Intérêt des biopsies percutanées dans la caractérisation pré opératoire des tumeurs adipeuses et myxoïdes des tissus mous
|
|
- Raymonde Dubois
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Intérêt des biopsies percutanées dans la caractérisation pré opératoire des tumeurs adipeuses et myxoïdes des tissus mous Etude rétrospective de 64 cas à l hôpital de la Conception à Marseille, CAUDAL Amandine, SOUTEYRAND Philippe, CHAGNAUD Christophe
2 Introduction La découverte d une «masse» ou tumeur des parties molles est une situation clinique fréquente et relativement inquiétante, bien que bénigne dans 99% des cas. Cependant, lorsqu elles se situent en profondeur, deviennent douloureuses, sans diagnostic clinique évident, se pose alors la question de leur nature. Le recours à l imagerie est alors rapide, multimodalitaire menant au moindre doute à la réalisation d une biopsie.
3 Les tumeurs adipeuses et myxoides constituent de particulièrement bonnes indications biopsiques car leur nature est difficile à apprécier sur le plan : Clinique Radiologique Histologique Cependant, le matériel prélevé est souvent flasque (graisseux ou gelatineux dans le cas des tumeurs myxoides) et restreint, rendant le diagnostic microscopique difficile.
4 Objectif de notre étude Etudier l intérêt des biopsies percutanées des tumeurs Adipeuses Myxoïdes Impact sur la décision thérapeutique Souligner l importance de l analyse génétique à travers la FISH et le marqueur MDM2 dans sa capacité à différencier : les tumeurs bénignes (lipomes) MDM2 des tumeurs malignes (lipomes atypiques/liposarcomes bien différenciés) MDM2+
5 Matériel et méthodes Etude rétrospective Incluant 64 biopsies percutanées des tumeurs adipeuses et myxoides des parties molles Sur une période de 4 ans ( ) Monocentrique ( Hôpital de la Conception à Marseille intégré au centre régional expert des tissus mous des sarcomes)
6 Critères d inclusion radiologique: 64 biopsies de tumeurs d aspect LIPOMATEUX (n=42) MYXOÏDE (n=22) Tumeur graisseuse en isosignal par rapport à la graisse sous cutanée, sur cette séquence T1 coronale Tumeur myxoïde = composée d une matrice extra cellulaire riche en protéoglycanes et en eau, et apparaissant en hyper signal T2 après suppression du signal de la graisse
7 Critères d exclusion Tumeurs des parties molles non graisseuses ou myxoides Tumeurs d aspect «solide» Tels que les schwannomes, ou tumeurs desmoïdes ( ci dessus) Ou d aspect «sarcomateux», sans réel enjeu biopsique car ramenant un matériel riche et cellulaire
8 L indication biopsique était basée sur: L entité suspectée Les résultats radiologiques La localisation Mettant en jeu une équipe multidisciplinaire «spécialisée» dans le domaine des tumeurs musculo squelettiques (Radiologues, Pathologistes et chirurgiens)
9 Technique de Biopsie percutanée Choix du trajet: Après concertation avec le chirurgien Le plus court entre la peau et la lésion Respect du compartiment anatomique > 3 tirs, avec au - 2 angulations différentes. Eviter zones de nécrose Privilégier les zones les plus cellulaires ++ Ne pas enfreindre la paroi opposée de la lésion
10 Déroulement de la procédure: Installation du patient Désinfection de la peau Guidage scannographique ou échographique Trocart de 16 G en moyenne (14-18 G) 7-8 tirs en moyenne par la même incision Marquage du point de ponction à l encre de chine en fin de procédure, en vue d une éventuelle résection du trajet par le chirurgien. 50% FIXÉ DANS FORMOL 50% ETAT FRAIS
11 Examen HISTOLOGIQUE Comprend 3 étapes: Analyse histologique au microscope Immunohistochimie ++ = rapide Coloration à base d anticorps spécifiques dilués, recherchant une surexpression protéique dans le cas des tumeurs adipeuses des protéines MDM2, issues du gène MDM2) FISH = (Hybridation in situ en fluorescence) +++ = plus long, mais plus spécifique! Technique de cytogénétique utilisant des anticorps fluorescents (anti-mdm2 pour les tumeurs adipeuses)
12 Examen MICROSCOPIQUE TUMEURS ADIPEUSES TUMEURS MYXOIDES Lipome? Liposarcome de bas grade? Liposarcome myxoïde? Autres tumeurs myxoides?
13 FISH: Hybridation in situ en fluorescence Technique génétique Utilisant des sondes fluorescentes spécifiques se fixant sur des régions géniques définies: MDM2 (Murine Double Minute 2) sur la région q13-15 du chromosome 12 CHOP (DDIT3) sur la région q13 du chromosome 12 Utilisée dans la recherche de réarrangements géniques spécifiques de certaines tumeurs, et sera utile dans notre étude pour distinguer les tumeurs graisseuses bénignes des tumeurs malignes et mieux caractériser les tumeurs myxoides.
14 FISH TUMEURS ADIPEUSES L AMPLIFICATION du gène MDM2 est en effet quasi PATHOGNOMONIQUE d un LIPOSARCOME DE BAS GRADE ou BIEN DIFFERENCIE TUMEURS MYXOIDES La FISSION du gène CHOP, elle, sera plutôt évocatrice d un LIPOSARCOME MYXOIDE
15 FISH: Hybridation in situ en fluorescence TUMEURS ADIPEUSES NEGATIVE = MDM2 non surexprimé 2 signaux verts MDM2 / 2 signaux orange (centromère ch12) POSITIVE =amplification MDM2 Innombrables signaux verts+++ signaux orange + LIPOME LIPOSAROME BIEN DIFFERENCIE
16 Examen HISTOLOGIQUE TUMEURS MYXOIDES Fission CHOP + LIPOSARCOME MYXOIDE
17 Analyse statistique des Tumeurs adipeuses Population (âge, sexe, ATCDT, motif de consultation) Lésion: 1/Taille maximum, 2/ Localisation anatomique (Classification d Anderson)
18 Analyse statistique des Tumeurs adipeuses 3/ Rapport au muscle: Intramusculaire INFILTRANT Intramusculaire NON INFILTRANT Intermusculaire
19 Analyse statistique des Tumeurs adipeuses 4/ Extension compartimentale Unicompartimentale Pluricompartimentale
20 Analyse morphologique des tumeurs adipeuses Type I Type II Selon la classification de Takayuki Ohguri, (2003). Type III Type IV Type V
21 RESULTATS
22 RESULTATS Evolution du nombre de biopsies percutanées dans l hôpital de la Conception, à Marseille, de 2008 à 2012 des tumeurs adipeuses (AT) et myxoides (MT) AT MT
23 Performances intrinsèques et extrinsèques des biopsies percutanées 100% 90% 80% 70% 60% Classification Radiologique 50% 40% 30% +7% +11% +9% +17% +5% Microscopie sur biopsie FISH sur biopsie 20% 10% 0% Sensibilité Spécificité Valeur diagnostique VPP VPN
24 Rendement des biopsies percutanées CONTRIBUTIVES DOUTEUSES OU NON CONTRIBUTIVES INCORRECTES 81% cas 91% 8% cas 6% 13% cas 5% + 10% - 2% - 8% % = résultats après FISH
25 L analyse des biopsies «incorrectes» (n=9) Erreurs concernant la NATURE-même de la tumeur (diagnostic de lipome vs liposarcome) AVANT la réalisation de la FISH dans 6 cas Erreurs sur le TYPE HISTOLOGIQUE de la lésion dans 3 cas, toute tumeur (AT et MT) confondue.
26 CAS CLINIQUE Patient de 69 ans Consultant pour une tuméfaction de la cuisse Il s agit d une tumeur adipeuse de la loge antérieure de cuisse, avec des fibres musculaires incarcérées en son sein (=INTRAmusculaire INFILTRANTE) plutôt considérée comme bénigne dans la littérature mais sans réel nodule ni travées épaisses.
27 Tumeur adipeuse INTRAmusculaire T1 SE INFILTRANTE Discrete T1 Fat/Sat Gado PDC FISH Pas de réelles atypies MIcroscope nucléaires, adipocytes réguliers LIPOME? AMPLIFICATION Pas de coloration MDM2 anormale Immunohistochimie LIPOSARCOME des BIEN noyaux DIFFERENCIE!! (confirmé LIPOME? après opération)
28 Analyse des biopsies «non diagnostiques» (n=4) Aspect atypique à l analyse microscopique Matériel restreint Pas d incidence du calibre de la pince biopsique utilisée ni du nombre de tirs sur le rendement biopsique, en accord avec les données de la littérature.
29 DONNEES QUALITATIVES: Tumeurs adipeuses malignes (TAM) : 16 cas AGE MOYEN: 65 ANS MEDIANE AGE: 66 ANS TAILLE MOYENNE: 16 cm Tumeur adipeuses bénignes (TAB): 26 cas AGE MOYEN: 53 ANS MEDIANE AGE: 51 ANS TAILLE MOYENNE: 12,3 cm 15 LIPOSARCOMES BIEN DIFF Lipoma-like++ Sclérosant Sclérosant et inflammatoire 1 DDLPS LPS 38% TAB 62% 2 hibernomes 24 lipomes (dont 1 pleïomorphe)
30 Analyse épidémiologique des biopsies de TUMEURS ADIPEUSES Variable Odds Ratio p valeur Sexe Masculin 0,33 0,115 Age > 63 ans 6,62 0,008 Taille > 15 cm 4,67 0,041 Localisation Membre inférieur 4,23 0,09 Rapport tumeur/muscle Inter vs Intramusculaire 2,24 0,31 Extension Pluricompartimentale 3,37 0,22 L ODDS RATIO de présenter un liposarcome de bas grade par rapport à un lipome est de: - OR = 6,6 quand le patient a plus de 63 ans et - OR = 4,7 quand la lésion fait plus de 15 cm.
31 Classification de Takayuki Ohguri Type Lipomes LPS Cas total I 90% 10% 10 II 70% 30% 10 III 100% 0% 4 IV 0% 100% 2 V 69% 31% 13 Concordance interobservateur = 48% Variabilité d interprétation de la notion de «nodules» Variable Odds Ratio P value Septas Présence 6,20 0,037 Nodule dense Présence 3,17 0,16 Nodularité Multinodulaire 7,25 0,02
32 Analyse statistique des tumeurs myxoides REPARTITION DES TUMEURS MYXOIDES RÉPARTITION DES SARCOMES SARCOMES 43% tumeurs BÉNIGNES de différenciation incertaine (myxomes, fibromyxome) 35% CHONDROSARC OME 10% SARCOME PLEIOMORPHE 10% SYNOVIALOSAR COME 20% LIPOSARCOME MYXOIDE 50% TUMEURS FIBREUSES (TFS) 9% tumeurs NERVEUSES (schwanomme, neurofibrome) 9% Malformation artério veineuse 4% LIPOSARCOME dédifférencié 10%
33 ASPECT RADIOLOGIQUE MYXOME LIPOSARCOME MYXOIDE T1 Fat Sat après injection de gadolinium Tumeur pseudo kystique graisse visible seulement ds 10% de cas de LPS myxoides.
34 ASPECT MICROSCOPIQUE MYXOME LPS MYXOIDE Capillaires «branchés» Fission du gène CHOP
35 Odds Ratio en faveur d un MYXOME plutôt que d un LPS myxoïde VARIABLE ODDS RATIO Valeur de p Age (années) > 45 ans 8,37 0,22 Localisation mb inférieur - 0,49 Rapport Tumeur /muscle intramusculaire 4,34 0,54 Taille (mm) <100mm - 0,004 Graisse intra lésionnelle absente 5,73 0,24 MYXOME LPS MYXOIDE AGE MOYEN 50 ans 45 ans TAILLE MOYENNE 59mm 143mm
36 DISCUSSION
37 DISCUSSION Les techniques de biopsies percutanées ont été décrites pour la première fois par Martin et Ellis en Elles présentent en effet l avantage d être: Sures (taux de morbidité= 0-1% versus 4-19% pour 1 biopsie chirurgicale) Peu couteuses (107,58 versus 1157,84 pour une biopsie chirurgicale) Rapides ( 30 minutes versus 1 journée d admission pour la chirurgie) Précises aussi bien sur le plan spatial que temporel Confortables pour le patient (acte réalisé en externe, pas de consultation pré anesthésique) et pour le chirurgien ( dans la planification de son geste opératoire, moindre complication)
38 Un meilleur rendement diagnostic est obtenu en comparaison avec les biopsies chirurgicales: Les zones les + suspectes sont prélevées,visées. Le prélèvement est + profond dans la tumeur Amélioration du matériel biopsique (Biopince )
39 Avantages de notre étude: Concordance avec les données de la littérature ++ Intérêt FISH par rapport à l immunomarquage, qui permet d augmenter tous les paramètres de performance diagnostique des biopsies.(spécificité++) Originalité de ce travail: Problématique commune entre les tumeurs adipeuses et myxoides, qui sont difficiles à caractériser aussi bien sur le plan radiologique qu histologique. Exclusion des sarcomes de haut grade, Inclusion échec biopsie
40 Critiques de notre étude: Rétrospective Centre et acteurs «hyper-spécialisés», avec des résultats non forcément extrapolables auxautres centres. Faible puissance de l étude
41 Conclusion Excellente rentabilité diagnostique des biopsies percutanées pour les tumeurs adipeuses et myxoïdes des tissus mous malgré, un matériel macroscopique peu abondant graisseux ou gélatineux. Fiabilité diagnostique grandement due aux techniques moléculaires (FISH) disponibles et réalisables désormais sur des prélèvements fixés et inclus en paraffine en routine. Tout cela possible grâce à la «spécialisation» de tous les acteurs du diagnostic, radiologues, chirurgiens et pathologistes. Il s agit d un moyen diagnostique peu couteux et peu iatrogène permettant de planifier de façon optimale la prise en charge chirurgicales de ces tumeurs.
42 QUESTION (1): Femme, 68 ans Douleur fesse gauche Découverte d une masse lipomateuse de la partie superficielle du muscle petit fessier gauche. Classification de la masse selon Takayuki Ohguri? Rapport au muscle? Faut il biopsier cette lésion? Si nous disposons d un bilan de coagulation, pouvons nous lui proposer de la réaliser dans le même temps?
43 Il s agit d une classification basée sur l aspect des tumeurs adipeuses à l IRM, donc non applicable à 1 TDM. Si l IRM confirme l absence de septas, ce serait un Type 1 Takayuki Ohguri Tumeur graisseuse Intramusculaire Non infiltrante OUI, car la lésion fait plus de 4 cm, est profonde, et symptomatique (douleur) NON, il faut adresser cette patiente à un centre de radiologie, agrée par le centre régional des sarcomes, car un trajet biopsique incorrect peut compromettre gravement les chances de survie de la patiente. La biopsie sera alors effectuée, après CONCERTATION PLURI DISCIPLINAIRE en particulier avec des chirurgiens spécialisés dans ce domaine. Il s agissait d un liposarcome bien différencié.
44 QUESTION (2) A partir d échantillons biopsiques, Le pathologiste retrouve des adipocytes réguliers, à l examen microscopique, et une faible fixation d Ac anti MDM2 à l immunohistochimie. Cette discordance doit-elle mener à réitérer la biopsie?
45 Réponse NON, le pathologiste peut adresser une partie du matériel biopsique pour analyse cytogénétique, et réaliser une FISH, dont la spécificité et la VPP sont excellentes, et qui permettra d obtenir un diagnostic pré opératoire fiable.
IRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailCase report. Hernie de Spiegel: a propos d un cas. Open Access
Case report Open Access Hernie de Spiegel: a propos d un cas Karim Ibn Majdoub Hassani 1,&, Fatimzohra Zahid 1, Hicham Anoune 1, Imane Toughrai 1, Said Ait Laalim 1, Khalid Mazaz 1 1 Service de chirurgie
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailSont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :
Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailDEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
Cette fiche d'information est un document remis aux patients avant une intervention chirurgicale. Les chirurgiens sont aujourd'hui tenus à fournir une information objective et compréhensible sur les risques
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailMoyens et objectifs de l anatomie pathologique en médecine. Collège Français des Pathologistes (CoPath)
Moyens et objectifs de l anatomie pathologique en médecine Collège Français des Pathologistes (CoPath) Date de création du document 2011_2012 Sommaire 1 Historique... 3 2 Place de l'anatomie pathologique
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détaild anatomo-pathologiste
Le métierm d anatomo-pathologiste Paul P. de SAINT-MAUR Université Paris 6 -Hôpital Saint-Antoine Le 19 Novembre 2002 Le métier m d anatomopathologisted Qu est est-ce qu un un anatomo-pathologiste? Comment
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailChapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique José LABARERE Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. lan I.
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailPositionnement de l implant
HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :
Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLes petis signes de T21 : comment ça marche et à quoi ça sert? Christophe Vayssière (Toulouse) DIU d echographie 2011
Les petis signes de T21 : comment ça marche et à quoi ça sert? Christophe Vayssière (Toulouse) DIU d echographie 2011 2 types de «petits signes»? Il a 2 types de petits signes de T21 : 1/ les signes suite
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailQue savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?
Que savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE DE LA LIGNE
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES
LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailSynthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale.
Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Exécution en bloc opératoire de procédures planifiées en préopératoire Réduction
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailCertificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Guide Reconnaissance par la SSO du statut de praticien généraliste Le certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détail