PACA DIAGNOSTIC ECOLOGIQUE DES MILIEUX HUMIDES DU SITE DU PATY. Rapport complémentaire Gomphe de Graslin. Commune de Caromb (Vaucluse)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PACA DIAGNOSTIC ECOLOGIQUE DES MILIEUX HUMIDES DU SITE DU PATY. Rapport complémentaire Gomphe de Graslin. Commune de Caromb (Vaucluse)"

Transcription

1 PACA Ligue pour la Protection des Oiseaux Délégation Provence-Alpes-Côte d Azur DIAGNOSTIC ECOLOGIQUE DES MILIEUX HUMIDES DU SITE DU PATY Rapport complémentaire Gomphe de Graslin Commune de Caromb (Vaucluse) Mairie de Caromb 141 avenue du Grand Jardin Caromb Novembre 2011

2 Ligue pour la Protection des Oiseaux Délégation Provence Alpes Côte d Azur DIAGNOSTIC ECOLOGIQUE DES MILIEUX HUMIDES DU SITE DU PATY Rapport complémentaire Gomphe de Graslin Commune de Caromb (Vaucluse) Rédaction : Jean-Marin Desprez & Amine Flitti Résumé : A la demande de la commune de Caromb, la LPO PACA a réalisé en août 2011 un diagnostic écologique des milieux humides du Lac du Paty. Lors de cette étude, plusieurs imagos de Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii), espèce protégée au niveau national et inscrite aux annexes 2 et 4 de la directive habitat Faune-Flore CEE 92/43 ont été découverts sur le site, nécessitant des mesures de protection adaptées. La commune de Caromb a mandaté en octobre 2011 la LPO PACA pour réaliser une étude complémentaire destinée à préciser les zones de développement larvaire de l espèce, en vue de les prendre en compte dans le cadre de son projet d ouverture d une baignade durant l année Citation recommandée : LPO PACA (2011). Diagnostic écologique des milieux humides du Lac du Paty. Rapport complémentaire Gomphe de Graslin. Rapport Ville de Caromb/LPO PACA, 30 p. Remerciements : Les auteurs tiennent à remercier les personnes qui ont apporté leur aide et facilité la rédaction de cette étude : Michel Papazian, Yoann Blanchon, Guillaume Onfray, Gilles Viricel, Robin Lhuillier et Benoit Nabholz (pour ses photos). Ligue pour la Protection des Oiseaux Délégation Provence Alpes Côte d Azur Villa St Jules 6 avenue Jean Jaurès Hyères les Palmiers paca@lpo.fr LPO PACA, Novembre

3 Sommaire 1. Contexte de l étude Méthodologie Recherche des zones d émergence Résultats des recherches d exuvies effectuées en juillet Résultats des recherches d exuvies effectuées en octobre Zones potentielles de développement larvaire Etude des zones potentiellement favorables Résultats des relevés Variations saisonnières de la hauteur d eau Délimitation de la zone potentiellement sensible et recommandations complémentaires de gestion... 8 LPO PACA, Novembre

4 1. Contexte de l étude A la demande de la commune de Caromb, la LPO PACA a réalisé en août 2011 un diagnostic écologique des milieux humides du Lac du Paty. Lors de cette étude, plusieurs imagos de Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii), espèce protégée au niveau national et inscrite aux annexes 2 et 4 de la directive habitat Faune Flore CEE 92/43 ont été découverts sur le site, nécessitant des mesures de protection adaptées. La commune de Caromb a mandaté en octobre 2011 la LPO PACA pour réaliser une étude complémentaire destinée à préciser les zones de développement larvaire de l espèce, en vue de les prendre en compte dans le cadre de son projet d ouverture d une baignade durant l année Méthodologie Comme la plupart des larves d odonates, les larves de Gomphus graslinii vivent immergées dans la partie superficielle des sédiments subaquatiques pendant les 2 à 4 années de leur développement, et ne sont donc pas directement accessibles à l observation. Pour définir les zones de développement larvaire, 2 méthodes ont été utilisées : La recherche d exuvies, enveloppes dont les larves se débarrassent au moment de leur sortie à l air libre (émergence) et de leur transformation en imago. Les exuvies adhèrent un certain temps à leurs supports situés sur les berges et sont un bon indicateur des zones de développement larvaire situées à proximité. L examen des sédiments et des formations végétales subaquatiques, milieux au sein desquels vivent et se nourrissent les larves. 3. Recherche des zones d émergence 3.1 Résultats des recherches d exuvies effectuées en juillet 2011 Lors de la prospection réalisée le 7 juillet 2011 dans le cadre du premier volet de l étude, 6 exuvies avaient été récoltées sur le secteur de la queue du lac (buissons, piliers de la passerelle, et ouvrages en béton situés sous l aire de pique nique), ainsi que 3 sur celui du ravin du Lauron (berges situées entre la cascade et le pont sur la D13). La détermination de ces exuvies a été effectuée en octobre 2011 et les taxons suivants ont été identifiés : Queue du lac : 4 exuvies d Orthetrum cancellatum et 2 exuvies de Sympetrum sp. Ravin du Lauron : 1 exuvie de Cordulegaster boltonii (probablement de la sous espèce immaculifrons) et 2 exuvies de Boyeria irene. LPO PACA, Novembre

5 3.2. Résultats des recherches d exuvies effectuées en octobre 2011 Dans le cas où certaines d entre elles auraient pu échapper aux aléas climatiques et se maintenir sur leur support, il a été procédé le 9 octobre 2011 à une recherche complémentaire d exuvies. Cette prospection a mobilisé 4 personnes sur une demi journée. Plusieurs sites ont été prospectés : L ensemble des parois du barrage, en barque mise à disposition par l association des amis du lac du Paty. Les berges avec présence d arbres et les ouvrages situés à proximité du barrage, à pied. Le secteur de la queue du lac (piliers de la passerelle, ouvrages en béton situés sous l aire de pique nique, berges, arbres, buissons), à pied. Aucune exuvie n a été trouvée sur les parois du barrage, ni sur les ouvrages, berges ou arbres situés à proximité. Dans le secteur de la queue du lac, 3 exuvies protégées des aléas climatiques ont été récoltées sur le mur situé sous l aire de pique nique. Dans les 3 cas, il s agit d exuvies d Orthetrum cancellatum. 4. Zones potentielles de développement larvaire Les exigences écologiques et les habitats des larves de Gomphus graslinii sont mal connus en milieu fluvial, et encore moins en milieu lacustre. En référence aux connaissances parcellaires établies jusqu ici pour cette espèce dans l Ouest ou le Sud de la France (Charente, Indre, Hérault, ) et par analogie avec d autres espèces du genre Gomphus mieux étudiées, on sait cependant que leur développement nécessite : Des sédiments fins (sables fins, limons) permettant l enfouissement superficiel des larves. Des eaux de bonne qualité, à courant lent, et peu profondes (de 0 à 1,5 m. environ, mais une profondeur allant jusqu à 2,5 m. à 3 m. n est pas totalement exclue). Une présence préférentielle de matière organique en décomposition et/ou de végétation aquatique favorisant le développement des micro invertébrés, nourriture des larves Etude des zones potentiellement favorables Suite à une sécheresse particulièrement prononcée et durable, une importante baisse du niveau du lac ( 3 m. environ) a mis à l air libre à l automne 2011 toute sa partie amont, sur une distance comprise entre 100 et 120 m. environ en aval de la passerelle. Cette baisse a été mise à profit pour établir une cartographie des zones sédimentaires et de la végétation aquatique potentiellement favorables au développement des larves de Gomphus graslinii. Les relevés de terrain ont été effectués le 21 octobre 2011, soit au plus bas niveau atteint par les eaux avant que les pluies de fin octobre ne viennent commencer à réalimenter le lac. Ces relevés ont mobilisé une personne pendant une demi journée. LPO PACA, Novembre

6 4.2. Résultats des relevés On peut distinguer sur la carte 1 : Sur les berges en pente forte, une formation caillouteuse peu épaisse (0 à 0,5 m.) constituée d éléments calcaires très grossiers généralement compris entre 10 et 20 cm, sans matrice (éboulis et /ou remblais d origine anthropique). La formation repose directement sur la roche calcaire en place et la laisse affleurante en certains endroits. L absence de sédiments fins y est défavorable au développement des larves. En dépit du bas niveau atteint par les eaux, la partie basse de cette formation demeurait immergée et n était pas visible au moment du relevé. Sur les berges en pente plus faible (secteur situé en rive droite et en rive gauche à proximité et en aval de l aire de pique nique), s individualise une formation sédimentaire d origine fluviatile assez grossière, épaisse de 3 à 4 mètres, presque totalement à l air libre au moment du relevé. Cette formation est constituée de graviers emballés dans une matrice sablo limoneuse, sans présence de matière organique (terrasse alluviale ancienne et/ou cône torrentiel récent). En période de hautes eaux, la presque totalité des dépôts située en aval de l aire de pique nique est immergée et la présence de sédiments fins pourrait y autoriser le développement des larves. L absence de matière organique et de végétation aquatique représente néanmoins un facteur défavorable dans cette perspective. En descendant vers l ancien lit du cours d eau (fond du lac) ainsi que dans l anse localisée en aval de l aire de pique nique, les formations fluviales ou torrentielles passent très rapidement à des dépôts fins, épais d 1 à 1,2 m. au minimum pour la partie visible lors du relevé. Ces dépôts sont constitués d argiles et limons, avec présence plus ou moins marquée de matière organique, bien que jamais importante. L absence de sables et/ou graviers au sein de la formation sédimentaire indique que les dépôts ne sont pas d origine fluviatile mais lacustre, et que le cours d eau qui se jette dans le lac n est pas ou n est plus fonctionnel depuis une longue période, ou du moins très épisodiquement et sans débits importants. Ces dépôts sédimentaires fins sont en pente faible vers l aval et, pendant les périodes de hautes eaux (hiver/printemps), leur profondeur peut être estimée entre environ 0 et 0,5 m. au niveau de la passerelle ainsi que dans l anse située en rive droite, et environ 3 m. à une centaine de mètres en aval de cette dernière. Au delà de cette distance, la pente s accélère jusqu à atteindre une profondeur supérieure à 5 m. à environ 120 m. de la passerelle, puis est rapidement soustraite à l observation en raison de la hauteur de l eau au moment du relevé. Des herbiers fournis tapissent la formation dans toute la partie située en amont de la passerelle et dans une moindre mesure dans l anse située à proximité de l aire de pique nique (zones de faible profondeur en période de hautes eaux). En aval de la passerelle, les herbiers sont encore présents mais de plus en plus épars et de moins en moins fournis à mesure qu on se dirige en eaux profondes. Ils sont encore sporadiquement visibles à une LPO PACA, Novembre

7 centaine de mètres de cette dernière, mais au delà de 120 mètres environ de la passerelle, la hauteur d eau n a pas permis de vérifier leur présence ou non. Ces formations sédimentaires lacustres incorporant de la matière organique en association avec des herbiers plus ou moins fournis présentent un potentiel particulièrement favorable pour le développement des larves Variations saisonnières de la hauteur d eau Compte tenu du climat méditerranéen et de l absence d écoulement pérenne au niveau du cours d eau alimentant la retenue du Paty, les variations saisonnières de hauteur d eau du lac sont importantes. Elles déterminent un déplacement des zones potentiellement favorables aux larves vers l aval en période de sécheresse, et vers l amont en période de réalimentation du lac par les précipitations. Comme cela a été mis en évidence notamment en Espagne sur des cours d eau intermittents, les larves de Gomphus graslinii peuvent tout à fait se déplacer au gré des variations de niveau d eau. Ces déplacements sont toutefois conditionnés par la présence de sédiments favorables à leur enfouissement, et de nourriture en quantité suffisante. Ils sont en outre limités par la profondeur que les larves sont susceptibles d atteindre. La profondeur optimale de développement des larves se situant entre 0 et 1,5 m., les variations saisonnières habituelles de la hauteur d eau (jusqu à 2 m. de marnage) déterminent deux secteurs différenciés au sein de la zone sédimentaire précédemment définie: LPO PACA, Novembre

8 En période de hautes eaux (hiver/printemps) la zone optimale des 1,5 m. de profondeur se situe en amont de la passerelle, sous l aire de pique nique et dans l anse située en aval de cette dernière. En période de basses eaux (été/automne) cette zone se situe sous l aire de pique nique et en aval de cette dernière, partie basse de l anse incluse, jusqu à une distance de 120 à 130 m. environ en aval de la passerelle. Dans l hypothèse où les larves pourraient atteindre des profondeurs de l ordre de 2 à 3 m., la zone favorable doit être élargie vers l aval au delà de mètres à partir de la passerelle en période de basses eaux normales (marnage inférieur à 2 m.) La présence de sédiments fins y est en effet hautement probable et même si la présence de matière organique et/ou d herbiers n a pu y être vérifiée, celle ci ne peut être totalement écartée. La même remarque peut être faite en cas de sécheresse aggravée (marnage supérieur à 2 m.) quelque soit la profondeur maximum atteinte par les larves. 5. Délimitation de la zone potentiellement sensible et recommandations complémentaires de gestion Lors des prospections du 7 juillet 2011, l observation de plusieurs individus de Gomphus graslinii en période de reproduction plaide en faveur d une reproduction de l espèce sur le site du Paty, mais cette dernière n a pu être prouvée jusqu ici par la découverte d exuvies. Des recherches ultérieures conduites en période favorable (juin/juillet 2012), seront donc nécessaires pour répondre à cette question et pour, le cas échéant, déterminer avec précision les zones d émergence et de développement larvaire. En attendant ces prospections, l étude des dépôts sédimentaires et des formations végétales aquatiques associées a permis de délimiter la zone potentiellement favorable au développement des larves de Gomphus graslinii. Cette zone se superpose aux sédiments lacustres situés entre l amont de la passerelle et l aval de l aire de pique nique, anse incluse, jusqu à une distance d environ m. en aval de la passerelle (carte 2). Elle s étend au delà de cette limite en cas de marnage très prononcé (+ de 2 m.) ou bien encore si on retient l hypothèse d une profondeur atteinte par les larves supérieure à 1,5 m. Deux secteurs ont en outre été précisés au sein de cette zone en fonction des variations saisonnières de hauteur d eau habituelles (jusqu à 2 m.), le secteur le plus sensible en période de basses eaux estivales étant celui situé en aval. Les berges situées à proximité immédiate de la zone de sédiments potentiellement favorables aux larves sont par ailleurs incluses dans le périmètre sensible (carte 2). LPO PACA, Novembre

9 La nouvelle délimitation ici proposée reprend en grande partie la délimitation définie en août 2011 dans le cadre du premier volet de l étude, mais lui apporte quelques modifications dans la partie située en aval de l aire de pique nique (voir carte 2 et 3 du rapport initial). Tenant compte du statut d espèce protégée du Gomphus graslinii, et dans l attente de prospections ultérieures destinées à confirmer sa reproduction et à apporter toutes précisions utiles à propos des éventuelles zones d émergence et de développement larvaire, il est fortement recommandé d éviter toute fréquentation (piétinement, baignade) ou curage des sédiments lacustres situés dans l ensemble de la zone nouvellement définie (carte 2), avec une attention particulière sur le secteur aval en période de basses eaux estivales. LPO PACA, Novembre

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression

Plus en détail

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,

Plus en détail

RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE

RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE MÉMOIRE DEPOSE AU BUREAU D AUDIENCES PUBLIQUES SUR L ENVIRONNEMENT (BAPE) DANS LE CADRE DES AUDIENCES PUBLIQUES POUR LES PROJETS DE RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

CORRIGES Plan de la séance

CORRIGES Plan de la séance CORRIGES Plan de la séance 1. Corriges Compréhension écrite 2. Corriges Compréhension orale 3. Corriges Syntaxe 4. Corriges Vocabulaire 5. Corriges Conjugaison 6. Corriges Lecture d'élargissement 7. Corriges

Plus en détail

Symboles de nos cartes

Symboles de nos cartes 2011 Cartes nationales de la Suisse Symboles de nos cartes Supplément illustré de la légende des signes conventionnels des cartes nationales (CN) de la Suisse Schweizerische Eidgenossenschaft Confédération

Plus en détail

16- Grand lac Shaw Portrait 2006

16- Grand lac Shaw Portrait 2006 Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

VANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS

VANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS La Directive Cadre sur l Eau (DCE, n 2000/60/CE) fixe comme objectif pour 2015 l atteinte du bon état ou du bon potentiel écologique des eaux de surface. Ces états écologiques sont appréciés par la qualité

Plus en détail

Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron

Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité

Plus en détail

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.

Plus en détail

Le compost. Un petit écosystème au jardin

Le compost. Un petit écosystème au jardin Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème

Plus en détail

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes

Plus en détail

BILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS

BILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS ZAC du quartier de l école Polytechnique BILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS ZAC DU QUARTIER DE L ECOLE POLYTECHNIQUE Commune de Palaiseau Juillet 2014 7C785 Table des matières Table des matières... 2 Liste

Plus en détail

Changement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française

Changement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

LE POINT DE VUE DE FNE

LE POINT DE VUE DE FNE LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés

Plus en détail

Les mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France

Les mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France Les mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France Paris, 22 septembre 2010 SIFEE Delphine MORANDEAU Chargée de mission biodiversité Ministère de l écologie, de l énergie, du développement

Plus en détail

PASS ARAN. Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m

PASS ARAN. Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m PASS ARAN Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m Maison du Valier 950m 0h Tél 05 61 01 01 01 Suivre vers le Nord le GR 10 (balisage rouge et blanc) qui remonte au parking pour

Plus en détail

Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau

Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau Les plans d'eau peuvent avoir des usages différents à savoir agrément, défense contre l'incendie, élevage de poissons, irrigation,

Plus en détail

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient

Plus en détail

La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques

La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques Par Philippe PARENT Institution des Wateringues Par Philippe PARENT Institution

Plus en détail

Chapitre 5 Mesures géophysiques

Chapitre 5 Mesures géophysiques Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable

Plus en détail

Site d étude. Résultats

Site d étude. Résultats Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude

Plus en détail

L ombre commun dans le canton de Vaud

L ombre commun dans le canton de Vaud Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments

Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments .Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique

Plus en détail

Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal

Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable

Plus en détail

Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014

Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est

Plus en détail

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Contexte Les communes littorales métropolitaines hébergent plus de 6 millions d habitants et ont

Plus en détail

Le Plan Départemental de l Eau

Le Plan Départemental de l Eau de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages

Plus en détail

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation

Plus en détail

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc? Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie

Plus en détail

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature

Plus en détail

Effondrements et affaissements du sol, la Wallonie vous accompagne

Effondrements et affaissements du sol, la Wallonie vous accompagne Un colloque inédit sur les techniques de prévention et la gestion de crise 3 avril 2014 - centre culturel «La Marlagne» - Wépion Effondrements & affaissements du sol et assurance Bernard Desmet Assuralia

Plus en détail

Une nouvelle écologie des parcs et des jardins

Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications

Plus en détail

Avis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet

Avis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet Déplacement et agrandissement de la zone commerciale de Pont Château. 30ha Le projet et le SAGE Qualité des milieux Article 1 protection des zones humides Article 2 niveau de compensation Article 5 création

Plus en détail

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» «Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.

Plus en détail

VII Escaliers et rampes

VII Escaliers et rampes VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace 3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice

HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE par et pour les élèves et les par et pour les élèves et les enseignants des établissements à programme français de Maurice Un herbier numérique collaboratif? Une

Plus en détail

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche

Plus en détail

REGLEMENT DE CONSULTATION (R.C.) REPROFILAGE DU PORT DE LA BAIE DE LA GENDARMERIE - (COMMUNE DE SAVINES-LE-LAC)

REGLEMENT DE CONSULTATION (R.C.) REPROFILAGE DU PORT DE LA BAIE DE LA GENDARMERIE - (COMMUNE DE SAVINES-LE-LAC) MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX REGLEMENT DE CONSULTATION (R.C.) REPROFILAGE DU PORT DE LA BAIE DE LA GENDARMERIE - (COMMUNE DE SAVINES-LE-LAC) Pouvoir adjudicateur Syndicat Mixte d Aménagement et de Développement

Plus en détail

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses) L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est

Plus en détail

et entretenir les rivières? Mauvaises pratiques à éviter Bonnes pratiques à suivre

et entretenir les rivières? Mauvaises pratiques à éviter Bonnes pratiques à suivre 3 3 Comment gérer et entretenir les rivières? Mauvaises pratiques à éviter Bonnes pratiques à suivre 75 Préambule Bonnes ou mauvaises pratiques d entretien, Comment s y retrouver? L entretien d une rivière

Plus en détail

Les versants sous-cavés

Les versants sous-cavés RAPPORT D ÉTUDE 15/01/2014 DRS-13-135675-12706A Les versants sous-cavés Contraintes réglementaires, caractérisation détaillée de site et validation de la méthodologie d évaluation de l aléa. Les versants

Plus en détail

Les Français et la nature

Les Français et la nature Les Français et la nature Contact Frédéric Micheau Directeur des études d opinion Directeur de département Tel : 01 78 94 90 00 fmicheau@opinion-way.com http://www.opinion-way.com Mars 2015 1 Méthodologie

Plus en détail

mesure des débits et des volumes dérivés par les canaux gravitaires

mesure des débits et des volumes dérivés par les canaux gravitaires mesures limnimétriques 2009 Depuis la loi sur l Eau de 1992, précisée par celle de 2006, tous les volumes d eau prélevés dans le milieu naturel doivent être mesurés, et ce, pour permettre une meilleure

Plus en détail

Fiche technique sur la stabilisation des rives

Fiche technique sur la stabilisation des rives Fiche technique sur la stabilisation des rives L érosion est un phénomène naturel, qui participe à l équilibre dynamique des cours d eau. Il est par ailleurs souvent amplifié par les interventions humaines.

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005 AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis

Plus en détail

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /

Plus en détail

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

«tous POUr LA LOire» Jeu de rôle et de simulation pour apprendre à gérer le fleuve ensemble

«tous POUr LA LOire» Jeu de rôle et de simulation pour apprendre à gérer le fleuve ensemble «tous POUr LA LOire» Jeu de rôle et de simulation pour apprendre à gérer le fleuve ensemble Malle pédagogique sur la dynamique fluviale du bassin de la Loire LPO Auvergne - ecoumène SOMMAIRE PRéSENTATION

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

Échelles et autres aides à monter

Échelles et autres aides à monter Échelles et autres aides à monter Utiliser des aides à grimper et des échelles inadaptées est une des causes les plus fréquentes des chutes d une certaine hauteur. Par commodité, économie mal placée ou

Plus en détail

Au cours du séminaire de clôture seront présentés les livrables suivants :

Au cours du séminaire de clôture seront présentés les livrables suivants : La gouvernance du projet de coopération est assurée par un Comité de Pilotage composé par - Le Président de la Chambre Régionale d Agriculture qui en assure la présidence - Deux représentants élus de chaque

Plus en détail

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations

Plus en détail

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat».

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». «Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». Philippe USSEGLIO-POLATERA Université Paul Verlaine Metz UMR-CNRS 746 - LIEBE

Plus en détail

Les risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier?

Les risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier? Les risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier? Alger, le 23-24 Novembre 2009 Présentée par: Mlle Amina NADJI Doctorante en 3ème année sciences économiques (CRIISEA, Centre

Plus en détail

Renaturation de l embouchure de la Broye

Renaturation de l embouchure de la Broye AquaVision Engineering Sàrl Constructions Hydrauliques pour un Développement Durable Chemin des Champs-Courbes 1 CH-1024 ECUBLENS Tel. +41 21 691 45 13 / Natel: +41 79 775 17 61 www.aquavision-eng.ch,

Plus en détail

Calopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur

Plus en détail

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation

Plus en détail

document de travail Phase 2 : groupe de travail Eau et biodiversité

document de travail Phase 2 : groupe de travail Eau et biodiversité document de travail Extrait du tableau de bord de la Région de Bruxelles-Capitale, amendé par la Coordination associative : «Nouvelles Rivières Urbaines» et biodiversité 1.2.1. intégration des principes

Plus en détail

collection mise au point état initial et prévision d impact dans les documents d incidences milieu aquatique

collection mise au point état initial et prévision d impact dans les documents d incidences milieu aquatique collection mise au point milieu aquatique état initial et prévision d impact dans les documents d incidences 1 PRINCIPES DE LA DEMARCHE.. 10 1.1. CHAMP D APPLICATION.... 12 1.2. UNE DEMARCHE EN QUATRE

Plus en détail

«TRANSITIONS» PRENDRE LE TEMPS D ANTICIPER ENSEMBLE UN CYCLE CONTINU DE PROSPECTIVE CRÉATIVE

«TRANSITIONS» PRENDRE LE TEMPS D ANTICIPER ENSEMBLE UN CYCLE CONTINU DE PROSPECTIVE CRÉATIVE «TRANSITIONS» PRENDRE LE TEMPS D ANTICIPER ENSEMBLE UN CYCLE CONTINU DE PROSPECTIVE CRÉATIVE «Questions Numériques» c est aujourd hui : Un rendez-vous majeur du début d année : le lancement du Cahier d

Plus en détail

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs

Plus en détail

Présenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF

Présenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté

Plus en détail

Bienvenue sur la planète des insectes!

Bienvenue sur la planète des insectes! Bienvenue sur la planète des insectes! Les Entomonautes c/o Youssef Guennoun 49 bis rue du Borrégo 75020 Paris entomonautes(at)gmail.com Des milliards de petites bêtes Les insectes constituent 75 % de

Plus en détail

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température

Plus en détail

Quelques éléments de bibliographie :

Quelques éléments de bibliographie : Quelques éléments de bibliographie : La plupart des données et schémas sont issus des travaux de recherche du Laboratoire d Ecologie du Sol et de Biologie des Populations, Université de Rennes 1 (Cluzeau

Plus en détail

Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage

Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes

Plus en détail

Bâtir ensemble une œuvre durable

Bâtir ensemble une œuvre durable Bâtir ensemble une œuvre durable Édito Père Philippe Lamblin Ivan Olivry ENSEMBLE Depuis plus de 10 ans, Solidarité Patrimoine œuvre au service des congrégations religieuses qui lui confient, par le biais

Plus en détail

RÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014

RÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014 Ville de Saint-Palais-sur-Mer Groupe scolaire Lucien Robin RÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014 Préambule Le restaurant scolaire n est pas

Plus en détail

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration... 1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte

Plus en détail

Avant d aller à la recherche d un terrain

Avant d aller à la recherche d un terrain Choisir un terrain Bien choisir un terrain pour construire une maison solide Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité de la construction.

Plus en détail

Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8

Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8 Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable S e p t e m b r e 2 0 0 8 Le PADD : un Projet Politique Le PADD : un Projet Politique L e S C O T, u n o u t i l a

Plus en détail

D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS

D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS Les incendies de forêts ou les inondations sont les principaux risques majeurs qui peuvent

Plus en détail

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes.

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation

Plus en détail

Etat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve.

Etat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve. Etat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve. Cette année 2006-2007 les élèves de 6 ème Mauve bénéficient de la classe à PAC sur le

Plus en détail

LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ

LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en

Plus en détail

Constitution d'un réseau écologique sur la commune de Muttersholtz

Constitution d'un réseau écologique sur la commune de Muttersholtz Identité du territoire Structure porteuse de l'action : Ligue pour la Protection des Oiseau Alsace Entrée Thématique Agriculture Espèces et habitats naturels Milieu aquatiques et humides Localisation :

Plus en détail

Réponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de Mme Christina Meissner : Vidange de Verbois : le moratoire n'était-il qu'un leurre?

Réponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de Mme Christina Meissner : Vidange de Verbois : le moratoire n'était-il qu'un leurre? Secrétariat du Grand Conseil QUE 115-A Date de dépôt : 2 octobre 2013 Réponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de Mme Christina Meissner : Vidange de Verbois : le moratoire n'était-il qu'un

Plus en détail

Nourrir les oiseaux en hiver

Nourrir les oiseaux en hiver les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les

Plus en détail

Fiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS

Fiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS Fiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS Lavogne : abreuvoir pour les troupeaux établi sur une couche d'argile imperméable. Naturelles à l'origine, elles sont souvent empierrées

Plus en détail

Passons aux épreuves pratiques : Après avoir défini le terme «Fossile», nous passons à leur observation à la loupe binoculaire.

Passons aux épreuves pratiques : Après avoir défini le terme «Fossile», nous passons à leur observation à la loupe binoculaire. Du Saucats au Lissandre : Une histoire d eau Projet mené par des cinquièmes du Collège Paul Emile Victor de Branne. Dès notre arrivée, nous découvrons un musée et tentons de définir le terme «Réserve»

Plus en détail