Un contexte de précarisation des locataires

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3 3 Un contexte de précarisation des locataires Comparés à la moyenne nationale, les revenus des ménages bourbonnais restent peu élevés. En effet, avec un revenu déclaré médian de par unité de consommation, le département se classe toujours parmi ceux dont le niveau de vie est le plus faible, puisqu en 2011, l Allier occupe le 72 ème rang national. Ce niveau de revenus par unité de consommation est logiquement le plus élevé chez les propriétaires occupants ( ), alors qu il est nettement plus faible chez les locataires du parc privé ( ) et du parc HLM ( ). Dans ce dernier, les 30% les plus modestes déclarent moins de de revenus annuels, par unité de consommation. Logiquement, la pauvreté monétaire est davantage marquée dans l Allier, qui se classe au 27 ème rang des départements métropolitains les plus touchés, avec un taux de pauvreté de 15,5%, contre 14,3% au niveau national. Cela dit, ce niveau reste encore éloigné de ceux observés en «Seine-Saint-Denis (24,8%), ainsi que dans les départements les plus concernés du nord de la France et de la façade méditerranéenne» 1. Depuis 2008 et la dégradation du marché de l emploi, cette pauvreté monétaire s accroit (+ 1 point entre 2008 et 2011), comme au plan national. Cette augmentation du taux de pauvreté concerne principalement les ménages qui sont déjà les plus touchés par la précarité : les jeunes de moins de 30 ans (taux de pauvreté de 18,8%) et les familles monoparentales (36,3%), qui logent le plus souvent dans les parcs locatifs. Ménages sous le seuil de pauvreté (filocom), par statut d occupation, en 2009 et 2013 dans l Allier Source : Filocom 2013, MEDDE, d après DGFiP. D ailleurs, entre 2009 et 2013, le taux de pauvreté (filocom) progresse uniquement chez les locataires du parc privé (+ 2 points) et, surtout, du parc HLM (+ 4 points), alors qu il diminue chez les propriétaires occupants (- 1 point). Taux de pauvreté des locataires en 2013, dans l Allier Source : Filocom 2013, MEDDE, d après DGFiP. Réalisation : ADIL03, décembre Insee Auvergne, «La pauvreté dans l Allier, les jeunes et les familles durement affectés par la crise», Analyses n 9, mai 2015.

4 4 Une progression continue des effectifs des bénéficiaires d une aide personnelle au logement dans les parcs locatifs Au 31 décembre 2014, on compte bénéficiaires d une aide personnelle au logement dans l Allier, ce qui représente individus, soit 1/5 de la population départementale, un niveau similaire à celui relevé au plan national. Répartition des bénéficiaires d une aide personnelle au logement selon le statut d occupation au 31 décembre 2014, dans l Allier La CAF représente 93% des aides personnelles au logement contre 7% pour la MSA, qui couvre les personnes relevant du régime agricole. Cette proportion est logiquement variable selon les territoires : elle est de 97% sur les noyaux urbains, alors qu elle descend à 85% sur les pôles secondaires et les communes rurales. Les bénéficiaires d une aide personnelle au logement sont majoritairement des locataires du parc privé (52%), suivis des locataires HLM (29%), des personnes hébergées dans un établissement (10%) et des accédants à la propriété (9%). Là encore, on note des nuances au niveau infra départemental, selon la structure du parc de logements ou la localisation des résidences. Répartition des bénéficiaires d une aide personnelle au logement, selon le statut d occupation et le secteur d étude, au 31 décembre 2014 dans l Allier Ainsi, les bénéficiaires d une aide au logement dans les parcs locatifs sont surreprésentés sur les noyaux urbains (89% des aides au logement), tandis que les propriétaires occupants aidés le sont davantage sur les communes périurbaines (25%), là où l accession à la propriété est la plus dynamique. Évolution du nombre de bénéficiaires d une aide au logement CAF, selon le statut d occupation, entre 2007 et 2014, dans l Allier Taux de perception d une aide personnelle au logement dans les parcs locatifs, en 2014, dans l Allier Source : CAF03, MSA Auvergne. En s attardant sur les aides au logement attribuées par la CAF, on relève une augmentation continue du nombre de bénéficiaires, essentiellement parmi les locataires des parcs privé et HLM, parallèlement au contexte de précarisation évoqué précédemment. Entre 2007 et 2014, le nombre de bénéficiaires d une aide au logement progresse ainsi de 11,4% dans le parc locatif privé et de 9,5% dans le parc HLM. Si la hausse dans le parc HLM est moins forte qu aux niveaux régional ou national, c est le constat inverse dans le parc locatif privé. En moyenne annuelle, la hausse a été brutale entre 2007 et 2010 dans les parcs locatifs, avant de ralentir jusqu en Depuis lors, la progression repart fortement, notamment sur les communes périurbaines, les pôles secondaires et les communes rurales, c està-dire là où les parts de locataires bénéficiaires d une aide personnelle au logement (taux de perception) sont les moins élevées. Dans l Allier, ce taux de perception de l aide (50%) reste d ailleurs supérieur de 5 points à celui observé au niveau national.

5 Taux de perception d une aide personnelle au logement parmi les locataires (privé + HLM) en 2014, dans l Allier 5 Réalisation : ADIL03, décembre Plus d 1 famille monoparentale sur 2 bénéficie d une aide personnelle au logement Nb : l analyse ne prend pas en compte les bénéficiaires d une aide au logement qui sont hébergés dans un établissement conventionné. Répartition des bénéficiaires d une aide personnelle au logement selon la composition des ménages, au 31/12/2014, dans l Allier Au 31 décembre 2014, 55% des bénéficiaires d une aide au logement de la CAF ou de la MSA sont des personnes seules, soit un niveau plus élevé qu en France métropolitaine (50%). Les familles monoparentales représentent, quant à elles, 21% des bénéficiaires et les couples sans enfants seulement 7%. En s attardant sur les aides au logement attribuées par la CAF, on constate que la hausse du nombre de bénéficiaires est essentiellement portée par les personnes seules ( entre 2007 et 2012), suivies des familles monoparentales (+ 911), alors qu à l inverse, l effectif des couples avec enfant(s) est en baisse (- 388). Ces tendances observées pour les bénéficiaires d une aide au logement de la CAF, le sont également pour l ensemble des ménages du département en Ainsi, la taille moyenne des ménages percevant une aide au logement dans le département est en baisse, passant de 2,2 personnes en 2007 à 2 en Cette taille est également légèrement plus faible qu au niveau national (2,2), mais identique au niveau régional. Ceci étant, sur les communes périurbaines et les communes rurales, la taille moyenne des ménages bénéficiaires est plus élevée (2,6 et 2,4), en raison d une plus forte présence de familles avec enfant(s), alors que sur les noyaux urbains elle est nettement plus faible (1,8), et qu elle reste identique à la moyenne départementale sur les pôles secondaires.

6 6 Répartition des bénéficiaires d une aide personnelle au logement selon la composition des ménages, par statut d occupation, au 31/12/2014, dans l Allier Au niveau des statuts d occupation, on observe que la taille moyenne des ménages bénéficiaires d une aide au logement en accession à la propriété est la plus élevée (3,3 individus), en raison d une présence de couples avec enfant(s), nettement majoritaire (71%). Avec 2,1 occupants en moyenne par ménage percevant une aide au logement, le parc HLM compte autant de personnes seules que de familles avec ou sans enfant(s). Taux de perception d une aide personnelle au logement selon la composition des ménages, au 31/12/2014, dans l Allier Quant au parc locatif privé, les personnes seules sont majoritaires, ce qui explique une taille moyenne des ménages bénéficiaires d une aide au logement relativement basse (1,7 occupant). Au final, au 31 décembre 2014, plus d 1 famille monoparentale sur 2 perçoit une aide au logement dans l Allier, avec un taux de perception globalement important chez les personnes seules (30%). Il faut également noter que seulement 5 % des couples sans enfant perçoivent une aide au logement. Source : CAF03, MSA Auvergne, Insee Une hausse du nombre de bénéficiaires qui concerne essentiellement les 40 ans et plus, même si ce sont les moins de 25 ans qui restent les plus aidés Au 31 décembre 2014, on constate une surreprésentation des ménages bénéficiaires d une aide au logement âgés de 40 ans et plus. En outre, la structure d âge est plus élevée que celle observée sur l Auvergne et sur la France métropolitaine. Répartition des bénéficiaires d une aide personnelle au logement par tranche d âge, au 31/12/2014, dans l Allier Entre 2007 et 2014, la hausse du nombre de bénéficiaires d une aide au logement de la CAF est essentiellement portée par les ans (+ 910 bénéficiaires). Les effectifs des 60 ans et plus et des ans enregistrent également une hausse (+ 716 et + 652), tandis que la tranche des ans est en baisse (- 341). Au niveau infra-départemental, c est sur les pôles secondaires que les bénéficiaires d une aide au logement sont les plus âgés, puisqu 1 sur 4 est âgé de 60 ans et plus. Quant aux noyaux urbains, ils présentent une proportion plus forte de jeunes bénéficiaires d une aide au logement (20% ont moins de 25 ans), en raison notamment de la présence d étudiants et de jeunes actifs sur les villes centres ; il faut toutefois noter que la part des 60 ans et plus est identique à celle du département.

7 Sur les communes rurales et les communes périurbaines, les ans sont surreprésentés et plus particulièrement sur ces dernières où ils représentent 55% des bénéficiaires d une aide au logement. C est également sur ces communes que la proportion de 60 ans et plus est la plus faible. 7 Répartition des bénéficiaires d une aide personnelle au logement par tranche d âge, au 31/12/2014, dans l Allier Au 31 décembre 2014, dans le parc privé, les moins de 25 ans représentent 23% des bénéficiaires d une aide au logement. Répartition des bénéficiaires d une aide personnelle au logement par tranche d âge, et par statut d occupation, au 31/12/2014, dans l Allier Dans le parc locatif HLM, les bénéficiaires sont globalement plus âgés que dans les autres parcs, puisque plus d 1 sur 4 est âgé de 60 ans et plus. Quant aux accédants à la propriété bénéficiaires d une aide au logement, ils sont plus de 70% à avoir entre 30 et 49 ans. Taux de perception d une aide personnelle au logement par tranche d âge, au 31 décembre 2014, dans l Allier Au final, en analysant le taux de perception d une aide au logement par tranche d âge, on observe que plus des 3/4 des ménages de moins de 25 ans du département perçoivent une aide au logement, contre seulement 15% des ménages de 40 ans et plus. Une fragilisation des bénéficiaires d une aide au logement Répartition des bénéficiaires d une aide personnelle au logement selon leur activité, au 31/12/2014, dans l Allier Au 31 décembre 2014, les inactifs et les chômeurs représentent près d 1 bénéficiaire d une aide personnelle au logement sur 2, contre 37,4% en France métropolitaine. Quant aux actifs disposant d un emploi ils constituent 31,6% des bénéficiaires, soit un niveau plus faible qu en France métropolitaine (34,8%). Ainsi, on observe une précarité plus marquée sur le département qu au niveau national. En outre, entre 2010 et 2014, on constate que les chômeurs et les autres inactifs sont les catégories de bénéficiaires d une aide au logement qui ont le plus progressé ( et ), contrairement aux actifs occupant un emploi qui affichent une baisse ( ). L effectif des étudiants est, quant à lui, relativement stable durant cette période.

8 8 A l échelle infra-départementale, au 31 décembre 2014, les actifs avec emploi bénéficiaires d une aide au logement sont surreprésentés sur les communes rurales et, surtout, sur les communes périurbaines. C est également sur ces dernières qu on relève la part la plus faible de retraités. Répartition des bénéficiaires d une aide personnelle au logement selon leur activité, et par secteur, au 31/12/2014, dans l Allier A l inverse, sur les pôles secondaires, les retraités représentent plus d 1 bénéficiaire d une aide au logement sur 5. Enfin, c est sur les noyaux urbains que l on observe logiquement une surreprésentation des étudiants. Il faut également noter que c est sur ce secteur que la part des actifs avec emploi est la moins importante et que la proportion de chômeurs est la plus marquée. Répartition des bénéficiaires d une aide personnelle au logement par statut d occupation, selon leur activité, au 31/12/2014, dans l Allier Au niveau des statuts d occupation des bénéficiaires d une aide personnelle au logement selon leur activité, on constate : - une surreprésentation logique des actifs occupant un emploi (60%), parmi les accédants à la propriété, - une fragilité davantage marquée dans le parc locatif HLM, avec une surreprésentation des inactifs 2 et des chômeurs, - une présence d étudiants essentiellement dans le parc locatif privé. Zoom sur les bénéficiaires d une aide au logement dans les établissements conventionnés (foyers, résidences universitaires CROUS, maisons de retraite, ) Au 31 décembre 2014, l Allier compte bénéficiaires d une aide au logement de la CAF ou de la MSA résidant dans un établissement conventionné, soit 10% des bénéficiaires d une aide au logement dans le département. Ce sont majoritairement des personnes seules (95%) et des retraités (58%). Quant aux étudiants, ils comptent 193 bénéficiaires (7%) vivant dans un établissement. Des taux d effort importants davantage représentés dans le parc locatif privé, mais à un niveau encore inférieur au plan national Au 31 décembre 2014, 17% des bénéficiaires d une aide au logement CAF consacrent au moins 30% de leurs revenus au paiement de leur loyer ou de leur mensualité d emprunt, malgré l effet solvabilisateur de l aide. En raison de prix de marché nettement plus modérés dans l Allier 3, cette part est toutefois moins importante que celle relevée en métropole (25%). C est dans le parc locatif privé que les taux d effort supérieurs à 30%, après aide, sont les plus représentés (23,3%), notamment sur les noyaux urbains et les communes périurbaines. Rapportés au nombre total de locataires du parc privé 4 (cf. carte ci-après), ces bénéficiaires constituent 8,3% des effectifs, soit un niveau inférieur à la moyenne nationale (11,1%). 2 La catégorie des autres inactifs comprend les personnes qui ne sont ni en emploi, ni au chômage, ni étudiants, ni retraités : hommes et femmes au foyer, personnes en incapacité de travailler 3 40% de différence avec les moyennes métropolitaines, en accession ou location privée. 4 Il convient par ailleurs de préciser que les loyers moyens acquittés par les bénéficiaires d une aide au logement de la CAF sont similaires au prix du marché pour les T1, les T2 et les T3, mais inférieur pour les typologies les plus grandes (T4 et plus).

9 9 Répartition des bénéficiaires d une aide au logement CAF, selon leur statut d occupation et leur taux d effort après aide, en 2014, dans l Allier Source : CAF03. C est ensuite parmi les accédants bénéficiaires d une aide au logement CAF que l on retrouve la part la plus forte de ménages supportant un taux d effort supérieur à 30% (22,1%), mais c est un niveau, là encore, sensiblement inférieur à celui relevé au plan national (31,3%). Au niveau infra départemental, le taux d accédants bénéficiaires affichant un taux d effort de plus de 30% reste le plus élevé sur les noyaux urbains (24%). Enfin, malgré une précarité davantage marquée 5, c est dans le parc HLM que la part des taux d effort supérieurs à 30% est la moins importante (6,1%), sans différence notable avec les moyennes auvergnate (6,8%) et métropolitaine (7,7%). Ainsi, rapportés au nombre total de locataires HLM, ces bénéficiaires d une aide au logement en difficulté constituent seulement 3% des effectifs, comme au plan national. Cette part est plus élevée sur les communes périurbaines et les communes rurales (4,5%), là où le parc HLM est principalement constitué de maisons individuelles aux loyers plus onéreux. Les bénéficiaires d une aide au logement CAF affichant des taux d effort important, dans le parc locatif privé, en 2014, dans l Allier Source : Filocom 2013, Insee - recensement de la population Réalisation : ADIL03, décembre % des bénéficiaires d une aide au logement CAF dans le parc HLM perçoivent le RSA, contre 24% dans le parc locatif privé et 14% parmi les accédants à la propriété.

10 10 Par ailleurs, la différence de taux d effort entre le parc locatif privé et le parc HLM s explique principalement : - par des loyers moins élevés de 20% en moyenne dans le parc HLM ; - par des montants d aides au logement globalement plus élevés dans le parc HLM ; - ainsi que par le jeu des attributions et des mutations, qui protège les locataires HLM. Taux d impayés recensés chez les bénéficiaires d une aide au logement CAF selon le statut d occupation, dans l Allier Ceci étant, c est dans le parc HLM que l on retrouve le plus de situations d impayés recensées 6. En effet, au 31 décembre 2014, bénéficiaires d une aide au logement CAF sont en situation d impayés, dont les 2/3 (soit 700 ménages) sont locataires dans le parc HLM. Source : CAF 03. Le taux d impayés chez ces locataires du parc HLM est de 6,6% en 2014 et il progresse depuis 2012, principalement sur les noyaux urbains, contrairement au parc locatif privé, où il est 3 fois moins important. Aides au logement : les aides au logement (ou allocations logement) sont des prestations sociales dont la finalité est de réduire les dépenses de logement des familles (loyer, mensualités d emprunt) ou des personnes hébergées dans des résidences conventionnées (résidences universitaires, logements-foyer ). Elles sont accordées par la CAF ou la MSA sous condition de ressources, permettant donc aux bénéficiaires de parvenir au niveau du minimum concerné. Elles sont calculées en tenant compte également de la situation familiale, du montant du loyer (dans la limite d un certain plafond), de la nature du logement (conventionné ou non) et du lieu de résidence du bénéficiaire, avec un zonage allant du niveau I pour les zones les plus tendues, au niveau III pour les moins tendues comme c est le cas pour l Allier. Ménage : l Insee définit le ménage comme l ensemble des occupants d une résidence principale, qu ils aient ou non des liens de parenté. Un ménage peut ne comprendre qu une seule personne. Ne font pas partie des ménages, les personnes vivant dans des habitations mobiles (y compris les mariniers et les sans-abri) et la population des communautés (foyers de travailleurs, maisons de retraite, résidences universitaires, maisons de détention...). Revenu médian : il correspond au revenu qui partage exactement en deux la population : la moitié de la population dispose d un revenu plus élevé que le revenu médian, l autre Quelques définitions moitié d un revenu moins élevé. Le revenu médian est ainsi moins sensible que la moyenne aux valeurs extrêmes. Secteur urbain : il comprend les trois Communautés d agglomération. Seuil de pauvreté : un individu (ou un ménage) est considéré comme pauvre lorsqu il vit dans un ménage dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté. Le seuil est déterminé par rapport à la distribution des niveaux de vie de l ensemble de la population. Les données du fichier Filocom sont présentées avec un seuil à 50 % de la médiane des niveaux de vie et ne tiennent pas compte des prestations sociales. Pour l Insee, le seuil est à 60% et il est tenu compte des prestations sociales. Taux d effort : dans cette étude, le taux d effort correspond à la part des revenus qu un ménage consacre au paiement du loyer ou de la mensualité d emprunt, défalqué de l aide au logement. Taux de perception de l aide au logement : c est la proportion de ménages bénéficiaires de l aide au logement. Unité de consommation : il s agit d un système de pondération attribuant un coefficient à chaque membre du ménage et permettant de comparer les niveaux de vie de ménages de tailles ou de compositions différentes. Avec cette pondération, le nombre de personnes est ramené à un nombre d unités de consommation (UC). Source : Insee, Réalisation : ADIL03, janvier Les différents zonages Noyaux urbains (ou villes centres) : pour les besoins de l étude, il correspond aux principales villes structurantes de chaque Communauté d Agglomération. Il s agit des ensembles Montluçon-Domérat-Désertines, Moulins-Yzeure-Avermes et Vichy-Cusset-Bellerive. Pôles secondaires : ils correspondent aux communes définies par l Insee comme étant des pôles structurants des bassins de vie (hors noyaux urbains). Communes rurales : ce zonage est constitué de l ensemble des communes qui ne sont pas sous l aire d influence des pôles d emplois urbains. Communes périurbaines : il s agit de l ensemble des communes situées dans l aire d influence d un ou de plusieurs pôles d emplois, c est-à-dire que 40% des actifs résidents sur ces communes travaillent sur un ou plusieurs pôles d emplois. 6 Les situations d impayés sont déclaratives. Ainsi, il convient de prendre avec précaution les chiffres sur le parc locatif privé.

11 11 Communauté d Agglomération Montluçonnaise Une augmentation notable du nombre de bénéficiaires d une aide personnelle au logement dans les parcs locatifs, notamment dans le secteur privé Au 31 décembre 2014, on compte bénéficiaires d une aide personnelle au logement (dont 94% sur le noyau urbain), ce qui correspond à personnes couvertes, soit 24% de la population (23% sur l ensemble du secteur urbain). Les locataires du parc privé représentent 49% des bénéficiaires d une aide au logement, suivis des locataires HLM (38%), des personnes en établissements (7%) et des accédants à la propriété (6%). Parallèlement à la hausse du taux de pauvreté pour l ensemble des locataires, qui passe de 36,4% en 2009 à 39,4% en 2013, on relève une augmentation continue du nombre de bénéficiaires de l aide au logement CAF entre 2007 et 2014, essentiellement parmi les locataires du parc privé (+ 400 bénéficiaires, soit + 12%) et HLM (+ 150, soit + 5%), alors que les effectifs des accédants à la propriété sont en légère baisse (- 20, soit - 4%). Par ailleurs, si cette progression du nombre de locataires aidés apparait moins forte que sur l ensemble du secteur urbain, il convient de préciser que le nombre total de locataires est en baisse sur le territoire. Ainsi, le taux de perception est en nette augmentation ces dernières années, pour atteindre 52% sur l ensemble des parcs locatifs (46% dans le secteur privé et 60% dans le secteur HLM), un niveau similaire à la moyenne du secteur urbain (53%). Une fragilisation des bénéficiaires d une aide personnelle au logement liée à une hausse du nombre de personnes seules, de familles monoparentales et de ménages sans emploi Au 31 décembre 2014, 58% des bénéficiaires d une aide au logement sont des personnes seules, suivis des familles monoparentales (22%), des couples avec enfant(s) (14%) et des couples sans enfant (6%). Si l on s attarde sur les bénéficiaires d une aide au logement de la CAF, entre 2007 et 2014, on constate une diminution de la taille moyenne des ménages (1,9 contre 2,1 en 2007), en raison d une forte progression du nombre de personnes seules (+ 408) et de familles monoparentales (+ 153). C est d ailleurs sur ces typologies de ménages que les taux de perception sont les plus élevés et plus particulièrement pour les familles monoparentales (65%). Comme pour l ensemble des ménages du territoire communautaire, la structure d âge des bénéficiaires d une aide au logement de la CAF est vieillissante. En effet, entre 2007 et 2014, les effectifs des 40 ans et plus, qui sont majoritaires, sont en forte progression (+ 400) et plus particulièrement les 60 ans et plus (+ 158), tandis que l effectif des ans est en recul (- 51). Ceci étant, ce sont les moins de 25 ans qui sont les plus aidés, avec un taux de perception de 86%, contre 77% au niveau départemental. En analysant l activité, on constate une fragilisation marquée des bénéficiaires d une aide au logement, avec une sous-représentation des actifs avec emploi (28,8%) et une surreprésentation des chômeurs (18,1%) et des autres inactifs (31%). En outre, entre 2010 et 2014, en regardant uniquement les bénéficiaires d une aide au logement de la CAF, ce sont ces deux dernières catégories qui progressent le plus (+ 856 et + 481), alors que le nombre d actifs avec emploi est en baisse (- 384). Des taux d effort modérés dans le parc HLM, mais une progression du nombre d impayés de loyers Les bénéficiaires d une aide personnelle au logement supportant des taux d effort supérieurs à 30% sont sous-représentés dans le parc HLM (2,5%), par rapport à ce qui est observé sur l ensemble du secteur urbain (2,9%). La principale raison de ce plus faible niveau semble être un loyer moyen inférieur de 5% à celui relevé sur le secteur urbain. Cela dit, la hausse du nombre d impayés est importante dans le parc HLM sur la ville de Montluçon (197 en 2014, contre 140 en 2011). Par ailleurs, dans le parc locatif privé, les bénéficiaires d une aide au logement supportant un taux d effort important (plus de 30%), représentent 9% de l ensemble des ménages, soit un niveau similaire à la moyenne des agglomérations du département.

12 12 Moulins Communauté Une hausse sensible du nombre de bénéficiaires d une aide personnelle au logement dans les parcs locatifs, mais un taux de perception qui reste inférieur à la moyenne relevée sur l ensemble du secteur urbain Au 31 décembre 2014, on recense bénéficiaires d une aide personnelle au logement (dont 86% sur le noyau urbain), ce qui correspond à personnes couvertes, soit 22% de la population (23% sur l ensemble du secteur urbain). Les locataires du parc privé représentent seulement 46% des bénéficiaires d une aide au logement, suivis des locataires HLM (40%), des personnes en établissements (9%) et des accédants à la propriété (6%). Parallèlement à la hausse du taux de pauvreté pour l ensemble des locataires, qui passe de 30,8% en 2009 à 33,3% en 2013, on relève une augmentation continue du nombre de bénéficiaires de l aide au logement CAF entre 2007 et 2014, parmi les locataires du parc privé (+ 310 bénéficiaires, soit + 12%) et HLM (+ 200, soit + 9%), mais également chez les accédants à la propriété (+ 80, soit + 20%), contrairement aux deux autres agglomérations. Par ailleurs, si cette progression du nombre de bénéficiaires parmi les locataires est similaire à celle relevée sur l ensemble du secteur urbain, il convient de préciser que les parcs locatifs sont en recul sur le territoire. Ainsi, le taux de perception augmente fortement ces dernières années, pour atteindre 50% sur l ensemble des parcs locatifs (43% dans le secteur privé et 61% dans le secteur HLM), un niveau qui reste toutefois inférieur à la moyenne du secteur urbain (53%), notamment dans le secteur privé (49%). Une fragilisation des bénéficiaires d une aide personnelle au logement liée à une hausse du nombre de personnes seules, de familles monoparentales et de ménages sans emploi Au 31 décembre 2014, 57% des bénéficiaires d une aide au logement sont des personnes seules, suivis des familles monoparentales (21%), des couples avec enfant(s) (15%) et des couples sans enfant (7%). Si l on s attarde sur les bénéficiaires d une aide au logement de la CAF, entre 2007 et 2014, on constate une baisse de la taille moyenne des ménages (1,9 contre 2,1 en 2007), en raison d une forte progression du nombre de personnes seules (+ 387) et de familles monoparentales (+ 205). C est d ailleurs sur ces typologies de ménages que les taux de perception sont les plus élevés et plus particulièrement pour les familles monoparentales (64%). L analyse de la structure d âge des bénéficiaires d une aide au logement met en avant un vieillissement légèrement moins marqué sur la Communauté d agglomération que sur le département, avec une présence des 50 ans et plus moins élevée (33%, contre 35% dans l Allier). Ceci étant, comme pour l ensemble des ménages du périmètre communautaire, la structure d âge des bénéficiaires d une aide au logement est quand même vieillissante. En effet, en analysant uniquement les bénéficiaires d une aide au logement de la CAF, on constate que les effectifs des ans et des 60 ans et plus sont en hausse (+ 129 et + 113). Cependant, le territoire gagne également un nombre significatif de bénéficiaires de moins de 25 ans (+ 207). En outre, c est cette tranche d âge qui est la plus aidée, avec un taux de perception de l aide de 82%, contre 77% sur l Allier. En analysant l activité des bénéficiaires d une aide au logement, on constate sur l agglomération une surreprésentation des actifs avec emploi (33,3% contre 31,6% dans l Allier) et une présence moins marquée des autres inactifs (25,4% contre 28,2% sur le département). Cependant, entre 2010 et 2014, en regardant uniquement les bénéficiaires d une aide au logement de la CAF, on observe une fragilisation des bénéficiaires, en raison d une forte hausse du nombre de chômeurs (+ 694) et des autres inactifs (+ 230), alors que le nombre d actifs avec emploi est en baisse (- 217). Des taux d effort modérés dans le parc locatif privé Les bénéficiaires d une aide au logement supportant des taux d effort supérieurs à 30% sont sous-représentés dans le parc locatif privé (8%), par rapport à ce qui est observé sur l ensemble du secteur urbain (9%). La principale raison de ce plus faible taux semble être un niveau de perception du RSA chez ces bénéficiaires de l aide nettement moins élevé sur le territoire (19%) que sur l ensemble du secteur urbain (23%). Par ailleurs, dans le parc HLM, les locataires aidés supportant un taux d effort important (plus de 30%), représentent 3% de l ensemble des ménages, soit un niveau similaire à la moyenne des agglomérations du département. Toutefois, le nombre d impayés progresse parmi les locataires HLM bénéficiant d une aide au logement CAF, essentiellement sur la ville de Moulins (129 situations en 2014, contre 98 en 2011).

13 13 Vichy Val d Allier Une augmentation notable du nombre de bénéficiaires d une aide personnelle au logement dans les parcs locatifs, et un taux de perception qui reste supérieur à la moyenne relevée sur l ensemble du secteur urbain Au 31 décembre 2014, on compte bénéficiaires d une aide personnelle au logement, ce qui correspond à personnes couvertes, soit 23% de la population, comme sur l ensemble du secteur urbain. Les locataires du parc privé représentent 61% des bénéficiaires d une aide au logement, suivis des locataires HLM (27%), des personnes en établissements (7%) et des accédants à la propriété (6%). Parallèlement à la hausse du taux de pauvreté pour l ensemble des locataires, qui passe de 33,5% en 2009 à 37,3% en 2013, on note une augmentation continue du nombre de bénéficiaires de l aide au logement CAF entre 2007 et 2014, essentiellement parmi les locataires du parc privé (+ 680 bénéficiaires, soit + 13%) et HLM (+ 200, soit + 16%), alors que les effectifs des accédants à la propriété sont en baisse (- 20, soit - 3%). Si cette progression du nombre de locataires aidés est nettement supérieure à celle relevée sur l ensemble du secteur urbain, il convient de préciser que le nombre total de locataires est en hausse sur le territoire, contrairement aux deux autres agglomérations. Cela dit, le taux de perception progresse ces dernières années, pour atteindre 57% sur l ensemble des parcs locatifs (54% dans le secteur privé et 65% dans le secteur HLM), un niveau qui reste supérieur à la moyenne du secteur urbain (53%), ce qui met en exergue une précarité marquée des locataires sur Vichy Val d Allier. Une fragilisation des bénéficiaires d une aide personnelle au logement liée à une hausse du nombre de personnes seules, de familles monoparentales et de ménages sans emploi Au 31 décembre 2014, 61% des bénéficiaires d une aide au logement sont des personnes seules, suivis des familles monoparentales (20%), des couples avec enfant(s) (13%) et des couples sans enfant (7%). Si l on s attarde sur les bénéficiaires d une aide au logement de la CAF, entre 2007 et 2014, on constate une baisse de la taille moyenne des ménages (1,8 contre 2 en 2007), en raison d une forte progression du nombre de personnes seules (+ 731) et de familles monoparentales (+ 245), parmi les bénéficiaires d une aide au logement de la CAF. C est d ailleurs sur ces typologies de ménages que les taux de perception d une aide au logement sont les plus élevés et plus particulièrement pour les familles monoparentales (57%). Comme pour l ensemble des ménages du périmètre communautaire, la structure d âge des bénéficiaires d une aide au logement de la CAF est vieillissante. En effet, entre 2007 et 2014, les 40 ans et plus sont en forte progression (+ 658) et plus particulièrement les (+ 335). Cependant, la Communauté d agglomération gagne également un nombre significatif de bénéficiaires de moins de 25 ans (+ 272). Par ailleurs, ce sont les ménages de cette tranche d âge qui sont les plus aidés, avec un taux de perception de 82%. En analysant l activité des bénéficiaires d une aide au logement, on constate sur l agglomération une surreprésentation des étudiants (11,2%) et une sous-représentation des actifs avec emploi (27,5%), par rapport au département (6% et 31,6%). Cependant, entre 2010 et 2014, en regardant uniquement les bénéficiaires d une aide au logement de la CAF, on observe une fragilisation marquée des bénéficiaires, en raison d une forte hausse du nombre de chômeurs et des autres inactifs (+ 551 et + 445), alors que le nombre d actifs avec emploi est en baisse (- 281). Des taux d effort plus importants que la moyenne observée sur le secteur urbain Les bénéficiaires d une aide au logement supportant des taux d effort supérieurs à 30% sont davantage représentés que sur l ensemble du secteur urbain. Cette surreprésentation s observe dans le parc social et dans le parc locatif privé, où les bénéficiaires en difficulté constituent respectivement 3,2% de l ensemble des locataires HLM (2,9% sur le secteur urbain) et 9,7% des locataires du secteur privé (9% sur l ensemble du secteur urbain). Cette surreprésentation s explique à la fois par des montants de loyers plus élevés et des taux de perception du RSA plus importants parmi les bénéficiaires d une aide au logement. Par ailleurs, le nombre d impayés progresse parmi les locataires HLM bénéficiant d une aide au logement CAF, essentiellement sur les villes de Vichy et de Cusset (119 situations en 2014, contre 74 en 2011).

14 14 Ensemble des Communautés de communes Une augmentation notable du nombre de bénéficiaires d une aide personnelle au logement dans les parcs locatifs, et un taux de perception qui reste nettement inférieur à la moyenne relevée sur le secteur urbain Au 31 décembre 2014, on compte bénéficiaires d une aide personnelle au logement, ce qui correspond à personnes couvertes, soit 17% de la population (23% sur le secteur urbain). Les locataires du parc privé représentent 50% des bénéficiaires d une aide au logement, suivis des locataires HLM (21%). Ceci étant, ce sont les accédants à la propriété (15%) et les personnes en établissements (15%) qui sont surreprésentés parmi les bénéficiaires, par rapport aux moyennes relevées sur le secteur urbain. Parallèlement à la hausse du taux de pauvreté pour l ensemble des locataires, qui passe de 33,7% en 2009 à 37,5% en 2013, on note une augmentation continue du nombre de bénéficiaires de l aide au logement CAF entre 2007 et 2014, mais qui reste inférieure à celle relevée sur le secteur urbain. La progression concerne essentiellement les bénéficiaires du parc locatif privé (+ 470 ménages, soit + 9%) et ceux du parc HLM (+ 200, soit + 9%), alors que le nombre d accédants à la propriété bénéficiaires d une aide au logement diminue (- 90, soit - 6%). Au final, le taux de perception dans les parcs locatifs (44%) reste nettement inférieur à celui relevé sur le secteur urbain (53%). Une fragilisation des bénéficiaires d une aide personnelle au logement liée à une hausse du nombre de personnes seules, de familles monoparentales et de ménages sans emploi Au 31 décembre 2014, 47% des bénéficiaires d une aide au logement sont des personnes seules, suivis des couples avec enfant(s) (24%), des familles monoparentales (21%), et des couples sans enfant (8%). C est sur ce secteur d étude que les couples avec enfant(s) sont les plus nombreux et que la part des personnes seules est la plus faible Si l on s attarde sur les bénéficiaires d une aide au logement de la CAF, entre 2007 et 2014, on constate une diminution de la taille moyenne des ménages (2,3 contre 2,5 en 2007), en raison du recul de l effectif des couples avec enfant(s) (- 306), conjugué à une forte progression du nombre de personnes seules (+ 560) et de familles monoparentales (+ 308). C est d ailleurs sur ces typologies de ménages que les taux de perception d une aide au logement sont les plus élevés et particulièrement pour les familles monoparentales (46%). Comme pour l ensemble des ménages du périmètre d étude, la structure d âge des bénéficiaires d une aide au logement de la CAF est vieillissante. En effet, entre 2007 et 2014, les 40 ans et plus sont en forte progression (+ 893) et plus particulièrement les ans (+ 332), tandis que l effectif des ans est en net recul (- 332). Ceci étant, ce sont les moins de 25 ans qui sont les plus aidés avec un taux de perception de 57%. En analysant l activité des bénéficiaires d une aide au logement, on constate sur l ensemble des Communautés de communes une surreprésentation des actifs avec emploi (36%, contre 31,6% dans l Allier) et des retraités (18,9%, contre 16,9%). Cependant, entre 2010 et 2014, en regardant uniquement les bénéficiaires d une aide au logement de la CAF, on observe une fragilisation marquée des bénéficiaires, en raison d une forte hausse du nombre de chômeurs et des autres inactifs ( et + 772), tandis que le nombre d actifs avec emploi est en baisse (- 905). Des taux d effort modérés dans le parc locatif privé Les bénéficiaires d une aide au logement supportant des taux d effort supérieurs à 30% sont sousreprésentés dans le parc locatif privé (7%), par rapport à ce qui est observé sur le secteur urbain (9%). La principale raison de ce plus faible niveau est un loyer moyen inférieur de 20% à celui relevé sur le secteur urbain. Par ailleurs, dans le parc HLM, les bénéficiaires d une aide au logement supportant un taux d effort important (plus de 30%), représentent 3,1% de l ensemble des ménages, soit un niveau similaire à la moyenne des agglomérations du département. Ceci étant, le nombre d impayés progresse parmi les locataires HLM bénéficiant d une aide au logement CAF, essentiellement sur les pôles secondaires du secteur rural (130 situations en 2014, contre 101 en 2011).

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