Thème 1A: GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION. Chapitre 4

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Thème 1A: GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION. Chapitre 4"

Transcription

1 Thème 1A: GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION Chapitre 4

2 Introduction Chapitre 4 : UN REGARD SUR L EVOLUTION DE L HOMME Comme toutes les espèces, l Homme a une histoire évolutive, qui peut être retracée par l analyse des fossiles. L Homme et les singes sont des mammifères que l on classe dans le groupe des primates.

3 Problématique Quelle est cette histoire? Quelle est la place de l Homme au sein des Primates? Quels sont les caractères propres au genre humain? I. LA PLACE DE L HOMME PARMI LES PRIMATES TP n 6 : L histoire évolutive des Primates

4 TP6: L HISTOIRE EVOLUTIVE DES PRIMATES L arbre phylogénétique : Il traduit des liens de parenté entre des espèces. Pour chaque caractère on définit deux états (ancestral ou primitif, et dérivé), l un étant dérivé de l autre. Le passage de l état ancestral à l état dérivé d un caractère est une innovation évolutive qui a nécessairement été transmise de génération en génération jusqu aux organismes observés. Les nœuds de l arbre indiquent le dernier ancêtre commun des espèces qui partagent des caractères dérivés exclusifs. L arbre phylogénétique dit «qui partage quoi avec qui» et donc «qui est le plus proche parent de qui» et non pas «qui descend de qui». Parenté : Chercher la parenté c est «chercher le groupe frère, et non l ancêtre. Il s agit, pour une espèce donnée, du groupe avec lequel elle partage une innovation évolutive exclusive : elle ne la partage avec aucun autre groupe. L ancêtre au sens propre restera toujours inconnaissable, mais on peut déduire certains des caractères qu il devait posséder, les caractères dérivés qui définissent le groupe».

5 TP6: L HISTOIRE EVOLUTIVE DES PRIMATES Les Primates : Les primates forment un groupe à l intérieur de celui des Mammifères, caractérisé par une vie en général arboricole, des ongles plats aux doigts et orteils, la préhension (capacité de saisir) par opposition du pouce, une prédominance de la vision sur l'olfaction. Grands singes (ou grands primates): présence d un nez, d orbites fermées, de narines rapprochées et d une absence de queue. (L Homme en fait partie)

6 TP6: L HISTOIRE EVOLUTIVE DES PRIMATES Pb: Quel est le plus proche parent de l Homme dans la nature actuelle? ETAPE 1 : CONCEVOIR UNE STRATEGIE POUR RESOUDRE LE PROBLEME Formuler une hypothèse permettant de répondre au problème de départ et sa conséquence dans l arbre de parenté. Le plus proche parent de l Homme est le chimpanzé. Il est donc situé juste à côté de l Homme dans l arbre de parenté, et possède des caractéristiques communes et un ancêtre commun avec lui qu il ne partage pas avec les autres primates. Proposer une stratégie permettant de valider cette hypothèse. Comme l arbre de parenté est basé sur le partage de caractères dérivés* entre les espèces, il suffit de comparer les caractères, les génomes et les molécules fabriquées par différentes espèces de primates. Si le chimpanzé est le plus proche parent de l Homme, alors il aura le maximum de similitudes avec lui.

7 L histoire évolutive de l Homme fait partie de celle des Primates*. Primates = groupe de mammifères possédant des caractères propres : pouce opposable aux autres doigts, ongles plats, orbites dirigés vers l avant.

8 1 2 Construction de la matrice de caractères 3 caractères espèces

9 caractères espèces Polariser les caractères : primitifs ou dérivés?

10 TP6: L HISTOIRE EVOLUTIVE DES PRIMATES UTILISER DES CARACTERES ANATOMIQUES ET MORPHOLOGIQUES POUR ETABLIR LES RELATIONS DE PARENTE ETAPE 2 : METTRE EN ŒUVRE UN PROTOCOLE, PHYLOGENE ETAPE 3 : COMMUNIQUER SES RESULTATS état primitif d un caractère: caractère ancestral qui n a pas subi de modification. état dérivé d un caractère: caractère nouveau issu de la transformation d un caractère primitif = innovation évolutive.

11 TP6: L HISTOIRE EVOLUTIVE DES PRIMATES UTILISER DES CARACTERES ANATOMIQUES ET MORPHOLOGIQUES POUR ETABLIR LES RELATIONS DE PARENTE ETAPE 3 : COMMUNIQUER SES RESULTATS Grands Primates Primates

12 TP6: L HISTOIRE EVOLUTIVE DES PRIMATES UTILISER DES CARACTERES ANATOMIQUES ET MORPHOLOGIQUES POUR ETABLIR LES RELATIONS DE PARENTE ETAPE 4 : EXPLOITER LES RESULTATS POUR REPONDRE AU PROBLEME Il n est pas possible pour le moment de répondre précisément au problème, l arbre de parenté ne permettant pas de choisir parmi les Grands Primates (1 seul ancêtre commun).

13 TP6: L HISTOIRE EVOLUTIVE DES PRIMATES UTILISER DES DONNEES MOLECULAIRES POUR PRECISER LES RELATIONS DE PARENTE ETAPE 2 : METTRE EN ŒUVRE UN PROTOCOLE, PHYLOGENE ETAPE 3 : COMMUNIQUER SES RESULTATS

14 TP6: L HISTOIRE EVOLUTIVE DES PRIMATES UTILISER DES DONNEES MOLECULAIRES POUR PRECISER LES RELATIONS DE PARENTE ETAPE 2 : METTRE EN ŒUVRE UN PROTOCOLE, PHYLOGENE ETAPE 3 : COMMUNIQUER SES RESULTATS

15 TP6: L HISTOIRE EVOLUTIVE DES PRIMATES UTILISER DES DONNEES MOLECULAIRES POUR PRECISER LES RELATIONS DE PARENTE ETAPE 2 : METTRE EN ŒUVRE UN PROTOCOLE, PHYLOGENE ETAPE 3 : COMMUNIQUER SES RESULTATS

16 TP6: L HISTOIRE EVOLUTIVE DES PRIMATES ETAPE 4 : EXPLOITER LES RESULTATS POUR REPONDRE AU PROBLEME Les plus proches parents de l Homme sont les Chimpanzés (communs et Bonobo). Toumaï - de 6 à 7Ma Orrorin 6Ma Fossile de la lignée humaine ou de celle du Chimpanzé?

17 Les premiers représentants fossiles des Primates ont un âge compris entre 65 et 50 Ma. Des innovations génétiques (comme l absence de queue) permettent de constituer le groupe des Grands Primates (Hominoïdes), apparu il y a environ 23 Ma. Le plus proche parent de l Homme dans la nature actuel est le Chimpanzé. Les 2 possèdent de fortes similitudes au niveau deleurs séquences protéiques. Ils partagent un ancêtre commun récent qui vivait il y a environ 7 Ma et qui ne correspond pas à un fossile découvert (doc.3 p.81).

18 Les fortes homologies au niveau des séquences protéiques entre l Homme et le Chimpanzé se retrouvent-elles au niveau de leurs génomes? II. LA PROXIMITÉ GÉNÉTIQUE ENTRE L HOMME ET LE CHIMPANZÉ Livre: doc. 1 à 2 p.76 et 77

19 TD: Comparaison génétique Homme-chimpanzé Guide d exploitation : 1) Le caryotype du Chimpanzé contient 24 paires de chromosomes alors que celui de l Homme n en contient que 23 paires.

20 TD: Comparaison génétique Homme-chimpanzé Guide d exploitation : 2) En observant les bandes noires révélées par la technique d obtention du caryotype, on peut émettre l hypothèse que la paire numéro 2 de l Homme résulterait de la fusion de la paire 2 (2p) et 3 (2q) du chimpanzé. Certains chromosomes semblent identiques alors que d autres présentent des inversions ponctuelles decertaines régions chromosomiques.

21 TD: Comparaison génétique Homme-chimpanzé Guide d exploitation : 3) En comparant la séquence du gène codant pour la protéine globine Beta de l hémoglobine, on constate l identité des deux gènes pour l Homme et le chimpanzé et des différences plus ou moins importantes avec les autres primates. 99 % d identité entre le génome du Chimpanzé et celui de l Homme

22 Leurs génomes sont effectivement très proches : - caryotypes similaires (sauf quelques fusions, inversions, insertions, délétions de morceaux) ; - séquences nucléotidiques similaires à près de 99% (les 1% restant correspondent à des mutations ponctuelles). Pourquoi, malgré de si grandes ressemblances chromosomiques et moléculaires, leurs phénotypes sont-ils si différents?

23 III. LES MÉCANISMES À L ORIGINE DE LA DIVERSIFICATION HOMME/CHIMPANZÉ

24 L acquisition du phénotype propre à chacune de ces 2 espèces s effectue au cours du développement. Exemples : - phases embryonnaire et juvénile plus longues chez l Homme qui permet un développement plus lent mais plus important du cerveau ; - déplacement du trou occipital vers l arrière + projection de la mâchoire vers l avant (prognathisme) chez le Chimpanzé.

25 Comment expliquer ces différences de phénotypes? Livre: Doc.1 à 3 p.78 et 79 Doc.3 p.77

26 Guide d exploitation : Différences dans l intensité, la durée et la chronologie de l expression de certains gènes du développement entre Homme et Chimpanzé, comme des gènes impliqués dans le nombre de neurones (ASPM), le plissement du cerveau (HAR1) et la croissance du crâne(myh16). Phases embryonnaire et juvénile (naissance mâturité sexuelle) plus longues.

27 Guide d exploitation : Gène HAR1 : rôle dans l organisation du cortex chez l Homme Gène ASPM : rôle dans le déterminisme de la taille du cerveau 5) Le cerveau de l Homme est beaucoup plus gros que celui du Chimpanzé (variabilité de séquence du gène ASPM) et sa surface plus importante (variabilité de laséquence HAR1).

28 - L intensité et la durée d expression de certains gènes du développement, au moment du développement embryonnaire puis juvénile, expliquent les différences observées.

29 Guide d exploitation : Influence de l environnement (relations entre individus). 3) L Homme et le Chimpanzé utilisent des outils, en particulier pour la recherche de nourriture. L utilisation de ces outils, et leur fabrication, reposent sur des habitudes et des traditions propres à chaque groupe impliquant la communication d un savoir entre individus de génération en génération au cours de séance d apprentissage.

30 Guide d exploitation : Influence de l environnement (sélection naturelle) 4) Certains Hommes (lactase persistant) continuent d exprimer le gène de la lactase mutation apparue chez un unique individu de la région du Caucase, puis augmentation de la fréquence de ce phénotype chez les peuples éleveurs de bovins et donc consommateurs de lait frais (avantage sélectif) qui ont migré vers l Europe il y a ans.

31 - Les interactions avec l environnement, notamment des échanges avec les autres individus, influent aussi sur la construction du phénotype comportemental.

32 Quelles sont les innovations qui permettent de constituer ce groupe et quelle est son histoire évolutive? IV. LA DÉFINITION ET L HISTOIRE DU GENRE HOMO L Homme actuel et plusieurs fossiles découverts appartiennent au genre Homo. 1. Les innovations propres au genre Homo TP n 7 : Les caractéristiques du genre Homo

33

34 TP7: Les caractéristiques du genre Homo Plusieurs stades «pré-humains» ont existé depuis le dernier ancêtre commun entre l Homme et le Chimpanzé (exemple : les Australopithèques).

35 TP7: Les caractéristiques du genre Homo Comment constituer un groupe «genre humain» dans un arbre de parenté, excluant ces stades préhumains fossiles et les autres grands primates actuels?

36 Comparaison d organismes du genre Homo avec d autres Primates, Chimpanzé ou membres de la lignée humaine «sens large»

37

38 - Bipédie permanente - Bassin court et large - Fémurs obliques - Crâne volumineux - Angle facial presque droit - Trou occipital centré et horizontal - Mandibule en V

39 Production d outils complexes associées au genre Homo de façon non exclusive!

40 Plusieurs groupes, classés dans la lignée humaine, ont existé depuis le dernier ancêtre commun entre l Homme et le Chimpanzé (exemple : les australopithèques, -4 à -1,5 Ma). Les caractères propres à la lignée humaine sont des caractères crâniens (volume cérébral important, face aplatie, ), et des caractères autorisant la bipédie (trou occipital sous le crâne, bassin large et court, fémurs obliques).

41 Au sein de la lignée humaine, le genre Homo regroupe l espèce humaine actuelle (Homo sapiens) et des espèces disparues. Elles présentent toutes : - une bipédie très accomplie, avec des bras plus courts que les jambes ; - une mâchoire peu allongée et parabolique; - un dimorphisme sexuel homme/femme peu marqué au niveau dusquelette ; - des pratiques culturelles variées (vie sociale, utilisation d outils complexes et du feu, art rupestre, rites funéraires ).

42 2. L histoire évolutive du genre Homo Le genre Homo émerge en Afrique, il y a 2,5 Ma environ et colonise progressivement tous les autres continents. Depuis ans, le genre ne compte plus qu une seule espèce, Homo sapiens (qui a ans), alors qu avant plusieurs espèces ont coexistées. La construction précise de l arbre phylogénétique du genre Homo est controversée. Pourquoi?

43 Une phylogénie controversée dans le détail

44 Lorsqu on change de caractère, les relations de parenté varient. De plus, le rattachement de nombreux fossiles à une espèce donnée est problématique à cause d éléments fossiles souvent incomplets et de caractères anatomiques parfois flous.

45

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment. Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications

Plus en détail

QUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME. Niveau 1. 1 - Qui est-ce? 2 - Quelle est la nature des fossiles les plus courants?

QUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME. Niveau 1. 1 - Qui est-ce? 2 - Quelle est la nature des fossiles les plus courants? avec la collaboration du Centre de vulgarisation de la connaissance, université Paris-XI QUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME Vingt questions pour tester vos connaissances Le niveau 1 comporte

Plus en détail

La place de l'homme parmi les vertébrés.

La place de l'homme parmi les vertébrés. La place de l'homme parmi les vertébrés. Les caractères dérivés dans l'arbre des vertébrés. En parcourant l'arbre, à chaque nœud, on voit apparaître un caractère nouveau, plus évolué, (on l'appelle caractère

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

1 les caractères des êtres humains.

1 les caractères des êtres humains. Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une

Plus en détail

Génétique et génomique Pierre Martin

Génétique et génomique Pierre Martin Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées

Plus en détail

La gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST.

La gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST. La gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST. Gaël Le Mahec - p. 1/12 L algorithme BLAST. Basic Local Alignment Search Tool est un algorithme de recherche

Plus en détail

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de

Plus en détail

MABioVis. Bio-informatique et la

MABioVis. Bio-informatique et la MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID

Plus en détail

Classer le vivant. Module de formation pour les professeurs des écoles

Classer le vivant. Module de formation pour les professeurs des écoles Classer le vivant Module de formation pour les professeurs des écoles L'objectif de cette formation est de permettre aux stagiaires de construire les connaissances et les méthodes permettant de classer

Plus en détail

Arian Zwegers / CC BY 2.0 Eleifert / CC BY-SA 3.0 Pierre Fidenci / CC BY-SA 2.5 Jean-Michel Krief Jean-Michel Krief Jean-Michel Krief

Arian Zwegers / CC BY 2.0 Eleifert / CC BY-SA 3.0 Pierre Fidenci / CC BY-SA 2.5 Jean-Michel Krief Jean-Michel Krief Jean-Michel Krief MUSÉUM NATIONAL D HISTOIRE NATURELLE ACTION PÉDAGOGIQUE ET CULTURELLE DÉPARTEMENT DES GALERIES / PÔLE FORMATION DES ENSEIGNANTS DEPF Exposition temporaire Grande Galerie de l Évolution Muséum national

Plus en détail

Cahier pédagogique. «Sur les traces de l Homme : ENQUÊTE SUR LA PRÉHISTOIRE» :

Cahier pédagogique. «Sur les traces de l Homme : ENQUÊTE SUR LA PRÉHISTOIRE» : Cahier pédagogique «Sur les traces de l Homme : ENQUÊTE SUR LA PRÉHISTOIRE» : une exposition réalisée par Cap Sciences présentée au Centre de Culture Scientifique de l ULB du 22 septembre au 22 décembre

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

Arian Zwegers / CC BY 2.0 Eleifert / CC BY-SA 3.0 Pierre Fidenci / CC BY-SA 2.5 Jean-Michel Krief Jean-Michel Krief Jean-Michel Krief

Arian Zwegers / CC BY 2.0 Eleifert / CC BY-SA 3.0 Pierre Fidenci / CC BY-SA 2.5 Jean-Michel Krief Jean-Michel Krief Jean-Michel Krief MUSÉUM NATIONAL D HISTOIRE NATURELLE ACTION PÉDAGOGIQUE ET CULTURELLE DÉPARTEMENT DES GALERIES / PÔLE FORMATION DES ENSEIGNANTS DEPF Exposition temporaire Grande Galerie de l Évolution Muséum national

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

Les tests génétiques à des fins médicales

Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

Convergence Grand public professionnelle

Convergence Grand public professionnelle Note de synthèse Convergence Grand public professionnelle Cette note synthétise les réflexions d une des tables rondes des entretiens Télécom de Mars 2006, organisés par Finaki. A cette table étaient à

Plus en détail

Qu est-ce que la maladie de Huntington?

Qu est-ce que la maladie de Huntington? Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée

Plus en détail

Feuille d exercices 2 : Espaces probabilisés

Feuille d exercices 2 : Espaces probabilisés Feuille d exercices 2 : Espaces probabilisés Cours de Licence 2 Année 07/08 1 Espaces de probabilité Exercice 1.1 (Une inégalité). Montrer que P (A B) min(p (A), P (B)) Exercice 1.2 (Alphabet). On a un

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,

Plus en détail

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration

Plus en détail

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant

Plus en détail

Présentation du Master Ingénierie Informatique et du Master Science Informatique 2007-2008, Année 2 Université Paris-Est Marne-la-Vallée

Présentation du Master Ingénierie Informatique et du Master Science Informatique 2007-2008, Année 2 Université Paris-Est Marne-la-Vallée Présentation du Master Ingénierie Informatique et du Master Science Informatique 2007-2008, Année 2 Université Paris-Est Marne-la-Vallée Responsable du Master Informatique : Marc Zipstein Responsable de

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

La technique en 7 étapes. Déroulement du mouvement. ASTA Association Suisse de Tir à l Arc. Conseil des entraîneurs

La technique en 7 étapes. Déroulement du mouvement. ASTA Association Suisse de Tir à l Arc. Conseil des entraîneurs Déroulement du mouvement 1. Position Position des pieds Jambes Hanches Buste Tête 2. Bras d arc Main d arc Point de pression Coude Bras de l arc Epaule 3. Bras de corde Prise de corde Position des doigts

Plus en détail

Module Analyse de Génomes 2011-2012 Master 2 module FMBS 326 Immunoinformatique

Module Analyse de Génomes 2011-2012 Master 2 module FMBS 326 Immunoinformatique Module Analyse de Génomes 2011-2012 Master 2 module FMBS 326 Immunoinformatique Planning du Module : Date Heure Salle 12/12 9h-12h TD info TA1Z bat 25 13h-17h TD info TA1Z bat 25 13/12 9h-12h TD info TA1Z

Plus en détail

LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 L électricité.

LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 L électricité. LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 v L électricité. L électricité cycle 3 - doc Ecole des Mines de Nantes 1 LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 v L'électricité. PROGRESSION GENERALE Séance n 1

Plus en détail

Votre Réseau est-il prêt?

Votre Réseau est-il prêt? Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie

Plus en détail

La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie

La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance, un handicap grave Une personne malvoyante est une personne dont la vue est déficiente malgré le port de lunettes ou de lentilles, ou

Plus en détail

BRUNO SAINT HUBERT FRANCAIS

BRUNO SAINT HUBERT FRANCAIS Standard S.C.C (2003) ORIGINE : France. BRUNO SAINT HUBERT FRANCAIS DATE DE PUBLICATION DU STANDARD D ORIGINE EN VIGUEUR :.. UTILISATION : Chien de petite Vénerie capable de chasser dans tous les terrains

Plus en détail

Comportements (The Observer XT) : activité générale du conducteur : (entre autres) mouvements des mains, position, verbalisations.

Comportements (The Observer XT) : activité générale du conducteur : (entre autres) mouvements des mains, position, verbalisations. Ce document récapitule la participation de Noldus Information Technology à l atelier 1 du workshop ERGO IA (30 juin 1 juillet) : Systèmes Innovants basés sur l émotion pour l analyse des risques ferroviaires

Plus en détail

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse

Plus en détail

Article original. boulevard Pierre-Dramard, 13916 Marseille cedex 20, France b MCU PH, faculté d odontologie de Marseille, 27, boulevard Jean-Moulin,

Article original. boulevard Pierre-Dramard, 13916 Marseille cedex 20, France b MCU PH, faculté d odontologie de Marseille, 27, boulevard Jean-Moulin, L anthropologie 107 (2003) 315 331 www.elsevier.com/locate/anthro Article original L occlusion dentaire chez les primates supérieurs. Application d un modèle réduit d occlusion : la «matrice occlusale»

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

1 an Ce document appartient à

1 an Ce document appartient à Et si l univers avait un an? 1 an Ce document appartient à Tu es prêt(e) pour un grand voyage intergalactique? Je t emmène, aux confins du cosmos, assister à la naissance de l Univers et de la vie.tu savais,

Plus en détail

Pair-à-Pair: Architectures et Services

Pair-à-Pair: Architectures et Services Pair-à-Pair: Architectures et Services Fabrice Le Fessant Fabrice.Le_Fessant@inria.fr Équipe ASAP (Réseaux très large échelle) INRIA Saclay Île de France Octobre 2008 Fabrice Le Fessant () Architectures

Plus en détail

Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt)

Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt) Effectuer la mise au sein Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt) - Ceci vous permettra de l'amener au sein en pointant le mamelon vers son

Plus en détail

Tests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique»

Tests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Tests de comparaison de moyennes Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Test de Z ou de l écart réduit Le test de Z : comparer des paramètres en testant leurs différences

Plus en détail

- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires

- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences

Plus en détail

Information génétique

Information génétique chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.

Plus en détail

Votre conférencier. Christian Martineau

Votre conférencier. Christian Martineau Votre conférencier Christian Martineau Immédiatement après l obtention d un diplôme de deuxième cycle (MBA exécutif à l'université de Sherbrooke), M. Martineau entreprend une formation de 3 ans en synergologie.

Plus en détail

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements

Plus en détail

Coordinateur Roland Calderon

Coordinateur Roland Calderon SVT-3 e -/Sciences de la Vie et de la Terre-/ erre-/-programme 2008 LIVRE DU PROFESSEUR Coordinateur Roland Calderon Les auteurs Vincent Béranger Professeur à Paris Louis-Marie Couteleau Professeur à Paris

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Simulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat

Simulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation

Plus en détail

DOSSIER PÉDAGOGIQUE. Présentation de la structure :

DOSSIER PÉDAGOGIQUE. Présentation de la structure : DOSSIER PÉDAGOGIQUE Présentation de la structure : Missions de l Espace Mendès France : L Espace Mendès France doit son origine à des chercheurs de l université de Poitiers, militants de l éducation populaire,

Plus en détail

Dans les secrets du cerveau

Dans les secrets du cerveau Sciences du Vivant et Société Dans les secrets du cerveau Vendredi 11 octobre 2013 Collège des Bernardins - Paris Dans les secrets du cerveau Colloque organisé par Sciences du Vivant et Société Sous la

Plus en détail

Mythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!!

Mythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!! Mythe : Le chien est un omnivore C'est faux!! Les chiens sont des carnivores et non des omnivores. La théorie selon laquelle les chiens sont omnivores reste à être prouvée, alors que le fait que les chiens

Plus en détail

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture 148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une

Plus en détail

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des

Plus en détail

LES MASSAGES POUR BÉBÉ

LES MASSAGES POUR BÉBÉ LES MASSAGES POUR BÉBÉ La philosophie et les engagements du LABORATOIRE HÉVÉA Des produits 100% naturels élaborés exclusivement à partir de plantes en provenance des cinq continents et récoltées dans le

Plus en détail

INTRODUCTION AU DATA MINING

INTRODUCTION AU DATA MINING INTRODUCTION AU DATA MINING 6 séances de 3 heures mai-juin 2006 EPF - 4 ème année - Option Ingénierie d Affaires et de Projets Bertrand LIAUDET TP DE DATA MINING Le TP et le projet consisteront à mettre

Plus en détail

La Reine des fourmis a disparu

La Reine des fourmis a disparu La Reine des fourmis a disparu Séance 1 : Découverte de la couverture. Montrer l album sans rien dire. La couverture est cachée par 12 petits cartons sur lesquels sont proposés des indices. Chaque indice

Plus en détail

Questionnaire pour enfants avec trouble de voix

Questionnaire pour enfants avec trouble de voix 10 504, boulevard St-Laurent, local 1 Montréal, H3L 2P4; 514.332.9593 www.cliniquebeausoleil.com Questionnaire pour enfants avec trouble de voix Voici un formulaire qui peut vous sembler long à remplir,

Plus en détail

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier?

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP

Plus en détail

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux

Plus en détail

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette

Plus en détail

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule

Plus en détail

bouchons? Choisir ou des descoquilles

bouchons? Choisir ou des descoquilles PROTECTION INDIVIDUELLE Association paritaire pour la santé et la sécurité du travail Secteur fabrication de produits en métal et de produits électriques L exploitant d un établissement doit se conformer

Plus en détail

Table des matières. Télécharger MetaTrader 4. Première connexion à MetaTrader 4. Se connecter à MetaTrader 4. Modifier la langue

Table des matières. Télécharger MetaTrader 4. Première connexion à MetaTrader 4. Se connecter à MetaTrader 4. Modifier la langue Guide METATRADER 4 Table des matières Télécharger MetaTrader 4 Première connexion à MetaTrader 4 Se connecter à MetaTrader 4 Modifier la langue Modifier votre mot de passe Mot de passe oublié Trader avec

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le

Plus en détail

Exercices de génétique classique partie II

Exercices de génétique classique partie II Exercices de génétique classique partie II 1. L idiotie phénylpyruvique est une maladie héréditaire dont sont atteints plusieurs membres d une famille, dont voici l arbre généalogique : 3 4 5 6 7 8 9 10

Plus en détail

Comment se sentir bien dans la pratique de yoga

Comment se sentir bien dans la pratique de yoga Livret de pratique Comment se sentir bien dans la pratique de yoga La posture (asana) sera stable et agréable. Pour cela, il suffit de se relâcher et de s absorber dans l infini. Yoga Sutra de Patanjali,

Plus en détail

CAC, DAX ou DJ : lequel choisir?

CAC, DAX ou DJ : lequel choisir? CAC, DAX ou DJ : lequel choisir? 1. Pourquoi cette question Tout trader «travaillant 1» sur les indices s est, à un moment ou un autre, posé cette question : «je sais que la tendance est bien haussière

Plus en détail

Stabilitéet variabilitédes génomes au cours de la reproduction sexuée

Stabilitéet variabilitédes génomes au cours de la reproduction sexuée Stabilitéet variabilitédes génomes au cours de la reproduction sexuée 1 1 Reproduction sexuée et stabilitéde l espèce 2 2 L évolution du nombre de chromosones au cours de la reproduction sexuelle Le cycle

Plus en détail

Les technologies du Big Data

Les technologies du Big Data Les technologies du Big Data PRÉSENTÉ AU 40 E CONGRÈS DE L ASSOCIATION DES ÉCONOMISTES QUÉBÉCOIS PAR TOM LANDRY, CONSEILLER SENIOR LE 20 MAI 2015 WWW.CRIM.CA TECHNOLOGIES: DES DONNÉES JUSQU'À L UTILISATEUR

Plus en détail

Gènes Diffusion - EPIC 2010

Gènes Diffusion - EPIC 2010 Gènes Diffusion - EPIC 2010 1. Contexte. 2. Notion de génétique animale. 3. Profil de l équipe plateforme. 4. Type et gestion des données biologiques. 5. Environnement Matériel et Logiciel. 6. Analyses

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

Bases de données des mutations

Bases de données des mutations Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS ÉVALUATION DES STAGIAIRES. Objectif des organisateurs et formateurs. Évaluation des stagiaires. Évaluation initiale

OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS ÉVALUATION DES STAGIAIRES. Objectif des organisateurs et formateurs. Évaluation des stagiaires. Évaluation initiale OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS L enseignement doit viser à ce que tous les stagiaires réussissent à acquérir de nouvelles connaissances et de nouvelles compétences. La réussite des stagiaires dépend en

Plus en détail

LA PHYSIQUE DES MATERIAUX. Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE

LA PHYSIQUE DES MATERIAUX. Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE LA PHYSIQUE DES MATERIAUX Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE Pr. A. Belayachi Université Mohammed V Agdal Faculté des Sciences Rabat Département de Physique - L.P.M belayach@fsr.ac.ma 1 1.Le réseau

Plus en détail

Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures. Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht

Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures. Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht Alimentation et démographie mondiale Augmentation annuelle de 80 millions Croissance surtout dans

Plus en détail

Intelligence Artificielle et Robotique

Intelligence Artificielle et Robotique Intelligence Artificielle et Robotique Introduction à l intelligence artificielle David Janiszek david.janiszek@parisdescartes.fr http://www.math-info.univ-paris5.fr/~janiszek/ PRES Sorbonne Paris Cité

Plus en détail

1S9 Balances des blancs

1S9 Balances des blancs FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.

Plus en détail

Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood

Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)

Plus en détail

Contributions à l expérimentation sur les systèmes distribués de grande taille

Contributions à l expérimentation sur les systèmes distribués de grande taille Contributions à l expérimentation sur les systèmes distribués de grande taille Lucas Nussbaum Soutenance de thèse 4 décembre 2008 Lucas Nussbaum Expérimentation sur les systèmes distribués 1 / 49 Contexte

Plus en détail

Ce que vous devez savoir au sujet de la transition de la télévision analogique à la télévision numérique au Canada

Ce que vous devez savoir au sujet de la transition de la télévision analogique à la télévision numérique au Canada TEMPORIBUD AUTEM QUINSUD ET AUR Le bureau de la consommation du Canada Ce que vous devez savoir au sujet de la transition de la télévision analogique à la télévision numérique au Canada LA TRANSITION QUE

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER Objet de la séance 4: définir les termes techniques utilisés par le trésorier

Plus en détail

BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1

BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1 TP A.1 Page 1/5 BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1 Ce document comprend : - une fiche descriptive du sujet destinée à l examinateur : Page 2/5 - une

Plus en détail

Introduction générale

Introduction générale Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur

Plus en détail

Univers Vivant Révision. Notions STE

Univers Vivant Révision. Notions STE Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,

Plus en détail

Courir plus vite en améliorant sa VMA

Courir plus vite en améliorant sa VMA Courir plus vite en améliorant sa VMA OBJECTIF DE CET ENTRANEMENT Pour courir plus vite, l'objectif sera d'améliorer votre VMA, ceci afin de gagner en confort dans les autres allures. En effet, en augmentant

Plus en détail

Contexte de la mission Présentation du Groupe France Telecom Enjeux de la réalisation de la mission Planning de la mission et temps forts

Contexte de la mission Présentation du Groupe France Telecom Enjeux de la réalisation de la mission Planning de la mission et temps forts Retour d Expérience Groupe FRANCE TELECOM Expertise LiveBox ORANGE Enjeux, Stratégies et Environnement Technique 01/2011 au 08/2012 Sommaire Contexte de la mission Présentation du Groupe France Telecom

Plus en détail

GénoToul 2010, Hôtel de Région Midi Pyrénées, Toulouse, 10 décembre 2010

GénoToul 2010, Hôtel de Région Midi Pyrénées, Toulouse, 10 décembre 2010 GénoToul 2010, Hôtel de Région Midi Pyrénées, Toulouse, 10 décembre 2010 Analyse de la diversité moléculaire des régions génomiques de 30 gènes du développement méristématique dans une core collection

Plus en détail

Évaluation 1ère, 2ième année, 3ième année

Évaluation 1ère, 2ième année, 3ième année TM Évaluation 1ère, 2ième année, 3ième année Mis sur pied par Parachute Mis sur pied par Prévenir La Fondation les Pensez blessures. d abord Sauvez du Canada des vies. Avec l'appui du Congrès canadien

Plus en détail

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Chapitre 3 La biodiversité, résultat et étape de l évolution

Chapitre 3 La biodiversité, résultat et étape de l évolution Chapitre 3 La biodiversité, résultat et étape de l évolution Introduction 1- La diversité des milieux et des écosystèmes 2- La diversité des espèces 3- La diversité des gènes 4- L évolution de la biodiversité

Plus en détail

Déroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données. Walid AYADI

Déroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données. Walid AYADI 1 Déroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données Walid AYADI 2 Les étapes d un projet Choix du sujet - Définition des objectifs Inventaire des données existantes Collecte, nettoyage

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp

Plus en détail