Seychelles Profil pays EPT 2014

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1 Seychelles Profil pays EPT 4 Contexte général Composées d une douzaine d îles dans l Océan Indien, les Seychelles sont peuplées d environ 9 habitants en et présentent un PIB/habitant de 399$US pour cette même année. En, la population en âge de fréquenter le primaire représente 5,9% de la population totale, ce qui constitue une contrainte largement moindre que celle supportée par bon nombre de pays africains (la valeur moyenne en Afrique sub-saharienne est de 6,%). Les Seychelles présentent un indice de développement humain élevé qui les place au 46 ème rang mondial (sur 87) et largement en tête des pays africains. Contexte macroéconomique et démographique () PIB par habitant ($ E.U.),399 Population totale () 9 % de la population en âge de fréquenter le primaire 5.9 % des enfants d'âge du primaire non scolarisés 6. Prévalence VIH&SIDA (5-49 ans) ND IDH (classement) 46/87 Principaux indicateurs de l EPT ou année la plus récente. L indice africain de développement EPT pour est de 9, ce qui signifie que les Seychelles ont atteint, ou sont très proches, des objectifs de l EPT qui entrent dans le calcul de cet indice. S il n existe pas de données disponibles sur le taux d achèvement du primaire aux Seychelles après 8, on sait i) qu en l objectif d une scolarisation primaire universelle (objectif ) était déjà atteint (taux d achèvement du primaire de 3% en ) et ii) que l accès au nd cycle du secondaire était lui-même déjà quasi universel et qu il l est devenu totalement en 8. Ceci signifie assurément que le les Seychelles ont atteint la scolarisation primaire universelle depuis déjà plusieurs années. De fait, la parité filles/garçons au Indice africain de développement EPT primaire est également atteinte (objectif 5) dans le (IAD/EPT) primaire, et la proportion de personnes alphabétisées de quinze ans et plus (objectif 4) est de 9,8% Seych. (9) ASS (57) Max ASS (9) Le TBS du préscolaire (objectif ) est de 9 %. Concernant spécifiquement l objectif 3 sur les compétences des jeunes et des adultes, rien ne permet ici de le quantifier. Min ASS (8)

2 Objectif Développement de la petite enfance. Taux Brut de Scolarisation du préscolaire 9 Objectif Enseignement primaire universelle. Taux d achèvement du primaire 67 Objectif 3 Compétences nécessaires dans la vie courante chez les jeunes et les adultes. Taux d achèvement du secondaire premier cycle Objectif 4 Alphabétisation des adultes. Taux d alphabétisation des adultes 94 9 Objectif 5 Équité entre les genres dans l enseignement primaire Indice de parité de sexe au primaire (7) (83) (4) 8 (7) (9) Objectif 6 Qualité de l éducation Proportion d élèves de 6ème année du primaire ayant le niveau minimal requis* à l évaluation SACMEQ Lecture Mathématiques Légende Objectif à 5 Objectif 6 Seychelles (Valeur de ou proche entre parenthèses) Moyenne Afrique Subsaharienne Fourchette de valeurs ASS (min/max) Seychelles Moyenne Pays SACMEQ (-7) Fourchette de valeurs (min/max) Pays SACMEQ (-7) Note : * Au moins Niveau IV (En lecture = Sait lire et est capable de faire le lien entre des informations situées dans différentes parties du texte et les interpréter ; en maths = Est capable de traduire l'information verbale et/ou graphique des problèmes arithmétiques simples. Est capable de se servir correctement de différentes opérations arithmétiques) Scolarisation : pyramide éducative ou année la plus récente. Si la scolarisation est universelle dans le primaire et le premier cycle du secondaire, elle est en passe de l être prochainement au nd cycle du secondaire, qu achevaient en 8 86% d une classe d âge. Enfin, on note que la couverture de l enseignement supérieur local est de 4 étudiants pour habitants ce qui apparait faible au regard de la couverture de la moyenne d Afrique subsaharienne (63 étudiants pour habitants). Cette statistique ne donne qu une faible idée de la scolarisation à ce niveau d études dans le pays dans la mesure où un grand nombre de diplômés de l enseignement secondaire partent étudier à l étranger.

3 Qualité des apprentissages ou année la plus récente. En ce qui concerne la qualité des apprentissages (objectif 6), les Seychelles ont participé par deux fois aux évaluations des acquis du SACMEQ (SACMEQ II en / et SACQMEC III en 7). En 6 ème année du primaire, en lecture, le pays se classait premier au SACQMEC II (sur 3 pays) et second au SACMEQ III (sur 4 pays) avec respectivement des scores moyens de 58 (moyenne de 5) et de 575 (moyenne de 5). En mathématiques, le pays se classait troisième au SACMEQ II avec un score moyen de 554 et quatrième au SACMEQ III avec un score moyen de 55. Le pays se positionne donc nettement dans le peloton de tête des pays ayant les meilleurs scores moyens aux évaluations des acquis des élèves de 6 ème année du primaire dans le cadre des évaluations SACMEQ. Lorsqu on examine la proportion d élèves de 6 ème année d études aux Seychelles qui savent lire et sont capables de faire le lien entre des informations situées dans différentes parties d un texte et les interpréter (Niveau IV de lecture), celle-ci s élève à 8% pour le SACMEQ II et 78% pour le SACMEQ III, bien au-dessus d un bon nombre de pays comparateurs

4 et de la moyenne des pays considérés (moyenne de 56% pour le SACMEQ II et de 63% pour le SACMEQ III). Pour les mathématiques, on dispose de la proportion des élèves de 6ème année d études qui ont au moins atteint le Niveau IV à l évaluation du SACMEQ III en 7 (être capable de traduire l'information verbale et/ou le graphique de problèmes arithmétiques simples, et être capable de se servir correctement de différentes opérations arithmétiques). Celle-ci s élève à 58 % bien au-dessus de la moyenne des 4 pays considérés (38 %). Toutefois, des pays comme Maurice et le Kenya présentent des proportions plus importantes d élèves ayant atteint ce niveau (respectivement 73,% et 6,6%) ce qui signifie que les Seychelles peuvent encore progresser dans cette direction. A travers ces différents résultats on constate que la qualité de l éducation aux Seychelles est bonne et souvent meilleure que celle de pays de la sous-région ayant participé aux mêmes évaluations. Financement de l éducation ou année la plus récente. Minimum Afrique Subsaharienne Seychelles Moyenne Afrique Subsaharienne Maximum Afrique subsaharienne Mobilisation des ressources, Répartition du budget courant de l éducation, Ressources propres en % du PIB % % (yc EFTP) % Dep. Courantes de l'ed. dans les dep. Courantes de l'etat % Supérieur % Autres niveaux Les ressources propres du pays représentent 36% du PIB, ce qui est bien au-dessus de la moyenne constatée pour l Afrique sub-saharienne (%). En revanche la part des dépenses courantes de l État allouée à l éducation représente 4% et se situe en-dessous de la moyenne des pays d Afrique sub-saharienne (%). Ce dernier élément n est pas dommageable à la politique éducative locale dans la mesure où il est largement compensé par le niveau très élevé des ressources propres de l État. Dans l allocation intra sectorielle des dépenses courantes d éducation, l enseignement primaire bénéficie de 7%, l enseignement secondaire de 8%, l enseignement supérieur de 36% et les autres niveaux de %. On voit que l enseignement supérieur bénéficie de la plus grosse part, ce qui peut s expliquer (comme pour Sao Tomé-et-Principe d ailleurs) par le fait que la majorité des individus atteignant l enseignement supérieur vont étudier à l étranger avec des aides sociales de l État. En effet, il ne serait pas rentable pour un pays de 9 habitants d investir dans une offre locale conséquente et diversifiée d enseignement supérieur.

5 Paramètres de la politique éducative ou année la plus récente. Minimum Afrique Subsaharienne Seychelles Ratio élève maître dans le public, Moyenne Afrique Subsaharienne Maximum Afrique subsaharienne Salaire moyen enseignant du public en PIB/hab Part des dépenses hors salaire enseignants (%) Pourcentage de redoublants Pourcentage du privé dans les effectifs, Coût public par élève en % du PIB par habitant (Dép. courantes), (yc EFTP) EFTP Supérieur

6 Si on se réfère aux principaux éléments de politique éducative, on se rend compte que les coûts unitaires publics de scolarisation sont disponibles pour l enseignement primaire (9% du PIB/habitant) et pour l enseignement secondaire (7% du PIB/habitant). La faiblesse du coût unitaire de l enseignement secondaire est surprenante à double titre : i) il est inférieur à celui de l enseignement primaire ce qui est extrêmement rare étant donné l organisation scolaire très différente qui existe en général entre le primaire et le secondaire, ii) il est 3 fois moindre que la moyenne des pays d Afrique sub-saharienne ( % du PIB/habitant). Concernant celui de l enseignement primaire, ce coût unitaire faible est également surprenant dans la mesure où le ratio élèves-maître est lui-même très faible (3:). Il est alors très probable que pour les deux niveaux, ces résultats renvoient à un coût salarial enseignant en termes d unité PIB/habitant particulièrement faible (nous ne disposons pas des données vérifiant cette hypothèse). Enfin, on constate que l offre d enseignement privé est plus faible que dans la moyenne des pays d Afrique sub-saharienne puisque au primaire seulement 9% des effectifs y sont scolarisés (contre 4% en Afrique sub-saharienne), 8% des effectifs au er cycle comme au nd cycle du secondaire (contre respectivement % et 8% en Afrique sub-saharienne).

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