AVANT-PROPOS. [Presses universitaires de Rennes, 2010,
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- Claude Breton
- il y a 6 ans
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1 AVANT-PROPOS S orienter de l enseignement de Jacques Lacan, aujourd hui, dans le lien social qui est le nôtre, est indispensable. À l heure où les repérages cliniques et théoriques sont des plus flous, et des plus complexes, il convient d y opposer rigueur conceptuelle et tranchant clinique. La dimension de l imaginaire, prévalente dans les formes de psychothérapies actuelles, ne saurait constituer un outil pertinent pour l appréhension du sujet souffrant et les nouvelles formes symptomatiques dont il témoigne. Quant à la science, aussi efficace soit-elle dans le traitement du corps et de ses atteintes organiques toujours plus accentuées, voire radicalisées, n a que peu de considération pour le sujet de l inconscient. Sauf à suivre l indication de Lacan donnée aux médecins dans sa «Conférence à Genève sur le symptôme», de s ouvrir à la psychanalyse et de collaborer avec elle, d inclure dans sa pratique les dimensions du désir et de jouissance. S orienter de l enseignement de Jacques Lacan, donc, est une formation, sans cesse remise à la tâche, qui nécessite d en passer par la lecture de ses textes et de ses Séminaires. Jacques-Alain Miller 1, dans son article intitulé «Encyclopédie 2», rédigé pour l Encyclopédia Universalis, cerne au plus près la logique de son œuvre 1. Miller J.-A., né en 1944, fut l élève de Louis Althusser, Roland Barthes, Georges Canguilhem, Jacques Derrida, Michel Foucault et Jacques Lacan. En 1966, il crée la revue Les Cahiers pour l analyse qui s arrête en En 1971, il publie sous son autorité aux éditions du Le Seuil les textes des Séminaires de Jacques Lacan. Il est alors directeur du Département de psychanalyse de l Université de Paris-VIII, et celui de la revue Ornicar? Il se consacre à la clinique, à l enseignement et au «champ freudien». En 1992, il fonde l AMP (Association mondiale de psychanalyse). Héritier de l enseignement de Lacan, l orientation qu il donne à la recherche psychanalytique au sein de l école de la Cause Freudienne, dont il est membre, préserve la vivacité des inventions nombreuses du discours lacanien. Pour un aperçu de ses quelques textes de jeunesse, lire l ouvrage de Jacques-Alain Miller intitulé Un début dans la vie, Paris, Gallimard, Miller J.-A., «Encyclopédie», Ornicar? 24, Automne 1981, Le Seuil, Paris, p Comme il l est écrit sur la première page, «ce numéro était sous presse, lorsque nous avons appris la mort de Lacan». 7
2 Les fondamentaux de la psychanalyse lacanienne pour en indiquer les différents «temps», «strates», les «tenants et les aboutissants 3» depuis le début des années cinquante. C est d abord, nous dit-il, dans un «retour à Freud 4» que Lacan a situé les «débuts de son enseignement». Il «ne s est pas du tout donné pour but de réinventer la psychanalyse [ ] ; il s est seulement demandé à propos de la psychanalyse : à quelles conditions est-elle possible? Si, et seulement si, a-t-il répondu, l inconscient est structuré comme un langage. Le développement de cette hypothèse jusqu à ses conséquences extrêmes constitue l enseignement de Lacan 5.» Lacan situe d emblée l importance de la pensée freudienne dans le «fouillis de la littérature analytique 6», mais pour, au fur et à mesure de ses élaborations conceptuelles, «opérer une réduction du matériel freudien, jusqu à introduire, en nombre restreint, les termes d un algèbre très commode dès qu on en a le maniement 7». À ce titre, son enseignement fut toujours «animé par un idéal de simplicité. [ ] La difficulté qu on éprouve à le suivre tient au contraste entre la haute systématicité d une pensée qui a refondu tous les termes sur lesquels elle s appuie, et qui tous s intriquent, et le style de trouvaille, à la fois digressif et soudain, dans lequel elle se resserre et se nuance ; il ne faut pas compter pour rien l ampleur et la diversité de ses références ; en un mot, c est une œuvre très opaque au lecteur pressé 8». Lacan lui-même situe les termes de son désir à la psychanalyse dans la quatrième de couverture de ses «Écrits» : «Il faut avoir lu ce recueil, et dans son long, pour y sentir que s y poursuit un seul débat, toujours le même, et qui, dût-il paraître à dater, se reconnaît pour le débat des lumières 9.» La finalité de cet ouvrage didactique est de donner quelques éclaircissements et repères conceptuels, épistémologiques et cliniques susceptibles de faire transmission, tant aux étudiants qu à tout à chacun qui décide de se mettre au travail de la psychanalyse lacanienne, dans ses recherches universitaires et dans sa pratique clinique et in fi ne dans sa formation analytique. Le «maniement 10» des outils lacaniens «schémas, formules, graphes, mathèmes 11» suppose un savoir-faire qui s appuie non sur «une théorie de l inconscient comme tel» que sur «une théorie de la pratique analytique». La «structure qu on reconnaît à celle-ci (la pratique analytique) est 3. Ibidem, p Ibid., p Ibid. 6. Ibid., p Ibid. 8. Ibid., p Lacan J., «Quatrième de couverture», Écrits, Paris, Le Seuil, Miller J.-A., op. cit., p Ibid., p
3 Avant-propos supposée à l inconscient». Lacan a ainsi fait publiquement démonstration du détail de son discours et de sa pensée à partir de la pratique analytique. «Ce discours mobilise si bien toutes les ressources rhétoriques, homophoniques de la langue, qu il illustre dans sa forme même la thèse qu il véhicule, de la primauté du signifiant logique sans doute, mais aussi poétique.» Il «assure en tout cas [ ] une étonnante résistance à la banalisation, et une diffusion qui va bien au-delà de la compréhension 12». L organisation quaternaire de cet ouvrage tente de restituer, à partir de la chronologie de ses Séminaires, une logique de la pensée et du discours de Lacan «inscrite dès ses commencements». Nous y avons donc situé quatre parties dont les intitulés La structure et l Autre ; L objet ; La jouissance ; Cliniques contemporaines sont les jalons conceptuels à partir desquels il nous a semblé pouvoir cerner la «structure fondamentale 13» de son œuvre. Il a bien sûr fallu la lecture éclairée de Jacques-Alain Miller de l œuvre de Lacan menée et élaborée depuis de nombreuses années dans ses cours, dans ses textes et dans la rédaction des Séminaires de Lacan, publiés au un par un pour être à même de cerner, voire de serrer au plus près, ce qu il en est de la «périodicité 14» logique de l enseignement de Lacan. Il situe ainsi, dès 1953, «la pierre d angle (de son enseignement qui) restera la proposition de l inconscient structuré comme un langage 15». La «distinction corrélative du réel, du symbolique et de l imaginaire» découpe en trois temps celui-ci. Le premier temps ( ) commence en 1953, au moment de la première scission qui correspond à l introduction de sa proposition de «l inconscient est structuré comme un langage». Il donne alors au symbolique le statut de «catégorie essentielle 16» qui prévaut sur celle de l imaginaire. Lacan met au travail, chaque année, un concept qu il trouve chez Freud : le moi, la phobie, les formations de l inconscient, l hystérie, le transfert, l identification et l angoisse, qui vient clore la première période, en C est ici un «séminaire des textes freudiens 17» qui «vérifie la validité de la structure de langage, sur toute l étendue du champ légué par l expérience d un demi-siècle». Lacan parle «d organon» en lequel est «introduite une algèbre nouvelle 18». 12. Ibid. 13. Ibid., p Ibid., p Ibid. 16. Ibid., p Ibid., p Ibid., p
4 Les fondamentaux de la psychanalyse lacanienne Cette première théorie de Lacan, qui débute par le «stade du miroir en 1936, «achoppe 19» sur une difficulté de structure : l imaginaire échoue immanquablement sur une pluralité d identifications, mortifères et «aliénantes». Seul «l imago» est reconnu comme une identification à part, qui en même temps relève de l imaginaire tout en s en émancipant. Lacan lui reconnaît le statut «typifiant» grâce auquel le sujet se structure comme désirant. Il reviendra particulièrement sur cette importance de «l idéal du moi» dans son Séminaire sur les formations de l inconscient (Livre V), mais cette fois davantage dans son rapport à l œdipe. Ainsi, «l ambiguïté se défait, l enseignement de Lacan s entame, avec la disjonction du symbolique et de l imaginaire, et la distinction corrélative du sujet et du moi». Le stade du miroir porte néanmoins en lui-même une valeur qui constitue «la matrice de tous les termes proprement lacaniens 20» et qui se retrouve ici dans «la béance de l organique», soit le «manque» qui «sera déduite, plus tard, de la logique du signifiant». Il n y a en effet pas de «métalangage». La structure du langage, de l Autre, est fondamentalement trouée, et sa structuration s organise autour de ce manque. Car «d un côté, ce manque est effet de la structure ; mais de l autre, il faut bien que celle-ci l inclue 21». La structure telle que Lacan la considère repose sur un «pas-tout» fondamental. «Le signifiant d un manque dans l Autre, S (A/), est le point clef de la logique du signifiant 22». Le symbolique, ainsi cerné de l imaginaire, «prend alors deux versants : celui de la parole et celui du langage 23». D un côté, donc, la parole et ses effets curatifs et «pacifiants», dépliée sous transfert. La «cure est ici un processus intersubjectif» où le sujet rétablit une «continuité de son histoire» tandis que le symptôme trouve un prolongement symbolique sous la forme du savoir inconscient qui émerge. De l autre côté, il s agit «de l ordre symbolique [ ] structure articulée, combinatoire et autonome ; par définition, cet ordre n a pas d origine, il est toujours déjà là ; son non-sens est celui-là même de l inconscient 24». Il introduit alors le concept de «chaîne signifiante» où «il voit avec Freud la condition de toute formation de l inconscient, comme de la trace ineffaçable que véhicule l automatisme de répétition». Le symbolique fonctionne ici comme «un terme» à part entière qu il conceptualise comme «l Autre, le grand Autre». Cet Autre, «c est l Autre du langage, l Autre du discours universel : c est aussi bien l Autre de la vérité, tiers de tout dialogue, référence des pactes et des controverses, Autre de bonne foi ; c est encore l Autre de la parole, allocutaire fondamental, adresse du discours au-delà du vis-à-vis. [ ] C est le lieu du «code» où 19. Ibid., p Ibid., p Ibid. 22. Ibid. 23. Ibid., p Ibid., p
5 Avant-propos s élabore le message [ ] C est, par là, l Autre dont l inconscient est le discours [ ], l Autre du désir comme inconscient, opaque au sujet qui en est serf 25.» Dans cette perspective, le psychanalyste doit abandonner la place du moi pour agir «à partir du lieu de l Autre». Le second temps ( ), «à la faveur de la seconde scission et du déplacement à l École normale supérieure de l enseignement de Lacan», ce sont, après le Séminaire Livre XI, «Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse», la mise en évidence centrale des «termes suivants : le sujet barré ($), l objet dit petit a, l Autre». La chaîne signifiante est également «abrégée» à un binaire (S1-S2) : «$ désigne le sujet qui en est l effet ; (a) l objet qui en est le produit.» Le sujet est ici un sujet «ponctuel et évanouissant d une opération de vidage de ses représentations». Quant à l objet (a), il fut d abord situé comme imaginaire, «objet du désir», agalmatique dans le Séminaire, Livre VIII «Le transfert», imaginaire. Il s inscrit alors «comme complément du sujet barré dans la formule du fantasme, où s accroche le vecteur du désir, et qui constitue le bâti de toute réalité». C est dans le Séminaire consacré à l Angoisse (Séminaire, Livre X) que Lacan lui reconnaît le «statut de réel, au moment où ce terme prend un sens opposé à celui de réalité, foncièrement fantasmatique 26». Le réel, c est «l impossible à dire» sinon par «des bouts». Il résiste foncièrement au symbolique. «L objet de la psychanalyse est de cet ordre. Son prototype est l objet dit «prégénital» (sein, fécès), objet perdu, séparé, dont la castration fait série». C est un reste, un résidu de l opération signifiante. S isolent alors d autres objets que ceux en jeu dans la demande, le regard et la voix. L objet prend fonction de «cause du désir 27». Les différents termes ainsi précisés trouvent une autre construction dans la formalisation du discours du maître (du signifiant maître, S1), «et d où il obtient, par rotation des termes sans permutation, trois autres discours fondamentaux. Le discours, pour Lacan, est au fondement du lien social et «se fonde lui-même de ce qu il n y a pas de rapport sexuel 28». En effet, les deux sexes, en apparence complémentaires, ne le sont pas lorsqu ils sont entrevus dans la logique de l Autre du signifiant. Un ratage entre les deux sexes indique à nouveau la dimension du trou qui marque fondamentalement la dimension de l Autre. «Seule la connotation phallique, isolée par Freud, supplée ce manque 29.» Les formules de la sexuation (Séminaire, Livre XX «Encore») permettent de situer comment un sujet se positionne comme variable dans la fonction phallique (grand phi de x). 25. Ibid., p Ibid., p Ibid. 28. Ibid., p Ibid. 11
6 Les fondamentaux de la psychanalyse lacanienne Depuis 1974, «Lacan prend pour objet les fondements même de son discours, et spécialement la tripartition réel-symbolique-imaginaire 30 Séminaire, Livre XXII, «R.S.I.»). Le «nœud borroméen» est la référence de cette ultime période tandis que la structure de l Autre est mise au second plan. C est «le réel qui occupe le devant de la scène» désormais, et que les concepts de «lettre et de sinthome» cherchent à écrire. Nous avons également introduit, dans la dernière partie consacrée aux «Cliniques contemporaines», quelques textes qui se situent dans le prolongement de la pensée de Lacan tout en lui trouvant des modes d application dans le lien social contemporain. Les travaux récents menés par Jacques Alain Miller sur «la psychose ordinaire» sont d une grande importance pour appréhender la diversité des modes de jouissance du parlêtre qui se présente à nous dans la pratique analytique. D où la nécessité d inventer d autres outils, épistémologiques et cliniques, pour parvenir à cerner, à partir d une jouissance débridée de l objet (de consommations diverses) désormais commune, ce qu il en est de la structure du sujet. L autisme et la schizophrénie intéressent particulièrement la science, mais pour mieux en forclore les manifestations subjectives, par le recours à des traitements comportementaux et cognitifs. Comment alors la psychanalyse est-elle en mesure d intervenir dans ces cas? Comment, et de quoi, s oriente-elle, lorsque le sujet se prête, de structure, à se faire l objet de l Autre, en incarnant le mutisme, en refusant radicalement toute présence de l Autre? La science vient faire obstacle à l humanisation, mais la psychanalyse a toute chance d opérer en manœuvrant à partir de ses écueils pour mieux la contourner. Gageons alors que cet ouvrage, à visée didactique, fasse transmission, circule, et surtout préserve le désir de savoir. Sans doute cette transmission nécessitet-elle aussi, de la part de son lecteur, le consentement au style du discours de Lacan dont nous avons dit qu il n est pas fait pour «un lecteur pressé». Nous espérons que celui-ci s y retrouve, au gré de ses recherches et réflexions, et qu il découvre, avec surprise, que l enseignement de la psychanalyse, de Freud à Lacan, est toujours de l ordre d une rencontre vivante et imprévue. 30. Ibid., p Laetitia Jodeau-Belle
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