Evaluation et données de santé
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- Jean-Jacques Leduc
- il y a 8 ans
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1 Evaluation et données de santé Où est l intérêt des usagers? 1
2 Il est évident, essentiel et tarde à venir 2
3 Un facteur universel d évolution la croissance exponentielle des savoirs et des techniques Plus de nouveaux articles médicaux dans des revues à comité de lecture chaque mois, un stock de 9 millions! Environ principes actifs, 7600 actes à la CCAM, actes de biologie De nouvelles technologies matérielles et immatérielles Des référentiels, «guidelines» et autres procédures 42 familles de règlements sur la sécurité 3
4 Pour le seul secteur sanitaire : Une double division du travail Les facultés de médecine reconnaissent 57 «spécialités» ; de fait, il y en a plus d une centaine (220 aux Etats-Unis)! La DGOS classe 185 «métiers» à l hôpital Une matrice avec plus de cases représentant des acteurs qu il faudrait coordonner D où, notamment, l importance des systèmes d information mais aussi et surtout des réseaux de prise en charge 4
5 Qui se complique encore quand on y ajoute le secteur social L exemple de la prise en charge des personnes autistes : La nécessaire coordination entre les systèmes éducatifs, médico-sociaux et sanitaires Coordination qui devrait s accompagner de «fongibilité» des enveloppes 5
6 Une curieuse et ancienne politique Un intérêt limité à la mise sur le marché des innovations (Mediator, Diane 35 ) Une arme unique : autoriser ou interdire On ne s intéresse donc qu à la qualité des instruments médicaux, mais pas à la manière dont en joue 6
7 D inexplicables variations! Aux lourdes conséquences pour l usager 7
8 Honoraires des cardiologues 8
9 9
10 Une autre carte de la chirurgie des pontages aorto-coronariens 10
11 De considérables variations pour la cardiologie interventionnelle 11
12 La carte de la chirurgie de la cataracte 12
13 De dérangeantes questions? D où viennent ces variations de pratiques? Qui peut lire articles en anglais chaque mois? Comment peut-on (presque) tout prescrire alors que l on ne peut pas tout connaitre? 13
14 Et tout d abord une question de pouvoir Nous vivons toujours sur l accord de 1930 Celui de la médecine dite «libérale» Les temps n ont-ils pas changé? Les exemples étrangers montrent l importance essentielle des données de santé. Elles constituent une condition nécessaire (pas suffisante cependant) pour des soins de qualité 14
15 Faire en sorte que les Français bénéficient tous de soins de qualité Un louable objectif Qui est aussi exigeant Mais on peut l atteindre, car l on dispose de données de santé d une qualité certes grocières mais suffisantes Elles permettent de suivre qui prescrit quoi, où et quand et donc de suivre à la fois le parcours de soins et la nature des prescriptions 15
16 Deux grands outils Un «réseau de la connaissance» à l usage des professionnels de santé Des réseaux permettant une analyse systématique des prescriptions et des parcours de soins, à moins que cela se fasse tout de suite par les ARS??? Un double volontariat 16
17 Un nouveau contrat avec le corps médical Alors qu il y a longtemps que l accord de aurait dû évoluer, la fiction du libéralisme médical s est renforcée, notamment en 2004 Les pouvoirs des médecins conseils de l assurance maladie sont ceux d un canard à qui on aurait couper les ailes et auquel on demanderait de voler! 17
18 L accès des chercheurs ne suffit pas En effet, ils continueront de documenter ce que l on sait déjà : à savoir que les pratiques cliniques sont hétérogènes. Ce n est pas négligeable pour asseoir la légitimité de la puissance publique, mais c est insuffisant pour les usagers Un contrôle ici et maintenant s impose pour que convergent les pratiques cliniques et que la solidarité s appuie non plus sur des impressions mais sur des faits! 18
19 Le secret médical a toujours été une excuse Bien entendu, comme tous, j y tiens Les systèmes de cryptage sont très au point Et si celui qui a la clé de l armoire aux clés s en sert un jour à des fins personnelles, il existe des tribunaux pour le poursuivre Un prétexte donc bâti sur un fantasme pour continuer à ne pas être contrôlé! Efficace. 19
20 Une nécessaire légitimité médicale L analyse quasiment en temps réel de la littérature mondiale Des décisions claires avec des procédures de recours Le soutien des sociétés savantes, de l académie de médecine et de leurs membres Le réseau de la connaissance : un geste positif 20
21 La peur des intérêts commerciaux Ils existent Ils sont mieux informés que les pouvoirs publics Le problème des conflits d intérêts n est pas l existence de ces conflits, c est leur régulation Tout le monde a un conflit d intérêt sauf les ignorants 21
22 L état seul ne pourra jamais répondre à la tâche. Il fera pas ou mal. D où une nécessaire délégation à l échelon local et l idée d opérateurs choisis par les usagers. Pour l instant, outre l assurance maladie, ont peut penser aux assureurs complémentaires ou à toute autre forme associative 22
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