Djibouti Profil pays EPT 2014
|
|
- Judith Larocque
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Djibouti Profil pays EPT 4 Contexte général D une superficie d'environ 3 km², la République de Djibouti entoure le golfe de Tadjoura sur une profondeur d'à peu près 9 km, dans la corne de l Afrique. En, sa population est estimée à 79 habitants, dont les 4/5 sont concentrées dans la capitale, Djibouti. Les données démographiques suggèrent que le pays est dans une situation de transition démographique avancée, voire de post-transition démographique, avec une part de plus en plus réduite de la population scolarisable au primaire : % en contre 6% en (9% en si on considère la nouvelle structure d études pour le primaire de cinq années au lieu de six). Le PIB réel est en croissance forte de 4% par an depuis, avec une accélération sur les six dernières années (5% par an en moyenne). Le PIB par habitant est en de 857 $US ce qui place le pays dans le groupe des pays à revenu intermédiaire (tranche inférieure). La prévalence du VIH&SIDA est de,4 %, inférieure à celle observée en moyenne en Afrique sub-saharienne (5,3 %). En termes de développement humain (IDH) Djibouti est classé 64 ème sur 87 pays en. Contexte macroéconomique et démographique () PIB par habitant ($ E.U.),857 Population totale () 79 % de la population en âge de fréquenter le primaire 8.8 % des enfants d'âge du primaire non scolarisés.4 Prévalence VIH&SIDA (5-49 ans).4% IDH (classement) 64/87 Principaux indicateurs de l EPT ou année la plus récente. Seulement deux des trois indicateurs nécessaires pour calculer l indice africain de développement de l EPT sont disponibles pour Djibouti. Il s agit du taux d accès en dernière année du primaire (objectif ) et de l indice de parité du taux brut de scolarisation (objectif 5). Ces deux indicateurs ont connu une nette amélioration au cours de la période -. Le taux d achèvement du primaire est passé de 3% à 83% sur la période et l indice de parité de 73% à 9%. Au niveau de l objectif, on peut noter que le taux brut de scolarisation du préscolaire est encore faible en (6,6%) mais qu il a été multiplié par plus de sur la période (,6% en ). Le niveau atteint aujourd hui est toutefois très inférieur à celui constaté en moyenne en Afrique subsaharienne (%). Concernant l objectif 3 sur le besoin éducatif des jeunes et des adultes, les données ne sont pas disponibles à proprement parler. Mais le taux d achèvement du secondaire (premier cycle) a fortement progressé, de % en à 55 % en, un niveau clairement supérieur à la moyenne des pays de l Afrique sub-saharienne (35 %).
2 Objectif Développement de la petite enfance. Taux Brut de Scolarisation du préscolaire Objectif Enseignement primaire universelle. Taux d achèvement du primaire Objectif 3 Compétences nécessaires dans la vie courante chez les jeunes et les adultes. Taux d achèvement du secondaire premier cycle Objectif 4 Alphabétisation des adultes. Taux d alphabétisation des adultes 94 Objectif 5 Équité entre les genres dans l enseignement primaire Indice de parité de sexe au primaire () (3) 8 () (73) Objectif 6 Qualité de l éducation Légende Qualité éducative Objectif à 5 Djibouti (Valeur de ou proche entre parenthèses) Moyenne Afrique Subsaharienne Fourchette de valeurs ASS (min/max) Scolarisation : pyramide éducative ou année la plus récente. Au niveau de l enseignement primaire l accès s est amélioré. Le taux brut d accès est passé de 45% à 99% sur la période ce qui indique qu au moins l accès est pratiquement universel à Djibouti. Le niveau de rétention en cours de cycle a légèrement baissé en passant de 69% à 65%. La transition vers le er cycle du secondaire a, elle aussi, baissé sur la période, de 74% en à 67% en. L accès au secondaire n est pas encore généralisé, mais des progrès ont été observés sur la période. Le taux d accès au er cycle est passé de 3% à 56%. Il en est de même pour l achèvement de ce cycle, qui a plus que doublé, passant de % à 55%. Enfin, la couverture de l enseignement supérieur a été également améliorée, le ratio d étudiants pour cent mille habitants est passé de quelques dizaines au début des années à 653 en. Avec ce niveau de couverture, le pays a rattrapé son retard sur les autres pays d Afrique sub-saharienne qui ont un ratio moyen de 685 étudiants pour habitants en. Finalement, on peut noter que les effectifs l EFTP représentent aujourd hui 4% de l effectif du secondaire, autrement dit 34 étudiants pour habitants (contre 66 étudiants pour habitants au niveau de l ensemble de l Afrique sub-saharienne).
3 Équité dans l accès à la scolarisation et dans le parcours scolaire ou année la plus récente.
4 Qualité des apprentissages ou année la plus récente. A propos de la qualité des apprentissages (objectif 6), le RESEN indique qu en 6 la probabilité d'être alphabétisé chez les -44 ans (savoir lire aisément) après 6 années d'études primaires s élevait à 34,%. En comparaison, cette probabilité est de 63% pour 4 pays d Afrique subsaharienne dans lesquels les mêmes données sont disponibles. De plus, avec un niveau d études inférieur ou égal à années, la proportion d adultes -44 ans alphabétisés est faible (inférieure à 5 %). Entre la troisième et la sixième année d études, on observe qu entre 5% et 35 % d adultes sont effectivement alphabétisés. Financement de l éducation ou année la plus récente. Minimum Afrique Subsaharienne Djibouti Moyenne Afrique Subsaharienne Maximum Afrique subsaharienne Mobilisation des ressources, 7 Répartition du budget courant de l éducation, 6 Ressources propres en % du PIB 3 66 % % (yc EFTP) % Dep. Courantes de l'ed. dans les dep. Courantes de l'etat 8 4 % Supérieur % Autres niveaux Grâce à une conjoncture économique favorable, les ressources mobilisées en interne représentent une part de plus en plus importante du PIB. En, cette part atteint 3%, une valeur 5% supérieure à la moyenne observée en Afrique sub-saharienne. Parmi tous les secteurs d intervention, l éducation apparaît comme un secteur prioritaire pour l État. Le secteur éducatif absorbe en effet % du budget courant total du gouvernement en. De cette mobilisation en faveur du secteur éducatif, l enseignement primaire reçoit 45%. Si ce niveau équivaut à ce qui est observé en moyenne en Afrique sub-saharienne, il peut s avérer légèrement insuffisant étant entendu que le niveau d achèvement du primaire est encore faible. L enseignement secondaire détient la deuxième part la plus importante, % du budget courant du secteur, un signe que ce cycle charnière entre le primaire et le supérieur tient une place de choix dans les priorités gouvernementales.
5 Paramètres de la politique éducative ou année la plus récente. Minimum Afrique Subsaharienne Djibouti Moyenne Afrique Subsaharienne Maximum Afrique subsaharienne Ratio élève maître dans le public, Salaire moyen enseignant du public en PIB/hab, Part des dépenses hors salaire enseignants (%), 7 Pourcentage de redoublants, Pourcentage du privé dans les effectifs, Coût public par élève en % du PIB par habitant (Dép. courantes), (yc EFTP) EFTP Supérieur
6 Au niveau de la rémunération des enseignants, il y a lieu de noter que les salaires (mesurés en termes d unités de PIB/habitant) sont relativement élevés à Djibouti par rapport au niveau moyen observé en Afrique subsaharienne, et ce quel que soit le cycle d études considéré. Ainsi, au niveau du primaire, le salaire équivaut à 6, unités de PIB/habitant alors que la moyenne en Afrique équivaut à 3,4 unités de PIB/habitant. Au niveau secondaire, un enseignant djiboutien coûte respectivement 8,4 et 9,5 unités de PIB/habitant de salaire annuel, au moment même où ces chiffres sont respectivement en moyenne de 4,8 et 5,9 pour le er et le nd cycle au niveau du continent. Le niveau de rémunération de Djibouti équivaut donc à peu près au double du niveau moyen observé en Afrique sub-saharienne. Ce haut niveau de salaire n est pas compensé par un encadrement moins favorable. En effet, l encadrement des élèves à Djibouti est relativement meilleur que la dans la moyenne des pays d Afrique sub-saharienne au niveau primaire (37: contre 44:). Au secondaire, l encadrement s aligne avec la moyenne continentale (37: contre 35: pour le er cycle et 7: contre 6: pour le nd cycle). De ce double fait (niveau élevé de rémunération des enseignants et salles de classe peu chargées), le coût moyen d un élève dans le pays, quel que soit le niveau d études considéré, est élevé. En fait, Djibouti détient le record continental en matière de coût unitaire des élèves du primaire : % du PIB/habitant contre % en moyenne sur le continent. Le cout unitaire au secondaire est également élevé, puisqu il équivaut à 6% du PIB/habitant alors qu il est de % en moyenne sur le continent.
Burkina Faso Profil pays EPT 2014
Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine
Plus en détailL éducation au Québec : L état de la situation
Préscolaire Primaire Secondaire Collégial Universitaire 43101 45 509 93969 68 331 110 297 151 845 241019 251 612 240 980 251 237 L éducation au Québec : L état de la situation L éducation est un des sujets
Plus en détailTableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES
Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres
Plus en détailRéunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014
Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailUn parcours non encore achevé : La réforme de l éducation au Moyen-Orient et en Afrique du Nord
RAPPORTS SUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA RÉGION MENA Un parcours non encore achevé : La réforme de l éducation au Moyen-Orient et en Afrique du Nord Résumé analytique BANQUE MONDIALE Washington 2007 The International
Plus en détailInfluences de la Banque mondiale sur les poli3ques éduca3ves en Afrique de l Ouest
February, 22, 2011 Influences de la Banque mondiale sur les poli3ques éduca3ves en Afrique de l Ouest Thibaut Lauwerier Université de Genève 1 Plan 1. L éduca*on en Afrique de l Ouest 2. La Banque mondiale
Plus en détailAnalyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain
Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Analyse et exploitation des données du rapport du PNUD sur le développement humain Novembre 1995 Document de travail n 02 Analyse et
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailVivre mieux au Québec? Mesurer et comparer le bien-être à l échelle internationale
Vivre mieux au Québec? Mesurer et comparer le bien-être à l échelle internationale (Le Québec économique 2011, chap. 1) Luc Godbout et Marcelin Joanis Université de Sherbrooke 31 mai 2012 Forum de l Association
Plus en détailPôle de Dakar S IMUL ATIONS. 1 Utiliser un taux d accroissement pour une simulation
FORMULAIRE ATELIER S IMUL ATIONS 1 Utiliser un taux d accroissement pour une simulation La projection de certaines variables se base sur une hypothèse de taux de croissance annuelle régulier et constant.
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailW. Zacharia TIEMTORE, Docteur en Sciences de l éducation Courriel: zacharia.tiemtore@uhb.fr. Rennes, 5 et 6 juin 2007. http://www.marsouin.
LES ENSEIGNANTS STAGIAIRES ET INTERNET EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE : QUELLES PRATIQUES ET QUELS USAGES? LE CAS DE L UNIVERSITÉ DE KOUDOUGOU AU BURKINA FASO. W. Zacharia TIEMTORE, Docteur en Sciences de l
Plus en détailÉDUCATION-FORMATION-EMPLOI
ÉDUCATION-FORMATION-EMPLOI la jeunesse au cœur du développement plan D actions 2013 2015 agence française de Développement sommaire À RETENIR 04 i. Éducation, formation, emploi : piliers sociaux du développement
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailRÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ
RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée
Plus en détailComment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents
Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailEducation pour Tous d ici 2015
A N A L Y S E d e l I E Education pour Tous d ici 2015 La réponse de l Internationale de l Education au Rapport mondial de suivi 2008 Développer la protection et l éducation de la petite enfance Rendre
Plus en détailLes économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique
Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailLes inégalités de conditions de vie dans le monde
Notes de l Observatoire N 2, février 2014 Les inégalités de conditions de vie dans le monde 89 % de la population mondiale a accès à l eau potable. L espérance de vie a progressé de 21 ans depuis les années
Plus en détailNOTE D INFORMATION n 01 Janvier 2014
DIRECTION DE L ÉVALUATION, DE LA PROSPECTIVE, ET DE LA PERFORMANCE DEPP NOTE D INFORMATION n 1 Janvier 214 La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l enseignement scolaire ou supérieur en
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailLes progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre
Les progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre Document d orientation 14 / Fiche d information 28 Juin 214 Publié conjointement par le Rapport mondial de
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailBourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016
Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016 Date limite de dépôt du dossier au consulat : 18 septembre 2015 Cette rubrique présente les modalités de constitution et dépôt du dossier de bourse,
Plus en détailRISK INDEX 2014 SUISSE
RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur
Plus en détailMÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE
MÉMOIRE DU CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES AOÛT 2009
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailPROGRESSION TIC AU PRIMAIRE. Document de référence. Commission scolaire des Découvreurs
PROGRESSION TIC AU PRIMAIRE Document de référence Commission scolaire des Découvreurs Les tableaux que vous trouverez aux pages suivantes présentent les quatre niveaux des Carnets TIC et leur progression
Plus en détailOBJECTIFS DU MILLENAIRE
INSTITUT HAITIEN DE STATISTIQUE ET D INFORMATIQUE M IN IS T E R E D E L E C ON OMIE E T D E F S A IN N C S E REPUBLIQUE D HAITI MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES INSTITUT HAITIEN DE STATISTIQUE ET
Plus en détailLes critères d identification des pays les moins avancés
Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml
Plus en détailLES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI
LES NOUVEAUX INDICAEURS SAISIQUES DU FI À la fin de 1994 et au début de l année 1995, la répétition et la sévérité des désordres sur les marchés de capitaux, et récemment la crise financière du exique
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL LES POLITIQUES DE LA BANQUE MONDIALE DANS LE DOMAINE DE L ÉDUCATION ET LE DROIT DE L ENFANT À L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE : VERS LA RÉALISATION OU LA VIOLATION DE CE DROIT DANS
Plus en détailGECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000
GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000 GECA Global Consulting est une société de consultation internationale, constituée à Tunis. Cette
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailLes chartes de France Investissement
Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement
Plus en détailSaint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud
PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité
Plus en détailBANQUE CENTRALE DU CONGO
BANQUE CENTRALE DU CONGO Allocution prononcée par Monsieur J-C. MASANGU MULONGO Gouverneur de la Banque Centrale du Congo à l occasion du lancement officiel de la Journée Internationale de l Epargne en
Plus en détailFINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE. Prof DIE-KAKOU
1 FINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE Prof DIE-KAKOU 2 PLAN INTRODUCTION I- SITUATION II- FINANCEMENT IV- COUVERTURE MALADIE V- DEFIS CMU CONCLUSION 3 INTRODUCTION Services de santé offerts avec
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailLES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION
1 LES OMD EN CHIFFRES Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION Faisant suite à la Déclaration du Millénaire, le bureau du PNUD en Haïti s est attelé à faire la promotion des Objectifs du Millénaire pour
Plus en détailDISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008
DISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008 Eric WOERTH Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique et André SANTINI Secrétaire d État chargé de la Fonction
Plus en détailConsommation et investissement : une étude économétrique
Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Consommation et investissement : une étude économétrique Décembre 1996 Document de travail n 14 Consommation et Investissement : Une
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailQuel rôle pour la Banque de France depuis l avènement de l euro?
Florian Colas Conférence d économie approfondie Note sur un point technique, élaborée à partir d un entretien avec Madame Claudine Cortet, Conseiller auprès du Directeur général des Etudes et Relations
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailLe modèle de croissance marocain : opportunités et vulnérabilités
Juin 214 / N o 14 Macroéconomie & développement Introduction Depuis la crise financière internationale de 28, les pays de la région du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord (Middle East and North Africa,
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailDu produit intérieur brut (PIB) au revenu national (2010)
Du produit intérieur brut (PIB) au revenu national (2010) En 2010, le revenu moyen avant impôt des Français était de 33 000 par adulte et par an (2 800 par mois) Produit intérieur brut (PIB) (2010): 1
Plus en détailLa mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation
La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation (Synthèse) Enquête réalisée dans le cadre du projet Concert Action Septembre 2011 La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires
Plus en détailPrésentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux. Selon Wikipédia
Évaluation actuarielle du Régime de rentes du Québec au 31 décembre 2012, une œuvre de science-fiction? Présentation à l Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux Georges Langis Actuaire
Plus en détailLES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL :
LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : UN PARTENARIAT POUR BÂTIR DES COLLECTIVITÉS PLUS FORTES, PLUS PROSPÈRES ET PLUS DYNAMIQUES Mémoire prébudgétaire présenté par Imagine
Plus en détailPROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE
PROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 QUESTION NIVEAU 1: FACTURE... 4
Plus en détailLes assurances sociales en Suisse
Dimensions et enjeux / facteurs d influences des assurances sociales Introduction : Alain Berset souhaite bien cerner les perspectives et les enjeux actuels et futurs des assurances sociales, notamment
Plus en détailCadre d action de Dakar
mondial sur Forum l éducation Dakar, Sénégal du 26 au 28 avril 2000 Cadre d action de Dakar L Éducation pour tous : tenir nos engagements collectifs Adopté par le Forum mondial sur l éducation Dakar, Sénégal,
Plus en détailIndicateurs de l éducation au Canada : une perspective internationale
N o 81-604-X au catalogue ISSN : ISSN 1920-5929 Indicateurs de l éducation au Canada : une perspective internationale 2013 Division du tourisme et du Centre de la statistique de l éducation Téléphone :
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailrésumé un développement riche en emplois
ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE
Plus en détailL évolution des paramètres du régime de la CNAV. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différents modes d acquisition des droits à la retraite en répartition : description et analyse comparative des techniques
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailREPUBLIQUE DU CAMEROUN
REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix- Travail - Patrie ------------------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work - Fatherland ------------------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS
Plus en détailVACANCY ANNOUNCEMENT: ADMINISTRATEUR DE PROGRAMME (EVAL-HEALTH)- NO.VA/NPCA/11/23
www.nepad.org info@nepad.org Tel: +27 (0) 11 256 3600 Fax: +27 (0) 11 206 3762 P.O. Box 1234 Halfway House 1685 Midrand, Johannesburg South Africa VACANCY ANNOUNCEMENT: ADMINISTRATEUR DE PROGRAMME (EVAL-HEALTH)-
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détailDES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE
RAPPORT SUR LE STATUT DES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE Possibilités et Enjeux RAPPORT SUR LE STATUT DES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE Possibilités et Enjeux
Plus en détailLe service civique. réseau Uniopss-Uriopss / Site Guide de l employeur / Zoom sur / juin 2010 1
Sans disparaître complètement, le volontariat associatif, introduit par la loi du 23 mai 2006, reçoit une nouvelle configuration et réapparaît dans la loi du 10 mars 2010 sous la dénomination de «service
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailÉtude sur l enseignement supérieur dans les pays de l UEMOA
Étude sur l enseignement supérieur dans les pays de l UEMOA PHASE 1 SYNTHÈSE ET OPTIONS D APPUI Pour une nouvelle vision de l enseignement supérieur : Rapport final Novembre 2004 TABLE DES MATIÈRES AVANT
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détailREPUBLIQUE CENTRAFRICAINE UNITÉ-DIGNITÉ-TRAVAIL PLAN DE TRANSITION 2014-2017 MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ET DE L ENSEIGNEMENT TECHNIQUE
REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE UNITÉ-DIGNITÉ-TRAVAIL PLAN DE TRANSITION 2014-2017 MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ET DE L ENSEIGNEMENT TECHNIQUE 5 SEPTEMBRE 2014 Table des matières Liste des sigles et abréviations
Plus en détailCommentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne
Plus en détailProgramme de Renforcement des Capacités Statistiques de l Education
République islamique de Mauritanie Commission européenne Institut de Statistique de l UNESCO Justice Fraternité - Honneur Programme de Renforcement des Capacités Statistiques de l Education Diagnostic
Plus en détailRevue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013
Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance
Plus en détailBanque de Détail à l International - BHFM. Zoom sur la microfinance à la Société Générale
Banque de Détail à l International - BHFM Zoom sur la microfinance à la Société Générale JUIN 2007 LA SOCIETE GENERALE Un Groupe solide et performant Chiffres clés fin 2006 : Notations : 59 milliards EUR
Plus en détailLES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO
LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations
Plus en détailProfil statistique drummondvillois ----- démographie et économie
-- Profil statistique drummondvillois ----- démographie et économie 0 Le contenu de ce rapport a été rédigé et produit pour une utilisation par tous les services municipaux. Le Commissariat au commerce
Plus en détailLe Parlement jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 64 E LÉGISLATURE. Projet de loi n 1
Le Parlement jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 64 E LÉGISLATURE Projet de loi n 1 Loi sur la représentativité des sexes sur le marché du travail Présenté par Mme Jade Boivin Ministre du Travail
Plus en détail8 Certifications Minergie
8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,
Plus en détailrégime d assurance collective
Ma ligne de protection de revenu régime d assurance collective Mes assurances salaire 2 Bonjour, je suis Fiche Salaire, et je viens vous entretenir d un sujet capital en matière de sécurité financière,
Plus en détailCoup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL
Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une
Plus en détailREGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE DES RESSOURCES PPTE ET DES DONS BUDGETAIRES
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------------- LE CONSEIL DES MINISTRES REGLEMENT N 07/2006/CM/UEMOA PORTANT ADOPTION DES MODALITES DE CALCUL DU SOLDE BUDGETAIRE DE BASE CORRIGE
Plus en détailLA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS
LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS FÉVRIER 2002 DOSSIER 02-02 La dette publique du Québec et le fardeau fiscal des particuliers Le premier ministre du Québec se plaisait
Plus en détailRésumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil?
Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Résumé de recherche : Affectation de crédit pour l'investissement, la stabilité et la croissance : Leçons tirées
Plus en détailPost-alphabétisation des jeunes agriculteurs / éleveurs (JA/JE) déscolarisés
Atelier pour l Afrique Subsaharienne FORMATION DE MASSE EN MILIEU RURAL, ÉLÉMENT DE RÉFLEXION POUR LA DÉFINITION D UNE POLITIQUE NATIONALE Ouagadougou, Burkina Faso 30 mai au 3 juin 2005 Post-alphabétisation
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailAssurance-emploi. www.serq.qc.ca qq
Assurance-emploi Session d information 2015 www.serq.qc.ca qq Par Gaétan Guérard et Laure Lapierre 1. Réforme 2013 Assurance-emploiemploi 2. Conditions d admissibilité 3. Périodede prestations 4. Taux
Plus en détailVOLUME, REPARTITION SPATIALE ET STRUCTURE PAR SEXE ET AGE DES POPULATIONS AUTOCHTONES DU CONGO
MINISTERE DU PLAN, DE L ECONOMIE, DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ET DE L INTEGRATION CENTRE NATIONAL DE LA STATISTIQUE ET DES ETUDES ECONOMIQUES REPUBLIQUE DU CONGO Unité*Travail*Progrès VOLUME, REPARTITION
Plus en détailLES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?
LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke
Plus en détail3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES
3 The Millennium Development Goals: Report 2010 Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014 asdf NATIONS UNIES Le présent rapport est fondé sur un ensemble de données compilées par le Groupe
Plus en détailYoussouf Said Ali. Djaé Mdahoma. Djaffar Ladhati. Mouhssini Hassani El- Barwane Amroine Darkaoui. Ibrahima Hissani Mfoihaya Said Jaffar El-Macelie
REPUBLIQUE FEDERALE ISLAMIQUE DES COMORES Unité Justice Progrès Ministère de l Education Nationale Bilan de l Education Pour Tous à l an 2000 Avec l appui de la Banque Mondiale, du FNUAP, du PNUD, de l
Plus en détail