Le nouveau cadre juridique et ses conséquences
|
|
- Angèline Rancourt
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le nouveau cadre juridique et ses conséquences F Palle Guillabert Délégué général (Association française des Sociétés Financières) ASFFOR Réunion d information réflexion 1 7 octobre 2013
2 L Association française des Sociétés Financières L ASF promeut la spécialisation en matière de crédit et de services financiers et d investissement. Plus de 300 adhérents (sociétés financières, banques spécialisées, entreprises d investissement), salariés. Une gamme de métiers spécialisés : Financement des entreprises et des professionnels (investissements en équipement et en immobilier d entreprise) avec le crédit-bail, mobilier et immobilier, les Sofergie et l affacturage. Financement des ménages (crédit à la consommation et à l habitat). Services financiers (cautions) et services d investissement (tous les métiers relatifs aux titres et autres instruments financiers). 300 milliards d euros d encours de crédit, soit près de 20% du total des crédits au secteur privé. 2 2
3 CRR 4 : le nouveau cadre juridique européen Le règlement européen CRR4 qui transpose Bâle III définit en son article 4 les établissements de crédit : Au sens européen EC = collecter des dépôts ou posséder des fonds remboursables du public et octroyer des crédits Au sens du droit français (art L du CMF) EC = effectuer à titre de profession habituelle des opérations de banque au sens de l article L311-1 (soit réception de fonds du public, soit opérations de crédit, soit services bancaires de paiement). La définition européenne, cumulative, est plus restrictive que la définition alternative française. Le règlement est d application directe : il faut donc mettre en conformité la définition française avec le droit européen. 3 3
4 L ordonnance du 27 juin 2013, prise en application de la loi du 31 décembre 2012 réforme le statut actuel des établissements de crédit : une nouvelle définition de l établissement de crédit (art. L511-I COMOFI); «Les établissements de crédit sont des personnes morales dont l activité consiste, pour leur propre compte et à titre de profession habituelle, à recevoir des fonds remboursables du public mentionnés à l article L312-2 et à octroyer des crédits mentionnés à l article L313-1.» la création de la société de financement ; «Les sociétés de financement sont des personnes morales autres que des établissements de crédit qui effectuent à titre de profession habituelle et pour leur propre compte des opérations de crédit dans les conditions et limites définies par leur agrément». la création des établissements de crédit spécialisés (art.l513-1 COMOFI) ; «Les établissements de crédit spécialisés mentionnés à l article L511-9 ne peuvent effectuer que les opérations de banque résultant des dispositions législatives ou réglementaires qui leur sont propres ou de la décision d agrément qui les concerne.» 4 4
5 Tableau synoptique juridique et prudentiel STATUTS ETABLISSEMENTS DE CREDIT SOCIETES DE FINANCEMENT Banque Ets de crédit spécialisé dont SCF et SFH Agrément Large ou limité limité limité Solvabilité CRD4 Comparable à CRD 4, avec spécificités (cautions) si solo Exo CRD4 si conso par la mère bancaire? Liquidité CRD4 Française si solo Exo CRD4 si conso par la mère bancaire? Levier CRD4 NON si solo CRD4 si conso par la mère bancaire Passeport OUI OUI si filiale à 90 % d'un établissement de crédit Refinancement BCE OUI NON Convention collective AFB ASF ASF Fonds de garantie OUI En principe NON - Consultation FDGR en cours Réserves obligatoires OUI NON 55
6 6 6
7 Le calendrier de la réforme Les étapes législatives et réglementaires 28 Juin 2013 publication de l ordonnance créant le statut des sociétés de financement???? publication de l arrêté portant sur les dispositions réglementaires prudentielles 1 er octobre 2013 ouverture de la période «d opt out» d une durée de 12 mois 1 er janvier 2014 entrée en vigueur de CRD4 7 7
NOTE DE PRÉSENTATION
AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRÉSENTATION RÈGLEMENT N 2014-02 du 6 février 2014 Relatif aux modalités d établissement des comptes des sociétés de financement Abrogé et repris par règlement ANC
Plus en détailContrôle interne Le nouveau cadre prudentiel
Contrôle interne Le nouveau cadre prudentiel ASF Formation 10 février 2015 Sommaire 1. Introduction 2. Focus sur le nouvel arrêté relatif au contrôle interne 3. Les principales mesures de transposition
Plus en détailRetour sur un statut juridique atypique : la société de financement à double agrément
Page 1 sur 5 Imprimé par edeabreu@kramerlevin.com Cette impression est à usage strictement personnel. Si vous souhaitez utiliser cet article à des fins collectives, merci de contacter Revue Banque. Accueil
Plus en détailAu terme de notre journée d étude particulièrement. Observations sur l approche institutionnelle de la réforme du 24 janvier 1984
Observations sur l approche institutionnelle de la réforme du 24 janvier 1984 YVES GÉRARD Ancien Doyen à la chambre commerciale, financière et économique de la Cour de cassation Si la loi bancaire de 1984
Plus en détailRéformes européennes et stabilité financière
Réformes européennes et stabilité financière 3/04/2012 Martin MERLIN Chef d'unité DG Marché intérieur et services Causes de la crise financière de 2007-2008 Déséquilibres macro-économiques Lacunes réglementaires
Plus en détailI N V I T A T I O N Cycle de formation
I N V I T A T I O N Cycle de formation Comprendre les conditions de financement des PME post-crise De 8h30 à 14h - CGPME 75 19 rue de l Amiral d Estaing 75116 Paris OBJECTIF DU SEMINAIRE : Les PME sont
Plus en détailDiscours de M. Bruno SALMON, Président de l ASF, à l occasion de l Assemblée Générale du 7 juin 2011
Discours de M. Bruno SALMON, Président de l ASF, à l occasion de l Assemblée Générale du 7 juin 2011 Madame, Je vous remercie très sincèrement d avoir répondu à notre invitation et d être venue à la rencontre
Plus en détailGroupe Crédit Mutuel Arkéa Résultats annuels 2013. Avril 2014
Groupe Crédit Mutuel Arkéa Résultats annuels 2013 Avril 2014 Avertissement Ce document peut comporter des éléments de projection et des commentaires relatifs aux objectifs et à la stratégie du Crédit Mutuel
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 30 juillet 2015 RESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015 Croissance des résultats opérationnels Produit Net Bancaire : 2 929 millions d euros (+ 2.9
Plus en détailMise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU)
Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) 1. Le MSU est l un des piliers de l Union bancaire européenne 2. La mise en œuvre opérationnelle
Plus en détailBienvenue dans votre FIBENligne
Bienvenue dans votre FIBENligne Retrouvez dans votre FIBENligne toutes les nouveautés FIBEN et l ensemble des services que la Banque de France met à votre disposition pour vous aider dans votre maîtrise
Plus en détailETABLISSEMENT DE CREDIT AGREE EN QUALI TE DE SOCI ETE FINANCIERE Société Anonym e à Directoire et Conseil de Surveillance au capital de ¼175 000 000
qph 75,0(675( 5$33257'8',5(&72,5( $8&216(,/'(6859(,//$1&( &2037(675,0(675,(/6 ETABLISSEMENT DE CREDIT AGREE EN QUALI TE DE SOCI ETE FINANCIERE Société Anonym e à Directoire et Conseil de Surveillance au
Plus en détailMaster en Gouvernance bancaire, contrôle et audit interne
Master en Gouvernance bancaire, contrôle et audit interne EVALUATION PRELEMINAIRE COURS SUR LE REGLEMENTATION PRUDENTIELLE ET SUPERVISION BANCAIRE Cours dirigé par Mme Nadia Gamha, Directrice Générale
Plus en détailAu cœur du développement de la banque commerciale et des réseaux bancaires
Services Financiers Spécialisés Au cœur du développement de la banque commerciale et des réseaux bancaires banque de financement & d investissement / épargne / services financiers spécialisés Natixis une
Plus en détailCentrale des crédits aux entreprises
Centrale des crédits aux entreprises Bruxelles, mercredi 23 octobre 2013 Patrick BISSOT Introduction Le crédit est important et même nécessaire pour l'économie... 2 / 25 Crédits enregistrés à la CCE Comparaison
Plus en détailEtablissements de Crédits et IOB
Etablissements de Crédits et IOB GE Money Bank Une présence historique dans les services financiers GE Money Bank est une banque française issue de l acquisition en 1995 du Crédit de L Est et de la Banque
Plus en détailLa supervision des banques et des assurances par l Autorité de contrôle prudentiel : Défis et opportunités dans un environnement en mutation
La supervision des banques et des assurances par l Autorité de contrôle prudentiel : Défis et opportunités dans un environnement en mutation Danièle NOUY, Secrétaire général de l Autorité de contrôle prudentiel
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 25 février 2014 RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE Portée par ses activités de crédits, La Banque Postale poursuit son développement et enregistre des résultats
Plus en détailUne banque démarre son activité sans un euro de dépôt
Une banque démarre son activité sans un euro de dépôt INTRODUCTION Le cas présenté ci-après permet de comprendre le fonctionnement général d une banque mais reste un cas d école purement théorique. Imaginons
Plus en détailPerformance des résultats et solidité renforcée
4 mars 2015 Le groupe Crédit Mutuel en 2014 1 Performance des résultats et solidité renforcée Un résultat net de 3 027 M (soit + 11,4 %) permettant de renforcer la structure financière du Crédit Mutuel
Plus en détailNOTE D INSTRUCTIONS AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT NI 03/2013
INSTITUT D EMISSION D OUTRE-MER NOTE D INSTRUCTIONS AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT NI 03/2013 CRITERES D'ADMISSIBILITE DES CREANCES SUR LES ENTREPRISES AUX DISPOSITIFS DE GARANTIE DU REESCOMPTE ET DE LA
Plus en détailTABLEAU SYNOPTIQUE DES INCITATIONS FISCALES
TABLEAU SYNOPTIQUE DES INCITATIONS FISCALES Réforme globale du Code Général des Impôts Fiche technique thématique Mesures Modalités pratiques Objectif poursuivi 1 Crédit d impôt pour investissement (Impôt
Plus en détailCapital Requirement Regulation
Capital Requirement Regulation Sommaire du règlement UE n 575/2013 Exigences prudentielles applicables aux établissements de crédit et entreprises d investissement La directive CRD IV et le règlement
Plus en détailProspectus Crédit d investissement hypothécaire
Prospectus Crédit d investissement hypothécaire ÉDITION N 1 D APPLICATION A PARTIR DU 18 AOUT 2015 Elantis, votre spécialiste du crédit hypothécaire Quels sont les buts admis? Les crédits hypothécaires
Plus en détailLE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE
LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE J O U R N É E S A J B E F N I A M E Y M A I 2 0 1 2 P R É S E N T É P A R M R D A O B A B A ( F G H M. S A / M A L I ) Préambule L objectif de la présente communication
Plus en détailLe système bancaire parallèle : vers plus de transparence?
Le système bancaire parallèle : vers plus de transparence? CNIS, commission Système financier et financement de l'économie Jeudi 25 septembre 2014 Omar Birouk DGS-Banque de France Yamina Tadjeddine EconomiX,
Plus en détailDeuxième actualisation du document de référence 2013 déposée auprès de l Autorité des marchés financiers le 13 août 2014
Deuxième actualisation du document de référence 2013 déposée auprès de l Autorité des marchés financiers le 13 août 2014 Document de référence 2013 déposé auprès de l Autorité des marchés financiers le
Plus en détailParis, le 31 juillet 2014
Paris, le 31 juillet 2014 Groupe BPCE : 1 er semestre 2014 solide avec un résultat net part du groupe de 1,7 milliard d euros 1 en hausse de 10,4 % par rapport au 1 er semestre 2013 Bonne performance commerciale
Plus en détailInstruction de la Direction du Crédit et des Marchés de Capitaux de Bank AI-Maghrib (Service Central des Risques ) du 23 janvier 2003
Instruction de la Direction du Crédit et des Marchés de Capitaux de Bank AI-Maghrib (Service Central des Risques ) du 23 janvier 2003 La présente Instruction a pour objet de préciser les modalités d application
Plus en détailwww.pwc.com Alerte regulatory Le dispositif de gouvernance et de contrôle interne des établissements bancaires Novembre 2014
www.pwc.com Alerte regulatory Le dispositif de gouvernance et de contrôle interne des établissements bancaires Novembre 2014 En bref L arrêté du 3 novembre 2014 relatif au contrôle interne des entreprises
Plus en détailSF ou ECS: quel statut choisir? Le reporting prudentiel des SF
SF ou ECS: quel statut choisir? Le reporting prudentiel des SF ASFFOR le 13 février 2014 1 Introduction L arrêté du 23 décembre 2013 relatif au régime prudentiel des sociétés de financement a donné à l
Plus en détailLes caractéristiques du secteur bancaire français
Les caractéristiques du secteur bancaire français Fiche 1 Objectifs Découvrir le poids du secteur bancaire en France et ses intervenants Prérequis Aucun Mots-clefs Produit intérieur brut (PIB), organismes
Plus en détailDÉCOUVRIR L AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ET DE RÉSOLUTION
DÉCOUVRIR L AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ET DE RÉSOLUTION Autorité administrative indépendante adossée à la Banque de France, l Autorité de contrôle prudentiel et de résolution est en charge de l agrément
Plus en détailEdition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64
Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Section K : ACTIVITÉS FINANCIÈRES ET D ASSURANCE Cette section comprend les activités des
Plus en détailAnnexe A.4 Sociétés de secours mutuel Entités admissibles
les règlements pertinents. Notes : 1. Dans la présente annexe, RDRP signifie Règlement sur la dispense des restrictions en matière de placements; société de secours désigne une société de secours mutuel.
Plus en détailC.R.E.S.U.S. Fédération des Chambres Régionales du Surendettement Social
C.R.E.S.U.S. Fédération des Chambres Régionales du Surendettement Social Détection précoce du surendettement Preventive action on over-indebtness Jean-Louis KIEHL, Président Maxime PEKKIP, Responsable
Plus en détailConvention entre l Etat et l UESL relative à la Garantie des Risques Locatifs
Convention entre l Etat et l UESL relative à la Garantie des Risques Locatifs Entre l Etat, représenté par le ministre de l emploi, de la cohésion sociale et du logement, le ministre de l économie, des
Plus en détailMICRO-CRÉDIT ET CROWDFUNDING AUJOURD HUI
MICRO-CRÉDIT ET CROWDFUNDING AUJOURD HUI 16 janvier 2015 Prêts distribués en micro-crédit Crédits distribués (en cours) Prêt moyen accordé Le conseil en investissement participatif «Art. L. 547-1.-I. Les
Plus en détailPlan Stratégique Groupe BPCE 2014-2017
Paris, le 13 novembre 2013 Plan Stratégique Groupe BPCE 2014-2017 Pour toute information complémentaire, consultez la présentation complète disponible sur le site internet du Groupe BPCE : www.bpce.fr
Plus en détailLa cotation Banque de France
ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2011 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE COTATION
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 13 mars 2012 RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE Bonne résistance du PNB et du RBE en 2011, solidité financière confirmée, poursuite de la dynamique de développement
Plus en détailLE SECTEUR BANCAIRE EN 2013
LE SECTEUR BANCAIRE EN 2013 CE RAPPORT SE PROLONGE SUR LE SITE INTERNET DE LA FBF SOMMAIRE 2-3 DE PROFONDES ÉVOLUTIONS 4-5 L ANNÉE 2013 EN ÉTAPES 6-11 UN CADRE RÉGLEMENTAIRE RIGOUREUX La réforme de Bâle
Plus en détailGUIDE DU FINANCEMENT PARTICIPATIF (CROWDFUNDING) A DESTINATION DES PLATES-FORMES ET DES PORTEURS DE PROJET
GUIDE DU FINANCEMENT PARTICIPATIF (CROWDFUNDING) A DESTINATION DES PLATESFORMES ET DES PORTEURS DE PROJET Selon les modalités de financement retenues, un opérateur de crowdfunding peut être soumis au respect
Plus en détailOrdonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse
Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse (Ordonnance de la Banque nationale, OBN) Modification du 7 mai 2014 La Banque nationale suisse arrête: I L ordonnance du 18 mars 2004
Plus en détailRéseau de formateurs : Denis Ducamp, Vincent Michecoppin, Marie-Line Zanon
ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS BACCALAURÉAT STG ÉCONOMIE-DROIT PROPOSITION D ÉVALUATION TYPE SUJET BAC AVRIL 2006 Période d évaluation : premier trimestre année de terminale STG. Points du programme testés :
Plus en détailLe Comité de Bâle vous souhaite une belle et heureuse année 2013 Adoption du ratio de liquidité LCR
David Benamou +33 1 84 16 03 61 david.benamou@axiom-ai.com Philip Hall +33 1 44 69 43 91 p.hall@axiom-ai.com Adrian Paturle +33 1 44 69 43 92 adrian.paturle@axiom-ai.com Le Comité de Bâle vous souhaite
Plus en détailCREDIT A LA CONSOMMATION : L EXPERIENCE FRANÇAISE. LES SPECIALISES, DES PIONNIERS QUI DURENT
CREDIT A LA CONSOMMATION : L EXPERIENCE FRANÇAISE. LES SPECIALISES, DES PIONNIERS QUI DURENT Jean-Claude NASSE Délégué Général de l Association Française des Sociétés Financières A la différence de ce
Plus en détailFormation «Les états COREP : risques de crédit»
Adapté Bâle III Formation «Les états COREP : risques de crédit» REFERENCE : 409 1. Objectif général Permettre à tout participant de se familiariser avec les états COREP relatifs au risque de crédit. Comprendre
Plus en détailLES DOCUMENTS DE TRAVAIL DU SÉNAT LA RÉGULATION BANCAIRE À L ÉPREUVE DE LA CRISE FINANCIÈRE
LES DOCUMENTS DE TRAVAIL DU SÉNAT Série : Études économiques LA RÉGULATION BANCAIRE À L ÉPREUVE DE LA CRISE FINANCIÈRE L'étude présentée dans ce document est de la seule responsabilité du Service des Études
Plus en détailL UNION BANCAIRE 1. LE MÉCANISME DE SURVEILLANCE UNIQUE (MSU) 1.1. PRÉPARATION
1. L UNION BANCAIRE Dans la zone euro, l extension de la crise à certains marchés de dettes souveraines a illustré qu une union monétaire réclame, outre une coordination renforcée des politiques budgétaires
Plus en détailPrésentation des résultats 2006. 15 mars 2007
Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma
Plus en détailBNP Paribas. Renforcement du Leadership Européen de Cetelem dans le Crédit à la Consommation. 29 mars 2005
BNP Paribas Renforcement du Leadership Européen de Cetelem dans le Crédit à la Consommation 29 mars 2005 1 Plan de la présentation Une opportunité unique Cofinoga: un acteur majeur du crédit à la consommation
Plus en détailRAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D ADMINISTRATION COMPTES SEMESTRIELS CLOS AU 30 JUIN 2014
Société anonyme au capital de 220 000 000 Siège social : 6 avenue de Provence 75452 PARIS Cedex 9 480 618 800 RCS Paris RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D ADMINISTRATION COMPTES SEMESTRIELS CLOS AU 30 JUIN
Plus en détailEléments de débat ACPR. Vous trouverez dans ce document :
Eléments de débat ACPR Vous trouverez dans ce document : 1. Le courrier de l ACP (Autorité de Contrôle Prudentiel) qui fournit un premier cadre en vue d une reconnaissance légale (ou non) de nos projets
Plus en détailSOLVENCY II: GOUVERNANCE ET NOUVELLE POLITIQUE DE EIFR 25.06.2014
SOLVENCY II: GOUVERNANCE ET NOUVELLE POLITIQUE DE RISQUE EIFR 25.06.2014 LA MUTUALITÉ FRANÇAISE La mutualité française en quelques chiffres 2 LES CHIFFRES CLÉS ET L ORGANISATION DE LA MUTUALITÉ Un acteur
Plus en détailTechniques bancaires 2015/2016. 6 e édition. > L environnement bancaire > Produits d épargne > Marchés financiers > Fiscalité > Crédits
Philippe Monnier Sandrine Mahier-Lefrançois Techniques bancaires 2015/2016 > L environnement bancaire > Produits d épargne > Marchés financiers > Fiscalité > Crédits 6 e édition Compléments en ligne Comment
Plus en détailOFFRES TARIFAIRES AU PERSONNEL DE LA CEIDF
OFFRES TARIFAIRES AU PERSONNEL DE LA CEIDF 1- Conditions d éligibilité aux avantages tarifaires bancaires Etre salarié sous contrat à durée indéterminée à la CEIDF, après validation de la période d essai.
Plus en détailINSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE
INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002
Plus en détailContrôle. Consultation CDEC
Chapitre 1 : Monnaie et financement de l économie marocaine Financement de l activité économique Financement Direct Financement Indirect Marché financier Marché monétaire Marché hypothécaire Banques Stés.
Plus en détailLES GARANTIES D EMPRUNT
LES GARANTIES D EMPRUNT (Compte 801.5) Fiche n 1 Définition Les garanties d emprunt entrent dans la catégorie des engagements hors bilan parce qu une collectivité peut accorder sa caution à une personne
Plus en détailLes défis du reporting macro-prudentiel
Les défis du reporting macro-prudentiel EIFR 25 mars 2014 Bruno LONGET Banque de France Direction de la Balance des paiements Réf : D14-014 Introduction : pourquoi renforcer le dispositif de surveillance
Plus en détailLE CRÉDIT A LA CONSOMMATION Au-delà des idées reçues
LE CRÉDIT A LA CONSOMMATION Au-delà des idées reçues Juillet 2013 SOMMAIRE I. L utilité du crédit à la consommation Quel est le rôle du crédit dans l économie? Le marché du crédit à la consommation. A
Plus en détailAtelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé. Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie
République Tunisienne Ministère des Finances Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie Zouari Maher Directeur de
Plus en détailBasse-Meuse Développement 28/10/2014
Basse-Meuse Développement 28/10/2014 Introduction La SOWALFIN Société anonyme d intérêt public créée par le Décret du 11 juillet 2002 qui en a organisé le statut. Mise en place pour favoriser la création,
Plus en détailUniversité d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie
Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie
Plus en détailBANK AL-ÂMAL INSTITUTION DEDIEE AU FINANCEMENT DES INVESTISSEMENTS DES MRE
BANK AL-ÂMAL INSTITUTION DEDIEE AU FINANCEMENT DES INVESTISSEMENTS DES MRE Financement des projets de création d entreprises innovantes au Maroc par les expatriés marocains.-paris-23 mai 2006 Sommaire
Plus en détailRENSEIGNEMENTS Rachat de Crédits (Locataire & Propriétaire)
Votre Partenaire Financier RENSEIGNEMENTS Rachat de Crédits (Locataire & Propriétaire) Etat Civil : Emprunteur : AGE : ADRESSE (N, rue): Né(e) à : Le : Co-Emprunteur : AGE : ADRESSE (N, rue): Né(e) à :
Plus en détailI. Les entreprises concernées et l opération
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 10-DCC-172 du 29 novembre 2010 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Crédit Foncier et Communal d Alsace et de Lorraine Banque par la société Crédit Mutuel
Plus en détailACCORD D'ENTREPRISE RELATIF AUX AVANTAGES SOCIAUX ET INDEMNITES DIVERSES
CAISSE D'EPARGNE NORD FRANCE EUROPE ACCORD D'ENTREPRISE RELATIF AUX AVANTAGES SOCIAUX ET INDEMNITES DIVERSES Entre les soussignés, - La Caisse d'épargne Nord France Europe, dont le siège est situé à LILLE,
Plus en détailTROISIÈME RAPPORT DU COMITÉ DE SUIVI DE LA RÉFORME DE L USURE
214 TROISIÈME RAPPORT DU COMITÉ DE SUIVI DE LA RÉFORME DE L USURE COMITÉ DE SUIVI DE LA RÉFORME DE L USURE Comité de suivi de la réforme de l usure Code courrier : 43-253 31 rue Croix-des-Petits-Champs
Plus en détailLa Revue. Analyses. Focus. Rapport de l ACP sur les politiques et pratiques de rémunérations. Étude de l ACP sur l affacturage en 2010
La Revue de l Autorité de contrôle prudentiel Focus Rapport de l ACP sur les politiques et pratiques de rémunérations Étude de l ACP sur l affacturage en 2010 Étude sur les placements des assureurs Analyses
Plus en détailConférence sur le crowdfunding. Mardi 16 décembre 2014 Espace Hamelin - Paris
Conférence sur le crowdfunding Mardi 16 décembre 2014 Espace Hamelin - Paris SOMMAIRE Le financement participatif 1. Les modalités du financement participatif 2. Les risques encourus 3. La réglementation
Plus en détailCrowdfunding. Présentation conférence EIFR -18 décembre2014
Crowdfunding Présentation conférence EIFR -18 décembre2014 Marie-Agnès NICOLET Présidente fondatrice de Regulation Partners marieagnes.nicolet@regulationpartners.com +33.6.58.84.77.40 / +33.1.46.22.65.34
Plus en détailBANQUE CENTRALE EUROPÉENNE COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Paris, le 20 avril 2015 BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE COMMUNIQUÉ DE PRESSE STATISTIQUES RELATIVES AUX FONDS D INVESTISSEMENT DE LA ZONE EURO FÉVRIER 2015 En février 2015, l encours de parts émises par les
Plus en détail[RAPPORT FINANCIER ANNUEL]
DOCUMENT DE RÉFÉRENCE [RAPPORT FINANCIER ANNUEL] 2013 GROUPE CM11-CIC BANQUE FÉDÉRATIVE DU CRÉDIT MUTUEL En application de son règlement général, notamment de l article 212-13, l Autorité des marchés financiers
Plus en détailLe Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises
27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient
Plus en détailLa référence pour maîtriser votre risque. Guide de référence. de la cotation
La référence pour maîtriser votre risque Guide de référence de la cotation MARS 2015 Sommaire 1. LA COTATION : UN PROCESSUS D APPRÉCIATION DE LA SITUATION FINANCIÈRE DES ENTREPRISES 1 1.1. POURQUOI LA
Plus en détailIII L allégement de la loi n 12-96 La loi n 12-96 contient des dispositions diverses et transitoires conçues, au départ, pour assurer l application
ROYAUME DU MAROC Note de présentation du projet de loi modifiant et complétant la loi n 12-96 portant réforme du Crédit Populaire du Maroc telle que modifiée et complétée Depuis la promulgation de la loi
Plus en détailCIC Activité commerciale toujours en croissance
Paris, le 26 juillet 2012 COMMUNIQUE DE PRESSE CIC Activité commerciale toujours en croissance Résultats au 30 juin 2012(1) Résultats financiers - Produit net bancaire 2 228 M - Résultat brut d exploitation
Plus en détailCabinet ULYS BANQUE & INNOVATION, 30 SEPTEMBRE 2014. Me Cathie-Rosalie JOLY Me Lise Breteau
BANQUE & INNOVATION, 30 SEPTEMBRE 2014 Me Cathie-Rosalie JOLY Me Lise Breteau Cabinet ULYS 30/09/2014 www.ulys.net - cathierosalie.joly@ulys.net - ULYS 2014 1 "CROWDFUNDING ET RÉGLEMENTATION : QUELS IMPACTS
Plus en détailRÉSULTATS AU 30 JUIN 2014
RÉSULTATS AU 30 JUIN 2014 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 31 juillet 2014 CHARGES EXCEPTIONNELLES RELATIVES A L ACCORD GLOBAL AVEC LES AUTORITÉS DES ÉTATS-UNIS 5 950 M AU 2T14 DONT : - PÉNALITÉS* : 5 750
Plus en détailCorrigé BTS Banque E32 Session 2014
Dossier 1 : Analyse d arrêt (20 points) Corrigé BTS Banque E32 Session 2014 1.1 Analysez l arrêt présenté en annexe (12 points) - Présentation de la décision.1 point Il s agit d un arrêt de la chambre
Plus en détailLancement de l Association Professionnelle des Intermédiaires en Crédits (APIC)
Lancement de l Association Professionnelle des Intermédiaires en Crédits (APIC) Cafpi, leader historique en matière de courtage en crédit immobilier, Meilleurtaux.com dont le développement s est appuyé
Plus en détailPerformance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012
Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012 Mercredi 16 mai 2012 Sommaire : Introduction > Un premier trimestre 2012 impacté par des éléments exceptionnels > Une dynamique commerciale
Plus en détailLa cotation Banque de France
ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2007 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE NOTE DE
Plus en détailEtaient présents Madame Souad El Kohen, Messieurs Driss Belmahi, Abdelaziz Benzakour et Omar Seghrouchni ;
Délibération n 480-AU-2013 du 01/11/2013 portant modèle de demande d autorisation relative au traitement de données à caractère personnel mis en œuvre par des établissements de crédit et organismes assimilés
Plus en détailDEMANDE D'OFFRE DE CREDIT PROFESSIONNEL
Siège Social : Boulevard du Régent,58 1000 Bruxelles Tél : (02) 289.84.05 Fax : (02) 289.84.89 R.C. B 52.833 T.V.A. BE-403.256.813 M.A.E. 4837 - O.C.A 16758 Compte 114-1111115-11 DEMANDE D'OFFRE DE CREDIT
Plus en détail3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION
Plus en détailPROSPECTUS CREDITS HYPOTHECAIRES A USAGE PRIVE CREAFIN N.V. DUWIJCKSTRAAT 17-2500 LIER REGISTRE DES PERSONNES MORALES MALINES 455.731.
PROSPECTUS CREDITS HYPOTHECAIRES A USAGE PRIVE CREAFIN N.V. DUWIJCKSTRAAT 17-2500 LIER REGISTRE DES PERSONNES MORALES MALINES 455.731.338 2 SOMMAIRE 1. Qu est-ce qu un crédit hypothécaire? 2. Qui peut
Plus en détailLes instruments de la SNCI et de la Mutualité de Cautionnement et d Aide aux Commerçants, société coopérative. Présentation Horesca du 18 juin 2012
Les instruments de la SNCI et de la Mutualité de Cautionnement et d Aide aux Commerçants, société coopérative Présentation Horesca du 18 juin 2012 03/12/09 L entrepreneur et le financement de son projet
Plus en détailcontact@e-mfp.eu www.e-mfp.eu
Microfinance institutions linking remittances to development: les institutions de microfinance permettant aux transferts d être un levier de développement Présentation de l'umpamecas Date de création :
Plus en détailOrdonnance sur les fonds de placement
Ordonnance sur les fonds de placement (OFP) Modification du 25 octobre 2000 Le Conseil fédéral suisse arrête: I L ordonnance du 19 octobre 1994 sur les fonds de placement 1 est modifiée comme suit: Art.
Plus en détailamplifier le financement des entreprises et structures de l Économie sociale et solidaire
1 amplifier le financement des entreprises et structures de l Économie sociale et solidaire 1 - Amplifier le financement des entreprises et structures de l Économie sociale et solidaire Les entreprises
Plus en détailLa réforme bancaire de 2013 analyse et insuffisances
La réforme bancaire de 2013 analyse et insuffisances Jean François Goux 20 Avril 2013 I A quoi servent les banques? Intro : les différentes catégories actuelles de banques 1) les rôles fondamentaux A le
Plus en détailROYAUME DU MAROC PROJET DE LOI N 103.12 RELATIVE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT ET ORGANISMES ASSIMILES
ROYAUME DU MAROC PROJET DE LOI N 103.12 RELATIVE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT ET ORGANISMES ASSIMILES Mars 2014 TITRE PREMIER CHAMP D APPLICATION ET CADRE INSTITUTIONNEL Chapitre Premier Champ d application
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détailMODALITES DE DECLARATION DES OPERATIONS DE CREDIT A l AGENCE IEOM DE POLYNESIE FRANCAISE. Notice technique à l'usage des déclarants
MODALITES DE DECLARATION DES OPERATIONS DE CREDIT A l AGENCE IEOM DE POLYNESIE FRANCAISE Notice technique à l'usage des déclarants Octobre 2013 TABLE DES MATIÈRES Chapitre 1 Introduction... 2 1.1 Objet
Plus en détailMarché des entreprises
Marché des entreprises Demande d ouverture d une ligne de cautions Accises Formulaire à nous retourner accompagné des documents de constitution du dossier : par mail à : serviceclient.entreprises@c-garanties.com
Plus en détail