Observation de Mr B. Homme de 55 ans. Bilan lipidique: Prise en charge en hémodialyse en Décembre 2012
|
|
- Marie-Françoise Fortier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Faut-il traiter les dyslipidémies des dialysés? Bruno MOULIN Service de Néphrologie - Transplantation Hôpitaux Universitaires de Strasbourg CUEN DIALYSE GRESSY 7-9 Juin 2015 Observation de Mr B Homme de 55 ans Tabagique Diabétique T2 depuis 15 ans Prise en charge en hémodialyse en Décembre 2012 Atorvastatine 40 mg/j Rétinopathie diabétique Poids = 90 kg (IMC = 32 kg/m 2 ) Bilan lipidique: Cholestérol Total = 1,9g/L LDL = 1,1g/L Triglycérides =2g/L HDL C= 0,41g/L HbA 1C = 8,3% BM-Lipides-CUEN- Dialyse-Juin
2 Q1 - Profil lipidique de l hémodialysé 1. Hypercholestérolémie isolée (TG Normaux) 2. Hypercholestérolémie + Hypertriglycéridémie 3. Hypertriglycéridémie modérée et cholestérol «normal» 4. Hypertriglycéridémie sévère 5. HDL-C élevé BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin Q1 - Profil lipidique de l hémodialysé 1. Hypercholestérolémie isolée (TG Normaux) 2. Hypercholestérolémie + Hypertriglycéridémie 3. Hypertriglycéridémie modérée et cholestérol «normal» 4. Hypertriglycéridémie sévère 5. HDL-C élevé BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
3 Altérations du Métabolisme des Lipides au cours des Néphropathies (Landray AJKD 2001) Cholestérol TG HDL N Protéinuriques IRCT/Dialysé Diabète Transplanté BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin Q2 le risque cardio-vasculaire de ce patient A. Est très élevé B. Majoré par la dyslipidémie C. Peut être amélioré par un traitement par statines D. Peut être amélioré par un traitement par fibrates BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
4 Q2 le risque cardio-vasculaire de ce patient A. Est très élevé B. Majoré par la dyslipidémie???? C. Peut être amélioré par un traitement par statines? D. Peut être amélioré par un traitement par fibrates - NON BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin Statines : quel est le problème? BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
5 Statines : quel est le problème? Polymédications des dialysés (interférences pharmacologiques) Effets secondaires: Sympto mes mineurs a type de douleur ou sensibilité musculaire inexpliqueé, fatigue musculaire, crampes, associeś ou non a une augmentation modeŕeé des CPK (< 5 fois la norme N) Symptômes majeurs : Rhabdomyolyse Situations à risque : insuffisance rénale, hypothyroïdie Bénéfice sur la mortalité et ECV majeurs?? En France : 7 Millions (+1M/an) traités par statines (1,5Mrd ) Coût dialyse : (pour D) BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin Le patient insuffisant rénal : un malade à très haut risque cardio-vasculaire BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
6 Un risque de décès et d évènements CV qui augmente «brutalement» avec la sévérité de l insuffisance rénale Ages-Standardized Rate of Cardiovascular Events (per 100 person-yr) x10 x Estimated GFR CV event Adjusted hazard ratio x ml/min/1.73 m Stade III ( ) Stade IV 2.8 ( ) Stade V 3.4 ( ) Estimated GFR (ml/min/1.73 m 2 ) n = between 1996 and 2000 in California (mean age 52 yrs) - Mean follow-up 2.84 yrs AS Go et al., N Engl J Med 2004 BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin Les patients en IRC ont un risque de décéder supérieur à celui de progresser vers l IRT % of patients 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 5-Year Mortality Rate 14.9% 16.2% 10.3% 6.6% 27.8% 64.2% 63.3% 74.8% 19.9% 1.0% 1.2% 45.7% 19.5% 24.3% 10.2% Stage 1 Stage 2 Stage 3 Stage 4 Disenrolled Event free ESRD Death RRT = renal replacement therapy D Keith et al., J Am Soc Nephrol 2002 BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
7 Facteurs de risque cardio-vasculaire chez l insuffisant rénal FRCV «traditionnels» Age Sexe masculin HTA Hyperlipidémie Diabète Tabac Obésité Facteurs de RCV additionnels Hyperhomocystéinémie LDLox/ Lp(a)/ Stress oxydant Dysfonction endothéliale Protéinurie Anémie, activité physique diminuée Surcharge volémique, HVG Etat inflammatoire chronique Produit PxCa Insulinorésistance Rigidité artérielle BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin La maladie cardio-vasculaire est différente chez le dialysé Causes de mortalité différentes (9% liés à une cardiopathie ischémique seulement) Maladie coronaire "différente" BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
8 L impact du cholestérol sur le risque CV de l insuffisant rénal : pas si clair Association entre LDL-C et survenue d IDM Alberta, Ca pts egfr =15 ml/min/1.73m 2 egfr =30 ml/min/1.73m 2 Hazard ratio egfr =45mL/min/1.73m 2 egfr =60mL/min/1.73m 2 egfr =90mL/min/1.73m 2 Tonelli, JASN 2013 BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin Rôle de l'inflammation (Liu, JAMA 2004) 823 patients débutant la dialyse Classés en fonction de: Etat nutritionnel: Albumine > ou < 36g/L Etat inflammatoire : CRP < ou 10mg/L et/ou IL6>3,09pg/mL Absence de dénutrition ou d inflammation (n=189) Suivi médian: 2,4 ans 324 DCD (159 CVD DC) 153 transplantations rénales BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
9 Statines: des résultats plutôt décevants chez le dialysé 4D - Atorva (2005) AURORA - Rosuva (2009) IRCT(D) SHARP - Simva (2011) IRC & D ALERT Fluva (2003) TR BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin D Trial : absence de bénéfice évident d une statine dans une population de dialysés diabétiques Population: hémodialysés DT2 Traitement : Atorvastatine 20 mg vs PBO Baseline LDL-C = 1,2 g/l Prévention secondaire= 40% Suivi : 4 ans LDL-C= - 0,4g/L (1mmol/L) Critère principal : composite sur - IDM non fatal ou décès cardiaque - AVC fatal ou non fatal RR : 0,92 (95% CI 0,77 à 1,10); p =0,37 Wanner, NEJM 2005; 353: BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
10 AURORA: absence de bénéfice évident d une statine dans une population de dialysés Diabétiques et Non-diabétiques Population : hémodialysés (DT2 =24%) Traitement : Rosuvastatine 10 mg/j vs PBO Baseline LDL-C = 1g/L Prévention secondaire= 40% Suivi : 3,2 ans réduction LDL= -43% Critère principal : composite sur - IDM non fatal ou décès cardiaque - AVC fatal ou non fatal Fellstrom BC et al. N Engl J Med 2009;360: BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin Après 2 études la publication de ces Le % de insuffisants rénaux traités par Statines augmente (597 à 676 ) Lam KI 2009 BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
11 Etude SHARP : Méthodologie de l étude Baigent, Landray, ASN 2010 Randomisés (9 438) Ezétimibe/Simvastati ne (4 193) Simvastatine (1 054) non re-randomisés (168) Placebo (4 191) Ezétimibe/Simvastati ne (4 650) Randomisés (886) Suivi médian 4,9 années Placebo (4 620) 21 BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin 2015 Etude SHARP : Statut rénal à la randomisation Patients dialysés n = Patients non dialysés n = DFG (ml/mn/1,73m²): moy (SD) : 27 (13) < (20 %) (43 %) (36 %) (1 %) (0 %) données manquantes 232 Albuminurie normale (20 %) microalbuminurie (37 %) macroalbuminurie (43 %) données manquantes 701 Am Heart J 2010, 160: BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
12 SHARP : principaux objectifs Objectif principal Evénements athérosclérotiques majeurs (décès coronarien, IM, AVC non hémorragique ou revascularisation) Objectifs secondaires Evénements vasculaires majeurs (décès cardiaque, IM, AVC ou revascularisation) Eléments constitutifs d'événements athérosclérotiques majeurs Principal objectif au niveau rénal Insuffisance rénale terminale (dialyse ou greffe) Baigent et al, Lancet 2011 BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin Proportion de patients présentant un événement (%) SHARP : événements athérosclérotiques majeurs Objectif principal Evénements athérosclérotiques majeurs (décès coronarien, IM, AVC non hémorragique ou revascularisation) Rapport de risque 0,83 (0,74 0,94) Log-rank 2 P = 0, Baigent et al, Lancet 2011 Suivi (années) Placebo Ezé. /simv. BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
13 Relation entre la réduction du LDL-C et la réduction de l incidence des évènements vasculaires majeurs (STATINES) 14 RCT pts 50% Evènements vasculaires majeurs Réduction des évènements (5ans) 40% 30% 20% 10% 0% -10% mmol/l 0,5 1,0 1,5 2,0 Réduction du LDL-C (1 an) LDL-C 0,40 g/l Risque 20 % Baigent, CTT, Lancet 2005; 366: LIPIDES - KDIGO Relation entre la réduction de l incidence des évènements vasculaires majeurs et la réductio moyenne du LDL-C 50% Evènements vasculaires majeurs 40% Réduction des évènements 30% 20% 17% 10% SHARP SHARP LDL-C 0,32 g/l Risque 17 % 0% -10% 0,83 0,5 1,0 1,5 2,0 Réduction du LDL-C mmol/l Lancet 2005; 366: BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
14 SHARP : résultats au niveau rénal (= progression IRC) Evénement Ezé. /simv. (n = 3 117) Placebo (n = 3 130) RR et IC à 95 % Principal résultat au niveau rénal Insuff. rénale terminale (IRT) (33,9 %) (34,6 %) 0,97 (0,89-1,05) Résultats tertiaires au niveau rénal IRT ou décès (47,4 %) (48,3 %) 0,97 (0,90-1,04) IRT ou 2 x créatinine (38,2 %) (40,2 %) 0,94 (0,86-1,01) 0,6 0,8 1,0 1,2 1,4 Ezé. /simv. meilleur Placebo meilleur Baigent et al, Lancet 2011 BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin SHARP : évts athérosclérotiques majeurs selon l'état rénal à la randomisation Ezé. /simv. (n = 4 650) Placebo (n = 4 620) RR et IC à 95 % Non dialysés (n = 6 247) 296 (9,5 %) 373 (11,9 %) Dialysés (n = 3 023) 230 (15,0 %) 246 (16,5 %) Évt athérosclérotiques maj. 526 (11,3 %) 619 (13,4 %) Absence d'hétérogénéité significative entre les patients non dialysés et les patients dialysés (p = 0,25) 0,6 0,8 1,0 1,2 1,4 Ezé. /simv. meilleur Placebo meilleur diminution de 16,5 % SE 5,4 (p = 0,0022) BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
15 Que disent les méta-analyses? Upadhyay, All-cause mortality Ann Int Med 2012 NDD-CKD.83 ( ); moderate Dialysis 0.96 ( ); moderate Transplantation NA Cardiovascular mortality NDD-CKD 1.00 ( ); high Dialysis 1.00 ( ); high Transplantation NA Major cardiac event NDD-CKD 0.77 ( ); moderate Dialysis 0.96 ( ); moderate Transplantation NA Myocardial infarction NDD-CKD 0.74 ( ); moderate Dialysis 0.72 ( ); moderate Transplantation NA Stroke NDD-CKD 0.72 ( ); very low Dialysis 1.47 ( ); very low Transplantation NA Palmer, Ann Int Med ( ); moderate-high 0.96 ( ); moderate-high 1.05 ( ); low 0.78 ( ); moderate-high 0.94 ( ); moderate-high 0.68 ( ); low 0.76 ( ); moderate-high 0.95 ( ); moderate-high 0.84 ( ); low 0.55 ( ); NA 0.87 ( ); NA 0.70 ( ); NA 0.61 ( ); NA 1.30 ( ); NA 1.18 ( ); NA BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin Effect of statin therapy on cardiovascular and renal outcomes in patients with chronic kidney disease: a systematic review and metaanalysis Hou et al Eur Heart J 2013 online BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
16 Que disent les nouvelles KDIGO 2013 LIPIDES - KDIGO FAUT-IL DOSER les LIPIDES SYSTEMATIQUEMENT? GRADE 1C NON GRADÉ Adultes avec une MRC nouvellement identifiée (incluant ceux traités par dialyse chronique ou transplantation rénale), nous recommandons une évaluation du profil lipidique (cholestérol total, LDL cholestérol, HDL cholestérol, triglycérides) Adultes avec une MRC (incluant ceux traités par dialyse chronique ou transplantation rénale), le dosage des lipides n est pas requis pour la majorité des patients durant le suivi. LIPIDES - KDIGO
17 Faut-il doser le cholestérol? Patient Déjà traité par statine? Doser le cholestérol? Homme 55 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 OUI NON (déjà sous statine) Homme 55 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 NON NON (Statine recommandée) Homme 55 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 Et R A/C = 1g/g Homme 45 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 Fumeur, diabétique, HTA Homme 45 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 Non Fumeur, Non diabétique, pas d HTA Homme 45 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 Non Fumeur, Non diabétique, pas d HTA Homme 35 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 Non Fumeur, Non diabétique, pas d HTA NON NON OUI NON NON NON (Statine recommandée) NON (Statine recommandée) NON (reçoit déjà une statine) OUI (le risque d E CV à 10 ans varie de 5 à 20% en fct du niveau de LDL NON (le risque d E CV à 10 ans est <10% qq soit le niveau de LDL) Ann Intern Med. 2014;160(3): doi: /m LIPIDES - KDIGO Chez le dialysé Le doser à l initiation puis STOP! (KDIGO 2013) BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
18 TRAITEMENT PHARMACOLOGIQUE : DIALYSES et TRANSPLANTES GRADE 2A 2C 2A Chez les dialysés adultes, ne pas débuter un traitement par Statines ou une combinaison Statine/ezetimibe Chez les patients déjà traités par statines ou une combinaison Statine/ezetimibe au démarrage de la dialyse, poursuivre ces agents Chez les transplantés de rein adultes, traiter par statines 4D - AURORA SHARP 2141 pts (34%) from non-dialysis status to dialysis ALERT LIPIDES - KDIGO Commentaires: dialysés Statines non recommandées chez la plupart des patients prévalents Peuvent souhaiter choisir d être traités par statines s ils «font le pari» d une réduction du risque cardiovasculaire relativement faible et incertaine En faveur du traitement : LDL-C élevé (bénéfice incertain), IDM récent ou espérance de vie élevée Contre le traitement : sévère comorbidité ou polymédication LIPIDES - KDIGO
19 TRAITEMENT PHARMACOLOGIQUE : STATINES POUR TOUS? GRADE 1A 1B Adultes 50 ans avec DFGe <60 ml/ min/1.73 m 2 mais non traité par dialyse ou transplantation rénale (DFG catégories G3a G5), nous recommandons un traitement par statine ou statine/ezetimibe. Adultes 50 ans avec MRC et DFGe 60 ml/min/1.73 m 2 (DFG catégories G1 G2), nous recommandons un traitement par statine. 2A Adultes ans avec MRC mais non traité par dialyse ou transplantation rénale, nous suggérons traitement par statine chez les patients avec un ou plusieurs des FR suivants : Maladie coronarienne avérée (IDM ou revascularisation coronaire) Diabète ATCD d AVC ischémique Estimation d une risque de décès coronaire ou d IDM non fatal 10% à 10 ans Knowledge of LDL cholesterol is not required to gauge average coronary risk in this population REFERENCE SHARP, Post-hoc Analysis of RCT of subgroups of patients LIPIDES with -CKD KDIGO at baseline TRIGLYCERIDES GRADE 2D 2D Adultes avec MRC (incluant ceux traités par dialyse chronique ou transplantation rénale) et hypertriglycéridémie, nous suggérons que des modifications du style de vie soient proposées. Enfants avec MRC (incluant ceux traités par dialyse chronique ou transplantation rénale) et hypertriglycéridémie, nous suggérons que des modifications du style de vie soient proposées. LIPIDES - KDIGO
20 Approche de l utilisation des statines chez le patient MRC KDIGO 2013 STATINES PAS de STATINES TOUS LES STADES de MRC 1-5, Age 50 ans MRC stade 1-5 Age < 50ans TOUS LES TRANSPLANTÉS de REIN MALADIE VASCULAIRE AVERÉE DIABETE RISQUE CV >10% À 10ANS HD/DP LIPIDES - KDIGO Doses recommandées de Statines (KDIGO 2013) Titrer progressivement vers les posologies élevées LIPIDES - KDIGO
21 Les KDIGO : Recommandations pour la prise en charge pratique des dyslipidémies chez l insuffisant rénal 13 recommandations Evaluer chez tous Pas de cibles (pour mémoire 1g/L voire 0,7g/L en prévention secondaire dans les recos ESH) Traiter pour beaucoup Mesurer chez très peu LIPIDES - KDIGO C est fini! Merci BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
22 En pratique faut-il doser le cholestérol et pour conclure Patient Déjà traité par statine? Doser le cholestérol? Homme 55 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 OUI NON (déjà sous statine) Homme 55 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 NON NON (Statine recommandée) Homme 55 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 Et R A/C = 1g/g Homme 45 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 Fumeur, diabétique, HTA Homme 45 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 Non Fumeur, Non diabétique, pas d HTA Homme 45 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 Non Fumeur, Non diabétique, pas d HTA Homme 35 ans, DFG 35 ml/min/1.73m 2 Non Fumeur, Non diabétique, pas d HTA NON NON OUI NON NON NON (Statine recommandée) NON (Statine recommandée) NON (reçoit déjà une statine) OUI (le risque d E CV à 10 ans varie de 5 à 20% en fct du niveau de LDL NON (le risque d E CV à 10 ans est <10% qq soit le niveau de LDL) Ann Intern Med. 2014;160(3): doi: /m LIPIDES - KDIGO Merci de votre attention LIPIDES - KDIGO
23 KDIGO 2013 (en attente) Recommandations concernant le traitement hypolipémiant chez l adulte dialysé Chez l adulte au stade 5D, nous suggérons de ne pas initier un traitement par statine ou statine/ezetimibe (2A) Chez les patients déjà traités par statine ou statine/ezetimibe au moment de la prise en charge en dialyse, nous suggérons de poursuivre ces molécules (2C) Conclusions (personnelles) beaucoup de patient vont être traités par statines Attention aux sujets âgés qui n en ont pas besoin Cibles? BM-Lipides-CUEN-Dialyse-Juin
Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI
Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailFarzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV
Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailNouvelles lignes directrices sur les lipides mieux cibler pour mieux traiter
L athérosclérose coronarienne Nouvelles lignes directrices sur les lipides mieux cibler pour mieux traiter 1 Jean Grégoire et Ragui Ibrahim Vous êtes à votre cabinet le premier lundi de janvier, premier
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailRisque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques
Risque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques Dr Jérôme CONNAULT Service de Médecine Interne et Vasculaire CHU Nantes Société Algérienne de Médecine Interne
Plus en détailLes reins sont foutus
Les reins sont foutus quelles sont les avenues? F O R M A T I O N C O N T I N U E Vous voyez en relance M me Bouthillier, 83 ans, atteinte d insuffisance cardiaque ischémique, d hypertension artérielle,
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailPour la prévention des maladies cardiovasculaires dans le diabète, le taux d'hba1c cible recommandé est <7,0% (<53 mmol / mol).
Discussion par le Dr Boustani : les nouvelles recommandations européennes sur la prévention nous invitent à une révolution intellectuelle dans l identification des patients à risques. La majorité des cardiologues,
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailEvolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT
Evolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT Marc Ladrière CHU Nancy Hôpital Brabois Adulte 19 mars 2015 Le rapport d activité
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailPlanification d une substitution rénale: que faut-il savoir?
CURRICULUM Forum Med Suisse 8;8:7 74 7 Planification d une substitution rénale: que faut-il savoir? Hanno Elsässer a, Nick Hoyer b, Michael Dickenmann a a Klinik für Transplantationsimmunologie und Nephrologie,
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailPrimeurs en cardiologie I
Primeurs en cardiologie I Chicago Emmanuèle Garnier Le congrès de l American College of Cardiology (ACC), qui avait lieu du 29 mars au 1 er avril, a permis le dévoilement en primeur de nombreux résultats
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détail16/04/03 Confidentiel
MEMORANDUM DATE : 16/04/03 DE : RE : FRANÇOIS HOUYEZ NOTE SUR LE RISQUE DE MALADIE CARDIO-VASCULAIRE ET TRAITEMENT HAART NOTE: DES INFORMATIONS CONTENUES DANS CE RAPPORT PEUVENT ETRE CONFIDENTIELLES. ELLES
Plus en détailPRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU PATIENT DYSLIPIDÉMIQUE ARGUMENTAIRE
PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU PATIENT DYSLIPIDÉMIQUE ARGUMENTAIRE Ce document est une actualisation des Recommandations de Bonne Pratique "Prise en charge des dyslipidémies" publiées par l'afssaps en
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailDonnées de Pharmacovigilance et les NOACs. Haleh Bagheri haleh.bagheri@univ-tlse3.fr
Données de Pharmacovigilance et les NOACs Haleh Bagheri haleh.bagheri@univ-tlse3.fr Dabigatran (Pradaxa) Rivaroxaban (Xarelto) Apixaban (Eliquis ) Effet Attendu (A) Effet Inattendu (B) Hémorragie - Hépatotoxicité
Plus en détailSyndromes coronaires aigus
CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailRISQUE CARDIOVASCULAIRE et INFECTION PAR LE VIH
RISQUE CARDIOVASCULAIRE et INFECTION PAR LE VIH Correspondances en Risque CardioVasculaire Cardiovascular risk in HIV-infected patients Franck BOCCARA, Stéphane EDERHY, Catherine MEULEMAN, Sandra JANOWER,
Plus en détailFemmes, prenez soin de votre cœur! LIVRET DE PREVENTION
LIVRET DE PREVENTION Femmes, prenez soin de votre cœur! TOUT SAVOIR SUR LA SANTE DU CŒUR DES FEMMES, par la Fondation Cœur et Artères, reconnue d utilité publique Introduction Ce livret s adresse à toutes
Plus en détailLa Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
La Société de Pharmacie de Lyon, le 17 novembre 2011 Le risque thrombo-embolique : actualités thérapeutiques et sa prise en charge La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
Plus en détailEn dehors de la FA, quelles sont les autres indications validées ou à venir?
En dehors de la FA, quelles sont les autres indications validées ou à venir? L intérêt des NACOs ne se limite pas à la prévention du risque thrombo-embolique dans la FA non valvulaire. En effet, ces molécules
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailS. Hercberg, Key-words: Antioxidants, Vitamins, Minerals, Randomized trial, Supplementation.
2006. Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés Ann Pharm Fr 2006, 64 : 397-401 Stress oxydant L étude SU.VI.MAX, un essai contrôlé randomisé, en double aveugle, testant l effet de la supplémentation en
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailLa télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL)
La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Angers FHF 13 septembre 2012 Ce qui a changé dans l exercice
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailDonneurs vivants Risques à long terme. Cours de transplantation Univ. Montréal et McGill 5 avril 2013
Donneurs vivants Risques à long terme Michel R. Pâquet MD, PhD Unité de Transplantation Le Centre Hospitalier de l Université de Montréal Hôpital Notre-Dame Montréal Hôtel-Dieu Hôpital Notre-Dame Cours
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailMédecine Physique Prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse. Pr Philippe NGUYEN Vendredi 17 Décembre 2010
Médecine Physique Prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse Pr Philippe NGUYEN Vendredi 17 Décembre 2010 Situation clinique : «prévention de la MTEV» Femme, 72 ans, poids = 87 kg, taille = 1,56
Plus en détailDiabète et hypoglycémies
Diabète et hypoglycémies Docteur Karim LACHGAR Chef de service de diabétologie endocrinologie Hôpital Simone Veil Eaubonne Montmorency Karim.lachgar@ch-simoneveil.fr 15 e journée des associations du Val
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailmaladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs
maladies des artères Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères : comment, pourquoi? La principale maladie de nos artères, appelée athérosclérose,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 14 mars 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 14 mars 2012 XARELTO 15 mg, comprimés pelliculés B/14 (CIP: 34009 219 225 1 6) B/28 (CIP: 34009 219 226 8 4) B/42 (CIP: 34009 219 227 4 5) B/10 (CIP: 34009 219 228 0
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailsoins va changer et quelle est la place des TIC?
Pourquoi l organisation des soins va changer et quelle est la place des TIC? Docteur Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Luxembourg 15 avril 2010 UN RAPPORT «La place
Plus en détailLes triptans. quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre. Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit!
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Les triptans quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit! Les triptans, des agonistes sélectifs
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailSystème cardiovasculaire - CV CV111 CV110. aliskirène Rasilez
aliskirène Rasilez CV111 Pour le traitement de l hypertension artérielle, en association avec au moins un agent antihypertenseur, si échec thérapeutique, intolérance ou contre-indication à un agent de
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailRecommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue
RECOMMANDATIONS SFC/ALFEDIAM Recommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue Recommandations, argumentaire, références B. Charbonnel, B. Bouhanick, C. Le
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détail6 novembre 2014. Modifier son style de vie pour améliorer la dyslipidémie? et pour diminuer le risque cardiovasculaire
6 novembre 2014 Modifier son style de vie pour améliorer la dyslipidémie? et pour diminuer le risque cardiovasculaire Ulrich Keller, Prof. Dr. med. FMH Endocrinologie-Diabétologie Consultant, Clinique
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailChapitre 1. Risque cardiovasculaire de la Polyarthrite Rhumatoïde
Risque cardiovasculaire dans les rhumatismes inflammatoires chroniques Sylvain Mathieu, Anne Tournadre, Martin Soubrier Service de rhumatologie. Hôpital G Montpied. 63003 Clermont-Ferrand. Il est maintenant
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 7 janvier 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 7 janvier 2009 ZANEXTRA 20 mg/10 mg, comprimés pelliculés B/30, code CIP : 385 967.4 B/90, code CIP : 387 392.9 Laboratoires BOUCHARA RECORDATI Enalapril/Lercanidipine
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailPLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE
Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique
Conflits d intd intérêts (en rapport avec le thème de la conférence) Les nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique Oratrice lors de journées de formation sur les nouveaux anticoagulants
Plus en détailLes Nouveaux AntiCoagulants Oraux
Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine
Plus en détailDr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)
Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation
Plus en détailPas anodine, la créatinine!
Pas anodine, la créatinine! F O R M A T I O N C O N T I N U E M. Rinfret se présente à votre cabinet pour son premier examen. «À 50 ans, j ai encore les reins solides!», vous dit-il. Isabelle Chapdelaine
Plus en détailNACO et Angioplas>e. Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière
NACO et Angioplas>e Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière Disclosures Research Grants from «Fédéra>on Française de Cardiologie» Consul>ng fees from Astra Zeneca,
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détail