Dr Corinne ROUSSELIN Biologiste médical Hôpital la MUSSE BP St Sébastien de Morsent

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1 2 ème réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de santé de Haute-Normandie Les antibiotiques : une ressource à préserver Jeudi 23 juin 2011 Rouen Observatoire des Médicaments, des Dispositifs médicaux et des Innovations Thérapeutiques (OMEDIT) de Haute-Normandie Dr Corinne ROUSSELIN Biologiste médical Hôpital la MUSSE BP St Sébastien de Morsent c.rousselin@hlrs-lamusse.net

2 PRESENTATION La Musse Etablissement de soins de suite spécialisés, polyvalents et de rééducation et réadaptation fonctionnelles (PSPH) Hospitalisation : 390 lits d hospitalisation = jours d hospitalisation/an - Brulés - Dos - Neurologie - Orthopédie - Traumatologie - Alcoologie - Nutrition - Cardiologie - Vasculaire - Pneumologie - Gériatrie - Soins suite polyvalents - Soins suite oncologie - Soins palliatifs - Unité Alzheimer HDJ : 22 places = 7500 jours HDJ/an Orthopédie-Traumatologie, Cardiologie, Gériatrie, Nutrition, Pneumologie, Vasculaire 2

3 PRESENTATION 90% des patients proviennent de la région / 10% de la région parisienne ¾ viennent de court séjour / ¼ du domicile DMS = (Extrêmes : 23 à ) Moyenne d âge = 65 ans Pathologies lourdes : - éveil coma - post chir précoce - post greffe - ventilation assistée - prothèse valvulaire - inter chimio - stomies - nutrition parentérale.. 3

4 PRESENTATION Le laboratoire traite environ 3000 prélèvements microbiologiques/an BMR signalées en interne : SAMR et BLSE Pas de dépistage systématique à l entrée Recueil des données sur base Access depuis Elimination des doublons «antibiogramme» Pour 2011 : arrêt du recueil des données au 31 mai 4

5 BLSE : Littérature Vincent Cattoir (2008) Service de Bactériologie-Virologie-Hygiène, CHU Mondor, AP-HP, Faculté de Médecine de Créteil, Université Paris XII, Créteil, France Service de Bactériologie-Virologie, Unité INSERM U914, CHU Bicêtre, AP-HP, Faculté de Médecine de Paris-Sud, Université Paris XI, Le Kremlin Bicêtre, France A partir de 1995, émergence explosive de «nouvelles» BLSE (notamment CTX-M) chez les entérobactéries Changement de bactérie hôte de K. pneumoniae / Enterobacter spp. vers E. coli Augmentation très nette des infections communautaires (notamment urinaires) dues à des bactéries productrices de BLSE Le nombre de souches productrices de BLSE augmente aussi dans les services hospitaliers hors USI, notamment dans les services de long et moyen séjour. 5

6 BLSE 6

7 % de BLSE BLSE : Evolution la Musse «A partir de 1995, émergence explosive de «nouvelles» BLSE chez les entérobactéries» % d'entérobactéries porteuses de Bêta lactamase à spectre élargi (BLSE) entre 1997 et ,0% 11,0% 10,0% 9,0% 8,0% 7,0% 6,0% 5,0% 4,0% 3,0% 2,0% 1,0% 0,0% 10,4% 6,9% 7,1% 6,0% 6,8% 6,4% 4,1% 3,3% 2,7% 2,1% 2,3% 2,6% 1,9% 2,0% 1,4% Années 7

8 Taux d'incidence BMR : Taux d incidence Taux d'incidence BMR Taux incidence SAMR Taux incidence BLSE 1,40 1,20 1,30 1,21 1,04 1,00 0,80 0,99 1,01 0,88 0,88 0,72 0,77 0,60 0,73 0,65 0,40 0,20 0,00 0,46 0,32 0,33 0,30 0,31 0,28 0,11 0,08 0,18 0,15 0, Année 8

9 Taux d'incidence (pour 1000 js d'hospi) BLSE : Taux d incidence Comparaison taux d'incidence BLSE la Musse et C.CLIN Paris-Nord en SSR-SLD BLSE (la Musse) BLSE (CCLIN) 0,50 0,46 0,40 0,30 0,28 0,32 0,33 0,30 0,31 0,20 0,10 0,11 0,08 0,15 0,13 0,18 0, Années 9

10 % de souches BLSE : Répartition selon l espèce «Changement de bactérie hôte de K. pneumoniae/enterobacter spp. vers E.coli» Répartition selon l espèce des souches d entérobactéries à BLSE 70% Enterobacter aerogenes Enterobacter cloacae Escherichia coli Klebsiella spp 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Années Actuellement bactéries hôtes : E.coli > E.cloacae = Klebsiella spp (pneumoniae) 10

11 BLSE : Répartition selon l origine «Augmentation très nette des infections communautaires (notamment urinaires) dues à des bactéries productrices de BLSE» Répartition des germes à BLSE selon l'origine du prélèvement Pr.respiratoires 7% Divers 3% Hémocultures 3% Séreuses et pus profonds 20% Urine 67% BLSE essentiellement retrouvés dans infections urinaires 11

12 BLSE : Répartition selon l origine «Augmentation très nette des infections communautaires (notamment urinaires) dues à des bactéries productrices de BLSE» BLSE trouvée dans l'urine en 2009 Mode de prélèvement urinaire Stomie 4% Naturel 12% Sondage 20% Penilex 8% SàD 56% En 2009 BLSE urinaire chez porteurs de sonde urinaire à demeure 12

13 BLSE : Répartition selon l origine «Augmentation très nette des infections communautaires (notamment urinaires) dues à des bactéries productrices de BLSE» BLSE trouvée dans l'urine en 2010 Modes de prélèvement urinaire Stomie 2% Inconnu 7% Sondage 21% Naturel : 41% - 12% SàD 17% SAD : 17% - 56% Naturel 41% Penilex 12% En 2010 BLSE urinaire sur prélèvement urinaire «naturel» 13

14 BLSE : Répartition selon la spécialité «Le nombre de souches productrices de BLSE augmente aussi dans les services hospitaliers hors USI, notamment dans les services de long et moyen séjour.» Nombre de BLSE selon la spécialité mai Gériatrie Neurologie Nutrition Ortho-Trauma Pneumologie S.S.P Soins Palliatifs Vasculaire Cardiologie 14

15 BLSE : Répartition selon la spécialité 2009 Soins Palliatifs 11% Vasculaire 3% S.S.P 17% Gériatrie 34% Cardiologie Cardiologie 4% 2010 Pneumologie 3% Ortho- Trauma 14% Neurologie 12% Vasculaire Vasculaire 18% Gériatrie 20% Nutrition 6% Soins Palliatifs 5% S.S.P 5% Neurologie 12% Pneumologie 5% Ortho- Trauma 18% Nutrition 13% Nutrition 15

16 Taux d'incidence Taux d'incidence BMR : Répartition selon la spécialité 4,00 3,80 3,60 3,40 3,20 3,00 2,80 2,60 2,40 2,20 2,00 1,80 1,60 1,40 1,20 1,00 0,80 0,60 0,40 0,20 0,00 Spécialités 4,00 3,80 3,60 3,40 3,20 3,00 2,80 2,60 2,40 2,20 2,00 1,80 1,60 1,40 1,20 1,00 0,80 0,60 0,40 0,20 0,00 Spécialités 0,00 0,55 0,42 0,42 0,96 0,68 0,83 0,61 Taux d'incidence des BMR par spécialités (pour 1000 js d'hospitalisation) prélèvements à visée diagnostic (2009) 0,32 0,32 Taux d'incidence des BMR par spécialités (pour 1000 js d'hospitalisation) prélèvements à visée diagnostic (2010) 0,51 0,51 0,57 0,41 0,69 0,43 0,17 0,20 0,37 0,78 0,09 0,09 0,27 0,27 0,31 0,19 0,38 0,40 0,20 Cardio Gériatrie Neuro Nut/Alcool Ortho-Trauma Pneumo S.S.P SS Onco/SP Vasculaire 0,49 0,29 Cardio Gériatrie Neuro Nut/Alcool Ortho-Trauma Pneumo S.S.P SS Onco/SP Vasculaire 0,76 BLSE SAMR 0,13 1,33 3,16 BLSE SAMR 16

17 BLSE : Sensibilité ATB Nbre de souches d'eblse ( mai 2011) Gentamicine Amikacine Quinolones Ciflox* Tiénam* Nbre de souches d'eblse S % de sensibilité 34,5% 84,5% 6,8% 14,5% 100,0% BMR C.CLIN Paris Nord ,5% 70,5% 17,8% 28,3% 90,3% Gentamicine Amikacine Quinolones Ciflox* Tiénam* Nbre de souches d'e.coli à BLSE ( mai 2011) Nbre de souches d'e.coli à BLSE S % de sensibilité 44,0% 80,0% 11,4% 26,0% 100,0% BMR C.CLIN Paris Nord ,2% 79,1% 20,7% 28,9% 99,3% 17

18 BMR : Contrôles hygiène Contrôles bactériologiques des surfaces (chambre) après nettoyage, entre 2 patients, en 2010 : 1 E.coli à BLSE (lavabo) 1 E.cloacae à BLSE (barrière de lit) 1 SAMR (fauteuil) Sans rapport avec les patients ayant occupés les chambres 18

19 CONCLUSION Evolution parallèle aux données nationales Données plus péjoratives / aux autres établissements SSR (recrutement des patients) POINTS POSITIFS : 19

20 % SAMR 80% % SAMR (SSR-CCLIN Paris Nord/La Musse) % SAMR % SAMR.C.Clin Paris Nord 70% 68% 70% 71% 66% 60% 59% 57% 55% 56% 51% 53% 53% 50% 49% 51% 52% 44% 40% 30% 20% 10% 0% Années Baisse du % de SAMR 20

21 Taux d'incidence (pour 1000 js d'hospi) Taux d incidence : SAMR Comparaison taux d'incidence SAMR la Musse et C.CLIN Paris-Nord en SSR-SLD SAMR (la Musse) SAMR (CCLIN) 1,40 1,30 1,20 1,10 1,00 0,90 0,80 0,70 0,60 0,50 0,40 0,30 0,20 0,10 0,00 1,30 1,21 1,04 0,99 1,01 0,88 0,88 0,7 0,65 0,51 0,53 0,53 0,50 0,43 0,77 0,72 0,73 0,65 0,41 0, Années Taux d incidence SAMR = Classe E 21

22 DDJ Consommation ATB 400,0 Consommation ATB entre 2006 et 2010 DDJ 2006 Musse DDJ 2007 Musse DDJ 2008 Musse DDJ 2009 Musse DDJ 2010 Musse 350,0 300,0 250,0 200,0 150,0 100,0 50,0 0,0 B.lactamines Fluoroquinolones Macrolides Aminosides Imidazolés Sulfamides Glycopeptides TOTAL Familles d'atb Baisse de la consommation totale d ATB 22

23 Consommation ATB 450,0 Consommation ATB total/ssr C.CLIN Paris Nord 400,0 350,0 300,0 DDJ 250,0 200,0 150,0 100,0 50,0 0,0 Musse 2006 Musse 2007 Musse 2008 CCLIN SSR 2008 Musse 2009 CCLIN SSR 2009 Musse 2010 Années Consommation qui reste forte par rapport aux autres établissements SSR- CCLIN Paris Nord 23

24 Sensibilité aux ATB Evolution du % de sensibiilité de P.aeruginosa aux ATB Ticarcilline Ceftazidime Céfépime Imipénèm Amikacine Ciprofloxacine-Ofloxacine Pyo 2011 Pyo 2010 Pyo 2009 Pyo 2008 Pyo 2007 Pyo 2006 Pyo 2005 Augmentation de la sensibilité aux ATB de Pseudomonas aeruginosa 24

25 Sensibilité aux ATB Entérocoques résistants aux glycopeptides = 0 isolement Entérobactéries résistantes aux carbapénèmes = 0 isolement 25

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