ETUDE BANQUE MONDIALE Bétail et gestion des déchets de bétail des abattoirs

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1 ETUDE BANQUE MONDIALE Bétail et gestion des déchets de bétail des abattoirs Atelier à la Banque Mondiale Washington, D.C. 27 février 2008 Présentation 3 Disposition finale des déchets des marchés et des abattoirs NIPPON KOEI Co. Ltd. en association avec ProAnd Associates Australia Pty. Ltd. CONCLUSIONS GENERALES MARCHES DE BETAIL (1) La quantité des déchets d solides qui va à la poubelle dépend d de la quantité de lit de paille utilisé dans les camions de transport et si oui ou non les fèces f des animaux ont été récupérés. La plupart des pays ont tendance à minimiser la quantité de literie utilisée e durant le transport, et donc la quantité de déchets d à jeter (substances non voulues) peut être minime. Le jeûne avant et/ou durant le transport réduit r également la quantité potentielle de déchets. d Les fèces f en provenance des gros ruminants sont souvent récupérés s durant la saison sèche s et transformés s en galettes de crottin séchs chées pour la commercialisation ou pour en faire du carburant. Lorsque les fèces f de animaux ne sont pas ramassés s et durant le saison humide, le trop plein des sites s és écoule vers les cours d eau d locaux, ce qui crée e un gros problème de pollution. 1

2 CONCLUSIONS GENERALES MARCHES DE BETAIL (2) A certains endroits, on piétine sur les déchets d d animaux, d surtout là où il n y n y a pas de terre dure. Cela devient un problème supplémentaire pendant la saison sèche. s Les mauvaises ou non existantes installations sanitaires, pour les l travailleurs, chauffeurs et commerçants, entrainent de nombreuses défécations d a l air l libre, à l intérieur et autour des marchés. Les déchets d solides en provenance des marchés s sont typiquement jetés s dans une décharge d ou un dépotoir d ou bien peuvent y être déversés s illégalement. Occasionnellement, les déchets d organiques sont utilisés s pour produire du compost. On ne trouve pas beaucoup de bétail b mort, mais s il s y en a, l animal est généralement g emporté pour être dépecd pecé. Les installations sanitaires pour les travailleurs et commerçants sont médiocres; m par conséquent, les déchets d en provenance de la Mairie sont peu nombreux. CONCLUSIONS GENERALES MARCHES DE BETAIL (3) Literie et déchets en provenance des camions et déversés dans un marché. Déchets de bétail en train d être déversés dans un marche parmi des déchets municipaux éparpillés sur le site. 2

3 CONCLUSIONS GENERALES MARCHES DE BETAIL (4) Déchets de bétail amassés ensemble dans un marché. Déchets de bétail et boue mélangés et répandus partout sur le marché après la saison des pluies. CONCLUSIONS GENERALES ABATTOIRS (1) La quantité de déchets d (matériels non voulus), en provenance des abattoirs, varie par pays et par la taille des installations. Dans les pays oùo on fait un traitement extensif du cinquième quartier (abats, cuirs/peaux, têtes, pieds, cornes), la quantité des déchets solides est généralement g faible. Les abattoirs de petite et moyenne taille n ont n pas souvent de marchés s pour les produits de cinquième quartier, donc produisent plus de déchets d jetés à la poubelle. Les déchets d solides en provenance des abattoirs sont typiquement ramassés s par des camions (municipaux et privés) pour être éliminés s en même temps que les déchets d de la municipalité. De temps en temps, ils peuvent être détournd tournés s pour du compostage ou du déped peçage. L incinération sur place est typiquement faite pour les produits interdits. 3

4 CONCLUSIONS GENERALES ABATTOIRS (2) L incinération sur place est généralement g utilisée e pour les produits interdits and les déchets d pathologiques; cependant, les installations pour incinération sont souvent simples. Là où il n y n y a pas d incind incinérateur, le bétail b mort et les produits interdits sont brulés s dans une fosse et ensuite enterrés. La quantité de déchets d liquides produits dépend d de la quantité de l eau l de traitement utilisée. Typiquement, 10% de moins que dans les abattoirs modernes. L eau de traitement est normalement jetée e dans un égout sur place et dans les cours d eau d ou dans les égouts publics sans même la filtrer ou la traiter. La concentration de contaminants organiques dans l eau l de traitement dépend d largement du fait que le sang et le contenu des intestins sont collectés. CONCLUSIONS GENERALES ABATTOIRS (3) Eau de lavage et sang allant dans l égout sur place et coulant directement dans le principal canal d évacuation. Décharges vers le principal canal d évacuation. 4

5 CONCLUSIONS GENERALES ABATTOIRS (4) Décharges en provenance d égouts publics contenant des déchets d abattoirs. Egouts sur le site des abattoirs. ENLEVEMENT DES DECHETS SOLIDES (1) Les services d enld enlèvement des déchets d solides dans toutes les villes visitées sont satisfaisants. Le ramassage des déchets d solides est généralement g une fonction de la Mairie mais le secteur privé est en train de s y s y intéresser davantage, souvent encouragé par une incitation fiscale. Les véhicules v de ramassage sont la plupart du temps en bonne condition, en nombre suffisant et fonctionnent tous les jours. Le matériel ramassé est presque entièrement jeté dans les décharges. Les lieux de décharges d sont typiquement des endroits ouverts ou des dépotoirs d contrôlés. Dans certains cas, des sanitaires on été construits et dans la plupart des cas, ils sont en train d en d planifier l installation. l Sur tous les dépotoirs, d on trouve des récupr cupérateurs, a fois humains et animaux, et leur exposition aux déchets d de bétail b est presque assurée. 5

6 ENLEVEMENT DES DECHETS SOLIDES (2) Bétail fouillant dans un dépotoir. Lixiviat dans le même dépotoir. ENLEVEMENT DES EAUX USAGEES (1) Les écoulements d eaux d usagées et contaminées, en provenance des marchés s de bétail, b sont évacués s vers des égouts locaux et vers des cours d eaux, d sans être traités s au préalable. Des étangs de poissons sont souvent utilisés s comme dépotoirs de déchets d. Des installations de traitement d eaux d usagées ont été trouvées dans quelques abattoirs, mais ne fonctionnaient pas, à cause des prix d opd opération élevés. Dans la plupart des case, il n y n y a pas d installations d de traitement et les eaux usagées sont jetées es dans les égouts publics ou directement dans les cours d eaux. d On ne trouve pas souvent des installations de traitement d eaux usagées appartenant à la Mairie et làl où elles existent, elles ne reçoivent généralement g pas les déchets d des abattoirs. 6

7 ENLEVEMENT DES EAUX USAGEES (2) Usine de traitement des eaux usagées dans un grand abattoir et construite il y a deux ans. QUE PEUT ON FAIRE? (1) Enlèvement des déchets d solides Améliorer les installations existantes des marchés s pour permettre la collecte facile des déchets d ayant trait aux animaux. Améliorer les abattoirs pour réduire r les déchets d des animaux en ramassant et traitant les produits de cinquième quartier. Fournir des clôtures et la sécurits curité dans les dépotoirs d existants pour contrôler l accl accès s des personnes et des animaux. Rendre formelles les activités s de ramassage des déchets d et fournir des simples installations sanitaires, des vêtements de protection et de l instruction sur la santé et l hygil hygiène. Etablir une zone sépars parée e pour les déchets d d animaux d sur les sites existants. Accélérer les plans pour les nouvelles installations sanitaires dans les l dépotoirs et fermer les dépotoirs d existants. Etablir des usines de compostage à proximité des installations des dépotoirs pour produire des fertilisants (cependant le marché doit exister). 7

8 QUE PEUT ON FAIRE? (2) Enlèvement des eaux usagées Améliorer les installations existantes des marches pour permettre la l capture et le contrôle des eaux de ruissellements contaminées. Améliorer les installations sanitaires dans les marches pour réduire r la défécation a l air l libre et améliorer les conditions d hygid hygiène générale g et de santé. Estimer l impact l potentiel de la décharge d des déchets d des marchés s et des abattoirs dans les étangs à poissons. Améliorer le contrôle du processus des abattoirs et fournir des installations pour réduire r la charge organique des eaux de traitement a travers la collecte de sang et le contrôle du contenu des intestins. ins. Fournir des installations pour la rétention r et le traitement des eaux de traitement dans les abattoirs avant de les décharger d dans les cours d eau. d Fournir une assistance technique et de la formation pour soutenir r la conception et la construction de nouveaux marchés s et d abattoirs d qui vont aider à améliorer l environnement. l 8

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