EVALUATION FONCTIONNELLE
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- Raymonde Charpentier
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1 UNIVERSITE DE FRIBOURG INSTITUT DE PEDAGOGIE CURATIVE SECTION DE PEDAGOGIE CURATIVE CLINIQUE ET EDUCATION SPECIALISEE EVALUATION FONCTIONNELLE Etat des lieux en Suisse romande dans les institutions pour personnes en situation de handicap François Bernasconi Travail de Bachelor pour l'obtention du Bachelor of Arts en pédagogie curative : pédagogie curative clinique et éducation spécialisée
2 RESUME Cette étude s intéresse à l usage qui est fait de la méthode éducative appelée évaluation fonctionnelle dans les institutions de Suisse romande pour personnes en situation de handicap. La partie théorique présente les 5 étapes de la procédure fonctionnelle : l identification des objectifs visés par l intervention, le rassemblement d informations à l aide de techniques variées et complémentaires, le développement des hypothèses, la mise au point du plan de soutien et, finalement, sa réalisation. D autres aspects sont également abordés : l historique de l évaluation fonctionnelle ; la législation des Etats-Unis qui rend obligatoire l évaluation fonctionnelle dans l éducation publique ; le système suisse qui laisse plus de liberté quant au choix des méthodes éducatives ; une clarification des termes analyse fonctionnelle et évaluation fonctionnelle ; les principales difficultés dont pâtit l évaluation fonctionnelle. Des ouvrages actuels de la littérature spécialisée ont contribué à élaborer cette partie théorique. La partie empirique regroupe deux enquêtes quantitatives menées par questionnaires. La première (N=8) est menée auprès de lieux de formations dans les domaines de l éducation spécialisée et du social de Suisse romande. Malgré un faible taux de participation, il semble en ressortir que l évaluation fonctionnelle est peu enseignée. La deuxième enquête (N=43) est menée auprès d institutions de Suisse romande, membres de l association INSOS (association des institutions sociales suisses pour personnes handicapées adultes), qui accueillent des personnes en situation de handicap. Les données récoltées révèlent qu une majorité de professionnels est confrontée aux comportements-défis, mais que l évaluation fonctionnelle n est pas une méthode éducative répandue pour y répondre. Finalement, une analyse comparative entre les professionnels qui ont toujours (ou souvent) recours à l évaluation fonctionnelle (N=7) et ceux qui n y ont rarement (ou jamais) recours (N=7) pour répondre aux comportements-défis, révèle que des aspects essentiels à la procédure fonctionnelle tendent à être négligés par les premiers, alors que les seconds ont des pratiques éducatives qui, par certains aspects, répondent aux principes de l évaluation fonctionnelle. 2
3 INTRODUCTION Cette étude s intéresse à la méthode éducative appelée évaluation fonctionnelle, plus particulièrement à l usage qui en est fait en Suisse romande dans les institutions pour personnes en situation de handicap. Durant notre stage préalable, nous avons été confrontés à des comportements-défis. L équipe éducative nous était alors apparue dépourvue de méthode spécifique pour répondre avec cohérence à ces comportements. Nous avons ensuite, dans le cadre de nos études en pédagogie curative, bénéficié d un cours de 10 heures sur l évaluation fonctionnelle. Nous avons dès lors pris conscience que les comportementsdéfis, bien que très difficiles à prendre en charge, n étaient pas une fatalité et que l évaluation fonctionnelle pouvait être une aide précieuse pour y répondre. L évaluation fonctionnelle est en effet une méthode éprouvée pour intervenir face aux comportements-défis. Toutes les sources bibliographiques consultées et/ou utilisées pour cette étude attestent de sa validité scientifique. Aux Etats-Unis, les amendements à la loi sur l éducation (IDEA, 1997, PL ) la rendent d ailleurs obligatoire dans l éducation publique. Fort de ce constat, nous avons décidé d établir un état des lieux dans les institutions romandes pour savoir dans quelle mesure le personnel éducatif qui est confronté à des comportements-défis y a recours. Comme leur nom l indique, ces comportements lancent un défi au personnel éducatif qui en arrive parfois à perdre confiance en ses capacités professionnelles et éprouve alors un sentiment de mise en échec. Certaines situations particulièrement pénibles peuvent même fragiliser les équipes éducatives, d une part, parce que les efforts nécessaires à la gestion des comportements-défis sont épuisants, d autre part, parce que les hypothèses de chacun sur les causes et les fonctions de ces comportements sont sans cesse remises en question, ébranlées par les convictions d autrui. Ce sujet de recherche nous est apparu essentiel étant donné que l évaluation fonctionnelle est une méthode éducative qui a fait ses preuves face aux comportements-défis. 8
4 La partie théorique de cette étude présente les 5 étapes de la procédure fonctionnelle : l identification des objectifs visés par l intervention, le rassemblement d informations à l aide de techniques variées et complémentaires, le développement des hypothèses, la mise au point du plan de soutien et, finalement, sa réalisation. D autres aspects sont également abordés : nous évoquons le courant de pensée dont l évaluation fonctionnelle est issue, les principaux chercheurs et les concepts qui ont contribué à son élaboration. Nous présentons la législation Nord américaine qui rend obligatoire l évaluation fonctionnelle dans l éducation publique. Nous tentons également de savoir dans quelle mesure il est fait usage de cette méthode en Suisse romande. Nous poursuivons avec un chapitre qui tente de clarifier les fréquentes confusions entre les termes évaluation fonctionnelle et analyse fonctionnelle. Finalement, nous évoquons les principales difficultés qui risquent d entraver le bon déroulement de la procédure fonctionnelle. La partie empirique de cette étude comporte deux enquêtes quantitatives qui ont été menées grâce à la technique du questionnaire distribué par e- mail. La première tente de savoir si l évaluation fonctionnelle est au programme des cours dans les formations de l éducation spécialisée et du social en Suisse romande. Elle a été adressée à 5 Ecoles Spécialisées/Supérieures, 5 Hautes Ecoles Spécialisées et 2 Universités. L objectif étant de savoir si des cours spécifiques sur l évaluation fonctionnelle sont dispensés dans ces établissements ou si des professeurs abordent le sujet dans le cadre de cours plus généraux, que se soit dans les formations de base, les formations continues, postgrades, sur mandat... La deuxième enquête a été adressée à 86 institutions de Suisse romande, membres de l association INSOS (association des institutions sociales suisses pour personnes handicapées adultes), qui accueillent des personnes en situation de handicap. Son objectif est de savoir si les professionnels de l éducation spécialisée qui travaillent dans ces institutions sont confrontés à des comportements-défis et si oui, dans quelle mesure ils ont recours à l évaluation fonctionnelle pour y faire face. Le questionnaire adressé aux institutions comprend 5 parties qui correspondent aux 5 étapes de l évaluation fonctionnelle. Pour chacune d elles, une série de questions 9
5 permet de comprendre quel emploi est fait par le personnel éducatif des principes de la procédure fonctionnelle. L ensemble des données recueillies est tout d abord présenté et interprété. Ensuite, une analyse comparative est réalisée entre deux sous-groupes étant tout deux confrontés à des comportements-défis. Le premier réunit les participants ayant toujours ou souvent recours à l évaluation fonctionnelle pour y répondre. Le deuxième sous-groupe réunit les participants ayant rarement ou jamais recours à cette méthode. Le but de cette comparaison est d observer si les résultats spécifiques obtenus par ces deux sous-groupes attestent de pratiques éducatives différentes. Deux questions nous préoccupent en particulier : dans quelle mesure, les professionnels ayant toujours ou souvent recours à l évaluation fonctionnelle respectent-ils réellement les principes auxquels ils se référent? Et, d autre part, les professionnels qui pensent avoir rarement ou jamais recours à l évaluation fonctionnelle appliquent-ils, à leur insu, les principes de l évaluation fonctionnelle? 10
6 CONCLUSION Cette étude s est intéressée à la méthode éducative appelée évaluation fonctionnelle, plus particulièrement à l usage qui en est fait en Suisse romande dans les institutions pour personnes en situation de handicap. La partie théorique de cette étude a présenté les 5 étapes qui caractérisent l évaluation fonctionnelle : l identification des objectifs visés par l intervention, le rassemblement d informations à l aide de techniques variées et complémentaires, le développement des hypothèses, la mise au point du plan de soutien et, finalement, sa réalisation. D autres aspects ont également été abordés : l historique de l évaluation fonctionnelle avec notamment, Watson et le behaviorisme, Thorndike et l apprentissage par essais et erreurs, Skinner et le conditionnement opérant ; la législation aux Etats-Unis qui rend l évaluation fonctionnelle obligatoire dans l enseignement public et qui offre deux avantages : pour l individu, une modalité de prise en charge uniforme tout au long de son parcours institutionnel, pour le personnel éducatif, une méthodologie d évaluation et d intervention partagée ; le système suisse qui laisse ce choix à la libre appréciation des professionnels ; la clarification des termes analyse fonctionnelle et évaluation fonctionnelle qui révèle que le premier désigne une technique utilisée pour infirmer ou confirmer de manière empirique les hypothèses élaborées lors de l évaluation fonctionnelle ; finalement, nous rappelons que la volonté d avoir recours à l évaluation fonctionnelle peut être soutenue par : une bonne collaboration entre tous les membres de l équipe, en particulier par la considération des hypothèses de chacun, une formation préalable, une reconnaissance et un soutien à l évaluation fonctionnelle de la part des directeurs et des responsables de secteur. La partie empirique de cette étude a présenté deux enquêtes menées par questionnaires. La première tentait de savoir si l évaluation fonctionnelle est au programme des cours dans les formations de l éducation spécialisée et du social en Suisse romande. Trois Ecoles Spécialisées/Supérieures sur les cinq sollicitées ont participé et ne dispensent pas de cours sur l évaluation fonctionnelle. Seule la HEF-TS, parmi cinq Hautes Ecoles Spécialisées, s est 98
7 montrée intéressée par le sujet de l étude en renvoyant deux questionnaires qui attestent, toutes formations confondues, de 5 cours sur l évaluation fonctionnelle. L Université de Fribourg (UNIFR) propose un cours de 10 heures sur l évaluation fonctionnelle dans le Bachelor en pédagogie curative. L Université de Genève (UNIGE) un cours de 3 heures dans les Bachelor en sciences de l éducation et de psychologie. Malgré un faible taux de participation, il semble ressortir de cette enquête que l évaluation fonctionnelle est peu enseignée. La deuxième enquête tentait de savoir si l évaluation fonctionnelle est utilisée en Suisse romande dans les institutions pour personnes en situation de handicap. 86 institutions, membres de l association INSOS (association des institutions sociales suisses pour personnes handicapées adultes), ont été sollicitées, 38 ont participé à l enquête. Cinq institutions ont renvoyé deux questionnaires correspondant à des secteurs différents (N=43). Les résultats révèlent que 40 participants sont confrontés à des comportementsdéfis ; 21 ont déjà entendu parler de l évaluation fonctionnelle, parmi lesquels un seul y a toujours recours, 6 souvent, 7 parfois, 3 rarement et 4 jamais. Une analyse comparative a été réalisée entre les réponses des participants ayant toujours ou souvent recours à l évaluation fonctionnelle (sous-groupe 1, N=7) et celles des participants y ayant rarement ou jamais recours (sousgroupe 2, N=7). Il en ressort que les divers aspects théoriques des étapes 1, identifier les objectifs, 2 rassembler les informations et 5 la réalisation, sont en général bien pris en compte dans les pratiques éducatives des deux sousgroupes. Par contre, à l étape 3, développer des hypothèses et à l étape 4, le plan de soutien, les professionnels du sous-groupe 1 s écartent de manière significative de la théorie fonctionnelle. A l étape 3, leurs hypothèses sont en effet rarement élaborées selon un modèle précis (modèle ACC) faisant état des antécédents, du comportement-défi, des conséquences et au besoin, des événements contextuels. Pourtant, cette manière de procéder est essentielle à la démarche fonctionnelle ; à l étape 4, une méthodologie unique est rarement partagée par l'ensemble des collaborateurs pour tenter de substituer aux comportements-défis des comportements plus adéquats. Or, un des aspects essentiels de la procédure fonctionnelle est justement 99
8 d unifier les méthodes d intervention afin d atteindre une cohérence des pratiques éducatives au sein d une équipe. Il ressort également à l étape 4 que le comportement alternatif positif et le comportement désiré ne sont pas assez précisés par le personnel éducatif. Ces deux aspects sont pourtant la clé de voûte de la méthode fonctionnelle qui demande qu après avoir identifié la fonction d un comportement problématique, on lui substitue un comportement alternatif et/ou un comportement désiré permettant de remplir la même fonction, mais de façon plus adéquate. Ces principes théoriques propres à l évaluation fonctionnelle n apparaissent pas dans les pratiques du sous-groupe 2. Notre recherche aurait été plus complète si nous avions également tenté de comprendre pourquoi les professionnels qui ont recours à l évaluation fonctionnelle s écartent quelque peu de la théorie de référence et, inversement, pourquoi les professionnels qui n y ont pas recours appliquent, à leur insu, certains principes de cette méthode éducative. Il aurait été également judicieux d offrir la possibilité aux professionnels d exprimer les ressources et les méthodes qu ils privilégient pour répondre aux comportements-défis. Notre recherche aurait ainsi pu sortir du cadre strict de l évaluation fonctionnelle pour tenter d expliquer comment les avantages de diverses théories et techniques sont adaptés au milieu éducatif romand et aux particularités des individus. Il ressort également de cette enquête que les professionnels qui ne recourent pas à l évaluation fonctionnelle font part d un plus grand manque de ressources face aux comportements-défis que ceux qui y ont recours. Si la procédure fonctionnelle apparaît comme étant une aide avérée pour les équipes éducatives, alors la qualité de vie des individus en souffrance devrait s améliorer de manière significative. Nous pourrions, à l avenir, réaliser une enquête qualitative qui donnerait la parole aux bénéficiaires de prestations pour évaluer, de leur point de vue, les avantages et désavantages de l évaluation fonctionnelle. 100
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