Séance 6 : Le choix du conjoint (5)
|
|
- Jeannine Bellefleur
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Séance 6 : Le choix du conjoint (5) Yoann Demoli Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines Mardi 25 octobre 2016 Lire la sociologie Licence de sociologie - S1 Séance 6 1 / 25
2 Plan de la séance Préface et introduction Écart d'âge, sexe et types d'union Femmes et écarts d'âge. Le désir d'être dominées? Mise en couple et âge du partenaire Séance 6 2 / 25
3 Préface Un chapitre de l'ouvrage La formation des couples Synthèse de plusieurs travaux Une préface, c'est-à-dire un texte qui introduit l'ensemble et qui lui est écrit postérieurement Écart d'âge entre hommes et femmes universellement connu Hommes souvent avec des femmes plus jeunes Norme transgressée que dans des moments chahutés de l'histoire Comment expliquer cet écart lorsqu'au contraire, il n'y a pas de crise majeure? Objectif de l'article : Fournir une explication sociologique de cette norme 1. Ce qui est normal s'oppose à ce qui est pathologique 2. Ce qui est normal s'oppose à ce qui est rare et peu fréquent Une interprétation en termes de domination masculine Séance 6 3 / 25
4 Introduction Écart d'âge entre hommes et femmes ne peut s'expliquer par des contraintes démographiques Pyramide des âges, du moins dans la France contemporaine et pour les personnes en âge de se marier, relativement symétrique. Il ne s'agit pas non plus d'une règle universelle, à la manière de la prohibition de l'inceste Norme de l'écart d'âge a des valeurs diérentes selon les cultures D'un point de vue historique, on observe toutefois une baisse de l'écart moyen entre les deux partenaires Il ne s'agit pas de stratégies Car une femme aurait alors plus d'intérêt à se marier avec un homme bien plus vieux Séance 6 4 / 25
5 Plan de la séance Préface et introduction Écart d'âge, sexe et types d'union Femmes et écarts d'âge. Le désir d'être dominées? Mise en couple et âge du partenaire Séance 6 5 / 25
6 Le calendrier de la conjugalité Données de l'enquête : L'enquête Situations familiales S'attarder sur le calendrier des premières mises en couple Les femmes, plus souvent que les hommes, commencent tôt leur conjugalité Commentaires des deux gures 1. La première est assez simple à comprendre 2. La deuxième est plus complexe : On regarde l'âge moyen des femmes en fonction de l'âge des hommes et réciproquement Ce sont deux courbes qui ne sont pas identiques, car les comportements sont asymétriques La ligne droite est une ligne d'isovaleur Comme si les conjoints choisissaient, tout autant, des conjoints aussi âgés qu'eux mêmes. Séance 6 6 / 25
7
8 Extraits de la page 129 Plus la femme commence tôt sa vie de couple, plus le partenaire choisi est éloigné par l'âge : 5 ans et demi lorsque la femme entre en union à 17 ans (dans 2,5% des cas), 4 ans et demi lorsqu'elle commence à 18 ans (11,4% des premières unions féminines). Le prol presque vertical de la courbe féminine aux très jeunes âges suggère qu'il exiset en pratique un âge plancher en deça duquel les hommes ne sont pas désirés (ou ne sont pas candidats à la vie de couple). (...) La courbe masculine présente logiquement une apparence très diérente : plus l'âge de mise en couple est tardif, plus la diérence d'âge s'accroît en faveur de l'homme. D'ailleurs, dans les quelques cas où l'homme débute sa vie de couple à 18 ans (2,1% de l'ensemble), l'écart moyen est négatif (-1 an) ; dans les premières unions entamées entre 19 et 21 ans (32% des entrées en couple des hommes), l'écart moyen entre hommes et femmes est encore proche de 0. Séance 6 8 / 25
9 Les secondes unions On voit que la domination masculine y est nette Les hommes ont plus de chances que les femmes de former une seconde union, même lorsqu'ils ont des enfants Bien plus fréquemment, ils forment une union avec une personne qui n'en avait jamais elle-même formée, avec des écarts d'âge très élevés (65 mois) Séance 6 9 / 25
10
11 Plan de la séance Préface et introduction Écart d'âge, sexe et types d'union Femmes et écarts d'âge. Le désir d'être dominées? Mise en couple et âge du partenaire Séance 6 11 / 25
12 Rappel : La jeunesse n'est qu'un mot Chapitre de Questions de sociologie Rédigé par Pierre Bourdieu Âge biologique comme une donnée foncièrement ambivalente Jeunesse recouvre des réalités très diérentes Ce n'est que récemment que l'âge prend une place importante tant dans sa ritualisation... que dans son importance sociale Phénomènes qui y concourent : 1. Scolarité obligatoire (qui ge des classes d'âge dans certains lieux) 2. Conscription qui crée des classes homogènes et des sociabilités qui vont durer 3. Articulation entre certains droits et l'âge Séance 6 12 / 25
13 Les eets de l'âge Alain Girard avait plutôt mal mesuré les eets de l'âge Avait été posée la question de l'âge idéal pour se marier Dans l'enquête de 1984, question posée diéremment Attitudes des hommes et des femmes bien diérentes - cf. la gure 4 Grande réticence des femmes les plus jeunes à avoir un homme plus jeune qu'elles Vieillissement a des eets diérenciés pour les hommes et pour les femmes Une inversion des préférences 1. Les hommes trentenaires et quarantenaires veulent moins des femmes âgées 2. Les femmes du même âge y sont moins sensibles désormais. Séance 6 13 / 25
14
15
16
17 Hommes jeunes et hommes mûrs Tableau 3 1. La centrale des particuliers 2. On voit que plus l'âge des hommes croît, plus la diérence d'âge souhaitée est forte 3. L'opposé est vrai pour les femmes Figure 5 : Acceptation des hommes jeunes varie également dans l'espace social 1. Femmes les plus dépendantes de la position sociale du mari comme celles qui rejettent le plus les hommes jeunes 2. Goût pour les hommes mûrs procèdent plutôt d'un dégoût pour les hommes jeunes Séance 6 17 / 25
18 Plan de la séance Préface et introduction Écart d'âge, sexe et types d'union Femmes et écarts d'âge. Le désir d'être dominées? Mise en couple et âge du partenaire Séance 6 18 / 25
19 Mise en couple et scolarité Mouvement de scolarisation des femmes entamé dès la n des années 1950 Rôle de la n de la scolarité dans la mise en couple Tableau 5 décrit l'âge de la fréquentation du conjoint avec l'âge de la n de la scolarité Phénomène particulièrement intéressant car il est asymétrique Pour les femmes peu diplômées, étant sorties du système scolaire avant 18 ans, le choix des conjoints fait montre d'une forme de «réalisme social», conjoint très souvent actif, ou en service militaire Séance 6 19 / 25
20
21
22 . Séance 6 22 / 25
23 Extrait des pages L' homme à l'école, l'homme qui s'atatrde à l'école, l'étudiant ne sont pas porteurs d'images positives. Lorsqu'elles sont encore scolarisées, les femmes qui font des études courtes ne recherchent pas l'homme scolarisé ; elles le fuient dès qu'elles sont sorteis du système scolaire. Ainsi 7% seulement de celles qui sont au chômage au moment de la rencontre, et 6% de celles qui ont un travail se mettent à fréquenter un homme scolarisé, lycéen ou étudiant. L'homme au chômage est d'ailleurs une denrée encore moins prisée que l'homme scolarisé. Cherchant à expliquer l'écart d'âge, on découvre dans le même mouvement un des mécanismes de l'homogamie sociale en milieu populaire : le fait que les femmes d'origine popuaire soeint portées à élire précocement des hommes précocement établis dans une position professionnelle sélectionne des conjoints qui entament leur carrière tôt, ouvriers et employés et tendent à éliminer les étudiants prometteurs, futurs cadres et membres des professions intermédiaires. Le réalisme populaire féminin est avant tout un réalisme à court terme : on s'intéresse moins aux promesses d'avenir dont les hommes sont porteurs qu'aux réalités du moment, aux étapes qu'ils ont déjà franchies, ou à leur âge social. Séance 6 22 / 25
24 Lien entre écart d'âge et scolarisation Évaluer le lien entre l'écart d'âge et la scolarisation longue des jeunes femmes 1. Tout d'abord, la scolarité, qui regroupe des classes d'âge, constitue un lieu privilégié de rencontres. 2. Pourtant, il arrive que les femmes peu diplômées attendent une certaine stabilité sur le marché du travail pour trouver un conjoint : cela ressemble ainsi aux comportements des plus diplômées 3. À l'inverse, des femmes très diplômées peuvent avoir commencé à fréquenter leur conjoint assez tôt. Séance 6 23 / 25
25 L'âge social Ce ne sont pas les traits physiques de la jeunesse ou de la maturité que les femmes évoquent Importance de la maturité sociale Être mature, c'est ne plus être un gamin, au sens social Rejet de la dépendance, de l'absence de situation professionnelle ou stabilisée Séance 6 24 / 25
26
L'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme
IREDU-CNRS Ministère de la Culture et de la Communication Délégation aux Arts plastiques Magali Danner Gilles Galodé L'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme Enquête
Plus en détailRECRUTEMENT EXTERNE SANS CONCOURS. Plombier Génie Climatique 2 ème Classe BAP G
RECRUTEMENT EXTERNE SANS CONCOURS Plombier Génie Climatique 2 ème Classe BAP G Dossier de candidature session 2011 1 Recrutement sans concours Plombier Génie Climatique 2 ème classe Concernant votre état
Plus en détailRèglement intercantonal des compléments de formation requis en vue de l'admission dans les filières des domaines de la santé et du social HES-SO
15 mars 2007 Règlement intercantonal des compléments de formation requis en vue de l'admission dans les filières des domaines de la santé et du social HES-SO vu la loi fédérale sur les hautes écoles spécialisées
Plus en détailÊtre seul. Jean-Louis Pan Ké Shon* Données sociales. La société française 2002-2003
Être seul Jean-Louis Pan Ké Shon* Données sociales. La société française 2002-2003 * Au moment de la rédaction de cet article, Jean-Louis Pan Ké Shon faisait partie de la division Conditions de vie des
Plus en détailPREFECTURE DE L OISE. Beauvais, le 2 mai 2006. Objet : modification du régime juridique des biens vacants sans maître
PREFECTURE DE L OISE Direction des Relations avec les Collectivités Locales Bureau de l'urbanisme, des affaires foncières et scolaires Affaire suivie par : M. ABDELLATIF Mme LENGLIN Tel : 03 44 06 12 76/
Plus en détailLe service éducatif des Archives départementales du Val-d'Oise : un partenaire ressource
Le service éducatif des Archives départementales du Val-d'Oise : un partenaire ressource Matières concernées : Histoire-Géographie, Lettres, Latin, Arts, Biologie. Enseignements d'exploration : Patrimoine,
Plus en détailA.T.S.E.M. -Note de service n 91-065 du 11 mars 1991 (BO no 1 2 du 21 mars 1991)
A.T.S.E.M. Le statut très particulier des ATSEM conduit les directrices(teurs) des écoles maternelles à travailler en étroite collaboration avec le service du personnel des communes. En effet, les ATSEM
Plus en détailGuide DOSSIER D INSCRIPTION ACADEMIQUE 2015/2016
Guide DOSSIER D INSCRIPTION ACADEMIQUE 2015/2016 Où puis-je trouver mon numéro INE/BEA? QUESTIONS POSEES REGULIEREMENT PROCEDURE D INSCRIPTION Ce numéro (10 chiffres + 1 lettre) figure sur le relevé de
Plus en détailCollecter des informations statistiques
Collecter des informations statistiques FICHE MÉTHODE A I Les caractéristiques essentielles d un tableau statistique La statistique a un vocabulaire spécifique. L objet du tableau (la variable) s appelle
Plus en détailà Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011
observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel
Plus en détaila) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. 3 étapes de la méthode doivent être distinguées :
a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. Nous nous limiterons ici à l'analyse discriminante linéaire et à deux groupes : - linéaire, la variante utilisée par ALTMAN
Plus en détailELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications
Plus en détailDossier de presse. Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales. Du 18 au 25 novembre 2011
Dossier de presse Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales Du 18 au 25 novembre 2011 2 Semaine nationale de la création reprise d entreprises artisanales - 18 au 25 novembre 2011
Plus en détailProjet de traitement d'image - SI 381 reconstitution 3D d'intérieur à partir de photographies
Projet de traitement d'image - SI 381 reconstitution 3D d'intérieur à partir de photographies Régis Boulet Charlie Demené Alexis Guyot Balthazar Neveu Guillaume Tartavel Sommaire Sommaire... 1 Structure
Plus en détailFormulaire d inscription
Modules complémentaires en vue d une admission dans une filière d une Haute Ecole Spécialisée dans le domaine Santé. Formulaire d inscription Je m inscris aux modules complémentaires en vue d une formation
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Entrepreneuriat de l Université Paris 13 - Paris-Nord Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section
Plus en détailPREMIERE DEMANDE OU RENOUVELLEMENT DE CARTE DE SEJOUR TEMPORAIRE VOUS PRESENTER PERSONNELLEMENT
PRÉFET DU VAL-D OISE SOUS-PREFECTURE DE SARCELLES Bureau des Ressortissants étrangers Mise à jour le 24/04/2013 PREMIERE DEMANDE OU RENOUVELLEMENT DE CARTE DE SEJOUR TEMPORAIRE VOUS PRESENTER PERSONNELLEMENT
Plus en détailD.E.S.C.F - UV 1 - Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés. Corrigé - Cas IG/IP/MEE
D.E.S.C.F UV 1 Module 8 Cas IG/IP/MEE Corrigé D.E.S.C.F UV 1 Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés Corrigé Cas IG/IP/MEE HYPOTHESE N 1 : FILIALE EN INTEGRATION GLOBALE 6 étapes sont à distinguer
Plus en détailTP3 : Creation de tables 1 seance
Universite de Versailles IUT de Velizy - Algorithmique 2005/2006 TP3 : Creation de tables 1 seance Objectif : Creation et modication de tables dans une base de donnees. Avant de commencer ce TP, terminer
Plus en détailBellevue - Chantenay - Sainte-Anne
Mendès France Croix Bonneau - Bourderies auriers Mairie de Chantenay Plessis Cellier - Roche Maurice Boucardière - MallèveJean Macé Salorges - Cheviré - zone portuaire E QUARTIER Sainte- Anne, contrasté,
Plus en détailRubrique «Question juridique» - «Hygiène et normes sanitaires à l école»
Rubrique «Question juridique» - «Hygiène et normes sanitaires à l école» Hugo SANTIBANEZ JIMENEZ Chargé de mission juridique à la FAPEO La question fréquemment posée par les associations de parents, soucieuses
Plus en détailMINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DIRECTION GENERALE DES PATRIMOINES
MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DIRECTION GENERALE DES PATRIMOINES Sous-direction des affaires financières et générales 182, rue Saint-Honoré 75033 Paris cedex 01 Service bénéficiaire :
Plus en détailFamille multirésidence : recensement et sources alternatives
Famille multirésidence : recensement et sources alternatives Groupe de travail sur la rénovation du questionnaire de recensement Pascale BREUIL Chef de l Unité des Etudes Démographiques et sociales 28/09/2011
Plus en détailDécembre 2011. Nord-du-Québec
Enquête sur les besoins de main-d œuvre et de formation des entreprises du secteur de l industrie de l information, de l industrie culturelle, des finances, des assurances, des services immobiliers et
Plus en détailLutte contre l étalement urbain
Lutte contre l étalement urbain L étalement urbain et la consommation d espace résultent de plusieurs causes cumulatives. Ces phénomènes s expliquent notamment par l insuffisance et l inadaptation de l
Plus en détailFormulaire de candidature - Logement à loyer d équilibre
Demande de location 2015 Formulaire de candidature - Logement à loyer d équilibre Je soussigné (nom et prénom) :........ demeurant à :.................. Adresse e-mail :.......... souhaite obtenir en location
Plus en détailREGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)
MARCHÉ DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) Constitution des dossiers d accessibilité Ad AP des ERP et IOP du territoire de la communauté de communes des Portes de l Ile de
Plus en détailSection 1. Actions de formation organisées ou agréées par l administration en vue de la préparation aux concours et examens professionnels
section temps de travail LES AUTORISATIONS D ABSENCE LIEES A LA FORMATION PROFESSIONNELLE TITRE I : LES TITULAIRES TROISIEME PARTIE : LES AUTORISATIONS D ABSENCE DEUXIEME CHAPITRE : LA FORMATION PROFESSIONNELLE
Plus en détailREGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)
MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) COMMUNE DE TRAMOLE Pouvoir adjudicateur exerçant la maîtrise d'ouvrage Personne Responsable du Marché représentant le pouvoir
Plus en détailCahier des charges pour la création d'un site internet -- Bourse d'échange de services - CESU --
Cahier des charges pour la création d'un site internet -- Bourse d'échange de services - CESU -- Préambule Dans tout ce document et dans le projet global, le PNR du Massif des Bauges entend par le mot
Plus en détailL exercice de l autorité parentale après le divorce ou la séparation des parents non mariés
Secrétariat général Direction de l Administration générale et de l Équipement Sous-direction de la Statistique, des Études et de la Documentation L exercice de l autorité parentale après le divorce ou
Plus en détailENQUETE SUR LES AIDES TECHNIQUES CHEZ LES SOURDS ET MALENTENDANTS
ENQUETE SUR LES AIDES TECHNIQUES CHEZ LES SOURDS ET MALENTENDANTS Monsieur R. MAZELIER BUDOCES - 40, rue du Mont-Valérien - 92210 Saint-Cloud Lancée en février 1988 à travers les deux périodiques de la
Plus en détailObservatoire de la Démographie
- INSTITUT MONÉGASQUE DE LA STATISTIQUE ET DES ÉTUDES ÉCONOMIQUES Observatoire de la Démographie Données 2013 Publication 2014 - 2 - 1 INTRODUCTION...5 1.1 CONTEXTE DE REALISATION ET SPECIFICITES...5 1.2
Plus en détailE-ASSURÉS RECHERCHE LE PROFIL DES PERSONNES ASSURANCE SANTÉ DES A LA SUR INTERNET D UNE PUBLIÉ PAR. 23 e ÉDITION
L OBSERVATOIRE PUBLIÉ PAR LE PROFIL DES PERSONNES A LA RECHERCHE DES D UNE E-ASSURÉS 23 e ÉDITION SEPTEMBRE NOVEMBRE 2014 ASSURANCE SANTÉ SUR INTERNET QUI SOMMES-NOUS? PRÉSENTATION DE cmonassurance est
Plus en détailANNÉE D INITIATION AU LEADERSHIP À L INTENTION DES AUTOCHTONES (AILA) RENSEIGNEMENTS ET QUESTIONNAIRE À L INTENTION DES POSTULANTS PARTIE I
RENSEIGNEMENTS ET QUESTIONNAIRE À L INTENTION DES POSTULANTS RENSEIGNEMENTS ET INSTRUCTIONS GÉNÉRALES PARTIE I 1. Ce document se divise en trois parties. La Partie I (pages I-1/2 à I-2/2) présente des
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détailEn 6 Choisis ton thème
E. S. P. C. ST-JOSEPH Collèges - L.E.G.T.P. Lycée Professionnel - Enseignement Supérieur IFCA En 6 Choisis ton thème Choisis ton thème Choisis ton thème 23, avenue Georges Pompidou 24000 PERIGUEUX Tél
Plus en détailImmersion - Vision 3D dans la RV.
Cours RVS Master II IVA Immersion - Vision 3D dans la RV. Cours de Réalité Virtuelle et Simulation Master II - IVA A. Mebarki - Maître de Conférences Département d'informatique Faculté des Mathématiques
Plus en détailSynthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers
Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA
Plus en détailBaccalauréat technologique
Baccalauréat technologique Épreuve relative aux enseignements technologiques transversaux, épreuve de projet en enseignement spécifique à la spécialité et épreuve d'enseignement technologique en langue
Plus en détailDahir n 1-07-167 du 19 kaada 1428 portant promulgation de la loi n 69-99 relative aux archives. (B.O. n 5588 du 20 décembre 2007).
Dahir n 1-07-167 du 19 kaada 1428 portant promulgation de la loi n 69-99 relative aux archives. (B.O. n 5588 du 20 décembre 2007). Vu la Constitution, notamment ses articles 26 et 58, Est promulguée et
Plus en détailComment va la vie en France?
Comment va la vie en France? L Initiative du vivre mieux, lancée en 2011, se concentre sur les aspects de la vie qui importent aux gens et qui ont un impact sur leur qualité de vie. L Initiative comprend
Plus en détailTapori France ATD Quart Monde 2014 1/5
1/5 Les enfants, acteurs essentiels du combat contre les idées reçues. Prendre en compte leur parole et les actes concrets qu ils posent. Réfléchir et débattre ensemble PROPOSER UN DEBAT PHILO Il s'agit
Plus en détailGUIDE MASTER 2. Radiothérapie-Oncologie
GUIDE MASTER 2 Radiothérapie-Oncologie Master 2 (M2) : carte d identité -Niveau requis : Bac + 5 -Durée : Un an -S inscrit dans le cadre de la réforme dite LMD (Licence Master Doctorat) Remplace le DEA
Plus en détailNC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles
NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles Objectif 01. Une entreprise peut acquérir des éléments incorporels ou peut elle-même les développer. Ces éléments peuvent constituer des
Plus en détailDès qu'une action atteint un certain degré de complexité ou qu'il s'agit d'actions collectives il est nécessaire d'organiser, c'est-à-dire de diviser et coordonner. L'organisation suppose donc division
Plus en détailPréparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais
Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais Dans les écoles de maturité des gymnases du canton de Vaud Edition 2014 Département de la formation, de la jeunesse
Plus en détailLe patrimoine des ménages retraités : résultats actualisés. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 juillet 2015 à 9 h 30 «Le patrimoine des retraités et l épargne retraite» Document N 2 bis Document de travail, n engage pas le Conseil Le patrimoine
Plus en détailCHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques
CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On
Plus en détailÀ l'intention des parents
Septembre 2011 À l'intention des parents Information sur les examens en vue de l'obtention du diplôme Votre fils ou votre fille passera bientôt des examens en vue de l'obtention du diplôme? Voici de l'information
Plus en détailUtilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses
INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE TRAVAUX REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)
MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) Pouvoir adjudicateur exerçant la maîtrise d'ouvrage Ministère de l'intérieur Préfecture de Belfort Représentant du Pouvoir Adjudicateur (RPA)
Plus en détailImpact de l Apparition de l Hyper-Connectivite sur la Banque de De tail
Impact de l Apparition de l Hyper-Connectivite sur la Banque de De tail 2012 Financial Breakthroughs - Ver-2012-02-06 - Document sous licence CC-BY-NC-ND I FICHE RESUME DE CE LIVRE BLANC... 1 II INTRODUCTION...
Plus en détailL écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique
L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...
Plus en détailDossier de. Année universitaire
Dossier de candidature ISTC MASTER 1ère année Année universitaire 2015-2016 L ISTC c est Une école reconnue par l Etat Une licence classée 3 ème par le cabinet SMBG* Un master classé 12 ème par le cabinet
Plus en détailPROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES
Leçon 11 PROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES Dans cette leçon, nous retrouvons le problème d ordonnancement déjà vu mais en ajoutant la prise en compte de contraintes portant sur les ressources.
Plus en détailManagement Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques
L Management Chapitre 4 La I) La notion de stratégie A) Caractéristiques 1) Définition a stratégie : consiste pour une entreprise, à se fixer des objectifs à long terme et à se donner les moyens de les
Plus en détailObjet : Mise en place d'un régime collectif de remboursement de frais de santé à adhésion obligatoire.
Raison Sociale : SIRET : Adresse : À, le / / Objet : Mise en place d'un régime collectif de remboursement de frais de santé à adhésion obligatoire. Madame, Monsieur, La Direction de l'entreprise 1 a pris
Plus en détailConditions d'engagement des maîtres et maîtresses généralistes dans l'enseignement primaire genevois. Année scolaire 2015-2016
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'instruction publique, de la culture et du sport Direction générale de l'enseignement obligatoire - DGEO Service des ressrces humaines EP Modifiée : 05.01.2015
Plus en détailAtelier Transversal AT11. Activité «Fourmis» Pierre Chauvet. pierre.chauvet@uco.fr
Atelier Transversal AT11 Activité «Fourmis» Pierre Chauvet pierre.chauvet@uco.fr Ant : un algorithme inspiré de l éthologie L éthologie Etude scientifique des comportements animaux, avec une perspective
Plus en détailD. 12-01-2007 M.B. 20-03-2007. Le Parlement de la Communauté française a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit :
Lois 31723 p.1 Décret relatif au renforcement de l'éducation à la citoyenneté responsable et active au sein des établissements organisés ou subventionnés par la Communauté française D. 12-01-2007 M.B.
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE TRAVAUX. REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) n 2-06/2015
TERREVILLE GROUPE FROID - RC MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) n 2-06/2015 Pouvoir adjudicateur exerçant la maîtrise d'ouvrage Rectorat de l Académie de Martinique Personne Responsable
Plus en détail2.1.2. La fixation du taux de change sur le marché
2.1.2. La fixation du taux de change sur le marché La loi de l'offre et de la demande Comme tout marché concurrentiel, le marché des changes est régi par la loi de l'offre et de la demande. Les offres
Plus en détailREGLEMENT D INTERVENTION BOURSES D ETUDES POUR LES FORMATIONS SANITAIRES ET SOCIALES
REGLEMENT D INTERVENTION BOURSES D ETUDES POUR LES FORMATIONS SANITAIRES ET SOCIALES Septembre 2008 1 Direction Générale Adjointe Solidarités Formations tout au long de la vie Direction des Solidarités
Plus en détailDécision 04/77/ILR du 6 juillet 2004
Décision 04/77/ILR du 6 juillet 2004 concernant les règles relatives aux modalités pour l'introduction de la portabilité des numéros mobiles Vu la loi modifiée du 21 mars 1997 sur les télécommunications
Plus en détailÉLÉMENTS DE CONNAISSANCES SOCIODÉMOGRAPHIQUES
FÉVRIER 2 Observatoire de la formation ÉLÉMENTS DE CONNAISSANCES SOCIODÉMOGRAPHIQUES 4 ème promotion de surveillants pénitentiaires Graphique : Evolution de la part des hommes et des femmes 4 ème 4 ème
Plus en détailDemande d examen du parcours d intégration au Québec en vue de l obtention du Certificat de sélection du Québec. Renseignements généraux
mande d examen du parcours d intégration au en vue de l obtention du Certificat de sélection du A-0523-IF (2015-02) Renseignements généraux titre de requérant principal ou de requérante principale, vous
Plus en détailDiplômes professionnels pour adultes
Diplômes professionnels pour adultes Quatre manières d obtenir le certificat fédéral de capacité ou l attestation fédérale de formation professionnelle Direction de l instruction publique du canton de
Plus en détailL endettement chez les jeunes Rapport final
L endettement chez les jeunes Rapport final Résultats du sondage pour le secteur d Alma L école secondaire Séminaire Marie-Reine-du-Clergé ainsi que le Collège d Alma Remis au : Service budgétaire de Lac-
Plus en détailI-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation
I-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation I-3 : pourcentage de contrôle et pourcentage d intérêt II-1 : les missions de l auditeur des comptes consolidés
Plus en détailANNEXE 2 : Liste des questions entre le directeur et l étudiant
ANNEXE 2 : Liste des questions entre le directeur et l étudiant LES QUESTIONS PROPRES À L ÉTUDIANT 4 Ai-je bien identifié mes besoins de formation et d'encadrement et les objectifs que je désire atteindre
Plus en détailBILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS
DOSSIER STATISTIQUE BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS C-4052 DOSSIER STATISTIQUE BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS Service des
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION
DOSSIER D INSCRIPTION ECOLE DU SACRE COEUR 31 avenue de la Marne 56100 LORIENT 02 97 64 43 95 http://www.ecole-sacre-coeur-lorient.com Mail : eco56.sc.lorient@eco.ecbretagne.org Nom : Prénom : Classe :
Plus en détailAPPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES
4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION
Plus en détailComprendre les enjeux actuels. et les defis futurs. Carine Bouthevillain Gilles Dufrenot. Philippe Froute Laurent Paul. Preface de Michel Bouvier
Les politiques budgetaires dans la crise Comprendre les enjeux actuels et les defis futurs Carine Bouthevillain Gilles Dufrenot Philippe Froute Laurent Paul Preface de Michel Bouvier ^ ECONOMIQUES in W
Plus en détailB Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi?
B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi? a) Le diplôme facilite l'accès à l'emploi typique 1. Les sortants du système éducatif sont de plus en plus diplômés. En 1979, sur 742 000 sortants du
Plus en détailDirecteur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef : Christophe Soullez, chef du département de l ONDRP
repères Premier ministre 20 institut national des hautes études de la sécurité et de la justice Janvier 2013 n Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef
Plus en détailLICENCE ADMINISTRATION PUBLIQUE. www.univ-littoral.fr DROIT, ECONOMIE, GESTION
LICENCE DROIT, ECONOMIE, GESTION ADMINISTRATION PUBLIQUE www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION La Licence d Administration Publique (LAP) propose aux étudiants une formation diplômante en vue
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE SERVICE. Procédure adaptée MFS 10-003 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P.) LOTS 1 ET 2
CHAMBRE DE METIERS ET DE L ARTISANAT DE VAUCLUSE HOTEL DE L ESPINE 35 RUE JOSEPH VERNET BP 40208 84009 AVIGNON CEDEX 1 MARCHE PUBLIC DE SERVICE Procédure adaptée MFS 10-003 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES
Plus en détailMÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015
MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015 ATTENTION : UNE SEULE SESSION EN 2015 La Région Rhône-Alpes et l État, DRAC Rhône-Alpes, ont souhaité mettre conjointement en place le
Plus en détailNe pas avoir eu d enfant : plus fréquent pour les femmes les plus diplômées et les hommes les moins diplômés
Ne pas avoir eu d enfant : plus fréquent pour les femmes les plus diplômées et les hommes les moins diplômés Isabelle Robert-Bobée (*) Près de 10 % des femmes nées entre 1945 et 1953 et 14 % des hommes
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants
Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailI. Démarches administratives et documents à produire
UCL - Guide administratif du médecin assistant candidat boursier (MACB) porteur d un diplôme de médecine ou de spécialisation obtenu dans un pays hors Union Européenne. Ce petit guide reprend des informations
Plus en détailMINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE NOTICE
cerfa N 50078#07 MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE PROCEDURE D'AGREMENT, AU TITRE DU CREDIT D'IMPOT-RECHERCHE, DES ORGANISMES EXECUTANT POUR DES TIERS DES OPERATIONS DE RECHERCHE ET DE DEVELOPPEMENT NOTICE
Plus en détailCahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré
Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants
Plus en détailRéalisation de vérifications périodiques obligatoires de bâtiments. Règlement de consultation
Réalisation de vérifications périodiques obligatoires de bâtiments Règlement de consultation Marché n 2014000401 Pouvoir adjudicateur: Tél. : 02.41.57.36.08 Fax : 02.41.57.59.09 Mél : comcom.valleeloireauthion@ccvla.fr
Plus en détailCyberclasse L'interface web pas à pas
Cyberclasse L'interface web pas à pas Version 1.4.18 Janvier 2008 Remarque préliminaire : les fonctionnalités décrites dans ce guide sont celles testées dans les écoles pilotes du projet Cyberclasse; il
Plus en détailREGLEMENT DE LA CONSULTATION (R.C.)
Montélimar Sésame Règlement de la consultation Collecte des cartons des activités sur la commune de Montélimar MARCHE PUBLIC DE SERVICES OOO REGLEMENT DE LA CONSULTATION (R.C.) OOO Pouvoir adjudicateur:
Plus en détailConcours pédagogique vidéos métiers «Je filme le métier qui me plaît»
Concours pédagogique vidéos métiers «Je filme le métier qui me plaît» Version mise à jour le 22/08/2014 Concours vidéo pédagogique pour la découverte des métiers, de l'entreprise et de l'économie par une
Plus en détailINSCRIPTION d'un ETUDIANT ETRANGER DIPLOME à l'etranger
Année académique 2015-2016 INSCRIPTION d'un ETUDIANT ETRANGER DIPLOME à l'etranger I. DOCUMENTS A TRANSMETTRE à l'ecam, dès que possible, pour permettre à la Commission d'admission d émettre un avis sur
Plus en détailLa transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio
Institut de psychologie et éducation Faculté des lettres et sciences humaines Espace Louis-Agassiz 1 CH-2000 Neuchâtel La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie
Plus en détailPrévoyance collective, assurance santé et dépendance
Juin 2012 Prévoyance collective, assurance santé et dépendance La Comarep vient de publier un état des lieux de la protection sociale complémentaire des branches à fin 2011. C est l occasion d en tirer
Plus en détail1) Il n'y a pas d'apprentissage sans projet
HISTOIRE DES DOCTRINES PÉDAGOGIQUES SÉANCE N 6 : La "ruse" avec le désir de l'autre... ou... la pédagogie aux prises avec le "projet" PLAN Introduction : "comment faire aimer les mathématiques à une jeune
Plus en détailLa Valorisation des Acquis de l Expérience (VAE) en Communauté française.
La Valorisation des Acquis de l Expérience (VAE) en Communauté française. Dossier de presse rédigé par : Françoise de Viron, Présidente de la Commission Education tout au Long de la Vie (ETALV) du CIUF,
Plus en détailNC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés
NC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés Champ d'application 1. La présente norme doit être appliquée à la préparation et à la présentation des états financiers consolidés d'un groupe
Plus en détailFONCTIONNEMENT DE GROUPE ET D'EQUIPE AU TRAVAIL
FONCTIONNEMENT DE GROUPE ET D'EQUIPE AU TRAVAIL Intro... 1 I. Caractéristiques des différents types de groupe... 1 A. Définitions... 1 B. Définition selon Anzieu et Martin... 2 C. Définition de Fisher...
Plus en détail