TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES

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1 TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SOMMAIRE LE MARCHÉ DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES... 2 LA RÉGLEMENTATION DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES... 5 L'ACTIVITÉ DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES... 8 LES POINTS DE VIGILANCE DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES EN SAVOIR PLUS SUR CE SECTEUR

2 LE MARCHÉ DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES Après une nette reprise d activité ces dernières années, le secteur du transport routier de marchandises est confronté aux difficultés engendrées par la conjoncture économique. Bien que son chiffre d affaires progresse régulièrement en valeur grâce à un effet prix positif, le secteur connaît une importante baisse de son activité en volume. Par ailleurs, les pressions concurrentielles se font davantage sentir. Les entreprises françaises sont de plus en plus concurrencées par les entreprises étrangères non ressortissantes de l Union Européenne (ou circulant sous un pavillon hors UE) réalisant du cabotage. Ainsi la situation des professionnels du secteur varie selon la taille de l entreprise : alors que les grandes entreprises ont plus de facilités à développer des services connexes à plus haute valeur ajoutée, les petites entreprises du secteur sont plus sensibles à la hausse de leurs coûts de revient (hausse du prix du gasoil conjuguée à la hausse du coût de la main d œuvre liée aux nouvelles réglementations). Ainsi, bien qu elles restent majoritaires dans le secteur, les petites entreprises, contraintes à limiter les revalorisations tarifaires dans un contexte concurrentiel exacerbé par la libéralisation du marché depuis le 1er janvier 1998, doivent faire face à l érosion de leurs marges, ce qui entraîne la disparition des plus fragiles. Pour subsister, sans déroger à la législation sociale et à la réglementation et malgré de très faibles marges en constante diminution, les professionnels tendent donc à se rapprocher ; ce qui affecte la structure du secteur traditionnellement très atomisé. Pour préserver leurs parts de marché, les acteurs du secteur sont contraints de développer des services à forte valeur ajoutée : offres combinées de transport et de logistique, messagerie, transport léger en courte distance, benne 2

3 Tendances La poursuite de la baisse des volumes transportés conjuguée à la limitation des revalorisations tarifaires (hausse contenue du prix du gazole, accroissement des pressions concurrentielles, supériorité de l offre comparée à la demande ) pénalisera l activité du secteur. Les petites entreprises seront une fois encore les plus touchées tandis que les leaders du secteurs poursuivront le développement d activités à forte valeur ajoutée : la concentration du secteur s en trouvera accentuée. L organisation du marché Selon la couverture territoriale : - Les entreprises de zone courte, ou de proximité, effectuent des transports de marchandises lors de déplacements sur des distances inférieures à 150 kms. - Les entreprises de zone longue, ou interurbain, travaillent sur de longues distances (supérieures à 150 kilomètres), y compris à l international qui représente en moyenne 60% de leur activité. Selon le mode de fonctionnement : - Les entreprises pour compte d autrui sont indépendantes des donneurs d ordres. L externalisation croissance de la prestation de transport explique l essor de ce mode de fonctionnement. - Les entreprises pour compte propre sont des filiales ou sont intégrées à un donneur d ordre. 3

4 ZONE LONGUE (ZL) ZONE COURTE (ZC) NOMBRE D'ENTREPRISES DU SECTEUR (1) (1) CHIFFRE D'AFFAIRES DU SECTEUR (en milliards d'euros) ,991 Md (2) ÉVOLUTION DU CHIFFRE D'AFFAIRES DU SECTEUR EN VALEUR (indice ICA base 100 en 2005) ,1 (3) 123,0 120,9 112,6 106,8 120,1 (1) Source : INSEE, démographie des entreprises et des établissements champs marchand non agricole, Stocks d'entreprise au 1er janvier (2) Source : INSEE, ESANE. (3) Source : "Transports routiers de fret interurbains" - INSEE, Bulletin statistique. 4

5 LA RÉGLEMENTATION DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES Les aptitudes professionnelles Le professionnel doit être très méthodique et organisé. Son sérieux et son sens commercial contribueront rapidement à sa bonne réputation. S il effectue luimême des transports, le chef d entreprise doit savoir déléguer la gestion administrative et commerciale, en général à son épouse. La pratique de langues étrangères est un plus, particulièrement appréciée par la clientèle étrangère. L environnement réglementaire Les contraintes à l installation L inscription au registre du commerce et des sociétés ainsi qu au registre des transporteurs et des loueurs est obligatoire, sauf pour les entreprises transportant uniquement pour leur compte propre. Le professionnel doit remplir trois conditions pour obtenir sa licence (licence communautaire ou licence de transport intérieur) : - La capacité financière : Pour les véhicules dont le poids maximal autorisé n excède pas 3,5 T, la garantie financière est fixée à pour le premier véhicule et 900 pour les suivants. Pour les véhicules dont le poids maximal autorisé est supérieur à 3,5 T, la garantie financière est fixée à pour le premier véhicule et pour les suivants. - La capacité professionnelle : Pour les entreprises utilisant des véhicules de plus de 3,5 tonnes, elle s obtient par un examen annuel ad hoc délivré par le préfet de région ou par équivalence de diplôme (niveau bac pro transport spécialisé) ou encore par équivalence professionnelle (5 ans comme cadre d une entreprise de transport). Pour les entreprises n utilisant que des véhicules de moins de 3,5 tonnes, le professionnel doit uniquement obtenir un justificatif de capacité (obtenu soit sur présentation d un diplôme de type bac pro en transport soit suite à un stage). 5

6 - L honorabilité : le bulletin n 2 du casier judiciaire doit être vierge. Les principaux points de la réglementation professionnelle La profession est très réglementée. La profession est extrêmement réglementée. Les prix sont libres depuis la suppression du tarif routier obligatoire, en 1993, qui garantissait des prix minima imposés. Les temps et les périodes de conduite sont réglementés : un conducteur ne peut pas parcourir plus de 450 Kms par jour. Au delà, il faut deux conducteurs. Le règlement européen 38/21 rend obligatoire l équipement de tous les véhicules d un chronotachygraphe qui mesure la vitesse. Le décret du fixe la durée hebdomadaire de service à 43 heures pour les grands routiers et 39 heures pour les autres personnels roulants effectuant de courtes distances et dont le contingent annuel d heures supplémentaires est plafonné à 180 heures. De nombreuses ordonnances sur l aménagement du temps de travail (la durée hebdomadaire de travail pouvant être calculée sur une durée supérieure à la semaine) ont été ratifiées afin de permettre aux entreprises une plus grande flexibilité. Cependant, depuis octobre 2006, les salariés bénéficient du décompte de leurs heures supplémentaires à la semaine ou au mois avec un maximum de 48 heures hebdomadaires en moyenne. La loi de modernisation de l économie (LME) du 4 août 2008 ( ) a débouché sur des mesures portant sur les délais de paiement aux fournisseurs : la LME plafonne les délais de paiement à 60 jours à compter de la date d émission de la facture (ou 45 jours fin de mois). 6

7 Statut juridique et fiscal Rendez-vous dans notre rubrique Les guides pratiques / Mes impôts & taxes pour connaître le taux de TVA qui s applique à votre activité ainsi que le mode d imposition de vos bénéfices. Rendez-vous dans notre rubrique Les guides pratiques / Mon régime social pour connaître le montant des cotisations et des prestations de votre régime social obligatoire. 7

8 L'ACTIVITÉ DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES L installation Malgré le durcissement des conditions d accès à la profession, les créations restent de loin le mode d installation le plus répandu. Beaucoup d anciens salariés achètent leur propre camion pour se mettre à leur compte. Ils peuvent ensuite s associer avec un autre indépendant ou travailler en réseau avec d autres entreprises. Le créateur doit disposer d un bureau administratif, d un emplacement pour le stationnement du véhicule et d entrepôts. Les locaux sont en grande partie situés en périphérie des villes, près des grands axes routiers. Il débute souvent avec des contrats de sous-traitance. Les investissements L achat du tracteur et du semi-remorque, matériel indispensable à l activité, constitue l investissement le plus lourd. Il existe toutefois un important marché de l occasion, qui permet de réduire considérablement le montant de ces investissements. La gestion Le suivi au quotidien Le professionnel raisonne économiquement à partir de son prix de revient au kilomètre, ce montant devant couvrir les coûts directs (gasoil, péages, frais de route ) et les frais généraux. En fonction de ce prix, il peut établir sa grille de tarif (coût de la taxe transportée au km) et vérifier la rentabilité de ses contrats de transport. Pour les plus grosses entreprises, le professionnel suit également le chiffre d affaires réalisé par camion. 8

9 Les recettes de l activité La facturation est basée sur la distance de transport, le poids et le volume de la marchandise ainsi que sa nature (solide, liquide, matières dangereuses ). Certains services annexes (entreposage, distribution avec prise en charge de la facturation ) peuvent également être facturés. Les charges à surveiller Les charges les plus élevées sont les frais kilométriques directs, en tête desquels se trouve le carburant (près d un quart du prix de revient) ainsi que les frais de personnel (34,4% des charges). A ces deux postes importants (qui représentent plus de la moitié du prix de revient), il convient de noter le poids non négligeable des coût des véhicules (détention et entretien principalement) et le poids des frais d assurance (2,3% des charges), poste particulièrement important dans cette profession. Ainsi, les frais fixes représentent environ 25% du prix de revient annuel. La maîtrise du résultat Le résultat dépend de la capacité à limiter au maximum la non utilisation des véhicules tout en ayant une politique de tarifs assurant une rentabilité correcte. Dans un contexte d extrême concurrence, la course au chiffre d affaires est à la fois une nécessité et un facteur de non rentabilité. La rentabilité peut être améliorée grâce à la vente de services annexes à plus forte valeur ajoutée, comme la gestion de la logistique (optimisation de la gestion des stocks), l entreposage, la facturation des livraisons. Toutefois, ces activités nécessitent des investissements que seules les grandes entreprises peuvent réaliser. 9

10 La gestion financière et les besoins en trésorerie Les fonds propres doivent représenter au minimum 30% des capitaux permanents. Le besoin en fonds de roulement est important, ce d autant plus que les délais fournisseurs inférieurs aux délais clients grèvent une partie des liquidités des transporteurs. TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES EVOLUTION DU NOMBRE DE CRÉATION (1) LES RATIOS DE GESTION CLEFS Chiffre d'affaires moyen Marge brute Excédent brut d'exploitation Rotation des stocks Crédit clients Crédits fournisseurs Besoin en fonds de roulement 303 K (2) 94,60 % du CA 18,82 % du CA 7 jours de CA 68 jours de CA 43 jours de CA 44 jours de CA (1) Source : Insee, Démographie des entreprises et des établissements - champ marchand non agricole, Créations d entreprises. 10

11 (2) Source : Moyenne indicative élaborée à partir de données Insee "Données du compte de résultat et bilan pour les personnes physiques", 2009 & Données exprimées en % et jours de chiffre d'affaires. 11

12 LES POINTS DE VIGILANCE DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES Les principales difficultés du métier Le secteur du transport routier est très sensible aux fluctuations conjoncturelles. En période de ralentissement de la croissance, les pressions concurrentielles se renforcent, affectant les marges de la profession dont le taux d endettement s accroît. Les transporteurs routiers doivent s appuyer sur une structure financière saine pour résister aux variations conjoncturelles. Les poids des investissements : Les investissements de départ et de renouvellement sont très lourds. Les professionnels doivent donc veiller à intégrer leurs investissements dans une stratégie globale de développement répondant à des débouchés réels. La diminution des marges : Les pressions concurrentielles conjuguées à la hausse des coûts de revient (hausse du gasoil, hausse des charges de personnel) et à l importance de la fiscalité auxquelles sont soumis les professionnels (les taxes, TIPP et péages, représentent 9% du chiffre d affaires) entraînent une diminution conséquente du niveau de marge des professionnels. La concurrence exacerbée du secteur nuit aux indépendants qui disposent de marges de manoeuvre moins aisées que leurs homologues leaders en matière tarifaire, d où une répercussion modérée des hausses des coûts sur leurs tarifs (celle-ci ne permettant pas de compenser la réduction de leurs marges). Ainsi, les défaillances d entreprises du secteur se multiplient. 12

13 La qualité de la gestion : Une gestion défaillante (facturation, suivi des règlements, gestion du personnel et des plannings, entretien des véhicules, normes de sécurité ) entraîne automatiquement d importantes difficultés. Dans ce contexte, les professionnels qui réussissent le mieux font preuve de dynamisme commercial, de prudence dans leur stratégie de développement et d une grande rigueur de gestion. Il est important notamment de stabiliser l entreprise après chaque phase de croissance (nouvelle concession, nouveau véhicule, embauche de personnel ) en évitant de précipiter les étapes. 13

14 TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES EVOLUTION DU NOMBRE DE DÉFAILLANCE (1) Nc Nc Nc TAUX DE SURVIE AU- DELÀ DES 5 PREMIÈRES ANNÉES Transport routier de voyageur Transport Moyenne tous secteurs 77,5 % (2) 62,3 % 51,9 % (1) Source : Insee, Défaillances d entreprises. (2) Source : Insee, Taux de Survie à 5 ans pour la génération

15 EN SAVOIR PLUS SUR CE SECTEUR Les principales organisations professionnelles FNTR Fédération Nationale des Transports Routiers 6 rue Ampère Paris Tel : CNT Conseil National des Transports 34 avenue Marceau Paris

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