«Annonce d un dommage associé aux soins» 2 ème colloque Qualité Risques Evaluation 26 octobre 2012
|
|
- Valérie Bordeleau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 «Annonce d un dommage associé aux soins» 2 ème colloque Qualité Risques Evaluation 26 octobre 2012
2 Un témoignage 2
3 De quoi parle-t-on? L annonce d un dommage associé aux soins ne concerne pas seulement les erreurs médicales, c est aussi : Les complications liées à la pathologie du patient Les aléas thérapeutiques! La gravité du dommage subi doit toujours être considérée selon le point de vue du patient et non pas celui du soignant qui pourrait avoir tendance à en minimiser les conséquences 3
4 Pourquoi? 1. La prévalence des EIG 1 EIG tous les 5 jours dans un service de 30 lits 2. Une attente forte des patients 3. La poursuite d un réflexion sur l information des patient Suite du guide «annonce d un mauvaise nouvelle» Une obligation réglementaire et déontologique Code de Santé publique ; code déontologie médicale 5. Un critère qui témoigne de certaines difficultés (11c) Critère 11c «information du patient en cas de dommage lié aux soins» : 3ème critère le plus impactée par des décisions 4
5 Avec quels objectifs? Répondre aux attentes légitimes des patients victimes d un dommage Apaiser la relation soignant-patient Rassurer et accompagner TOUS les professionnels de santé (médicaux et paramédicaux, en ville et en établissement de santé) pour dire «le difficile à dire» Développer une culture de sécurité : Ne pas envisager la gestion des risques uniquement sous l angle de la prévention mais aussi de la récupération Culture de la transparence Culture de l apprentissage par l erreur 5
6 Elaboration du guide HAS Initiative de la HAS 40 experts ont participé à l élaboration du guide (représentants de patients et usagers, de professionnels de santé, de fédérations d établissements, de CME, de directeurs d établissements, d institutions, de gestionnaires de risques et d experts invités à titre intuitu personae) 4 réunions plénières se déroulant entre juin 2010 et janvier publications scientifiques identifiées, 380 publications analysées dont 66 finalement retenues et citées 6
7 Pourquoi est-ce important? 1. Les conséquences du dommage sur le patient accroissent sa vulnérabilité L amélioration attendue de son état de santé n est pas effective Les conséquences survenues peuvent être de nature physique mais aussi psychologique, sociale ou matérielle Le patient va exprimer des émotions complexes et diverses : perte de confiance, anxiété, colère, frustration 2. Le patient manifeste des attentes Obtenir une reconnaissance du dommage subi Comprendre ce qui s est passé et quelles en sont les conséquences Comprendre pourquoi l événement est survenu Avoir la garantie que des actions sont mises en œuvre pour que l événement ne se renouvelle pas Placer le patient en situation de se reconstruire 3 mots clés : transparence, empathie, écoute 7
8 Pourquoi est-ce difficile? 1. Les professionnels de santé ne sont pas formés à l information du patient suite à un dommage 2. Particulièrement suite à une erreur, les professionnels de santé vont manifester des émotions ± inhibitrices Culpabilité, honte, frustration, sentiment d échec, peur du «regard» d autrui 3. Les professionnels de santé craignent la judiciarisation de l événement 8
9 Et pourtant Informer le patient du dommage : Apaise la relation soignant-patient : les besoins des patients sont pris en compte et les professionnels peuvent également ressentir un soulagement Renvoie une image positive : les professionnels inscrivent leurs pratiques dans un processus d amélioration Limite la judiciarisation de l événement : par exemple, l expérience de l University of Michigan Health System (Source: Rodham Clinton I, Obama O. Making patient safety the centerpiece of medical liability reform. N Engl J Med 2006; 354(21): ) 9
10 Comment initier la démarche? Se former (formation initiale et continue) Mettre en place une politique d annonce d un dommage : Formalisée et diffusée en concertation avec l ensemble des acteurs Adossée à la politique existante d amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins Indique aux professionnels les objectifs et les étapes clés d une annonce Recense les moyens disponibles Transparence et climat de confiance pour favoriser le signalement des événements indésirables, leur analyse et la mise en œuvre d actions correctives Organiser le soutien aux professionnels 10
11 Atelier de mise en pratique Séance Buzz
12 Objectifs pédagogiques A partir d un support vidéo : Partager des pratiques Prendre conscience des «à ne pas faire» lors d une annonce Faire des propositions d amélioration de l annonce Observer et lister les critères d une annonce satisfaisante 12
13 Déroulement de l atelier pratique Durée Contenu 4 min Présentation d une situation clinique sous format vidéo «chapitre 1» 10 min Partage des pratiques «Mon expérience» 3 min Présentation d une annonce «manquée» «chapitre 2» 10 min Buzz group - restitution 5 min Présentation d une annonce «satisfaisante» «chapitre 3» 5 min Recueil des réactions au visionnage 10 min Présentation de la recommandation : les 3 temps 10 min Échanges/Questions 13
14 Après la survenue d un dommage Les 3 temps de l annonce : AVANT PENDANT APRES 14
15 AVANT Prendre en charge cliniquement le patient pour atténuer les conséquences de l événement Préparer le rendez-vous avec le patient : Quels sont les faits dont on est sûr? Qui assistera au RDV? Quand et où se tiendra le RDV? Quels sont les besoins prévisibles du patient? Informer le patient que l on souhaite s entretenir avec lui au sujet de sa prise en charge mais sans dévoiler le contenu du propos. (! le patient devra être informé avant le rendezvous des personnes pressenties pour assister à l entretien et donner son accord) 15
16 PENDANT (1/3) Qui? Tout dépend du type d événement indésirable (erreur médicale ou complication liée à la pathologie du patient), de la politique locale de l institution, du degré de bouleversement du professionnel impliqué, de la gravité du dommage, etc. Dans la situation habituelle, c est le médecin chargé du patient qui est le plus apte à effectuer l annonce et à mener l entretien Ce principe est à moduler en fonction du professionnel impliqué et des choix établis dans la procédure d annonce d un dommage de l établissement. Ainsi peuvent participer à l entretien : Infirmier ou autre professionnel paramédical Interne ou étudiant concerné Membre de la Direction, médiateur médical ou non médical, coordonnateur de la gestion des risques, représentant de la CRUQPC, etc. => Dans tous les cas, l entretien demeure sous l égide d un médecin 2 à 3 personnes + le patient + éventuellement ses proches 16
17 PENDANT (2/3) Quand? Le plus rapidement possible, de préférence dans les 24 heures après la détection de l événement indésirable Au plus tard 15 jours après conformément à l article L du Code de la santé publique Dès que l état physique et psychologique du patient le permet Prévoir suffisamment de temps Où? Lieu tranquille, confortable, propice à la confidentialité et si possible dédié Pièce exempte de téléphone 17
18 PENDANT (3/3) Quoi, Comment? Savoir être : empathie, écoute, langage compréhensible ( jargon médical) Déroulé du rendez-vous : Présentation des professionnels en présence Reconnaissance du dommage Description des faits Expression de regrets / présentation d excuses Continuité des soins Proposition d offres de soutien Finalisation de l entretien Immédiatement après le rendez-vous : Traçabilité dans le dossier médical Débriefing en équipe 18
19 APRÈS Le référent désigné prend en charge le suivi du dossier Informer en continu le patient sur les faits à mesure qu ils deviennent connus Le cas échéant, décrire les actions correctives mises en œuvre Exprimer de nouveau des regrets voire des excuses en cas d erreur avérée Organiser avec le patient les soins d aval Tracer les RDV de suivi dans le dossier médical 19
20 Périodiquement L établissement de santé : Organise le retour d information aux professionnels : évaluation et impact de la politique d annonce Évalue les offres de soutien proposées aux professionnels 20
21 Les documents mis à disposition Guide Poster 4 pages Film 21
22 Les 3 temps de l annonce AVANT PENDANT APRES Prendre en charge cliniquement le patient pour atténuer les conséquences de l événement Préparer le rendez-vous avec le patient : - Quels sont les faits dont on est sûr? - Qui assistera au RDV? - Quand et où se tiendra le RDV? - Quels sont les besoins prévisibles du patient? Reconnaître le dommage Expliquer ce qui s est passé à partir de faits avérés (analyse des causes) Expliquer les actions correctives à mettre en place (le cas échéant) Exprimer des regrets voire des excuses Décider du plan de soins en concertation avec le patient Répondre aux besoins du patient Proposer un référent Tracer l annonce dans le dossier médical Débriefer en équipe Tant qu il existe des éléments à communiquer au patient et tant que le patient en exprime le besoin, prévoir des rendezvous de suivi : - Le contenu et l organisation des rendez-vous de suivi sont similaires à ceux du rendezvous d annonce - Nécessite l implication du référent Organiser la liaison avec les soins d aval En établissement de santé : - Organiser le retour d information aux professionnels sur l évaluation et l impact de la démarche - Évaluer les offres de soutien proposées aux professionnels Formation à l annonce d un dommage associé aux soins 22
Comment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES. Développement professionnel continu. Simulation en santé. Fiche technique méthode
ÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES Développement professionnel continu Simulation en santé Fiche technique méthode Cette fiche technique décrit la participation des professionnels à une session de
Plus en détailPACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation
PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailLa simulation : Intérêt pédagogique
La simulation : Intérêt pédagogique Plan de la présentation orale Généralités Définition Différents exemples d interfaces Types d apprentissage Intérêt pédagogique Cycle de Kolb Pratique Réflexive Trace
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailLa supervision en soins infirmiers
La supervision en soins infirmiers (article en deux parties : version jumelée) La pratique de la supervision en soins infirmiers étant peu courante en France et les écrits la concernant de même, bien que
Plus en détailLA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone
LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailScénarios des activités pédagogiques en ligne. Christiane Mathy / Izida Khamidoullina
Scénarios des activités pédagogiques en ligne Christiane Mathy / Izida Khamidoullina Intervenants Équipe e-learning Christiane Mathy, collaboratrice mais aussi: Enseignante en informatique de gestion Maître
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailLes stagiaires, au nombre de 12 maximum, disposent de tables de travail et de chaises.
Créé en 2005, l Institut Mots pour Maux est une association d accompagnement et d aide à la personne. Son objectif est de favoriser et de développer l amélioration de la condition de l être humain et son
Plus en détailDr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)
Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailINDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE
INDICATEUR 1 INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE Mesurer la fréquence des accidents de service survenus dans l année. Renseigner sur la sinistralité dans le domaine des accidents de service entrainant
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailLa responsabilité des infirmiers et des établissements de santé
La responsabilité des infirmiers et des établissements de santé I. Généralités Notion de responsabilité : Seules les personnes sont juridiquement responsables : o Personnes physiques (particuliers, professionnels)
Plus en détailFormation consultants juniors en recrutement Formation consultants juniors en recrutement
Formation consultants juniors en recrutement Formation consultants juniors en recrutement BONNEL Conseils Associés Isabelle DOUAY : idouay@bonnel-conseils.com 9 A rue Châteaubriand 75008 PARIS tel. : 01
Plus en détailDroits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer
Droits des malades en fin de vie Connaître la loi Leonetti et l appliquer Lorsque la médecine trouve ses limites et que la personne, avec ses proches, se situe dans la perspective d une échéance annoncée,
Plus en détailApprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».
1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez
Plus en détailComité Départemental de Prévention en Kinésithérapie de la Drôme FORMATIONS KINÉSITHÉRAPEUTES 2013 KINÉ DRÔME PRÉVENTION
Comité Départemental de Prévention en Kinésithérapie de la Drôme FORMATIONS KINÉSITHÉRAPEUTES 2013 KINÉ DRÔME PRÉVENTION 1 1. TABLEAU DES FORMATIONS 2013...3 2. GESTUELLE PRÉVENTIVE ET MANUTENTION DES
Plus en détailLe processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?
Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd
Plus en détailRapport d activité et retours d évaluations du service de coaching en ligne COACHLINE
Rapport d activité et retours d évaluations du service de coaching en ligne COACHLINE Client: entreprise du secteur privé et public Population: top management - 160 cadres dirigeants répartis en France
Plus en détailETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX?
ETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX? Projet formulé à partir de ma pratique de terrain: Constats Public défavorisé Plus le niveau d instruction est bas plus plus le risque est grand de développer des troubles
Plus en détailL impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU
L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailLa formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain.
La formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain. Olivier Guissard,, infirmier en unité de pneumologie, en charge de
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailEXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE
EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE (Préparation : 5 heures -- Exposé et Questions : 1 heure) Rapport établi par : P.J. BARRE, E. JEAY, D. MARQUIS, P. RAY, A. THIMJO 1. PRESENTATION DE L EPREUVE 1.1.
Plus en détailLa psychothérapie. Se poser les bonnes questions
La psychothérapie Se poser les bonnes questions? LA PSYCHOTHÉRAPIE Au Québec, la psychothérapie est une activité réservée par la loi * depuis juin 2012, ce qui signifie que seules les personnes autorisées,
Plus en détail1/ LES CARACTÉRISTIQUES DU CYBER-HARCÈLEMENT
LE CYBER-HARCÈLEMENT Avec l utilisation massive des nouvelles technologies, le harcèlement entre élèves peut se poursuivre, voire débuter, en dehors de l enceinte des établissements scolaires. On parle
Plus en détailLe patient-traceur en établissement de santé
CERTIFICATION DES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ Le patient-traceur en établissement de santé Méthode d amélioration de la qualité et de la sécurité des soins Guide méthodologique Date de validation par le collège
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailL adhésion au traitement: les clés du succès
L adhésion au traitement: les clés du succès Dr Marie P. Schneider, pharmacienne Policlinique Médicale Universitaire Lausanne CHUV avril 005 Mme W.M. 970 Patiente d origine angolaise, en Suisse depuis
Plus en détailsimulation c est [parfois] formidable
La simulation c est [parfois] formidable Thierry PELACCIA Faculté de médecine de Strasbourg SAMU - CESU 67 La simulation c est [parfois] formidable Thierry PELACCIA Faculté de médecine de Strasbourg SAMU
Plus en détailLes nouveaux guides de la CNIL. Comment gérer des risques dont l impact ne porte pas sur l organisme
Les nouveaux guides de la CNIL Comment gérer des risques dont l impact ne porte pas sur l organisme Matthieu GRALL CLUSIF Colloque «conformité et analyse des risques» 13 décembre 2012 Service de l expertise
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détailL observation des aspects non techniques d une simulation
L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre
Plus en détailLa politique de l entreprise (esprit et incitation au challenge) implique :
Introduction Image classique = Cadre supérieur + grande responsabilité Mais aussi le bas de l échelle Zéro défauts, l excellence a un prix = Le Stress I Définition Interaction entre un environnement et
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 28 janvier 2009 Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat Le groupe Malakoff Médéric et la Caisse
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailFMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36
FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36 PROJET RÉGIONAL «ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE ET MALADIES CHRONIQUES» DÉBUT EN 2007 DANS LE LOIRET, LE
Plus en détailFORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques
FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va
Plus en détailAVANT PENDANT APRES LA CRISE
AVANT PENDANT APRES LA CRISE Guide pratique de la gestion de crise au sein de l industrie de la chimie, des matières plastiques et des sciences de la vie Guide pratique de la gestion de crise avant AVANT
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un
Plus en détailRéférent et management
Référent et management Manager pour une efficacité de prévention Rôle, mission du référent et relais avec l encadrement Comment fédérer tous les acteurs de soins Référent et management Manager pour une
Plus en détailUne infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource?
Une stomathérapie et soins de plaies : intérêt d une d telle fonction? Marie Magdeleine lefort ULB Erasme re «clinicienne?» re praticienne «nurse practitioner» Prise en charge de pathologies spécifiques
Plus en détailPage1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE
Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE 0 Page2 Sommaire Les droits rattachés au respect de la personne... 3 Le droit au respect de sa dignité... 3 Quelle est la signification de la dignité en droit de
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailMinistère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant
Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom
Plus en détailConnaître les Menaces d Insécurité du Système d Information
Connaître les Menaces d Insécurité du Système d Information 1. LES MENACES EXTERIEURES VIA L INTERNET ET INFORMATIQUE LES PROGRAMMES MALVEILLANTS : VIRUS / MALWARES LES SPYWARES (LOGICIELS-ESPIONS) : LOGICIEL
Plus en détailL articulation Hôpital de jour Accueil de jour
les hôpitaux de jour dans les filières de soin : un dispositif en marche L articulation Hôpital de jour Accueil de jour Dr Nathalie SCHMITT Dr Jacques HILD CH Colmar L articulation Hôpital de jour Accueil
Plus en détailRECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT
RECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT L agrément de maître de stage repose à la fois sur des critères liés à l officine d une part et à son titulaire d autre
Plus en détailBonnes pratiques RÉSEAUX SOCIAUX DES
Bonnes pratiques RÉSEAUX SOCIAUX DES Les réseaux sociaux sont des espaces sur Internet où les utilisateurs peuvent échanger, créer des liens, partager des opinions ou des informations entre amis, proches,
Plus en détailNotice d information à remettre à l adhérent Contrat n F 14 D 0373
Notice d information à remettre à l adhérent Contrat n F 14 D 0373 Les prestations d assistance du contrat d assurance dépendance PREVOYANCE FER définies ci-après, sont assurées par FILASSISTANCE INTERNATIONAL
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailFiche métier : Le Community Manager
Fiche métier : Le Community Manager Le métier de Community Manager, en quoi cela consiste? 1) Un métier neuf La notion de community management étant relativement récente, il n en existe pas de véritable
Plus en détail7 octobre 2014 Entretiens Jacques Cartier
Le projet de formation «Partenaires, jusqu à la fin» Déterminer avec le patient et ses proches les objectifs de ses soins en contexte de maladie grave et de fin de vie 7 octobre 2014 Entretiens Jacques
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailEvaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine
Evaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine A partir du lundi 28 octobre, vous devrez évaluer votre stage d externe du premier trimestre effectué entre le 01/08/2013 et le 27/10/201.
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailCritères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique
Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique Dépendance de la victime à une illusion, un fantasme Ces critères ont été élaborés par Goodman
Plus en détailDéveloppement personnel
Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire
Plus en détailLa gestion des situations de crise
agir sur le climat scolaire La gestion des situations de crise Enjeux et procédures Daniel Simon EMS Académie de Montpellier 06 32 82 73 73 daniel.simon@ac-montpellier.fr Sommaire Propos liminaires Avant
Plus en détailHAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1
Référentiel d évaluation des centres de santé HAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1 Sommaire Introduction p. 3 et 4 Référentiel d évaluation p. 5 à 8 Référentiel d évaluation
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE
PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE POSITION DU CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES INFIRMIERS Décembre 2013 POSITION DE L ORDRE NATIONAL DES INFIRMIERS «PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE» Le Président de la
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailProgramme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI
Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI La formation continue du Centre d Ouverture Psychologique Et Sociale (Copes) s adresse à tous les acteurs du champ médical, psychologique,
Plus en détailNOM DE L ETABLISSEMENT : CENTRE DE SOINS DE SUITE ET DE READATATION EN ADDICTOLOGIE «MARIENBRONN»
NOM DE L ETABLISSEMENT : CENTRE DE SOINS DE SUITE ET DE READATATION EN ADDICTOLOGIE «MARIENBRONN» Adresse : F- 67250 LOBSANN Tél.03 88 05 68 40 Fax. : 03 88 54 78 42 Mail : marienbronn.cssra@wanadoo.fr
Plus en détailDéfinition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress
Stress et enseignement Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Recherche sur Internet Moteur de recherche: GOOGLE Mots-clés: + stress + enseignement Nombre de pages francophones
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailLa gestion des risques dans les établissements de soins
La gestion des risques dans les établissements de soins Forum des Usagers 01/03/2010 Dr Agnès PERRIN Sce de Gestion du Risque Infectieux et des Vigilances CHRU de LILLE Débuts de la gestion des risques
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détail- GEOPSY.COM - Psychologie interculturelle et Psychothérapie - LE COMPTE RENDU
LE COMPTE RENDU + Le compte rendu doit être court et organisé = organiser les thèmes avec une certaine logique (les annoncer, les expliquer...) + but = transmettre des éléments informatifs + Ne pas faire
Plus en détailJournal de la migraine
Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailTable des matières. Première partie : Énergie et Polarité... 23 REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE...
Table des matières su REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE... 15 À QUI S ADRESSE CE LIVRE... 17 INTRODUCTION... 19 Première partie : Énergie et Polarité... 23 CHAPITRE
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailCONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines
CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous
Plus en détailLa gestion des situations d urgence et de crise. module GSC BJOP 2008 (CESG)
La gestion des situations d urgence Objectif de la sensibilisation Gestion des situations d urgence Comprendre des notions de crise et d urgence Typologie et phases de l agression Mieux connaître les différentes
Plus en détailIntroduction. Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... Chapitre 1
" Table des matières Introduction Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... 7 8 8 Chapitre 1 Connaître les bases de l'affirmation de soi et de la communication Les comportements
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailLe monde bouge, change, nous nous devons de le suivre voire de le précéder en anticipant son évolution.
FORMATION CEFIEC Editorial La formation est par essence continue. Le monde bouge, change, nous nous devons de le suivre voire de le précéder en anticipant son évolution. La technique, l informatique semblent
Plus en détail