DIABETE GESTATIONNEL. Docteur Andrea LABAUNE-KISS DIAPASON 36 Déols «Le Relais Saint-Jacques» 6 juin 2013
|
|
- Raoul Champagne
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DIABETE GESTATIONNEL Docteur Andrea LABAUNE-KISS DIAPASON 36 Déols «Le Relais Saint-Jacques» 6 juin 2013
2 DEFINITION «Trouble de la tolérance glucidique conduisant à une hyperglycémie de sévérité variable, débutant ou diagnostiqué pour la première fois pendant la grossesse, quel que soient le traitement nécessaire et l évolution dans le post-partum» OMS Un diabète patent, DT2, préexistant à la grossesse et découvert à l occasion de celle-ci et qui persistera après l accouchement Une anomalie de la tolérance glucidique réellement apparue en cours de grossesse, généralement en deuxième partie et disparaissant, au moins temporairement après l accouchement
3 EPIDEMIOLOGIE 2 à 6% de DG 15% des DG qui sont des DT2 méconnus Augmentation de la prévalence du DT2 chez les femmes jeunes en âge de procréer
4 FACTEURS DE RISQUE Âge maternel 35 ans Surcharge pondérale: IMC 25kg/m² Antécédents familiaux de DT2 chez les apparentés au 1 er degré Antécédents obstétricaux de DG ou de macrosomie Origine ethnique SOPK Ne seraient pas des facteurs de risque indépendants de DG: niveau socio-économique, multiparité, grossesse multiple, prise de poids pendant la grossesse
5 COMPLICATIONS MATERNELLES DU DG Prééclampsie Césarienne Corrélés de façon positive et linéaire au degré de l hyperglycémie initiale Le surpoids ( IMC 25 kg/m ²) et l obésité (IMC 30 kg/m ²) associés au DG augmentent les risques de prééclampsie et de césarienne Ne sont pas modifiés par le DG: les taux d extraction instrumentale, de déchirure périnéale sévère et de hémorragie du post-partum
6 COMPLICATIONS FŒTALES ET NEONATALES DU DG Macrosomie la principale conséquence néonatale démontrée du DG Dystocie des épaules et paralysie du plexus brachial augmentent avec le poids foetal
7 Risque de paralysie plexus brachial Facteurs de risque OR Diabète vs nondiabétique 3,19 Poids foetal > 4500g vs <4500g 17,94 AVB vs césarienne 20 Forceps vs AVB spontanée 3,8 Ventouse vs AVB spontanée 2,9
8 COMPLICATIONS FŒTALES ET NEONATALES DU DG Augmentation modérée de la fréquence des malformations par rapport à la population générale, vraisemblablement liée à l existence d un DT2 méconnu Pas de données dans la littérature concernant l incidence et le risque exact de cardiomyopathie en cas de DG, ni le lien avec l hyperglycémie maternelle Le risque d asphyxie néonatale et de décès périnatal n est pas augmenté Fréquence de l hypoglycémie néonatale sévère est faible Risque d hypocalcémie comparable à celui de la population générale Risque d hyperbilirubinémie faiblement augmenté
9 DEPISTAGE: OUI OU NON? Arguments: augmentation de la morbidité maternelle et néonatale associée à l hyperglycémie maternelle existence d un test de dépistage valide et fiable efficacité démontrée de la prise en charge thérapeutique sur l incidence des complications caractère acceptable des effets adverses du dépistage et de la prise en charge
10 DEPISTAGE : CHEZ QUI? Recommandé en présence d au mois un des critères suivants: Âge maternel 35 ans Surcharge pondérale: IMC 25kg/m² Antécédents familiaux de DT2 chez les apparentés au 1 er degré Antécédents obstétricaux de DG ou de macrosomie
11 DEPISTAGE En l absence de ces facteurs de risque, le bénéfice et le rapport coût-efficacité du dépistage reste à évaluer Il n y a pas d arguments suffisant pour recommander un dépistage systématique La décision de dépister ou non le DG doit faire l objet d une évaluation et d une information individuelles
12 DEPISTAGE : QUAND? Idéalement en préconceptionnel par une glycémie à jeun Lors de la 1ère consultation prénatale en présence des facteurs de risque par une glycémie à jeun Entre 24 et 28 SA, par une HGPO, chez les patientes non diagnostiquées préalablement
13 DEPISTAGE : QUAND? Chez les femmes ayant des facteurs de risque qui n ont pas eu de dépistage du DG, on peut le faire au 3 ème trimestre, au minimum par une glycémie à jeun Des biométries fœtales > 97 ème percentile ou un hydramnios chez une femme sans facteurs de risque, doivent faire rechercher un DG
14 DEPISTAGE : COMMENT? Au premier trimestre de la grossesse glycémie à jeun En cas de DT2 découvert en début de grossesse, la mesure de l HbA1c pourrait être utile pour préciser l équilibre glycémique périconceptionnel
15 DEPISTAGE COMMENT? Entre 24 et 28 SA HGPO avec 75g de glucose avec mesures des glycémies à 0, 1 et 2 h Avantages: meilleurs tolérance, réduction du délai de prise en charge, meilleure observance
16 CRITERES DIAGNOSTIQUES Au premier trimestre: DT2 si glycémie à jeun 1,26 g/l (7mmol/l) DG si glycémie à jeun 0,92 g/l (5,1 mmol/l) Entre 24 et 28 SA: DG si Glycémie à jeun 0,92 g/l (5,1 mmol/l) et/ou Glycémie 1h après la charge 1,80 g/l (10 mmol/l) et/ou Glycémie 2h après la charge 1,53 g/l (8,5mmol/l)
17 TRAITEMENT Autosurveillance glycémique Objectif : Glycémie à jeun < 0,95g/l Glycémie à 2h postprandial < 1,20g/l Prise en charge diététique Activité physique régulière: 30 min trois à cinque fois par semaine Insuline si les objectifs glycémiques ne sont pas atteints après 7 à 10 jours de règles hygiénodiététiques
18 SURVEILLANCE OBSTETRICALE HAS: «peuvent être suivies par une sage-femme ou un médecin généraliste mais l avis d un gynécologueobstétricien est nécessaire; l avis complémentaire d un diabétologue peut aussi être nécessaire»
19 SURVEILLANCE OBSTETRICALE CLINIQUE En cas de DG bien équilibré et en absence d autre pathologie ou facteur de risque associé, il n y a pas d argument justifiant un suivi clinique différent des autres grossesses En présence de facteurs de risque surajoutés: surpoids, obésité, HTA chronique, mauvais équilibre glycémique, une surveillance clinique (TA, recherche d une protéinurie) plus rapproché que le suivi mensuel classique est justifiée en raison du risque accru de prééclampsie
20 SURVEILLANCE OBSTETRICALE ECHOGRAPHIQUE Recherche de malformations (DT2) lors des échographies 2 ème et 3 ème trimestre Surveillance de la croissance: recherche d une macrosomie: PA, EPF L erreur moyenne de l EPF est de l ordre de 8 à 15% du poids réél La précision est encore moins bonne en cas de macrosomie Le poids des fœtus est sous-estimé en cas de macrosomie Donc la performance diagnostique de la biométrie échographique apparaît limitées pour la prédiction de la macrosomie
21 SURVEILLANCE OBSTETRICALE ECHOGRAPHIQUE Recherche d une hypertrophie septale myocardique ou d une cardiomyopathie fœtale hypertrophique Pas de données dans la littérature permettant d estimer l incidence ou le risque exact en cas de DG, ni le lien avec le niveau de la glycémie maternelle Difficulté de standardiser la mesure et grande variabilité inter-opérateur Seuils le plus souvent : 4,5mm pour SA et 5,5mm au-delà, sans que ces valeurs constituent un seuil où apparaissent des complications Il n a pas été démontre qu elle permette de réduire le risque de MFIU ou de complications néonatales cardiologiques
22 SURVEILLANCE OBSTÉTRICALE ÉCHOGRAPHIQUE Enquête de pratique en France (2007) sur la mesure du septum chez les fœtus de mère diabétique : l l l l l 214 patientes 46 ont eu une écho cardiaque foetale 13 hypertrophies septales retrouvées diagnostic pris en compte dans la prise en charge de la patiente dans 2 cas seulement 1 seul contrôle écho en postnatal Conclusion : «les obstétriciens et les pédiatres n'accordaient que peu d'intérêt à l'hypertrophie septale, qu'ils jugeaient comme exceptionnellement grave»
23 SURVEILLANCE OBSTÉTRICALE ÉCHOGRAPHIQUE «La mesure systématique du septum interventriculaire est sujette à des difficultés techniques tant dans la mesure que dans son interprétation. Il n'a pas été démontré qu'elle permette de réduire le risque de MFIU ou de complications néonatales cardiologiques»
24 SURVEILLANCE OBSTETRICALE ECHOGRAPHIQUE La réalisation systématique du doppler ombilical n a pas d utilité démontrée en cas de DG en absence d une HTA ou d un RCIU associés ( pathologie vasculaire placentaire)
25 SURVEILLANCE OBSTETRICALE RCF En cas de DG bien équilibré sous régime, l ERCF n a pas d utilité démontrée En cas de DG mal équilibré et/ou sous insuline, l ERCF est discuté en tenant compte des facteurs de risques associés En cas de DT2 connu ou découvert pendant la grossesse un ERCF hebdomadaire est souvent préconisé à partir de 32 SA
26 CAT en cas de MAP relation significative entre le risque de naissance prématurée et l élévation des glycémies augmentation indépendante du risque de prématurité spontanée et de rupture prématurée des membranes
27 CAT en cas de MAP Quel tocolitique? Les bêtamimétiques Effet hyperglycémiant Anomalies transitoires des glycémies à jeun et postprandiales et des tests de charge en glucose Balance bénéfice-risque défavorable Ne doivent être utilisés qu'en dernier recours et avec une surveillance glycémique rapprochée Les inhibiteurs calciques et les antagonistes de l ocytocine peuvent être utilisés sans précautions particulières
28 CAT en cas de MAP Maturation pulmonaire Les corticoïdes Hyperglycémie transitoire pendant 48h L existence d un DG ne doit pas modifier les indications habituelles de la corticothérapie prénatale Sous couvert d une surveillance glycémique et d une insulinothérapie si nécessaire Le test de dépistage est à réaliser plusieurs jours après la dernière injection de glucocorticoïdes
29 ACCOUCHEMENT Quand? En cas de DG bien équilibré, par le régime ou par l insuline et sans retentissement fœtal, il n y a pas d argument qui justifie une prise en charge différente de celle d une grossesse normale En cas de DG mal équilibré ou avec retentissement fœtal, il est recommandé de ne pas dépasser 38 SA + 6 jours
30 ACCOUCHEMENT Comment? Le choix de la voie d accouchement: Paramètres obstétricaux non spécifiques du DG: utérus cicatriciel, placenta, présentation Le dépistage de la macrosomie dont l objectif est de prévenir la dystocie des épaules et ses complications
31 ACCOUCHEMENT Comment? Devant le risque accru de dystocie des épaules et de paralysie du plexus brachial, il parait raisonnable de proposer une césarienne en cas de DG lorsque le poids foetal estimé est supérieur à 4250 ou 4500g Après information de la patiente La performance limitée de l EPF échographique est rappelée En cas de DG et antécédent d utérus cicatriciel il n est pas recommandé de réaliser systématiquement une césarienne
32 ACCOUCHEMENT Comment? Radiopelvimétrie en cas de suspicion de macrosomie n'est pas recommandée Taux de faux positifs élevé: 22,5% en cas de disproportion absolue, 28,5% en cas de disproportion modérée À l origine d une augmentation du nombre de césariennes sans diminution de la morbidité néonatale
33 ACCOUCHEMENT PRISE EN CHARGE EN COURS DU TRAVAIL Une insulinothérapie systématique pendant le travail peut être responsable d hypoglycémie maternelle et n est pas recommandée Surveillance rapprochée des glycémies (dextros toutes les heures) Protocole d insulinothérapie
34 PROTOCOLE INSULINOTHERAPIE en IV continue sur pousse seringue 50 U insuline (ACTRAPID ou HUMULINE ordinaire) + 50 ml sérum physiologique (dilution=1u/ml) Mise en place d'une perfusion de G10% à débit 80ml/h obligatoire Surveillance des dextros toutes les heures
35 PROTOCOLE INSULINOTHERAPIE en IV continue sur pousse seringue Dextro Débit insuline IV continue sur pousse seringue <1,5 g Arrêt de la pousse seringue 1,5 g à 1,75 g 1 U/h 1,75 g à 2 g 2 U/h 2 g à 2,5 g 3 U/h 2,5 g à 3 g 4 U/h 3 g à 4 g 5 U/h 4 g à 5 g 6 U/h > 5 g 8 U/h
36 POST-PARTUM Dans le post-partum immédiat En cas d insulinothérapie, il est recommandé dans un DG d arrêter l insuline dès l accouchement et de surveiller les glycémies (objectif < 1,10 g/l à jeun) En cas de persistance du diabète dans le post-partum: consultation en diabétologie Aucun antidiabétique oral n a l AMM chez la femme qui allaite
37 POST-PARTUM CONTRACEPTION Contraception estro-progestative Le risque d augmenter l incidence du DT2 chez les femmes ayant un antécédent de DG est probablement nul ou très faible Les femmes ayant eu un DG ont plus souvent des facteurs de risque vasculaire associés: obésité, HTA, dyslipidémie Doivent être soumises aux contre-indications classiques des OP
38 POST-PARTUM CONTRACEPTION Microprogestatifs Une seule étude: un risque augmenté de DT2 sous microprogestatifs dans le post-partum chez des femmes avec des antécédents de DG et allaitantes RR de 3 si la durée du traitement entre 4 et 8 mois RR de 5 si traitement plus de 8 mois Nécessite confirmation par d autres études
39 POST-PARTUM CONTRACEPTION Implanon Pas d effets secondaires métaboliques ou vasculaires chez les femmes non diabétiques Pas de modification du profil glycémique ni des doses d insuline à 3,6,12 et 24 mois chez des diabétiques sous insuline Pas d étude sur l impact de l implanon sur le profil métabolique à long terme des femmes ayant eu un DG Leur utilisation chez les patientes avec antécédents de DG n a pas lieu d être restreint
40 POST-PARTUM CONTRACEPTION DIU Absence de sur-risque infectieux chez des femmes diabétiques DIU au cuivre Aucune contre-indication chez la femme diabétique, excellente méthode, à encourager DIU avec hormone (MIRENA) Pas d étude spécifique chez les femmes ayant eu un DG Parait utile pour la protection de l endomètre chez ces patientes souvent un peu plus âgées, obèses et donc plus à risque d une hyperplasie endométriale Pas de modification métabolique mise en évidence chez des femmes diabétiques
41 PRONOSTIC MATERNEL ULTERIEUR Risque de récidive du DG de 30 à 84% Risque ultérieur de DT2 multiplié par 7 Augmente avec le temps 4,7 moins de 5 ans après le DG et 9,3 audelà Persiste au moins 25 ans Un atcd de trouble modéré de la tolérance glucidique lors de la grossesse augmente aussi le risque de DT2 de 2 à 3 fois Risque de survenue d un syndrome métabolique multiplié par 2 à 5 Risque de pathologie cardio-vasculaire multiplié par 1,7
42 PRONOSTIC MATERNEL ULTERIEUR Facteurs de risque associés à un risque plus élevé de DT2 après un DG: Surcharge pondérale Diagnostic du DG avant 24 SA Glycémies au HGPO diagnostique élevées Nécessité d une insulinothérapie
43 PRONOSTIC MATERNEL ULTERIEUR Information de la patiente Dépistage du DT2 Lors de la consultation postnatale, avant une nouvelle grossesse, pendant une nouvelle grossesse, puis tous les un à trois ans pendant au moins 25 ans Par une glycémie à jeun ou une HGPO Modifications d hygiène de vie: activité physique régulière 30 à 60 min par jour au moins cinq jours par semaine Alimentation équilibrée Arrêt du tabac Recherche régulière d autres facteurs de risque cardiovasculaires
d e s Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique
COL L ÈGE N ATIONAL DES GYNÉ COLOGUES E T OBS TÉ TRICIENS FR A NÇ A IS Président : Professeur F. P u e ch EXTRAIT d e s Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique Publié le 10 décembre 2010 N o t a. Le
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailSuivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées
Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailGestion de l insuline iv. : version pour les Soins continus de médecine
CENTRE HOSPALIER UNIVERSAIRE VAUDOIS - 1011 Lausanne Service de médecine Centre des Maladies Cardio-vasculaires et métaboliques Service d endocrinologie, diabétologie et métabolisme Gestion de l insuline
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailLe diabète en pédiatrie
Le diabète en pédiatrie Dre Isabelle Bouchard Pédiatre Clinique de diabète pédiatrique du CHUL Janvier 2012 Objectifs 1) Connaître les différences physiopathologiques entre le diabète type 1 et type 2
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailUN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES
DIABÈTE UN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES La Fédération Française de Cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation et gestes qui sauvent grâce à la générosité de ses donateurs UN ENNEMI DU CŒUR
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailLa déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure
Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailPLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE
Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailTRAVAILLER AVEC...UN DIABETE
TRAVAILLER AVEC...UN DIABETE 1. LE PROBLEME DE SANTE Le diabète sucré (d.s) comprend deux maladies distinctes: - le diabète insulinodépendant type I ou D.I.D en rapport avec une perte de la sécrétion d'insuline.
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailLe diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle. Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût
Le diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût Le diabète est une véritable épidémie. Cette maladie chronique
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailII - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE
II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE I. ÉPIDÉMIOLOGIE En France, le diabète de type 1 touche 0,38 % de la population totale et environ 10 % des diabétiques.
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailFemmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre les établissements de santé
RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Femmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre Méthode «Recommandations pour la pratique clinique» RECOMMANDATIONS Novembre
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailINSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE
Synthèse personnelle INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE De nos jours, le diabète inuslinodépendant ne connaît aucun traitement pouvant éviter l injection d insuline. L insulinothérapie fonctionnelle est une
Plus en détailDiabète:généralités DEFINITION DIABETE DE TYPE 1
DEFINITION Diabète:généralités Recommandations OMS: -glycémie à jeun normale:
Plus en détailRecommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue
RECOMMANDATIONS SFC/ALFEDIAM Recommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue Recommandations, argumentaire, références B. Charbonnel, B. Bouhanick, C. Le
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailCONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE
CONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE Présenté par JAOUEN Léna DIU Suivi gynécologique LE SCANFF Ghislaine DIU Périnalité Addictions Contraception du post-partum Une constatation: 5 % des
Plus en détailéquilibre glycémique du diabétique insuliné
La télésurveillance t des maladies chroniques à domicile Aide à la décision en diabétologie Docteur Pierre FONTAINE Service de diabétologie, CHRU de Lillle Faculté de médecine, m Université de Lille 2
Plus en détailCORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :
CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités
Plus en détailPROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I
PROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I UN PROJET DU PROGRAMME CANTONAL DIABÈTE Jérôme Spring Maître de sport APA Diabétologie pédiatrique Riviera-Chablais
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailTableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion
Tableau de bord Tableau de bord Le diabète à La Réunion Décembre 2012 2 Sommaire Introduction 4 Définitions 6 Répertoire des sigles 7 Contexte 8 Prévalence du diabète traité à La Réunion 10 Admissions
Plus en détailLA CHIRURGIE BARIATRIQUE ET LA GROSSESSE
Université d Angers, UFR des sciences Médicales, Ecole de Sages-Femmes René ROUCHY, Diplôme d Etat de Sage-Femme LA CHIRURGIE BARIATRIQUE ET LA GROSSESSE Etude rétrospective réalisée au CHU d Angers. Soutenue
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailAc#vité Physique et Diabète
Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)
Plus en détailEn savoir plus sur le diabète
En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient
Plus en détailCAHIER SPÉCIAL www.contrelediabete.fr Nathalie Ferron
CAHIER SPÉCIAL 2 e Semaine nationale de prévention du diabète Se prémunir contre le diabète Du 3 au 9 juin 2013 aura lieu partout en France la seconde Semaine nationale de prévention du diabète organisée
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailLe traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir?
Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le diabète de type 2 est une maladie chronique et progressive dont l incidence va en augmentant. Il n existe pas de traitement
Plus en détailDécret n 2010-1229 du 19 octobre
Télémédecine et diabète : le plan d éducation personnalisé électronique para médical (epep) Lydie Canipel Colloque TIC Santé 2011, 8 et 9 février 2011, Paris Décret n 2010-1229 du 19 octobre 2010 relatif
Plus en détailConférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg»
Conférence de Presse 11/09/2013 «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» La Santé Périnatale au Luxembourg Etat des lieux Présentation de deux rapports : Surveillance de la Santé
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détaildiabète Le diabète est l assimilation, de glucose (sucre) apporté par On peut être diabétique sans
Tout savoir sur le Le est une maladie chronique incurable qui se traduit par une élévation anormale du taux de sucre dans le sang. Sans traitement approprié, cette maladie peut être à l origine de graves
Plus en détailEvaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse
Plus en détailLe diabète de type 2 ou diabète non insulinodépendant
Le diabète de type 2 ou diabète non insulinodépendant (DNID) (223b) Professeur Serge HALIMI Avril 2003 (Mise à jour Février 2005) Pré-requis : Physiologie de la régulation de la glycémie Actions de l insuline
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLe jeune diabétique à l école
Le jeune diabétique à l école Défis et Solutions Prof. Marc Maes Equipe de diabétologie pédiatrique Centre de convention Cliniques Universitaires St Luc 1200 Bruxelles Marc.Maes@uclouvain.be Le jeune diabétique
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailL influence du sport sur le traitement du diabète de type 1
L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 Contenu 1. Bénéfice du sport pour patients avec diabète de type 1 2. Aspects physiologiques du sport en rapport avec la glycémie en général 3.
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailLe diabète de type 1 UNSPF. Ségolène Gurnot
Le diabète de type 1 UNSPF Ségolène Gurnot Juin 2013 Légende Entrée du glossaire Abréviation Référence Bibliographique Référence générale Table des matières Introduction 5 I - Introduction 7 A. Quelle
Plus en détailACCOUCHEMENT À DOMICILE : RISQUE OU MODÈLE?
UNIVERSITE LOUIS PASTEUR FACULTE DE MEDECINE ECOLE DE SAGES-FEMMES DE STRASBOURG ANNEE 2005 ACCOUCHEMENT À DOMICILE : RISQUE OU MODÈLE? MÉMOIRE POUR LE DIPLÔME D ETAT DE SAGE-FEMME Présenté et soutenu
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailRenseignements : Secrétariat Dispositif Diabest Tél. 021 923 48 89 www.reseau-sante-haut-leman.ch, rubrique diabétologie
INFORMATION EN SANTE PUBLIQUE Cours et ateliers DIABEST 2015 Le Dispositif Diabest est composé d un ensemble de professionnels reconnus dans leurs domaines respectifs de spécialisation et proposant différentes
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées
RAPPORT D ORIENTATION Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées Avril 2011 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux
ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL Proposition d assurance Professionnels libéraux Questionnaire de déclaration d activité professionnelle Tous les proposants, quelle
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détailEvaluation de la prise en charge du diabète
Inspection générale des affaires sociales RM2012-033P Evaluation de la prise en charge du diabète TOME I RAPPORT Établi par Annick MOREL D r Gilles LECOQ Danièle JOURDAIN-MENNINGER Membres de l Inspection
Plus en détail