A. AMH B. Testostérone C. Canaux de Wolff D. Canaux de Muller E. Gène SRY F. Protéine TDF G. Ovaire H. Testicule PROCREATION

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "A. AMH B. Testostérone C. Canaux de Wolff D. Canaux de Muller E. Gène SRY F. Protéine TDF G. Ovaire H. Testicule PROCREATION"

Transcription

1 PROCREATION DU SEXE GENETIQUE AU SEXE PHENOTYPIQUE A. AMH B. Testostérone C. Canaux de Wolff D. Canaux de Muller E. Gène SRY F. Protéine TDF G. Ovaire H. Testicule 1

2 A. AMH B. Testostérone C. Canaux de Wolff D. Canaux de Muller E. Gène SRY F. Protéine TDF G. Ovaires H. Testicules I. Œstrogène J. Puberté 2

3 ROC Session Amérique du Nord Chez les mammifères, la mise en place de l'appareil génital s'effectue au cours du développement embryonnaire sous la double action de facteurs génétiques et de facteurs hormonaux. Décrire l'enchaînement des événements aboutissant à la mise en place de l'appareil génital masculin au cours du développement embryonnaire. La réponse, présentera une introduction, un développement structuré et une conclusion, et sera illustrée par un ou plusieurs schémas. Session Martinique Chez les Mammifères, la réalisation de la fonction de reproduction implique la mise en place du sexe phénotypique au cours du développement embryonnaire. Montrez comment est déterminé le sexe gonadique puis exposez les mécanismes de la différenciation des voies génitales. Votre réponse comprendra une introduction, un développement structuré et une conclusion sous forme d'un schéma-bilan. Session Liban Chez les Mammifères, les structures et la fonctionnalité des appareils sexuels mâles et femelles sont acquises en plusieurs étapes au cours du développement. Comparez chez les Mammifères mâles et femelles les étapes de différenciation de l'appareil génital et les facteurs biologiques qui les contrôlent. La régulation de l'activité des gonades n'est pas attendue. La présentation du devoir devra être organisée selon un plan chronologique. Aucune justification expérimentale n'est attendue. Métropole 2004 La masculinisation de l appareil génital et son contrôle. Après avoir décrit l appareil génital indifférencié d un fœtus, expliquez les mécanismes qui, chez un individu de caryotype XY, conduisent à la formation de l appareil génital masculin fonctionnel. Votre réponse comprendra une introduction, un développement structuré et une conclusion présentée sous forme d un schéma fonctionnel. Par "appareil génital", on entend gonades et voies génitales, à l exclusion des glandes annexes et des organes génitaux externes. 3

4 Corrigé officiel Martinique

5 5

6 Corrigé officiel Métropole

7 7

8 Leçon 2 : REGULATION DE L'AXE PHYSIOLOGIQUE GONADOTROPE CHEZ L'HOMME 8

9 Coupe transversale de tube séminifère dans les testicules 9

10 Relier chaque organe à sa fonction. 10

11 Régulation de la fonction de reproduction chez l homme A D B C Stimule l activité des cellules de Sertoli E F Stimule la synthèse de testostérone G H Stimule Cellules de Sertoli Cellules de Leydig (Tissu interstitiel) I Mise en place et maintien des caractères sexuels A. Testostérone B. FSH C. LH D. GnRh E. Hypophyse F. Hypothalamus G. Caractères sexuels secondaires H. Spermatogénèse I. Rétroaction négative J. Testicules 11

12 ROC Pondichery Chez les Mammifères adultes mâles, la testostérone, hormone sexuelle, est produite de façon continue et se trouve dans le plasma sanguin à un taux à peu près constant. Après avoir indiqué l'origine de la sécrétion de testostérone, exposez les mécanismes de sa régulation. Votre réponse comportera une introduction, un développement structuré et une conclusion sous forme de schéma fonctionnel Pondichery La production de testostérone est maintenue constante chez l'homme à partir de la puberté. Présentez les mécanismes de régulation du taux de testostérone chez l'homme. Votre réponse sera organisée (introduction, développement et conclusion) et comprendra un schéma fonctionnel Emirats L'homme adulte produit des spermatozoïdes de façon continue. Présentez les mécanismes hormonaux et les structures responsables de cette production. Votre réponse sera organisée selon un plan apparent et accompagnée d'un schéma fonctionnel. 12

13 Corrigé officiel Pondichery

14 Corrigé officiel Pondichery

15 QCM 1.Chez le mâle A. seuls les canaux de Müller existent dans l'ébauche embryonnaire B. seuls les canaux de Wolff existent dans l'ébauche embryonnaire C. les canaux de Müller et de Wolff existent dans l'ébauche embryonnaire D. seuls les canaux de Müller se développent E. seuls les canaux de Wolff se développent 2.Chez l'homme, les gonades se différencient en testicules car A. les canaux de Wolff se développent B. les canaux de Müller se développent C. la testostérone est produite D. la protéine TDF est produite 3.La protéine TDF A. est uniquement produite chez le mâle B. est codée par le gène SRY C. est à l'origine de la différenciation des gonades en testicules D. entraîne directement la régression des canaux de Müller E. entraîne directement le développement des canaux de Wolff 5.L'acquisition du sexe phénotypique A. dépend de la présence des testicules, chez le mâle B. dépend de la présence des ovaires, chez la femelle C. dépend de la testostérone seulement, chez le mâle D. dépend des œstrogènes seulement, chez la femelle 6.L'acquisition des caractères sexuels secondaires à la puberté A. dépend de la présence des testicules, chez le mâle B. dépend de la présence des ovaires, chez la femelle C. dépend de la testostérone, chez le mâle D. dépend des œstrogènes, chez la femelle 7.On réalise sur des fœtus de Lapin les expériences suivantes : Pour A : Dans ce cas l expérience a consisté en une castration de fœtus génétiquement mâle à un stade du développement très précoce. On précise que les canaux de Wolff sont en voie de dégénérescence. Pour B : On précise que les canaux de Müller sont en voie de dégénérescence Pour C : Dans ce cas, l expérience a consisté à castrer le fœtus génétiquement mâle à un stade du développement très précoce, comme en A, et à introduire en même temps un cristal de testostérone (hormone testiculaire) dans la cavité abdominale. On peut conclure de ces expériences que A. les testicules provoquent la dégénérescence des canaux de Müller (comparaison A/B) B. les testicules provoquent le développement des canaux de Wolf (comparaison A/B) C. la testostérone provoque la dégénérescence des canaux de Müller (comparaison B/C) D. la testostérone provoque le développement des canaux de Wolf (comparaison A/C) E. le testicule ne produit pas que de la testostérone (comparaison B/C) 15

16 Question 8 : La spermatogenèse A. se déroule dans les cellules de Leydig B. se déroule dans les tubes séminifères C. est stimulée par la LH D. est stimulée par la FSH Question 9 : La sécrétion de testostérone A. est réalisée par les cellules de Leydig B. est réalisée par les tubes séminifères C. est stimulée par la LH D. est stimulée par la FSH E. est commandée par le complexe hypothalamo-hypophysaire Question 10 : La testostérone exerce, sur le complexe hypothalamo-hypophysaire, un rétrocontrôle A. positif si son taux est faible; négatif si son taux est élevé B. positif si son taux est élevé; négatif si son taux est faible C. toujours positif, quel que soit son taux D. toujours négatif, quel que soit son taux Question 11 : Les expériences suivantes montrent que A. la sécrétion de LH entraîne celle de testostérone (courbe a) B. la sécrétion de LH diminue quand celle de testostérone augmente (courbe a) C. l'activité de l'hypohyse augmente si le taux de testostérone est nul (courbe b) D. l'augmentation de la sécrétion de LH inhibe la sécrétion de testostérone (courbeb) E. l'absence de testostérone entraîne l'augmentation de l'activité de l'hypophyse (courbe b) Question 12 : Parmi les effets physiologiques suivants, lequel ou lesquels peuvent être attribués directement ou indirectemement à la FSH A. spermatogenèse B. développement des tubes séminifères C. sécrétion de testostérone D. développement des cellules de Leydig Question 33 :Le gène Sry est : A. localisé sur le chromosome X B. localisé sur le chromosome Y C. localisé sur le chromosome 11 D. présent uniquement dans les cellules des testicules Question 34 : Les voies génitales mâles et femelles : A. se mettent toutes les deux en place au début du développement embryonnaire. B. apparaissent après la spécialisation des gonades. C. sont toutes deux sensibles à l'action de l'hormone anti-müllerienne. D. peuvent (voies mâles) régresser spontanément. E. sont sensibles à l'action des substances hormonales 16

17 Question 35 : La puberté est caractérisée par : A. le développement des caractères sexuels secondaires B. la mise en place des caractères sexuels secondaires C. le développement des caractères sexuels primaires D. la mise en place des caractères sexuels primaires E. des modifications des seules caractéristiques physiques de l individu F. le début du fonctionnement complet des gonades Question 36 : Chez les mammifères, l appareil sexuel est : A. différencié dès la fécondation B. différencié à la naissance C. différencié et mature à la naissance D. différencié mais non mature à la naissance Question 37 :La GnRH est A. une neuro-hormone B. une hormone C. un neuro-médiateur 38. La GnRH est sécrétée par A. les ovaires. B. l'utérus. C. l'hypophyse. D. l'hypothalamus. 39.La GnRh est sécrétée de manière A. continue. B. pulsatile. 40.La GnRH est sécrétée dans A. les vaisseaux sanguins reliant l'hypothalamus à l'hypophyse. B. la circulation générale. 41.Le rôle de la GnRH est A. de provoquer la sécrétion des oestrogènes et de la progestérone par les ovaires. B. de provoquer la libération des gonadostimulines hypophysaires (LH et FSH) 42.Le rythme de sécrétion de la GnRH est maximal lors A. de la période des menstruations. B. de la période pré-ovulatoire. C. de la période post-ovulatoire. 43.L'ablation de l'hypothalamus provoquerait A. une augmentation de la sécrétion de LH et FSH. B. un arrêt de la sécrétion de LH et FSH. 44. Chez l'homme, la LH provoque A. la stimulation de la spermatogénèse. B. la stimulation de la sécrétion de testostérone. 45.Chez l'homme la FSH a une action sur A. les cellules interstitielles. B. les cellules de Sertoli 46.AMH est une hormone A. hypophysaire. B. hypothalamique. C. testiculaire. D. ovarienne. 17

18 47.Elle est plus précisément sécrétée par les cellules de A. Leydig B. Sertoli. 48.Cette hormone permet - la fabrication de spermatozoïde par les tubes séminifères en stimulant les cellules de Sertoli. - la régression des canaux de Müller. 49.L'Hormone permettant la sécrétion de testostérone est A. la FSH. B. la LH. 50.L'injection massive de testostérone dans l'organisme provoquerait A. une diminution des concentrations de LH et FSH. B. une augmentation des concentrations de LH et FSH. 51.On trouve des récepteurs à la testostérone au niveau des neurones sécréteurs de GnRH. A. Faux. B. Vrai. 52.Le système de régulation existant entre la testostérone ("Variable détectée") et le complexe hypothalamo-hypophysaire ("système réglant") permet A. de faire varier le taux de testostérone pour établir un cycle. B. de maintenir à une certaine valeur de référence le taux de testostérone. 53.Les cellules responsables de la sécrétion de testostérone sont a. Les cellules de Sertoli b. Les cellules de Leydig c. Les spermatogonies d. Les neurones hypothalamiques 54.La FSH est une hormone hypophysaire qui stimule a. Les spermatogonies b. Les cellules de Leydig c. Les neurones hypothalamiques d. Les cellules de Sertoli 18

19 19

GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire

GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral

Plus en détail

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées

Plus en détail

Le fonctionnement de l'organisme

Le fonctionnement de l'organisme Seconde partie Le fonctionnement de l'organisme 1 Le système cardio-pulmonaire...2 1.1 Anatomie et fonctionnement du coeur...2 1.2 La distribution du sang aux organes...4 2 Communication et intégration

Plus en détail

Reproduction et environnement

Reproduction et environnement Expertise collective Synthèse Reproduction et environnement ISBN 978-2-85598-891-8 www.inserm.fr Expertise collective Reproduction et environnement Expertise collective Synthèse Reproduction et environnement

Plus en détail

Fécondation in vitro avec don d ovocytes

Fécondation in vitro avec don d ovocytes Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com

Plus en détail

introduction & sommaire

introduction & sommaire introduction & sommaire 3 MT* - MALE TO SOMETHING est une brochure pour les personnes assignées hommes par les sciences biomédicales et qui sont en transition vers une identité fluide ou féminisée et toutes

Plus en détail

Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?

Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»

Plus en détail

La puberté avant l âge Nouveaux aspects

La puberté avant l âge Nouveaux aspects La puberté avant l âge Nouveaux aspects Catherine Pienkowski Sophie Grandjean Unité d Endocrinologie et Gynécologie Médicale Hôpital des Enfants - Toulouse La puberté avant l âge Nouveaux aspects Introduction

Plus en détail

GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS

GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS Cette brochure a été conçue dans le but de répondre à vos questions et vous aider à prendre une décision

Plus en détail

Information génétique

Information génétique chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.

Plus en détail

Exploration et Prise en charge d un couple infertile

Exploration et Prise en charge d un couple infertile Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie

Plus en détail

Mais pourquoi je ne suis pas enceinte?

Mais pourquoi je ne suis pas enceinte? Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...

Plus en détail

INFLUENCE D UN TRAITEMENT MYOFASCIAL ABDOMINO-PELVIEN SUR LA MIGRAINE CATAMÉNIALE

INFLUENCE D UN TRAITEMENT MYOFASCIAL ABDOMINO-PELVIEN SUR LA MIGRAINE CATAMÉNIALE INFLUENCE D UN TRAITEMENT MYOFASCIAL ABDOMINO-PELVIEN SUR LA MIGRAINE CATAMÉNIALE Mémoire de fin d études pour l'obtention du Diplôme Français d Ostéopathe (DFO) Juin 2008 Sonia BOGLIOTTI Maître de Mémoire

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

1 les caractères des êtres humains.

1 les caractères des êtres humains. Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC)

Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC) Préface Notre association regroupe les énergies bénévoles d étudiants en médecine et en pharmacie, avec pour objectif d aider et accompagner enfants, adolescents et jeunes adultes confrontés à la maladie.

Plus en détail

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS 1. Définition 2. Spécificité des adolescents Nicolas DOMBROWSKI, Agrégé EPS, 2010 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte

Plus en détail

.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!

.( /.*!0) %1 2+ %#(3004) 05' 203 .(.*0+ ) '!2+ %#(30+ 0!%) 4!%2) 3 .( @.* '!%2+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2+ 16 3047! !"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*

Plus en détail

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points)

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :

Plus en détail

Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons

Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons Le centre hospitalier Ambroise Paré collabore depuis de nombreuses années avec les Cliniques Universitaires de Bruxelles Hôpital Erasme pour vous permettre

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Coordinateur Roland Calderon

Coordinateur Roland Calderon SVT-3 e -/Sciences de la Vie et de la Terre-/ erre-/-programme 2008 LIVRE DU PROFESSEUR Coordinateur Roland Calderon Les auteurs Vincent Béranger Professeur à Paris Louis-Marie Couteleau Professeur à Paris

Plus en détail

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule

Plus en détail

info ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane

info ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane Roaccutane isotrétinoïne Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane info ROACCUTANE RM SM MANAGEMENT Programme de prévention de la grossesse SOMMAIRE 3.

Plus en détail

Focus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.

Focus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation

Plus en détail

Génétique et génomique Pierre Martin

Génétique et génomique Pierre Martin Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée

Plus en détail

LA SCIENCE [.. POUR LES NULS!..] LA SCIENCE POUR LES NULS numéro 2 1

LA SCIENCE [.. POUR LES NULS!..] LA SCIENCE POUR LES NULS numéro 2 1 LA SCIENCE [.. POUR LES NULS!..] LA SCIENCE POUR LES NULS numéro 2 1 LES CYCLONES 3 LE SAVON 10 L ELECTRICITE STATIQUE 14 E.P.O. 19 LE CHAMPAGNE 22 LES DIFFERENCES ENTRE LES DEUX SEXES 26 POURQUOI LE CIEL

Plus en détail

Ce dont on ne parle pas

Ce dont on ne parle pas 1 2 Pour de nombreux jeunes gens, l entrée dans l âge adulte s accompagne de profondes transformations. Il en résulte de nombreuses possibilités nouvelles, mais aussi bien des incertitudes, tout aussi

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.

Plus en détail

SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE

SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE 1 TABLE DES MATIERES 1. Un petit mot d introduction 2. En quoi consiste le don d ovocyte? 3. A qui s adresse le don d'ovocyte? 4. Les différents types de don d ovocyte A. Le don anonyme B. Le don dirigé

Plus en détail

Biométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -

Biométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) - Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure

Plus en détail

Professeur Diane GODIN-RIBUOT

Professeur Diane GODIN-RIBUOT UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/

Plus en détail

Bilans : tableau de conversion des unités

Bilans : tableau de conversion des unités ANNEXES Bilans : tableau de conversion des unités Il est difficile de résumer dans un tableau les normes biologiques des bilans hormonaux, car la plupart d entre elles sont variables en fonction des laboratoires.

Plus en détail

Protéger notre environnement et notre santé des perturbateur endocriniens

Protéger notre environnement et notre santé des perturbateur endocriniens Protéger notre environnement et notre santé des perturbateur endocriniens Nous vivons une crise sanitaire silencieuse. Depuis plusieurs décennies, les maladies chroniques progressent de manière inquiétante.

Plus en détail

Les jeunes non mariés

Les jeunes non mariés Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non

Plus en détail

En cause, un rythme biologique qui ne reçoit plus l'indicateur indispensable à sa bonne synchronisation : la lumière du jour.

En cause, un rythme biologique qui ne reçoit plus l'indicateur indispensable à sa bonne synchronisation : la lumière du jour. ORIGINES Saviez-vous que les astronautes séjournant à bord de la Station Spatiale Internationale voient le soleil se lever et se coucher toutes les 90 minutes? Oui. 16 fois par jour de quoi avoir du mal

Plus en détail

PRISE EN MAIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMADZU U.V. 240

PRISE EN MAIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMADZU U.V. 240 I.N.S.. DE ROUEN Laboratoire de Chimie nalytique U.V. N PRISE EN MIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMDZU U.V. 240. OBJECTIFS - Choix des paramètres nécessaires pour un tracé de spectre. - Utilisation

Plus en détail

AVIS N 75. Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi

AVIS N 75. Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi Comité Consultatif National d Ethique pour les Sciences de la Vie et de la Santé AVIS N 75 Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi Le CCNE a été saisi par Claire Brisset, Défenseure

Plus en détail

Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie

Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie Partie 2 Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie Y Cette partie doit permettre à l élève d appréhender quelques aspects généraux concernant le fonctionnement du corps humain. Il s agit principalement

Plus en détail

ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES. Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83

ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES. Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83 ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83 INTRODUCTION Rythmes biologiques: définition Tout être vivant (humain, animal, végétal) est soumis

Plus en détail

Vivez votre féminité sans souffrir.

Vivez votre féminité sans souffrir. Vivez votre féminité sans souffrir. PERDOFEMINA (lysinate d ibuprofène) est un médicament pour les adultes et les enfants à partir de 12 ans. Pas d utilisation prolongée sans avis médical. Ne pas administrer

Plus en détail

Information pour le patient

Information pour le patient Information pour le patient Plus de qualité de vie avec des implants dentaires SWISS PRECISION AND INNOVATION. 1 Table des matières Quelle est l importance des dents pour notre qualité de vie? 4 Qu est-ce

Plus en détail

ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches

ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent

Plus en détail

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents

Plus en détail

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du

Plus en détail

Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique

Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur M. Tournaire Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique Tome XXII publié le 2.12.1998 VINGT-DEUXIÈMES JOURNÉES

Plus en détail

Les vers de nos compagnons

Les vers de nos compagnons Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur

Plus en détail

Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE

Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Chapitre 5 UE4 : Biostatistiques Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen

Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche

Plus en détail

Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein

Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers du sein G R A N D P U B L I C Les cancers du sein Aujourd'hui, en France, comme dans de nombreux pays

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques 2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données

Plus en détail

PARTIE I Compte pour 75 %

PARTIE I Compte pour 75 % PARTIE I Compte pour 75 % Instructions : Noircissez la lettre correspondant à la bonne réponse sur la feuille de réponse fournie. 1. Dans le diagramme, quelles structures font partie du système nerveux

Plus en détail

Santé de l homme Rôle de l urologue dans la prise en charge globale de l homme de plus de 50 ans.

Santé de l homme Rôle de l urologue dans la prise en charge globale de l homme de plus de 50 ans. Santé de l homme Rôle de l urologue dans la prise en charge globale de l homme de plus de 50 ans. Spécialiste de l appareil urinaire de l homme, de la femme et de l enfant, l urologue est aussi le médecin

Plus en détail

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010 Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus

Plus en détail

Culture scientifique et technologique

Culture scientifique et technologique Socle commun de connaissances et de compétences Collège Culture scientifique et technologique - Banque de situations d apprentissage et d évaluation - Ce document peut être utilisé librement dans le cadre

Plus en détail

L endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes

L endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes L endométriose une maladie gynécologique évolutive, souvent méconnue Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes intéressées Groupe d experts de l endométriose de la Société d

Plus en détail

Concours. Annales corrigées. 17 sujets d annales. Épreuves d admission

Concours. Annales corrigées. 17 sujets d annales. Épreuves d admission PARAMÉDICAL CONCOURS 2014/2015 Concours Masseurkinésithérapeute Annales corrigées Plannings de révision Autoévaluation Méthode 17 sujets d annales Corrigés détaillés Épreuves d admission Biologie (1 re

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

Le syndrome CHARGE. La maladie. l Qu est-ce que le syndrome CHARGE? l Combien de personnes sont atteintes de ce syndrome?

Le syndrome CHARGE. La maladie. l Qu est-ce que le syndrome CHARGE? l Combien de personnes sont atteintes de ce syndrome? La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome CHARGE.

Plus en détail

Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick

Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick SONDAGE SUR L ATTITUDE DES PARENTS ENVERS L ÉDUCATION EN MATIÈRE DE SANTÉ SEXUELLE Nota : Vous pouvez transmettre ce sondage de

Plus en détail

DOSSIER D'INSCRIPTION

DOSSIER D'INSCRIPTION CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS

Plus en détail

UE11 Phonétique appliquée

UE11 Phonétique appliquée UE11 Phonétique appliquée Christelle DODANE Permanence : mercredi de 11h15 à 12h15, H211 Tel. : 04-67-14-26-37 Courriel : christelle.dodane@univ-montp3.fr Bibliographie succinte 1. GUIMBRETIERE E., Phonétique

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET

BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET SESSION 2010 France métropolitaine Option : élevage canin et félin BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES ÉPREUVE E DU DEUXIÈME GROUPE Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : Calculatrice

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

La grossesse. UE 2.2 cycles de la vie et grandes fonctions. Corinne Velly Infirmière Puéricultrice Cadre de Santé 13 mars 2014

La grossesse. UE 2.2 cycles de la vie et grandes fonctions. Corinne Velly Infirmière Puéricultrice Cadre de Santé 13 mars 2014 La grossesse UE 2.2 cycles de la vie et grandes fonctions Corinne Velly Infirmière Puéricultrice Cadre de Santé 13 mars 2014 Plan La fécondation Le diagnostique de la grossesse La vie embryonnaire et foetale

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

37, rue d Amsterdam 75008 - Paris Tél. : 01 42 26 07 54 Fax : 01 42 26 09 88 http://www.lca-performances.com

37, rue d Amsterdam 75008 - Paris Tél. : 01 42 26 07 54 Fax : 01 42 26 09 88 http://www.lca-performances.com 37, rue d Amsterdam 75008 - Paris Tél. : 01 42 26 07 54 Fax : 01 42 26 09 88 http://www.lca-performances.com Programme de formation Prospection commerciale Contexte de formation 2 Objectifs de formation

Plus en détail

Le logiciel EduAnatomist.

Le logiciel EduAnatomist. Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,

Plus en détail

Le syndrome de Noonan

Le syndrome de Noonan Le syndrome Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,

Plus en détail

Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP)

Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP) Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP) Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) Date de création du document 2010-2011 Table des matières Pré-Requis... 4 OBJECTIFS...

Plus en détail

QU EST-CE QUE TRAVAILLER EN ÎLOTS BONIFIÉS?

QU EST-CE QUE TRAVAILLER EN ÎLOTS BONIFIÉS? Travailler en îlots bonifés selon la méthode pédagogique créée par Marie Rivoire. par Catherine Manesse et Anne Dauvergne IPR Langues vivantes Académie de Dijon Cette façon de travailler, dont on entend

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Cancer et sexualité au féminin. Une brochure de la Ligue contre le cancer pour les femmes atteintes de cancer et leur partenaire

Cancer et sexualité au féminin. Une brochure de la Ligue contre le cancer pour les femmes atteintes de cancer et leur partenaire Cancer et sexualité au féminin Une brochure de la Ligue contre le cancer pour les femmes atteintes de cancer et leur partenaire Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case

Plus en détail

Le Marketing Direct et la relation client

Le Marketing Direct et la relation client Introduction au MD Le Marketing Direct et la relation client Définition du Marketing direct. Il consiste à gérer une offre et une transaction personnalisée à partir de l utilisation d informations individuelles

Plus en détail

AUTOUR DE LA MISE BAS

AUTOUR DE LA MISE BAS AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif

Plus en détail

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

Les tests thyroïdiens

Les tests thyroïdiens Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

Author's personal copy

Author's personal copy Revue générale Position de consensus : apport des examens biologiques dans le diagnostic de surentraînement Position statement: contribution of the biologic analyses in the diagnosis of overtraining syndrome

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S.

La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. Activité proposée : La notion de croissance est abordée en classe de 6 ème et elle est traitée en première S. Montrez sur cet exemple qu

Plus en détail

En quoi consistera ce jeu?

En quoi consistera ce jeu? 1 Projet Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté inter degré Création jeu par les élèves de l école du Gliesberg, de l école Martin Schongauer et du collège Hans Arp de Strasbourg Création d

Plus en détail

Depuis des milliers de générations, le ver à soie est l objet d une sélection

Depuis des milliers de générations, le ver à soie est l objet d une sélection Production de soie et caractéristiques des glandes séricigènes de 13 races de ver à soie (Bombyx mori) J. M. FAYARD Laboratoire de biométvie, Dépavtement de biologie générale et appliquée Université Claude

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail