Pratiques coopératives dans le système de santé : les réseaux
|
|
- Yvette Desmarais
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Pratiques coopératives dans le système de santé : les réseaux Dr Sandrine Hugé Département de médecine générale 1
2 Quelques clés pour comprendre notre sytème de santé 2
3 La protection sociale contre la maladie 3 La branche «maladie» de la sécurité sociale Les complémentaires santé (mutuelles ou assurances) La couverture universelle (CMU) pour les plus démunis (1/1/2000) et CMU-C Les assurés
4 La couverture médicale 4 Environ 77% des coûts La différence peut être prise en charge par les mutuelles ou les assurances 1 non remboursé par consultation Parcours de soins coordonné forfait hospitalier journalier
5 Les relations entre la sécurité sociale et les libéraux 5 Basée sur une convention depuis 1960 Convention renouvelée tous les 5 ans (07/2011) Respecte les principes de la médecine libérale en les adaptant Les médecins s engagent à respecter la convention
6 Notre système de soins 6 Une offre de soins abondante Secteur ambulatoire libéral/ hospitalier privé et public Le paiement à l acte est prédominant dans le secteur ambulatoire (CS 23euros) Les médecins sont salariés dans le secteur public
7 7 En moyenne 330 médecins généralistes pour habitants dont la moitié sont des libéraux MG libéraux en 2012;4/10 femmes Qui travaillent seuls Peu d échanges entre médecins et PS Des inégalités de répartition sur le territoire
8 8
9 L évolution de l offre de soins est contrôlée par l Etat 9 En particulier le secteur hospitalier les équipements «lourds» La formation des médecins Le financement des soins
10 Notre système de santé souffre 10 Non pas d un manque de compétence des professionnels Mais d un manque de réflexion sur l organisation des soins en particulier en médecine libérale D une insuffisance de suivi et de coordination des soins De régulation des professionnels libéraux Les échanges entre les professionnels et entre professionnels et patients sont limités dès la formation initiale
11 Une tendance à l hyperspécialisation 11 Les micro spécialisations des généralistes Les actes techniques sont mieux rémunérés que l acte intellectuel Les spécialistes se vivent et sont perçus comme plus qualifiés malgré spécialité médecine générale 2004
12 12 Cette hiérarchisation accorde plus d importance aux soins aigus et graves qu aux soins du quotidien Pas de rémunération prévention mais débuts nouveaux modes (CAPI puis convention 2011) La formation des médecins est centrée sur le soin
13 Un système qui a besoin d améliorations 13 La coordination entre soins de première ligne et soins spécialisés est loin d être satisfaisante inégalités géographiques Coordination insuffisante entre généralistes et spécialistes D importantes différences entre les champs d activités
14 L idéologie libérale est toujours la référence 14 La charte de 1927 Le paiement à l acte, cadre conventionnel Modifications de comportements des jeunes médecins NMR (conv 26/07/2011) Les généralistes libéraux travaillent plus volontiers avec les spécialistes libéraux
15 Le meilleur système de santé au monde? OMS, Importance de l offre de soins Grande liberté des patients et des praticiens Une couverture «maladie» importante Accessibilité Absence de liste d attente Satisfaction des patients
16 Le meilleur système de santé au monde mais. 16 Une France en retard comparée à ses voisins européens sur certains indicateurs sanitaires Morbidité et mortalité prématurées évitables élevées Dépenses de santé croissantes non liées à l amélioration de la santé Inégalités sociales de santé Absence de coopération organisée du soin La réparation : cœur d une médecine individualisée
17 UNE BRÈVE HISTOIRE DES RÉSEAUX
18 Premier réseau formalisé : le dispositif de lutte contre la tuberculose : environ décès par an 1914 : militaires réformés Plan national de lutte contre la tuberculose Ouverture de dispensaires dans les grandes villes Diagnostic précoce et prise en charge gratuite Isolement des sujets contagieux Prophylaxie réalisée par des infirmières à domicile 1946 : la streptomycine
19 1981 : l apparition du sida 19 Met en lumière les lacunes du système de soins français Une prise en charge difficile dans le cadre des organisations sanitaires classiques. Développés sur le modèle élaboré dans l aide médico-sociale Reposent sur le bénévolat
20 Objectifs des réseaux VIH 20 Améliorer la prise en charge globale des patients Assurer la continuité des soins Favoriser le maintien ou le retour à domicile
21 Des initiatives encouragées dès : Circulaire incitant à la création de réseaux ville-hôpital sida 1993 : Circulaire incitant à la création de réseaux ville-hôpital toxicomanies 1995 : Circulaire incitant à la création de réseaux hépatite C
22 Définition d un réseau de santé Loi du 4 mars Les réseaux de santé ont pour objet de favoriser l accès aux soins, la coordination, la continuité ou l interdisciplinarité des prises en charge sanitaires, notamment celles qui sont spécifiques à certaines populations, pathologie ou activités sanitaires
23 23 Ils assurent une prise en charge adaptée aux besoins de la personne tant sur le plan de l éducation à la santé, de la prévention, du diagnostic que des soins ( )
24 24 Ils sont constitués entre des professionnels de santé libéraux, les médecins du travail, des établissements de santé, des centres de santé, des institutions sociales ou médico-sociales et des organismes à vocation sanitaire ou social, ainsi qu avec des représentants des usagers...
25 ETAT DES LIEUX
26 Une augmentation progressive des réseaux financés 26 Bretagne France 2011= = = = = = = = 54
27 Les réseaux bretons 27 réseau addictologie réseau handicap (Breizh IMC) réseaux maladies chroniques (muco, IRC, SEP) réseaux risques cardiovasculaires réseaux diabète réseaux gérontologiques réseaux cancérologie réseaux soins palliatifs (dont 1 pédiatrique)
28 Les financements 28 Avant 2002 Confusion sémantique et flou des définitions L absence de financement cohérent et pérenne Selon expérimentations
29 Le cadre législatif et réglementaire 29 Une définition unique des réseaux de santé (loi du 4 mars 2002) Une enveloppe de financement annuelle Une décision conjointe ARH-URCAM (régionalisation, MRS) puis ARS
30 Le financement d une organisation au service d un patient 30 Objectifs Prise en charge globale des patients et décloisonnement des professionnels Qualité, sécurité et continuité des soins Développement ETP maladies chroniques
31 Principes d organisation 31 Composition interdisciplinaire et multiprofessionnelle Formalisation (charte, convention constitutive) Liberté d adhésion du patient Coordination médicale et administrative Démarche qualité (formation, protocoles) Système d information sécurisé Modalités d évaluation médico-sociale
32 L enveloppe pour les réseaux millions d en 2002 (consommé 27%) 170 millions d en 2006 (consommé 99%) 167 millions d en 2011
33 Le FIQCS (Fond d intervention pour la qualité et la coordination des soins) 33 Mise en place 01/07/07 Champ : Réseaux de santé Permanence des soins (et maisons médicales de garde ) Aides à l installation, l exercice regroupé, les complémentarités entre professionnels de santé Déploiement du DMP Amélioration de la qualité et de la coordination des soins de ville Aides attribuées pour 5 ans avec évaluation obligatoire tous les 3 ans Géré par ARS depuis 2010 Intégré dans le FIR
34 Le champ du financement des réseaux de santé 34 La prise en compte des priorités de santé publique La valorisation des mutualisations entre réseaux de santé
35 L évaluation : une condition du financement 35 Une évaluation interne tous les ans Une évaluation externe à la fin de chaque période de financement Evaluations en 2008 ( rapport d activité FIQCS 2008, juin 2009) 106 évaluations externes dans 21 régions 70% satisfont aux exigences de l évaluation 25% satisfont partiellement 6 réseaux ont vu leur financement stoppé
36 Choix de l évaluateur 36 Evaluateur interne Les acteurs du réseau Evaluateur externe Une équipe n Au moins un membre d une profession médicale n Un évaluateur possédant une expérience d au moins trois ans sur le plan organisationnel et économique Un seul évaluateur externe pour une thématique donnée
37 Méthodologie générale de l évaluation 37 Un pré-requis : l évaluation interne Une durée de six mois minimum Analyse des indicateurs fournis par le réseau Analyse des dossiers patients anonymisés Entretiens avec les acteurs du réseau, les patients Analyse des rapports activité du réseau Analyse des comptes annuels et bilans financiers
38 Les champs de l évaluation externe (1) 38 L organisation et le fonctionnement du réseau Le fonctionnement du réseau (qualitatif et quantitatif) Le réseau dans son environnement La participation et l intégration des acteurs La prise en charge des patients dans le cadre du réseau et l impact sur les pratiques professionnelles
39 Les champs de l évaluation externe (2) 39 Evaluation médico-économique (efficacité/efficience) Comparaison coûts/résultats (réseau vs prise en charge non coordonnée) Comparaison coûts/résultats entre plusieurs réseaux
40 Les implications de l évaluation externe 40 Pour le réseau évalué : Le réseau a-t-il atteint ses objectifs? Pour la politique des réseaux Des audits financiers Un retour Au Ministère de la santé Au directeur de la CNAMTS Au Parlement Aux organismes de contrôle
41 Les ARS 41 Décret 6/7/2010 relatif au FIQCS Confie aux ARS d attribuer aides au niveau régions décisions: prise en charge financière des prestations, justification dérogations, fonctionnement et évaluation réseau selon critères de qualité. Directeur général ARS après avis comité national de gestion du FIQCS
42 LES RÉSEAUX ACTUELS : UNE ENTREPRISE AMBITIEUSE exemple de réseau
43 Un système de santé en mutation 43 Une «transition épidémiologique» Le vieillissement de la population Les progrès scientifiques La place des patients Les divisions entre les offreurs de soins
44 Et un besoin de changement 44 Changements sociaux Un système de santé figé La crise financière La crise identitaire des professionnels Un accroissement des inégalités sociales Un accroissement des inégalités territoriales
45 La logique du réseau 45 Remédier au cloisonnement excessif du système de soins Répondre aux besoins de prise en charge pluridisciplinaire dans les pathologies chroniques invalidantes
46 L entreprise est ambitieuse 46 Il s agit de coordonner des modes d exercice professionnels différents Marqués par des logiques et des contextes institutionnels divers.
47 Une coordination pluriprofessionnelle qui a fait ses preuves : un réseau de soins palliatifs 47 Les promoteurs Un patriotisme local partagé Un «poly-exercice» et la «multipositionalité» dans le champ médical Une conception du soin qui dépasse la médecine clinique Une communauté professionnelle préexistante Un espace de confiance qui rend pertinente la notion de territoire
48 Une coordination pluriprofessionnelle qui a fait ses preuves : un réseau de soins palliatifs 48 Le contexte de l adhésion Les premiers membres des réseaux sont devenus des innovateurs en institutionnalisant sous forme de réseau leur coopération initiale. Les adhérents suivants s échelonnent selon les contacts et par effet de réputation. La démarche des patients et le service offert sont déclencheurs de l adhésion
49 Une coordination pluriprofessionnelle qui a fait ses preuves : un réseau de soins palliatifs 49 Les outils de travail La coordination se fait au cours de réunions entre professionnels de santé Les réunions de suivi s échelonnent selon les besoins L esprit de la démarche qualité est intégré Le dossier patient est partagé par tous les professionnels
50 Une coordination pluriprofessionnelle qui a fait ses preuves : un réseau de soins palliatifs 50 Les acquis Reconnaissance mutuelle de dynamique relationnelle Une dynamique de changements de culture parmi les professionnels Acquisition de compétences nouvelles Un apprentissage possible et partagé Amélioration des pratiques
51 Adhérents et non adhérents aux réseaux de santé 51 Motivations des adhérents n Avoir un soutien organisationnel n Valoriser, «réenchanter» son exercice quotidien dans son cadre local n Accroître ses compétences, son champ d action n Sortir de l isolement, de la Raisons de la non adhésion n Méfiance par rapport à l Etat et au monde hospitalier n Attentisme n Exclusivité donnée aux soins curatifs n Faible lisibilité du travail en réseau n Attachement à l exercice libéral
52 Des résultats en demi-teinte 52 Le rapport de l IGAS juin 2006 En matière d innovation de l organisation de l offre de soins: Très peu d expérimentations ont su conguger plusieurs fonctions utiles à la prise en charge (formation, coordination, référenciels, éducation sanitaire, etc.) Peu de professionnels impliqués Échec des outils mis en place (DMP, logiciels d aide à la décision, etc.) Pas de preuve de l amélioration des relations villehôpital
53 53 Comme outil d une politique Pas d émergence d une dynamique de territoire mais au contraire des inégalités d accès Très peu d élargissement de réseaux à des pluri pathologies Peu de contribution ou d articulation avec les autres politiques régionales de santé Centré sur hôpital et peu de lien
54 54 Peu de personnes impliquées pour un coût élevé Un nombre de personnes prise en charge très limité Une inégalité de répartition Une concentration sur certaines pathologies Une généralisation du dispositif qui ne semble pas réaliste même si les professionnels de santé s y impliquaient
55 55 De possibles effets secondaires positifs Reconnaissance mutuelle de dynamique relationnelle Une dynamique de changements de culture n Parmi les professionnels entre eux n Entre professionnels et institutionnels gestionnaires du système de santé Des effets positifs pour les professionnels n Acquisition de compétences nouvelles n Modifications de comportement n Amélioration des pratiques Une efficacité dans l ETP
56 Résultats 56 Hétérogénéité de fonctionnement Inégalités de répartition sur territoire Efficience très variable Moyenne patients inclus faible, variable ++ Repositionnement des 700 réseaux nécessaire
57 Exemple d inégalités d accès aux 57 soins: le diabète (2010)
58 Exemple d inégalités d accès aux soins: le diabète (2010) 58
59 Exemple d inégalités d accès aux 59 soins: pathologies cardiovasculaires
60 60
61 Les réseaux de santé : orientations (1) 61 Favoriser la structuration et la coordination des soins ambulatoires. PROMOUVOIR l implication des usagers dans la gestion de leur santé FAVORISER le développement de projets de Maisons et de Pôles de Santé. DEVELOPPER les délégations de tâches (insuffisance cardiaque, diabète, troubles cognitifs, consultation IDE avancée)
62 Les réseaux de santé : orientations (2) 62 Renforcer les liens opérationnels avec l hôpital METTRE EN PLACE des programmes de suivi post-hospitalisation pour les patients en difficulté AMELIORER les procédures de réponses aux urgences FAVORISER l établissement d un cadre territorial de l éducation thérapeutique des patients
63 Les réseaux de santé : orientations (3) 63 ACCELERER la dynamique territoriale de rapprochement entre réseaux DEVELOPPER le processus d intégration au niveau des territoires PARTICIPER à la mise en application des plans régionaux de santé et des plans de santé publique CONTRIBUER à l élaboration et la mise en oeuvre de programmes transversaux régionaux DEVENIR les pivots des projets territoriaux de santé
64 Une nécessaire évolution 64 Pour renforcer la coordination acteurs-offre Élargissement rôle médecin généraliste Autres structures développées: HAD, CLIC, MAIA Budget FIR contraint et recherche efficience Garder expertise prof dans la coordination et lien ville-hôpital
65 Priorités 2013 DGOS 65 Organiser et planifier le parcours de santé et le suivi du patient en situation complexe, en lien avec l équipe de soins de premier recours. Apporter un appui aux différents intervenants (professionnels de santé de premier recours, sociaux, médico-sociaux, la famille) auprès du patient. Favoriser une bonne articulation entre la ville-hôpital (entrée-sortie d hôpital) et avec les intervenants des secteurs sanitaire, médico-social et social.
66 Comment? 66 Axer sur fonction coordination et appui Renforcer polyvalence et ancrage territorial Service de proximité 150 à 200 patients/coordinateur/an Fille active de 1000 patients Ex: >60 ans en situation complexes Étude PRISMA + canadiens 65% soins primaires, 30% coordination, 5%gestion de cas
67 Patient situation complexe 67 Cumul pathos ou ALD Degré de sévérité des pathologies Hospit répétées, déséquilibre depuis des mois Isolement social, vulnérabilité Pratiques de santé inadaptées Ref: DGOS améliorer la coordination des soins: comment faire évoluer els réseaux? Oct 2012
Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailContribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours
Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant
Plus en détailP atients S anté T erritoires
H ôpital P atients S anté T erritoires L exercice regroupé dans les services de santé Une action coordonnée des professionnels en faveur des patients De plus en plus de professionnels de santé ont depuis
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailSYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois
SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi
Plus en détailAméliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé?
Guide méthodologique Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé? Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire Synthèse... 2 Introduction... 3 Partie
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailsociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)
Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets
Plus en détailL exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé
L exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé Dr Jean Jacques ANTOINE FEMALOR 14 Juin 2012 METZ 57 1 Déclara'on d intérêts J ai actuellement ou j ai eu au cours des trois
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailMaison ou un Pôle de santé
Les 4 points clés pour créer une Maison ou un Pôle de santé pluri-professionnel De nouveaux modes d exercice coordonné et regroupé : L exercice médical dans les villes et dans les campagnes est aujourd
Plus en détail2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé
Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,
Plus en détailTERRITOIRES ET SANTE
TERRITOIRES ET SANTE UNE REPONSE A L EVOLUTION DE LA DEMOGRAPHIE DES PROFESSIONNELS DE SANTE ET A L AMELIORATION DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE : LES MAISONS DE SANTE PLURIDISCIPLINAIRES GUIDE DE MISE
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailTIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire
TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire Telecom Bretagne, Institut Telecom M@rsouin, CREM Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailMaison de santé. Définition. Equipes délivrent des soins coordonnés autour d un système d information partagé. Intérêt
Maison de santé Définition Equipes délivrent des soins coordonnés autour d un système d information partagé Intérêt Gestion des Polypathologies, chroniques, complexité Accessibilité, qualité Attractivité
Plus en détailPlan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012
Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES
Plus en détailProjet de communication
PROJET D'ETABLISSEMENT 2012 / 2016 - TOME 6 - Projet de communication 1 Sommaire INTRODUCTION... 4 RECAPITULATIF DES FICHES ACTIONS... 5 Communication Interne... 6 FICHE N COM INT 01 A... 7 Communication
Plus en détailSystème d Information des Réseaux de Santé
Système d Information des Réseaux de Santé Cadre National Septembre 2011 V 1.0.0 SOMMAIRE 1 Synthèse... 3 2 Préambule... 6 2.1 Le système d information des réseaux de santé : problématique commune à l
Plus en détailCONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailRECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS. De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables
1 RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables 2 LE PSIT A DÉFINI UN CADRE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailCahier des charges du système d information des maisons et pôles de santé pluriprofessionnels et des centres de santé polyvalents.
Cahier des charges du système d information des maisons et pôles de santé pluriprofessionnels et des centres de santé polyvalents Décembre 2011 Classification : Public 1 / 90 Synthèse ASIP Santé Une lettre
Plus en détailMINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Direction générale de l offre de soins Sous-direction de la régulation Bureau R4 Dossier suivi par Denise Bauer Tél. : 01 40 56 52 78 Mel. : denise.bauer@sante.gouv.fr
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailLa Mutualité en chiffres
La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 5 La complémentaire santé dans l activité des mutuelles Les prestations
Plus en détailLa télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL)
La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Angers FHF 13 septembre 2012 Ce qui a changé dans l exercice
Plus en détailApplication DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT
ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale
Plus en détailUN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE. pour développer et pérenniser les centres de santé
UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE pour développer et pérenniser les centres de santé LES SOINS DE PREMIERS RECOURS CARACTÉRISTIQUES ET RÔLE DES CENTRES DE SANTÉ Les différentes formes d exercice médical regroupé
Plus en détailLa protection sociale en France
18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir
Plus en détail2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays
Module 2 : Services à la population 2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays réservée : 400 000 OBJECTIFS STRATÉGIQUES - Développer les solidarités locales et l'accessibilité de tous aux services (Axe
Plus en détailRÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION. INC - 27 janvier 2014
RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION INC - 27 janvier 2014 DIAGNOSTIC DU RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION SOMMAIRE La formation et le RIF : constats Les engagements de la COG Ucanss 2013-2016 La création
Plus en détailFINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE. Prof DIE-KAKOU
1 FINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE Prof DIE-KAKOU 2 PLAN INTRODUCTION I- SITUATION II- FINANCEMENT IV- COUVERTURE MALADIE V- DEFIS CMU CONCLUSION 3 INTRODUCTION Services de santé offerts avec
Plus en détailL assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014
L assurance soins de santé en Belgique : une introduction Thomas Rousseau 12 juin 2014 Introduction L assurance maladie obligatoire L assurance soins de santé L assurance indemnités (maladie, accident,
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailLa télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national
La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe Un éclairage pour un déploiement national Journée Télémédecine ASIP Santé 3 mai 2012 Pascale MARTIN - ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailDe meilleurs soins :
De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé
Plus en détaillv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16
P.3! " P.7! # $!%& # $!# $ ' (") P.9 *$ (") +,(") a) )! " #$ %$ lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16 & ' (()# " )2 #% * +,,,- - -$. / 0 ()./ *. 1 - -() * 2+,3+ 1 (.
Plus en détailMettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services.
7 points pour garantir un bel avenir de la e-santé en France... by Morgan - Dimanche, janvier 30, 2011 http://www.jaibobola.fr/2011/01/avenir-de-la-e-sante-en-france.html La Recherche et le développement
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire /Assurance Maladie Complémentaire : guichet unique et reste à charge
Assurance Maladie Obligatoire /Assurance Maladie Complémentaire : guichet unique et reste à charge Colloque de Lyon du 5, 6 et 7 janvier 2012 1 Plan de l intervention 1. Présentation MFP Services : Union
Plus en détailProgramme régional de télémédecine
e-santé Programme régional de télémédecine 2012 > Consultation réglementaire www.sante.midi-pyrenees.fr PRT > Programme régional Télémédecine Contexte p. 4 Les actions du premier Programme régional de
Plus en détailET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012
DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts
Plus en détailPlace des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes
Place des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes Nathalie CHATILLON FNMF Direction des Affaires Publiques Département International Sommaire
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailTitre de la Table citoyenne Offre de soins, accès aux soins
Titre de la Table citoyenne Offre de soins, accès aux soins Organisée par : Délégation des Hautes-Alpes de la Mutualité Française Paca, ADRETS, UDESS05, la CRESS (Chambre Régionale de l Économie Sociale
Plus en détailLes technologies de l information, support de la réorganisation territoriale
Les technologies de l information, support de la réorganisation territoriale Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) De quoi parlons-nous? Le cadre de la santénumérique
Plus en détail2011-2016 Date De parution : octobre 2011 3
1 2011-2016 Date de parution : Octobre 2011 3 ARRÊTÉ N DGA2011/207 Relatif au plan stratégique régional de santé de la région Île-de-France Le directeur général de l Agence Régionale de Santé d Île-de-France
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailContact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,
Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle
Plus en détailPROJET DE LOI DE SANTE
Dossier de presse PROJET DE LOI DE SANTE Changer le quotidien des patients et des professionnels de santé 15 octobre 2014 Contact Presse : Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Le 31 octobre 2014
DOSSIER DE PRESSE Le 31 octobre 2014 La Bourgogne, territoire de soins numérique La Bourgogne fait partie des 5 régions lauréates de Territoire de Soins Numérique (TSN). La région va recevoir un soutien
Plus en détailRappels sur les missions, l évolution des populations couvertes et les engagements stratégiques
DOSSIER DE PRESSE Point presse du 2 juillet 2013 ANNEXES Rappels sur les missions, l évolution des populations couvertes et les engagements stratégiques www.rsi.fr Une mission : assurer la protection sociale
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailPôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre. Salon des formations en promotion de la santé
Fédération Régionale des Acteurs FRAPS Pôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre Salon des formations en promotion de la santé Mardi 20 janvier
Plus en détailCAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010
CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010 ACCÈS AU SPORT ACCÈS AUX LOISIRS ET/OU À LA CULTURE 1 PRÉAMBULE Définies dans le
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailHaut conseil pour l avenir de l assurance maladie
Haut conseil pour l avenir de l assurance maladie La coopération entre professionnels de santé Avis adopté à l unanimité lors de la séance du 10 juillet 2014, à l exception du MEDEF 1 La question de la
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailLa présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA.
Projet ITEP La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. I. LE CADRE JURIDIQUE Les Instituts Thérapeutiques,
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailen toute simplicité!
BIEN COMPRENDRE LES NOUVELLES RÉFORMES DE LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ. en toute simplicité! 1 LA GÉNÉRALISATION DE LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ D ici le 1 er janvier 2016, toutes les entreprises devront mettre
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailLes chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ
Les chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ Édition 2015 ENVIRONNEMENT DE LA PROTECTION SOCIALE Le déficit du régime général En milliards d 2012 2013 Prévisions 2014 0,6 0,2-0,2-2,5-3,2-2,9-5,9-6,8-6
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailPréambule, définitions, limites du sujet :
Télémédecine : Quel cadre, quels niveaux de preuves, quelles modalités de déploiement. XXIX èmes Rencontres Nationales de Pharmacologie et Recherche Clinique, Innovation et Evaluation des Technologies
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Les dates clés de la Coddem
6 ème séance plénière lundi 14 avril 2014 DOSSIER DE PRESSE La commission départementale de la démographie médicale : l instance incontournable en Lot-et-Garonne pour mettre en place un nouvel exercice
Plus en détailARTICULATION STRATEGIQUE CNOPS ET MUTUELLES : «Pour une destinée commune» -Cas de la MODEP- Présenté par : M. Mohammed Faidi
ARTICULATION STRATEGIQUE CNOPS ET MUTUELLES : «Pour une destinée commune» Présenté par : -Cas de la MODEP- M. Mohammed Faidi Transformation du paysage de la couverture médicale au Maroc grâce à: Une meilleure
Plus en détailLES CENTRES DE SANTE MUNICIPAUX PASSE, PRESENT, PERSPECTIVES
LES CENTRES DE SANTE MUNICIPAUX PASSE, PRESENT, PERSPECTIVES INTRODUCTION Cette intervention est davantage une introduction à une discussion sur la question des centres de santé municipaux, destinée à
Plus en détailLES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ
LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ POURQUOI UNE RÉFORME? Améliorer l État de santé de la population Plus d Équité, Une meilleure couverture, Et La maîtrise des coûts! THÈMES PRIORITAIRES
Plus en détailIntervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE 10 mai 2011. 5 mutuelles créent le groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire
5 mutuelles créent le groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire Le 6 mai 2011, le groupe MGEN, le groupe MNH, la MNT, la MGET et la MAEE se sont réunis en assemblée
Plus en détailUN NOUVEAU DEPART POUR LA LMDE
DOSSIER DE PRESSE 24 OCTOBRE 2014 UN NOUVEAU DEPART POUR LA LMDE «Le régime étudiant comme pilier d une politique de santé des jeunes» CONTACT PRESSE LISA RIBEAUD 06 15 86 43 41 lribeaud@unef.fr presse@unef.fr
Plus en détailRéduire les risques en santé
Réduire les risques en santé «Mieux vaut penser le changement que changer le pansement» Marie-Françoise Dumay, Garménick Leblanc, Marc Moulaire, Gilbert Mounier 1 Définition du risque «Possibilité de dommage»
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détailL évaluation des Expérimentations des nouveaux modes de rémunération (Enmr) en France
www.irdes.fr L évaluation des Expérimentations des nouveaux modes de rémunération (Enmr) en France Julien Mousquès mousques@irdes.fr - 1 - 1. Contexte : soins de premiers recours et regroupement Soins
Plus en détailLa protection sociale : assurer l avenir de l assurance maladie
LES AVIS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE, SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL La protection sociale : assurer l avenir de l assurance maladie M. Bernard Capdeville, rapporteur Juillet 2011 Les éditions des JOURNAUX OFFICIELS
Plus en détail