Politiques et procédures en matière de gestion de risques

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Politiques et procédures en matière de gestion de risques"

Transcription

1 Introduction Politiques et procédures en matière de gestion de risques La Banque africaine de développement a établi et applique diverses politiques et procédures visant à réduire ou à limiter son exposition aux risques encourus dans le cadre normal de ses prestations de banque de développement. Grâce à ces politiques et procédures, la Banque limite son exposition aux risques de taux d intérêt, de change, de liquidité, d ordre juridique et opérationnel, tout en maximisant sa capacité à assumer les risques inhérents à l octroi de crédit à ses clients du secteur public et du secteur privé dans des limites de risque approuvées. 1. Risque de crédit dans le secteur public La plus importante source de risque pour la Banque est le défaut potentiel de ses clients du secteur public. Pour gérer ce risque, la Banque dispose, outre son statut de créancier privilégié, d un certain nombre de moyens d action, notamment une évaluation rigoureuse du risque de défaut des pays membres emprunteurs, au travers d une notation annuelle qui classe ces pays sur une échelle de notation interne du risque de crédit à cinq points. Ces notations sont ensuite utilisées pour déterminer le plafond du crédit maximal soutenable pour les pays admis à emprunter au guichet BAD La Banque maintient une distribution prudente de son portefeuille dans le secteur public, grâce à sa politique de gestion des engagements. Pour chaque emprunteur éligible du secteur public, elle applique un plafond d engagement qui est fonction de la notation du risque encouru sur le pays et du potentiel économique de celui-ci, jusqu à concurrence d un maximum en équivalent-prêts par pays représentant 15 % du portefeuille maximal viable 1. Les plafonds d engagement par pays sont examinés chaque année et utilisés comme référence en matière de risque pour planifier les stratégies à moyen terme d assistance aux pays. Selon la politique de la Banque, si un paiement au titre du principal, des intérêts ou d autres charges sur un prêt de la BAD ou du FAD accuse un retard de 30 jours, aucun nouveau prêt n est accordé au pays membre défaillant ou à un emprunteur du secteur public de ce pays, et aucun prêt précédemment approuvé n est signé jusqu à l apurement des arriérés. En outre, les décaissements sur tous les prêts obtenus ou garantis par le pays en question sont suspendus jusqu à l apurement de la totalité des arriérés. Par ailleurs, l octroi d une remise de 0,50 % sur la commission d engagement applicable aux prêts non décaissés de la BAD éligibles est subordonné à niveau satisfaisant de paiement des montants dus. En outre, la Banque constitue une provision générale pour les pertes prévues sur son portefeuille dans le secteur public, qui reflète son évaluation du risque d insolvabilité inhérent à ce portefeuille. Compte tenu du risque d insolvabilité prévu en 2000, la Banque a augmenté son taux de provisionnement général cumulé de 5,5 % de l ensemble des prêts au secteur public décaissés et non encore remboursés en 1999 à 6,25 % en D après la politique relative à l adéquation des fonds propres, le portefeuille maximal viable et le portefeuille décaissé et non encore remboursé sont égaux lorsque les opérations de prêt de la Banque ont épuisé les fonds propres.

2 Y:\ORVP_shared_drive\ORVP_Departments\ORPC\Policies for website\policies\guidelines and 2 Pour couvrir les pertes potentielles liées au risque de crédit dû à des événements extrêmes ou imprévisibles, la Banque maintient une marge de fonds propres prudente. Sa politique en matière d adéquation des fonds propres prévoit des normes de fonds propres différenciées pour tous les actifs du secteur public sensibles au risque de crédit (prêts et prises de participation) plus les engagements éventuels hors bilan (garanties et produits de gestion des risques) dans chaque catégorie de risque. À fin 2000, le portefeuille de la Banque dans le secteur public avait épuisé près de 77 % de l ensemble des fonds propres inscrits au bilan (capital versé plus réserves cumulées et provisions générales). La Banque a opté pour la prudence dans l évaluation de l adéquation des fonds propres aux fins de la planification opérationnelle et n inclut pas le capital appelable ni la dette subordonnée dans le calcul des fonds propres. 2. Risque de crédit dans le secteur privé Une autre source de risque pour la Banque est le défaut potentiel de ses emprunteurs du secteur privé. Pour gérer ce risque, la première démarche de la Banque consiste en une évaluation rigoureuse des projets, complétée par des évaluations trimestrielles du risque de défaut encouru sur chaque projet du secteur privé en cours. Pour assurer une répartition prudente de son portefeuille dans le secteur privé, la Banque plafonne généralement son engagement dans tout projet au tiers du coût total du projet ou à 10 millions de dollars, le moins élevés des deux montants étant retenu. Elle peut, à titre exceptionnel, déroger à ces plafonds quand il s agit de gros projets d infrastructure ou de capitaux d investissement. Pour atténuer le risque de crédit lié aux prêts directs au secteur privé, elle exige généralement toute une gamme de sûretés et de garanties de la part des promoteurs des projets. Pour couvrir des pertes prévisibles dans le portefeuille de projets performants (notés de 1 à 6), la Banque fait une provision générale représentant de 2 à 15 % de l engagement total en équivalent-prêts, en fonction de la note du risque de crédit de chaque projet. Pour les projets non performants (notés de 7 à 10), elle fait une provision spécifique fondée sur une évaluation de la baisse de valeur du crédit afférent à chaque projet. Outre l octroi de prêts, la Banque peut également prendre des participations dans des projets du secteur privé. Au cas où la prise de participation est évaluée comme potentiellement improductive, la Banque peut constituer une provision basée sur les résultats de tests de baisse de valeur reconnus par rapport au coût de portage de la Banque. Pour les capitaux d investissement en phase initiale, la Banque fait une provision progressive de 25 % basée sur une évaluation de la performance réelle par rapport aux prévisions de la Banque à l époque de l approbation. Pour couvrir les pertes potentielles inattendues, liées au risque de crédit imprévu dû à des événements défavorables ou imprévisibles, la Banque maintient une marge de fonds propres prudente. Sa politique en matière d adéquation des fonds propres prévoit des normes de fonds propres différenciées pour tous les actifs du secteur privé sensibles au risque de crédit (prêts et prises de participation) plus les éléments de passif éventuels (garanties et produits de gestion des risques) dans chaque catégorie de risque. À fin 2000, le portefeuille de la Banque dans le secteur privé avait épuisé moins de 2 % de l ensemble des fonds propres inscrits au bilan.

3 3 3. Risque de contrepartie Dans le cadre normal de ses activités, la Banque utilise divers instruments financiers pour répondre aux besoins de ses emprunteurs, gérer son exposition aux fluctuations des taux d intérêt et des taux de change, et placer ses actifs liquides dont elle n a pas immédiatement besoin pour le décaissement. Tous ces instruments financiers comportent, à des degrés divers, le risque de voir la contrepartie faillir à ses obligations envers la Banque. Pour réduire au minimum son exposition au risque de contrepartie, la Banque applique des critères d éligibilité qui limitent ses opérations financières à des contreparties ayant des cotes de crédit très élevées. Par exemple, pour les transactions sur produits dérivés, la cote minimum exigée est AA. En plus de ces normes strictes en matière de cote de crédit, la Banque s est dotée d un cadre de plafonnement des engagements en fonction de la cote de crédit et de la taille de la contrepartie jusqu à concurrence d un maximum de 10 % de l ensemble des fonds propres de la Banque par contrepartie. Les engagements à l égard de chaque contrepartie, tous instruments confondus, sont agrégés en utilisant la méthode d évaluation des risques de la Banque des règlements internationaux (BRI), et suivis régulièrement par rapport aux limites de crédit de la Banque. En règle générale, la Banque conclut un accord-cadre et un accord de compensation de type ISDA avec ses contreparties aux transactions sur produits dérivés avant de s engager dans toute opération. Une estimation des risques de contrepartie sur le portefeuille de placements et de transactions sur produits dérivés pendant l année a fait apparaître une augmentation de la part de risque encourue sur les crédits cotés AAA et une diminution sur ceux cotés AA. Degré de risque de crédit sur le portefeuille de placements et de transactions sur produits dérivés AAA AA A Autres % 43 % 4 % 0 % % 64 % 6 % 0 % Pour couvrir les pertes potentielles liées au risque de crédit inattendu dû à des événements défavorables imprévisibles, tels que la récente crise financière asiatique, la Banque maintient une marge de fonds propres prudente pour parer aux risques de contrepartie conformément aux normes de la BRI en vigueur. À fin 2000, le portefeuille de la Banque sous forme d engagements à l égard des contreparties nécessitait une couverture de moins de 1 % de l ensemble des fonds propres inscrits au bilan. 4. Risque de liquidité La Banque détient des liquidités suffisantes pour être en mesure de poursuivre normalement ses activités même dans l éventualité peu probable où elle ne pourrait pas, pendant une longue période, se procurer des ressources nouvelles sur les marchés de capitaux. Chaque année, elle calcule un niveau minimum prudentiel de liquidité qui correspond à la moyenne sur deux ans des projections de décaissements nets de prêts plus Y:\ORVP_shared_drive\ORVP_Departments\ORPC\Policies for website\policies\guidelines and

4 4 les engagements éventuels hors bilan et les paiements au titre du service de la dette. De plus, dans le niveau minimum prudentiel de liquidité sont inclus tous les paiements potentiels au titre du service de la dette dus à un rachat précoce de swaps et d emprunts avec les options rattachées. Pour lui permettre de tirer parti des opportunités de financement à moindre coût quand elles se présentent, la politique de la Banque l autorise à augmenter ses ressources liquides jusqu à un niveau opérationnel égal au minimum prudentiel total, y compris les engagements non décaissés et irrévocables. Pour établir un équilibre optimal entre la recherche d un rendement adéquat à travers le placement d actifs liquides et la nécessité de détenir des titres qui puissent être liquidés en cas de besoin, la Banque divise son portefeuille de placements en trois tranches ayant des objectifs et des indices de référence différents. Pour couvrir les besoins prévisionnels en liquidité opérationnelle, la Banque investit toujours la tanche opérationnelle de sa liquidité dans les titres les plus liquides. Les rachats probables de swaps et d emprunts avec les options rattachées sont inclus dans le calcul de cette tranche. 5. Risque de change L Accord portant création de la Banque lui interdit de prendre directement des risques de change, pour ce faire, il lui fait obligation de détenir, pour les éléments de passif en toute monnaie (après swap), une contrepartie en éléments d actifs dans la même monnaie. Pour atteindre cet objectif, la Banque détient ou prête le produit de ses emprunts dans la même monnaie que celle de l emprunt (après swap). Pour éviter de nouvelles asymétries, la Banque oblige ses emprunteurs d assurer le service de ses prêts dans la monnaie de décaissement. Cependant, pour faciliter la tâche aux emprunteurs qui ne peuvent pas se procurer aisément certaines monnaies, la Banque assure des services d achat de devises en qualité de mandataire. Étant donné qu une bonne partie du bilan de la Banque est financée par des ressources en capital libellées en UC, sa position nette en actif est potentiellement exposée au risque de conversion dû à la fluctuation des taux de change. La politique de la Banque à cet égard consiste à minimiser la fluctuation potentielle de la valeur de ses actifs nets mesurée en UC (équivalente au DTS) en alignant la composition en devises de son actif net sur le panier des monnaies constituant le DTS. La distribution des monnaies utilisées dans les dépenses administratives récurrentes de la Banque fait apparaître une forte concentration des dépenses en euros et en francs CFA. Pour atténuer l effet défavorable d une éventuelle appréciation de l euro, la Banque achète des options d achat sur l euro pour couvrir le montant des dépenses libellées en euro ou liées à l euro, prévues pour l exercice budgétaire. 6. Risque de taux d intérêt Il existe deux principales sources de risque de taux d intérêt pour la Banque. La première est la sensibilité au taux d intérêt associée à la marge nette entre le taux que la Banque applique à ses actifs et le taux auquel elle contracte les emprunts qui financent ces actifs. Y:\ORVP_shared_drive\ORVP_Departments\ORPC\Policies for website\policies\guidelines and

5 Y:\ORVP_shared_drive\ORVP_Departments\ORPC\Policies for website\policies\guidelines and 5 En 1990, la Banque a commencé à offrir des «prêts à taux variable» dont le taux d intérêt est révisé tous les six mois en fonction du coût moyen d un pool d emprunts de référence. Ces prêts sont financés avec un mélange d emprunts à taux fixe et à taux flottant pour assurer aux emprunteurs des taux d intérêts globalement stables dont l évolution s inscrit graduellement dans le sillage de celle des taux d intérêt du marché. Le formule de répercussion de coût intégrée aux taux prêteurs appliqués aux prêts financés par un pool d emprunts a jusqu à présent permis de réduire au minimum la sensibilité au taux d intérêt de la marge nette sur cette partie du portefeuille de prêts. La Banque offre également de prêts à taux fixe et à taux flottant, dont le taux d intérêt est directement lié aux d intérêt du marché. Pour ces produits, elle préserve sa marge nette en alignant la sensibilité des prêts au taux d intérêt sur celle des financements sous-jacents (taux flottant sur libor six mois). La Banque offre également à ses emprunteurs des produits de gestion de risques, tels que les swaps, qui permettent de modifier les modalités de ses produits de prêt (monnaie et au taux d intérêt) basés sur les conditions du marché. Alors qu elle préfère ne pas répercuter le risque de crédit sur ses clients, la Banque préserve sa commission d intermédiation sur les produits de gestion de risques en déviant simultanément le risque de marché vers une contrepartie autorisée pour des transactions sur produits dérivés. Pour le portefeuille d actifs liquides, la Banque protège sa marge nette d intérêt en gérant ses placements dans le cadre d une asymétrie de durations proches de celles des indices de référence qui reproduisent les caractéristiques des emprunts sous-jacents pour chaque tranche du portefeuille. Le portefeuille d actifs liquides est actuellement divisé en trois tranches en fonction de la finalité de ces actifs et des emprunts qui les sous-tendent. Le portefeuille de placements est pour l essentiel détenu pour se conformer à la politique de liquidité de la Banque et utilise un indice de référence à taux flottant libor six mois. Le portefeuille opérationnel est géré dans le but de répondre aux besoins prévisionnels de liquidité opérationnelle et utilise un indice de référence à taux flottant libor un mois. Dans certaines monnaies, la liquidité est en partie financée par des fonds propres. Pour ces portefeuilles, la Banque utilise comme indice de performance un indice d obligations à revenu fixe sur 1 à 3 ans. La Banque s emploie à diversifier ses sources de financement en émettant des emprunts sur des marchés et dans des instruments variés. À moins qu un financement à taux fixe ne soit nécessaire pour se procurer un des produits de prêt basés sur un pool d emprunts, la Banque gère sa marge nette d intérêts en échangeant simultanément tous les nouveaux emprunts contre des emprunts à taux flottant dans une des monnaies activement utilisées par la Banque, à un taux de référence uniforme de libor six mois. Lorsque la Banque émet des emprunts comportant des options, elle conclut simultanément un accord de swap assorti de conditions correspondantes pour créer synthétiquement le financement recherché à taux fixe basé sur le libor six mois. Aux fins de gestion des taux d intérêt, le recours au capital appelable est considéré comme une des solutions de rechange à l émission de titres à court terme, tels que les billets de trésorerie en euros. La seconde source de risque de taux d intérêt est la sensibilité au taux d intérêt du revenu tiré du financement d une partie des actifs de la Banque avec des fonds propres. Les variations des taux d intérêt du marché parmi les monnaies activement utilisées par la

6 6 Banque déterminent en grande partie le revenu net tiré des prêts financés par des fonds propres. En général, des taux d intérêt nominaux faibles se traduisent par des taux prêteurs faibles, qui, à leur tour, génèrent un revenu nominal faible sur les fonds propres. En plus de ces deux principales sources de risque de taux d intérêt, la Banque est exposée au risque de remboursement anticipé sur ses prêts octroyés avant Bien que la Banque ne soit pas en mesure de percevoir de pénalité de remboursement anticipé sur ces vieux prêts, en pratique, le niveau de ces remboursements est relativement faible. En 2000, l ensemble des remboursements anticipés, à l exclusion des opérations liées à l Initiative PPTE, ont représenté moins de 1 % de l encours du portefeuille. Pour tous les prêts accordés aux conditions du marché, la Banque se protège contre le risque de paiement anticipé en liant la pénalité de remboursement anticipé au coût de redéploiement des fonds aux taux courants du marché. 7. Risque opérationnel Comme toutes les institutions financières, la Banque est exposée à plusieurs types de risques opérationnels, notamment ceux de pertes potentielles découlant d activités ou d événements externes causés par des défaillances dans les systèmes et procédures d information, de communication, de protection physique, de sauvegarde des activités, de supervision, de traitement des transactions, de règlement ; et dans l exécution des fonctions légales, fiduciaires et de mandataire. La Banque s est dotée d un système intégré de réglementations destinées à maintenir le risque opérationnel à un niveau approprié eu égard à sa force financière et aux caractéristiques de ses activités et des marchés sur lesquels elle intervient. Ces réglementations sont périodiquement mises à jour pour qu elles soient en conformité avec les meilleures pratiques du secteur. 8. Processus de gestion des risques Les processus et procédures par lesquels la Banque gère son exposition aux risques évoluent continuellement à mesure que ses activités changent à la suite de nouveaux développements survenus dans le domaine des marchés, du crédit, des produits et autres. Le plus haut niveau de gestion des risques est assuré par le Conseil d administration, qui est présidé par le Président. Outre l approbation de toutes les politiques de gestion des risques, le Conseil examine périodiquement les tendances de l exposition de la Banque aux risques et les résultats enregistrés pour s assurer du respect de ces politiques. Au niveau de la Direction, la plus haute instance de gestion des risques est le Comité de gestion de l actif et du passif (ALCO). ALCO est présidé par le Vice-président chargé des finances et de la planification et se réunit au moins une fois par mois pour jouer son rôle de surveillance. Il est épaulé par l Unité de gestion du risque qui lui sert de conseiller, et par six groupes de travail permanents (risque-pays, provisionnement des prêts au secteur privé, produits financiers, gestion des devises, gestion des emprunts, et projections financières), qui rendent compte au Comité sur des aspects particuliers de la gestion des risques. Les responsabilités opérationnelles courantes concernant la mise en œuvre des politiques et directives de la Banque en matière de gestion des risques sont déléguées aux unités organisationnelles compétentes. Y:\ORVP_shared_drive\ORVP_Departments\ORPC\Policies for website\policies\guidelines and

LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT

LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT Avril 2009 Table des matières Préambule...3 Introduction...4 Champ d application...5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour...6 1. Risque

Plus en détail

ÉVALUATION DU RISQUE DE MARCHÉ

ÉVALUATION DU RISQUE DE MARCHÉ Pagei Banque africaine de développement ÉVALUATION DU RISQUE DE MARCHÉ Juillet 2011 Pagei TABLE DES MATIÈRES RÉSUMÉ ANALYTIQUE iv I. INTRODUCTION 1 II. LE CONTEXTE DES ACTIVITÉS DE GESTION DU RISQUE DE

Plus en détail

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses

Plus en détail

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014)

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014) REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO (avril 2014) PREAMBULE REGLEMENT FINANCIER DE L AGIRC L Association générale des institutions de retraite des cadres (Agirc) a pour objet la mise en œuvre

Plus en détail

Banque le Choix du Président

Banque le Choix du Président Page 1 de 15 Banque le Choix du Président INFORMATIONS À FOURNIR AU TITRE DU 3 e PILIER DE L ACCORD DE BÂLE III 30 juin 2014 Page 2 de 15 Table des matières Table des matières... 2 TABLEAU 1 APERÇU ET

Plus en détail

Banque le Choix du Président

Banque le Choix du Président Page 1 de 15, Banque le Choix du Président INFORMATIONS À FOURNIR AU TITRE DU 3 e PILIER DE L ACCORD DE BÂLE III 30 septembre 2014 Page 2 de 15 Table des matières Table des matières... 2 TABLEAU 1 APERÇU

Plus en détail

Manuel des Politiques du Programme de Garanties Partielles du Risque de Crédit (post-séisme)

Manuel des Politiques du Programme de Garanties Partielles du Risque de Crédit (post-séisme) 1 Manuel des Politiques du Programme de Garanties Partielles du Risque de Crédit (post-séisme) Novembre 2010 2 Table des matières Introduction... 3 Politique générale de garantie de crédit... 5 Les grandes

Plus en détail

GLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance.

GLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance. GLOSSAIRE 208 RAPPORT ANNUEL 2013 DU MOUVEMENT DESJARDINS GLOSSAIRE ACCEPTATION Titre d emprunt à court terme et négociable sur le marché monétaire qu une institution financière garantit en faveur d un

Plus en détail

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013 Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer

Plus en détail

NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS

NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit

Plus en détail

entreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation

entreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation 28RE_chap_EP4.qx:quark de base 7/16/09 7:37 PM Page 858 Troisième partie : Le financement des ressources Les principales caractéristiques des travaux suggérés Questions de révision (N os 1 à 25) Exercices

Plus en détail

Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT)

Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT) Portefeuille de trésorerie de l Université d Ottawa Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie (ÉPRPT) 1. But L Énoncé de la politique et des règles de placement de la trésorerie

Plus en détail

Fonds de revenu Colabor

Fonds de revenu Colabor États financiers consolidés intermédiaires au et 24 mars 2007 (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie consolidés 4 Bilans

Plus en détail

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014 Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est

Plus en détail

Chapitre six Gestion financière et états financiers de la BAD, du FAD et du FSN

Chapitre six Gestion financière et états financiers de la BAD, du FAD et du FSN 6 Chapitre six Gestion financière et états financiers de la BAD, du FAD et du FSN Rapport de la Direction concernant l efficacité des mécanismes de contrôle interne en matière de communication de l information

Plus en détail

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers IFRS 9 Chapitre 1 : Objectif 1.1 L objectif de la présente norme est d établir des principes d information financière en matière d

Plus en détail

LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier

LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de

Plus en détail

Stratégie de gestion de la dette 2006-2007

Stratégie de gestion de la dette 2006-2007 Stratégie de gestion de la dette 2006-2007 Stratégie de gestion de la dette 2006-2007 Ministère des Finances Canada Department of Finance Canada Sa Majesté la Reine du chef du Canada (2006) Tous droits

Plus en détail

Cornèr Banque (Luxembourg) Informations au titre du Pilier III de Bâle II au 31 décembre 2012

Cornèr Banque (Luxembourg) Informations au titre du Pilier III de Bâle II au 31 décembre 2012 Cornèr Banque (Luxembourg) Informations au titre du Pilier III de Bâle II au 31 décembre 2012 Information au titre du Pilier III de Bâle II au 31 décembre 2012 Table des matières 1. Introduction 3 1.1.

Plus en détail

LES CRÉANCES ET LES DETTES

LES CRÉANCES ET LES DETTES LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un

Plus en détail

Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels

Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels 07/10/2014 Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés

Plus en détail

Guide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé

Guide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé juin 2011 www.bdo.ca Certification et comptabilité Guide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé Guide sur les

Plus en détail

Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères

Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères Objectif 1 Une entité peut exercer des activités à l international de deux manières. Elle peut conclure des transactions

Plus en détail

INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE

INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002

Plus en détail

Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation

Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation Conférence IMA du 05 avril 2012 Isabelle SAPET, Associée Programme 1. Introduction 2. Classification

Plus en détail

relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances

relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2003-03 du 2 octobre 2003 relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances (Avis n 2003-09 du 24 juin 2003 du compte rendu CNC)

Plus en détail

Fonds de revenu Colabor

Fonds de revenu Colabor États financiers consolidés intermédiaires au et 8 septembre 2007 3 ième trimestre (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie

Plus en détail

Caisse populaire Desjardins de Brome-Missisquoi

Caisse populaire Desjardins de Brome-Missisquoi Caisse populaire Desjardins de Brome-Missisquoi Numéro de transit : 90027 Au 31 décembre 2010 Service de vérification Table des matières Rapport de l auditeur indépendant États financiers Bilan... 1 États

Plus en détail

HSBC ETFs PLC PROSPECTUS. 6 octobre 2014

HSBC ETFs PLC PROSPECTUS. 6 octobre 2014 Il est recommandé aux investisseurs potentiels de lire attentivement ce Prospectus dans son intégralité et de consulter un courtier, un conseiller bancaire, un juriste, un comptable ou tout autre conseiller

Plus en détail

Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA

Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Le résumé des comptes annuels de la société Groupe Delhaize SA est présenté ci-dessous. Conformément au Code des Sociétés, les comptes annuels complets, le

Plus en détail

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une

Plus en détail

MANDAT DU COMITÉ DE PLACEMENT DU FONDS DE PENSION BANQUE DU CANADA

MANDAT DU COMITÉ DE PLACEMENT DU FONDS DE PENSION BANQUE DU CANADA 24 septembre 2013 MANDAT DU COMITÉ DE PLACEMENT DU FONDS DE PENSION BANQUE DU CANADA 1. Introduction La Banque du Canada (la «Banque») est l administrateur du Régime de pension de la Banque du Canada (le

Plus en détail

Ratios. Règlementation prudentielle des OPCVM. Juin 2012 LE CADRE GÉNÉRAL RÈGLES GÉNÉRALES DE COMPOSITION DES ACTIFS ET RATIOS D INVESTISSEMENT

Ratios. Règlementation prudentielle des OPCVM. Juin 2012 LE CADRE GÉNÉRAL RÈGLES GÉNÉRALES DE COMPOSITION DES ACTIFS ET RATIOS D INVESTISSEMENT LE CADRE GÉNÉRAL Règlementation prudentielle des OPCVM RÈGLES GÉNÉRALES DE COMPOSITION DES ACTIFS ET RATIOS D INVESTISSEMENT Ratios RÈGLES APPLICABLES PAR CATÉGORIE D OPCVM Juin 2012 AUTRES RATIOS ANNEXES

Plus en détail

Monnaie, banques, assurances

Monnaie, banques, assurances Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d

Plus en détail

PARVEST WORLD AGRICULTURE Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable

PARVEST WORLD AGRICULTURE Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable PARVEST World Agriculture a été lancé le 2 avril 2008. Le compartiment a été lancé par activation de sa part N, au prix initial

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES

FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES V2.0 Page 1 sur 117 DESTINATAIRES Nom Direction M. Litvan FCE 6 ème Sous-direction M. Soulié FCE 7 ème Sous-direction

Plus en détail

Titres RBC liés à des obligations de sociétés non protégés avec remboursement de capital, série 1F

Titres RBC liés à des obligations de sociétés non protégés avec remboursement de capital, série 1F RBC Marchés des Juin 2014 TITRES LIÉS À DES TITRES D EMPRUNT I SOLUTIONS DE PLACEMENT GLOBALES RBC Titres RBC liés à des obligations de sociétés non protégés avec remboursement de capital, série 1F Durée

Plus en détail

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales) b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de

Plus en détail

SOUS-FONDS PUBLICATIONS EVENEMENTIELLES SERIES ACCORDS HORS UE SOUS-SERIES COTONOU DOSSIERS : PIECES : 20000623 DATES 2000 VERSIONS LINGUISTIQUES :

SOUS-FONDS PUBLICATIONS EVENEMENTIELLES SERIES ACCORDS HORS UE SOUS-SERIES COTONOU DOSSIERS : PIECES : 20000623 DATES 2000 VERSIONS LINGUISTIQUES : BEI PUBLICATIONS ACCORDS HORS UE COTONOU 20000 623 2000 FR8 FONDS BEI SOUS-FONDS PUBLICATIONS SERIES EVENEMENTIELLES SOUS-SERIES ACCORDS HORS UE DOSSIERS : COTONOU PIECES : 20000623 DATES 2000 VERSIONS

Plus en détail

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a

Plus en détail

CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE

CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE PAR LES AUTORITES MONETAIRES SECTION 1 : LA CREATION MONETAIRE A Acteurs et modalités de création monétaire : La création monétaire consiste à accroître la quantité de

Plus en détail

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise

Plus en détail

Politique de placement de l encaisse

Politique de placement de l encaisse Politique de placement de l encaisse SERVICE DES FINANCES Division du budget et de la planification financière Date d approbation : N o de résolution : 2013-05-21 CA-2013-0188 Date de modification : N

Plus en détail

Conversion des devises

Conversion des devises exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Conversion des devises Octobre 2009 date limite de réception des commentaires : le 15 JANVIER 2010 Le présent

Plus en détail

La politique relative aux prêts de dernier ressort de la Banque du Canada

La politique relative aux prêts de dernier ressort de la Banque du Canada Revue du système financier La politique relative aux prêts de dernier ressort de la Banque du Canada À l instar d autres banques centrales dans le monde, la Banque du Canada a notamment pour fonction de

Plus en détail

L utilisation des swaps de taux d intérêt et des swaps de devises par le gouvernement fédéral

L utilisation des swaps de taux d intérêt et des swaps de devises par le gouvernement fédéral L utilisation des swaps de taux d intérêt et des swaps de devises par le gouvernement fédéral John Kiff, Uri Ron et Shafiq Ebrahim, département des Marchés financiers Les swaps de taux d intérêt et les

Plus en détail

BANQUE MONDIALE. DiRectives pour les décaissements applicables aux projets

BANQUE MONDIALE. DiRectives pour les décaissements applicables aux projets BANQUE MONDIALE DiRectives pour les décaissements applicables aux projets mai 2006 BANQUE MONDIALE DIRECTIVES POUR LES DÉCAISSEMENTS APPLICABLES AUX PROJETS DÉPARTEMENT DES PRÊTS 1 ER MAI 2006 Copyright

Plus en détail

Norme comptable internationale 33 Résultat par action

Norme comptable internationale 33 Résultat par action Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer

Plus en détail

Ligne directrice. Titrisation de l actif. Catégorie: Limites et restrictions prudentielles. 1. Introduction

Ligne directrice. Titrisation de l actif. Catégorie: Limites et restrictions prudentielles. 1. Introduction Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255 Albert Street 255, rue Albert Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2 www.osfi-bsif.gc.ca Ligne directrice Objet: Titrisation

Plus en détail

La mise en œuvre de la politique monétaire suisse

La mise en œuvre de la politique monétaire suisse La mise en œuvre de la politique monétaire suisse La Banque nationale suisse (BNS) dispose aujourd hui d instruments efficaces et souples pour mettre en œuvre sa politique monétaire. Depuis l an 2000,

Plus en détail

Règlement n 90 15 du 18 décembre 1990 relatif à la comptabilisation des contrats d échange de taux d intérêt ou de devises

Règlement n 90 15 du 18 décembre 1990 relatif à la comptabilisation des contrats d échange de taux d intérêt ou de devises Règlement n 90 15 du 18 décembre 1990 relatif à la comptabilisation des contrats d échange de taux d intérêt ou de devises modifié par les règlements n 92 04 du 17 juillet 1992, n 95-04 du 21 juillet 1995,

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques

GUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité

Plus en détail

Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in») vise à transférer

Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in») vise à transférer Solutions PD Parez au risque Rente sans rachat des engagements (Assurente MC ) Transfert des risques pour régimes sous-provisionnés Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in»)

Plus en détail

L activité financière des sociétes d assurances

L activité financière des sociétes d assurances L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits

Plus en détail

FIBROSE KYSTIQUE CANADA

FIBROSE KYSTIQUE CANADA États financiers de FIBROSE KYSTIQUE CANADA KPMG s.r.l./s.e.n.c.r.l. Téléphone (416) 228-7000 Yonge Corporate Centre Télécopieur (416) 228-7123 4100, rue Yonge, Bureau 200 Internet www.kpmg.ca Toronto

Plus en détail

Définitions et concepts pour le reporting statistique des établissements de crédit

Définitions et concepts pour le reporting statistique des établissements de crédit Définitions et concepts pour le reporting statistique des établissements de crédit Banque centrale du Luxembourg Sommaire 1 Introduction... 6 2 Principes de base... 7 2.1 Version comptable... 7 2.2 Date

Plus en détail

DIRECTIVES OPÉRATIONNELLES POUR LA SYNDICATION DE PRÊTS SANS GARANTIE SOUVERAINE

DIRECTIVES OPÉRATIONNELLES POUR LA SYNDICATION DE PRÊTS SANS GARANTIE SOUVERAINE DIRECTIVES OPÉRATIONNELLES POUR LA SYNDICATION DE PRÊTS SANS GARANTIE SOUVERAINE (Novembre 2008) TABLE DES MATIÈRES I. INTRODUCTION...3 II. SYNDICATION DE PRETS DE LA BAD... 4 2.1 DEFINITIONS... 4 2.2

Plus en détail

BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois

BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique

Plus en détail

COMPTES CONSOLIDES IFRS DU GROUPE CNP ASSURANCES au 31 Décembre 2007

COMPTES CONSOLIDES IFRS DU GROUPE CNP ASSURANCES au 31 Décembre 2007 COMPTES CONSOLIDES IFRS DU GROUPE CNP ASSURANCES au 31 Décembre 2007 Nouvelles normes IFRS7 Méthode de valorisation dans le contexte de crise financière Mars 2008 La nouvelle norme, Instruments financiers

Plus en détail

Rachat périodique d actions Libérez la valeur de votre entreprise MC

Rachat périodique d actions Libérez la valeur de votre entreprise MC Mars 2005 Rachat périodique d actions Libérez la valeur de votre entreprise MC La majeure partie des avoirs financiers des propriétaires de petite entreprise est souvent immobilisée dans les actions d

Plus en détail

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 31 décembre 2013 SOMMAIRE ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 4 COMPTE DE RESULTAT DE L EXERCICE 2013 4 ETAT DU RESULTAT NET ET DES VARIATIONS D ACTIFS ET DE PASSIFS COMPTABILISEES

Plus en détail

Ce document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions

Ce document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions 2011O0014 FR 03.01.2013 001.001 1 Ce document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions B ORIENTATION DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE du 20 septembre 2011

Plus en détail

Manuel de l agent de crédit Banco Solidario

Manuel de l agent de crédit Banco Solidario Manuel de l agent de crédit Banco Solidario Extraits sur la prévention du surendettement des clients texte original en espagnol La philosophie «Vivre la solidarité» peut s appliquer à toute notre vie.

Plus en détail

Règlement de placement de l EPER

Règlement de placement de l EPER Règlement de placement de l EPER Entraide Protestante Suisse Le texte allemand fait foi. 1. Principes généraux Les moyens financiers mis à disposition par les donatrices et donateurs ainsi que par les

Plus en détail

Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014

Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014 Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014 Diffusion Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière

Plus en détail

951.312 Ordonnance de l Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers sur les placements collectifs de capitaux

951.312 Ordonnance de l Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers sur les placements collectifs de capitaux Ordonnance de l Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers sur les placements collectifs de capitaux (Ordonnance de la FINMA sur les placements collectifs, OPC-FINMA) du 27 août 2014 (Etat

Plus en détail

SECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES

SECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES SECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES 1 - DISPOSITIONS GENERALES 2 - COMPTABILISATION DE L ENGAGEMENT 3 - COMPTABILISATION AU BILAN 4 - CONVERSION DES OPERATIONS EN DEVISES 5 - COMPTABILISATION DES RESULTATS

Plus en détail

6. MONNAIE, CRÉDIT ET DETTE

6. MONNAIE, CRÉDIT ET DETTE 6. MONNAIE, CRÉDIT ET DETTE INTRODUCTION 280. Le présent chapitre passe en revue les principales questions que pose aux pays la définition des agrégats de la monnaie, du crédit et de la dette. Il sert

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes

Plus en détail

Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie

Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie

Plus en détail

Gestion de trésorerie: guide d auto-apprentissage. Gestion de trésorerie et taux de change multiples

Gestion de trésorerie: guide d auto-apprentissage. Gestion de trésorerie et taux de change multiples Gestion de trésorerie: guide d auto-apprentissage Cours de niveau avancé Leçon 9: Gestion de trésorerie et taux de change multiples Objectifs À la fin de cette leçon, vous devriez savoir: définir les besoins

Plus en détail

Examiner les risques. Guinness Asset Management

Examiner les risques. Guinness Asset Management Examiner les risques Guinness Asset Management offre des produits d investissement à des investisseurs professionnels et privés. Ces produits comprennent : des compartiments de type ouvert et investissant

Plus en détail

www.fondsftq.com ÉTATS FINANCIERS AU X 3 1 M A I 2 0 1 1 E T 2 0 1 0

www.fondsftq.com ÉTATS FINANCIERS AU X 3 1 M A I 2 0 1 1 E T 2 0 1 0 www.fondsftq.com ÉTATS FINANCIERS AU X 3 1 M A I 2 0 1 1 E T 2 0 1 0 RAPPORT DES AUDITEURS INDÉPENDANTS À l intention des actionnaires du Fonds de solidarité des travailleurs du Québec (F.T.Q.) Nous avons

Plus en détail

Gestion des prêts bancaires internationaux (Analyse du risque-pays, calcul et gestion de l engagement par pays)

Gestion des prêts bancaires internationaux (Analyse du risque-pays, calcul et gestion de l engagement par pays) Gestion des prêts bancaires internationaux (Analyse du risque-pays, calcul et gestion de l engagement par pays) (Mars 1982) Introduction L opération de prêt présente un certain nombre de risques. Outre

Plus en détail

La gestion du compte de l État

La gestion du compte de l État FINANCES PUBLIQUES TRÉSORERIE Nouvelle convention MINÉFI/Banque de France La gestion du compte de l État Article d Olivier Cuny, administrateur civil à l Agence France Trésor, en collaboration avec Dominique

Plus en détail

COMMENT OPTIMISER SA GESTION DE DEVISES?

COMMENT OPTIMISER SA GESTION DE DEVISES? Dossier spécial Après une reprise observée en 2012 et 2013 (de l ordre de 2 et 2,5 %), l Organisation Mondiale du Commerce prévoit une croissance du commerce international de l ordre de 4 à 4,5 % en 2014.

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Bâle III : Ratio structurel de liquidité à long terme

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Bâle III : Ratio structurel de liquidité à long terme Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Bâle III : Ratio structurel de liquidité à long terme Octobre 2014 Le présent document est traduit de l anglais. En cas de doute ou d ambiguïté, se reporter à l

Plus en détail

AVERTISSEMENT ET INFORMATION SUR LES RISQUES LIES A LA NEGOCIATION DES CONTRATS A TERME ET DES ACTIONS

AVERTISSEMENT ET INFORMATION SUR LES RISQUES LIES A LA NEGOCIATION DES CONTRATS A TERME ET DES ACTIONS Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés par Newedge Group S.A. pour le compte d un client «le Client». Le Client est informé qu il existe

Plus en détail

1. Le risque de contrepartie

1. Le risque de contrepartie 1. Le risque de contrepartie 1.1. Définition : 1.1.1. Au sens étroit : Tout crédit est une anticipation de recettes futures (crédit = pari sur la réussite du projet de l emprunteur). Tout crédit comporte

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES SUR LA GESTION DES ACTIFS DES FONDS DE PENSION. Recommandation du Conseil

LIGNES DIRECTRICES SUR LA GESTION DES ACTIFS DES FONDS DE PENSION. Recommandation du Conseil DIRECTION DES AFFAIRS FINANCIERES ET DES ENTREPRISES LIGNES DIRECTRICES SUR LA GESTION DES ACTIFS DES FONDS DE PENSION Recommandation du Conseil Ces lignes directrices, préparées par le Comité des Assurances

Plus en détail

M_CONTRAN Contrats nouveaux

M_CONTRAN Contrats nouveaux M_CONTRAN Contrats nouveaux Présentation Le document M_CONTRAN recense, de manière exhaustive, les nouveaux contrats de crédit libellés en euros, conclus avec les particuliers, les sociétés non financières,

Plus en détail

GUIDE DU PASSAGE À L EURO : NOTE D INFORMATION À L INTENTION DES EMPRUNTEURS DE LA BANQUE MONDIALE AOÛT 2001

GUIDE DU PASSAGE À L EURO : NOTE D INFORMATION À L INTENTION DES EMPRUNTEURS DE LA BANQUE MONDIALE AOÛT 2001 GUIDE DU PASSAGE À L EURO : NOTE D INFORMATION À L INTENTION DES EMPRUNTEURS DE LA BANQUE MONDIALE AOÛT 2001 Ce GUIDE DU PASSAGE À L EURO donne, sous forme de questions et de réponses, des informations

Plus en détail

EXAMEN EXTERNE DU CADRE DE GESTION DES RÉSERVES (2002) par. Lawrence Kryzanowski 1 20 décembre 2002 Version finale

EXAMEN EXTERNE DU CADRE DE GESTION DES RÉSERVES (2002) par. Lawrence Kryzanowski 1 20 décembre 2002 Version finale EXAMEN EXTERNE DU CADRE DE GESTION DES RÉSERVES (2002) par Lawrence Kryzanowski 1 20 décembre 2002 Version finale 1.0 SOMMAIRE Le Compte du fonds des changes (CFC) est bien géré; ses pratiques sont généralement

Plus en détail

Avertissement sur les Risques Associés aux CFDs

Avertissement sur les Risques Associés aux CFDs CMC MARKETS UK PLC Avertissement sur les Risques Associés aux CFDs January 2015 RCS Paris: 525 225 918 Société immatriculée en Angleterre sous le numéro 02448409 Agréée et réglementée par la Financial

Plus en détail

Rapport de la direction

Rapport de la direction Rapport de la direction Les états financiers consolidés de Industries Lassonde inc. et les autres informations financières contenues dans ce rapport annuel sont la responsabilité de la direction et ont

Plus en détail

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur,

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur, Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial

Plus en détail

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur

Plus en détail

COMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES

COMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E COMPTES SPÉCIAUX RAPPORTS ANNUELS DE PERFORMANCES ANNEXE AU PROJET DE LOI DE RÈGLEMENT DES COMPTES ET RAPPORT DE GESTION POUR 2007 COMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES

Plus en détail

Glossaire GLOSSAIRE Acceptation de banque Action Administrateur-séquestre Administration Affectation en garantie Agence de cotation des titres

Glossaire GLOSSAIRE Acceptation de banque Action Administrateur-séquestre Administration Affectation en garantie Agence de cotation des titres GLOSSAIRE Acceptation de banque Titre de dette commercial garanti par la banque d un emprunteur, émis dans le marché monétaire à escompte, à valeur finale nominale, et dont le terme oscille de 30 jours

Plus en détail

LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE

LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE J O U R N É E S A J B E F N I A M E Y M A I 2 0 1 2 P R É S E N T É P A R M R D A O B A B A ( F G H M. S A / M A L I ) Préambule L objectif de la présente communication

Plus en détail

Chapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire

Chapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire Chapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire Que dit le Traité de Rome en matière monétaire? Pas de propos très détaillés. Ce qui est mentionné, c est l ambition de créer une aire régionale

Plus en détail

Floored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants:

Floored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants: sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «Newmont Mining» Floored Floater sur le taux d intérêt EURIBOR EUR à trois mois avec emprunt de référence «Newmont Mining» Dans l

Plus en détail

RISQUES ASSOCIÉS AUX INSTRUMENTS FINANCIERS (GLOSSAIRE)

RISQUES ASSOCIÉS AUX INSTRUMENTS FINANCIERS (GLOSSAIRE) RISQUES ASSOCIÉS AUX INSTRUMENTS FINANCIERS (GLOSSAIRE) apperçu des Principaux risques et caractéristiques Annexe 2 Table des matières 1. Préambule 5 2. Informations générales sur les risques 6 2.1 Introduction

Plus en détail

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Economie et des Finances Décret n relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales ayant souscrit des contrats de prêt ou des contrats financiers structurés

Plus en détail

Société Financière Manuvie

Société Financière Manuvie Société Financière Manuvie États financiers consolidés Pour l exercice terminé le 31 décembre 2008 - MODIFIÉS États financiers consolidés TABLE DES MATIÈRES 3. Responsabilité en matière d information financière

Plus en détail

Manuel de référence Options sur devises

Manuel de référence Options sur devises Manuel de référence Options sur devises Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX TMX Select Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique de Montréal Titres à

Plus en détail

Gestion du risque structurel. (Gestion actif-passif) (GAP)

Gestion du risque structurel. (Gestion actif-passif) (GAP) Gestion du risque structurel Chapitre 7 Gestion du risque structurel (Gestion actif-passif) (GAP) Section Sujet traité Page 7000 Résumé 7-2 7100 Grandes lignes de la législation... 7-3 7200 Politique...

Plus en détail

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables Cycle de Conférence à la Cour de Cassation 21 février 2005 Alain Duchâteau Directeur de la Surveillance Générale

Plus en détail