LA SOCIETE POLITIQUE
|
|
- Ève Poitras
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA SOCIETE POLITIQUE PLAN : I) L Homme est un Animal social II) Définition de la société politique par les 4 causes III) Le but et la fin de la société politique I) L Homme est un Animal social L expérience manifeste qu il est naturel à l homme de communiquer, d avoir avec les autres des activités qui seront dites communes. L activité commune est ce qui définit la vie sociale. a) Aristote : Pour Aristote, le fondement de la vie en société est la nature. «L Homme est par nature un animal politique et celui qui est sans cité naturellement et non par suite des circonstances est un être dégradé (ex : un hippie) ou au-dessus de l humanité (ex : l ermite)» 1. C est au terme d une induction qu Aristote conclut que l homme est un animal politique. La cité a pour but de satisfaire des besoins qui dépassent le quotidien de toute famille : à ce titre les familles s associent entre elles pour subvenir à des besoins communs, puis s associent en associations de plus en plus parfaites et complètes jusqu à la cité. Et la cité ou société politique advient en vue du bien vivre : la cité est en vue du bien vivre. «C est pourquoi toute cité est un fait de nature» 2. Aristote s attache ainsi à montrer que le but de l association est naturel. Si le désir de se reproduire peut expliquer la nature de la famille, c est le bien vivre qui rend compte de l association de la cité. 1 Les politiques, livre I, chapitre 2, 1253 a, 2 (édition GF Flammarion) 2 Pol., livre, chapitre 2, 1252 b
2 b) St Thomas : Saint Thomas s appuie sur l enseignement du Philosophe 3 : «La nature de l homme veut qu il soit un animal social et politique, vivant en collectivité. Cela lui appartient beaucoup plus qu à tous les autres animaux et la simple nécessité naturelle le montre clairement. L homme connaît naturellement ce dont il a besoin pour vivre, mais seulement en général. Il peut ainsi par sa raison, au moyen des principes universels, parvenir à la connaissance des choses particulières nécessaires à sa vie. Mais il n est pas possible qu un homme seul atteigne par sa raison toutes les choses de cet ordre. Il est donc nécessaire que les hommes vivent en nombre pour s entraider, pour se consacrer à des occupations diverses, en rapport avec la diversité de leurs talents, l un par exemple à la médecine, un autre à ceci, un autre à cela» 4. Et la dimension de la cité est par nature celle qui pourvoit à elle seule à tous les besoins de la vie, en particulier au besoin de secours mutuel pour la résistance à l ennemi 5. II) Définition de la société par les 4 causes La définition : La Société est le rassemblement de ceux qui agissent ensemble comme les parties d un même tout afin d obtenir une fin commune (le bien commun). Explication : par les 4 causes 6 : - Cause matérielle : «Adunatio hominum» la société désigne un ensemble ou un rassemblement, elle fait référence à une pluralité. Plus précisément c est un ensemble d hommes dont l unité est définie par l opération 7. 3 Le Philosophe = terme employé par les scolastiques pour désigner Aristote 4 De regno, livre 1, chapitre 1 5 De regno, livre 1, chapitre 1 6 Pour aller plus loin sur le concept des 4 causes, il faut se reporter aux «Principes de la réalité naturelle» de St Thomas d Aquin. 2
3 - Cause formelle : «Ad agendum communiter». Cela désigne l agir en commun. Il ne suffit pas pour constituer une société de réunir des hommes nombreux et différents, comme on réunit par exemple ceux qui passent dans une rue ou dans une place publique. Pour pouvoir parler de société, il faut que la fin commune soit recherchée en commun. Ainsi les activités particulières de chacun s inscrivent dans l activité commune recherchée par tous. Dans le cadre de la société l Homme reçoit la condition d une partie, dépendant par le fait même du tout. Chacun de ceux qui composent la société accomplissent une fonction particulière pour obtenir la fin. - Cause efficiente : l Autorité 8 ordonnant toutes choses au bien commun. - Cause finale : «Bonum commune» (le Bien commun). Le bien commun est un bien qui ne peut être recherché et dont on ne peut jouir qu à la condition d être plusieurs réunis (exemple : une partie de tennis). Pour la société politique le bien commun correspond à deux éléments : o la vie active selon l exercice des vertus morales : tout homme trouvera sa perfection en agissant pour ce qui est Bien et ce qui est Moral. AGERE o La vie contemplative : cette vie contemplative correspond à l exercice des vertus intellectuelles (spécifité et dignité de l homme), c est elle qui constitue le véritable bonheur, parce que c est elle qui est véritablement la fin ultime 9. CONTEMPLARE 7 Il faut rappeler que l «Union» peut se faire soit dans l être soit dans les opérations. L union dans l être ne constitue pas une société : par exemple, l union de la substance et des accidents qui est une union dans l être ne peut être appelée une société. Ce qui constitue une société, c est bien l union dans les opérations. 8 Cf deuxième fiche pratique sur l Autorité 9 L homme est distinct des autres êtres et se spécifie par sa nature intellectuelle qui lui permet de s élever audelà du monde sensible et matériel. A ce titre, c est aussi par les vertus intellectuelles que l homme atteindra le bonheur qui lui est propre. Or le propre de l intelligence est d atteindre l Etre des choses. 3
4 EN RESUME : Cause Matérielle : Un rassemblement d hommes dont l unité est défini par l opération. Cause Formelle : l agir en commun. Dans le cadre de la société l Homme reçoit la condition d une partie, dépendant par le fait même du tout. LA SOCIETE Cause Efficiente : L autorité en tant qu elle agit (ex : les Lois ) Cause Finale : Le bien commun (exercice des vertus morales et vie contemplative). Cause Matérielle : Un rassemblement d hommes dont l unité est défini par l opération. Les familles et les corps intermédiaires (associations professionnelles, club sportifs ) Cause Formelle : la forme politique (c est l organisation formelle et interne de la cité) = le régime politique 10 mis en place et les lois qui régissent la cité LA CITE POLITIQUE Cause Efficiente : L autorité, le détenteur du pouvoir qui ordonne toute chose au bien commun. Cause Finale : Le bien commun (exercice des vertus morales et vie contemplative). III) Le but et la fin de la société politique La fin de la société politique est double : - Fin prochaine : Elle consiste en la perfection et le bonheur de tout homme. Par la société politique l homme doit atteindre le bonheur naturel qui le perfectionne dans 10 Les régimes politiques peuvent être divers et peuvent être laissés à la discrétion des Nations : monarchie, aristocratie, démocratie 4
5 l ordre naturel. La société politique est définit formellement par le bien commun ou l exercice des vertus morales (ou vie active). Lorsqu il est atteint à la perfection, ce bien commun est l amitié. Il suppose pour chaque individu les biens matériels. Il est la condition, pour chaque individu, de la félicité contemplative, qui est un bien essentiellement personnel, mais qui s appuie sur le bien commun. Les biens matériels < bien commun de la vie active < félicité contemplative. - Fin éloignée : cela signifie le salut des âmes, et la protection de l Eglise Catholique. La société politique est aussi adjuvante au salut éternel de l homme, qui est la fin ultime de toute existence. En toutes choses c est la cause finale qui détermine l agir. A ce titre la société politique doit aider ses sujets à atteindre la fin dernière (le salut de son âme) par des bonnes lois. Le bonheur naturel que peut procurer une société politique ne suffit pas au bonheur ultime de l homme, c est à ce titre que la société civile se subordonne (en ce qui concerne la Foi et les mœurs) à la société surnaturelle voulue par Dieu : l Eglise catholique. Par des bonnes lois la société prépare ses sujets à recevoir plus facilement la grâce surnaturelle : la surnature s appuyant sur la nature. D où cet adage célèbre : de la forme donnée à la société découle le bien ou le mal des âmes, leur salut ou leur perte 11. BIBLIOGRAPHIE : - Les principes de la réalité naturelle : St Thomas d Aquin - Les Politiques : Aristote - Aperçu de Philosophie Thomiste : P.PEGUES, O.P - La cité oubliée : l Abbé Chazal, FSSPX 11 NB : nous ne voulons pas ici minimiser l action toute puissante de Dieu sur tout être ; de même nous ne souhaitons pas non plus prôner le naturalisme. Loin du surnaturalisme et du Naturalisme, il y a un juste milieu à conserver : Dieu peut toute chose (c est une certitude) et à ce titre Il peut convertir n importe quel personne de bonne volonté quelque soit la société dans laquelle il vit. Néanmoins dans l ordre commun des choses, et dans la mesure où la surnature se greffe sur la nature, une conversion sera d autant plus facilitée si les hommes ont de par leurs actes (ou vertus morales) une vie saine dirigée par de bonnes lois. A ce titre, la société politique a un rôle majeur à jouer, en n excluant pas que seul la Foi reste du domaine surnaturel et que seule une intervention divine et une coopération de l homme peuvent convertir. 5
Le Baptême de notre enfant
Le Baptême de notre enfant Baptême de notre enfant : Le à l église de Ce même jour, ils ont également reçu le baptême 1 Chers parents, Déroulement de la célébration (p 3-8) 1. Accueil et entrée dans l
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailECOLE SAINTE ANNE PROJET PEDAGOGIQUE ECOLE PRIMAIRE CATHOLIQUE HORS CONTRAT
ECOLE SAINTE ANNE PROJET PEDAGOGIQUE ECOLE PRIMAIRE CATHOLIQUE HORS CONTRAT L école Sainte-Anne a été fondée dans le souci de transmettre à nos enfants un enseignement complet intégrant l intelligence
Plus en détaill'essence de chaque chose se trouve dans la chose même. matière forme
que des ombres projetées contre la paroi. C'est le monde de l'existence, sensible, et comme les hommes ne peuvent pas voir autre chose, ils sont dans l'ignorance et pensent que c'est le monde réel. L'un
Plus en détailVisita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin
N. 0311 Lunedì 27.04.2015 Visita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin Il Santo Padre Francesco ha ricevuto questa mattina in Udienza i Vescovi della Conferenza Episcopale
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailDE ENTE ET ESSENTIA L ÊTRE ET L ESSENCE
DE ENTE ET ESSENTIA L ÊTRE ET L ESSENCE OPUSCULE 30 (1254-1256) DE SAINT THOMAS D'AQUIN Editions Louis Vivès, 1857 Édition numérique, http://docteurangelique.free.fr, Les œuvres complètes de saint Thomas
Plus en détail«Je pense, donc je suis» est une grande découverte
6 «Je pense, donc je suis» est une grande découverte Cette affaire-là est assez claire. On lit dans le Discours de la méthode, Quatrième Partie : «[ ] Je me résolus de feindre que toutes les choses qui
Plus en détailCOMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION
Stephen Wang COMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION Mariage, sacerdoce, vie consacrée, diaconat permanent, célibat «Petits Traités Spirituels» Série III «Bonheur chrétien» éditions des Béatitudes Ava n t-p r o
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailPrimauté du spirituel ou primauté du bien commun?
Primauté du spirituel ou primauté du bien commun? Introduction : une vocation conjugale Il nous semble que pour bien comprendre le titre du livre de Jacques Maritain, Primauté du spirituel écrit au moment
Plus en détailCharte de protection des mineurs
«Mes enfants, soyez joyeux!» Charte de protection des mineurs Au sein de l Académie Musicale de Liesse Mise à jour août 2014 L ensemble des adultes intervenant au sein de l Académie Musicale de Liesse
Plus en détailLes ministères dans l église Ephésiens 4.11-16
1 Les ministères dans l église Ephésiens 4.11-16 Introduction : Pour qu une église puisse se développer harmonieusement il faut que chaque membre trouve sa place et remplisse sa fonction. Voila pourquoi
Plus en détailNeuvaine du travail à saint Josémaria Escriva
Neuvaine du travail à saint Josémaria Escriva Auteur : Francisco Faus Autorisation ecclésiastique : +D. Benedicto Beni dos Santos Évêque auxiliaire de São Paulo. 8 avril 2003 Pour plus d information sur
Plus en détailRecommandez Sunrise. Un partenaire de confiance.
Recommandez Sunrise Un partenaire de confiance. Soins de longue durée et soins pour personnes semi-autonomes Soins pour personnes souffrant de l Alzheimer ou éprouvant des troubles de la mémoire Soins
Plus en détailFeuille de route 2013-2016
Archidiocèse de sherbrooke Vers un nouveau réseau de collaborations Feuille de route 2013-2016 Malgré les changements apportés, la diminution des ressources humaines et matérielles en milieu ecclésial
Plus en détailLes Principes fondamentaux
Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du
Plus en détailJe viens vous préparer à cet évènement : L illumination des consciences
Je viens vous préparer à cet évènement : L illumination des consciences Cette révélation est donnée en français à Sulema, une femme née en 1954 au Salvador. Depuis plus de 30 ans, elle vit au Canada avec
Plus en détail22 Nous Reconnaissons la force du pardon
22 Nous Reconnaissons la force du pardon 23 Par le rite pénitentiel, les chrétiens se tournent vers Dieu pour lui demander son pardon. Dieu nous reçoit tels que nous sommes et nous pardonne pour que nous
Plus en détailNATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques
NATIONS UNIES Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques www2.ohchr.org/english/issues/minorities Droits des minorités Introduction
Plus en détailDECLARATION DES PERFORMANCES N 1
DECLARATION DES PERFORMANCES N 1 Résistance mécanique C18 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES N 2 Résistance mécanique C24 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES
Plus en détailFAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)
FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST
Plus en détailDonner, léguer... pour la vie et les projets de l Église Réformée à Lyon. Parlons-en!
Donner, léguer... pour la vie et les projets de l Église Réformée à Lyon Parlons-en! 2 Les dons dons classiques dons «ISF» L unique ressource financière de l Église, c est le don. Dans un monde qui a tendance
Plus en détail3 thèses : Problématique :
LA CONSCIENCE Problématique : 3 thèses : Thèse 1 : L âme est une substance. A. L âme est une substance individuelle. B. La conscience comme substance pensante une et indivisible. Thèse 2 : La conscience
Plus en détailLa culture L épreuve du Bac
L épreuve du Bac Synthèse des concepts rencontrés dans les textes... 80 Sujets de dissertation... 81 Méthode d analyse d un sujet de dissertation... 82 Sujet 1 Méthode d analyse d un texte : texte de Freud...
Plus en détailLa solidarité en action
nos adresses Depuis 1942 nous sommes à votre service. Rendez-vous dans l un de nos Pôles Santé Agence de Berck sur Mer 15, rue de l Impératrice 62600 Berck sur Mer Tél. : 03 21 84 12 74 Ouvert du mardi
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION CARITAS JURA
STATUTS DE L ASSOCIATION CARITAS JURA Remarque : Les termes désignant des personnes s appliquent indistinctement aux femmes et aux hommes. Art. 1 DENOMINATION ET SIEGE Sous la dénomination CARITAS JURA(ci-après
Plus en détailCrise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations
11ème Université Interprofessionnelle Mercredi 25 septembre 2013 Espace Tête d Or - Villeurbanne Crise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations Atelier n 1 Audit social et diagnostic
Plus en détailAccueil familial de jour
Département de la formation, de la jeunesse et de la culture Service de protection de la jeunesse Directives pour l accueil de jour des enfants Accueil familial de jour Cadre de référence et référentiels
Plus en détailLE MOT DU PRÉSIDENT, Le Président, Marc Maréchal 1/5
LE MOT DU PRÉSIDENT, Vous avez choisi la pratique du Judo et je ne peux que vous en féliciter. Pour votre épanouissement personnel ou pour le soutien éducatif de votre enfant, le judo procure un apport
Plus en détailUne guerre juste est-elle possible?
Pseudonyme : Colombine Nombre de mots : 1942 mots Une guerre juste est-elle possible? 8000 traités de paix ont été dénombrés jusqu à aujourd hui 1. C est dire qu au moins 8000 guerres ont façonné l histoire.
Plus en détailGEORGES-HENRI LUQUET ET LA FRANC-MAÇONNERIE.
GEORGES-HENRI LUQUET ET LA FRANC-MAÇONNERIE. Nous tenons à exprimer nos plus vifs remerciements à Irène Mainguy, Pierre Mollier et Georges Odo pour leur aide précieuse, et pour nous avoir autorisé à publier
Plus en détailL art de la reconnaissance en gestion
L art de la reconnaissance en gestion Sophie Tremblay Coach & Stratège Dans votre parcours professionnel, quelle est la personne qui vous a offert la reconnaissance qui vous a le plus marqué? Quelles sont
Plus en détailLe Baptême des petits enfants en 25 questions
Le Baptême des petits enfants en 25 questions 1. Les parents doivent-ils être baptisés pour demander le baptême de leur Non, puisque c est la personne qui va recevoir le baptême qui est concernée. Tous
Plus en détailPlan d action. Présenté par. Nadine Maire, Brigitte Corbeil et Johanne Bellemare
Plan d action Présenté par Nadine Maire, Brigitte Corbeil et Johanne Bellemare 1837, chemin Alfred Desrochers Orford J1X 6J4 Québec Tél : 1-819-437-8812 info@poseungeste.com www.poseungeste.com Missions
Plus en détailAssises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007
Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Quand je pense à ces nouveaux Chefs d établissement qui me disaient récemment avoir
Plus en détailSOMMAIRE 2. LE «NOUVEAU MONDE INDUSTRIEL ET SOCIÉTAIRE» REPOSE SUR L ASSOCIATION CONCRÈTE DE TOUS LES INDIVIDUS
Marxisme, socialisme utopique et Le nouveau monde industriel et sociétaire Fiche 36 CHARLES FOURIER Cet ouvrage, paru en 1845, est à l image de son auteur, en marge de la culture traditionnelle et du pouvoir.
Plus en détailLe développement personnel : un allié ou un danger pour les chrétiens? Entretien paru dans Famille chrétienne du 28/03/2009, Numéro 1628
Le développement personnel : un allié ou un danger pour les chrétiens? Entretien paru dans Famille chrétienne du Devant ce concept moderne qui abrite des techniques aussi diverses que l ennéagramme, la
Plus en détailRESSOURCEMENT SUR MESURE
RESSOURCEMENT SUR MESURE Le Centre Assomption de Lourdes propose d avril à octobre la formule innovante du RESSOURCEMENT SUR MESURE La nouvelle équipe d animation, composée de sœurs et de laïcs, répond
Plus en détailSur «Quelqu un peut-il connaître une même chose mieux qu un autre?» de Thomas d Aquin
Université Libre de Bruxelles Faculté de Philosophie et Lettres Lecture approfondie de textes philosophiques II : Moyen Âge Sur «Quelqu un peut-il connaître une même chose mieux qu un autre?» de Thomas
Plus en détailLe CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est?
Le CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est? Version n : 1 Dernière actualisation : 13-10-2006 1) A quoi sert cette fiche? 2) Qu est-ce qu un CPAS (Centre Public d Action Sociale)? 3)
Plus en détailEn la fête de l Assomption de la Vierge Marie, Homélie pour une profession perpétuelle 1
Vies consacrées, 83 (2011-3), 163-168 En la fête de l Assomption de la Vierge Marie, Homélie pour une profession perpétuelle 1 «Un signe grandiose apparut dans le ciel» : ce signe, c est le voyant de Patmos
Plus en détailISO/CEI 19770-1. Technologies de l information Gestion des actifs logiciels. Partie 1: Procédés et évaluation progressive de la conformité
NORME INTERNATIONALE ISO/CEI 19770-1 Deuxième édition 2012-06-15 Technologies de l information Gestion des actifs logiciels Partie 1: Procédés et évaluation progressive de la conformité Information technology
Plus en détailRésidence Saint Jean
Résidence Saint Jean 41 Avenue Félix Baert 59380 BERGUES Tél : 03.28.68.62.99 Fax : 03.28.68.53.19 Email : stjean.residence@wanadoo.fr Site web : www.residence-saint-jean.fr Madame, Monsieur, Le Conseil
Plus en détailPOURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? Masson Alexis - www.epistheo.com
POURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? 1 Pourquoi Dieu permet-il le mal? Brève initiation au problème du mal MASSON Alexis Philosophie de la Religion www.epistheo.com 2 Première Partie UN SERIEUX PROBLEME 3 1
Plus en détailOLIVIER BOBINEAU : L APPROCHE SOCIOLOGIQUE DES RELIGIONS
OLIVIERBOBINEAU:L APPROCHESOCIOLOGIQUEDESRELIGIONS Nousestimerionsquenosrecherchesneméritentpasune heuredepeinesiellesnedevaientavoirqu unintérêt spéculatif Durkheim,LaDivisionduTravailSocial,Introduction(1895).
Plus en détaildes valeurs 2006 PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS
L arbre des valeurs 2006 le fondement philosophique de l éthique /// les valeurs clés de notre éthique /// les principes issus des valeurs clés PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS L ARBRE des valeurs Au cœur
Plus en détailLa mutualité. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 2011-1012. - Support de Cours (Version PDF) -
La mutualité Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 2011-1012 1/10 Table des matières SPECIFIQUES :... 3 I Introduction et historique :... 4 II Objet d une mutuelle :...4
Plus en détailRawls et Habermas : le primat du Juste sur le Bien
Culture Générale Rawls et Habermas : le primat du Juste sur le Bien Christophe Cervellon Agré de philosophie, ancien élève de l École Normale Supérieure (Ulm). L américain John Rawls (né en 1921) et l
Plus en détailINFORMATIONS SUR LE DROIT DE LA FAMILLE
DIRECTION DES SERVICES ADMINISTRATIFS SERVICE POPULATION ET CITOYENNETE SECTEUR ETAT CIVIL INFORMATIONS SUR LE DROIT DE LA FAMILLE Annexe du décret n 2002 1556 du 23 décembre 2002 Ce document est destiné
Plus en détail«Si vous ne redevenez comme des petits enfants» 1
«Si vous ne redevenez comme des petits enfants» 1 FR. MARIE-DOMINIQUE PHILIPPE, O.P. La première épître de saint Jean met en rapport l enfance spirituelle avec l ardeur de la jeunesse et la paternité (1
Plus en détailASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1
ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1 Association des comptables généraux accrédités du Canada 100 4200 North Fraser Way Burnaby
Plus en détailLa pédagogie selon Henri Marion
La pédagogie selon Henri Marion Extraits de Leçons de psychologie appliquée à l éducation (Armand Colin, 1882) Objet de la pédagogie. -La pédagogie est la science de l'éducation. Le mot pédagogue, d'origine
Plus en détailS T A T U T S (Association loi 1901)
CERCLE DAMIEN KONDOLO (La Fraternelle de la République Démocratique du Congo en Europe) S T A T U T S (Association loi 1901) Nous, membres de diverses institutions philanthropiques, réunis en Assemblée
Plus en détail8ème Rencontre Mondiale des Familles - PHILADELPHIE DIOCÈSE DE QUÉBEC. L amour est notre mission : la famille pleinement vivante
8ème Rencontre Mondiale des Familles - PHILADELPHIE DIOCÈSE DE QUÉBEC L amour est notre mission : la famille pleinement vivante Itinéraire FORFAIT #1 : PROGRAMME COMPLET (CONGRÈS ET RASSEMBLEMENT) Jour
Plus en détailREGLEMENT DU JEU-CONCOURS - ROSSIGNOL «BAND OF HEROES CONTEST»
REGLEMENT DU JEU-CONCOURS - ROSSIGNOL «BAND OF HEROES CONTEST» ARTICLE 1 : PRESENTATION La société SKIS ROSSIGNOL SAS 98 rue Louis Barran 38430 Saint Jean de Moirans FRANCE organise pour la marque ROSSIGNOL,
Plus en détailUne philosophie du numérique
Revue internationale International Web Journal www.sens-public.org Une philosophie du numérique Lecture de Pour un humanisme numérique de Milad Doueihi (Seuil, Paris 2011) MARCELLO VITALI ROSATI Résumé:
Plus en détailDépôts auprès de sociétés coopératives, associations et fondations Modification de l'ordonnance sur les banques (Art. 3a al. 4, let.
Dépôts auprès de sociétés coopératives, associations et fondations Modification de l'ordonnance sur les banques (Art. 3a al. 4, let. d OB) Rapport explicatif Juillet 2008 Résumé La réglementation en vigueur
Plus en détailQue fait l Église pour le monde?
Leçon 7 Que fait l Église pour le monde? Dans notre dernière leçon, nous avons vu que les croyants ont des responsabilités vis-à-vis des autres croyants. Tous font partie de la famille de Dieu. Les chrétiens
Plus en détailTHEORIE ECONOMIQUE AVANT
LA THEORIE ECONOMIQUE AVANT 1850 LES SCHOLASTIQUES 1 Introduction Il est difficile de légitimer une histoire de la pensée économique avant les écrits, fondateurs d Adam Smith (1776). Et pourtant, la recherche
Plus en détailLIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ
LIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ Avril 2009 Table des matières Préambule... 3 Introduction... 4 Champ d application... 5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour... 6 1. Cadre de gestion de la conformité...
Plus en détailDirectives du programme Ontario au travail
Directives du programme Ontario au travail 3.11 Immigrants parrainés Compétence législative Paragraphes 13 (1) et 71 (1), et article 72 de la Loi. Articles 6, 13, 15, 17 et 51 du Règlement 134/98. Exigences
Plus en détailLes 7 Principes fondamentaux
Les 7 Principes fondamentaux Les 7 Principes fondamentaux de la Croix-Rouge Humanité Impartialité Neutralité Indépendance Volontariat Unité Universalité La Croix-Rouge trouve son origine dans la solidarité
Plus en détailMarketing social. PPA Mars 2007
Marketing social PPA Mars 2007 Objectifs Survol des principes du marketing social. VOUS en tant que spécialiste du marketing social. Qu est-ce que le marketing social? Le marketing social est «l utilisation
Plus en détaild utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel
www.doctrinesocialeeglise.org 1 Voir - Juger - Agir Méthode de réflexion r et d utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel Pour aller plus loin dans le détaild merci de se reporter au livre : «Construire
Plus en détailL acte d être à la question
(Article ouvert, périodiquement actualisé au gré de mes réflexions et lectures) A QUESTIONS CONCERNANT L ACTE D EXISTER...2 1. ACTUS ESSENDI?...2 2. ACTE EXISTENTIEL ET ACTE FORMEL?...3 3. PEUT ON PARLER
Plus en détailL ergonomie au service du développement de l enfant. Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.
L ergonomie au service du développement de l enfant Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.fr 1. La cadre théorique de la réflexion proposée 2. Quelles connaissances
Plus en détailPROGRAMME DES COURS DE LICENCE
PROGRAMME DES COURS DE LICENCE DROIT PROCESSUEL (1 ère partie) ENSEIGNEMENTS ANNÉE C Abbé Bernard du PUY-MONTBRUN Ce cours sera consacré à l étude des procès canoniques. Après une introduction à l aide
Plus en détailLes obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres
Justitia et Pace Institut de Droit international Session de Lisbonne - 1995 Les obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres (Quinzième Commission, Rapporteur : M. Andreas Lowenfeld)
Plus en détailLa Responsabilité de l éducateur sportif
La Responsabilité de l éducateur sportif I / Introduction La pratique sportive engendre des RISQUES et des ACCIDENTS. De nombreux procès surviennent afin de dégager la mise en jeu de la responsabilité
Plus en détailSTATUT DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE EN FRANCE
STATUT DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE EN FRANCE Publié le 1 er juin 2013 STATUT DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE EN FRANCE Voté par le Comité national de l Enseignement catholique le 15 février 2013. Adopté
Plus en détailVeuillez recevoir, Monsieur, l expression de ma considération distinguée.
Son Excellence Ban Ki-Moon Secrétaire Général L'Organisation des Nations Unies 1 United Nations Plaza New York, New York 10017-3515 Etats Unis Paris, le 22 mai 2012 Objet : Renouvellement d adhésion au
Plus en détailCHAPITRE 15 L HOMME EST NÉ LIBRE ET PARTOUT IL EST DANS LES FERS
L homme est né libre... CHAPITRE 15 L HOMME EST NÉ LIBRE ET PARTOUT IL EST DANS LES FERS LA NATURE, LA LIBERTÉ ET LES LOIS À l un bout du spectre politique des Lumières se dresse Montesquieu (1689-1755),
Plus en détailUn week-end de Solidarité Au camping de l ASPTT en Ardèche
Accès aux vacances, à la culture et aux loisirs pour tous Un week-end de Solidarité Au camping de l ASPTT en Ardèche 20 et 21 juin 2015 ASSOCIATION POUR UNE MONTAGNE SOLIDAIRE 11 rue Auguste LACROIX 69003
Plus en détailConditions d utilisation de la Carte Scotia MD SCÈNE MD*
Conditions d utilisation de la Carte Scotia MD SCÈNE MD* Aperçu du programme de récompenses SCÈNE Le programme de récompenses SCÈNE est administré par Scene Limited Partnership, une société en commandite
Plus en détailCode à l intention des partenaires commerciaux
Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect
Plus en détailRISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE. MONTPELLIER 27 mai 2013
RISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE MONTPELLIER 27 mai 2013 LE RISQUE SPORTIF Facteurs aggravants de risques Le lieu de l activité L âge des participants à l activité La nature de l activité Les
Plus en détailPhoenix Roller In line Hockey a.s.b.l.
Règlement d Ordre Intérieur 1. Objectifs Le club a pour objectifs: de promouvoir le Roller In Line Hockey pour le loisir et la compétition, en organisant des séances d'initiations, d'entraînements et de
Plus en détailREGLEMENT D UTILISATION DES ESPACES OU SALLES DE LA DIRECTION DU PARC PHOENIX DIRECTION DU PARC PHOENIX
REGLEMENT D UTILISATION DES ESPACES OU SALLES DE LA DIRECTION DU PARC PHOENIX R E G L E M E N T D U T I L I S A T I O N D E S E S P A C E S O U S A L L E S Page 1 Depuis sa création le Parc Phoenix, qui
Plus en détailBENEDICTION DU TRES SAINT SACREMENT
BENEDICTION DU TRES SAINT SACREMENT Editions ALBANUS Bruxelles, La Haye, Londres, Ojaï, Paris, Toronto 1999 BENEDICTION DU TRES SAINT SACREMENT Editions ALBANUS Bruxelles, La Haye, Londres, Ojaï, Paris,
Plus en détailService public d éducation et d information juridiques du Nouveau-Brunswick
Droits et responsabilités Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau-Brunswick Le Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau- Brunswick (SPEIJ-NB) est un organisme
Plus en détailWIPO/GRTKF/IC/7/3 ANNEXE I
ANNEXE I RESUME DU PROJET D OBJECTIFS DE POLITIQUE GENERALE ET DE PRINCIPES FONDAMENTAUX CONCERNANT LA PROTECTION DES EXPRESSIONS CULTURELLES TRADITIONNELLES OU EXPRESSIONS DU FOLKLORE La présente annexe
Plus en détailChacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit?
Chacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit? - Penser : a) avoir des idées, des opinions b) raisonner,
Plus en détail(Adopté le 29 février 2012) CODE DE CONDUITE APPLICABLE AU PERSONNEL DE LA BERD
(Adopté le 29 février 2012) CODE DE CONDUITE APPLICABLE AU PERSONNEL DE LA BERD CODE DE CONDUITE APPLICABLE AU PERSONNEL DE LA BERD Table des matières Introduction Normes générales de conduite Devoirs
Plus en détail«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23.
«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. Pour faire suite au récit des disciples sur le chemin d Emmaüs et pour
Plus en détailJ ai droit, tu as droit, il/elle a droit
J ai droit, tu as droit, il/elle a droit Une introduction aux droits de l enfant Toutes les personnes ont des droits. Fille ou garçon de moins de 18 ans, tu possèdes, en plus, certains droits spécifiques.
Plus en détailInformation Presse & Communication : les textes qui fondent notre profession et notre éthique
Information Presse & Communication : les textes qui fondent notre profession et notre éthique Définition des professions de conseiller en relations publiques et d attaché de presse Le Ministre de l Information
Plus en détailQuelle contribution les chrétiens peuvent-ils apporter à la construction d une société qui soit digne de l Homme?
Conférence donnée à Ajaccio au cours d une journée de formation sur le bien commun «Le bien de tous» Jérôme Vignon Introduction Quelle contribution les chrétiens peuvent-ils apporter à la construction
Plus en détailCamus l a joliment formulé : le seul. introduction
introduction Camus l a joliment formulé : le seul choix qui s offre à nous, aujourd hui, est d être soit un pessimiste qui rit, soit un optimiste qui pleure. L optimiste croit que tout va bien. Dans La
Plus en détailGeorgette Josserand, lassée du comportement de son mari, qui refuse désormais de lui adresser la parole, décide de demander le divorce.
Cas pratique sur un sujet de droit civil ou de procédure civile (1 er concours) Note : 17/20 Enoncé du cas pratique : Lors d une passionnante conférence sur L influence de la pensée pré-socratique sur
Plus en détailCoût de fabrication ou d achat. Calcul des besoins Management Industriel et Logistique (4) (2) (1) (2)
Etude de cas 1 : La société Lebreton fabrique un produit A dont la nomenclature est la suivante (les chiffres entre parenthèses indiquent le nombre de composants dans un composé de niveau immédiatement
Plus en détailStratégie de la surveillance des assurances en Suisse
Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse 1. Base juridique...2 2. Tâches principales...2 3. Conditions d accomplissement des tâches principales...2 3.1. Culture de la responsabilité...3 3.2.
Plus en détailAroéven Caen Normandie
Aroéven Caen Normandie Aroéven Caen Normandie Passer du FSE à la Maison des Lycéens, pas si compliqué! Une association, pour quoi faire? Une association, pour faire quoi? Une association dans le lycée
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailCOMMUNIQUÉ. Lignes directrices sur la taille des fonds d assurance-dépôts
COMMUNIQUÉ 14-COM-001 11 juillet 2014 Lignes directrices sur la taille des fonds d assurance-dépôts L Association des superviseurs prudentiels des caisses (ASPC) a créé un groupe de travail composé de
Plus en détailde ta famille et de la maison de ton père un peuple le nom une bénédiction! ceux qui te béniront ; mais qui te réprouvera,
Une lectio de Genèse 12,1-4 Il existe de savantes études consacrées à la vie d Abraham. Mais la vie de «notre Père Abraham» (Lc 1,73) est d abord dans la Parole de Dieu elle-même. Pour connaître Abraham,
Plus en détailConditions générales Claim it
* * * Conditions générales Claim it Dernière version du 30 mars 2015 TABLE DES MATIÈRES Article 1 Identité de l entreprise Article 2 Champ d application et conditions Article 3 Offre et ordre de service
Plus en détailI. FAIR-PLAY, D OÙ VIENS-TU? QUI ES-TU?
I. FAIR-PLAY, D OÙ VIENS-TU? QUI ES-TU? Le fair-play est une notion bien souvent employée à tort et à travers. Associée surtout au vocabulaire sportif, elle s applique aujourd hui à de multiples situations,
Plus en détailTitre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL
Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Numéro : 1. Objet général La présente politique vise à établir les règles applicables
Plus en détailL ASSURANCE FÉDÉRALE
L ASSURANCE FÉDÉRALE SOMMAIRE I. L assurance en responsabilité civile II. Les garanties protection pénale et recours III. L assurance accidents corporels I. L ASSURANCE EN RESPONSABILITÉ CIVILE LE CADRE
Plus en détail