Sommaire PARTIE I LES MALADIES PARASITAIRES INTERNES... 1 PARTIE II LES MALADIES PARASITAIRES EXTERNES OU TRANSMISES PAR DES PARASITES EXTERNES...

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Sommaire PARTIE I LES MALADIES PARASITAIRES INTERNES... 1 PARTIE II LES MALADIES PARASITAIRES EXTERNES OU TRANSMISES PAR DES PARASITES EXTERNES..."

Transcription

1

2 Sommaire Préface... Avant-propos... Introduction... VII IX X PARTIE I LES MALADIES PARASITAIRES INTERNES Les maladies parasitaires digestives La strongylose gastro-intestinale L hæmonchose La nématodirose La strongyloïdose La monieziose La coccidiose La cryptosporidiose La paramphistomose Les maladies parasitaires du poumon La dictyocaulose Les protostrongylinoses Les maladies parasitaires du foie La fasciolose ou maladie de la grande douve La dicrocœliose ou maladie de la petite douve L œstrose L œstrose ovine Les cestodoses larvaires La cysticercose La cœnurose L échinococcose PARTIE II LES MALADIES PARASITAIRES EXTERNES OU TRANSMISES PAR DES PARASITES EXTERNES La gale La teigne Les myiases L infestation par les poux v

3 21 L infestation par les tiques Maladie transmise par les tiques : la piroplasmose ou babésiose ovine PARTIE III LES DIAGNOSTICS Les diagnostics visuels Les diagnostics biologiques Les diagnostics des parasites externes PARTIE IV LES MÉDICAMENTS ANTIPARASITAIRES La posologie, un point important Identifier les causes d inefficacité Les strongylicides à action adulticide et larvicide Des strongylicides à durées d action variables Les activités des médicaments sur un ou plusieurs parasites Les douvicides selon les stades de grandes douves Les anticoccidiens Les médicaments contre les parasites externes Les délais d attente à respecter PARTIE V LES PRATIQUES DE GESTION PARASITAIRE DANS LES TROUPEAUX DE MOUTONS Le contrôle des parasites Le contrôle de Moniezia ou Taenia chez des agneaux d herbe Le contrôle des coccidies chez les agneaux de bergerie Le contrôle des strongles gastro-intestinaux Le contrôle des strongles pulmonaires Le contrôle des myiases Le contrôle des grandes douves ou Fasciola hepatica Le contrôle des petites douves ou Dicrocœlium Le contrôle des tiques Le principe de prévention agronomique et hygiénique Index Listes des tableaux, figures et photos vi

4 Les maladies parasitaires digestives 1 Les strongyloses gastro-intestinales sont provoquées par des strongles vivant dans l appareil digestif et localisés essentiellement dans la caillette et l intestin grêle. Plusieurs genres de strongles gastro-intestinaux infestent les ovins, mais certains d entre eux sont plus pathogènes que d autres avec des fréquences très différentes au cours de l année. Un des points communs des principaux strongles digestifs chez les ovins est leur développement sur les pâturages, source d infestation des moutons. Les conduites de pâturage des troupeaux de moutons selon les régions naturelles ont un rôle sur le déroulement des infestations parasitaires et le degré d infestation. Parmi les pathologies dominantes qui sont sous le vocable strongylose, on distingue quatre catégories : la strongylose gastro-intestinale due aux strongles Ostertagia, Trichostrongylus, Cooperia, Chabertia, Trichuris, Œsophagostomum ; l hæmonchose due à Hæmonchus contortus ; la nématodirose due à Nematodirus ; la strongyloïdose due à Strongyloïdes, strongles de l intestin grêle. 5

5 1 Les maladies parasitaires digestives La strongylose gastro-intestinale La maladie les symptômes La strongylose gastro-intestinale peut être provoquée par un ou plusieurs strongles dans l appareil digestif. La maladie se développe au pâturage, elle est due principalement aux Ostertagia et aux Hæmonchus (cf. hæmonchose) dans la caillette ou aux Cooperia et Nematodirus (cf. nématodirose) dans l intestin grêle (tableau 1.1). Les autres strongles ne sont présents chez les ovins qu épisodiquement et les manifestations cliniques sont très peu fréquentes. À l exception de l hæmonchose et de la nématodirose, qui sont abordées séparément, la strongylose gastro-intestinale regroupe l infestation par tous les parasites, dont les strongles dominants sont Ostertagia, Cooperia, Trichostrongylus. Tableau 1.1 Principaux strongles gastro-intestinaux des moutons Caillette Intestin grêle Cæcum-côlon Ostertagia Cooperia Œsophagostomum Hæmonchus Trichostrongylus Chabertia Trichostrongylus Nematodirus Trichuris Bunostomum Strongyloïdes La strongylose se développe surtout après une infestation massive sur une courte durée. À l inverse, lorsque l infestation est peu importante chez des moutons en bon état corporel, il n y a pas de symptôme. Ce sont les agneaux d herbe en primo-infestation et les moutons déficients, en mauvais état corporel, qui seront concernés par la maladie. La conduite de pâturage est l un des paramètres qui favorisent l infestation des moutons, en particulier pour les agneaux et pour les brebis épuisées par la lactation. Toutefois, la maladie peut se développer quelques semaines après un traitement antiparasitaire. Ce phénomène s explique par l élimination médicale des strongles qui induit une perte de l immunité acquise par le mouton, puis par une réinfestation importante aussitôt après. La strongylose peut se manifester suite à l accumulation de strongles dans la caillette pendant le pâturage, souvent en grand nombre en fin d été et en automne. Cette infestation est d autant plus importante qu il y a à cette 1 6

6 1 période une forte contamination des prairies par des larves infestantes et un pâturage sur de faibles hauteurs d herbe. La strongylose gastro-intestinale peut avoir des manifestations cliniques à divers moments de la période de pâturage, voire pendant l hiver suite à un affaiblissement de la brebis. La strongylose est causée bien souvent par la migration des stades larvaires d Ostertagia dans la caillette. Deux types de maladies appelées ostertagioses sont à distinguer : L ostertagiose de type I est due aux migrations des larves d Ostertagia dans la muqueuse de la caillette pendant la période estivale. La pénétration de la larve infestante (stade larvaire L3) dans la muqueuse, puis sa sortie après deux transformations (stades larvaires L4 et immatures L5) pour continuer son évolution au stade adulte à l intérieur de la lumière de la caillette, provoquent des lésions de la paroi (lésions nodulaires). Lorsque la quantité de larves ingérées est élevée, les nombreux nodules constitués de cellules non fonctionnelles pour la fonction digestive entravent les capacités physiologiques de la caillette du mouton. Chez les jeunes ovins, l ostertagiose de type I sévit de juin à octobre au cours de la saison de pâture, mais peut aussi se manifester à la fin de la première saison d herbe. Elle se caractérise souvent sur l ensemble d un lot de moutons par de la diarrhée, une perte de poids et d état corporel. La mortalité est variable. L ostertagiose de type II apparaît de février à mai, sur des animaux en bergerie ou élevés en plein air, après l ingestion massive de larves infestantes en fin de saison de pâture. Cette forme de la maladie est due au «désenkystement» et à la sortie simultanée des larves d Ostertagia de la muqueuse de la caillette, après une période d hypobiose pendant l hiver. La maladie se manifeste par de la diarrhée intermittente, un manque d appétit, une perte de poids et d état corporel ainsi qu une anémie importante. Elle débute souvent avec les modifications hormonales au moment de l agnelage d hiver et au début de printemps. L ostertagiose de type II est aggravée lorsque la maladie est associée à la fasciolose. Les symptômes se caractérisent par de la diarrhée, un amaigrissement rapide et important. Bien souvent, les moutons se déplacent avec difficulté ; ils perdent l appétit. La maladie peut évoluer vers la mort si le diagnostic et le traitement ne sont pas réalisés précocement. La strongylose gastro-intestinale La biologie Les strongles gastro-intestinaux excrètent des œufs qui, rejetés avec les crottes, contaminent le pâturage. L œuf ne peut se développer que dans le milieu extérieur (photo 1.1). Il est protégé par une coque qui lui permet de résister un certain temps dans les crottes. L évolution de l œuf en larve infestante ou L3 nécessite trois transformations (L1, L2, L3) liées à la température, l humidité et l oxygénation (figure 1.1). Le froid, la neige conservent relativement bien les larves infestantes et même les œufs. Par contre, la chaleur et la sécheresse leur sont préjudiciables. La survie moyenne sur les pâturages est de 6 à 8 mois en automne-hiver. La transformation des larves infestantes en ver adulte se déroule par mues successives dans le tube digestif pour la plupart des strongles. Pour Ostertagia, le plus répandu dans la plupart des régions françaises, la larve migre dans la muqueuse de la caillette (photo 1.2), et dans l intestin grêle pour Cooperia. La migration est rapide (4 à 5 jours) d avril à octobre, puis de novembre à mars les larves s enkystent ; elles sont en vie ralentie, appelée aussi 7

7 1 Les maladies parasitaires digestives Photo 1.1 Œuf de strongles gastro-intestinaux. Source : Pfizer Cycle évolutif des strongles gastro-intestinaux Œuf Sur Ia prairie Larve L 1 Larve L 2 Larve L 3 ou larve infestante qui attend le mouton Larve L 4 Dans le corps du mouton Larve L 5 Adultes Mâle Femelle Œufs rejetés par les crottes Figure 1.1 Cycle évolutif des strongles gastro-intestinaux. 8

8 1 Photo 1.2 Larve infestante de strongles gastro-intestinaux. Source : Pfizer phase d hypobiose, pendant 3 à 4 mois dans la muqueuse. La reprise d activité des larves amène habituellement une sortie progressive de la muqueuse de la caillette. Le réveil des larves et la sortie de la muqueuse de la caillette sont accélérés par la modification de l état physiologique de la brebis lors de l agnelage. Les larves évoluent au stade adulte qui va excréter des œufs de strongles dans les crottes (photo 1.3). Chez certains animaux la sortie brutale des larves provoque la maladie, la strongylose gastro-intestinale, suite à des agnelages de fin d hiver, avec parfois peu d œufs de parasites par gramme de matières fécales. La strongylose gastro-intestinale Photo 1.3 Ostertagia adultes, strongles de la caillette. Source : Pfizer 9

9 1 Les maladies parasitaires digestives Certains strongles pondent plus d œufs que d autres. Ostertagia est peu prolifique par rapport aux strongles Cooperia dans l intestin grêle, ce qui complique tout diagnostic à partir des matières fécales. Il n est pas possible d identifier le genre de strongles présents à partir des œufs excrétés, excepté ceux de Nematodirus et de Strongyloïdes. L infestation naturelle Le déroulement de l infestation parasitaire des moutons s effectue selon les pratiques de conduite des troupeaux en zone herbagère, en zone sèche et en zone de montagne. Pâturage des moutons en zone herbagère Les prairies sont l endroit où les moutons s infestent en broutant l herbe. Les principales parasitoses des moutons sont présentées sur la figure 1.2. Les pâturages sont contaminés d une année à l autre. Le froid hivernal ne détruit pas en totalité les larves infestantes de strongles digestifs. Toutes les prairies pâturées par les ovins durant l année sont contaminées par la présence de larves infestantes de strongles digestifs. Pendant la période hivernale, la population larvaire sur les prairies pâturées l année précédente baisse. À la mise à l herbe en mars-avril, les prairies sont encore contaminées. J F M A M J J A S O N D Agnelage Lutte Lutte Agnelage Acariens Strongles digestifs Hæmonchus Œstres Strongles pulmonaires Grande douve Acariens Figure 1.2 Conduite de troupeaux de moutons en zone herbagère, infestation parasitaire. Source : C. Mage 10

10 II Les maladies parasitaires externes ou transmises par des parasites externes 27688_MalMoutons.indd :38 AM

11 Les maladies parasitaires externes ou transmises par des parasites externes 19 Les myiases La maladie les symptômes Les myiases Le terme myiase désigne une affection provoquée par des larves de certaines mouches carnassières qui se développent à la surface ou dans les couches superficielles de la peau. Les mouches appartiennent à plusieurs espèces : Lucilia, Wohlfartia principalement et Calliphora et Phormia. L infestation est fréquente pendant les périodes chaudes de l été. Elle se caractérise par la présence d asticots dans divers endroits du corps du mouton, dans les blessures fraîches, dans l orifice du rectum, de la vulve, de la verge, du fourreau, entre les onglons (photo 19.1) L infestation par les asticots peut s accompagner de perte d appétit, de perte d état corporel, de toxémie, et même de mortalité suite à des affections secondaires. Lors de myiases cutanées, les larves en dévorant la peau détachent la laine qui tombe en découvrant la plaie. Les cavités creusées par les larves peuvent être impressionnantes. Photo 19.1 Myiase due à Lucilia sericata. Source : C. Mage Lors de myiase à Wohlfartia magnifica, les lésions sont essentiellement sur les zones non lainées : les orifices des organes génitaux, l entrée du conduit auriculaire, la base des cornes, et parfois sur les plaies du corps

12 19 Les maladies parasitaires externes ou transmises par des parasites externes La myiase des espaces interdigités appelée aussi podomyiase constitue la localisation la plus fréquente. Les insectes sont attirés par l espace interdigité des deux onglons, mais l infestation peut se faire consécutivement à une inflammation d origine traumatique ou d origine infectieuse (piétin, panaris interdigité). Après la colonisation des larves de Wohlfartia, le pied se déforme, devient tuméfié et la boiterie est importante. Les deux doigts sont écartés. Plus l infestation est ancienne, plus les tissus sont lésés en profondeur avec présence de nombreuses galeries. Les lésions et l inflammation sont considérables et les surinfections locales accroissent les dommages tissulaires. La myiase vulvaire et du fourreau est favorisée par les écoulements et les tuméfactions locales (chaleurs et période de post-partum chez les agnelles et les brebis). Chez les agnelles, la douleur et le prurit sont intenses, générant mordillement et grattage. Chez les mâles, les larves sont déposées à l orifice du fourreau et colonisent rapidement la cavité. La verge peut présenter des lésions graves. La queue coupée courte dans certaines races est un facteur très favorable à l infestation. La myiase auriculaire se développe à l entrée du conduit de l oreille. La présence du contenu plus ou moins crasseux semble être l un des lieux de prédilection pour la ponte. Elle se développe aussi sur le pavillon de l oreille à partir des plaies provoquées par l irritation locale créée par le frottement des boucles d identification. Cette localisation de myiase est un endroit où il y a de nouvelles colonisations après le traitement. Lors de myiases à Lucilia sericata, les asticots ne sont retrouvés qu au niveau de zones enlainées (toison), lésées préalablement soit par des traumatismes, soit par suite de macération locale (essentiellement vers les épaules) au niveau du garrot, sur le dos et la croupe. Ces myiases peuvent être une complication fréquente du syndrome «pourriture de la toison» (due à la multiplication locale de bactéries Pseudomonas aeruginosa) et de la maladie des laines jaunes. Biologie Les agents de myiases externes des moutons sont des insectes de la famille des Calliphoridae. Les insectes du genre Lucilia sont de coloration brillante, souvent métallique, bleue, verte, à abdomen homogène ou pourvu de bandes transversales (photo 19.2). Les femelles sont ovipares ; leurs larves de 3 e âge (L3) présentent des stigmates postérieurs superficiels. La mouche adulte mesure 6 à 11 mm. Les mouches pondent entre et œufs préférentiellement sur les plaies, les blessures des moutons, sur les cadavres ou toute matière organique en décomposition. Les larves éclosent 10 heures environ après la ponte et évoluent en 2 jours en larves de 3 e âge (L3) d une taille de 15 mm de long (photo 19.3). Les L3 tombent sur le sol et, après une pupaison de durée variant entre 4 et 24 jours, évoluent en adultes. Le cycle complet se réalise en une dizaine de jours en période estivale (figure 19.1). Lorsque la température du sol est inférieure à 7 C, la pupe de Lucilia sericata reste inactive. Par contre, elle a une activité durant la belle saison. 106

13 19 Les myiases Photo 19.2 Lucilia sericata. Source : Parasitologie ENV Nantes Photo 19.3 Larves de Lucilia. Source : J.-M. Gourreau 107

14 19 Les maladies parasitaires externes ou transmises par des parasites externes Mouche Lucilia Œufs 24h larve (asticot) 3-4 jours Pupe 5 jours Figure 19.1 Cycle évolutif de Lucilia sericata. Les insectes du genre Wohlfartia sont de couleur grisâtre, mesurent 8 à 14 mm au stade adulte et ont un abdomen clair et tacheté avec des yeux rouge brique (photo 19.4). Cette mouche ne peut se développer que sur des matières organiques en décomposition. Les larves L1 ont un pouvoir de sécrétion de substances protéolytiques et se nourrissent d abord de cellules épidermiques et de lymphe extravasée, puis de tissus plus ou moins nécrosés et d exsudats. Elles n ont pas de contact direct avec le système sanguin de l animal. Les larves de 2 e (L2) et de 3 e âge (L3) se nourrissent de la même manière que les larves L1. La durée d évolution du stade larvaire L1 au stade larvaire L3 varie avec la quantité de nutriments disponibles pour les larves. En moyenne, l évolution se réalise en quelques jours, de 5 à 7 jours (figure 19.2). Photo 19.4 Wohlfartia magnifica. Source : J.-M. Gourreau 108

15 III Les diagnostics 27688_MalMoutons.indd :38 AM

16 24 Les diagnostics Les diagnostics biologiques La coproscopie Il s agit de la recherche des œufs ou des larves de premier stade dans les crottes. L examen s effectue à partir de prélèvements de matières fécales individuels ou sur le mélange de ceux-ci. Le volume de crottes doit être égal ou supérieur à 5 g ou 30 g selon la technique d examen pratiquée au laboratoire d analyses. Le transport au laboratoire d analyses doit être le plus rapide possible, avec un maintien au frigo (proche de 4 C) pour éviter la destruction des larves de premier stade par la chaleur. Il faut aussi éviter l éclosion de larves à partir des œufs contenus dans les matières fécales. Les résultats sont exprimés en nombre d œufs de parasites par gramme de crottes. Ils indiquent la nature de l infestation présente sur les animaux du troupeau à partir de l excrétion parasitaire. Le niveau de l excrétion d œufs ou de larves de parasites n est pas en relation avec le degré d infestation du mouton, ni avec la maladie. Le niveau d excrétion parasitaire est dépendant de l état physiologique, de l état corporel de la brebis (figures 24.1 et 24.2) et des différents parasites (figures 24.3 et 24.4). Certains strongles pathogènes (ex. : Ostertagia, œufs/gramme œufs/gramme œufs/gramme AGNELAGE LUTTE Figure 24.1 Excrétion d œufs de strongles gastro-intestinaux chez les brebis. Source : C. Mage

17 œufs/gramme ± 200 à 1000 œufs/gramme Bon état corporel note 2- > 2,5 Mauvais état corporel note 1-1,5 Figure 24.2 Excrétion d œufs de strongles gastro-intestinaux chez les brebis selon l état corporel. Source : C. Mage INFESTATION (fin pâturage) OSTERTAGIA Adultes Larves enkystées EXCRÉTION (œufs/gramme) EXEMPLE INTERPRÉTATION Méthode Mac Master 6 œufs de strongles 50 = œufs de strongles 15 = 45 Les diagnostics biologiques HÆMONCHUS Larves enkystées COOPERIA Adultes NEMATODIRUS Adultes œufs de strongles 50 = œufs de strongles 15 = 30 Figure 24.3 Diagnostic de strongles gastro-intestinaux chez la brebis (coproscopie). Source : C. Mage INFESTATION (fin juin) EXCRÉTION (œufs/gramme) EXEMPLE INTERPRÉTATION OSTERTAGIA Adultes 5000/ Méthode Mac Master 16 œufs de strongles 50 = œufs de strongles 15 = 75 Larves HÆMONCHUS Adultes COOPERIA Adultes NEMATODIRUS Adultes œufs de strongles 50 = œufs de strongles 15 = 30 Figure 24.4 Diagnostic de strongles gastro-intestinaux chez les agneaux (coproscopie). Source : C. Mage 127

18 IV Les médicaments antiparasitaires 27688_MalMoutons.indd :38 AM

19 Les médicaments antiparasitaires 26 La posologie, un point important L administration de médicaments aux moutons sous quelque forme que ce soit, doit être la plus précise possible selon le poids de l animal (figure 26.1). Plus les antiparasitaires présentent une concentration importante, plus la quantité de produit à administrer sera faible et le risque de sous-dosage sera élevé. Il faut bien évaluer le poids des moutons pour éviter tout sous-dosage du médicament. Poids (kg) ALLAITEMENT ENTRETIEN GESTATION M A M J JT A S O N D J F M Mise bas Mise en lutte Retrait du bélier Sortie pâture Mise bas La posologie, un point important Figure 26.1 Exemple d évolution du poids des brebis en production d agneaux d herbe. Source : C. Mage Lorsque l on pratique un traitement des animaux avec une posologie unique pour le lot, on doit prendre en compte le poids de l animal le plus lourd comme référence. De plus, lorsqu on procède au traitement par estimation du poids, il faut tenir compte de la variation importante du poids selon le stade physiologique par race et des écarts entre le poids minimum et le poids maximum dans un troupeau (tableau 26.1). Cette pratique peut entraîner pour de nombreux antiparasitaires un sous-dosage qui peut varier de 20 à 30 % en moyenne (tableau 26.2)

20 26 Les médicaments antiparasitaires Tableau 26.1 Exemple de variation du poids sur différents lots de brebis dans un élevage à la mise à l herbe Lots Moyenne Brebis ayant mis bas mi-janvier 65 ± 6,7 Brebis gestantes 74 ± 10,4 Brebis allaitantes depuis 15 jours 60 ± 8,01 Source : C. Mage Poids (kg) Valeurs extrêmes Tableau 26.2 Répartition du poids des moutons dans un troupeau Poids (kg) par pesées Poids des brebis dans un troupeau Inférieur Moyen Supérieur + 10 kg + 20 kg % de moutons Source : C. Mage 136

21 V Les pratiques de gestion parasitaire dans les troupeaux de moutons 27688_MalMoutons.indd :38 AM

22 37 Le contrôle des parasites Le contrôle des strongles gastro-intestinaux Contrôles parasitaires pour les zones herbagères Pour les brebis Avec des molécules à action immédiate Dans les zones herbagères, les traitements antiparasitaires peuvent être pratiqués avec des molécules à action immédiate (figure 37.1). Dans cette situation les interventions sur les brebis sont réalisées un mois à un mois et demi après la mise au pâturage. Les traitements sont renouvelés toutes les 5-6 semaines jusqu à la fin de pâturage (figure 37.2). INFESTATION Infestation Excrétion Benzimidazoles Autres Ivermectine 21 J Moxidectine Ivermectine + Closantel 35 J 56 J Moxidectine LA 120 J Figure 37.1 Action des antiparasitaires durant l infestation de strongles des moutons. Source : C. Mage

23 37 Strongles digestifs Hæmonchus Œstres Strongles pulmonaires Grande douve Acariens Acariens J F M A M J J A S O N D Strongles gastro-intestinaux Hæmonchus Strongles pulmonaires Antiparasitaires à action immédiate Œstres Grande douve Figure 37.2 Contrôle des infestations parasitaires des brebis avec des molécules à action immédiate (conduite de troupeaux de moutons en zone herbagère). Source : C. Mage Les autres parasitoses tels les œstres ou la grande douve nécessitent des interventions spécifiques, voire un diagnostic biologique pour la grande douve au préalable. Avec des molécules à action rémanente Selon la molécule retenue et sa durée d action sur les strongles, voire sur d autres parasites, la période de traitement des brebis s organise pour un meilleur profit de la gestion parasitaire. Exemple avec la moxidectine LA appliquée à la mise à l herbe qui assure une protection de l infestation, une absence d excrétion et une réduction de la contamination des prairies en été. Dans ce cas, une intervention de rentrée en bergerie peut compléter le programme de gestion des parasitoses. Seule la grande douve n est pas contrôlée et nécessite un diagnostic biologique en début d été et à l automne pour assurer le besoin de traitements appropriés (figure 37.3). Le contrôle des strongles gastro-intestinaux Exemple avec la moxidectine ou avec l association ivermectine et closantel. Les interventions sur les brebis auront une organisation de contrôle des infestations par les strongles, et les œstres pendant le pâturage en les pratiquant mi-mai et mi-août. Les durées d activité des molécules assureront un niveau parasitaire faible sans conséquences sur la santé et la productivité. Toutefois, dans le cas de traitements avec la moxidectine, des diagnostics de grande douve doivent être réalisés en début d été et à l automne pour assurer la maîtrise de l infestation par cette parasitose (figures 37.2 et 37.4). 159

24

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

Septembre 2006 N 6 SOMMAIRE - Les nouvelles en bref - Le parasitisme externe Les sentinelles : Attention. Les mises bas difficiles :

Septembre 2006 N 6 SOMMAIRE - Les nouvelles en bref - Le parasitisme externe Les sentinelles : Attention. Les mises bas difficiles : Septembre 2006 N 6 SOMMAIRE - Les nouvelles en bref Page 1 - Le parasitisme externe Page 2 - Les différents parasites Page 2 - Conséquences des infestations par les ectoparasites, Page 5 moyens de lutte

Plus en détail

Les parasites externes

Les parasites externes Les parasites externes Les chats sont volontiers promeneurs, curieux ou à la recherche de congénères. Ils sont donc plus facilement parasités que les chiens. Ils sont la principale source de puces pour

Plus en détail

Les parasites chez le cheval.... et comment les combattre de manière efficace

Les parasites chez le cheval.... et comment les combattre de manière efficace Les parasites chez le cheval... et comment les combattre de manière efficace Impressum Editeur Virbac Suisse SA Case postale 8152 Glattbrugg Rédaction Angelika Nido, Journaliste RP Photos Christiane Slawik,

Plus en détail

La reconnaissez- vous?

La reconnaissez- vous? La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès

Plus en détail

Introduction. CRA-W- Département Productions et Filières, Unité Mode d élevage, bien être et qualité

Introduction. CRA-W- Département Productions et Filières, Unité Mode d élevage, bien être et qualité Gestion raisonnée du parasitisme gastro-intestinal chez le jeune bétail laitier à l herbe Remience Virginie, attachée scientifique 1 ;Vanvinckenroye Caroline, assistante 2 ; Decruyenaere Virginie, attachée

Plus en détail

Les maladies parasitaires du porc. GMV1 Les maladies parasitaires du porc

Les maladies parasitaires du porc. GMV1 Les maladies parasitaires du porc Les maladies parasitaires du porc Le tube digestif L hyostrongylose H. rubidus est un parasite gastrique fréquent chez les porcs pâturiers C est Cest un parasite cosmopolite fréquent en Belgique. Il mesure

Plus en détail

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.

Plus en détail

ÉLEVEURS DE VEAUX SOUS LA MÈRE, DANS LE SOUCI DE PRÉSERVER VOTRE REVENU, VOUS DEVEZ PROTÉGER VOS VACHES ET VOS VEAUX CONTRE LES PARASITES INTERNES

ÉLEVEURS DE VEAUX SOUS LA MÈRE, DANS LE SOUCI DE PRÉSERVER VOTRE REVENU, VOUS DEVEZ PROTÉGER VOS VACHES ET VOS VEAUX CONTRE LES PARASITES INTERNES ÉLEVEURS DE VEAUX SUS LA, DANS LE SUCI DE PRÉSERVER VTRE REVENU, VUS DEVEZ PRTÉGER VS VACHES ET VS VEAUX CNTRE LES PARASITES INTERNES LA FASCILSE (GRANDE DUVE) C est une parasitose des prairies humides

Plus en détail

Les vers de nos compagnons

Les vers de nos compagnons Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

Les parasites externes du chien

Les parasites externes du chien Les parasites externes du chien La puce La puce, doit-elle être considérée comme un parasite normal du chien? Non, elle vit à ses dépends, les femelles prélevant du sang sur le chien pour se nourrir. La

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Protéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,

Protéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE

Plus en détail

PEDICULOSES PARASITOSES. Hélène DALMAS

PEDICULOSES PARASITOSES. Hélène DALMAS PEDICULOSES PARASITOSES Hélène DALMAS Les pédiculoses (poux), la gâle sont dues à une infestation de l homme par des parasites. Ile se transmettent par contact avec une personne atteinte. Ils sont surtout

Plus en détail

AUTOUR DE LA MISE BAS

AUTOUR DE LA MISE BAS AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif

Plus en détail

Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux

Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! Zone libérée des poux français Guide anti-poux Double efficacité: Elimine les poux Endommage la membrane chitineuse des lentes empêchant ainsi l éclosion de

Plus en détail

gale - Brochure d information -

gale - Brochure d information - gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et

Plus en détail

La gale d été arrive à grands pas que faire?

La gale d été arrive à grands pas que faire? La gale d été arrive à grands pas que faire? Enfin chaque année - le printemps arrive, chevaux et cavaliers peuvent enfin retourner dans la nature verdoyante. Mais c est aussi le cas des moustiques et

Plus en détail

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

les cinq étapes pour calculer les jours d avance

les cinq étapes pour calculer les jours d avance À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule

Plus en détail

Bijsluiter FR versie Collier Propoxur Halsband B. NOTICE 1/5

Bijsluiter FR versie Collier Propoxur Halsband B. NOTICE 1/5 B. NOTICE 1/5 NOTICE COLLIER PROPOXUR HALSBAND pour chiens de petite taille et chats COLLIER PROPOXUR HALSBAND pour chiens de grande et moyenne taille 1. NOM ET ADRESSE DU TITULAIRE DE L AUTORISATION DE

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

GENERALITES SUR LA GALE

GENERALITES SUR LA GALE DEPARTEMENT DES SPECIALITES DE MEDECINE Service de Dermatologie et Vénérologie HUG PRISE EN CHARGE DE LA GALE Fig. 1 : Sarcopte femelle, Taille entre 0,2 et 0,5 mm Source : laboratoire de dermatologie

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats.

Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats. Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats. - VETOFORM - Laboratoire DAZONT Contact presse Johann Fourmond / Marie Gesrel Agence RELEASE PRESSE Tel : 02 99 65 05 47 Port

Plus en détail

Effets néfastes de l infestation par les puces

Effets néfastes de l infestation par les puces Les puces Les puces sont incontestablement au premier rang des ectoparasites rencontrés chez le chien. Ces insectes sont responsables de l'apparition de diverses maladies de peau. Les connaissances sur

Plus en détail

DEFINITION CLASSIFICATION

DEFINITION CLASSIFICATION Less PUCES DEFINITION La pulicose est une dermatose causée par les puces, très fréquente chez le chien et la chat. Elle est responsable de lésions cutanées qui peuvent s'avérer sévère en cas d'allergies,

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte

Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Daniel Cormier, Ph. D. Institut de recherche et de développement d en agroenvironnement inc.. (IRDA), Québec, Canada Pourquoi

Plus en détail

Punaise des lits. À quoi ressemblent-elles? Cycle de vie. Alimentation

Punaise des lits. À quoi ressemblent-elles? Cycle de vie. Alimentation Punaise des lits À quoi ressemblent-elles? Lorsqu elle est à jeun, la punaise des lits présente une coloration allant du brun au brun jaunâtre. Une fois gorgée de sang, elle devient brune rougeâtre et

Plus en détail

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes.

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Phéromones d alarme. En phase de recherche. Aldéhydes 4-oxo-hexénal et 4-oxo-octénal chez les punaises de

Plus en détail

& Que choisir. favoriser le bien-être

& Que choisir. favoriser le bien-être Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie?

Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie? Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie? C'est en fait, une petite quantité du germe (virus ou bactérie) responsables de la maladie que

Plus en détail

En rouge et noir. 4,50 juin 2011 - n 1326 M 01054-1326 BEL : 4,50 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80

En rouge et noir. 4,50 juin 2011 - n 1326 M 01054-1326 BEL : 4,50 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80 Zoom 4,50 juin 2011 - n 1326 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80 GR : 3,80 - ITA : 4,60 - LUX : 2,60 - MAROC : 25 dh - NL : 5 En rouge et noir M 01054-1326 BEL : 4,50

Plus en détail

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis

Plus en détail

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014 BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du

Plus en détail

LUTTE ANTI-VECTORIELLE EN ETABLISSEMENT DE SANTE

LUTTE ANTI-VECTORIELLE EN ETABLISSEMENT DE SANTE LUTTE ANTI-VECTORIELLE EN ETABLISSEMENT DE SANTE 13.05 Objectif Le risque lié à la présence d ectoparasites et d agents nuisibles dans les établissements de santé est réel pour les patients et pour le

Plus en détail

PREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015

PREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015 PREVENTION ASV Partie réalisée par Le 09/05/2015 Atelier n 2 : Parasites et intoxication Principaux parasites de l été: - Les puces : c est quoi? - Les tiques : c est quoi? - Les aoutats : c est quoi?

Plus en détail

Les jours de la semaine

Les jours de la semaine Les jours de la semaine Les jours de la semaine S enfilent un à un Comme les billes d un grand collier Dans un ordre, ils se suivent Chaque jour se ressemble Chaque jour est différent Mais on ne peut les

Plus en détail

Mesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement

Mesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement MESURES DE PRÉVENTION POUR LES ÉTABLISSEMENTS OFFRANT DE L HÉBERGEMENT Les travailleurs œuvrant dans les établissements de santé ou communautaire offrant de l hébergement sont susceptibles d être confrontés

Plus en détail

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps

Plus en détail

La cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental

La cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental Mediterranean biodiversity as a tool for the sustainable development of the small ruminant sector: From traditional knowledge to innovation Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II Rabat, 16 décembre

Plus en détail

HYGIÈNE ET SOINS POUR CHIEN ET CHAT POUR LA FORME ET LA VITALITÉ DE VOS COMPAGNONS

HYGIÈNE ET SOINS POUR CHIEN ET CHAT POUR LA FORME ET LA VITALITÉ DE VOS COMPAGNONS HYGIÈNE ET SOINS POUR CHIEN ET CHAT POUR LA FORME ET LA VITALITÉ DE VOS COMPAGNONS Guide pratique ) F I C H E D I D E N T I T É D E V O T R E A N I M A L Son nom :................................... Sa

Plus en détail

FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES :

FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES : FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES : FIPROTEC 50 MG SOLUTION SPOT-ON POUR CHAT Composition :Une pipette de 0,50 ml contient 50 mg de Fipronil. Indications d utilisation : Chez les chats : - Traitement

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre

Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1b Wasmannia auropunctata Taille relative et diversité morphologique (Reine et ouvrière) Figure 2 Wasmannia auropunctata (mâle

Plus en détail

Renc. Rech. Ruminants, 2006, 13

Renc. Rech. Ruminants, 2006, 13 Conséquences d une maximisation de la part du pâturage sur les performances techniques d un troupeau ovin allaitant E. POTTIER (1), L. SAGOT (1), L.M. CAILLEAU (2) (1) Institut de l Élevage, Ferme Expérimentale

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification

Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille

Plus en détail

Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs

Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Lesauxiliaires auxiliaires Les enarboriculture arboriculture en Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Insectes pollinisateurs : respecter les

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

Des Hôtes peu sympathiques!!!

Des Hôtes peu sympathiques!!! Des Hôtes peu sympathiques!!! Des hivers de moins en moins rude, des saisons sans grandes différences, un automne très doux bouleversent le rythme de la nature. Mais pendant ce temps...... certaines petites

Plus en détail

AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014

AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS

Plus en détail

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol

Plus en détail

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :

Plus en détail

Les maladies parasitaires du cheval

Les maladies parasitaires du cheval Les maladies parasitaires du cheval Le tube digestif Les strongles du cheval : les grands et les petits strongles GMV1 Les maladies parasitaires du cheval Les strongles du cheval : les grands et les petits

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

Ce qu'il faut retenir

Ce qu'il faut retenir N 10 5 juin 2015 Ce qu'il faut retenir Balanin : des balanins sont présents en verger et d'après les dissections de femelles et de mâles, les accouplements devraient commencer dans les prochains jours.

Plus en détail

PUNAISES DE LIT. prévention et intervention

PUNAISES DE LIT. prévention et intervention PUNAISES DE LIT prévention et intervention À quoi ressemble la punaise de lit? La punaise de lit, aussi appelée punaise, est un insecte brunâtre visible à l œil nu qui mesure de 4 à 7 millimètres. Elle

Plus en détail

Les moyens les plus efficaces et sécuritaires pour prévenir et gérer une infestation de punaises de lit

Les moyens les plus efficaces et sécuritaires pour prévenir et gérer une infestation de punaises de lit Les moyens les plus efficaces et sécuritaires pour prévenir et gérer une infestation de punaises de lit Geneviève Hamelin Direction de santé publique Adrien Sansregret Office municipal d habitation de

Plus en détail

TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE

TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE Les poux existent depuis toujours et ne sont pas près de disparaître. Heureusement, ils ne sont pas dangereux, mais ils sont dérangeants. Le saviez-vous? Les poux de tête

Plus en détail

Guide de santé de votre cheval. www.merial.com

Guide de santé de votre cheval. www.merial.com Guide de santé de votre cheval www.merial.com Merial s investit auprès des vétérinaires dans la santé équine, au travers du développement de médicaments destinés aux équidés (vermifuges, vaccins, identification...)

Plus en détail

Des déficiences présentes

Des déficiences présentes Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?

Plus en détail

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire

Plus en détail

Calopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur

Plus en détail

2. Les auxiliaires de culture

2. Les auxiliaires de culture III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de

Plus en détail

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Bulletin de santé du végétal

Bulletin de santé du végétal Tous fr uitiers Le réseau d épidémio-surveillance en arboriculture (pomme, poire, cerise, prune) pour la région Centre comprend actuellement 44 parcelles tous piégeages confondus. Le réseau «carpocapse

Plus en détail

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement

Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Pendant la grossesse, les muscles du ventre, appelés abdominaux, s étirent beaucoup et perdent souvent de la force. Il est important

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Rencontre du groupe RAP Maïs sucré, 3 avril 2013 Jean-Philippe Légaré, M. Sc., biologiste-entomologiste, Laboratoire de diagnostic en

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009

P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution

Plus en détail

Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle

Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Par Jean-Paul Soucy, agr. Les acariens nuisibles en serre Tétranyque à deux points Tétranyque de Lewis Acariens des bulbes Mite du cyclamen/tarsonème du

Plus en détail

Don d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007.

Don d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007. Don d organes Donner ses organes et ses tissus à son décès est un geste généreux qui permet de sauver la vie de plusieurs personnes et d en aider de nombreuses autres à recouvrer la santé. La transplantation

Plus en détail

Le printemps et l été du compost

Le printemps et l été du compost Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant

Plus en détail

Décidezvous. Sinon, vos proches devront le faire pour vous. Informations sur le don d organes, de tissus et de cellules en cas de décès.

Décidezvous. Sinon, vos proches devront le faire pour vous. Informations sur le don d organes, de tissus et de cellules en cas de décès. Informations sur le don d organes, de tissus et de cellules en cas de décès. Décidezvous. Sinon, vos proches devront le faire pour vous. Le court-métrage sur le sujet transplantinfo.ch Vous pouvez être

Plus en détail

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique

Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique REGLEMENT GENERAL Le Clos du Verger organise cette année les Champêtreries a Jasseron le 23 Mai 2015. Au programme : Marché des animaux

Plus en détail

SOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions

SOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions CYCLE 1 SOMMAIRE Des jeux tout prêts Colorie les animaux Le pelage des animaux Mères et petits Les modes de locomotion Animaux mélangés Plumes, poils et écailles Ranger les familles par ordre de taille

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Auxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels

Auxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Auxiliaires Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Mouches Blanches L un des ravageurs les plus communs dans de nombreuses cultures. Lors d une forte attaque, la mouche blanche peut s avérer

Plus en détail

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION

Plus en détail

GUIDE. Guide pratique pour la lutte contre les fourmis sur le marché européen. PRATIQUE

GUIDE. Guide pratique pour la lutte contre les fourmis sur le marché européen. PRATIQUE Guide pratique pour la lutte contre les fourmis sur le marché européen. GUIDE PRATIQUE Les solutions les plus efficaces pour vos problèmes de nuisibles. 3317. PH18 - Ant Control French Guide.indd 1 10/11/2014

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail