Régime de capital des sociétés de portefeuille d assurances et des sociétés d assurance-vie inactives
|
|
- Sandrine Mongeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Ligne directrice Objet : d assurances et des sociétés d assurance-vie inactives Catégorie : Capital N o : A-2 Date : Juillet 2005 Introduction La présente ligne directrice décrit le régime de capital applicable aux sociétés de portefeuille d assurances et aux sociétés d assurance vie inactives, appelées collectivement «sociétés de portefeuille» ci-après. En vertu du paragraphe 515(1) de la Loi sur les sociétés d assurances (LSA), les sociétés d assurance-vie sont tenues de maintenir un capital suffisant. Le paragraphe 992 (1) de la LSA impose la même exigence aux sociétés de portefeuille d assurances. Bien qu elle ne procède pas des paragraphes 515(2) et 992(2) de la LSA, la présente ligne directrice établit le cadre à l intérieur duquel le surintendant détermine si une société de portefeuille maintient un capital suffisant aux fins des paragraphes 515(1) et 992(1). En outre, le surintendant peut enjoindre une société de portefeuille d augmenter son capital en vertu des paragraphes 515(3) ou 992(3). Table des matières Introduction...1 Aperçu...2 Capital disponible...2 Mesure du risque de capital...2 Filiale étrangère d assurance-vie d envergure...3 Définition de «d envergure»...3 Filiale étrangère d assurance-vie d envergure définition de «capital excédentaire»...4 Politiques et procédures de gestion du capital...4 Atténuation interentreprises des risques...5 Simulation de crise...5 Divulgation , rue Albert Ottawa, Canada K1A 0H2
2 Aperçu Pour évaluer l adéquation du capital d une société de portefeuille, le BSIF compare le capital disponible à une mesure du risque de capital. À cette fin, la société de portefeuille englobe les activités consolidées de toutes les filiales, sauf les entités financières réglementées autres que d assurance-vie et, sous réserve de l accord du BSIF, les filiales étrangères d assurance-vie d envergure. La participation 1 dans ces entités est déduite du capital. Une société de portefeuille peut augmenter son capital disponible par le biais d un crédit au titre de l excédent raisonnable du capital d une filiale étrangère d assurance-vie d envergure sur le niveau en deçà duquel l organisme de réglementation interviendrait auprès de la filiale. Si le capital d une filiale étrangère d assurance-vie d envergure est déficitaire, le montant du déficit est déduit du capital du groupe. Il n y a aucune exigence de niveaux minimaux et cibles. Toutefois, le BSIF s attend que les sociétés de portefeuille gèrent leur capital en fonction du profil de risque et du cadre de contrôle du groupe. Capital disponible Le capital disponible est ajusté comme suit pour tenir compte des filiales étrangères d assurancevie d envergure : l achalandage lié à la participation est déduit des éléments de capital de catégorie 1; le solde de la participation dans la filiale 1 est déduit de la somme des éléments de capital des catégories 1 et 2; le capital excédentaire est ajouté à la somme des éléments de capital des catégories 1 et 2, et tout déficit en est déduit. Outre cet ajustement, la définition du capital des sociétés de portefeuille, y compris les règles, les limites et les restrictions au chapitre de l amortissement, est celle appliquée aux sociétés d assurance-vie actives au Canada (énoncée dans la Ligne directrice A, Montant minimal permanent requis pour le capital et l excédent (MMPRCE) des sociétés d assurance-vie), sauf que les créances émises par la société de portefeuille n étant pas subordonnées aux souscripteurs peuvent être incluses dans les éléments de capital de catégorie 2B si elles rencontrent les autres critères pour cette catégorie de capital (p. ex., détenant une échéance dépassant cinq ans). 1 Comprend tout montant fourni, directement ou indirectement, par la société de portefeuille et assimilé au capital disponible par l entité financière réglementée autre que d assurance-vie ou la filiale étrangère d assurance-vie d envergure. Aux fins de la mesure du risque de capital, le coefficient de pondération de tous les éléments déduits du capital est de 0 %. Juillet 2005 Page 2 de 6
3 Mesure du risque de capital La mesure du risque de capital est déterminée au moyen : (1) de tous les facteurs des composantes du risque du MMPRCE pour toutes les filiales d assurance actives au Canada et leurs filiales; (2) de tous les facteurs des composantes du risque du MMPRCE pour les filiales d assurance qui ne sont pas actives au Canada (non visées en (1)) qui interviennent pour au moins 1 % de l actif consolidé de la société de portefeuille et qui ne sont pas des filiales étrangères d assurance-vie d envergure; (3) des facteurs de rendement insuffisant de l actif (C1) du MMPCRE des postes au bilan et hors bilan de la société de portefeuille, des filiales non réglementées et des autres filiales d assurance-vie qui ne sont pas actives au Canada, sauf les filiales étrangères d assurance-vie d envergure; (4) d un coefficient de 7,5 % au titre du capital excédentaire des filiales étrangères d assurance-vie d envergure. La somme de ces montants représente la mesure totale du risque de capital de la société de portefeuille. Les composantes du risque énoncées aux étapes 1, 2 et 3 peuvent être calculées sur une base consolidée à condition que les résultats soient équivalents. Le BSIF s attend à ce que chaque société de portefeuille fasse preuve de cohérence dans l utilisation de la méthode qu elle choisit. Filiale étrangère d assurance-vie d envergure Une filiale est une filiale étrangère d assurance-vie d envergure si les conditions suivantes sont réunies à son égard : la société de portefeuille a demandé au BSIF de considérer la filiale comme une filiale étrangère d assurance-vie d envergure; le BSIF est convaincu que les règles étrangères sur le capital réglementaire reposent sur le risque et appliquent des facteurs appropriés pour saisir les risques importants qui caractérisent le territoire en cause; la filiale est assujettie aux règles du gouvernement étranger sur le capital réglementaire et répond à ses normes de saine capitalisation ou à ses normes de capital équivalentes; la participation dans la filiale est «d envergure»; la filiale tire ses revenus principalement de ses activités locales, et la taille de son effectif reflète l ampleur de ses activités; rien n indique que des risques sont transférés d une société à l autre uniquement pour se soustraire à un régime de capital donné. Juillet 2005 Page 3 de 6
4 Définition de «d envergure» L accord préalable du BSIF est requis pour qu une filiale ou un groupe de filiales semblables œuvrant à l étranger soit assimilé à une «filiale étrangère d assurance-vie d envergure» aux fins de la présente ligne directrice. Ce statut ne sera accordé que dans certaines circonstances. Une filiale ou un groupe de filiales semblables sera dit «d envergure» si ses revenus moyens des trois dernières années financières représentaient au moins 20 % du total des revenus du groupe et si la valeur de consolidation de la participation de la société de portefeuille dans la filiale représente au moins 15 % de la valeur du capital-actions ordinaire du groupe. Dans le cas des nouvelles acquisitions, cette évaluation se fondera sur des projections raisonnables sur trois ans. Dans certaines circonstances limitées, à la demande de la société de portefeuille, le BSIF tiendra compte de facteurs autres que ces seuils pour déterminer si une filiale constitue une filiale étrangère d assurance-vie d envergure. Le revenu net de la filiale, le poids de son actif sous gestion par rapport à celui de l ensemble du groupe et l importance de ses activités sur le marché qu elle exploite peuvent être au nombre des facteurs considérés. Dans certaines circonstances limitées, en raison d une perte non récurrente, par exemple, une filiale ou un groupe de filiales semblables pourrait ne plus répondre aux critères. Le cas échéant, la société de portefeuille peut invoquer le régime des droits acquis de façon provisoire ou permanente. Les requêtes présentées en ce sens seront examinées au cas par cas, en tenant compte des autres critères et du motif de la demande. Filiale étrangère d assurance-vie d envergure définition de «capital excédentaire» En vertu des pratiques exemplaires de la communauté internationale, les organismes de réglementation doivent établir des seuils de contrôle de la solvabilité dont le non respect entraîne une intervention de surveillance. De façon générale, les marchés s attendent à ce que les sociétés se maintiennent au-dessus de ces seuils. Le BSIF doit tenir compte de ces deux facteurs pour prendre en considération le capital excédentaire d une filiale étrangère d assurance-vie (c.-à-d. le montant qui pourrait être transféré à d autres entités du conglomérat sans restriction et sans provoquer de réaction négative du marché). Le BSIF fixera selon le pays en cause, et au besoin, le seuil au-delà duquel il y aura capital excédentaire. Aux États-Unis, par exemple, les sociétés maintiennent généralement un niveau de capital équivalant à plus de 200 % du montant requis par le calcul du capital fondé sur le risque 2. Conséquemment, le BSIF assimilera généralement tout montant supérieur à ce niveau au capital excédentaire pour les besoins de ce calcul, et pourra réviser le seuil si les attentes du marché ou des organismes de réglementation, ou le profil de risque de la filiale étrangère d assurance-vie d envergure, évoluent. Le BSIF approuvera des seuils similaires pour les sociétés de portefeuille ayant des filiales étrangères d assurance-vie d envergure ailleurs à l étranger. 2 À noter que 200 % représente le double du seuil d intervention «No Action Level» des organismes américains de réglementation. Juillet 2005 Page 4 de 6
5 Le BSIF fixera aussi le seuil de chaque pays en deçà duquel il y a déficit de capital. Par exemple, le BSIF imposera généralement des exigences aux sociétés si le capital d une filiale américaine est inférieur à 150 % du capital fondé sur le risque 3 (ainsi, ces sociétés devront soustraire du capital disponible le montant requis pour que le capital fondé sur le risque de la filiale respecte la norme des 150 %). Le capital excédentaire est converti en dollars canadiens au taux de change au comptant en vigueur à la date de déclaration. La société de portefeuille doit fournir au BSIF l état réglementaire détaillé soumis à l organisme étranger de réglementation à l appui du calcul de l adéquation du capital sur le territoire de ce dernier. Politiques et procédures de gestion du capital Le BSIF s attend à ce que les sociétés de portefeuille et les sociétés actives maintiennent un capital suffisant pour couvrir les pertes inattendues et gèrent leur capital en fonction du profil de risque et du cadre de contrôle du groupe. Il conserve néanmoins le droit d exiger le relèvement du capital lorsque cela est nécessaire, ou d obliger la société de portefeuille à élaborer un plan pour rehausser la qualité globale de son capital. Le BSIF continuera d évaluer les risques et d appliquer son Cadre de surveillance à l échelle du groupe. Il pourra considérer toutes conditions spécifiques liées au marché lorsqu il évaluera la performance des entités en fonction de leur plan de capital. Un cadre de gestion englobe nécessairement : la supervision exercée par le conseil d administration et la haute direction; l élaboration de plans pour assurer le maintien d un capital suffisant en regard des risques; des politiques et des procédures pour veiller à ce que la société de portefeuille consolidée cerne, mesure et déclare tous les risques importants; un processus qui concilie le capital et le niveau de risque; un mécanisme énonçant les objectifs d adéquation du capital en regard des risques, compte tenu de l orientation stratégique et du plan d entreprise de la société; un ensemble de contrôles, d examens et de vérification internes qui garantit l intégrité du processus de gestion. 3 À noter que 150 % représente le double du seuil d intervention «Regulatory Action Level» des organismes américains de réglementation. Juillet 2005 Page 5 de 6
6 Le conseil d administration de la société de portefeuille doit participer activement à la sanction des politiques et à la supervision des niveaux de capital. Il doit veiller à ce que la société de portefeuille se dote de plans adéquats de gestion du capital et à ce que chaque institution financière fédérale du groupe dispose de plans et d objectifs de capital conformes à son profil de risque. Atténuation interentreprises des risques Aux fins de gestion du risque, les sociétés peuvent utiliser des techniques d atténuation des risques faisant appel à d autres entités du groupe. L utilisation de garanties et la réassurance sont au nombre des techniques d atténuation des risques. Le concept qui sous-tend la méthode par déduction appliquée aux filiales étrangères d assurance-vie d envergure est que les règles étrangères sur le capital reflètent mieux les risques propres dans leur juridiction. La société de portefeuille doit donc obtenir l aval du BSIF avant de bénéficier d un crédit pour mesure du risque de capital aux termes d ententes d atténuation des risques à l échelle du groupe qui transfèrent les risques à une entité assujettie à d autres normes de fonds propres. Simulation de crise Le BSIF continuera d exiger que les sociétés actives au Canada procèdent à des simulations de crise et à l essai dynamique de la suffisance du capital (EDSC) à l échelle du groupe. Il s attend à ce que la simulation de crise respecte normalement la méthode de l EDSC établie suivant les normes de l Institut Canadien des Actuaires. Toutefois, sous réserve de l accord préalable du BSIF, la société de portefeuille peut recourir à une autre méthode raisonnable pour effectuer les essais à l échelle du groupe. Si le BSIF n approuve pas la méthode proposée par une filiale étrangère, cette dernière devra respecter les exigences de l EDSC. Divulgation Dans son rapport annuel aux actionnaires, la société de portefeuille doit aborder ses pratiques de gestion du capital. Elle doit décrire les politiques et les pratiques des entités actives au sein du groupe et de l ensemble du groupe. Cela vaut particulièrement si la société de portefeuille gère son capital suivant diverses méthodes. La société de portefeuille doit fournir des renseignements qualitatifs et quantitatifs sur la qualité et la disponibilité de son capital. Elle doit aussi décrire les exigences de capital en regard de l importance des risques auxquels le groupe est confronté. Il faut indiquer les ratios de capital du MMPRCE pour chaque société canadienne active, de même que la capitalisation pertinente des filiales étrangères d assurance-vie d envergure par rapport aux exigences réglementaires applicables. L endettement est un autre facteur clé que les marchés surveillent pour évaluer la solidité financière. La société de portefeuille doit fournir au public des renseignements sur sa dette en proportion de son capital total. - FIN - Juillet 2005 Page 6 de 6
N o : D-1A Version initiale : décembre 1997 Révision : juillet 2010
Ligne directrice Objet : (entreprises d assurance-vie) Catégorie : Comptabilité N o : D-1A Version initiale : décembre 1997 Révision : juillet 2010 Introduction La présente ligne directrice énonce les
Plus en détailNote de mise en œuvre
Note de mise en œuvre Objet : appliquant l approche standard ou une AMA Catégorie : Fonds propres N o : A & A-1 Date : Mai 2006 I. Introduction L objectif de cette note de mise en œuvre est de présenter
Plus en détailLigne directrice. Critères de prêts commerciaux. N o : E-2 Date : Juin 1992
Bureau du surintendant des Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255, rue Albert 255 Albert Street Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2 Ligne directrice Objet :
Plus en détailLigne directrice. Titrisation de l actif. Catégorie: Limites et restrictions prudentielles. 1. Introduction
Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255 Albert Street 255, rue Albert Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2 www.osfi-bsif.gc.ca Ligne directrice Objet: Titrisation
Plus en détailBanque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013
Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer
Plus en détailNOTE D INFORMATION. Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité
Date : Le 28 octobre 2013 NOTE D INFORMATION Destinataires : Institutions financières fédérales Objet : Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité Les cyberattaques sont de plus en plus
Plus en détailPropositions législatives et notes explicatives concernant la Loi de l impôt sur le revenu
Propositions législatives et notes explicatives concernant la Loi de l impôt sur le revenu Imposition des dividendes Publiées par le ministre des Finances l honorable James M. Flaherty, c.p., député Juin
Plus en détailLe 8 mai 2015. Bonjour,
Le 8 mai 2015 Bonjour, En janvier, La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers (Manuvie) a annoncé la conclusion de l acquisition des activités canadiennes de la Standard Life. Je souhaite vous informer
Plus en détailLimites régissant les engagements importants
Bureau du surintendant des Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255, rue Albert 255 Albert Street Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2 Ligne directrice Objet :
Plus en détailRÉGIME DE RÉINVESTISSEMENT DE DIVIDENDES ET D ACHAT D ACTIONS NOTICE D OFFRE
RÉGIME DE RÉINVESTISSEMENT DE DIVIDENDES ET D ACHAT D ACTIONS NOTICE D OFFRE Le 18 décembre 2013 Les actionnaires devraient lire attentivement la notice d offre en entier avant de prendre une décision
Plus en détailRecueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts
Recueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts RELEVÉ DES MODIFICATIONS Risque de taux d'intérêt et de concordance des échéances Numéro de la modification Date d établissement
Plus en détailBanque le Choix du Président
Page 1 de 15, Banque le Choix du Président INFORMATIONS À FOURNIR AU TITRE DU 3 e PILIER DE L ACCORD DE BÂLE III 30 septembre 2014 Page 2 de 15 Table des matières Table des matières... 2 TABLEAU 1 APERÇU
Plus en détailImposition des sociétés
Imposition des sociétés Introduction L imposition des sociétés est un sujet qui revêt une grande importance pour toute personne qui s occupe de planification financière ou successorale. La mise en place
Plus en détailBanque le Choix du Président
Page 1 de 15 Banque le Choix du Président INFORMATIONS À FOURNIR AU TITRE DU 3 e PILIER DE L ACCORD DE BÂLE III 30 juin 2014 Page 2 de 15 Table des matières Table des matières... 2 TABLEAU 1 APERÇU ET
Plus en détailLigne directrice. Objet : Normes de fonds propres (NFP) Définition des fonds propres. Date d entrée en vigueur : décembre 2014
Ligne directrice Objet : Normes de fonds propres (NFP) Chapitre 2 Date d entrée en vigueur : décembre 2014 Les normes de fonds propres (NFP) à l intention des banques, des sociétés de portefeuille bancaire,
Plus en détailAnnexe A.4 Sociétés de secours mutuel Entités admissibles
les règlements pertinents. Notes : 1. Dans la présente annexe, RDRP signifie Règlement sur la dispense des restrictions en matière de placements; société de secours désigne une société de secours mutuel.
Plus en détailNotice annuelle de 2007
Notice annuelle de 2007 Le 3 mars 2008 CORPORATION FINANCIÈRE CANADA-VIE 330, University Avenue Toronto (Ontario) M5G 1R8 Corporation Financière Canada-Vie Notice annuelle de 2007 Corporation Financière
Plus en détailÉtude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions
Étude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions Nous vous remercions de votre participation à cette étude d impact quantitative (EIQt n o 3), qui a pour but de recueillir de l information
Plus en détailCESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES
Index A n o 9 CESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES Fondement législatif Articles 650, 651 et 654 de la Loi sur les sociétés d assurances (la «Loi») Définitions
Plus en détailCompte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance
Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Le présent document précise encore davantage les données et la méthodologie utilisées par le BSIF pour calculer les marges pour
Plus en détailÉtats financiers consolidés
États financiers consolidés États financiers consolidés 100 Responsabilité de la direction dans la préparation des états financiers 100 Rapports des comptables agréés inscrits indépendants 101 Rapport
Plus en détailCadre de surveillance
Cadre de surveillance Bureau du surintendant des institutions financières 255, rue Albert, 16 e étage, Ottawa, ON K1A 0H2 Téléphone : 613-990-7788 Télécopieur : 613-952-8219 N o sans frais : 1 800-385-8647
Plus en détailNorme comptable internationale 33 Résultat par action
Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer
Plus en détailSTRUCTURES ORGANISATIONNELLES
Introduction 9 STRUCTURES ORGANISATIONNELLES Par Sven Milelli INTRODUCTION Structures organisationnelles 11 Il existe une grande variété de structures juridiques possibles pour l exploitation d une entreprise
Plus en détailRapport 2014 sur le financement des régimes de retraite à prestations déterminées en Ontario Survol et résultats choisis 2011-2014
Rapport 2014 sur le financement des de retraite à prestations déterminées en Ontario Survol et résultats choisis 2011-2014 Commission des services financiers de l Ontario Mars 2015 Table des matières 1.0
Plus en détailBULLETIN FISCAL 2011-119
BULLETIN FISCAL 2011-119 Mai 2011 EMPRUNT D UN REER HYPOTHÈQUE Lors de l achat d une résidence, plusieurs personnes ont emprunté de leur REER par le biais du Régime d accession à la propriété. Toutefois,
Plus en détailPOLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT D ACTIONS INCITATIVES
POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT Champ d application de la politique Les options d achat d actions incitatives servent à récompenser les titulaires d option pour les services qu ils fourniront à l émetteur.
Plus en détailBulletin fiscal. Mai 2011 EMPRUNT D UN REER HYPOTHÈQUE
Bulletin fiscal Mai 2011 EMPRUNT D UN REER HYPOTHÈQUE Lors de l achat d une résidence, plusieurs personnes ont emprunté de leur REER par le biais du Régime d accession à la propriété. Toutefois, peu de
Plus en détailFIBROSE KYSTIQUE CANADA
États financiers de FIBROSE KYSTIQUE CANADA KPMG s.r.l./s.e.n.c.r.l. Téléphone (416) 228-7000 Yonge Corporate Centre Télécopieur (416) 228-7123 4100, rue Yonge, Bureau 200 Internet www.kpmg.ca Toronto
Plus en détailObtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION
Obtenir le titre de prêteur agréé La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL aide les Canadiens à répondre à leurs besoins en matière de logement. En tant qu autorité en matière
Plus en détailFINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS
Financement d entreprise et fusions et acquisitions 27 FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS Le Canada est doté de marchés financiers bien développés et très évolués. Les principales sources
Plus en détailLigne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées
Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise
Plus en détailActivité auxiliaire Activité réputée appuyer ou assurer la prestation d un service pour faciliter les opérations d assurance ou les placements.
SECTION III Généralités Des définitions sont ajoutées aux instructions afin d aider l assureur/la société à produire ses relevés. Ces définitions ne constituent pas une liste exhaustive des termes utilisés
Plus en détailRAPPORT ACTUARIEL 2016
RAPPORT ACTUARIEL 2016 sur le TAUX DE COTISATION D ASSURANCE- EMPLOI Bureau de l actuaire en chef Bureau du surintendant des institutions financières Canada 12 e étage, Immeuble Carré Kent 255, rue Albert
Plus en détailGLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance.
GLOSSAIRE 208 RAPPORT ANNUEL 2013 DU MOUVEMENT DESJARDINS GLOSSAIRE ACCEPTATION Titre d emprunt à court terme et négociable sur le marché monétaire qu une institution financière garantit en faveur d un
Plus en détailRapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite
Le 19 avril 2013 Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le comité d experts a été formé vers la fin de 2011, et on lui a donné le mandat de formuler des
Plus en détailRapport financier du premier trimestre de 2013-2014
Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est
Plus en détailInformation Le secteur des services financiers canadien
L industrie canadienne des assureurs de personnes Aperçu Au Canada, l industrie des assurances de personnes se compose de 120 entreprises, comparativement à 163 en 1990; elle englobe les sociétés constituées
Plus en détailSECTION IV. Facility, FA, FARSP et le P.R.R. sont des organismes distincts aux fonctions semblables.
SECTION IV Les établissements «Facility», «Facility Association» («FA»), «FA Risk Sharing Pool» («FARSP») et le «Plan de répartition des risques établi par le Groupement des assureurs automobiles» (le
Plus en détailNorme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie
Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au troisième trimestre de 2013
COMMUNIQUÉ TROISIÈME TRIMESTRE La Banque Nationale divulgue des résultats record au troisième trimestre de L information financière fournie dans le présent communiqué est basée sur les états financiers
Plus en détailDOCUMENT DE CONSULTATION
DOCUMENT DE CONSULTATION Août 1998 DOCUMENT DE CONSULTATION Août 1998 Pour obtenir des exemplaires supplémentaires de ce document : Centre de distribution Ministère des Finances 300, avenue Laurier Ouest
Plus en détailIntroduction FISCALITÉ
Introduction 51 Impôt sur le revenu 53 Exercer une activité au Canada par l intermédiaire d une filiale 54 Exercer une activité au Canada par l intermédiaire d une succursale 56 Mesures de contrôle des
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE... 55
TABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS...................................... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE.................................. 55 Table des matières 3 TITRE I LES ÉTATS
Plus en détailRAPPORT DE 2010 SUR L ATTRIBUTION DE BÉNÉFICES AUX ÉTABLISSEMENTS STABLES
ORGANISATION DE COOPÉRATION ET DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUES RAPPORT DE 2010 SUR L ATTRIBUTION DE BÉNÉFICES AUX ÉTABLISSEMENTS STABLES 22 juillet 2010 CENTRE DE POLITIQUE ET D ADMINISTRATION FISCALES AVANT-PROPOS
Plus en détailPolitique...2 Procédures...2 Limites...3 Approbation...3 Communication de l'information au Bureau...4 Annexe...5
Bureau du surintendant des institutions financières Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255, rue Albert 255 Albert Street Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2
Plus en détailPROJET LIGNE DIRECTRICE SUR L OCTROI DE PRÊTS HYPOTHÉCAIRES RÉSIDENTIELS
PROJET LIGNE DIRECTRICE SUR L OCTROI DE PRÊTS HYPOTHÉCAIRES RÉSIDENTIELS Janvier 2013 TABLE DES MATIÈRES Préambule... 3 Introduction... 4 Champ d application... 5 Prise d effet et processus de mise à jour...
Plus en détailExposé-sondage. Conseil des normes actuarielles. Avril 2013. Document 213018
Exposé-sondage Révisions aux Normes de pratique applicables aux régimes de retraite Hypothèses pour les évaluations de liquidation hypothétique et de solvabilité Conseil des normes actuarielles Avril 2013
Plus en détailDonnéesfinancières. sur l assurance-vie avec participation. Responsabilité Solidité Rendement
2014 Donnéesfinancières sur l assurance-vie avec participation Responsabilité Solidité Rendement Ce guide fournit des données financières clés à propos de la gestion, du rendement et de la solidité du
Plus en détailACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE CONCERNANT LA COOPERATION RECIPROQUE ET L ECHANGE D INFORMATIONS POUR LE CONTROLE BANCAIRE ET PRUDENTIEL 1. Considérant que certaines
Plus en détailÉtude d impact quantitative No 4 Risque de crédit - Instructions
Étude d impact quantitative No 4 Risque de crédit - Instructions Le but de cette étude est de recueillir de l information afin d évaluer diverses méthodes possibles de calcul des exigences de capital liées
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014
COMMUNIQUÉ PREMIER TRIMESTRE 2014 La Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014 L information financière contenue dans le présent document est basée sur les états financiers
Plus en détailÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS DE PAGES JAUNES LIMITÉE (auparavant «Yellow Média Limitée»)
ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS DE PAGES JAUNES LIMITÉE (auparavant «Yellow Média Limitée») 31 décembre 2014 Table des matières Rapport de l auditeur indépendant... 2 États consolidés de la situation financière...
Plus en détailExigences de communication financière sur la composition des fonds propres Texte des règles
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Exigences de communication financière sur la composition des fonds propres Texte des règles Juin 2012 Le présent document est traduit de l anglais. En cas de doute
Plus en détailRéférence : Règlement modifiant le Règlement sur les prestations de pension 205/2011, article 4.18.1
Bulletin de politique n o 10 Date de publication : 12 décembre 2011 Lettres de crédit Référence : Règlement modifiant le Règlement sur les prestations de pension 205/2011, article 4.18.1 Le Règlement sur
Plus en détailLOIS SUR LES INVESTISSEMENTS ÉTRANGERS
Lois sur les investissements étrangers 13 LOIS SUR LES INVESTISSEMENTS ÉTRANGERS La Loi sur Investissement Canada (LIC) est la seule loi fédérale sur les investissements étrangers d application générale.
Plus en détailFINANCIERS CONSOLIDÉS
ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS ET NOTES ANNEXES RESPONSABILITÉ À L ÉGARD DE LA PRÉSENTATION DE L INFORMATION FINANCIÈRE 102 ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS 103 Comptes consolidés de résultat 103 États consolidés
Plus en détailINSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE
INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002
Plus en détailMaximiser l utilisation des pertes lorsqu on jette l éponge
La relève Maximiser l utilisation des pertes lorsqu on jette l éponge À l occasion du congrès de l Association de planification fiscale et financière tenu le 5 octobre 2012, l Agence du revenu du Canada
Plus en détailRégime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions
Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions Circulaire d offre Compagnie Pétrolière Impériale Ltée Aucune commission de valeurs mobilières ni organisme similaire ne s est prononcé de
Plus en détailLa consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition
RÉSUMÉ DU MODULE 4 La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition Le module 4 porte sur l utilisation de la méthode de l acquisition pour comptabiliser et présenter les filiales entièrement
Plus en détailDocument d information
Document d information La croissance rapide des «fiducies de revenu» Les «fiducies de revenu» ou entités intermédiaires cotées en bourse 1 sont de plus en plus présentes dans le milieu canadien des affaires.
Plus en détailPlanification de la relève Troisième partie : La vente de l entreprise à un tiers
Planification de la relève Troisième partie : La vente de l entreprise à un tiers par LORI MATHISON Voici le dernier d une série de trois articles rédigés par Lori Mathison et publiés sur le Reper portant
Plus en détailPROJET PROJET LIGNE DIRECTRICE SUR L OCTROI DE PRÊTS HYPOTHÉCAIRES RÉSIDENTIELS
PROJET LIGNE DIRECTRICE SUR L OCTROI DE PRÊTS HYPOTHÉCAIRES RÉSIDENTIELS Août 2012 TABLE DES MATIÈRES Préambule... 3 Introduction... 4 Champ d application... 5 Entrée en vigueur et processus de mise à
Plus en détailCirculaire relative aux fonds propres des établissements de crédit
BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur CN 24/G/2006 04 décembre 2006 Circulaire relative aux fonds propres des établissements de crédit Le gouverneur de Bank Al-Maghrib ; vu la loi n 34-03 relative aux établissements
Plus en détaildes risques inhérentes Page Utilisation de ce document Champ d application de ce document Gestion du capital Gestion des risques risques
Informations complémentaires inhérentes à la gestion des risques (non auditées) Pour la période terminée le 30 septembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Remarques à l intention du lecteur Utilisation de ce document
Plus en détailPETRO-CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS
PETRO-CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS LE 31 MARS, 2009 PETRO-CANADA - 2 - RÉSULTATS CONSOLIDÉS (non vérifié) Pour les périodes terminées le 31 mars (en millions de dollars canadiens, sauf les montants
Plus en détailFONDS DE L AVENIR DE LA SANB INC. RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE
FONDS DE L AVENIR DE LA SANB INC. RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE PLACEMENT ET DE GESTION Adopté le 26 septembre 2009 1 RÈGLEMENT ADMINISTRATIF RÉGISSANT LES POLITIQUES DE PLACEMENT
Plus en détailBureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration
Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation
Plus en détailSOCIÉTÉ D ASSURANCE VIE MD Siège social : Ottawa, Canada. Le présent certificat est émis en vertu de la
SOCIÉTÉ D ASSURANCE VIE MD Siège social : Ottawa, Canada Le présent certificat est émis en vertu de la POLICE DE RENTE COLLECTIVE FONDS DE REVENU STABLE MD établie en faveur de LA COMPAGNIE TRUST ROYAL
Plus en détailNotice annuelle de 2007 Le 3 mars 2008
Notice annuelle de 2007 Le 3 mars 2008 La Great-West, compagnie d assurance-vie 100, Osborne Street North Winnipeg (Manitoba) R3C 3A5 La Great-West, compagnie d assurance-vie Notice annuelle de 2007 La
Plus en détailÉBAUCHE POUR COMMENTAIRE MODALITÉS RELATIVES AUX ADJUDICATIONS DES OBLIGATIONS À TRÈS LONG TERME DU GOUVERNEMENT DU CANADA
ÉBAUCHE POUR COMMENTAIRE Banque du Canada MODALITÉS RELATIVES AUX ADJUDICATIONS DES OBLIGATIONS À TRÈS LONG TERME DU GOUVERNEMENT DU CANADA 1. Par les présentes, le ministre des Finances donne avis que
Plus en détailVersion approuvée par le conseil d administration le 1 avril 2015. Avril 2015 Manuel 1768403-1
ÉNONCÉ DES PRINCIPES, NORMES ET PROCÉDURES EN MATIÈRE DE PLACEMENT POUR L ACTIF GÉRÉ PAR L OFFICE D INVESTISSEMENT DES RÉGIMES DE PENSIONS DU SECTEUR PUBLIC Version approuvée par le conseil d administration
Plus en détailAnnexe A de la norme 110
Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet
Plus en détailRapport de la direction
Rapport de la direction Les états financiers consolidés de Industries Lassonde inc. et les autres informations financières contenues dans ce rapport annuel sont la responsabilité de la direction et ont
Plus en détailGuide d établissement des succursales de banques étrangères (Révisions de mars 2002)
Guide d établissement des succursales de banques étrangères (Révisions de mars 2002) Critères, exigences documentaires et procédures régissant l établissement et le fonctionnement d une succursale de banque
Plus en détailCIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET A LEUR COUVERTURE PAR LES PROVISIONS
1 sur 9 30/05/2007 09:42 BANK AL-MAGHRIB -------------------- LE GOUVERNEUR Circulaire n 19/G/2002 Rabat, le 18 Chaoual 1423 23 Décembre 2002 CIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET
Plus en détailSociété Financière Manuvie
Société Financière Manuvie États financiers consolidés Pour l exercice terminé le 31 décembre 2008 - MODIFIÉS États financiers consolidés TABLE DES MATIÈRES 3. Responsabilité en matière d information financière
Plus en détailAugust 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailLe présent chapitre se divise en deux parties. Dans la première (A), nous nous intéresserons
Chapitre 14 A. Réévaluation intégrale des actifs et des passifs B. Faillite et mise sous séquestre Objectifs d apprentissage Après avoir étudié ce chapitre, l étudiant devrait pouvoir : décrire les conditions
Plus en détailCLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS
CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS La classe 1 comprend les comptes du capital propre, des réserves et provisions, et ceux des avances et emprunts à plus d un an, dont
Plus en détailConseil de recherches en sciences humaines du Canada
Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012
Plus en détailCOMITÉ CONSULTATIF SUR LA SOLVABILITÉ ASSUREURS DE PERSONNES À CHARTE DU QUÉBEC
COMITÉ CONSULTATIF SUR LA SOLVABILITÉ ASSUREURS DE PERSONNES À CHARTE DU QUÉBEC Novembre 2008 volume 6 APPROCHE STANDARD POUR LE CALCUL DU COUSSIN DE SOLVABILITÉ LIÉ AU RISQUE DE MARCHÉ AUTORITE DES MARCHES
Plus en détailGROUPE D ALIMENTATION MTY INC.
États financiers consolidés de GROUPE D ALIMENTATION MTY INC. Exercices clos les 30 novembre 2013 et 2012 États consolidés des résultats Exercices clos les 30 novembre 2013 et 2012 2013 2012 $ $ Produits
Plus en détailNC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés
NC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés Champ d'application 1. La présente norme doit être appliquée à la préparation et à la présentation des états financiers consolidés d'un groupe
Plus en détailOrientations sur la solvabilité du groupe
EIOPA-BoS-14/181 FR Orientations sur la solvabilité du groupe EIOPA Westhafen Tower, Westhafenplatz 1-60327 Frankfurt Germany - Tel. + 49 69-951119-20; Fax. + 49 69-951119-19; email: info@eiopa.europa.eu
Plus en détailFinancement d une entreprise étrangère qui exerce des activités au Canada
Financement d une entreprise étrangère qui exerce des activités au Canada Le Canada offre des occasions d affaire à ceux qui souhaitent financer une entreprise étrangère au pays et présente tout un éventail
Plus en détailLa responsabilité de l'administration des prestations reste celle de l'administrateur.
Financial Services Commission of Ontario Commission des services financiers de l Ontario SECTION : INDEX N O : TITRE : APPROUVÉ PAR : PUBLICATION : DATE D ENTRÉE EN VIGUEUR : Notes d'orientation sur les
Plus en détailDate d acquisition ou d établissement de la police. Traitement fiscal
NOTES EXPLICATIVES CRITÈRE D EXONÉRATION DES POLICES D ASSURANCE-VIE LOI DE L IMPÔT SUR LE REVENU La Loi de l impôt sur le revenu (la Loi) prévoit des règles concernant l imposition du revenu gagné sur
Plus en détailCE COMMUNIQUÉ NE DOIT PAS ÊTRE PUBLIÉ, DISTRIBUÉ OU DIFFUSÉ, DIRECTEMENT OU INDIRECTEMENT, AUX ÉTATS-UNIS, AU CANADA, EN AUSTRALIE, OU AU JAPON.
COMMUNIQUE DE PRESSE Émission par Ingenico d Obligations à Option de Conversion et/ou d Échange en Actions Nouvelles ou Existantes (OCEANE) Obtention du visa de l Autorité des marchés financiers Neuilly-sur-Seine,
Plus en détailProjet de lancement d un programme de mise en pension de titres du gouvernement canadien détenus par la Banque du Canada. Document de travail
Projet de lancement d un programme de mise en pension de titres du gouvernement canadien détenus par la Banque du Canada Document de travail le 27 août 2001 2 Introduction Un certain nombre de mesures
Plus en détailDEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE DES RÉSULTATS
Deuxième étude d impact quantitative sur le risque de marché Sommaire des résultats Comité mixte BSIF, AMF et Assuris Janvier 2011 DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE
Plus en détailFAILLITE ET RESTRUCTURATION
139 FAILLITE ET RESTRUCTURATION Selon la législation constitutionnelle canadienne, le gouvernement fédéral exerce un contrôle législatif exclusif sur les faillites et l insolvabilité. Au Canada, les procédures
Plus en détailLIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT
LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT Avril 2009 Table des matières Préambule...3 Introduction...4 Champ d application...5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour...6 1. Risque
Plus en détailPOLITIQUE 4.1 PLACEMENTS PRIVÉS
POLITIQUE 4.1 PLACEMENTS PRIVÉS Champ d application de la politique Il y a placement privé lorsqu un émetteur distribue des titres en contrepartie d espèces aux termes des dispenses de prospectus ou des
Plus en détailÉtats financiers consolidés du GROUPE CGI INC. Pour les exercices clos les 30 septembre 2013 et 2012
États financiers consolidés du GROUPE CGI INC. Rapports de la direction et des auditeurs DÉCLARATION CONCERNANT LA RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION À L ÉGARD DE LA COMMUNICATION D INFORMATION FINANCIÈRE
Plus en détailLignes directrices à l intention des praticiens
Janvier 2005 Lignes directrices à l intention des praticiens Visiter notre site Web : www.cga-pdnet.org/fr-ca Le praticien exerçant seul ou au sein d un petit cabinet et l indépendance Le Code des principes
Plus en détailGENWORTH MI CANADA INC.
Aucune autorité en valeurs mobilières ne s est prononcée sur la qualité des titres offerts dans le présent prospectus. Quiconque donne à entendre le contraire commet une infraction. Le présent prospectus
Plus en détailPrincipes généraux de l imposition des contrats d assurance-vie au Canada
Principes généraux de l imposition des contrats d assurance-vie au Canada Janvier 2015 L assurance-vie joue un rôle de plus en plus important dans la planification financière en raison du patrimoine croissant
Plus en détailRèglement sur le commerce de l assurance (banques étrangères autorisées), pris par le gouverneur en conseil par le décret
Les règlements tels que publiés sur ce site ont été préparés uniquement pour la commodité du lecteur et n'ont aucune valeur officielle. Aux fins d'interprétation et d'application de la loi, le lecteur
Plus en détail