3. La composition chimique de la troposphère
|
|
- Lucille Soucy
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 3. La composition chimique de la troposphère 3.1 Capacité oxydante de l atmosphère 3.2 Le méthane et les autres hydrocarbures 3.3 Le monoxyde de carbone 3.4 Les oxydes d azote 3.5 Le bilan de l ozone dans la troposphère Ozone troposphérique Capacité oxydante de l atmosphère Formation et destruction du radical hydroxyle OH Principale source de OH O 3 + h!! O 2 + O( 1 D) (R1) O( 1 D) + H 2 O! 2OH (R3) La concentration de OH est déterminée par la distribution de l ozone (O 3 ), la vapeur d eaud (H 2 O) et le rayonnement solaire (ultraviolet). Moyenne globale : [OH] = 1.0x10 6 molecules cm -3 OH est le principal oxydant dans la troposphère et contrôle le temps de résidence de nombreux polluants dans l atmosphère. l CO + OH (+O 2 )! CO 2 + HO 2 (R4) CH 4 + OH (+O 2 )! CH 3 O 2 + H 2 O (R5) HCFC + OH! Produits (R7) SO2 + OH! (...)! sulfates (R8) Ozone troposphérique - 2 1
2 3.1 Capacité oxydante de l atmosphère Fig. 1 : Rapport des concentrations hiver/été en HC en fonction de la constante cinétique de réaction avec OH. Ozone troposphérique Capacité oxydante de l atmosphère Fig. 2 : Coupe zonale de la concentration de OH (10 6 molécules/cm 3 ) calculée pour juin-juillet-août et pour décembre-janvier-février. Ozone troposphérique - 4 2
3 3.1 Capacité oxydante de l atmosphère Fig. 3 : Distribution de la concentration de OH (10 6 molécules/cm 3 ) à la surface calculée à l aide du modèle MOZART pour le 4 juillet à 12h TU. Ozone troposphérique Capacité oxydante de l atmosphère Fig. 4 : Evolution du rapport de mélange de CH 3 CCl 3. Ozone troposphérique - 6 3
4 3.1 Capacité oxydante de l atmosphère Fig. 5 : Anomalie de la concentration globale de OH (10 5 molécules/cm 3 ) reconstituée sur la période Moyenne=9, cm -3. Ozone troposphérique Capacité oxydante de l atmosphère Fig. 6 : Corrélation entre le temps de résidence des constituants et la distance parcourue. Ozone troposphérique - 8 4
5 3.1 Capacité oxydante de l atmosphère 1-2 mois 2 semaines 1-2 mois 1 an Fig. 7 : Temps caractéristiques du transport dans la troposphère. Ozone troposphérique Le méthane et les autres hydrocarbures Fig. 8 : Le cycle global du carbone. Les flèches représentent les flux d échanges de carbone en milliards de tonnes par an ou Gt/an et les réservoirs en milliards de tonnes. Ozone troposphérique
6 Unités utilisées Pour le CO 2 on utilisera pour les émissions: Pg Gt = Peta gramme = kg = kg = Giga tonne = kg = kg Pour les autres espèces on utilisera pour les émissions: Tg Mt = Tera gramme = kg = 10 9 kg = Mega tonne = kg = 10 9 kg Ozone troposphérique Le méthane et les autres hydrocarbures Fig. 9 : Evolution saisonnière du rapport de mélange du méthane (ppb) au cours de la période Ozone troposphérique
7 3.2 Le méthane et les autres hydrocarbures Fig. 10 : Evolution du rapport de mélange du CH 4 (ppb). Ozone troposphérique Le méthane et les autres hydrocarbures Apparente stabilisation du méthane depuis 4-5 ans témoignant d un d état d équilibre temporaire entre les émissions et les pertes. Fig. 11 : Evolution du rapport de mélange du méthane (ppb) et de son taux de croissance (ppb/an)sur la période Ozone troposphérique
8 3.2 Le méthane et les autres hydrocarbures Tableau 1: Sources et puits de méthane atmosphérique Gt(C)/an Ozone troposphérique Le méthane et les autres hydrocarbures Le taux de croissance du méthane atmosphérique présente de fortes variations interannuelles On note aussi une diminution du taux de croissance moyen depuis 20 ans Fig. 11bis : Variations du taux de croissance du méthane atmosphérique. Ozone troposphérique
9 3.2 Le méthane et les autres hydrocarbures Les zones inondées (wetlands) contribuent le plus à la variabilité interannuelle du méthane. La diminution du taux de croissance moyen est surtout dû aux sources anthropogéniques. Les feux de biomasse contribuent moins sauf en (El Niño). Depuis 1999, une compensation entre une augmentation des émissions anthropiques et une diminution des émissions des wetlands (sécheresses) expliquent le faible taux de croissance observé. Les résultats de l inversion sont en bon accord avec des modèles basés sur des reconstructions satellites des processus (en rouge). Fig. 11ter :Variations des émissions de méthane par inversion atmosphérique. Bilan par processus. Ozone troposphérique Le méthane et les autres hydrocarbures Les radicaux OH, principal puits de méthane, contribue significativement à sa variabilité atmosphérique. Les sources des régions de l hémisphère nord dominent plutôt la variabilité à long terme Les sources des régions tropicales dominent plutôt la variabilité interannuelle Les feux de biomasse ont eu une contribution significative en Fig. 11qua :Variations des émissions de méthane par inversion atmosphérique Bilan par bande de latitude. Ozone troposphérique
10 3.2 Le méthane et les autres hydrocarbures Concentration globale de méthane / concentration de référence Flux de méthane / Flux de méthane de référence Fig. 12 : Evolution de la concentration relative du méthane en fonction de l augmentation relative des émissions à la surface. Ozone troposphérique Le méthane et les autres hydrocarbures Biomass burning 11% Ocean 2% Fossil fuel 6% Methanol 15% Acetone 6% Other VOCs 1% A/ B/ Terpenes 17% Isoprene 61% Vegetation 81% VOCs : 1300 TgC CH 4 : 368 TgC CO : 771 TgC Total : 2439 TgC (2.4 PgC) Fig. 13 : Emissions relatives totales (A) et par la biosphère (B) d hydrocarbures non méthanique Ozone troposphérique
11 3.2 Le méthane et les autres hydrocarbures Tableau 2: Sources et puits de composés organiques volatils. Ozone troposphérique Le méthane et les autres hydrocarbures F (gc( gc/m!/h) = LAI " s " E (PFT,COV) " C f T (T,COV) " C L (PAR) C T C L Fig. 14 : Dépendance en température et en rayonnement de l émission d isoprène et de terpènes par la végétation. Ozone troposphérique
12 3.2 Le méthane et les autres hydrocarbures Fig. 15 : Distributions des émissions d isoprène pour janvier et juillet (10-10 kgc/m!/s). Total: ORCHIDEE 460 TgC/an, GEIA 503 TgC/an.. Ozone troposphérique Le méthane et les autres hydrocarbures (R6) Fig. 16 : Schéma général d oxydation des hydrocarbures dans l atmosphère. Ozone troposphérique
13 3.3 Le monoxyde de carbone Fig. 17 : Evolution saisonnière du rapport de mélange de CO (ppb) au cours de la période Ozone troposphérique Le monoxyde de carbone Fig. 18 : Evolution du rapport de mélange de CO (ppb) et de son taux de croissance (ppb/an) sur la période Ozone troposphérique
14 3.3 Le monoxyde de carbone Tableau 3: Sources et puits de monoxyde du carbone Gt(C)/an Ozone troposphérique Le monoxyde de carbone Fig. 19 : Distribution du CO (ppb) à 700 hpa mesurée par MOPITT/TERRA au cours d une année (03/ /2001). Ozone troposphérique
15 3.4 Les oxydes d azote Tableau 4: Principaux réservoirs et stocks d azote dans l environnement terrestre. Ozone troposphérique Les oxydes d azote Evolution récente Au cours du dernier millénaire Fig. 20 : Evolution du rapport de mélange de N 2 O (ppb). Ozone troposphérique
16 3.4 Les oxydes d azote (ppmv) Fig. 21 : Coupe zonale de N 2 O mesurée par CLAES. Ozone troposphérique Les oxydes d azote Fig. 22 : Colonne intégrée de NO 2 troposphérique mesurée par GOME/ERS2 en août 1997 (10 15 molécules/cm 2 ). Ozone troposphérique
17 3.4 Les oxydes d azote Engrais Fig. 23 : Le cycle de l azote dans le sol et productions gazeuses associées. Ozone troposphérique Les oxydes d azote Janvier DJF Juillet JJA Fig. 24 : Distribution des flashs d éclair détectés par les instruments LIS et OTD en janvier et juillet. Ozone troposphérique
18 3.4 Les oxydes d azote Tableau 5: Sources de composés azotés. Ozone troposphérique Les oxydes d azote Fig. 25 : Représentation schématique du rôle du PAN comme réservoir d oxydes d azote. Ozone troposphérique
19 3.4 Les oxydes d azote Fig. 26 : Rapport de mélange de NO x, PAN et NO y mesurés au cours de différentes campagnes. Ozone troposphérique Le bilan de l ozone dans la troposphère Fig. 27 : Variation de la concentration de OH et de la production nette d ozone en fonction du rapport de mélange de NO x. Ozone troposphérique
20 3.5 Le bilan de l ozone dans la troposphère Fig. 28 : Rapport de mélange de l ozone (ppb) en fonction des émissions de NO x et d hydrocarbures. Ozone troposphérique Le bilan de l ozone dans la troposphère NMHC CO Fig. 29 : Représentation schématique simplifiée des processus contrôlant l ozone troposphérique. Ozone troposphérique
21 3.5 Le bilan de l ozone dans la troposphère Fig. 30 : A/ Représentation schématique des processus contrôlant les échanges entre la stratosphère et la troposphère. B/ Rapport de mélange d ozone mesuré au cours de la période par le programme MOZAIC. A/ B/ Ozone troposphérique Le bilan de l ozone dans la troposphère Fig. 31 : Coupe zonal du rapport de mélange de l ozone et de la fraction d ozone stratosphérique dans la troposphère en Janvier, Avril et Juillet. Ozone troposphérique
22 3.5 Le bilan de l ozone dans la troposphère Tableau 6: Bilan de l ozone troposphérique calculé par le modèle LMDz-INCA. Model Previous work Photochemical Production Stratospheric Influx Photochemical Destruction Surface Deposition Net Chemistry (P-L) Burden O 3 photochemical lifetime (days) / Ozone troposphérique Le bilan de l ozone dans la troposphère Fig. 32 : Distribution d ozone à la surface (ppb) simulée par le modèle LMDz-INCA en janvier et en juillet. Ozone troposphérique
Évolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailLa modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation
La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailBilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton
Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation
Plus en détailPNUE. Secrétariat de l ozone Programme des Nations Unies pour l environnement
La Convention de Vienne pour la protection de la couche d ozone PNUE Secrétariat de l ozone Programme des Nations Unies pour l environnement Publication (novembre 2001) du Secrétariat de la Convention
Plus en détailLe nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques
Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations
Plus en détailTOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée
TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée COnCEnTRÉ DE TECHnOLOGiE Maîtrisez vos consommations grâce au concentré de technologie TOTAL EXCELLIUM DIESEL ) ) Une meilleure protection
Plus en détailRÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT
DIRCTION D LA COMMUNICATION CORPORAT D O S S I R D PRSS Lyon / Mars 2013 RÉDUIR LS FFTS DU TRANSPORT ROUTIR D MARCHANDISS SUR L NVIRONNMNT Pour réduire les effets sur l environnement tout au long du cycle
Plus en détailMesure de la réactivité atmosphérique totale avec les radicaux hydroxyles (OH) : Développement et applications en Ile-de-France
UNIVERSITE PARIS-SUD 11 LABORATOIRE DES SCIENCES DU CLIMAT ET DE L ENVIRONNEMENT THÈSE DE DOCTORAT Présentée par Cristina DOBREA - DOLGOROUKY Pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L UNIVERSITE PARIS SUD
Plus en détailQuestions fréquentes. Citations des présentes questions : Lors de la citation d un groupe de questions, donner la référence suivante :
Extraits du Rapport accepté par le Groupe de travail I du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat mais non approuvé dans les détails Questions fréquentes Citations des présentes
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailUtilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements
Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailEtude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA
Plus en détailSurveiller la qualité de l air avec les élèves
Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailCM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation
CM2E 2014 Colloque Martinique Energie Environnement Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation M. Torrijos, Laboratoire de Biotechnologie de l Environnement, INRA-LBE,
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailChangement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est?
Dossier pédagogique 3 Langues, géographie, sciences, histoire Changement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est? plus de 100 ans de recherches scientifiques Changement climatique, Effet de serre, gaz à
Plus en détailRESULTATS FOURNITURE DE GAZ MEDICAUX, GAZ DE LABORATOIRE ET GAZ INDUSTRIELS : BOUTEILLES et CENTRALES DE PRODUCTION
Lot Sslot LIBELLE PU HT euros Fluides médicaux avec AMM AIR PRODUCTS Mélange Oxygène 0% + protoxyde d'azote 0% conditionné en bouteille avec et sans manodétendeur intégré - tous types de bouteille et toutes
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailGUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger
GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailInfluence du changement. agronomiques de la vigne
Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailLSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement
LSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement octobre 2011 CONTACTS PRESSE : Service de presse de CEA - Tél : 01 64 50 16 49 presse@ceafr Service de presse du CNRS - Tél : 01 44 96 51 51
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailCHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013
CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013 Les éléments scientifiques Résumé à l intention des décideurs GT I CONTRIBUTION DU GROUPE DE TRAVAIL I AU CINQUIÈME RAPPORT D ÉVALUATION DU GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA
Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA 1. Description de la société Fromageries Bel SA : Code NAF : 1051C Code SIREN : 542.088.067, les numéros SIRET associés sont
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailTraitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables
Traitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables d à la prise Thèse Tangi Le Borgne Directeur de thèse : F. Masrouri (LAEGO) Conseillers d étude : O. Cuisinier
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailCORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE
Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale
Plus en détailLe développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?
Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailLa prévention des intoxications dans les silos à fourrage
La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailL enfouissement des déchets ultimes
L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008
ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 Cette page présente un résumé des derniers développements effectués dans le logiciel ProSimPlus HNO3. Ceux-ci correspondent à de nouvelles
Plus en détailEtudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes
Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes Jérôme DREANO 28 Février 2014 1 Introduction Dans le modèle LMDZ, les paramétrisations physiques des nuages
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailpour la détermination du COT dans l eau ultra pure être légèrement oxydées, certaines plus que d autres, les pharmacopées prescrivent
Pharma Eau purifiée Perspectives dans l analyse des eaux purifiés 11 News THORNTON Leading Pure Water Analytics SST Test d adéquation du système pour la détermination du COT dans l eau ultra pure La détermination
Plus en détailBundesdruckerei Berlin
Europaisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets @ Numéro de publication : 0 359 622 A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (S) Numéro de dépôt: 89402410.8 @ Date de dépôt: 05.09.89 (g)
Plus en détailCHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE
CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE I Chaine énergétique a- Les différentes formes d énergie L énergie se mesure en Joules, elle peut prendre différentes formes : chimique,
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailCHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX
FICHE PRODUIT - Le a été spécialement développé pour la surveillance en continu des polluants organiques dans l air ambiant dans la gamme C4-C12. L instrument se caractérise par son design compact et sa
Plus en détailIncitations financières véhicules 2014
Marque : Consommation de carburant C02 inférieures ou égales à 100 g/km de 101 à 120 g/km VOITURE Énergie : Essence Les déplacements Comprendre Incitations financières véhicules 2014 Pour des véhicules
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES)
Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) BEGES TABLE DES MATIÈRES 1- INTRODUCTION 2 1-1 - OBJET 2 1-2 - LE CADRE REGLEMENTAIRE 2 1-3 - CONTENU DU RAPPORT 3 1-4 - DEFINITIONS 3 2- BILAN DES EMISSIONS
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailModélisation grande échelle du fonctionnement des écosystèmes terrestres: comment mieux rendre compte des pratiques agricoles?
Modélisation grande échelle du fonctionnement des écosystèmes terrestres: comment mieux rendre compte des pratiques agricoles? B. Guenet / N. Vuichard Plan Eléments de contexte Représentation du couvert
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailUtilisation et challenges de la CFD pour des simulations industrielles
Utilisation et challenges de la CFD pour des simulations industrielles Nicolas Perret 25/11/2014 R&I/ARTI/DIPT - AMT SOMMAIRE 1. Contexte / Attentes autour de la CFD 2. Focus sur la simulation multiéchelle
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailPhoto tirée du site www.swissfire.ch
Danger incendie Photo tirée du site www.swissfire.ch Introduction Tout bâtiment ou construction est vulnérable au feu, il importe donc que des mesures et des dispositions préventives soient mises en œuvre
Plus en détailENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires
ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies
Plus en détailManuel d utilisation du détecteur Monitox plus
Manuel d utilisation du détecteur Monitox plus 1 Table des matières Page Présentation du Monitox plus 3 1. Description du produit 3 1.1 Application 3 1.2 Test fonctionnel 3 1.3 Ecouteur 4 1.4 Stockage
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailVitesse d une réaction chimique
Chimie chapitre itesse d une réaction chimique A. Avancement d un mobile et vitesse de déplacement Soit un mobile supposé ponctuel P se déplaçant le long d un axe x [Doc. ] : sa position instantanée est
Plus en détailVéhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès
Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants
Plus en détailChangements climatiques 2001: Rapport de synthèse
Changements climatiques 2001: Rapport de synthèse Rapport de synthèse Evaluation du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Ce résumé, intégralement approuvé à la XVIII e session
Plus en détailPrescriptions Techniques
Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailPuissant et écologique à la fois
Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une
Plus en détailCIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010
CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration
Plus en détailModèle de Climat de Titan
Planétologie - GSMA - Université de Reims Champagne-Ardenne Modèle de Climat de Titan Le contexte général : Titan, le plus gros satellite de Saturne, possède une atmosphère dense de 1.4 bar essentiellement
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détailL énergie. chapitre 3
L énergie Jusqu'à présent dans notre société, c est surtout la dimension économique de l énergie qui a eu la priorité, négligeant la dimension environnementale. L utilisation rationnelle de l énergie (en
Plus en détailSTÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1
Réduction des populations nonus 1 nonus 2 Taux de survie N/No Taux de mortalité No-N /No No : nombre initial de cellules vivantes N : nombre de cellules vivantes après le cycle de stérilisation nonus 3
Plus en détail