RESEAU AMAP IdF RAPPORT D'ORIENTATION
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- Henriette Bernard
- il y a 8 ans
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1 RESEAU AMAP IdF RAPPORT D'ORIENTATION ANNEE
2 2 I. CONTEXTE ET ORIENTATIONS GENERALES... 3 II. RAPPROCHER LES GROUPES ET LE RESEAU DANS LA CONSTRUCTION D'UNE AGRICULTURE PAYSANNE... 4 DES INTERAMAP ACTIVES, LIEUX DE DEBATS ET D'ECHANGES DE PRATIQUES... 4 LA CONTRACTUALISATION, POUR UNE PLUS GRANDE PROXIMITE ENTRE LES GROUPES ET LE RESEAU... 5 III. DES ACTIONS POUR FAVORISER LE DEVELOPPEMENT DE L'AGRICULTURE PAYSANNE... 6 IV. ADAPTER NOTRE COMMUNICATION A LA CROISSANCE DU RESEAU... 7 V. SE DONNER LES MOYENS FINANCIERS POUR REALISER NOS OBJECTIFS 9 L EQUILIBRE DE NOS BUDGETS... 9 UN AUTOFINANCEMENT PLUS IMPORTANT... 9
3 3 I. CONTEXTE ET ORIENTATIONS GENERALES Il y a un an, lors de l Assemblée Générale 2011, nous avions adopté un engagement pour «travailler sur le type d agriculture que nous voulons défendre et proposer, au sein du Réseau AMAP-IdF». Il s agissait de commencer à clarifier ce sujet dans nos pratiques. Nous avions aussi décidé «de mieux faire connaître qui nous sommes, et de démontrer que ce mouvement est une véritable opportunité pour l agriculture régionale». Le nouveau Collectif qui a été élu avait pour mission de proposer des actions pour répondre à ces enjeux. Un an plus tard, le chemin que nous avons parcouru n est pas suffisant, mais nous avons malgré tout bien défini les conditions d une appropriation collective de ce qui fait une AMAP, des valeurs qui doivent nous être communes. Deux principaux manques sont apparus dans notre démarche pour être réellement efficace : D une part, l existence d un lieu intermédiaire d échange entre les groupes et le Réseau. D autre part, un manque de communication tant en interne qu en externe. C est la raison qui nous amène à fixer deux priorités pour l année qui vient : Aider au bon fonctionnement des Interamap. Amplifier notre communication. En 2011, nous avons continué à connaître une expansion du nombre des AMAP. Aujourd hui, il existe quelques 260 groupes en Ile-de-France, travaillant avec 160 producteurs. Dans un tel contexte, la diversité des pratiques est normale. Au fil des ans, et par l importance du nombre des groupes et producteurs, nous avons fait le constat que certains aspects essentiels de la Charte des AMAP n étaient pas respectés, sans pour autant être dans une démarche qui permette de corriger ces dérives. Le risque est aujourd hui important d avoir un développement de pratiques en opposition totale avec les valeurs qui constituent une AMAP, d où la nécessité d approfondir le débat collectif sur ces questions. Pour ce faire, nous vous proposons d agir à deux niveaux. D abord en formalisant mieux l engagement que chacun prend en créant une AMAP, et en le contractualisant avec le Réseau, dépositaire de la «marque» AMAP. Ensuite, en mettant à votre disposition des outils pour vous aider dans vos réflexions, en commençant par le SPG (Système Participatif de Garantie), ou en vous proposant des formations pour vous aider à mieux appréhender certaines problématiques. Pour donner au Réseau les moyens de mettre en œuvre les décisions et le projet validé en Assemblée Générale, nous devons avoir les moyens humains et financiers de nos ambitions et du défi que représentent le maintien et le développement d une agriculture paysanne en Ile-de-France. Afin d acquérir une plus grande indépendance vis-à-vis des décideurs politiques et économiques de notre région, qui sont aujourd hui ceux qui nous octroient des subventions, il nous faut trouver ces moyens
4 4 au sein même du Réseau, et ce grâce à l augmentation des cotisations des membres du Réseau. Ces moyens permettront en particulier de rémunérer nos salariés, véritables professionnels dans leur secteur et très investis dans la vie du Réseau, sans lesquels nous serions dans l impossibilité de réaliser l ensemble des propositions qui sont faites pour l année Au final, si nous avons déjà gravi quelques-unes des marches vers une véritable agriculture paysanne, nous vous proposons en 2012 d en gravir quelques de plus et de donner un nouvel l élan au Réseau, afin que les années à venir soient tout aussi riches que les dix premières. II. RAPPROCHER LES GROUPES ET LE RESEAU DANS LE DEVELOPPEMENT D UNE AGRICULTURE PAYSANNE 1/ DES INTERAMAP ACTIVES, LIEUX DE DEBATS ET D ECHANGES DE PRATIQUES La conformité à la Charte des AMAP, si elle est un moteur du Réseau AMAP-IdF, ne prend son sens qu à l échelle du territoire, et nécessite pour sa mise en œuvre, un échange entre groupes en AMAP voisins ou partageant le même partenariat. C est l objet des Interamap, celui de mutualiser et de se questionner sur les fondamentaux de notre association, mais aussi sur nos pratiques et le quotidien de nos partenariats. C est aussi l objet de la démarche SPG (Système Participatif de Garantie), un travail souvent fédérateur au niveau des Interamap. Mais l Interamap donne aussi et surtout une visibilité et une force aux actions quand, sur son territoire, plusieurs groupes peuvent partager les problématiques de sauvegarde des terres agricoles, d aide à l installation de porteurs de projet, de réflexion sur l agriculture paysanne, et débattre des questions qui leurs sont liées comme celles de l alimentation, des semences paysannes, des alternatives de consommation responsable etc. Ce n est pas toujours le Réseau - ses salariées ou ses administrateurs - qui peut et doit intervenir sur toutes les questions de fond et de forme, mais les adhérents sur le terrain et les groupes AMAP sur leur territoire. C est au sein des Interamap que le Réseau AMAP-IdF peut se construire et se faire entendre. L Interamap est la bonne échelle pour faire avancer le maintien et le développement d une autre agriculture, une agriculture paysanne et de proximité. Ce seront probablement les Interamap qui partageront peu à peu la maîtrise de leur propre essaimage, dans une juste progression, avec la pédagogie nécessaire et responsable. Les Interamap encore qui souligneront les nécessités ou les absurdités de notre mouvement en construction. L objectif pour 2012 est donc de favoriser le fonctionnement en Interamap, qui relaieront le travail du Collectif et vice-versa, dans une réflexion partagée. Aujourd hui, les Interamap concernent quelques 140 groupes sur les 260 existants en région Ile de France. L objectif pour 2012 est d inciter le développement des Interamap afin que tous les groupes soient rattachés à une Interamap.
5 5 2/ LA CONTRACTUALISATION, POUR UNE PLUS GRANDE PROXIMITE ENTRE LES GROUPES, LES PRODUCTEURS ET LE RESEAU Le Réseau fédère les différentes initiatives de création d Amap et de leur fonctionnement et invite ces dernières à rejoindre le Réseau, en respectant leur diversité et particularités. En décidant de créer une AMAP, chacun a la responsabilité de défendre les valeurs qui construisent l agriculture paysanne, et pas simplement d organiser un lieu de distribution de paniers. L engagement des groupes et des producteurs dans ces valeurs est donc un aspect essentiel à la pérennité de notre projet et une garantie indispensable du respect de la Charte. Cela doit passer par une contractualisation plus formelle entre les groupes, les producteurs et le Réseau, afin qu il y ait à la fois un engagement fort de toutes les parties sur un fonctionnement qui s inscrit dans les valeurs et pratiques des AMAP. Cette contractualisation doit comporter des éléments identifiables qui permettent d aller dans le sens de la Charte des AMAP, de façon concrète. Pour ce faire, nous proposons que cette contractualisation se fasse autour des éléments suivants, auxquels seront ajoutés, dans les années à venir, les points complémentaires qui apparaîtront nécessaires : Une cotisation des groupes au Réseau sur une base moyenne de 10 euros par adhérent à l AMAP. Une cotisation des producteurs au Réseau, à hauteur de deux pour mille de son chiffre d affaires. Un respect des valeurs de la Charte, en particulier autour des points suivants : Le respect du délai de trois ans pour les producteurs pour une production sans engrais ni pesticides chimiques de synthèse. Le partage de la production et ce que cela implique, en particulier en matière de solidarité vis-à-vis du producteur. La transparence, en particulier dans la fixation du prix du panier. La négociation entre les groupes et le producteur pour l évaluation et la garantie d un revenu juste pour l agriculteur, et sa prise en compte dans la fixation du prix du panier. Une démarche de fonctionnement participatif et convivial de la vie associative Il s agit bien de montrer comment l AMAP, consommateurs et producteurs ensemble, répond à ces problématiques pour que ces aspects se concrétisent. Le non-respect d un de ces points par une des parties devra être expliqué et justifié. Des solutions devront être proposées, le Réseau étant là pour aider à en trouver. Les Interamap sont également des lieux d échanges pour trouver des solutions. Le Système Participatif de Garantie est également un outil à la disposition des groupes et des interamap pour aider à la résolution des dysfonctionnements. Nous avons une volonté inclusive. Mais il va de soi que si plusieurs aspects de cette contractualisation ne sont pas respectés, à terme, l appellation AMAP ne pourrait plus être utilisée.
6 6 III. DES ACTIONS POUR FAVORISER LE DEVELOPPEMENT DE L AGRICULTURE PAYSANNE La confiance entre les producteurs et les consommateurs est essentielle au bon fonctionnement du partenariat. Le développement de l agriculture paysanne passe en premier lieu par les producteurs eux-mêmes. Tant dans leur pratique que dans leur relation avec les groupes, ils favorisent et concrétisent sa mise en œuvre et sa construction progressive. Mais cette action ne peut être le fait des agriculteurs seuls, elle doit être soutenue collectivement, en particulier sur le territoire francilien où la pression foncière est renforcée par l extension urbaine. La couveuse est un premier outil qui permet à terme de contribuer à l installation de nouveaux producteurs sur nos territoires. Mais pas d installation sans terres ni accompagnement des porteurs de projet. Le Pôle ABIOSOL constitue un partenariat qui joue un rôle moteur dans le paysage des acteurs de l agriculture francilienne, car il permet d agir de différentes façons sur la problématique de l installation, grâce entre autre à la véritable alternative économique que proposent les AMAP. Le nombre de porteurs de projet sollicitant un accompagnement auprès du Pôle ABIOSOL est croissant. L accompagnement se doit donc d être plus organisé et d offrir plus d outils individuels et collectifs concrets répondants aux divers besoins des candidats à l installation, pour la plupart hors cadre familial et en reconversion professionnelle : de l éveil des vocations à la mise en œuvre concrète de leur projet, en passant par leur recherche de foncier. L accompagnement fait également apparaître de réels besoins d échanges entre les porteurs de projet, mais aussi avec les paysans des Réseaux. C est une dimension que nous souhaitons renforcer en développant de nouveaux lieux et moments d échanges. Enfin, un nombre croissant de candidats à l installation sont intéressés par la dimension collective de l installation pour des raisons variées (intérêt agronomique, organisationnel, social, etc.). C est une dimension qu il nous paraît essentiel de mieux accompagner. Développer l agriculture paysanne, c est aussi agir en faveur de la préservation des espaces agricoles et promouvoir ce type d exploitation agricole sur son territoire. Cette action-là passe inévitablement par les amapiens, mais aussi par les collectivités territoriales. Les premiers permettant souvent d établir une passerelle vers les seconds. Le nombre de groupes en AMAP sollicitant le Réseau pour les accompagner dans leurs démarches de veille foncière active, et de mobilisation locale ne cessant d augmenter, il est essentiel en 2012 de former les amapiens aux outils leur permettant d agir en ce sens, afin qu ils deviennent de véritables acteurs locaux de l installation. Les élus des collectivités ayant quant à eux des difficultés à prendre en compte la dimension agricole dans leur réflexion sur l aménagement du territoire, ou encore à se rendre compte concrètement de ce que représente une installation en agriculture paysanne, des formations leur seront également proposées : de la sensibilisation à l approfondissement. L amélioration des conditions de travail des producteurs devra faire l objet d une réflexion tant au niveau des interamap que du Réseau. Enfin, le Réseau continuera d accompagner les groupes de citoyens et les collectivités qui s engagent dans des démarches en faveur de l installation agricole, en leur proposant un appui méthodologique,
7 7 mais aussi en favorisant le dialogue territorial entre groupes de citoyens, élus, institutions et associations locales et porteurs de projet agricoles. Afin de rendre son action plus efficace, le Pôle ABIOSOL engagera également des partenariats d action sur des territoires dynamiques, développant des projets tels que la Réserve de Biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais. Pour 2012, ce sont donc aussi bien les actions en faveur de l accompagnement des porteurs de projet que les actions en faveur des dynamiques de territoires qui continueront d être renforcées, compte tenu des différents besoins exprimés. Nous proposons également de renforcer nos liens et notre soutien à la couveuse, de renforcer nos actions d accompagnement des porteurs de projet et d accès au foncier et d avoir une réflexion commune avec nos partenaires sur l évolution du Pôle ABIOSOL. Enfin, les contraintes du système que nous défendons doivent trouver des solutions. Le partenariat AMAP a une logique qui repose généralement sur le bon sens et une vision globale des enjeux. Cependant il est toujours complexe de mettre en place une action collective. Les quelques années d'expérience du Réseau en la matière nous ont permis de mettre en place des formations pour développer et accompagner les partenariats AMAP, et les formations que nous développons font partie des aides qui sont à votre disposition. Nous vous proposons de renforcer ces formations, en particulier par un module avant toute activité en AMAP pour avoir un temps de partage et d appropriation des valeurs des AMAP, mais également par d autres formations spécifiques et par les journées interpaysans. IV. ADAPTER NOTRE COMMUNICATION A LA CROISSANCE DU RESEAU Dans tout mouvement démocratique et citoyen, la communication est un outil essentiel qui permet un fonctionnement collectif harmonieux et efficace. A travers l échange d information et d idées, elle participe à l acquisition d expérience et de compétences pour tous ceux qui souhaitent s investir dans le mouvement. Elle leur permet d être en position de prendre et de partager des responsabilités. Au sein du Réseau AMAP-IdF, la communication concerne chaque amapien qui peut contribuer, au quotidien, à la circulation et au partage de l information en communiquant sur les activités, questions, débats, problèmes et évolutions qui concernent son partenariat et son groupe. La tête de Réseau (Collectif et équipe salariée) est là pour développer et faciliter la communication et en particulier la circulation des idées et des expériences avec les groupes et entre les groupes. Son action dans ce domaine est d autant plus cruciale aujourd hui, du fait du développement spectaculaire des groupes en AMAP, particulièrement en Ile-de-France, leur nombre étant passé de 2 en 2004 à plus de 260 aujourd hui. Dans ce contexte d évolution si particulier, et avec une telle augmentation du nombre de personnes impliquées dans le Réseau, il est essentiel d adapter notre fonctionnement et nos outils, afin qu ils
8 8 répondent aux besoins et aux nécessités et qu ils permettent de faire circuler efficacement les informations, les besoins et la réflexion au sein du Réseau, entre les groupes et entre le Réseau et les groupes. En effet, on ne peut fonctionner à 260 comme on fonctionne à 2. C est la raison pour laquelle, le Réseau s emploie à : - Assurer l information et la sensibilisation de tous les amapiens, et en particulier des nouveaux arrivants, afin que même les moins impliqués dans le partenariat AMAP, acquièrent une connaissance minimale de sa signification. Assurer également l information de tous les amapiens sur le sens de l agriculture paysanne et les enjeux auxquels l activité agricole doit faire face, en particulier en région Ile-de-France. Cette action reste une priorité. En effet, c est grâce à une meilleure mobilisation des adhérents-relais de chaque groupe et avec la diffusion de nouveaux outils d information pratique répondant aux besoins exprimés que le Réseau entend avancer dans ce sens. Il est donc important que chaque groupe ait un adhérent-relais actif, avec lequel le Réseau puisse établir et maintenir un lien privilégié et qui diffuse auprès de tous les adhérents de son groupe les informations qui lui sont transmises par celui-ci. - Mettre en œuvre un niveau intermédiaire d organisation des échanges et de la circulation de l information, entre les groupes et le Réseau : les Interamap. A travers les rencontres organisées tous les 2 ou 3 mois, auxquelles les administrateurs et/ou salariées du Réseau participent, les groupes d un même territoire, réunis en Interamap, apprennent à se connaître, partagent leurs expériences et discutent des valeurs et fondamentaux des partenariats AMAP et de leur confrontation à la réalité. L organisation et l animation des Interamap, puis le développement des échanges entre Interamap est une priorité du Réseau pour Afin d organiser au mieux les échanges au sein des Interamap et entre celles-ci et le Réseau, il est projeté de proposer à des amapiens de jouer le rôle d animateurs d Interamap. La création d une formation spécifique d animateur d Interamap est une action qui sera mis en place par le Réseau en Faire évoluer les outils techniques qui permettent une bonne communication. Un travail de mise à plat des outils existants et des besoins a été démarré en 2010 et concerne en particulier les listes de diffusion d information (par courrier électronique), le site Internet et la base de données des contacts de tous les groupes et paysans du Réseau. Un nouveau site Internet est en cours de réalisation et sera finalisé en Un travail sur la création d une nouvelle base de données a été démarré en 2011 et va se poursuivre en 2012.
9 9 V. SE DONNER LES MOYENS FINANCIERS POUR REALISER NOS OBJECTIFS 1/ L EQUILIBRE DE NOS BUDGETS L année 2011 a été celle de toutes les inquiétudes quant à l équilibre de notre budget, et nous avons fortement sollicités votre aide financière. Vous avez pour un bon nombre de groupes répondu très favorablement, et de ce fait le niveau global des cotisations est en forte hausse : nous passons de à , ce qui représente un bel effort de votre part. Les membres du Collectif vous remercient chaleureusement d avoir ainsi soutenu les actions du Réseau. De même, nous remercions l équipe des animatrices et notre secrétaire-assistante Catherine, pour l énorme travail qu elles ont réalisé auprès des groupes et des paysans. Par ailleurs, nous avons pu conforter notre position vis-à-vis de nos financeurs, et maintenir, voire développer nos conventions qui représentent encore une part très importante de notre budget. Nous espérons obtenir un nouveau financement Emploi-tremplin pour assurer le recrutement d un(e) nouvel(le) animateur-trice, afin de renforcer notre action sur le SPG et l animation du Réseau en particulier. 2/ UN AUTOFINANCEMENT PLUS IMPORTANT C est pourquoi aujourd hui, nous vous disons BRAVO mais ne relâchons pas nos efforts et passons à la vitesse supérieure sur la voie de l autofinancement : il faut encore augmenter la part de nos cotisations dans le budget 2012, et c est dans ce sens qu a été établi le prévisionnel Nous vous proposons donc de voter le principe d une cotisation sur une base moyenne de 10 par amapien adhérent d une AMAP. Etant donné que les décisions de l Assemblée Générale ne s appliquent que l année suivante, nous allons vous demander d anticiper et de cotiser volontairement dès cette année sur cette base. De même pour les paysans, nous proposons de voter une cotisation à hauteur de 2/1000 du chiffre d affaires réalisé en AMAP, et de l appliquer, sur une base volontaire, dès Nous sommes bien conscients que l effort est important pour tous, mais c est aussi grâce à ces moyens que nous pourrons renforcer notre Réseau, et être plus présents et efficaces auprès de toutes les AMAP et de leurs paysans.
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