Expertise biologique du lagon d Uvea (Wallis et Futuna)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Expertise biologique du lagon d Uvea (Wallis et Futuna)"

Transcription

1 UNIVERSITE DE LA NOUVELLE-CALEDONIE Laboratoire d Etude des Ressources Vivantes et de l Environnement Marin Expertise biologique du lagon d Uvea (Wallis et Futuna) Rapport final 2. Le benthos des fonds meubles lagonaires et le plancton Service de l Environnement de Wallis et Futuna Avril 2001 UNIVERSITE DE LA NOUVELLE-CALEDONIE Laboratoire d Etude des Ressources Vivantes et de l Environnement Marin

2 Expertise biologique du lagon d Uvea (Wallis et Futuna) Rapport final 2. Le benthos des fonds meubles lagonaires et le plancton Ce rapport a été réalisé par Laurent Wantiez, Maître de Conférences Les analyses de laboratoire ont été réalisées par Emmanuel Coutures, Technicien Service de l Environnement de Wallis et Futuna Avril 2001 SOMMAIRE SOMMAIRE...2 RESUME...4 INTRODUCTION...7 2

3 1. MATERIEL ET METHODES SITE D ETUDE STRATEGIE D ECHANTILLONNAGE TECHNIQUES D ECHANTILLONNAGE FONDS MEUBLES LAGONAIRES PLANCTON TRAITEMENT DES ECHANTILLONS BENTHOS ET MATIERE ORGANIQUE SEDIMENTAIRE Mégabenthos Macrobenthos Meiobenthos Matière organique sédimentaire PLANCTON RESULTATS FONDS MEUBLES LAGONAIRES MÉGABENTHOS MACROBENTHOS MEIOBENTHOS MATIERE ORGANIQUE SEDIMENTAIRE PLANCTON SYNTHESE ET DISCUSSION FONDS MEUBLES BENTHOS MATIERE ORGANIQUE SEDIMENTAIRE PLANCTON RECOMMANDATIONS ET PERSPECTIVES REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES LISTE DES FIGURES LISTE DES TABLEAUX...37 ANNEXES...38 CARACTERISTIQUES DU MEGABENTHOS EPIBENTHIQUES DES FONDS MEUBLES DU LAGON D UVEA. 38 CARACTERISTIQUES DES COMMUNAUTES MACROBENTHIQUES DES FONDS MEUBLES DU LAGON D UVEA 43 2

4 CARACTERISTIQUES DES COMMUNAUTES MEIOBENTHIQUES DES FONDS MEUBLES DU LAGON D UVEA. 51 CARACTERISTIQUES DES COMMUNAUTES PLANCTONIQUES DU LAGON D UVEA. 52 3

5 RESUME Ce rapport présente le deuxième volet d une expertise biologique du lagon d Uvéa (Wallis et Futuna), réalisée en septembre 1999, à la demande du Service de l Environnement du Territoire, afin de définir un programme d étude et de suivi des écosystèmes récifolagonaires. Il concerne le benthos des fonds meubles lagonaires et le plancton. Le lagon a été divisé en 4 secteurs. Le benthos a été étudié dans chaque secteur, sur 4 stations de la zone intertidale jusqu à la zone interne du récif barrière. Le mégabenthos (>2 cm) a été échantillonné en plongée sur 100 m², le macrobenthos (de 2.5 mm à 2 cm) a été échantillonné à l aide d une benne (3 réplicats de m²) et le meiobenthos par 3 carottes de 4.91 cm² de section sur 5 cm de profondeur. Le plancton a été échantillonné au niveau du lagon intermédiaire dans chaque secteur ainsi que dans les passes de Honikulu et Fugauvea. Un trait oblique de 20 minutes a été réalisé à l aide d un filet de 200 microns de maille et de m² d ouverture. Les organismes ont été triés, identifiés, et dénombrés au plus bas niveau taxonomique possible pour le mégabenthos et au niveau de 15 groupes zoologiques pour le macrobenthos. Le meiobenthos a été extrait par centrifugation. Les biomasses en poids frais (f), poids sec (s) et poids sec sans cendres (ssc) ont été calculées pour le méga, le macro et le meiobenthos ainsi que pour le plancton. La matière organique sédimentaire a également été déterminée. Trente sept taxons mégabenthiques ont été recensés sur les 1600 m² échantillonnés. Cette valeur n est pas représentative de la diversité mégabenthique totale du lagon d Uvéa mais permet d analyser la variabilité spatiale de ces peuplements. Le mégabenthos se caractérise par taxon/station, individus/100 m², 2.79 gf/m², 1.29 gs/m² et gssc/m². Les caractéristiques moyennes des communautés macrobenthiques sont de 7.56 taxon/station, individu/m², gf/m², gs/m² et gssc/m². Ces indices présentent une forte variabilité d une station à l autre. Les communautés mégabenthiques sont dominées par les mollusques, les crustacés ou les échinodermes selon les indices considérés. Les mollusques, les macrophytes et les échinodermes dominent dans le macrobenthos. Les biomasses moyennes de meiobenthos sont de gf/cm², gs/cm² et gssc/cm². Elles ne présentent pas de variations spatiales significatives. La matière organique représente en moyenne 4.06% du sédiment. Ce pourcentage est relativement stable si la station 21 (Liku) n est pas prise en compte. Ces caractéristiques générales sont globalement conforment à ce qui est observé dans la région Pacifique tropicale. Toutefois, le nombre de points de comparaisons est limité, voire inexistant, pour certaines communautés ou indices. Pour le mégabenthos, la dominance des mollusques et l importance des échinodermes sont habituelles. Les taxons recensés sont fréquents dans la région (Pacifique tropical). La biomasse macrobenthique semble relativement faible par rapport à celle du lagon Sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. Elle est proche de celle de l atoll d Ouvéa (Nouvelle-Calédonie) ou des Fidji (lagon de l Astolabe). De même, la part du macrophytobenthos est relativement faible à Uvéa (27.7%) par rapport au lagon Sud-ouest de Nouvelle-Calédonie (39% à 53%). En revanche, la dominance des mollusques devant les échinodermes et les vers se retrouve globalement en Nouvelle- Calédonie, l importance des différents groupes zoologiques étant relativement constante sur 4

6 les fonds meubles lagonaires dans le Pacifique. Aucun point de comparaison n a été trouvé pour la biomasse meiobenthique. Le pourcentage de matière organique sédimentaire est relativement faible dans les zones ne subissant pas d influence anthropique importante. Cette tendance se vérifie au niveau des zones littorales et côtières. En revanche, les zones d arrière récif barrière présentent des taux de matières organiques sédimentaires comparable à Ténia (lagon Sud-ouest de Nouvelle-Calédonie) et Ouvéa (Nouvelle- Calédonie). Des variations de la structure des peuplements ont été mises en évidences au niveau de la composition taxonomique du mégabenthos et de la répartition de la biomasse du macrobenthos. Le complexe lagonaire «sud» (compris entre le platier ouest et le seuil nord) abrite des communautés mégabenthiques différentes de celles de l ensemble nord-ouest, plus riche. Ces deux communautés correspondent à deux ensembles hydrologiques différents, séparés par 2 seuils de faible profondeur. L analyse de la répartition de la biomasse macrobenthique isole également l ensemble lagonaire nord-ouest et identifie une communauté intertidale et une communauté des fonds meubles proches du récif barrière interne. L organisation spatiale des communautés benthiques est connue en Nouvelle- Calédonie, où le complexe récifo-lagonaire est plus étendu qu à Uvéa. Elle s organise le long d un gradient côte-large et du degré de confinement. Ces facteurs (influences terrigène, océanique et confinement) s appliquent également l échelle du lagon d Uvéa où ils influent sur la structuration des communautés. La biomasse planctonique moyenne a été de 8.69 gf/100 m 3, gs/100 m 3, et gssc/100 m 3. Les variations spatiales ne sont pas significatives pour les deux premiers indices. En revanche, le secteur lagonaire le plus confiné (secteur 4) présente une biomasse en poids sec sans cendre statistiquement supérieure à celles de la passe sud. L homogénéité de la composition physico-chimique des eaux lagonaires ne se vérifie pas au niveau du plancton. Les indications de traits de filet réalisés en 1980 et durant cette étude semblent indiquer que les quantités de plancton diminuent des zones côtières les plus confinées vers les fonds blancs d arrière récif et les passes. Au stade actuel des connaissances, une étude approfondie du benthos, incluant un volet hydrologique et sédimentologique, permettrait d avoir des indications plus précises sur la biodiversité, de préciser les indices quantitatifs, de vérifier et préciser la structure des communautés et d aborder leur fonctionnement trophique. Elle serait également utile à la compréhension de la structure et du fonctionnement des communautés ichtyologiques et permettrait à terme de proposer un schéma global de fonctionnement de l écosystème récifolagonaire d Uvéa. Concernant le plancton, au stade actuel des connaissances il semble qu il soit présent dans le lagon d Uvéa dans des quantités non négligeables. Toutefois, le taux de vidange du lagon à chaque marée reste inconnu ce qui ne permet pas de statuer sur la part planctonique réellement utilisable par les organismes lagonaires. L étude hydrologique couplée avec une étude spécifique des communautés planctoniques devrait permettre de préciser les hypothèses avancées pour expliquer le faible nombre de planctophages dans le lagon. Deux remarques pratiques peuvent être tirées de la présente étude. La première concerne l impact anthropique observé dans la zone intertidale face à Liku. Cet impact se matérialise par un fort pourcentage de matière organique sédimentaire (17.12%) par rapport au reste du lagon et par un sédiment anoxique dès les premiers centimètres. Un échantillonnage 5

7 complémentaire du sédiment du littoral devrait permettre de préciser l importance de cet impact anthropique. L autre conclusion est la présence d une holothurie (Holothuria nobilis) commerciale à de fortes densités. Ce résultat doit être replacé dans son contexte avant de prendre toute décision concernant l opportunité de développer une pêcherie d holothurie. En effet, une telle décision devra être prise sans oublier que ces fortes densités ne signifie pas forcément stock important en raison de la petite taille du lagon d Uvéa. Seule une étude du stock de cette espèce permettraient de déterminer si la part du stock exploitable permet d envisager une exploitation sans risques pour la ressource et pour l exploitation. 6

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

Site d étude. Résultats

Site d étude. Résultats Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude

Plus en détail

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat».

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». «Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». Philippe USSEGLIO-POLATERA Université Paul Verlaine Metz UMR-CNRS 746 - LIEBE

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses) L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est

Plus en détail

RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE

RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE MÉMOIRE DEPOSE AU BUREAU D AUDIENCES PUBLIQUES SUR L ENVIRONNEMENT (BAPE) DANS LE CADRE DES AUDIENCES PUBLIQUES POUR LES PROJETS DE RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE

Plus en détail

Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale

Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte : vers la relocalisation des activités et des biens Ministère de l'écologie, du développement

Plus en détail

État de répartition des Maculinea dans le sud du Massif Central

État de répartition des Maculinea dans le sud du Massif Central État de répartition des Maculinea dans le sud du Massif Central Situation en Languedoc-Roussillon Aubrac Espèces Maculinea alcon Maculinea rebeli Maculinea arion autres espèces de papillons Méjean Montagne

Plus en détail

FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015

FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 Organisme gestionnaire : UNIVERSITE LILLE 1 59655 Villeneuve d'ascq Cedex Siret : 19593559800019 Tél 03 20

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge!

Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge! Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains Pas si sûr! Avec IndexMed Relevons ce challenge! Origine du consortium L état des lieux (source : séminaire Allenvie, séminaire Indexmed1)

Plus en détail

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL

Plus en détail

Exposition photographique de l Ifremer

Exposition photographique de l Ifremer Exposition photographique de l Ifremer SCIENCES BLEUES, COULEURS OUTRE-MER Composition de l exposition 1. Liste des photographies 34 photographies : 24 photos de dimension 5 photos de dimensions 30x40

Plus en détail

PANASONIC TOUGHBOOK, PARTENAIRE DE TARA OCEANS : QUATRE DOCUMENTAIRES SUR LA BIODIVERSITE MARINE A NE PAS MANQUER!

PANASONIC TOUGHBOOK, PARTENAIRE DE TARA OCEANS : QUATRE DOCUMENTAIRES SUR LA BIODIVERSITE MARINE A NE PAS MANQUER! PANASONIC TOUGHBOOK, PARTENAIRE DE TARA OCEANS : QUATRE DOCUMENTAIRES SUR LA BIODIVERSITE MARINE A NE PAS MANQUER! La série «Le monde secret» sera diffusée en première exclusivité sur Planète Thalassa

Plus en détail

2. Questionnaire pour une base de données

2. Questionnaire pour une base de données 2. Questionnaire pour une base de données Merci de remplir un questionnaire pour chaque base de données (2.1) Nom de l institution : (2.2) Nom du département ou du laboratoire : Base de données : (2.3)

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge!

Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge! Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains Pas si sûr! Avec IndexMed Relevons ce challenge! Origine du consortium L état des lieux (source : séminaire Allenvie, séminaire Indexmed1)

Plus en détail

Atelier marin. - Vers un suivi optimal des lagons et récifs -

Atelier marin. - Vers un suivi optimal des lagons et récifs - Observatoire de l environnement en Nouvelle-Calédonie Atelier marin - Vers un suivi optimal des lagons et récifs - Bases de données de la CPS pour les pêches récifales: Objectifs, réalisations et retour

Plus en détail

Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)

Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de

Plus en détail

HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice

HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE par et pour les élèves et les par et pour les élèves et les enseignants des établissements à programme français de Maurice Un herbier numérique collaboratif? Une

Plus en détail

Végétaux Exemples d individus

Végétaux Exemples d individus Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»

Plus en détail

Avancées et reculs des mangroves guyanaises: bilan par analyse spatiale sur plusieurs décennies

Avancées et reculs des mangroves guyanaises: bilan par analyse spatiale sur plusieurs décennies Oral Master 2, Fonctionnement des Ecosystèmes Naturels et cultivés, 10 juin 2009 Avancées et reculs des mangroves guyanaises: bilan par analyse spatiale sur plusieurs décennies Elodie Blanchard Encadrant:

Plus en détail

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION LES STANDS DES PARTENAIRES DE FAMILLES DE FRANCE Les partenaires de Familles de

Plus en détail

On the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun

On the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

Les nouvelles orientations de la politique de coopération internationale de la Ville sont :

Les nouvelles orientations de la politique de coopération internationale de la Ville sont : La Ville de la Possession est engagée depuis plus de 30 ans dans des actions de coopération décentralisée. Elle est la ville pionnière de La Réunion à développer des actions de coopération avec des villes

Plus en détail

A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg

A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de courte durée, vigilance et travail de nuit A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de

Plus en détail

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ

Plus en détail

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les

Plus en détail

Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire

Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire CHAPITRE 3 Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire Parmi les analyses statistiques descriptives, l une d entre elles est particulièrement utilisée pour mettre en évidence

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE

Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Séminaire récifs artificiels en Languedoc : bilan et perspectives. 20 novembre 2008 Sète Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Frédéric BACHET & Eric CHARBONNEL,

Plus en détail

EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions

EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions Prop. 11.33 EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II Autres propositions A. Proposition Transférer Eunymphicus cornutus cornutus de l'annexe II à l'annexe I. La perruche de la chaîne a

Plus en détail

INSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET

INSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET DOCUMENT 4.7. INSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET Jean-Jacques PESANDO Ingénieur Chef des Projets Océanographiques Société SAFARE-CROUZET

Plus en détail

GUIDE DE L ENSEIGNANT

GUIDE DE L ENSEIGNANT Au ménage! GUIDE DE L ENSEIGNANT 2010-2011 -1- Description de la situation d apprentissage Préparation Activité 1 À leur entrée en classe, les élèves découvrent quatre bouteilles sur le bureau de l enseignante

Plus en détail

MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE

MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Présentation PLUS D'INFOS Crédits ECTS : 60 Cette spécialité couvre

Plus en détail

PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A DJENNE ------ TERMES DE REFERENCE

PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A DJENNE ------ TERMES DE REFERENCE MINISTERE DE L ENERGIE ET REPUBLIQUE DU MALI DE L HYDRAULIQUE Un Peuple Un But Une Foi ***** ***** DIRECTION NATIONALE DE L ENERGIE ***** PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A

Plus en détail

Atelier sur la recherche des causes du Programme d études de suivi des effets sur l environnement des MINES DE MÉTAUX

Atelier sur la recherche des causes du Programme d études de suivi des effets sur l environnement des MINES DE MÉTAUX Atelier sur la recherche des causes du Programme d études de suivi des effets sur l environnement des MINES DE MÉTAUX ISBN : 978-1-100-98572-5 N o de cat. : En14-59/2012F-PDF Le contenu de cette publication

Plus en détail

5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM

5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM 5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM La digitalisation des traits de côte (pied de falaise) a été réalisée pour les cartes anciennes

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

MICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau secteur géographique

MICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau secteur géographique Session 2013 BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR NÉGOCIATION ET RELATION CLIENT Corrigé E5 : Management et gestion d activités commerciales VERSION 23 MAI 2013 MICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau

Plus en détail

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses

Plus en détail

un module de simulation des évolutions urbaines http://geopensim.ign.fr Présentation

un module de simulation des évolutions urbaines http://geopensim.ign.fr Présentation un module de simulation des évolutions urbaines http://geopensim.ign.fr 12 mars 2009 Anne Ruas Annabelle Mas Julien Perret Présentation Plateforme open source d analyse et de simulation des évolutions

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET SESSION 2011 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel(s)

Plus en détail

Protocoles pour le suivi des pontes de tortues marines dans le cadre de Protomac. Professeur Marc Girondot

Protocoles pour le suivi des pontes de tortues marines dans le cadre de Protomac. Professeur Marc Girondot Muséum National d'histoire Naturelle de Paris Département de Systématique et Evolution Laboratoire des Reptiles et Amphibiens 25 rue Cuvier 75005 Paris & Laboratoire Ecologie, Systématique et Evolution

Plus en détail

Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes

Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Biostatistique Pr. Nicolas MEYER Laboratoire de Biostatistique et Informatique Médicale Fac. de Médecine de Strasbourg Mars 2011 Plan 1 Introduction

Plus en détail

CONSTRUIRE L OFFRE DU PROJET HENRI-FABRE VERS UN NOUVEAU MODELE DE DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL : L ENTREPRISE ETENDUE

CONSTRUIRE L OFFRE DU PROJET HENRI-FABRE VERS UN NOUVEAU MODELE DE DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL : L ENTREPRISE ETENDUE CONSTRUIRE L OFFRE DU PROJET HENRI-FABRE VERS UN NOUVEAU MODELE DE DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL : L ENTREPRISE ETENDUE PROJET HENRI-FABRE : L ENTREPRISE ETENDUE L objectif du projet Henri-Fabre est de construire

Plus en détail

Présentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue

Présentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue Santé Communautaire et accès aux soins en contexte tropical Présentation de la démarche et méthodologie qualitative Claire Boileau Anthropologue Introduction Principes des recherches qualitatives Les étapes

Plus en détail

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions

Plus en détail

Les îles Éparses. A bord du navire océanographique Marion Dufresne. du 16 avril au 15 mai 2009

Les îles Éparses. A bord du navire océanographique Marion Dufresne. du 16 avril au 15 mai 2009 Les îles Éparses A bord du navire océanographique Marion Dufresne du 16 avril au 15 mai 2009 Mer et Voyages 9 rue notre Dame des Victoire 75002 Paris T : 01 49 26 93 33 F : 01 42 96 29 39 info@mer-et-voyages.com

Plus en détail

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

AA-SO5 KIDA/GSOV/VAMDC

AA-SO5 KIDA/GSOV/VAMDC AA-SO5 Centres de traitement et d archivage de données KIDA - 2 mars 2015 AA-SO5 KIDA/GSOV/VAMDC Contexte général L observation des molécules dans le milieu interstellaire, mais aussi dans les atmosphères

Plus en détail

PLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR

PLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR NOTE AU LECTEUR Dans le cadre de notre certification forestière à la norme du Forest Stewardship Council de la Seigneurie de Perthuis, nous vous présentons un résumé du plan général d aménagement forestier

Plus en détail

COMMENTAiRES/ DECISIONS

COMMENTAiRES/ DECISIONS Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N

Plus en détail

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à :

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à : Le Manitoba en bref Le Manitoba : Province du Canada depuis 1870. Manitoba signifie «lieu où vit l Esprit» dans les langues des peuples autochtones de la province. Chef politique : Premier ministre (Greg

Plus en détail

Mise en œuvre de l architecture SINP. Forum ATEN des TIC 4 juin 2014. Y. Lebeau MEDDE/DGALN/DEB/PEM4

Mise en œuvre de l architecture SINP. Forum ATEN des TIC 4 juin 2014. Y. Lebeau MEDDE/DGALN/DEB/PEM4 Mise en œuvre de l architecture SINP Forum ATEN des TIC 4 juin 2014 Y. Lebeau MEDDE/DGALN/DEB/PEM4 1 Principes d architecture retenus Diffusion de l information pour tous Accès simple à l information,

Plus en détail

TECHNOLOGIES EXPERTISES RECHERCHES ANALYTIQUES EN ENVIRONNEMENT. SyPACV2. Système de prélèvement automatique compact - 2 ème génération

TECHNOLOGIES EXPERTISES RECHERCHES ANALYTIQUES EN ENVIRONNEMENT. SyPACV2. Système de prélèvement automatique compact - 2 ème génération TECHNOLOGIES EXPERTISES RECHERCHES ANALYTIQUES EN ENVIRONNEMENT Ingénierie SyPACV2 Système de prélèvement automatique compact - 2 ème génération 2012 SOMMAIRE 1. Le service Ingénierie 2. Qu est-ce que

Plus en détail

Liste des matières enseignées

Liste des matières enseignées Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13

Plus en détail

L offre de master orientée «forêt»

L offre de master orientée «forêt» L offre de master orientée «forêt» à AgroParisTech Nancy JD Bontemps, H Wernsdörfer, AgroParisTech - centre de Nancy jdbontemps.agroparistech@gmail.com Holger.wernsdorfer@agroparistech.fr CAQSIS 2014,

Plus en détail

Suivi pérenne de l évolution du trait de côte à La Réunion vers une intégration dans le SOERE «trait de côte»

Suivi pérenne de l évolution du trait de côte à La Réunion vers une intégration dans le SOERE «trait de côte» Suivi pérenne de l évolution du trait de côte à La Réunion vers une intégration dans le SOERE «trait de côte» Objectif de la demande Ce projet s inscrit dans la perspective d une démarche qualité et de

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013

IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 68 avenue des Guilleraies 92000 NANTERRE Téléphone : 01 55 17 00 00 Fax : 09 81 70 68 48 Mail : contact@street-office.fr DECEMBRE 2013

Plus en détail

INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes

INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes IPRES_SENEGAL Responsabilité d un administrateur Les évaluations

Plus en détail

SURVEILLANCE RADIOLOGIQUE ET GÉOMÉCANIQUE DES ATOLLS DE MURUROA ET FANGATAUFA. Dossier de presse. Octobre 2013

SURVEILLANCE RADIOLOGIQUE ET GÉOMÉCANIQUE DES ATOLLS DE MURUROA ET FANGATAUFA. Dossier de presse. Octobre 2013 MINISTÈRE DE LA DÉFENSE MINISTÈRE DU REDRESSEMENT PRODUCTIF AUTORITÉ DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE DE DÉFENSE Le Délégué SURVEILLANCE RADIOLOGIQUE ET GÉOMÉCANIQUE DES ATOLLS DE MURUROA ET FANGATAUFA Dossier de presse

Plus en détail

GAMASONIC. BACS INOX de DÉSINFECTION. BAC INOX de RINCAGE. APPAREILS de NETTOYAGE par ULTRASONS. APPAREILS de SÉCHAGE. Édition 4 Décembre 2006

GAMASONIC. BACS INOX de DÉSINFECTION. BAC INOX de RINCAGE. APPAREILS de NETTOYAGE par ULTRASONS. APPAREILS de SÉCHAGE. Édition 4 Décembre 2006 GAMASONIC BACS INOX de DÉSINFECTION BAC INOX de RINCAGE APPAREILS de NETTOYAGE par ULTRASONS APPAREILS de SÉCHAGE MANUEL D IMPLANTATION Édition 4 Décembre 2006 BACS de DÉSINFECTION : BACS de RINCAGE :

Plus en détail

Le programme brésilien. Cláudio Almeida Chef du Centre Régional de l'amazonie CRA/INPE

Le programme brésilien. Cláudio Almeida Chef du Centre Régional de l'amazonie CRA/INPE Le programme brésilien d'observation de la Terre. Cláudio Almeida Chef du Centre Régional de l'amazonie CRA/INPE La vision de l'inpe au 21e siècle. L'INPE est une référence mondiale en matière de recherche

Plus en détail

La prévention des risques hors du cadre professionnel habituel

La prévention des risques hors du cadre professionnel habituel La prévention des risques hors du cadre professionnel habituel Sommaire 1- La responsabilité du chef d établissement à l égard de l organisation des missions en France ou à l étranger 2- La responsabilité

Plus en détail

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement

Plus en détail

Proposition de création d'un nouveau GdR d'animation et d action. BioChiMar - Biodiversité et Chimiodiversité Marines. Durée 4 ans : période 2009-2012

Proposition de création d'un nouveau GdR d'animation et d action. BioChiMar - Biodiversité et Chimiodiversité Marines. Durée 4 ans : période 2009-2012 Proposition de création d'un nouveau GdR d'animation et d action BioChiMar - Biodiversité et Chimiodiversité Marines Durée 4 ans : période 2009-2012 Juillet 2008 Département Scientifique de rattachement

Plus en détail

de l air pour nos enfants!

de l air pour nos enfants! B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil

Plus en détail

Contact : 05 22 79 01 69 / 77. www.cdgcapitalbourse.ma

Contact : 05 22 79 01 69 / 77. www.cdgcapitalbourse.ma Contact : 05 22 79 01 69 / 77 www.cdgcapitalbourse.ma Présentation Bourse en ligne de CDG Capital Bourse www.cdgcapitalbourse.ma Sommaire CDG Capital Bourse : Société de bourse de référence Pour être bien

Plus en détail

Microsoft Excel : tables de données

Microsoft Excel : tables de données UNIVERSITE DE LA SORBONNE NOUVELLE - PARIS 3 Année universitaire 2000-2001 2ème SESSION SLMD2 Informatique Les explications sur la réalisation des exercices seront fournies sous forme de fichiers informatiques.

Plus en détail

Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon

Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE) Réunion commission EauBiodiversité-Déchets 22 janvier 2015 DGALN - Direction de l'eau et de la Biodiversité 1 Ordre du jour

Plus en détail

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en

Plus en détail

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat

Plus en détail

MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE

MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE cerfa N 50078#10 MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE PROCEDURE D'AGREMENT, AU TITRE DU CREDIT D'IMPOT-RECHERCHE, DES ORGANISMES EXECUTANT POUR DES TIERS DES OPERATIONS DE RECHERCHE ET DE DEVELOPPEMENT NOTICE

Plus en détail

- 1320 - Cordonniers, sigans

- 1320 - Cordonniers, sigans click for previous page - 1320 - Cordonniers, sigans Corps ovale, très comprimé latéralement et couvert de petites écailles. Bouche petite, avec une seule rangée serrée de petites dents incisiformes. Nageoire

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

L immobilier d entreprise artisanale

L immobilier d entreprise artisanale e s c a L immobilier d entreprise artisanale n l B e E n j e u x L i v r S t r a t é g i P r o p o s i t i o n s Ile-de-France Rhône-Alpes Le Livre Blanc de l immobilier d entreprise artisanale Pourquoi?

Plus en détail

MAREMED DANS SON CONTEXTE POLITIQUE.

MAREMED DANS SON CONTEXTE POLITIQUE. MAREMED DANS SON CONTEXTE POLITIQUE. Les projets de coopération font partie intégrante de la politique de cohésion européenne; exigence d analyse des enjeux de la future période; MAREMED s inscrit dans

Plus en détail

CHARTE INTERNATIONALE DU PLONGEUR RESPONSABLE

CHARTE INTERNATIONALE DU PLONGEUR RESPONSABLE CHARTE INTERNATIONALE DU PLONGEUR RESPONSABLE Entrez dans l aventure! Soyez responsables. Devenez les Ambassadeurs de la plongée du 3ème millénaire... Albert Falco : Ancien chef plongeur et capitaine de

Plus en détail

Burkina Faso Profil pays EPT 2014

Burkina Faso Profil pays EPT 2014 Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine

Plus en détail

Approche de la région du Pacifique concernant la gestion collaborative : Participation des Autochtones à la gestion des pêches.

Approche de la région du Pacifique concernant la gestion collaborative : Participation des Autochtones à la gestion des pêches. Approche de la région du Pacifique concernant la gestion collaborative : Participation des Autochtones à la gestion des pêches 30 octobre 2014 1 Aperçu But Contexte stratégique (besoins/attentes/progrès/abordabilité)

Plus en détail

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005 AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis

Plus en détail

ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES

ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES N 202 AOUT 2003 SOMMAIRE 1. PRESENTATION p.3 2. SYNTHESE DE L ENQUETE p.4 3. LES REPONSES DES VILLES ET AGGLOMERATIONS

Plus en détail

Médiathèque de La Cité de la Mer. Sélection de livres pour les enfants à partir de 3 ans. Atelier : LES ANIMAUX DEVINETTES

Médiathèque de La Cité de la Mer. Sélection de livres pour les enfants à partir de 3 ans. Atelier : LES ANIMAUX DEVINETTES Médiathèque de La Cité de la Mer Sélection de livres pour les enfants à partir de 3 ans Atelier : LES ANIMAUX DEVINETTES Les animaux devinettes : Poisson vache Poisson clown Poisson cheval de mer Poisson

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Infrastructure de calcul du CRRI

Infrastructure de calcul du CRRI Infrastructure de calcul du CRRI Types d'infrastructures de calcul Calcul Intensif (High Performance Computing) Tâches fortement couplées (codes vectoriels / parallèles) Supercalculateurs, SMP, clusters,

Plus en détail

Le baccalauréat 2007 Les caractéristiques de la session 2007

Le baccalauréat 2007 Les caractéristiques de la session 2007 Les caractéristiques de la session 2007 24 sur 108 Les nouveautés de la session 2007 La session 2007 du baccalauréat général, technologique ou professionnel, est globalement à l image de la session 2006.

Plus en détail

OBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE

OBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.

Plus en détail

CBBC Canadian Business & Biodiversity Council

CBBC Canadian Business & Biodiversity Council CBBC Canadian Business & Biodiversity Council Centre de la Science de la Biodiversité du Québec 72 chercheurs et 350 étudiants en thèse distribués sur un réseau de 8 partenaires universitaires et 2 institutions.

Plus en détail

MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE)

MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : STIC POUR L'ECOLOGIE

Plus en détail

Journée SITG, Genève 15 octobre 2013. Nicolas Lachance-Bernard M.ATDR Doctorant, Laboratoire de systèmes d information géographique

Journée SITG, Genève 15 octobre 2013. Nicolas Lachance-Bernard M.ATDR Doctorant, Laboratoire de systèmes d information géographique Monitorint spatio-temporel intégré de la mobilité urbaine Monitoring spatio-temporel de l ADN urbain Une réponse aux défis, problèmes, enjeux et risques des milieux urbains Nicolas Lachance-Bernard M.ATDR

Plus en détail

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance

Plus en détail

BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX

BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX 1 - Des communes inégalement desservies en terme d équipements 2 - Des pôles majeurs d attraction en terme d équipements 3 -

Plus en détail