loire à Nevers et à son aval : Étude terminée Rapport et annexes cartographiques disponibles sur Internet Données cartographiques partagées Sur la Loire à l amont de Nevers : Étude en cours Premières productions cartographiques à valider Pas d élément diffusé Diffusion large à l automne 5
6 Les sources de données Levé topographique haute résolution et haute précision par laser aéroporté (2002 à partir de Nevers, 2009 à l amont) Carte ancienne de Coumes («carte de 1850») Recensement des repères de crue de la DREAL Centre Nivellement de la crue de 1866 Des renseignements tirés de documents anciens (nivellements ponctuels de laisses de crue, projets de travaux au droit des brèches, plans divers...) Données moins nombreuses pour la partie à l amont de Nevers 6
7 Levé topographique par laser aéroporté de 2002 et point pour 4 m² - +/- 15 cm en altitude - résolution 1 m au final 7
8 Levé topographique par laser aéroporté B A B A 8
9 Carte de Coumes (1850 environ) 9
10 Le recensement des laisses de crue de la DREAL Centre 10
11 Le profil en long de la crue de
12 Des documents divers et variés : des descriptions de brèches 12
13 Des documents divers et variés : des descriptions de brèches 13
14 Des documents variés : des modifications des levées 14
15 Des documents divers et variés : des aménagements fluviaux 15
16 Bilan des données recensées (Nevers et aval) De nombreux repères utilisables : Crue de 1846 : 108 repères, 88 fiables Crue de 1856 : 228 repères, 179 fiables Crue de 1866 : 206 repères, 189 fiables Une connaissance fiable des brèches : Crue de 1846 : 14 brèches Crue de 1856 : 24 brèches Crue de 1866 : 14 brèches Une meilleure connaissance des travaux de l époque : évolutions des levées de Nevers, évolution de la levée des Rauches, levée noire de Fourchambault 16
17 Bilan des données recensées (amont de Nevers) Une bonne description de la crue de 1866 : Crue de 1846 : 9 repères Crue de 1856 : 8 repères Crue de 1866 : 105 repères 95 fiables Une connaissance en partie lacunaire des brèches : Crue de 1846 : 3 brèches de recensés (toutes à Decize : Jonction, Faubourg d Allier et Caqueray) brèches probables ailleurs Crue de 1856 : aucune brèche recensée (lacune?) Crue de 1866 : 2 brèches recensées (Thareau, Uxeloup) Des phénomènes moins bien connus que sur la partie aval (perte de documents historiques préjudiciable) 17
18 Fiabilité des repères de crue 18
19 Localisation des repères de crue Bonne couverture du lit majeur endigué Peu de repères dans certains vals A contrario, des secteurs très fortement couverts 19
20 Enseignements des grandes crues ème du XIX siècle (aval du Bec d Allier) Val du Bec d Allier Brèche systématique au droit de l actuel déversoir Val de Cours-les-Barres Brèche systématique à Laubray sur la levée des Joigneaux Brèches en retour dans la levée du Poids de Fer Val de la Charité Remous par l aval (Couargues et environs) Écoulement par Passy (interruption de la levée) Brèche systématique aux Rauches (levée d Espagne) Brèche quasi systématique aux Rapins (levée de Napoléon) Val de Bannay Léré Remous par l aval (environs de Léré) Passage par le déversoir de la Madeleine Brèche systématique à Bannay 20
21 Enseignements des grandes crues ème du XIX siècle (Nevers) De manière générale Goulet d étranglement formé par le saillant de la levée de Sermoise initialement puis par la levée de la Blanchisserie, le pont Régemortes et l angle formé par la Loire Val de Sermoise Ruptures systématiques de la levée de Sermoise Influence aggravante du remblai ferroviaire Val de St-Eloi Rupture systématique de la levée de St-Eloi première section (amont du canal de dérivation) La construction du canal de dérivation isole la partie aval (faubourg de Mouesse) de la partie amont, et peut donc éviter son inondation 21
22 Enseignements des grandes crues ème du XIX siècle (amont de Nevers) Connaissance moins complète que sur les secteurs à l aval Fragilité de l ensemble des digues Des situations défavorables a priori étranglement de Decize (levée de la Jonction et levée du faubourg d Allier) levée de Thareau face à l écoulement levée de Charrin à l extérieur d un chenal de crue levée d Uxeloup en partie transversale à l écoulement toponymie et topographie qui ne trompent pas 22
23 Déroulement de la crue de 1846 (aval) Val du Bec d Allier Rupture de la levée du Guétin (au droit de l actuel déversoir) Destruction de la levée du Bec d Allier Val de Cours-les-Barres Brèche de Laubray sur la levée des Joigneaux Val de la Charité Brèche des Rauches Brèche à l aval de la levée de Napoléon, de conséquences moindres Val de Léré Bannay Brèche dans la levée de Bannay (amont du val) 23
24 Déroulement de la crue de 1846 (amont) Val du Faubourg d Allier à Decize Brèches à la fois dans la levée de la Jonction, dans celle du Faubourg d Allier et dans celle de Caqueray (moindre conséquence) Val de Sermoise Remous depuis l aval Plusieurs brèches Val de St-Eloi Rupture de la levée en 4 endroits 24
25 Déroulement de la crue de 1856 (aval) Val du Bec d Allier Destruction de la levée du Guétin au droit de l actuel déversoir Val de Cours-les-Barres Brèche sur la levée des Joigneaux Brèches en retour dans la levée du Poids de Fer (saturation du val) Val de la Charité Brèche des Rauches (levée d Espagne) Brèches multiples dans la levée de la Charité (aval du pont rive gauche) Brèche au droit des Rapins Val de Léré Bannay Pas de renseignement mais brèche probable en amont du val 25
26 Déroulement de la crue de 1856 (amont) Amont de Nevers Manque complet d information sur le déroulé de cette crue Val de Sermoise Rupture de la levée de Sermoise Rupture de la levée du Plateau de la Bonne Dame Impact aggravant du remblai ferroviaire formant barrage une fois la brèche apparue Val de St-Eloi A priori, pas de brèche 26
27 Déroulement de la crue de 1866 (aval) Val du Bec d Allier Destruction de la levée du Guétin (au droit de l actuel déversoir) Val de Cours-les-Barres Pas de renseignement mais brèche probable sur la levée des Joigneaux du fait de sa fragilité due aux brèches précédentes Val de la Charité Brèche dans la levée d Espagne, au droit des Rauches Brèche dans la levée de Napoléon, au droit des Rapins Val de Léré Bannay Brèche dans la levée de Bannay (amont du val) 27
28 Déroulement de la crue de 1866 (amont) Val du Faubourg d Allier à Decize Pas de brèche Val de Sermoise Plusieurs brèches dans la levée de Sermoise Rupture de la levée du Plateau de la Bonne Dame Impact aggravant du remblai ferroviaire formant barrage (le remblai s effondre même en partie) Val de St-Eloi Rupture de la première section (partie amont) Le canal de dérivation récemment construit évite l inondation de la partie aval du val (faubourg de Mouesse) 28
29 Méthodologie de reconstitution des hauteurs de submersion Étape 1 : tracé d isocotes plausibles, pour chaque crue Étape 2 : interpolation des isocotes Étape 3 : assemblage des résultats pour chaque crue : carte synthétique des plus grandes hauteurs de submersion connues Étape 4 : soustraction avec l altitude du terrain (Heau = Zeau - ZTN) Étape 5 : classement des hauteurs d eau (0 0,5 m ; 0,5 1 m ; ou 0 1 m ; 1 2 m ;...) Étape 6 : lissage (simplification des contours, suppression des artefacts résiduels) 29
30 Tracé des isocotes Pour chacune des crues Sur la base des repères de crue En utilisant la pente du val là où les repères font défaut 30
31 Utilisation de la pente du val 31
32 Isocotes synthétiques Synthèse de la reproduction des trois épisodes de crue Constitue les plus hautes eaux connues en tant que telles Passage à une représentation continue de l altitude de l eau Comparable au modèle numérique de terrain (altitude du sol) 32
33 Hauteurs de submersion Sur la base des isocotes synthétiques Par comparaison avec l altitude du terrain (modèle numérique continue) Données classées et lissées pour éviter l illusion d une trop grande précision 33
34 Incertitudes sur le résultat Incertitude générale : +/- 0,3 m Incertitude sur l altitude du terrain : +/- 0,1 m Incertitude sur les altitudes de l eau issues des repères de crue : +/- 0,2 m Plus localement : +/- 0,5 m Dans la partie amont du val de la Charité Entre Herry et Couargues Dans la partie amont du val de Léré A proximité des brèches : jusqu à +/- 1,0 m Zones soumises à un aléa vitesse prépondérant Conséquences incertaines du débordement du canal en pied de coteau 34
35 Écarts avec les PHEC 1995 Utilisation de données plus nombreuses Des différences d interprétation des événements (brèche? pas de brèche?) Des différences de reconstitution des phénomènes (différences des tracés des isocotes) 35
36 Écarts avec la version de l altitude des PHEC Vals de Sermoise et St-Eloi : pas de référence précise en 1996 Val du Bec d Allier : + 0,8 m environ Val de Cours-les-Barres : 1,5 m à 0,5 m Marseille-lès-Aubigny : 0,5 m Val de la Charité : Amont de la Charité : 0,8 à 0,2 m Jusqu à + 1 1,5 m localement dans le secteur d Herry (différence de tracé des isocotes) Peu d écart sur l aval : +/- 0,2 m Saint-Satur : + 0,3 m environ Val de Bannay : De 1,0 m à 0,8 m sur l amont De 0,5 m à + 0,5 m à l aval du déversoir de la Madeleine (différence de tracé des isocotes) 36
37 Pour les secteurs à l amont de Nevers Travail qui n est pas encore finalisé Impossibilité de reproduire la crue de 1856, le plus faible des trois événements La crue de 1866 peut être reconstituée précisément, mais 1846 lui est supérieure (et constitue les PHEC) Estimation de la crue de 1846 à partir de la reconstitution de la crue de ,2 m Incertitude sur la représentation de l effet des brèches 37
38 Conclusion Une vision synthétique des grandes crues Les conditions d écoulement de l époque Sur la topographie actuelle Une mise à jour des PHEC Une fiabilité importante Une grande précision Une incertitude maîtrisée Un usage à l échelle 1/ maximum 38
O r l é a n s V a l d e L o i r e
Orléans Val de Loire vivre en zone inondable Dans l agglomération d Orléans, il est conseillé de prendre comme niveau d eau : les Plus Hautes Eaux Connues (PHEC) pour les crues de type C et D, 0,50 m pour
Plus en détailPlan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011
Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011 D.D.T.M de la Somme SOMMAIRE Les risques majeurs sur le littoral
Plus en détailLa gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques
La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques Par Philippe PARENT Institution des Wateringues Par Philippe PARENT Institution
Plus en détailLIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés
LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /
Plus en détailLa menace des ruptures de digues
CTC Rhône moyen 3 mai 2010 Fiabilisation des digues sur le Rhône moyen La menace des ruptures de digues Plusieurs brèches apparues dans les digues de Camargue lors des crues de 1993, 1994, 2002 et 2003
Plus en détailFranck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET, Erwan ROUSSEL, Marlène FAURE, Mohamed ABADI, Marta FLOREZ, Bertrand DOUSTEYSSIER
Utilisation d images dérivées d un jeu de données LIDAR pour la détection automatisée de vestiges archéologiques (programme de recherche méthodologique LiDARCHEO) Franck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET,
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailLes journées se déroulent sur le campus d Orléans la Source, à Polytech Orléans, dans l amphithéâtre CABANNES.
Journées Techniques Diagnostic et Surveillance des Digues : de la Recherche à la Pratique Les digues de protection contre les inondations ou de lutte contre la submersion marine sont des ouvrages connus
Plus en détailPlateforme nationale de gestion et traitement de données pour l'hydraulique et les inondations
Les données LIDAR : utilisation pour la prévention des risques d'inondation Plateforme nationale de gestion et traitement de données pour l'hydraulique et les inondations (Ex Plateforme Nationale pour
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détailDétermination des enjeux exposés
RAPPORTS CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON Département Laboratoire de Clermont-Ferrand Affaire 19526 Détermination des enjeux exposés au risque inondation de l'oeil à Cosne d'allier novembre
Plus en détailCONNAISSANCE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL ET URBAIN RAPPORT DE PRÉSENTATION
ARCHITECTURAL ET URBAIN ZPPAUP Montpellier Gambetta Clemenceau Figuerolles Rapport de présentation Juillet 2006 Page 73 Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager SECTEUR GAMBETTA
Plus en détailLecture graphique. Table des matières
Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................
Plus en détail!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!
0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets
Plus en détailNOTE 001. Le site Web EGRIAN
NOTE 001 Date : 30 janvier 2007 AGGLOMERATION DE NEVERS Hubert Couprie Tél. : 03 86 68 46 52 hubert.couprie@ville-nevers.fr MANDATAIRE DE L ÉTUDE : MINEA Alain Mausset Cécile Bouillet Téléphone : 01 42
Plus en détailDistribution d électricité et réseaux souterrains
Distribution d électricité et réseaux souterrains Cabos 09-2 - 3 octobre 2009 Maceió, Alagoas, Brésil Les réseaux de distribution : un enjeu essentiel Les réseaux de distribution constituent une infrastructure
Plus en détailGalion: Le lidar éolien ultime
Galion: Le lidar éolien ultime galionlidar.com Le Galion Le lidar éolien ultime Le Galion est un lidar perfectionné destiné à la visualisation et à la mesure de la vitesse, de la direction et du comportement
Plus en détailRestauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014
Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est
Plus en détailÉtude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique
Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une
Plus en détailDemande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau
Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau Les plans d'eau peuvent avoir des usages différents à savoir agrément, défense contre l'incendie, élevage de poissons, irrigation,
Plus en détailLatitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014
RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 Valeurs moyennes: Valeur Jour Valeur (en C) (en C) (en C) gazon (en C) 11,4 7 13,9 1975 3,6 0,8 4,9 2007-6,3 1963-3,0 29-17,8 1979-2,8 12-24,6 1985 37,1 50,3 95,5
Plus en détailTABLEAU DE BORD : SYSTEME D INFORMATION ET OUTIL DE PILOTAGE DE LA PERFOMANCE
TABLEAU DE BORD : SYSTEME D INFORMATION ET OUTIL DE PILOTAGE DE LA PERFOMANCE INTRODUCTION GENERALE La situation concurrentielle des dernières années a confronté les entreprises à des problèmes économiques.
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailQu est-ce qu un service rendu?
Evaluation économique des services rendus par les écosystèmes Place des inondations Économie et politiques publiques Paris Yann Laurans info@ecowhat.fr Previrisq 2 Comment s évaluent économiquement les
Plus en détailL Observatoire officiel hôtelier & para-hôtelier du Grand Lyon réalisé pour le compte de la CCI de Lyon et du Grand Lyon
Les résultats du mois de février 2014 L Observatoire officiel hôtelier & para-hôtelier du Grand Lyon réalisé pour le compte de la CCI de Lyon et du Grand Lyon GRAND LYON, les performances de février 2014
Plus en détailSommaire... 2. Introduction... 4. Présentation de Sousse... 5. Analyse descriptive... 6. 1. Infrastructure... 6. 1.1. Part des routes classées...
Sommaire Sommaire... 2 Introduction... 4 Présentation de Sousse... 5 Analyse descriptive... 6 1. Infrastructure... 6 1.1. Part des routes classées... 6 1.2. Taux de raccordement au réseau d assainissement...
Plus en détailDEVENIR ANIMATEUR CERTIFIE DE LA DEMARCHE LEAN
DEVENIR ANIMATEUR CERTIFIE DE LA DEMARCHE LEAN Certification CQPM réf : 2008 07 69 0272 Animateur de la démarche LEAN pour l amélioration de la performance et des processus. BUTS DE LA FORMATION : Etre
Plus en détailPLAN LOCAL DE GESTION DE CRISE
GUIDE MÉTHODOLOGIQUE PLAN LOCAL DE GESTION DE CRISE A v ertissement Les plans locaux de gestion de crise sont des outils opérationnels permettant de mieux organiser les actions locales en période de crise.
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailLe Scanner 3D Dynamique
Le Scanner 3D Dynamique Présentation & Références 2015 Page 1 / 9 1. Présentation Techniques Topo, est une société de Géomètres Experts créée en 1964 comptant aujourd hui près de 120 collaborateurs répartis
Plus en détailNOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP
Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP 1 1 Quel classement pour les ERP? Le classement
Plus en détailMesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations
Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations Symposium Infra - Direction de la maintenance du réseau : Régis Ambert, Division Ingénierie de la Maintenance de la Voie
Plus en détailMémento. pour partir en montagne l été en. sécurité. www.sports.gouv.fr
Mémento pour partir en montagne l été en sécurité www.sports.gouv.fr Avant une sortie Choisissez une activité à votre mesure. Choisissez votre itinéraire en fonction de vos capacités (ne pas se surestimer,
Plus en détailJean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale
Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte : vers la relocalisation des activités et des biens Ministère de l'écologie, du développement
Plus en détailMÉTHODE DE DIAGNOSTIC SANITAIRE DE L HABITAT
MÉTHODE DE DIAGNOSTIC SANITAIRE DE L HABITAT Cette méthode opérationnelle mise au point Bernard ARDITTI, Architecte DESA est le sujet d un Diplôme Universitaire de BIOCLIMATOLOGIE, HABITAT et EQUILIBRE
Plus en détailAmélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron
PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détailLe plombier chauffagiste a aussi besoin de cette représentation pour savoir ce qu il y a à l intérieur de la maison au niveau des hauteurs.
Les informations du plan Vous connaissez trois types de représentation d un pavillon : 1 : La perspective 2 : Les façades (page 2 ) 3 : La vue en plan (page 3) Observer attentivement la vue de la page
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailMONTREAL NOTICE DE MONTAGE. Réf. 47370. Carport une place à toit plat 298 x 500 cm. Charge tolérée (neige) : 100 kg/m2 Hauteur utile : 235 cm
MONTREAL Carport une place à toit plat 298 x 500 cm NOTICE DE MONTAGE Réf. 47370 Universo Bois S.A.S. Siège et Plate-Forme Logistique ZI Grand Bois - BP 40006-8, rue Frédéric Niemann 57211 SARREGUEMINES
Plus en détailVendredi 22 mars 2013. Prolongement de la ligne B du métro Toulouse > Ramonville > Labège
Vendredi 22 mars 2013 Prolongement de la ligne B du métro Toulouse > Ramonville > Labège 2 ème phase de concertation publique 25 mars au 12 avril 2013 2 ème phase de concertation publique sur le projet
Plus en détailChapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1
Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une
Plus en détailLa fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.
Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord
Plus en détailP.C.S. Plan Communal de Sauvegarde
P.C.S Plan Communal de Sauvegarde Plan Communal de Sauvegarde de CHINON Sommaire CHAPITRE 1 INTRODUCTION FI 1 Préambule FI 2 Objet du PCS et cadre réglementaire FI 3 Arrêté municipal de réalisation du
Plus en détailmesure des débits et des volumes dérivés par les canaux gravitaires
mesures limnimétriques 2009 Depuis la loi sur l Eau de 1992, précisée par celle de 2006, tous les volumes d eau prélevés dans le milieu naturel doivent être mesurés, et ce, pour permettre une meilleure
Plus en détailMARSEILLE-PROVENCE 2013 une année CAPITALE!
MARSEILLE-PROVENCE 2013 une année CAPITALE! Sommaire 1. Capitale Européenne de la Culture, un événement d envergure internationale 2. Que se passera t-il en 2013? 3. Quelles perspectives pour les entreprises?
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailTableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication
Bande de Com! Tableau de Bord Julien Pansier PROJET Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication 1.1.1 Prise en charge du dossier de l annonceur C11.1. S approprier la demande de l annonceur - Comprendre
Plus en détailSéminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?
Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie
Plus en détailRenaturation de l embouchure de la Broye
AquaVision Engineering Sàrl Constructions Hydrauliques pour un Développement Durable Chemin des Champs-Courbes 1 CH-1024 ECUBLENS Tel. +41 21 691 45 13 / Natel: +41 79 775 17 61 www.aquavision-eng.ch,
Plus en détail0.721.191.631. Traité entre la Suisse et l Autriche-Hongrie 2 pour le redressement du Rhin dès l embouchure de l Ill jusqu au lac de Constance 3
Traduction 1 0.721.191.631 Traité entre la Suisse et l Autriche-Hongrie 2 pour le redressement du Rhin dès l embouchure de l Ill jusqu au lac de Constance 3 Conclu le 30 décembre 1892 Approuvé par l Assemblée
Plus en détailOKKI LETTRE DE MISSION DIAG- NUM-TER MANCHE TOURISME 29/07/2013
29/07/2013 OKKI LETTRE DE MISSION DIAG- NUM-TER MANCHE TOURISME Okki - 7 route Nationale - 14 220 Saint Laurent de Condel - Tél. : 0.231.710.728 - Cell. : 0.621.757.666 - Email : mail@okki.fr LETTRE DE
Plus en détailProjet pour la création de nouveaux ateliers d artistes à Marseille, Association ART 13. I Etat des lieux
1 Projet pour la création de nouveaux ateliers d artistes à Marseille, Association ART 13 I Etat des lieux Le parc d ateliers «publics» loués aux artistes contemporains à Marseille est de : - 10 ateliers
Plus en détailSommaire 3.4. CRUE SUR UN PETIT BASSIN VERSANT... 19 3.6. INTUMESCENCE - DYSFONCTIONNEMENT D OUVRAGES HYDRAULIQUES...22
Préambule La collection des guides de l ASN regroupe les documents à destination des professionnels intéressés par la réglementation en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection (exploitants, utilisateurs
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailSécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III
Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Depuis 2008, l Etablissement assure la mise en place du plateau collaboratif d échange Intranet/Internet
Plus en détailDocument réalisé par :
Ce document permet de situer le niveau des élèves en fin de module d apprentissage. Il peut être aussi utilisé pendant les séances d apprentissage pour aider à mesurer les acquisitions. Il donne des indications
Plus en détailCartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits
Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages
Plus en détailNotice d utilisation de la carte interactive de l EQUIRANDO 2015
Notice d utilisation de la carte interactive de l EQUIRANDO 2015 Afin d utiliser au mieux la carte interactive de l EQUIRANDO 2015, vous trouverez ci-dessous la description et l utilisation des différentes
Plus en détailAnalyser la valeur du contenu avant de l écrire?
Analyser la valeur du contenu avant de l écrire? AgoraCMS Benjamin LUPU 15 mai 2013 kytalpa - Fotolia.com «Vous ne devriez pas publier vos contenus à l aveugle alors que vous mettez tant de temps, d énergie
Plus en détailRESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS
a RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS Synthèse de l'inventaire des accidents pour le secteur d'activité de la société MARIE DIDIER AUTOMOBILES Il ressort de l inventaire des accidents technologiques
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailLOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage
LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES drainage Micro Drainage QUELS SONT LES DOMAINES D APPLICATION DE XPSWMM? Gestion des eaux pluviales: Modélisation
Plus en détailRÉPUBLIQUE ET CANTON DE GENÈVE Echelle des traitements 2015 Valable dès le 01.01.2015 Office du personnel de l'etat Indexation de 0.
04 00 52 378.00 4 029.10 0.00 25.20 23.25 1.95 207.50 44.35 1.70 36.30 3 739.25 01 52 960.00 4 073.85 582.00 25.50 23.55 1.95 209.85 44.85 1.70 36.70 3 780.75 02 53 542.00 4 118.65 582.00 25.75 23.80 1.95
Plus en détailChapitre 6 - Plus de deux siècles de changements environnementaux
TROISIEME PARTIE LES FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX ET LES PERSPECTIVES DE RECHERCHE Chapitre 6 - Plus de deux siècles de changements environnementaux A. Rôle et abandon de la navigation depuis le 18ème siècle
Plus en détailGÉODÉSIE, COORDONNÉES ET GPS
GÉODÉSIE, COORDONNÉES ET GPS LES PROJECTIONS La représentation du globe terrestre sur un plan en deux dimensions exige une opération nommée projection. Une projection s appuie sur un géoïde, qui est une
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailRapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)
Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détailInitiation à la recherche documentaire
Initiation à la recherche documentaire 1 Objectifs Cette séance est destinée à reprendre les principes de la démarche documentaire pour construire un parcours pertinent en terme de méthodologie et de résultats
Plus en détailANALYSE GLOBALE DES PROGRAMMES DE LA SHQ. SQEP 18 novembre 2011
ANALYSE GLOBALE DES PROGRAMMES DE LA SHQ SQEP 18 novembre 2011 Contexte Problématiques Objectifs Cadre conceptuel Étude comparative des programmes - Modèle matriciel de comparaison (indice ICP) - Grille
Plus en détailRISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUES FORMATION A LA REALISATION DES DOSSIERS D INFORMATION REGLEMENTAIRE DES ACQUEREURS ET LOCATAIRES
RISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUES FORMATION A LA REALISATION DES DOSSIERS D INFORMATION REGLEMENTAIRE DES ACQUEREURS ET LOCATAIRES SOMMAIRE MODALITES DES FORMATIONS...3 Modalités pratiques...3 Modalités
Plus en détailÉtat de répartition des Maculinea dans le sud du Massif Central
État de répartition des Maculinea dans le sud du Massif Central Situation en Languedoc-Roussillon Aubrac Espèces Maculinea alcon Maculinea rebeli Maculinea arion autres espèces de papillons Méjean Montagne
Plus en détailC11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges
Classe de situation (3) Clas.1.1. Conduite d'un projet de F1 Mise en œuvre et suivi de projets de (3 classes de situations / 10 situations / 12 compétences) Situations (4+2+4) Compétences (6+2+4) Compétences
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailSINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases
SINE QUA NON Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases Sine qua non est un logiciel «traceur de courbes planes» mais il possède aussi bien d autres fonctionnalités que nous verrons tout
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailM&S Automation. Analyse Statistiques Qualité. Ingénierie de l information. acquisition et stockage des données. analyse des données
M&S Automation Ingénierie de l information Analyse Statistiques Qualité acquisition et stockage des données analyse des données maîtrise statistique des procédés gestion de la qualité et traçabilité Une
Plus en détailBilan de référencement
www.hotel-gran-carlina.com 355, avenue Georges-Claude Pôle d Activités d Aix-en-Provence CS 70383 13799 Aix-en-Provence Cedex 3 www.eliophot.com 1 TABLE DES MATIERES TABLE DES MATIERES... 1 RESUME... 2
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailRAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES
CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE MIDI-PYRENEES --- N/Réf. : GO10 329 01 RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES SUR LES COMPTES ET LA GESTION DE LA COMMUNE DE TARBES Exercices 2003 à 2009 22 5.3 Les renégociations
Plus en détailChemins de fer (fonds de la Préfecture)
5 S Chemins de fer (fonds de la Préfecture) IDENTIFICATION Référence : FR AD058/5S Intitulé : Chemins de fer Fonds de la Préfecture Cotes : La numérotation des cotes est discontinue Dates : 1829-1950 Niveau
Plus en détailETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES
ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES P.E. LOISEL, J. SCHAGUENE, O. BERTRAND, C. GUILBAUD ARTELIA EAU ET ENVIRONNEMENT Symposium du CFBR
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailETUDE DE COMPATIBILITE DE LA ZONE DE RECOUVREMENT DES MODELES NUMERIQUES APPLICATION AUX ETUDES D IMPACT DES PROJETS D ENERGIES MARINES
ETUDE DE COMPATIBILITE DE LA ZONE DE RECOUVREMENT DES MODELES NUMERIQUES APPLICATION AUX ETUDES D IMPACT DES PROJETS D ENERGIES MARINES Julien Schaguene, Olivier Bertrand, Eric David Sogreah Consultants
Plus en détailAccessibilité des ERP-IOP situés dans un cadre bâti existant
Ajustement de l environnement normatif Accessibilité des ERP-IOP situés dans un cadre bâti existant Jean-Gérard Langlois - Pôle accessibilité Cotita «Accessibilité des bâtiments des collectivités» - 27
Plus en détailAvis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet
Déplacement et agrandissement de la zone commerciale de Pont Château. 30ha Le projet et le SAGE Qualité des milieux Article 1 protection des zones humides Article 2 niveau de compensation Article 5 création
Plus en détailANNEXE 8b. Fig. 1 Les symboles utilisés dans l'analyse de susceptibilité des suivantes paragraphes
RÉSULTATS ET CRITICITÉS MENACE GLISSEMENT SUR LES TROIS COMMUNES Dans les suivantes paragraphes sont présentés les résultats pour chaque communes et une liste des zones plus critiques surtout concernant
Plus en détailEtablissement de cartes de vent sur le pourtour méditerranéen par simulation numérique
Etablissement de cartes de vent sur le pourtour méditerranéen par simulation numérique Etude réalisée en 2003 pour le compte de l Office National des Forêts Eric Delboulbé, Docteur en Mécanique des Fluides
Plus en détailPerformance 2010. Eléments clés de l étude
Advisory, le conseil durable Consulting / Operations Performance 2010 Eléments clés de l étude Ces entreprises qui réalisent deux fois plus de croissance. Une enquête sur les fonctions ventes et marketing.
Plus en détailModélisation hydraulique des écoulements fluvio-maritimes de la Plaine de Garonne Secteur Bastide-Niel E T U D E H Y D R A U L I Q U E
Modélisation hydraulique des écoulements fluvio-maritimes de la Plaine de Garonne E T U D E H Y D R A U L I Q U E ORIGINAL EE/SO Bordeaux ARTELIA Eau & Environnement Agence de Bordeaux Parc Sextant Bâtiment
Plus en détailDepuis 1920. Bureaux d exception à louer ( De 250 à 6 100 m 2 ) www.reverso-geneve.com
Depuis 1920 Bureaux d exception à louer ( De 250 à 6 100 m 2 ) www.reverso-geneve.com www.reverso-geneve.com 4 tradition Rapprocher modernité et classicisme, une alliance rare et élégante que propose
Plus en détailSOMMAIRE 1. CONSIDERATIONS GENERALES... 3
SOMMAIRE 1. CONSIDERATIONS GENERALES... 3 1.1 PORTEE DU PPR... 3 2. EXPLICATIONS CONCERNANT LES REGLES DE CONSTRUCTION UTILISEES DANS LE REGLEMENT... 5 2.1 FAÇADES EXPOSEES... 5 2.2 HAUTEUR PAR RAPPORT
Plus en détailInformation de l acquéreur ou du locataire. Obligations du vendeur ou du bailleur
Information de l acquéreur ou du locataire Obligations du vendeur ou du bailleur Introduction La loi du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation
Plus en détailÉTAT DES LIEUX. Les questions que vous vous posez. Gardez juste l essentiel!
ÉTAT DES LIEUX Les nouvelles technologies annoncent depuis 15 ans le règne du zéro papier et du gain de temps. Dans la réalité, l entreprise et l administration ont vu leur consommation de papier exploser
Plus en détailLA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE
GUIDE PRATIQUE DE LA CAMÉRA THERMIQUE pour les activités du bâtiment SOMMAIRE 1. DÉFINIR SA MISSION 2 2. CHOISIR SA CAMÉRA THERMIQUE 3 3. PROPOSER UNE INSPECTION AVEC CAMÉRA THERMIQUE À SON CLIENT 5. ANTICIPER
Plus en détailFonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme
Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle
Plus en détailSOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur "Logement" métropole... 4
SOMMAIRE I - Synthèse de l'activité 2014... 2 II - Secteur "Logement" métropole... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS + EXISTANTS... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS... 9 ACTIVITE LOGEMENTS EXISTANTS... 13 ACTIVITE
Plus en détail