Effet des bandes alternées sur la dynamique des insectes ravageurs du blé et de leurs ennemis naturels sous régie biologique PSDAB 08 BIO 28
|
|
- Huguette Lefèvre
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Effet des ndes lternées sur l dynmique des insectes rvgeurs du lé et de leurs ennemis nturels sous régie iologique PSDAB 8 BIO 28 Pr : Éric Lucs, Ph.D., Geneviève Lrie 2, Ph.D., Mrilou Goyer, B.Sc. et le Clu Bioction UQAM Lortoire de lutte iologique 2 Centre de recherche sur les grins Inc. (CÉROM) Rpport finl déposé le 24 février 22 dns le cdre du Progrmme de soutien u développement de l griculture iologique du Ministère de l Agriculture, des Pêcheries et de l Alimenttion du Quéec
2 TABLE DES MATIÈRES BRÈVE DESCRIPTION DU PROJET DÉROULEMENT DES TRAVAUX RÉSULTATS APPLICATION POSSIBLE POUR L INDUSTRIE POINT DE CONTACT PARTENAIRES FINANCIERS....8 ANNEXE.9 2
3 Liste des tleux et des figures Tleu. Identifiction et ondnce des insectes récoltés dns les ndes de, et les grnds locs de lé durnt l été 29 (A) et 2 (B) Tleu 2. Nomre de vols, durée et distnce prcourue pr des coccinelles mculées oservées dns les ndes de, et les locs u cours du mois de juillet 2... Figure. Aondnce des pucerons ilés dns les ndes de, et les locs de de lrge u cours de l été 29 (A) et 2 (B)... Figure 2. Aondnce totle de cécidomyies selon le type d méngement durnt l émergence des dultes en Figure 3. Aondnce moyenne des rvgeurs dns les ndes de, et les locs de 8 m de lrge durnt l été 29 (A) et 2 (B)...2 Figure 4. Aondnce moyenne de A) pucerons en 29 et de B) thrips en 2 dns les ndes de, et les locs de de lrge...2 Figure 5. Infesttion des grins pr l cécidomyie orngée du lé dns les ndes de, et les locs de de lrge en 29 (A) et 2 (B)...3 Figure 6. Aondnce moyenne des ennemis nturels dns les ndes de, et les locs de de lrge durnt l été 29 (A) et 2 (B)...3 Figure 7. Aondnce totle moyenne de certins ennemis nturels dns les ndes de, 36 m et les locs de de lrge en 29 (A) et 2 (B)...4 Figure 8. Indice de contrôle iologique dns les ndes de, et les locs de de lrge durnt l été 29 (A) et 2 (B)...4 Figure 9. Aondnce des prsitoïdes (Pltygstride) récoltés vec le filet fuchoir dns les ndes de, et les locs de de lrge durnt l été 2. 5 Figure. Rendements (t/h) dns les ndes de, de lrge et les locs de de lrge en 29 et en
4 BRÈVE DESCRIPTION DU PROJET Un méngement en ndes lternées de différentes cultures peut pporter de nomreux vntges gronomiques et économiques, tels qu une diminution de l érosion, une meilleure conservtion de l eu, une meilleure photosynthèse sur les ords de prcelles, insi qu une réduction des mldies et rvgeurs. Une étude quéécoise récente démontré que des ndes lternées de lé, mïs, soy et vesce présentient une réduction de l ondnce du puceron du soy dns les ndes de soy, insi qu un meilleur contrôle pr les ennemis nturels, prticulièrement les prsitoïdes (Lrie et l. 2). L ojectif du présent projet étit d évluer l effet des ndes lternées de et de lrge de lé, soy et mïs sur l dynmique des rvgeurs du lé et de leurs ennemis nturels. Ces lrgeurs sont comptiles vec l'équipement moderne de l ferme et sont comprées vec des grnds locs de de lrge (témoins). Les ojectifs spécifiques étient: d évluer l'ttirnce de certins rvgeurs du lé pour les ndes lternées en comprison vec des grnds locs en déut de sison; 2 de suivre l évolution des popultions des pucerons du lé (4 espèces), de l cécidomyie orngée du lé, de l mouche de Hesse et de l légionnire uniponctuée insi que de leurs ennemis nturels durnt l été dns les ndes, compré à des grnds locs; 3 d évluer le mouvement des coccinelles entre les ndes de lé, soy et mïs, principlement lorsque les ndes de lé sont récoltées; 4 d'évluer les effets à moyen terme des ndes lternées sur le rendement du lé. L échntillonnge des insectes été effectué durnt les étés 29 et 2 à l ide de différents types de pièges et d oservtions. Des pièges à phéromones ont été utilisés pour déterminer l émergence et l ondnce des dultes de l cécidomyie orngée du lé. Ces pièges ont été utilisés seulement en 29 cr les phéromones n étient ps disponiles en 2. Des coups de filet fuchoir ont été effectués chque semine sur 8 sttions pr prcelle. Les insectes récoltés étient ensuite rmenés u lortoire et identifiés. Des oservtions visuelles de 5 plnts de lé pr prcelle ont ussi été effectuées pour évluer l incidence de l légionnire uniponctuée et des pucerons, insi que de leurs dommges. Un décorticge de 2 épis pr prcelle, récoltés u stde pâteux mou nous permis de dénomrer les lrves de cécidomyie orngée du lé et d évluer les dommges. Le rendement été mesuré pr cpteur de rendement sur trois réplicts pr prcelle. En 2, le mouvement des coccinelles entre les ndes de lé été évlué pr des oservtions de 2 à 8 coccinelles pr espèce et pr prcelle vnt l période de récolte de lé. Les résultts ont été nlysés à l ide du logiciel JUMP 8. (SAS Institute) u moyen d nlyses de vrinces. 4
5 2 DÉROULEMENT DES TRAVAUX Année 29 Trois pièges à phéromones pour l cécidomyie orngée du lé ont été instllés dns l semine du 22 juin et ont été relevés chque semine jusqu u 2 juillet. Les oservtions visuelles des insectes insi que les coups de filet fuchoir ont été effectués entre le 5 juin et le 27 juillet. Afin de déterminer l ondnce des lrves de cécidomyie orngée du lé, 2 épis de lé ont été récoltés u stde pâteux mou, le 5 juillet. Une expérience de cpture recpture de coccinelles été initiée durnt le mois de juillet fin d évluer le potentiel de dispersion des coccinelles entre les prcelles. Les popultions de coccinelles étnt très files, nous n vons ps été en mesure de fire une évlution sttistique de l dispersion des coccinelles. Année 2 Les oservtions visuelles insi que les coups de filet fuchoir ont été effectués entre le 4 juin et le 22 juillet. Les épis de lé utilisés pour déterminer l ondnce des lrves de cécidomyie orngée du lé ont été récoltés u stde pâteux mou le juillet. Une introduction de coccinelles été effectuée dns toutes les prcelles. Toutefois, le file tux de recpture ne nous ps permis d évluer l dispersion des coccinelles. Année 2 Afin de ien évluer l dispersion des coccinelles entre les ndes lternées, entre 2 à 8 coccinelles pr prcelle ont été oservées durnt minutes dns les prcelles de lé et les prcelles de soy durnt l semine du 2 et du 27 juillet 2. Une ttention prticulière été pportée u vol des coccinelles, à leur direction et à leur durée, fin de mieux comprendre l effet des ndes lternées sur le déplcement des coccinelles. 3 RÉSULTATS Attrction des rvgeurs du lé dns le système en ndes lternées En 29, il y eu plus de pucerons ilés dns les ndes de que dns les locs témoins sur l ensemle de l été (F 2,5 =,8;p=,47). Le 2 juillet, il y eu plus de pucerons ilés dns les ndes de que dns les ndes de et les locs (F 2,5 = 36,6; P =,8) (Figure A). Il y eu très peu d oservtions de légionnires uniponctuées; il n donc ps été possile d évluer l effet des ndes lternées sur leur rrivée. Les dultes de cécidomyie orngée du lé étient présents de fçon similire dns les différents tritements (F 2,5 =,77; P =,54) (Figure 2). 5
6 En 2, il y eu plus de pucerons ilés dns les ndes de pr rpport ux locs témoins durnt le plus gros pic d infesttion (F 2,5 =,65; P =,4) (Figure B). Il y eu très peu de légionnires uniponctuées, il n étit donc ps possile d évluer l effet des ndes sur leur rrivée. 2 Évolution des popultions de rvgeurs et d ennemis nturels Rvgeurs L ondnce totle des groupes d rthropodes identifiés en 29 est présentée u Tleu A. En 29, il y vit moins de rvgeurs dns les ndes de que dns les ndes de et les locs sur l ensemle de l été (F 2,5 = 5,; P =,5)(Figure 3A). Toutefois, l ondnce des pucerons étit moins importnte dns les locs témoins que dns les ndes lternées sur l ensemle de l été (F 2,5 = 22,4; P =,2) (Figure 4A). Dns le cs de l cécidomyie orngée du lé, il y vit une tendnce à voir plus de grins infestés pr épi dns les locs que les ndes de (F 2,5 = 6,46; P =,8) (Figure 5A). Le seuil d intervention dns l Ouest Cndien est de 4% de grins infestés. Le seuil été tteint dns les locs témoins vec un tux de grins infestés moyen de 4,%. L ondnce totle des groupes d rthropodes identifiés en 2 est présentée u Tleu B. En 2, il y eu plus de rvgeurs dns les locs témoins que dns les ndes lternées pour l ensemle de l été (F 2,5 = 39,75; P =,7) (Figure 3B). Prmi ces rvgeurs secondires, ce sont les thrips qui étient les plus ondnts dns les locs témoins pr rpport ux ndes lternées (F 2,5 = 3,88; P =,) (Figure 4B). Dns le cs de l cécidomyie orngée du lé, ucune différence significtive entre les différents tritements n été notée pour le pourcentge de grins infestés (F 2,5 =,69; P =,32) (Figure 5B). Le seuil d intervention toutefois été dépssé dns les ndes de et, vec un tux de grins infestés moyen de 6,5% dns les ndes de et 7,2% dns les ndes de. Ennemis nturels En 29, les ennemis nturels étient plus ondnts dns les que les locs le 22 juin F 2,5 = 3,4; P =,3) et dns les ndes de et les locs le 28 juillet (F 2,5 = 8,98; P =,2) (Figure 6A). L nlyse pr espèce séprée montré que les coccinelles étient plus ondntes dns les ndes de que les ndes de et les locs témoins le 28 juillet (F 2,5 =,9; P =,2). Le 3 juin, les punises nthocorides étient plus ondnts dns les ndes de que dns les ndes de et les locs (F 2,5 =2; p<,). Toutefois, les punises nidés étient plus ondntes dns les locs que dns les ndes lternées le 7 juillet (F 2,5 = 2,25; P =,4). L indice de contrôle iologique (i.e. le nomre de pucerons disponiles pour chque ennemi nturel) étit toutefois similire d un tritement à l utre (F 2,5 = 4,67; p =,2) (Figure 8A). En 2, l ondnce glole des ennemis nturels étit similire d un tritement à l utre (F 2,5 = 4,9; P =,) (Figure 6B). L nlyse pr espèce séprée démontre que les rignées étient 6
7 moins ondntes dns les locs que dns les ndes de le 23 juin (F 2,5 = 4,77; P =,3) et le 22 juillet (F 2,5 = 9,4; P =,2). Les coccinelles étient plus ondntes dns les ndes de 8 m que dns les ndes de et les locs le 7 juillet (F 2,5 = 45,54; P =,6) (Figure 7B). L indice de contrôle iologique n étit toutefois ps différent entre les tritements, indiqunt un contrôle nturel similire entre les prcelles témoins et les ndes lternées (F 2,5 = 3,2; P =,8) (Figure 8B). Il y vit significtivement plus de prsitoïdes de l fmille des Pltygstride dns les ndes de que dns les locs témoins (Figure 9). 3 Déplcement des coccinelles dns les ndes lternées Dns cette expérience, 33 coccinelles mculées ont pu être oservées dns les différentes prcelles à l fin du mois de juillet, vnt que les prcelles de lé ne soient récoltées. Il n y vit ps de différences significtives pour le nomre de vols et l distnce moyenne prcourue pr les coccinelles dns les différents tritements (Tleu 2). 4 Rendements En 29, il n y vit ps de différences de rendement entre les différents tritements (Figure ). Le rendement moyen vriit entre 3,64; 3,53 et 3,32 t/h pour les ndes de, et les locs respectivement. En 2, il n y vit ps de différences de rendement entre les différents tritements (Figure ). Le rendement moyen vriit entre 2,9; 3,9 et 3,6 t/h pour les ndes de, et les locs respectivement. 4 APPLICATION POSSIBLE POUR L INDUSTRIE Cette étude démontre qu un méngement en ndes lternées ne présente ps d vntge mjeur u niveu de l pression phytosnitire dns le lé (contrirement u soy). Les ondnces de rvgeurs sont similires dns les ndes et dns les locs. Pour les ennemis nturels, certins groupes sont plus ondnts dns les ndes, d utres dns les locs. Les prsitoïdes étnt générlement des insectes très petits, leur potentiel de dispersion est limité. Un système en ndes lternées, qui présente une diversité de culture à des distnces rpprochées peut leur permettre de trouver des refuges et de l nourriture. L indice de contrôle iologique est similire entre les ndes lternées et les grnds locs. De plus, les rendements étient similires entre les tritements les deux nnées de l étude. Un méngement en ndes lternées présente donc des vntges u niveu du potentiel de contrôle nturel, tout en préservnt le rendement. L étude ntérieure effectuée dns le soy démontrit un effet clirement positif des ndes lternées en réduisnt les rvgeurs et en ugmentnt les ennemis nturels. L nlyse des ndes lternées de lé nous permet de montrer que ces prcelles peuvent constituer un réservoir d ennemis nturels pour les ndes djcentes. Un tel méngement peut donc être énéfique utnt du point de vue environnementl qu économique. 7
8 5 POINT DE CONTACT Nom du responsle du projet : Éric Lucs, Ph. D. Tél. : (54) #3367 Télécopieur : (54) Courriel : lucs.eric@uqm.c 6 PARTENAIRES FINANCIERS Nous tenons à remercier l Ferme Longprès pour l gestion du projet et des prcelles expérimentles. Merci à Spencer Mson, Amélie Juvin et Louise Voynud pour l ide technique u chmp et u lortoire. Ce projet été rélisé grâce à une ide finncière du ministère de l Agriculture, des Pêcheries et de l Alimenttion, dns le cdre du Progrmme de soutien u développement de l Agriculture Biologique (PSDAB). 8
9 Tleu. Identifiction et ondnce des insectes récoltés dns les ndes de 8 m, et les grnds locs de lé durnt l été 29 (A) et 2 (B). A totl Arignées Coléoptères (chrnçons/chrysomèles/tupins) Coléoptères (coccinelles/lmpyride) Collemoles Diptères (syrphes) Hémiptères (cercopes/cicdelles) Hémiptères (pucerons) Hémiptères (L. lineolris /Trigonotylus sp. dultes) Hémiptères (punises nthocorides/nides/podisus sp.) Hyménoptères (Ichneumonoide/Pltygstride*) Lépidoptères Orthoptères Neuroptères Thysnoptères B totl Arignées Coléoptères (chrnçons/chrysomèles/tupins) Coléoptères (coccinelles/lmpyride) Collemoles Diptères (syrphes) Hémiptères (cercopes/cicdelles) Hémiptères (pucerons) Hémiptères (L. lineolris /Trigonotylus sp. dultes) Hémiptères (punises nthocorides/nides/podisus sp.) Hyménoptères (Ichneumonoide/Pltygstride*) Lépidoptères (lrves) Orthoptères 3 4 Neuroptères Thysnoptères *Pltygstride vec le genre Pltygster en 2 9
10 Tleu 2. Nomre de vols, durée et distnce prcourue pr des coccinelles mculées oservées dns les ndes de, et les locs u cours du mois de juillet 2. Nomre totl Distnce moyenne Tritement Culture de vols de vol (m) 8m 36m lé,5 loc 4,63 8m 6,27 36m soy 2,5 loc 4 2,
11 A),8,6,4,2,8,6,4,2 5 juin 22 juin 3 juin juil. 7 juil. 2 juil. 28 juil. Nomre/sttion B) Nomre/sttion,8,6,4,2,8,6,4,2 4 juin juin 7 juin 23 juin 3 juin 7 juil. 7 juil. 22 juil. Figure. Aondnce des pucerons ilés dns les ndes de, et les locs de de lrge u cours de l été 29 (A) et 2 (B). Nomre/piège 2 5 8m 36m 5 3 juin juil. 5 juil. 2 juil. Figure 2. Aondnce totle de cécidomyies selon le type d méngement durnt l émergence des dultes en 29.
12 Aondnce moyenne A) Nomre/sttion B) juin 22 juin 3 juin juil. 5 juil. 2 juil. 28 juil. 4 juin juin 7 juin 23 juin 3 juin 7 juil. 7 juil. 22 juil. Figure 3. Aondnce moyenne des rvgeurs dns les ndes de, et les locs de de lrge durnt l été 29 (A) et 2 (B). A) 25 Nomre de pucerons/sttion juin 22 juin 3 juin juil. 7 juil. 2 juil. 28 juil. B) Nomre de thrips/sttion juin juin 7 juin 23 juin 3 juin 7 juil. 7 juil. 22 juil. Figure 4. Aondnce moyenne de A) pucerons en 29 et de B) thrips en 2 dns les ndes de, et les locs de de lrge. 2
13 Proportion A),9,8,7,6,5,4,3,2, Épis infestés Grins infestés/épi Grins infestés/épi infesté Proportion B),9,8,7,6,5,4,3,2, Épis infestés Grins infestés/épi Grins infestés/épi infesté Figure 5. Infesttion des grins pr l cécidomyie orngée du lé dns les ndes de, et les locs de de lrge en 29 (A) et 2 (B). 8m 36m B) Nomre/sttion A) 3,5 3 2,5 2,5,5 5 juin 22 juin 3 juin juil. 7 juil. 2 juil. 28 juil. Nomre/sttion 3,5 3 2,5 2,5,5 4 juin juin 7 juin 23 juin 3 juin 7 juil. 7 juil. 22 juil. Figure 6. Aondnce moyenne des ennemis nturels dns les ndes de, et les locs de de lrge durnt l été 29 (A) et 2 (B). 3
14 A) B) Nide Arignées Anthocoride Coccinellide Coccinellide,5,5 2 2,5 Nomre/sttion,5,5 2 2,5 Nomre/sttion Figure 7. Aondnce des ennemis nturels dns les ndes de, et les locs de de lrge en 29 (A) et 2 (B). (Les histogrmmes ont été fits vec les semines significtives et les rignées pour l semine du 23 juin). Nomre/sttion A) juin 22 juin 3 juin juil. 7 juil. 2 juil. 28 juil. Nomre/sttion B) juin juin 7 juin 23 juin 3 juin 7 juil. 7 juil. 22 juil. Figure 8. Indice de contrôle iologique dns les ndes de, et les locs de de lrge durnt l été 29 (A) et 2 (B). 4
15 Nomre/sttion 4 3,5 3 2,5 2,5,5 4 juin juin 7 juin 23 juin 3 juin 7 juil. 7 juil. 22 juil. Figure 9. Aondnce des prsitoïdes (Pltygstride) récoltés vec le filet fuchoir dns les ndes de, et les locs de de lrge durnt l été 2. 4,5 4 Rendement (t/h) 3,5 3 2,5 2,5, m 36m Figure. Rendements (t/h) dns les ndes de, et les locs de de lrge en 29 et en 2. 5
Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais
Sttuts ASF Assocition Suisse Feldenkris Contenu Pge I. Nom, siège, ojectif et missions 1 Nom et siège 2 2 Ojectif 2 3 Missions 2 II. Memres 4 Modes d ffilition 3 5 Droits et oligtions des memres 3 6 Adhésion
Plus en détailSéquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire
Séquence 8 Proilité : lois à densité Sommire. Prérequis 2. Lois de proilité à densité sur un intervlle 3. Lois uniformes 4. Lois exponentielles 5. Synthèse de l séquence Dns cette séquence, on introduit
Plus en détailSTI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE
L' Algère de BOOLE L'lgère de Boole est l prtie des mthémtiques, de l logique et de l'électronique qui s'intéresse ux opértions et ux fonctions sur les vriles logiques. Le nom provient de George Boole.
Plus en détailInfluence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation
Influence du milieu d étude sur l ctivité (suite) Inhibition et ctivtion Influence de l tempérture Influence du ph 1 Influence de l tempérture Si on chuffe une préprtion enzymtique, l ctivité ugmente jusqu
Plus en détailTechniques d analyse de circuits
Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mthémtiques nnée 2009-2010 Chpitre 2 Le prolème de l unicité des solutions 1 Le prolème et quelques réponses : 1.1 Un exemple Montrer que l éqution différentielle :
Plus en détailChapitre 11 : L inductance
Chpitre : inductnce Exercices E. On donne A πr 4π 4 metn N 8 spires/m. () Selon l exemple., µ n A 4π 7 (8) 4π 4 (,5) 5 µh (b) À prtir de l éqution.4, on trouve ξ ξ 4 3 5 6 6,3 A/s E. On donne A πr,5π 4
Plus en détailLOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX
LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX Améliortion des performnces des pplictions, protection des données critiques et réduction des coûts de stockge vec les logiciels complets d EMC POINTS FORTS VNX Softwre Essentils
Plus en détailLITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique
LITE-FLOOR Dlles de sol et mrches d esclier Informtion technique Recommndtions pour le clcul et l pose de LITE-FLOOR Générlités Cette rochure reprend les règles de se à respecter pour grntir l rélistion
Plus en détailL'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états.
ciences Industrielles ystèmes comintoires Ppnicol Roert Lycée Jcques Amyot I - YTEME COMBINATOIRE A. Algère de Boole. Vriles logiques: Un signl réel est une grndeur physique en générl continue, on ssocie
Plus en détail- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I )
ENQUETE PRELIMINAIRE ANALYSE ET REFEREWCES : Phénoméne érosptil non identifié ( 0VNI ) B8E 25400 DEF/GEND/OE/DOlRENS du 28/9/1992 Nous soussigné : M D L chef J S, OPJ djoint u commndnt de l brigde en résidence
Plus en détailConseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30
Conseils et stuces pour les structures de bse de l Ligne D30 Conseils et stuces pour l Ligne D30 Ligne D30 - l solution élégnte pour votre production. Rentbilité optimle et méliortion continue des séquences
Plus en détailsemestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005
MATHÉMATIQUES 3 semestre 3 des Licences MISM nnnée universitire 24-25 Driss BOULARAS 2 Tble des mtières Rppels 5. Ensembles et opértions sur les ensembles.................. 5.. Prties d un ensemble.........................
Plus en détailClasseur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle
Clsseur courtier d ssurnce Comment orgniser son ctivité et se préprer à un contrôle 67, venue Pierre Grenier 92517 BOULOGNE-BILLANCOURT CEDEX Tél : 01.46.10.43.80 Fx : 01.47.61.14.85 www.streevocts.com
Plus en détailTurbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances
Turbine hydrulique Girrd simplifiée pour fibles et très fibles puissnces Prof. Ing. Zoltàn Hosszuréty, DrSc. Professeur à l'université technique de Kosice Les sites hydruliques disposnt de fibles débits
Plus en détailCorrection de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) (
Correction de l épreuve CCP PSI Mths PREMIÈRE PARTIE I- Soit t u voisinge de, t Alors ϕt t s = ϕt ρt s ρs Pr hypothèse, l fonction ϕt ϕt est lorsque t, il en est donc de même de ρt s ρt s ρs cr ρ s est
Plus en détailLa lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie
La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis
Plus en détailPour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!
Pour développer votre entreprise Gestion Commercile Gérez le cycle complet des chts (demnde de prix, fcture fournisseur), des stocks (entrée, sortie mouvement, suivi) et des ventes (devis, fcture, règlement,
Plus en détailCours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions
Université Clude Bernrd, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Snté 43, boulevrd 11 novembre 1918 Spécilité Mthémtiques 69622 Villeurbnne cedex, Frnce L. Pujo-Menjouet pujo@mth.univ-lyon1.fr Cours d
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO
Université Pris-Duphine DUMI2E UFR Mthémtiques de l décision Notes de cours Anlyse 2 Filippo SANTAMBROGIO Année 2008 2 Tble des mtières 1 Optimistion de fonctions continues et dérivbles 5 1.1 Continuité........................................
Plus en détailBilan pédagogique / Projet ipad Contexte
t e j n r i t P t n e m i r é d p x d e es ip e d s s l c en gie. l chn, p s e g iss rent p p es ur l s é r cent t e j n pr Bil g g éd n p l2 vri, e iqu U d ps égrtin m t L sch en in tin duc en De gique
Plus en détailLANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES
LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES Mrie-Pule Muller Version du 14 juillet 2005 Ce cours présente et met en oeuvre quelques méthodes mthémtiques pour l informtique théorique. Ces notions de bse pourront
Plus en détailSynthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral
Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (
Plus en détailThéorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann
Chpitre 11 Théorème de Poincré - Formule de Green-Riemnn Ce chpitre s inscrit dns l continuité du précédent. On vu à l proposition 1.16 que les formes différentielles sont bien plus grébles à mnipuler
Plus en détailSYSTEME DE TELEPHONIE
YTEME DE TELEPHOIE LE OUVEUTE PTIE MOITEU COULEU Le système de téléphonie comporte un moniteur vec un écrn couleurs de intégré u téléphone. Cette prtie est disponile en lnc, nthrcite et Tech. TLE DE MTIEE
Plus en détailLa pratique institutionnelle «à plusieurs»
L prtique institutionnelle «à plusieurs» mury Cullrd Février 2013 Nicols, inquiet: «Qund je suis seul vec quelqu un, il se psse des choses» Vlentin, à propos de l institution : «Ici, y beucoup de gens,
Plus en détailEnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015
Enseignement supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Stnisls pour mbition de former les étudints à l réussite d exmens et de concours des grndes écoles de mngement ou d ingénieurs. Notre objectif est d ccompgner chque
Plus en détailToyota Assurances Toujours la meilleure solution
Toyot Assurnces Toujours l meilleure solution De quelle ssurnce vez-vous besoin? Vous roulez déjà en Toyot ou vous ttendez s livrison. Votre voiture est neuve ou d occsion. Vous vlez les kilomètres ou
Plus en détailANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE
Université de Metz Licence de Mthémtiques - 3ème nnée 1er semestre ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE pr Rlph Chill Lbortoire de Mthémtiques et Applictions de Metz Année 010/11 1 Tble des mtières Chpitre
Plus en détailCompte rendu de la validation d'un observateur cascade pour la MAS sans capteurs mécaniques sur la plate-forme d'essai de l'irccyn
Compte rendu de l vlidtion d'un oservteur cscde pour l MAS sns cpteurs mécniques sur l plte-forme d'essi de l'irccyn Mlek GHANES, Alin GLUMINEAU et Roert BOISLIVEAU Le 1 vril IRCCyN: Institut de Recherche
Plus en détail/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV
/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV I. Définition On ppelle système combintoire tout système numérique dont les sorties sont exclusivement définies à prtir des vribles d entrée (Figure ). = f(x, x 2,,, x n ) x x
Plus en détailDéveloppement de l imagerie RMN par agents CEST : application à un modèle rongeur de tumeur cérébrale
Développement de l imgerie RMN pr gents CEST : ppliction à un modèle rongeur de tumeur cérérle Julien Flment To cite this version: Julien Flment. Développement de l imgerie RMN pr gents CEST : ppliction
Plus en détailChapitre VI Contraintes holonomiques
55 Chpitre VI Contrintes holonomiques Les contrintes isopérimétriques vues u chpitre précéent ne sont qu un eemple prticulier e contrintes sur les fonctions y e notre espce e fonctions missibles. Dns ce
Plus en détailModification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages
Modifiction simultnée de plusieurs crctéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de clcul de l vrition de bien-être des ménges Trvers Muriel * Version provisoire Résumé : De nombreuses situtions
Plus en détailRésumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011
Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu
Plus en détail3 -Les traumatismes du membre inféri e u r
3 -Les trumtismes du memre inféri e u r C. Cytevl*, A. Cotten*, M-P.Srrère*, N. Tixedor* Le memre inférieur pour mission de supporter le poids du corps et de permettre de se m o i l i s e r; toute irrégulrité
Plus en détailPartie 4 : La monnaie et l'inflation
Prtie 4 : L monnie et l'infltion Enseignnt A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès Frnce Cours de mcroéconomie suite 4.1 Introduction Nous vons vu dns l prtie introductive que
Plus en détailLe canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques
Le cnl étroit du crédit : une nlyse critique des fondements théoriques Rfl Kierzenkowski 1 CREFED Université Pris Duphine Alloctire de Recherche Avril 2001 version provisoire Résumé A l suite des trvux
Plus en détailFONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE
FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE Règlement d ttriution de ourses et de prêts d études et de formtion du déemre 006 Artile premier Ojet et hmp d pplition Le présent règlement est étli en pplition
Plus en détailGuide des bonnes pratiques
Livret 3 MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L'ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE 3 Guide des bonnes prtiques OUTILS DE LA GRH Guide des bonnes prtiques Tble des mtières 1. Introduction p.
Plus en détailNotes de révision : Automates et langages
Préprtion à l grégtion de mthémtiques 2011 2012 Notes de révision : Automtes et lngges Benjmin MONMEGE et Sylvin SCHMITZ LSV, ENS Cchn & CNRS Version du 24 octore 2011 (r66m) CC Cretive Commons y-nc-s
Plus en détailL EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke.
L EUROPE ET L EAU L eu est indispensble à l vie. Elle soutient nos écosystèmes et régule le climt. Agriculture, limenttion, énergie, trnsports : l eu est u cœur de notre existence. Cependnt, elle est inéglement
Plus en détailLICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER
LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE Unité d enseignement LCMA 4U ANALYSE 3 Frnçoise GEANDIER Université Henri Poincré Nncy I Déprtement de Mthémtiques . Tble des mtières I Séries numériques. Séries
Plus en détailLa plateforme Next Generation Mini guide
L plteforme Next Genertion Mini guie Ce guie onis été réé pour vous permettre e vous fmiliriser rpiement ve les nomreuses fontionnlités et outils isponiles sur l plteforme Next Genertion. Apprenez où trouver
Plus en détail3- Les taux d'intérêt
3- Les tux d'intérêt Mishkin (2007), Monnie, Bnque et mrchés finnciers, Person Eduction, ch. 4 et 6 Vernimmen (2005), Finnce d'entreprise, Dlloz, ch. 20 à 22 1- Mesurer les tux d'intérêt comprer les différents
Plus en détailPortiers audio et vidéo ABB-Welcome et ABB-Welcome M
Portiers udio et vidéo ABB-Welcome et ABB-Welcome M Connectivité Votre regrd vers l'extérieur et ce, où que vous soyez Flexiilité Des esoins les plus simples ux instlltions les plus complexes Gmmes ABB-Welcome
Plus en détailSOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2
39 nnée N 6 Juin 197 0 BULLETIN MENSUE L DE LA SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2 RECONNUE D'UTILITE PUBLIQUE PAR DECRET DU 9 AOUT 193 7 des SOCIETES BOTANIQUE DE LYON, D'ANTHROPOLOGIE ET DE BIOLOGIE
Plus en détailLes méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détailSommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2
Sommire 1. A propos de Sophos... 3 2. Comprtif des solutions Sophos NAC... 4 3. Sophos NAC pour Endpoint Security nd Control 8.0... 4 3.1. Administrtion et déploiement... 4 3.2. Gestion des politiques
Plus en détailAUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*)
Revue d histoire des mthémtiques, 2 (1996), p. 1 66. AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES Bruno BELHOSTE (*) RÉSUMÉ. Dns cet rticle,
Plus en détailMINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS
MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS ÉTAT DURANT LES SEPT DERNIERS JOURS (SAUF AUTRE INDICATION) 1/9 SECTION A IDENTIFICATION ET
Plus en détailINSTALLATION DE DETECTION INCENDIE
reglement > > instlltion E ETECTON NCENE NSTALLATON E ETECTON NCENE Une instlltion de détection incendie pour objectif de déceler et signler, le plus tôt possible, d une mnière fible, l nissnce d un incendie,
Plus en détailElectrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11
Electrovnne double Dimension nominle 3/8 - DMV-D/11 DMV-DLE/11 7.30 M Edition 11.13 Nr. 223 926 1 6 Technique L électrovnne double DUNGS DMV intère deux électrovnnes dns un même bloc compct : - vnnes d
Plus en détailTout ce qu il faut savoir en math
Tout ce qu il fut svoir en mth 1 Pourcentge Prendre un pourcentge t % d un quntité : t Clculer le pourcentge d une quntité pr rpport à une quntité b : Le coefficient multiplicteur CM pour une ugmenttion
Plus en détailPuceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte
Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Daniel Cormier, Ph. D. Institut de recherche et de développement d en agroenvironnement inc.. (IRDA), Québec, Canada Pourquoi
Plus en détailJean-François Vian. To cite this version: HAL Id: pastel-00005158 https://pastel.archives-ouvertes.fr/pastel-00005158
Comprison of different tillge systems in orgnic frming : effect of soil structure nd orgnic mtter reprtition on soil micro-orgnisms nd their ctivities of cron nd nitrogen minerliztion Jen-Frnçois Vin To
Plus en détailChapitre 1 : Fonctions analytiques - introduction
2e semestre 2/ UE 4 U : Abrégé de cours Anlyse 3: fonctions nlytiques Les notes suivntes, disponibles à l dresse http://www.iecn.u-nncy.fr/ bertrm/, contiennent les définitions et les résultts principux
Plus en détailTUBES ET PROFILS CREUX
TUBES GAZ SOUDÉS SÉRIE LÉGÈRE DITS «TARIF 1 et 2» Norme de référene : NF EN 10255 (ex NF A 49-145) Nune : S195T Étt de surfe : noir ou glvnisé ÉPAISSEUR DÉNOMINATION en poues Tubes noirs lisses MASSE LINÉIQUE
Plus en détailCOURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel
COURS D ANALYSE Licence d Informtique, première nnée Lurent Michel Printemps 2010 2 Tble des mtières 1 Éléments de logique 5 1.1 Fbriquer des énoncés........................ 5 1.1.1 Enoncés élémentires.....................
Plus en détailPermet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles
Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de
Plus en détailPour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!
Pour développer votre entreprise Compt Avec EBP Compt, vous ssurez le suivi de l ensemble de vos opértions et exploitez les données les plus complexes en toute sécurité. Toutes les fonctionnlités essentielles
Plus en détailTRam «Gestion de la Toxicité en zone Ramsar» Toxicity management in Ramsar area
TRm «Gestion de l Toxicité en zone Rmsr» Toxicity mngement in Rmsr re Progrmme Evlution et réduction des risques liés à l utilistion des Pesticides Rpport finl- Juillet_2014 CIHEAM-IAMM 3191 Route de Mende
Plus en détailInterview p.10. Francis Delpérée. Dossier pédagogique des Equipes Populaires Bimestriel n 154 Janvier-Février 2013
Dossier pédgogique des Equipes Populires Bimestriel n 154 Jnvier-Février 2013 Belgique - België P.P. - P.B. 5000 - Nmur 1 BC 4854 Interview p.10 Frncis Delpérée Bureu de dépôt : 5000 Nmur mil. N d grétion
Plus en détailBiologie du psylle Inventaire des auxiliaires spontanés Evaluation de leur impact réel sur la saison
ELEMENTS DE BIOLOGIE DU PSYLLE DE L ELAEAGNUS, CACOPSYLLA FULGURALIS (KUWAYAMA, 1908) [HEMIPTERA : PSYLLIDAE] ET RELATIONS AVEC SES AUXILIAIRES SPONTANÉS A. FERRE ET M. BEAUJEAN LIFE HISTORY TRAITS OF
Plus en détailRéalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement.
Rélistion de sites Internet PME & Grndes entreprises Offre Premium Etude du projet Réunions de trvil et étude personnlisée de votre projet Définition d une strtégie de pré-référencement Webdesign Définition
Plus en détailDirectives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage...
Directives COV et lterntive lipochimique : peintures, encres, nettoyge, dégrissge... Alin LEMOR Recherche & Développement, Novnce, BP 20609, Venette, 60206 Compiègne Cedex, Frnce, Fx. +33 (0)3 44 90 70
Plus en détailRadioCommunications CDMA
Conservtoire tionl es Arts et Métiers Cours u Conservtoire tionl es Arts et Métiers RioCommunitions CDMA (Version 7) Mihel Terré terre@nmfr Eletronique C4 / Conservtoire tionl es Arts et Métiers Les performnes
Plus en détailMeg Gawler Bréhima Béridogo. Mars 2002
EVALUATION FINALE PROJET D APPUI A LA GESTION DES ZONES HUMIDES DANS LE DELTA INTERIEUR DU FLEUVE NIGER RAPPORT FINAL Meg Gwler Bréhim Béridogo ARTEMIS Services pour l conservtion de l nture et le développement
Plus en détailLicence M.A.S.S. Cours d Analyse S4
Université Pris I, Pnthéon - Sorbonne Licence MASS Cours d Anlyse S4 Jen-Mrc Brdet (Université Pris 1, SAMM) UFR 27 et Equipe SAMM (Sttistique, Anlyse et Modélistion Multidisiplinire) Université Pnthéon-Sorbonne,
Plus en détail1. 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. 2. 2.1.
T/TR 01-01 Pge 3 r+ 1. EQUIPMENT CONCERNE L interconnexion numerique interntionl pour le service visiophonique et de visioconf&ence necessite l stndrdistion des principux prmttres num&iques tels que d~it,
Plus en détailBaccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé
Bcclurét S Asie 9 jui 24 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice Commu à tous les cdidts 4 poits Questio - c. O peut élimier rpidemet les réposes. et d. cr les vecteurs directeurs des droites proposées e sot ps
Plus en détailIntégrale et primitives
Chpitre 5 Intégrle et primitives 5. Ojetif On herhe dns e hpitre à onstruire l opérteur réiproue de l opérteur de dérivtion. Les deux uestions suivntes sont lors nturelles. Question : Soit f une pplition
Plus en détailGuide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2
Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver.2 Présenttion de Esy Interctive Tools 3 Crctéristiques Fonction de dessin Vous pouvez utiliser Esy Interctive
Plus en détailClients légers IGEL et bureaux virtuels : synergie idéale et coût minimal
Clients légers IGEL et bureux virtuels : synergie idéle et coût miniml Infrstructure de bureux virtuels vec clients légers IGEL Universl Desktop : Une plus grnde liberté de conception pour vos postes de
Plus en détailModule 2 : Déterminant d une matrice
L Mth Stt Module les déterminnts M Module : Déterminnt d une mtrice Unité : Déterminnt d une mtrice x Soit une mtrice lignes et colonnes (,) c b d Pr définition, son déterminnt est le nombre réel noté
Plus en détailINFORMATIONS TECHNIQUES
0 INFORMATIONS TECHNIQUES tle des mtieres 06 Alimenttions et ccessoires 08 Postes extérieurs Sfer Postes extérieurs minisfer 9 Postes internes Accessoires d instlltion Centrux téléphoniques PABX Cmérs
Plus en détailINSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE
INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE POUR LES SERRURES D ENTRÉE À CLÉ EXTÉRIEURES VERROUILLABLES, À POIGNÉE DE BRINKS HOME SECURITY. POUR LES PORTES DE
Plus en détailCARDIOLOGIE. Conférences scientifiques
www.crdiologieconferences.c 0 4 v o l u m e X V, n u m é r o CARDIOLOGIE MD Conférences scientifiques Guide prtique sur l usge des nouveux nticogulnts pour prévenir l ccident vsculire cérébrl dns l fibrilltion
Plus en détailExprimer ses goûts, son opinion
Exprimer ses goûts, son opinion O B J E C T I F S Svoir-fire linguistiques : Exprimer ses goûts. Exprimer une opinion. Énoncer un jugement de vleur. Nuncer l expression d une opinion, d un jugement. Comprer.
Plus en détailIntroduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8
Introduction à l modélistion et à l vériction Appliction ux systèmes temporisés Ptrici Bouyer LSV CNRS & ENS de Cchn Introduction à l modélistion et à l vériction p. 1/8 Modélistion & Vériction Introduction
Plus en détailManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch
MnSfe pour les Utilitiés L Protection ntichute pour les Industries de l'energie Frnçis TowerLtch LdderLtch Les questions de protection nti-chute Les chutes de huteur sont l cuse de mortlité l plus importnte
Plus en détailTitrages acidobasiques de mélanges contenant une espèce forte et une espèce faible : successifs ou simultanés?
Titrgs cidobsiqus d mélngs contnnt un spèc fort t un spèc fibl : succssifs ou simultnés? Introduction. L'étud d titrgs cidobsiqus d mélngs d dux ou plusiurs cids (ou bss) st un xrcic cournt [-]. Ls solutions
Plus en détailENTOMOFAUNE VALLEE DE SAINT AMARIN (68)
ENTOMOFAUNE VALLEE DE SAINT AMARIN (68) FELLERING GEISHOUSE HUSSEREN-WESSERLING - KRUTH MALMERSPACH MITZACH - MOLLAU - MOOSCH ODEREN - RANSPACH SAINT-AMARIN - STORCKENSOHN URBES - WILDENSTEIN INSECTES
Plus en détailessais dossier Oser s équi Prothèses auditives
essis dossier u LES AUDIOPROTHÉSISTES AU BANC D ESSAI p. 46 u UN APPAREIL ADAPTÉ À VOS BESOINS p. 50 u FAIRE BAISSER LA FACTURE? PAS SI SIMPLE p. 52 Prothèses uditives Oser s équi AUDIOPROTHÉSISTES Fe
Plus en détailFIG. 1 Module de stockage en position horizontale ; positionnement des jauges de déformation.
Anlyse thermo-mécnique dun prototype de stockge hybride (solide-gzeux) dhydrogène D. CHAPELLE, O. GILLIA b, M. FELDIC. Institut FEMTO ST, UMR 6174, Déprt. Mécnique Appliquée, 24 rue de l Epitphe, 25000
Plus en détailSanté et sécurité psychologiques en milieu de travail
CAN/CSA-Z1003-13/BNQ 9700-803/2013 Norme ntionle du Cnd Snté et sécurité psychologiques en milieu de trvil Prévention, promotion et lignes directrices pour une mise en œuvre pr étpes Avilble in English
Plus en détailAlgorithmes sur les mots (séquences)
Introduction Algorithmes sur les mots (séquences) Algorithmes sur les mots (textes, séquences, chines de crctères) Nomreuses pplictions : ses de données iliogrphiques ioinformtique (séquences de iomolécules)
Plus en détailMagister en : Génie Mécanique
الجمهورية الجزاي رية الديمقراطية الشعبية République Algérienne Démocrtique et Populire وزارة التعليم العالي و البحث العلمي Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université
Plus en détailPetit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis
Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.
Plus en détailCHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires
CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine
Plus en détailExprimez-vous lors du choix de vos pneus:
xprimez-vous lors du choix de vos pneus: xigez des pneus sûrs, ÉnergÉtiquement efficaces et silencieux! 72 d 72 d POUR MILLURS PNUS SUR LS ROUTS SUISSS S exprimer lors du choix des pneus? onner son avis
Plus en détailCHAUFFE-EAU RÉSIDENTIELS ÉLECTRIQUES
HUFFE-EU RÉSIDENTIELS ÉLETRIQUES hauffe-eau standards disponibles dans les modèles 30, 40 et 60 gallons hauffe-eau ascade et Super ascade 9 disponibles dans les modèles 40 et 60 gallons ONÇU POUR DURER
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur
Plus en détailL éditorial. rapport d activité 2010-2012. Francis Daumas. décembre 2014 éditorial
déemre 2014 éditoril L éditoril Frnis Dums Direteur Conernnt l onservtion à long terme des Un premier oup d œil dns le rétroviseur nous L onstrution du nouveu «pôle énergie» données numériques, à ôté des
Plus en détail2. Les auxiliaires de culture
III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs
Plus en détailremboursements factures prêts chômage dettes Le surendettement
les hiers de l tion soile remoursements ftures prêts hômge dettes Le surendettement Repères Selon l Assoition frnçise des soiétés finnières (ASF), reprennt les sttistiques présentées pr l Bnque de Frne
Plus en détailSolutions IHM. Gammes Graphite et G3 Outils pour l'usine connectée
Solutions IHM Gmmes Grphite et G3 Outils pour l'usine connectée Des IHM ux fonctions étendues : > Conversion de plus de 250 protocoles > Serveur Web intégré > Enregistreur de données sécurisées > Modules
Plus en détailPesticides. agricoles Moins et Mieux. Cahier d auto- évaluation
Pesticides agricoles Moins et Mieux Cahier spécifique Cahier d auto- évaluation Maïs sucré 1 re ÉDITION (2004) : Coordination et réalisation : Marie-Hélène April Raymond-Marie Duchesne Stratégie phytosanitaire
Plus en détailINTENTION LES PROCESSUS MATHÉMATIQUES
INTENTION Adpttios u Cdre commu des progrmmes d études de mthémtiques M-9 telles que reflétées ds le documet Mthémtiques M-9 : Progrmme d études de l Albert (2007) Le coteu du documet Mthémtiques M-9 :
Plus en détail