Les rapports publics de performance. Guide de préparation

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les rapports publics de performance. Guide de préparation"

Transcription

1 Les rapports publics de performance Guide de préparation Mai 2007

2 i Le présent guide vise à stimuler la réflexion et à fournir un cadre de référence pour la préparation des rapports publics de performance par les entités du secteur public. Il se fonde sur l énoncé de pratiques recommandées PR-2, Les rapports publics de performance, du Conseil sur la comptabilité dans le secteur public (CCSP) du Canada. Ce guide a été élaboré par les permanents du CCSP dans le cadre de son projet sur l information sur la performance, et reflète les points de vue et jugements de ces permanents. Il n a pas été adopté, sanctionné, approuvé ou désapprouvé par un conseil ou comité de l ICCA, ou par les instances dirigeantes ou les membres de l ICCA ou d un ordre provincial, et n a donné lieu à aucune mesure de leur part. Les entités du secteur public sont encouragées à utiliser ce guide pour soutenir les efforts qu elles déploient à l égard des rapports publics de performance. L amélioration de la qualité des rapports de performance est un processus évolutif fondé sur la recherche, l expérimentation, l expérience pratique et le consensus. Il se peut que les utilisateurs du présent guide identifient des améliorations qui pourraient y être apportées. Les commentaires et les suggestions d amélioration sont les bienvenus. Les commentaires ou questions sur le présent guide doivent être adressés à Ed Archer au ou à ed.archer@cica.ca

3 ii Table des matières Avant-propos iii 1. Le rapport est-il facilement accessible et identifiable comme le rapport sur la 1 performance annuelle de l entité? 2. Le rapport contient-il des informations qui semblent fiables et valides? 2 3. L information sur la performance de l entité est-elle pertinente? 3 4. L entité fournit-elle des informations fidèles dans son rapport de performance? 4 5. L information sur la performance de l entité est elle comparable et cohérente? 5 6. Le rapport est-il compréhensible? 6 7. Le rapport porte-il sur les quelques aspects essentiels de la performance? 7 8. Le rapport décrit-il l orientation stratégique de l entité? 8 9. L entité explique-t-elle les résultats réels de la période et compare-t-elle ces 9 derniers et les résultats prévus, en expliquant tout écart significatif? 10. Le rapport présente-t-il de l'information comparative sur les tendances, des points 10 et données de référence ou encore la performance d'organismes similaires? 11. Le rapport décrit-il les leçons importantes tirées et présente-t-il les facteurs clés 11 qui influent sur la performance et sur les résultats? 12. L entité a-t-elle établi un lien entre son information financière et son information 12 non financière sur la performance? 13. Les règles ayant présidé à la préparation sont-elles indiquées? 13 Page Mai 2007

4 iii Avant-propos Le présent guide vise à aider les entités du secteur public qui appliquent l énoncé de pratiques recommandées PR-2, Les rapports publics de performance, du Conseil sur la comptabilité dans le secteur public (CCSP). Le PR-2 a été élaboré par un groupe de travail constitué d experts en information sur la performance dans le secteur public qui proviennent de tous les ordres de gouvernement au Canada, et de représentants du Government Accounting Standards Board (GASB) des États-Unis. Au terme d une procédure officielle détaillée qui prévoit notamment l analyse du matériel proposé et la consultation des parties prenantes, le CCSP a approuvé le PR-2 pour utilisation par les entités du secteur public canadien en juin Ce guide aidera les préparateurs et les autres personnes responsables des rapports de performance en faisant ressortir les divers éléments et les omissions susceptibles d influencer la perception qu un utilisateur a de la crédibilité et de l utilité de ce rapport. Chaque aspect fait l objet d un renvoi au(x) paragraphe(s) pertinent(s). Le guide porte sur le rapport en soi et non sur les résultats produits par l entité à l intention de la population. La simple comparaison d un rapport avec les éléments décrits dans le guide ne permet pas à elle seule de dégager des conclusions valables au sujet de la qualité d un rapport public de performance. D autres dispositions doivent être prises à cet égard. Bien que les pratiques recommandées s appliquent aussi bien aux grandes qu aux petites entités, la capacité des entités d appliquer ces pratiques variera d une entité à l autre. Le présent guide propose également des éléments à considérer pour repérer les situations dans lesquelles une pratique suivie, mais il ne vise pas à permettre de déterminer si une entité a réussi ou non à appliquer le PR-2. L exercice du jugement professionnel est requis pour déterminer si le rapport public de performance d une entité est conforme au PR-2. Il est reconnu que l'amélioration de la qualité des rapports publics de performance est un processus évolutif fondé sur la recherche, sur l'expérimentation, sur l'expérience pratique et sur le consensus. Il n existe pas une façon meilleure qu une autre de préparer des rapports de performance, et ni le PR-2 ni le présent guide ne visent à servir de modèle. L entité aura plus de facilité à préparer son rapport de performance si elle fonctionne conformément à un plan axé sur des résultats, qui porte sur la mesure, la surveillance et l'évaluation de la performance, l'apprentissage et les ajustements à apporter tout au long de la période, ainsi que sur la publication de l'information sur ce qui a été accompli. Une bonne compréhension des points de vue des utilisateurs de rapports de performance contribuera à rendre ces rapports utiles. Mai 2007

5 1 Accessibilité et convivialité 1. Le rapport est-il facilement accessible et identifiable comme le rapport sur la performance annuelle de l entité? recommandée a été a) Le rapport est clairement identifié comme le rapport de performance de l entité. 37 b) Le rapport indique qu il s adresse notamment aux élus et à la population qu'ils représentent. c) Le site Web de l entité contient un lien direct vers le rapport qui identifie ce dernier de façon claire et évidente. d) Les sources et les personnes à consulter pour obtenir une information plus détaillée sont clairement indiquées. e) Le rapport est disponible sur support papier ou électronique Le site Web contient un lien vers le rapport mais ce lien ne fonctionne pas. Le rapport n est pas disponible sur support papier. Le rapport ne se trouve pas à un endroit auquel songerait intuitivement un utilisateur (par exemple, on ne peut y accéder qu en passant par la page Web du trésorier ou du contrôleur). Aucune information n est fournie quant aux sources ou à la personne à consulter pour obtenir une information plus détaillée. L objet et les utilisateurs auxquels il s adresse ne sont pas indiqués clairement.

6 2 Qualités de l information sur la performance 2. Le rapport contient-il des informations qui semblent fiables et valides? recommandée a été a) Le rapport comporte une déclaration du responsable de l entité du secteur, laquelle comprend une évaluation de l intégralité et de la fiabilité de l information. b) Les défis qu a présentés la préparation de l information sur la performance, ainsi que sur les mesures prises par l entité à leur égard sont divulgués. c) Le rapport décrit les mesures prises par l entité en réponse aux préoccupations relatives à la performance soulevées par d autres intervenants, notamment par le vérificateur interne ou le vérificateur général dans leurs rapports, ou à la demande de la direction dans les constats dégagés lors d une évaluation. d) Les mesures prises pour vérifier et valider les mesures de performance et l information sur la performance sont décrites. e) Le rapport précise les sources de chaque mesure de performance communiquée et mentionne toutes les limites pertinentes. f) Des liens sont établis entre les mesures et les cibles, d une part, et les résultats, d autre part , 80 25, 41 Les sources de chacune des mesures de performance ne sont pas mentionnées. Les activités de vérification et de validation de l information ne sont pas décrites. Il n y a pas de liens clairs entre les mesures et les objectifs visés. Le rapport n offre aucun élément permettant aux utilisateurs d avoir confiance dans l information communiquée à l égard des différents programmes, services et/ou résultats présentés. Les résultats des mesures de performance identifiées dans les documents de planification de l entité sont incomplets. Le rapport soulève des doutes quant à la qualité de l information sur la performance à l égard desquels l entité ne prend aucune mesure. L information est très technique ou difficile à comprendre pour les utilisateurs et son importance n est pas expliquée. Le rapport s appuie sur des mesures de type «réussite ou échec» ou «tolérance zéro» (p. ex. absence d événements catastrophiques) qui décrivent les résultats mais ne permettent pas d évaluer les progrès réalisés ou les niveaux de performance. Rien n indique que des progrès ont été réalisés en vue de l atteinte des résultats.

7 3 3. L information sur la performance de l entité est-elle pertinente? recommandée a été a) Un lien clair est établi entre l information sur la performance réelle et le plan stratégique ou annuel de l entité. b) L information aide les utilisateurs à identifier les quelques aspects essentiels de la performance de l entité. c) Le rapport est prêt en temps opportun (p. ex. dans les 120 jours qui suivent la fin de la période, ou dans les 90 jours qui suivent la réception du vérificateur sur les états financiers de l entité). d) L entité indique comment elle utilise l information sur la performance pour la prise de décisions et la gestion en vue d'obtenir des résultats. e) L information utilisée dans la présentation des résultats sur la performance peut être rapprochée des montants présentés dans les états financiers de l entité. f) Le niveau de détail de l information présentée sur la performance est compatible avec celui de l information présentée dans les états financiers de l entité. g) L information présentée est assez étendue pour que l utilisateur comprenne la totalité ou la quasi-totalité de l information financière relative aux quelques aspects essentiels de la performance de l entité. h) Dans toute la mesure du possible, les résultats ultimes et les buts en matière de performance annuelle sont mesurables, ou l on présente des résultats intermédiaires qu un utilisateur peut comprendre facilement et rapprocher des résultats ultimes. i) L entité applique la chaîne de résultats / le modèle logique pour décrire les progrès réalisés en vue de l atteinte des résultats ultimes. Les énoncés sur les résultats ultimes sont accompagnés de descriptions détaillées des résultats intermédiaires qui aident à clarifier les liens entre les intrants, les activités, les extrants et les résultats. j) Les résultats sont communiqués, au moins sous la forme d estimations, pour toutes les mesures de performance indiquées dans les documents de planification de l entité. k) L entité montre qu elle a adopté une démarche par étapes pour mesurer sa contribution aux résultats à long terme ou à ceux qui nécessitent l interaction de programmes ou d entités multiples. l) Lorsque le rapport sur la performance fait état des effets combinés de plusieurs programmes ou d autres entités ou que l importance de ces effets combinés n est pas évidente pour l utilisateur, leur pertinence par rapport aux résultats est expliquée au moyen de commentaires descriptifs , Le rapport n est pas publié en temps opportun. Les résultats ultimes ne reflètent pas la totalité des fonctions importantes de l entité. Les résultats ultimes sont présentés comme des activités ou des extrants plutôt que comme des résultats. Les comparaisons de la performance réelle et des résultats prévus décrits dans le plan stratégique ou annuel de l entité sont vagues ou incomplètes. Les résultats sont trop vagues ou trop généraux pour être mesurés ou attribués de manière plausible aux activités de l entité. Il existe des écarts significatifs entre le niveau et l étendue de l information présentée dans le plan stratégique ou annuel de l entité et le niveau de détail utilisé pour la présentation de l information sur la performance réelle. Aucun lien clair n est établi entre les résultats ultimes et les avantages obtenus par la population. Un volume important d informations est présenté au sujet des résultats réels, de sorte que l utilisateur doit lui-même déterminer les quelques aspects essentiels de la performance de l entité. Rien n indique que l entité se sert de l information sur la performance pour prendre des décisions.

8 4 4. L entité fournit-elle des informations fidèles dans son rapport de performance? recommandée a été a) L information sur la performance est exempte de parti pris. La forme et la présentation de l information et la place relative accordée à des éléments spécifique, ou l omission de ceux-ci, semblent raisonnables. b) Les mesures de performance reflètent les liens logiques qui existent entre les buts et la performance et montrent de façon efficace l étendue des progrès réalisés en vue de l atteinte des résultats ultimes. c) Les commentaires descriptifs fournis dans le rapport décrivent avec concision la performance et aident les utilisateurs à comprendre les progrès réalisés en vue de l atteinte des résultats ultimes. Lorsqu une information et une analyse plus pointues s avèrent nécessaires pour comprendre la contribution de l entité à l atteinte des résultats, le rapport explique comment l entité acquiert cette compréhension. d) L information est suffisante pour permettre une évaluation des progrès réalisés en vue de l atteinte des résultats qui soit vraisemblable et fondée sur des preuves. e) L entité fait état de certains objectifs non atteints quant à la performance. À moins qu une entité prétende avoir atteint la perfection, la communication d un taux de réussite complet donne à penser que les mesures de performance ne couvrent pas suffisamment d éléments ou ne sont pas assez poussées. f) Les incidences mentionnées sont étayées par des évaluations des programmes ou d autres preuves de l existence d une relation de cause à effet Les liens qui existent entre, d une part, l information sur les résultats ou la performance et, d autre part, les activités et les extrants de l entité ne sont pas clairs. La lenteur de l entité à produire l information sur la performance se traduit par l absence de résultats estimatifs dans le rapport. Les commentaires descriptifs qui accompagnent les différents résultats ne font pas bien ressortir l importance de certains aspects de la performance aux yeux d utilisateurs moins avertis. Le rapport ne présente pas d information sur les quelques aspects essentiels de la performance de l entité, de sorte que le tableau qui est donné de la performance est incomplet. Les commentaires descriptifs ne contiennent pas de précisions sur la performance et les résultats, notamment lorsque les résultats présentés donnent à penser que des explications sont nécessaires (par exemple lorsque l entité fait état d une réussite complète pour la totalité ou la quasi-totalité de ses mesures, surtout sur plusieurs périodes).

9 5 5. L information sur la performance de l entité est-elle comparable et cohérente? recommandée a été a) Le rapport permet à l utilisateur de dégager les tendances en matière de performance, notamment du fait qu il inclut des données de référence et les résultats de périodes antérieures dans le cas de mesures cohérentes qui remontent à plus de deux ans. b) Lorsque le rapport contient des comparaisons avec d autres entités, la base de comparaison est décrite. c) Le rapport décrit le but à long terme applicable à chaque mesure, ce qui permet à l utilisateur d évaluer l ampleur des progrès réalisés au cours de la période couverte. d) Le rapport décrit brièvement l importance de chaque mesure de la performance et les raisons motivant le choix des cibles annuelles fixées. e) Le rapport présente de l information sur les facteurs clés qui influent sur la performance de manière à mieux illustrer le contexte dans lequel l entité a produit ses résultats. f) Le rapport comporte une explication des écarts importants entre les cibles et les résultats annuels, ainsi que des niveaux de performance de la période précédente par rapport aux cibles et résultats de la période considérée. g) De l information comparative est présentée de façon uniforme pour permettre la comparaison entre les résultats réels de la période considérée et ceux de plus de deux périodes antérieures. 29, 50 30, La présentation de l information sur la performance varie d une période à l autre, ce qui empêche l utilisateur de dégager des tendances. L amélioration constante de la présentation est souhaitable, mais une certaine uniformité de base s avère nécessaire d un rapport à l autre. Les résultats prévus et les résultats réels sont exprimés de manière non quantifiable, ce qui rend leur comparaison difficile d une période à l autre. Le rapport limite la capacité d analyser les tendances parce qu il indique uniquement si les résultats prévus ont été atteints ou non, sans fournir de comparaisons avec les résultats des périodes antérieures. Les écarts importants entre les cibles et les résultats de la période considérée ou de la période précédente ne sont pas expliqués. La possibilité de dégager des tendances ou d évaluer les progrès réalisés est limitée du fait que le rapport ne contient aucune description des résultats ultimes ou des raisons motivant le choix des cibles annuelles.

10 6 6. Le rapport est-il compréhensible? recommandée a été a) Le rapport est concis et écrit dans une langue simple que la population peut facilement comprendre. b) Les auteurs semblent avoir évité de trop simplifier ou d omettre des détails pertinents. c) La méthode suivie par l entité pour identifier les quelques aspects essentiels de la performance est décrite. d) Le nombre de mesures de performance semble raisonnable. 38 e) S il y a un grand nombre de mesures de performance, le rapport est focalisé sur un jeu limité de mesures clés (c est-à-dire les quelques mesures essentielles de la performance). f) Les tableaux et les graphiques sont utilisés efficacement, en particulier les tableaux qui font ressortir les mesures de performance et les résultats. g) Les buts et les mesures de performance sont clairement énoncés de manière à ce que les utilisateurs puissent en saisir l importance ou la signification. h) L utilisation de mesures complexes s accompagne de commentaires descriptifs qui expliquent clairement leur importance à la population. i) Les avantages globaux que la population retire des activités de l entité sont clairement présentés. j) Le rapport comporte des renvois clairs aux documents de planification (mandat législatif, budget, discours du Trône ou d ouverture, plan stratégique) utilisés comme base d évaluation de la performance actuelle par rapport aux buts et objectifs prévus en matière de services , Le nombre de mesures présenté rend difficile l identification des quelques aspects essentiels de la performance de l entité. Le rapport est mal structuré (p. ex. numérotation complexe des buts et mesures qui nuit à la compréhension du rapport par les utilisateurs). Le rapport contient de longs commentaires descriptifs et peu de tableaux et de graphiques. Le rapport contient des buts et mesures obscurs ou très techniques qui n aident pas les utilisateurs à saisir l importance de ce que fait l entité et la mesure dans laquelle elle performe bien. L utilisation de termes techniques, d un jargon ou d acronymes compromet vraisemblablement la compréhension du rapport par les utilisateurs. Le rapport contient des détails susceptibles d intéresser des fonctionnaires ou des spécialistes externes mais non pertinents ou compréhensibles pour les utilisateurs. Le contexte présenté est insuffisant pour permettre de déterminer si les résultats réels correspondent aux résultats prévus, ou si les résultats réels sont complets par rapport aux résultats prévus.

11 7 Contenu de performance 7. Le rapport porte-t-il sur les quelques aspects essentiels de la performance? recommandée a été a) Le rapport porte sur les stratégies, buts et objectifs clés de l entité. 35 b) Le rapport décrit les avantages que la population retire du travail de l entité, et ce, d une manière compréhensible pour les utilisateurs, et illustre ces avantages au moyen d exemples concrets axés sur les résultats des réalisations de l entité au cours de la période. c) Les utilisateurs ont une compréhension claire de ce que l entité tente d accomplir. 35 d) Les commentaires descriptifs sont étayés par des mesures de performance qui comportent une comparaison des résultats réels et des résultats prévus de l entité. e) Les commentaires descriptifs et les mesures de performance aident les utilisateurs à comprendre les quelques aspects essentiels de la performance de l entité Les parties descriptives sont nébuleuses et/ou ne comportent pas suffisamment d exemples de réalisations concrètes. Le rapport n indique pas la mesure dans laquelle l entité fait des progrès en vue de l atteinte des résultats. La déclaration du responsable de l entité du secteur public se limite à l expression d assurances standard et ne fait pas ressortir les résultats et les réalisations. Même lorsque les résultats obtenus par l entité sont clairs, le rapport n explique pas de façon plausible comment les extrants et les activités y sont attribuables.

12 8 8. Le rapport décrit-il l orientation stratégique de l entité? recommandée a été a) L information sur les priorités de haut niveau et les buts à long terme de l entité est résumée de manière à ce que les utilisateurs puissent mettre l information sur la performance en contexte. b) La source des priorités de haut niveau et des buts à long terme de l entité est indiquée au moyen de renvois à des documents connexes ou de liens vers des sites Web, pour les utilisateurs qui ont besoin de plus de détails. c) Des sections sont consacrées spécifiquement à la description des services fournis à la population. d) La description qui est faite des buts et objectifs de l entité aide les utilisateurs à comprendre dans quelle mesure la réalisation de ces buts et objectifs respecte l orientation stratégique de l entité , L information sur la performance présentée pour la période ne reflète pas l orientation stratégique de l entité. Aucune mention n est faite de la source des priorités de haut niveau et des buts à long terme de l entité. Les résultats sont présentés sans contexte, ce qui empêche les utilisateurs de bien comprendre la mesure dans laquelle les résultats de la période cadrent avec l orientation stratégique de l entité.

13 9 9. L entité explique-t-elle les résultats réels de la période et compare-t-elle ces derniers et les résultats prévus, en expliquant tout écart significatif? recommandée a été a) Le rapport énonce les résultats prévus pour la période, en termes d extrants et de résultats. b) Le rapport fait mention du ou des documents sources ayant servi à établir les résultats prévus. c) Les résultats réels sont présentés, au moins sur une base estimative, pour la totalité ou la plupart des mesures de performance lorsqu un résultat prévu a été établi. d) Les résultats de la période sont expliqués dans le contexte des priorités de haut niveau et des buts à long terme qu ils sont censés soutenir. e) L entité reconnaît clairement et franchement les cas où les objectifs n ont pas été atteints. f) Des explications sont fournies pour tous les écarts significatifs de manière à permettre une compréhension raisonnable de leurs causes par les utilisateurs. g) L explication des écarts comprend une description des mesures prévues pour les réduire au minimum à l avenir, ce qui aide les utilisateurs à comprendre ces écarts et les rassure quant au suivi effectué à cet égard. h) L entité utilise une variété d approches en matière de mesure, notamment lorsque les résultats présentés reflètent les effets combinés de plusieurs programmes ou la collaboration avec d autres entités. i) Lorsque les résultats reflètent les effets combinés de plusieurs programmes ou la collaboration avec d autres entités, l entité publiante décrit sa contribution à l obtention des résultats. Si des analyses périodiques fondées sur des études sont effectuées pour étayer l attribution des résultats, il est fait mention de ces analyses. j) Le niveau et l étendue de l information fournie sur la performance prévue et réelle sont raisonnables. Il ressort clairement de la présentation que l entité a tenu compte du fait que les utilisateurs ont besoin de renseignements sur les quelques aspects essentiels de la performance, mais aussi qu il existe d autres informations, rapports et documents sur la performance à l intention des personnes qui ont besoin de plus de détails Les explications fournies jettent peu ou pas de lumière sur les facteurs qui influencent la performance et les résultats, notamment lorsque les résultats présentés donnent à penser que certaines explications sont nécessaires (p. ex. lorsque l entité fait état d une réussite complète pour la totalité de ses mesures de performance). Le rapport ne fait pas clairement état des objectifs de performance non atteints. Soit l information pertinente a été omise, soit il faut lire attentivement le rapport pour la trouver. Il est difficile d identifier les objectifs non atteints parce qu en raison du mode de présentation de l information, la réussite s entend aussi de l atteinte partielle d une cible de performance. Le rapport ne contient pas systématiquement d explications sur les objectifs non atteints en matière de performance.

14 Le rapport présente-t-il de l'information comparative sur les tendances, des points et données de référence ou encore la performance d'organismes similaires? recommandée a été a) Le rapport contient une analyse des tendances; il présente au minimum les résultats réels de la période et ceux des deux périodes précédentes. b) L information présentée permet aux utilisateurs d évaluer les plans, d établir un lien entre les réalisations actuelles et les buts à long terme, et d évaluer la progression réalisée au fil du temps. c) Lorsque des comparaisons sont établies entre les résultats réels et les résultats d'organismes similaires ou des données de référence du secteur d'activité, le rapport comporte une description des mesures prises par l entité pour s assurer que l information sur la performance présentée à des fins de comparaison a été préparée de la même manière que sa propre information sur la performance. d) Lorsque cela est approprié, le rapport signale les différences importantes entre les mesures, les définitions et les circonstances touchant l exploitation (par exemple les facteurs environnementaux) susceptibles d influencer la perception que les utilisateurs ont de l information comparative présentée dans le rapport sur la performance. e) Les résultats réels sont présentés, au moins sur une base estimative, pour la totalité ou la plupart des mesures de performance lorsqu un résultat prévu a été établi L entité présente les résultats de la période seulement, sans fournir d information relative à la période précédente ou d information comparative provenant d entités similaires. Des cibles de performance ont été établies dans le plan annuel et/ou le plan stratégique, mais les résultats réels de la période ne sont pas présentés. Le rapport ne contient pas suffisamment d explications ou de détails contextuels pour permettre aux utilisateurs d évaluer la progression réalisée par l entité au fil du temps, ou de comprendre la mesure dans laquelle les résultats de la période contribuent à l atteinte des résultats. Des comparaisons avec des entités similaires ou des données de référence du secteur d activité sont fournies, mais elles n aident pas les utilisateurs à comprendre le contexte dans lequel s inscrit la performance de l entité.

15 Le rapport décrit-il les leçons importantes tirées et présente-t-il les facteurs clés qui influent sur la performance et sur les résultats? recommandée a été a) Le rapport décrit les implications des écarts significatifs entre les résultats prévus et les résultats réels. Si des évaluations ont donné lieu à l élaboration de plans pour améliorer la performance globale des différents programmes, ces plans sont résumés. b) Lorsque des mesures devront être prises pour éliminer l écart entre la performance réelle et la performance prévue de la période, le rapport en donne une description spécifique et établit un calendrier estimatif de mise en œuvre. c) Le rapport indique que des documents de planification ultérieurs traiteront des faiblesses spécifiques qui ont été relevées au cours de la période en matière de performance et de gestion. d) Le rapport comporte un résumé des principaux défis qui se sont posés à l entité en matière de performance et de gestion ainsi que de leur incidence sur la performance et les résultats. e) Lorsque des risques ont eu une incidence significative sur la performance, le rapport fait état des mesures qui se sont avérées nécessaires pour remédier à la situation et faire concorder la performance réelle avec les résultats prévus, et la progression est évaluée par rapport à ces mesures. f) Le rapport comprend une analyse des défis qui se sont posés indépendamment de la volonté seule de l entité ainsi que les mesures prises à leur égard, lorsque ces défis ont eu une incidence significative sur la performance. g) Le rapport décrit les défis qui se sont posés au cours de la période précédente et qui ont fait l objet de mesures, ainsi que toutes les autres mesures nécessaires pour remédier complètement à la situation. h) Le rapport décrit les aspects de la capacité qui ont eu une incidence essentielle sur l'obtention des résultats. i) Le rapport comporte une description du cadre régissant la conduite des affaires de l entité et, dans la mesure où ce cadre a eu une incidence sur la performance, fait ressortir les mesures prises pour renforcer les valeurs appropriées dans le cadre de la conduite quotidienne des affaires , , L analyse sur les risques consiste en une longue description des défis qui se sont posés qui renseigne peu les utilisateurs sur la nature des risques en cause et sur ce qu il faut faire pour remédier à la situation. Le rapport répète l information déjà communiquée dans les documents de planification de l entité (par exemple dans le plan stratégique ou le plan annuel) Aucune évaluation n est faite des progrès réalisés par l entité dans le traitement des risques, ou l évaluation faite se limite à des généralités qui n aident pas les utilisateurs à déterminer si les mesures prises à l égard de ces risques feront augmenter les chances d obtenir les résultats prévus. L analyse des risques ne permet pas d établir clairement un lien avec les résultats réels en matière de performance, ni de les expliquer.

16 L entité a-t-elle établi un lien entre son information financière et son information non financière sur la performance? recommandée a été a) Le rapport contient des commentaires descriptifs et des mesures de performance qui montrent que l entité comprend comment les ressources financières et non financières ont contribué à l obtention des résultats réels. b) Le rapport comprend une description des politiques, processus et systèmes utilisés pour aligner l information financière et l information non financière de l entité sur les buts et les stratégies clés de l entité. c) Des liens sont établis entre tous les coûts de l entité et les différentes mesures de performance, ce qui permet d analyser le niveau et le type de ressources nécessaires pour produire les extrants et (idéalement) les résultats. 69, , 73 Aucun lien n est établi entre les coûts de l entité et l information fournie dans le rapport au sujet de la performance. Le rapport ne décrit pas comment les ressources dépensées ont contribué à l'obtention des divers résultats. Les liens établis entre l information sur la performance et les coûts ne semblent pas concorder avec l information financière fournie ailleurs dans le rapport, notamment en ce qui a trait aux montants budgétés par rapport aux montants réels dépensés. L information sur la performance n est pas établie à partir de données sur le «coût complet». Le rapport ne contient aucune comparaison des écarts entre le coût à engager au titre des résultats prévus et le coût engagé au titre des résultats réels. Les données sur les coûts ne sont pas calculées de la même façon d une période à l autre.

17 Les règles ayant présidé à la préparation sont-elles indiquées? recommandée a été a) Le rapport contient une déclaration des membres de la direction et, s il y a lieu, de 75 l élu responsable, dans laquelle ces personnes reconnaissent leur responsabilité à l égard de la préparation et de l approbation de performance. Cette déclaration est signée par un responsable approprié. b) Le rapport contient de l information décrivant les mesures qui ont été prises pour 76 assurer la fiabilité de l'information sur la performance. c) Le rapport comporte une description de l entité publiante. 78 d) Le rapport indique dans quelle mesure les utilisateurs ont influé sur le choix des 78 éléments traités ou sur la sélection des mesures de performance. e) La description de l objet comporte une explication quant aux raisons 79 ayant motivé le choix des quelques aspects essentiels de la performance présentés dans le rapport. f) Le rapport renvoie à une autre source (p. ex. un site Web) ou à une annexe pour 80 fournir les définitions des mesures de performance, les descriptions des méthodes de calcul et les sources de données utilisées pour décrire les résultats de la période. g) Si les mesures de performance ou les résultats prévus ont changé depuis la période 81 précédente, l information présentée dans le rapport au sujet de la période précédente a été retraitée afin de permettre une comparaison appropriée. h) Le rapport décrit l engagement de l entité à l égard de l amélioration de la qualité de 82 son rapport public de performance et à l égard de la gestion en fonction de l atteinte des résultats, y compris les efforts déployés pour adapter sa culture, sa technologie, ses processus administratifs et ses ressources. Le rapport de performance n indique pas à qui ont incombé sa préparation et son approbation. Le rapport n inspire pas confiance quant à la question de savoir si l information sur la performance a été passée en revue de manière à en assurer la fiabilité. Le rapport ne présente pas les raisons ayant motivé le choix des quelques aspects essentiels de la performance, ou n indique pas comment les utilisateurs ont influé sur le choix des éléments traités ou sur la sélection des mesures de performance, le cas échéant. L information de la période précédente n as pas été retraitée de manière à refléter les pratiques de mesure et d information de la période considérée. L explication fournie au sujet de cette décision dans le rapport ne permet pas aux utilisateurs d évaluer la crédibilité de l information sur les tendances ou les écarts. L entité publiante n est pas décrite dans le rapport

CNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification

CNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Appel à commentaires Missions d examen préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Date limite de réception des commentaires : le 11 avril 2011 CNAC APPEL À COMMENTAIRES MISSIONS D EXAMEN

Plus en détail

Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative

Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Le 28 mars 2006 Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Nous sommes heureux d avoir l occasion de présenter nos commentaires

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

Appendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs

Appendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme

Plus en détail

Opérations entre apparentés

Opérations entre apparentés exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Opérations entre apparentés Septembre 2012 DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES COMMENTAIRES : LE 21 NOVEMBRE 2012

Plus en détail

d évaluation Objectifs Processus d élaboration

d évaluation Objectifs Processus d élaboration Présentation du Programme pancanadien d évaluation Le Programme pancanadien d évaluation (PPCE) représente le plus récent engagement du Conseil des ministres de l Éducation du Canada (CMEC) pour renseigner

Plus en détail

Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture

Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture Le présent document a été élaboré et approuvé par le Conseil des normes internationales

Plus en détail

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation

Plus en détail

Lignes directrices à l intention des praticiens

Lignes directrices à l intention des praticiens Janvier 2005 Lignes directrices à l intention des praticiens Visiter notre site Web : www.cga-pdnet.org/fr-ca Le praticien exerçant seul ou au sein d un petit cabinet et l indépendance Le Code des principes

Plus en détail

Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011

Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011 Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011 Texte adopté par la Commission du droit international à sa soixante-troisième session, en 2011, et soumis à l Assemblée générale dans le cadre de

Plus en détail

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements

Plus en détail

Questions sur le périmètre comptable du gouvernement

Questions sur le périmètre comptable du gouvernement Conseil sur la comptabilité dans le secteur public 20 Questions sur le périmètre comptable du gouvernement L Institut Canadien des Comptables Agréés Conseil sur la comptabilité dans le secteur public 20

Plus en détail

Exposé-sondage. Novembre 2014. Projet de prise de position conjointe

Exposé-sondage. Novembre 2014. Projet de prise de position conjointe Exposé-sondage Projet de prise de position conjointe Prise de position conjointe sur les communications avec les cabinets d avocats au sujet des réclamations en cours et des réclamations éventuelles lors

Plus en détail

Guide de travail pour l auto-évaluation:

Guide de travail pour l auto-évaluation: Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation

Plus en détail

EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS

EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS Ce document présente la procédure d évaluation des services centraux de l UNIL

Plus en détail

IFRS 11 : Coentreprises Passage de la méthode de la consolidation proportionnelle à la méthode de la mise en équivalence

IFRS 11 : Coentreprises Passage de la méthode de la consolidation proportionnelle à la méthode de la mise en équivalence IFRS 11 : Coentreprises Passage de la méthode de la consolidation proportionnelle à la méthode de la mise en équivalence Extrait, Groupe de discussion sur les IFRS Compte rendu de la réunion du 18 octobre

Plus en détail

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière IFRS 1 Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière Objectif 1 L objectif de la présente Norme est d assurer que les premiers

Plus en détail

Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés)

Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) INTRODUCTION Historique 1. Le 6 octobre 1989, le Conseil de l IRE a approuvé une recommandation de révision

Plus en détail

Norme internationale d information financière 5 Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées

Norme internationale d information financière 5 Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées Norme internationale d information financière 5 Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées Objectif 1 L objectif de la présente norme est de spécifier la comptabilisation d

Plus en détail

RECOMMANDATIONS COMMISSION

RECOMMANDATIONS COMMISSION L 120/20 Journal officiel de l Union européenne 7.5.2008 RECOMMANDATIONS COMMISSION RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 6 mai 2008 relative à l assurance qualité externe des contrôleurs légaux des comptes

Plus en détail

Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance

Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance Le présent document a été élaboré et approuvé par le

Plus en détail

Conversion des devises

Conversion des devises exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Conversion des devises Octobre 2009 date limite de réception des commentaires : le 15 JANVIER 2010 Le présent

Plus en détail

CIRCULAIRE N o 92 AUX BANQUES COMMERCIALES AUX BANQUES D'EPARGNE ET DE LOGEMENT

CIRCULAIRE N o 92 AUX BANQUES COMMERCIALES AUX BANQUES D'EPARGNE ET DE LOGEMENT Banque de la République d Haïti CIRCULAIRE N o 92 AUX BANQUES COMMERCIALES AUX BANQUES D'EPARGNE ET DE LOGEMENT Les banques doivent respecter les dispositions suivantes concernant la surveillance consolidée

Plus en détail

Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance

Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Le présent document précise encore davantage les données et la méthodologie utilisées par le BSIF pour calculer les marges pour

Plus en détail

Préambule. Claude Sicard Vice-président au partenariat et à l expertise-conseil 2 LE CADRE D INTERVENTION EN PRÉVENTION-INSPECTION

Préambule. Claude Sicard Vice-président au partenariat et à l expertise-conseil 2 LE CADRE D INTERVENTION EN PRÉVENTION-INSPECTION Préambule Le présent guide d application du cadre d intervention s adresse aux inspecteurs, aux chefs d équipe et aux directeurs en santé et sécurité en prévention-inspection de la CSST de même qu aux

Plus en détail

Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires

Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit

Plus en détail

FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS

FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS Financement d entreprise et fusions et acquisitions 27 FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS Le Canada est doté de marchés financiers bien développés et très évolués. Les principales sources

Plus en détail

Vérification des procédures en fin d exercice

Vérification des procédures en fin d exercice Vérification des procédures en fin d exercice DIVERSIFICATION DE L ÉCONOMIE DE L OUEST CANADA Direction générale de la vérification et de l évaluation Décembre 2011 Table des matières 1.0 Résumé 1 2.0

Plus en détail

LA COMPTABILITÉ DU SECTEUR PRIVÉ EN PLEINE TRANSITION

LA COMPTABILITÉ DU SECTEUR PRIVÉ EN PLEINE TRANSITION Incidences du passage aux IFRS sur la comptabilité du secteur public PAR JIM KEATES, DIRECTEUR DE PROJETS, CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC, L INSTITUT CANADIEN DES COMPTABLES AGRÉÉS

Plus en détail

Modèle Cobit www.ofppt.info

Modèle Cobit www.ofppt.info ROYAUME DU MAROC Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail Modèle Cobit DIRECTION RECHERCHE ET INGENIERIE DE FORMATION SECTEUR NTIC Sommaire 1. Introduction... 2 2. Chapitre

Plus en détail

Évaluation de Reading, de la lecture et des notions de calcul des élèves de 3 e année et évaluation de la lecture des élèves de 4 e année d immersion

Évaluation de Reading, de la lecture et des notions de calcul des élèves de 3 e année et évaluation de la lecture des élèves de 4 e année d immersion Évaluation de Reading, de la lecture et des notions de calcul des élèves de 3 e année et évaluation de la lecture des élèves de 4 e année d immersion française É VALUATION DE R EADING, DE LA LECTURE ET

Plus en détail

Enseignement au cycle primaire (première partie)

Enseignement au cycle primaire (première partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

Avis n 94-02 sur la méthodologie relative aux comptes combinés METHODOLOGIE RELATIVE AUX COMPTES COMBINES

Avis n 94-02 sur la méthodologie relative aux comptes combinés METHODOLOGIE RELATIVE AUX COMPTES COMBINES CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Avis n 94-02 sur la méthodologie relative aux comptes combinés Le Conseil national de la comptabilité réuni en formation de Section des entreprises le 28 octobre 1994,

Plus en détail

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur

Plus en détail

Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise

Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise La politique environnementale

Plus en détail

Document d information

Document d information Document d information Direction des finances municipales Janvier 2008 ISBN 978-2-550-51851-8 (PDF seulement) (3 e édition) ISBN 978-2-550-49637-3 (PDF seulement) (1 re édition) La consolidation des états

Plus en détail

ECVET GUIDE POUR LA MOBILITÉ

ECVET GUIDE POUR LA MOBILITÉ ECVET GUIDE POUR LA MOBILITÉ 2 GUIDE POUR LA MOBILITÉ ECVET «Le système européen de crédits d apprentissage pour l enseignement et la formation professionnels (ECVET) est un cadre technique pour le transfert,

Plus en détail

ASSOCIATION CANADIENNE DES PAIEMENTS CANADIAN PAYMENTS ASSOCIATION RÈGLE E2

ASSOCIATION CANADIENNE DES PAIEMENTS CANADIAN PAYMENTS ASSOCIATION RÈGLE E2 ASSOCIATION CANADIENNE DES PAIEMENTS CANADIAN PAYMENTS ASSOCIATION RÈGLE E2 ÉCHANGE D EFFETS DE PAIEMENT EN LIGNE ÉLECTRONIQUE AUX FINS DE LA COMPENSATION ET DU RÈGLEMENT 2013 ASSOCIATION CANADIENNE DES

Plus en détail

Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales d audit

Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales d audit IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales

Plus en détail

RAPPORT DE 2010 SUR L ATTRIBUTION DE BÉNÉFICES AUX ÉTABLISSEMENTS STABLES

RAPPORT DE 2010 SUR L ATTRIBUTION DE BÉNÉFICES AUX ÉTABLISSEMENTS STABLES ORGANISATION DE COOPÉRATION ET DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUES RAPPORT DE 2010 SUR L ATTRIBUTION DE BÉNÉFICES AUX ÉTABLISSEMENTS STABLES 22 juillet 2010 CENTRE DE POLITIQUE ET D ADMINISTRATION FISCALES AVANT-PROPOS

Plus en détail

ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1

ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1 ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1 Association des comptables généraux accrédités du Canada 100 4200 North Fraser Way Burnaby

Plus en détail

Objet : Commentaires relatifs à l exposé-sondage IES 6, Évaluation de la compétence professionnelle (Assessment of Professional Competence)

Objet : Commentaires relatifs à l exposé-sondage IES 6, Évaluation de la compétence professionnelle (Assessment of Professional Competence) Le 27 juillet 2011 Affiché sur le site Web : http://www.ifac.org/ Monsieur David McPeak Directeur technique Conseil des normes internationales de la formation comptable International Accounting Education

Plus en détail

Caisse du Régime de retraite des cadres de la Ville de Québec. États financiers 31 décembre 2007

Caisse du Régime de retraite des cadres de la Ville de Québec. États financiers 31 décembre 2007 Caisse du Régime de retraite des cadres de la Ville de Québec États financiers Le 26 mai 2008 PricewaterhouseCoopers LLP/s.r.l./s.e.n.c.r.l. Comptables agréés Place de la Cité, Tour Cominar 2640, boulevard

Plus en détail

En quoi le chapitre 1591 est-il important pour moi?

En quoi le chapitre 1591 est-il important pour moi? Alerte info financière NCECF MAI 2015 Chapitre 1591, «Filiales» En septembre 2014, le Conseil des normes comptables (CNC) a publié le chapitre 1591, «Filiales», de la Partie II (Normes comptables pour

Plus en détail

Rapport de certification

Rapport de certification Rapport de certification Memory Arrays avec Memory Gateways Version 5.5.2 Préparé par : Le Centre de la sécurité des télécommunications à titre d organisme de certification dans le cadre du Schéma canadien

Plus en détail

Bureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications

Bureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications Bureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications 2009-2010 Rapport sur les plans et les priorités L honorable Peter Gordon MacKay, C.P., député Ministre de la Défense nationale TABLE

Plus en détail

Petit guide pour choisir une solution CRM

Petit guide pour choisir une solution CRM Petit guide pour choisir une solution CRM Trouvez la solution qui vous convient» Nos clients sont plus performants. www.update.com Avant-propos Le CRM est en passe de devenir le principal logiciel de l

Plus en détail

un état de changement

un état de changement un état de changement Bulletin bimestriel à l intention des organismes sans but lucratif Février 2013 Dans ce numéro Nouvelles normes comptables pour les organismes sans but lucratif Introduction Les organismes

Plus en détail

Politique de gestion documentaire

Politique de gestion documentaire Politique de gestion documentaire Responsabilité de gestion : Secrétariat général Date d approbation : 24 avril 1979 C.A. C.E. Direction générale Direction Date d'entrée en vigueur : 24 avril 1995 Date

Plus en détail

Une gestion axée sur les résultats 1998

Une gestion axée sur les résultats 1998 Une gestion axée sur les résultats 1998 Une gestion axée sur les résultats 1998 POUR PLUS D INFORMATION Le présent document est le quatrième rapport d étape annuel déposé au Parlement sur la mise en œuvre

Plus en détail

Chapitre 7 Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting

Chapitre 7 Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting Ministère du Développement des ressources humaines / Andersen Consulting Contenu Contexte................................................................ 101 Examen du contrat........................................................

Plus en détail

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 L utilisation des indicateurs de performance ne peut se faire de manière pertinente

Plus en détail

CADRE DE TRAVAIL. Mai 2008. Autorité des marchés financiers - Mai 2008 Page 1

CADRE DE TRAVAIL. Mai 2008. Autorité des marchés financiers - Mai 2008 Page 1 CADRE DE TRAVAIL Principes à suivre pour les coopératives de services financiers adoptant une approche de notation interne pour le risque de crédit et / ou une approche standard ou de mesure avancée pour

Plus en détail

INFORMATION SUR LES ENJEUX SOCIAUX, ENVIRONNEMENTAUX ET ÉTHIQUES (SEE) DANS LES RAPPORTS FINANCIERS

INFORMATION SUR LES ENJEUX SOCIAUX, ENVIRONNEMENTAUX ET ÉTHIQUES (SEE) DANS LES RAPPORTS FINANCIERS INFORMATION SUR LES ENJEUX SOCIAUX, ENVIRONNEMENTAUX ET ÉTHIQUES (SEE) DANS LES RAPPORTS FINANCIERS Document de travail produit pour le Programme des marchés financiers et de la durabilité de la Table

Plus en détail

Note de mise en œuvre

Note de mise en œuvre Note de mise en œuvre Objet : appliquant l approche standard ou une AMA Catégorie : Fonds propres N o : A & A-1 Date : Mai 2006 I. Introduction L objectif de cette note de mise en œuvre est de présenter

Plus en détail

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description

Plus en détail

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette

Plus en détail

Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015

Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Mise à jour du Forum conjoint des autorités de réglementation du marché financier Réseau de conciliation

Plus en détail

CADRE CONCEPTUEL INTERNATIONAL POUR LES MISSIONS D ASSURANCE

CADRE CONCEPTUEL INTERNATIONAL POUR LES MISSIONS D ASSURANCE CADRE CONCEPTUEL INTERNATIONAL POUR LES MISSIONS D ASSURANCE This International Framework for Assurance Engagements, published by the International Auditing and Assurance Standards Board of the International

Plus en détail

Vers l amélioration continue

Vers l amélioration continue Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission

Plus en détail

Instructions et spécifications pour la transmission en format XML de déclarations par lots. 30 mai 2015 MODULE 1

Instructions et spécifications pour la transmission en format XML de déclarations par lots. 30 mai 2015 MODULE 1 Instructions et spécifications pour la transmission en format XML de déclarations par lots 30 mai 2015 MODULE 1 Table des matières Modifications apportées dans la présente... 3 1 Renseignements généraux...

Plus en détail

COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT

COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT Février 2015 Un comité du conseil d administration (le «conseil») du commandité (le «commandité») de Brookfield Renewable

Plus en détail

LOIS SUR LES INVESTISSEMENTS ÉTRANGERS

LOIS SUR LES INVESTISSEMENTS ÉTRANGERS Lois sur les investissements étrangers 13 LOIS SUR LES INVESTISSEMENTS ÉTRANGERS La Loi sur Investissement Canada (LIC) est la seule loi fédérale sur les investissements étrangers d application générale.

Plus en détail

Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions

Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions TABLE DES MATIERES... 1 INTRODUCTION... 2 1 FINANCEMENT ET FINANCEMENT MINIMUM... 3 1.1 FINANCEMENT... 3 1.2 FINANCEMENT DE PLAN... 3 1.3 FINANCEMENT MÉTHODE

Plus en détail

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens

Plus en détail

Mise à jour du Manuel de l ICCA

Mise à jour du Manuel de l ICCA Normes et règlements Montréal, le 30 mars 2004 Mise à jour du Manuel de l ICCA La collection Normes et recommandations de l'icca sur Internet a été mise à jour pour refléter les modifications apportées

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Charte Janvier 2013 La présente publication est disponible sur le site de la BRI (www.bis.org). Banque des Règlements Internationaux 2013. Tous droits réservés.

Plus en détail

FLEGT Note d Information

FLEGT Note d Information Série 20 Note FLEGT Note APPLICATION DES REGLEMENTATIONS FORESTIERES, GOUVERNANCE ET ECHANGES COMMERCIAUX Directives sur le Contrôle Indépendant INTRODUCTION Le Plan d action de l UE pour l application

Plus en détail

Codes des banques 9 septembre 2009

Codes des banques 9 septembre 2009 Codes des banques 9 septembre 2009 1/16 PREAMBULE Le Code des banques a été établi par l Association des banques néerlandaises (NVB) en réponse au rapport intitulé Naar herstel van vertrouwen (vers le

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final Il y a un astérisque quand des renseignements sensibles ont été enlevés aux termes de la Loi sur l'accès à l'information et de la Loi sur la protection des renseignements personnels. BUREAU DU CONSEIL

Plus en détail

Rapport de certification

Rapport de certification Rapport de certification Évaluation EAL 2 + du produit Data Loss Prevention Version 11.1.1 Préparé par : Le Centre de la sécurité des télécommunications Canada à titre d organisme de certification dans

Plus en détail

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES 3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES Considérant que la révision des comptes consolidés doit s exercer conformément aux normes générales de révision; que ses caractéristiques

Plus en détail

Norme ISA 330, Réponses de l auditeur à l évaluation des risques

Norme ISA 330, Réponses de l auditeur à l évaluation des risques IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 330, Réponses de l auditeur à l évaluation des risques Le présent document a été élaboré et approuvé par le Conseil

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 PROCÉDURES A METTRE EN ŒUVRE PAR L'AUDITEUR EN FONCTION DE SON ÉVALUATION DES RISQUES

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 PROCÉDURES A METTRE EN ŒUVRE PAR L'AUDITEUR EN FONCTION DE SON ÉVALUATION DES RISQUES NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 PROCÉDURES A METTRE EN ŒUVRE PAR L'AUDITEUR EN FONCTION DE SON ÉVALUATION DES RISQUES SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-3 Réponses globales... 4-6 Procédures d'audit

Plus en détail

Charte d audit du groupe Dexia

Charte d audit du groupe Dexia Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans

Plus en détail

Ligne directrice. Critères de prêts commerciaux. N o : E-2 Date : Juin 1992

Ligne directrice. Critères de prêts commerciaux. N o : E-2 Date : Juin 1992 Bureau du surintendant des Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255, rue Albert 255 Albert Street Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2 Ligne directrice Objet :

Plus en détail

L assurance de la qualité à votre service

L assurance de la qualité à votre service Atelier L assurance de la qualité à votre service Présentation de Jean-Marie Richard 24 et 25 novembre Sujets Qu est-ce que l assurance de la qualité? Initiation aux concepts de l assurance de la qualité.

Plus en détail

Impartition réussie du soutien d entrepôts de données

Impartition réussie du soutien d entrepôts de données La force de l engagement MD POINT DE VUE Impartition réussie du soutien d entrepôts de données Adopter une approche globale pour la gestion des TI, accroître la valeur commerciale et réduire le coût des

Plus en détail

Conception des projets de coopération technique de l AIEA à l aide de la méthodologie du cadre logique

Conception des projets de coopération technique de l AIEA à l aide de la méthodologie du cadre logique Conception des projets de coopération technique de l AIEA à l aide de la méthodologie du cadre logique Guide pratique www.iaea.org/technicalcooperation Table des matières 1. INTRODUCTION... 1 2. PROGRAMME

Plus en détail

Assemblée des États Parties

Assemblée des États Parties Cour pénale internationale Assemblée des États Parties Distr. : générale 29 octobre 2013 ICC-ASP/12/47 FRANÇAIS Original : anglais Douzième session The Hague, 20-28 novembre 2013 Rapport de la Commission

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

Normes Mauritaniennes de l Action contre les Mines (NMAM) Inclus les amendements Janvier 2014

Normes Mauritaniennes de l Action contre les Mines (NMAM) Inclus les amendements Janvier 2014 NMAM 11.10 Normes Mauritaniennes de l Action contre les Mines (NMAM) Inclus les amendements Gestion de l information et rédaction de rapports en Mauritanie Coordinateur Programme National de Déminage Humanitaire

Plus en détail

Compte rendu des délibérations, y compris les motifs de décision

Compte rendu des délibérations, y compris les motifs de décision Compte rendu des délibérations, y compris les motifs de décision relativement à Demandeur Ontario Power Generation Inc. Objet Lignes directrices pour l évaluation environnementale (portée du projet et

Plus en détail

III.2 Rapport du Président du Conseil

III.2 Rapport du Président du Conseil III.2 Rapport du Président du Conseil de Surveillance sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques Rapport du directoire rapports du conseil de surveillance 2012 1 Obligations légales

Plus en détail

Entente administrative sur la certification de produits conclue entre. la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC)

Entente administrative sur la certification de produits conclue entre. la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC) Entente administrative sur la certification de produits conclue entre la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC) et l Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) (ci-après

Plus en détail

L AUTO-ÉVALUATION HAP : KIT METHODOLOGIQUE PARTIE 2 : OUTILS D AUTO-ÉVALUATION

L AUTO-ÉVALUATION HAP : KIT METHODOLOGIQUE PARTIE 2 : OUTILS D AUTO-ÉVALUATION L AUTO-ÉVALUATION HAP : KIT METHODOLOGIQUE PARTIE 2 : OUTILS D AUTO-ÉVALUATION À L USAGE DES ORGANISATIONS HUMANITAIRES ET DE DEVELOPPEMENT REALISANT UNE AUTO-EVALUATION SUR LA BASE DE LA NORME HAP 2010

Plus en détail

Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits

Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Les répercussions pour le secteur des logiciels et des services infonuagiques Novembre 2014 L International Accounting Standards Board (IASB)

Plus en détail

Énoncé de principes. AcSB/PSAB. Amélioration des normes pour les organismes sans but lucratif

Énoncé de principes. AcSB/PSAB. Amélioration des normes pour les organismes sans but lucratif Énoncé de principes Amélioration des normes pour les organismes sans but lucratif (Applicable aux organismes sans but lucratif [OSBL] des secteurs privé et public qui utilisent les normes pour les OSBL

Plus en détail

Guide No.2 de la Recommandation Rec (2009).. du Comité des Ministres aux États membres sur la démocratie électronique

Guide No.2 de la Recommandation Rec (2009).. du Comité des Ministres aux États membres sur la démocratie électronique DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES POLITIQUES DIRECTION DES INSTITUTIONS DEMOCRATIQUES Projet «BONNE GOUVERNANCE DANS LA SOCIETE DE L INFORMATION» CAHDE (2009) 2F Strasbourg, 20 janvier 2009 Guide No.2 de

Plus en détail

Crédit : Comment vous êtes coté

Crédit : Comment vous êtes coté Crédit : Comment vous êtes coté Comprendre et gérer votre situation à l égard du crédit à titre de consommateur et d entreprise D-IN0440F-0201 Introduction Nous vivons dans un monde en évolution constante

Plus en détail

IMPUTATION DES BÉNÉFICES À UN ÉTABLISSEMENT STABLE EFFECTUANT DES TRANSACTIONS COMMERCIALES PAR VOIE ÉLECTRONIQUE

IMPUTATION DES BÉNÉFICES À UN ÉTABLISSEMENT STABLE EFFECTUANT DES TRANSACTIONS COMMERCIALES PAR VOIE ÉLECTRONIQUE COMMERCE ELECTRONIQUE ET IMPOTS @ OCDE IMPUTATION DES BÉNÉFICES À UN ÉTABLISSEMENT STABLE EFFECTUANT DES TRANSACTIONS COMMERCIALES PAR VOIE ÉLECTRONIQUE UN DOCUMENT DE TRAVAIL DU GROUPE TECHNIQUE CONSULTATIF

Plus en détail

APERÇU DES OBLIGATIONS

APERÇU DES OBLIGATIONS Avis sur les règles Note d orientation Règles des courtiers membres Destinataires à l'interne : Affaires juridiques et conformité Détail Formation Haute direction Institutions Vérification interne Personne-ressource

Plus en détail

L ANALYSE COUT-EFFICACITE

L ANALYSE COUT-EFFICACITE L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue

Plus en détail

EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION

EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION I. COMPOSITION ET FONCTIONNEMENT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION 1. Le Comité de la vérification (le «comité»)

Plus en détail

Rapport de certification

Rapport de certification Rapport de certification Évaluation EAL 2 + du produit EMC RecoverPoint version 3.4 Préparé par : Le Centre de la sécurité des télécommunications Canada à titre d organisme de certification dans le cadre

Plus en détail

Mémoire présenté par le

Mémoire présenté par le L harmonisation de l Énoncé de politique des trois Conseils : Éthique de la recherche avec des êtres humains (EPTC) et des Bonnes Practices Cliniques de l ICH : Conflit ou éclaircissements? Mémoire présenté

Plus en détail

Le Conseil canadien des consultants en immigration du Canada États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011

Le Conseil canadien des consultants en immigration du Canada États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011 Le Conseil canadien des consultants États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011 Contenu Rapport d un vérificateur indépendant 2 États financiers Bilan 3 État

Plus en détail