PREVENTION DE L ALLO-IMMUNISATION Rh D FOETO-MATERNELLE.
|
|
- Anne-Sophie Dufour
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Association Loi 1901 n rue de Versailles Le Chesnay Tel : Fax : cpav@wanadoo.fr Web: PREVENTION DE L ALLO-IMMUNISATION Rh D FOETO-MATERNELLE. Septembre 2008 La CPAV remercie le Dr Xavier GUETTIER, Gynécologue Obstétricien, CMC Parly II, pour la conception et la réalisation de ce protocole médical. 1
2 SOMMAIRE INTRODUCTION p.3 I ALLO-IMMUNISATION FOETO-MATERNELLE ERYTHOCYTAIRE p.4 II PREVENTION ANTENATALE DE L ALLO-IMMUNISATION Rh D p.5 II-I Recherche des anticorps anti-érythrocytaires (RAI) p.5 II-II Le test de Kleihauer p.6 II-III Les immunoglobulines anti D passives p.8 II-IV La prévention systématique p.8 II-V Le génotypage RHD fœtal p.9 Bibliographie ; Adresses et liens p.11 2
3 INTRODUCTION La prophylaxie anti-d consiste à injecter, aux patientes Rhésus négatif non immunisées, des immunoglobulines anti- D passives dans les situations à risque d hémorragie fœtomaternelle (HFM). L objectif étant d éviter la réaction immunologique primaire à l origine de l immunisation. La prophylaxie reposait en France depuis 1973 sur une prévention post-natale (injection au décours de l accouchement) associée à une prévention anténatale ciblée (injection en cours de grossesse limitée aux situations à risque d HFM). Cette stratégie a permis de diminuer par 10 le nombre de patientes allo-immunisées, en passant d un taux de 6 à 10/1000 femmes immunisées dans les années 60 à un taux de 0.9/1000 (1). Ce taux, faible mais stable, a plusieurs causes : Oubli de prophylaxie ciblée. Mauvaise adaptation des doses d immunoglobulines anti-d prescrites. Hémorragies fœto-maternelles spontanées silencieuses du troisième trimestre de la grossesse. Echec d une prévention apparemment adaptée. Ce taux correspond à 750 cas d allo-immunisation et à 50 à 100 décès néonataux par an en France. Suite à l enquête nationale (2) réalisée fin 2005, la stratégie de prévention a été revue: Redéfinition de la stratégie ciblée différenciant les situations à faible risque et à risque élevé d HFM. Adaptation des doses d immunoglobulines anti-d prescrites en cas de risque élevé à partir de 15 SA (Promotion du test de Kleihauer). Prophylaxie systématique à 28 SA Ile de France 2 Poissonnier MH, Brossard Y, Soulie JC. Enquête nationale sur les formes graves de la maladie hémolytique périnatale Rh D. 29 ème journées du CNGOF. 30 novembre
4 I ALLO-IMMUNISATION FOETO-MATERNELLE ERYTHOCYTAIRE L allo-immunisation fœto-maternelle érythrocytaire (AIFME) se définit comme la présence sur le globule rouge fœtal d allo-anticorps maternels transmis in utero. La cible antigénique étant les antigènes de groupes sanguins. Plus de 250 antigènes ont été identifiés. Une centaine d entre eux ont été impliqués dans des AIFME mais seuls les antigènes les plus immunogènes peuvent entraîner une forme gravidique sévère responsable par hémolyse érythrocytaire d une anémie fœtale responsable dans sa forme majeure d un anasarque fœto-placentaire et d une mort in utero. L immunisation la plus fréquente s observe responsable d anémie fœtale sévère. dans le système ABO. Elle n est pas L AIFME Rh D est la seconde en fréquence et la plus grave des allo-immunisations. Son incidence est actuellement de 0.9/1000. Elle est symptomatique dans la moitié des cas, dont un quart développe une anémie fœtale sévère avant 34 SA. Les autres AIFME ont une incidence cumulée de 0.5/1000 naissances. La moitié relève d une AIFME Rhc ou RhE. Une anémie fœtale sévère peut s observer dans les systèmes c et Kell, rarement dans le système E, et exceptionnellement dans les autres systèmes. La seule prévention repose sur l utilisation de sang compatibilisé en cas de transfusion sanguine chez les femmes en âge de procréer. Ces AIFME peuvent avoir des conséquences post-natales : anémie, hyper bilirubinémie avec risque d ictère nucléaire en raison de la toxicité de la bilirubine libre (>200mg/ml) sur les noyaux gris centraux. 4
5 II - PREVENTION ANTENATALE DE L ALLO-IMMUNISATION Rh D FOETO-MATERNELLE Les grandes lignes de la nouvelle stratégie de prévention : II-I Recherche des anticorps anti-érythrocytaires (RAI) Cette recherche est systématique (arrêté du 19/04/85, décret du 14/02/92): Au moins à deux reprises chez la femme enceinte Rh-D positif sans ATCD transfusionnel (Avant 15 SA ; au cours des 8ème-9ème mois). Au moins à quatre reprises chez la femme enceinte Rh-D positif avec ATCD transfusionnel (Avant 15 SA ; au cours des 6ème, 8ème et 9ème mois). Au moins à quatre reprises chez la femme enceinte Rh-D négatif (Avant 15 SA ; au cours des 6ème, 8ème et 9ème mois). Avant l injection d immunoglobuline anti-d à l accouchement chez les femmes Rh- D négatif ayant un enfant Rh-D positif et dans les 8 semaines suivant leur accouchement. Chez l ensemble des femmes en cas de besoin transfusionnel. En cas de RAI positive, l identification est obligatoire. Si l anticorps est susceptible d entraîner des accidents d immunisation fœto-maternelle, la RAI avec identification, titrage et dosage pondéral pour les anti Rh (le dosage n existe pas pour les anti Kell) doit être effectuée à périodes rapprochées de 3 à 4 semaines, voire 2 semaines à partir de la 21ème semaine d aménorrhée. 5
6 Si le titrage et le dosage pondéral sont élevés avec un risque d anémie fœtale, le dépistage de l anémie fœtale repose aujourd hui sur le doppler cérébral fœtal (mesure de la vélocité du pic systolique de l artère cérébrale moyenne). L amniocentèse (mesure de la bilirubine dans le liquide amniotique (cf. diagramme de Liley), invasive, avec un risque d aggravation de l immunisation n est plus actuellement l examen de première intention. II-II Le test de Kleihauer Le test de Kleihauer consiste à quantifier le nombre d hématies fœtales passées dans le sang maternel. C est un test cytochimique sur frottis sanguin, mettant à profit le caractère acidorésistant de l hémoglobine fœtale que ne possède pas l hémoglobine adulte. C est le seul test qui permette de quantifier rapidement l HFM sachant que le rapport «1 hématie fœtale pour adultes» correspond à environ 0.5ml de sang fœtal. Dans le cadre de la prévention ciblée, il n est pas utile avant 15 SA car le volume de sang fœtal est inférieur à celui couvert par 200 µg d anti D mais il doit être impérativement réalisé à partir du deuxième trimestre dans les situations à risque élevé d HFM et à l accouchement d un nouveau-né RhD positif. Ce test peut être perturbé en cas de drépanocytose, de thalassémie et cas de présence d un pourcentage élevé d hématies adultes contenant de l hémoglobine fœtale (Swisstype). 6
7 Le dosage des anti D résiduels après l injection ne permet pas de savoir si la dose injectée est suffisante. L inscription du test de Kleihauer à la nomenclature est effective depuis le 30 avril
8 II-III Les immunoglobulines anti D passives Il n existe en France qu un seul produit (RHOPHYLAC ) disponible en deux dosages 200 et 300µg. Rhophylac est fabriqué à partie de plasmas issus de donneurs humains volontaires et rémunérés provenant d Amérique du nord. Rhophylac est un produit d origine sanguine humaine. Sa sécurisation repose sur : La qualité du plasma : Sélection médicale rigoureuse des donneurs Dépistage des marqueurs viraux (Ag HBs, anticorps anti-vih 1+2, et anti-vhc Dépistage par amplification des acides nucléiques des virus enveloppés (VIH, VHB et VHC) et virus non enveloppés (VHA et parvovirus B19) Le procédé de fractionnement : Inactivation virale par traitement solvant/détergent. Elimination virale par chromatographies d échanges d ions. Elimination virale par nanofiltration. Ces précautions rendent le risque de transmission d infection très faible. Il n y a pas eu de cas signalé à ce jour L utilisation d un produit d origine humaine rend nécessaire une information préalable (Document d information pour les femmes enceintes, cf. Bibliographie). Ce document établi par trois sociétés savantes permet de plus à la patiente de faire un récapitulatif personnel des immunoglobulines anti D reçues pendant la grossesse. Une traçabilité des produits injectés. Cette traçabilité est assurée par la pharmacie hospitalière en cas de prescription en cours d hospitalisation et par la pharmacie en cas de délivrance par un pharmacien d officine. Un archivage pendant 40 ans est prévu par les décrets. II-IV La prévention systématique Elle repose sur l injection par voie IM d une ampoule de Rhophylac 300 µg à 28 SA. Une vérification des RAI dans la semaine précédant l injection pour s assurer de l absence d immunisation anti Rh D préalable est nécessaire. Si l injection systématique n a pas été faite à 28 SA, il est possible de faire une injection d une ampoule de Rhophylac 300 entre 28 et 32 SA et d une ampoule de Rhophylac 200 après 32 SA. L injection préalable de Rhophylac pour une prévention ciblée ne dispense pas d effectuer une prévention systématique. Une fois l injection faite, si une circonstance anténatale indiquant une immunoprophylaxie survient, l abstention s applique dans tous les cas de risque faible d HFM. Dans les cas de risque élevé, la conduite est dictée par le résultat du test de Kleihauer. Si il est positif (TK>4 hématies fœtales/10000 hématies adultes) des doses complémentaires d immunoglobulines anti D doivent être administrées à raison de 20 µg par ml d hématies fœtales. Si il est négatif, on ne refait pas de nouvelle injection. La réalisation des RAI du 8ème mois n est plus nécessaire en cas de d immunoprophylaxie systématique car elle sera systématiquement positive. Pour celle 8
9 du 9ème mois (sécurité transfusionnelle), il est indispensable de préciser la ou les dates d injections et les doses administrées sur la prescription. II-V Le génotypage RHD fœtal. L antigène RhD est un antigène très immunogène distribué sur les domaines extracellulaires de la protéine transmembranaire RHD du globule rouge. Il est présent chez 84% des personnes originaires d Europe, 95% des personnes originaires d Afrique noire et 99% des personnes originaires d Asie du sud-est. Les autres antigènes courants du système Rh(C, c, E, e) sont exprimés sur la protéine érythrocytaire RHCE. Les deux protéines sont codées par 2 gènes, ayant une forte homologie de la séquence nucléotidique (même gène ancestral), RHD et RHCE, situés tête-bêche sur le bras court du chromosome 1. Différentes variations du gène RHD peuvent être à l origine d une modification d expression du gène RHD : Soit le phénotype RhD reste positif : c est le cas des phénotypes D affaiblis type Du (moins de 1000 sites membranaires par hématie au lieu de sites) et des phénotypes partiels (expression que d une partie des épitropes antigéniques). Soit le phénotype RhD devient négatif : c est le cas des gènes silencieux dont le type le plus fréquent est le gène RHD qui est retrouvé chez 30 à 60% des femmes RhD négatif d origine noire africaine. Suite à l isolement et au séquençage du gène RHD par l équipe française INSERM U76, le génotypage fœtal RH par amplification PCR a été réalisé dès le milieu des années 90 à partir de l ADN des cellules amniotiques. En 1997, Y.M. Dennis et son équipe découvraient que l ADN présent dans le plasma des femmes enceintes comprenait 1 à 6 % d ADN fœtal sous forme acellulaire. 9
10 Cette découverte a rendu possible la détermination non invasive du génotype RHD fœtal à partir d un prélèvement sanguin maternel à condition que la patiente ne possède pas dans son génome des séquences non exprimées du gène RHD venant interférer avec le test (RHD par exemple). En cas de positivité, l interprétation est donc difficile. En cas de négativité, à condition d une grande rigueur technique, le risque de faux négatif peutêtre écarté. Le génotypage RHD se fait dans deux circonstances : Chez la femme enceinte Rh négatif avec immunisation anti D afin de porter le diagnostic d incompatibilité fœto-maternelle et donc de légitimer une surveillance anténatale. Chez la femme enceinte Rh négatif non immunisée candidate à une amniocentèse ou à une biopsie de trophoblaste. Dans ce cas, le but est d éviter l injection d immunoglobuline anti D si le fœtus est RHD négatif. La recherche peut se faire avant le geste sur sang maternel ou après sur cellules amniotiques. L application systématique du génotypage RHD chez toutes les femmes enceintes RhD négatif est une question qui se pose avec plus d acuité depuis les recommandations de prévention systématique à 28 SA. Une évaluation médico-économique multicentrique de cette pratique est en cours actuellement en France. 10
11 Bibliographie L allo-immunisation fœto-maternelle anti D : Prise en charge néonatale. Dr C. Elleau - Service Néonatologie hôpital Pellegrin Bordeaux Publication laboratoire LFB Janvier Le point sur la prévention de l allo-immunisation Rhésus D fœtomaternelle : un an après les recommandations pour la pratique clinique. Journal de Gynécologie Obstétrique et Biologie de la reproduction Volume 36 Supplément Septembre Monographie Rhophylac. Publication laboratoire LFB Juillet Grossesse et groupe rhésus. Document d information pour les femmes enceintes. Document du CNGOF, du CNRHP et du SFMP Juin Le génotypage RHD fœtal. Dr Y. Brossard et al, CNRHP, hôpital St Antoine, Paris ; Dr C. Rouillac Le Sciellour, CHI Poissy St Germain, Poissy. Publication laboratoire LFB Janvier Les examens immuno-hématologiques dans la prévention de l alloimmunisation rhésus. Dr L. Mannessier, F. Roubinet, M. Delamaire, A. Lejeaille. EFS. Publication laboratoire LFB Octobre Allo-immunisation Rhésus-D fœto-maternelle. 12ème journée de médecine fœtale Morzine Publication laboratoire LFB Adresses et liens Centre National de Référence en Hémobiologie Périnatale (CNRHP) 184, rue du faubourg Saint Antoine Paris Tel : (permanence médicale) Fax : cnrhp.sat@sat.aphp.fr Laboratoire de Biologie Médicale, CHI Poissy Saint Germain Dr C. Rouillac Le Sciellour, Dr V. Sérazin 9 rue Champ Gaillard Poissy
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailLES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications
ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG L Etablissement français du sang LES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications Dr Anne-Lise MARACHET DIU Cancérologie/Hématologie EFS IDF- Site
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES CATALOGUE DES FORMATIONS Formation continue Formation universitaire Développement Professionnel
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détailTransfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005
Transfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005 Objectifs pédagogiques : Expliquer les risques transfusionnels, les règles de prévention,
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailLE DIRECTEUR GENERAL DE LA SANTE LE DIRECTEUR DE L'HOSPITALISATION ET DE L'ORGANISATION DES SOINS
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Direction générale Paris, de la santé Sous direction de la politique des produits de santé (SD3) Sous direction de la qualité du système
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailLES BONNES PRATIQUES TRANSFUSIONNELLES
Les Bonnes Pratiques Transfusionnelles République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de la Santé, de la Population et de la Reforme Hospitalière Agence Nationale du Sang LES BONNES PRATIQUES
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailWHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5
WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la
Plus en détailExposé sur la Transfusion Sanguine
Sommaire : I Histoire de la transfusion sanguine A/ Découverte des groupes sanguins B/ Premières transfusions sanguines C/ Les journées du sang II Les groupes sanguins A/ Les différents groupes B/ Déterminer
Plus en détailPLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE
Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailÀ compter de 2010 les codes du chapitre XVI ne doivent plus être employés au-delà de 2 ans. Créé le 1 er Mars 2011
FASCICULE VI AFFECTIONS DU NOUVEAU-NÉ Emploi des codes du chapitre XVI Le chapitre XVI est celui de Certaines affections dont l origine se situe dans la période périnatale. La définition de la période
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailI- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE
I- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE L Établissement Français du Sang, est l unique opérateur civil de la transfusion sanguine en France. Sa mission première
Plus en détailDROITS A L ASSURANCE MATERNITE
I. Ouverture des droits DROITS A L ASSURANCE MATERNITE Les conditions d ouverture des droits tant aux prestations en nature qu aux prestations en espèce de l assurance maternité s apprécient soit au début
Plus en détailSommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON
Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON Page d accueil de la rubrique avec un point sur les besoins en sang de la région Page 2 Pourquoi
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailAIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG
CENTRE NATIONAL DE TRANSFUSION SANGUINE ---------------------------------- DIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DE LA PROMOTION DU DON DE SANG AIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG Pour vos dons et activités
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailL alpha-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que l alpha-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur l alphathalassémie.
Plus en détailDépistage drépanocytose. Édition 2009
Dépistage drépanocytose Édition 2009 ÊTre hétérozygote et alors Madame, Monsieur, Comme tous les nouveau-nés, votre bébé a eu un prélèvement de sang au talon. Ce prélèvement a été réalisé dans le cadre
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailwww.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses
www.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses E.R.A. L EFS, les Etablissements de Santé et les laboratoires effectuant des analyses d I.H. pour des patients susceptibles
Plus en détailSuivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées
Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailDossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :
Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr
Plus en détailIctères du nouveau-né
Ictères du nouveau-né 1. Introduction L ictère est le symptôme le plus fréquent observé à la période néonatale. L hyperbilirubinémie (à bilirubinémie libre) est un phénomène fréquent et transitoire de
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailQu est-ce qu un test génétique?
8 Vous pouvez rechercher les laboratoires de diagnostic dans votre pays par nom de maladie ou de gène à l'adresse suivante: Qu est-ce qu un test génétique? http://www.orpha.net/consor/cgi-bin/clinicallabs.php?lng=fr
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailTRAIT FALCIFORME. Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique
TRAIT FALCIFORME Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique Une analyse sanguine a été effectuée chez votre enfant, soit à la naissance, soit à la demande de votre médecin. Cette analyse a démontré
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailLes contre-indications au don de sang
Les contre-indications au don de sang Souvent, les donneurs s interrogent sur les raisons pour lesquelles tout le monde ne peut pas donner son sang. Le don de sang est une démarche d assistance à autrui,
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailSAUVEZ UNE VIE... EN DONNANT LA VIE!
SAUVEZ UNE VIE... EN DONNANT LA VIE! SUIVEZ-NOUS SUR : BANQUE PUBLIQUE DE SANG DE CORDON DʼHÉMA-QUÉBEC Lire ce code avec un téléphone intelligent pour accéder à la page S inscrire à la banque de sang de
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT ImmunoGam, 312 UI/ml, solution injectable. 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque ml contient 312 UI d'immunoglobuline
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailL assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013
1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11
Plus en détailMANUEL D AIDE A LA FORMATION EN TRANSFUSION SANGUINE
MANUEL D AIDE A LA FORMATION EN TRANSFUSION SANGUINE Coordination Régionale d Hémovigilance Docteur Mahdi TAZEROUT Madame Yolande GALINIER Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales Midi-Pyrénées
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailUn logo connu mais des activités mal connues!
Un logo connu mais des activités mal connues! Association des utilisateurs de dossiers informatisés en obstétrique, pédiatrie et gynécologie Date de création? 1980 Création de l Audipog par le Pr. Claude
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailLa bêta-thalassémie. La maladie. l Qu est-ce que la bêta-thalassémie? l Qui peut en être atteint? Est-elle présente partout dans le monde?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la bêtathalassémie.
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailCampagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie
Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailDONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT
DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement
Plus en détailComment mieux informer les femmes enceintes?
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Comment mieux informer les femmes enceintes? Avril 2005 La Haute Autorité de santé diffuse un document réalisé par l Agence nationale d accréditation et d évaluation en
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailMise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France»
Mise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France» MISE AU POINT DE L ORGANISATION DU RESEAU EN FRANCE, EN 2003 : Aujourd hui, cinq établissements
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailModule 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé
Module 1 Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Partie 3 - Assurance Maladie Invalidité les indemnités. Plan A- INCAPACITÉ PRIMAIRE(1)(2) B- INVALIDITÉ (1)(2) (3)Principes
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailÉVALUATION DE L INTÉRÊT DU DÉPISTAGE DE L INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS CHEZ LA FEMME ENCEINTE EN FRANCE
ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DU DÉPISTAGE DE L INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS CHEZ LA FEMME ENCEINTE EN FRANCE Septembre 2004 Service évaluation technologique Service évaluation économique Septembre 2004 Évaluation
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailFemmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre les établissements de santé
RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Femmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre Méthode «Recommandations pour la pratique clinique» RECOMMANDATIONS Novembre
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailSélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005
Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection
Plus en détail