QCM. Niveau Première S. Thème 1B : L'évolution du modèle : le renouvellement de la lithosphère océanique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "QCM. Niveau Première S. Thème 1B : L'évolution du modèle : le renouvellement de la lithosphère océanique"

Transcription

1 QCM Niveau Première S Thème 1B : L'évolution du modèle : le renouvellement de la lithosphère océanique Pour chaque question, il vous est donné quatre propositions A, B, C et D. Une, deux ou trois propositions peuvent être exactes. Répondez en cochant la ou les propositions exactes. QUESTION N 1 Schéma d interprétation d un profil de sismique réflexion au niveau de la dorsale médio-atlantique au Sud des Açores Ce profil sismique, réalisé perpendiculairement à l axe de la dorsale médio-atlantique, suggère qu à ce niveau la lithosphère océanique est soumise à des mouvements de divergence et à un amincissement car : A) - elle est le lieu d une activité volcanique. B) - seules des failles normales y sont observées. C) - des failles normales et des failles inverses y sont observées. D) - une vallée d effondrement (ou «rift») y est présente.

2 QUESTION N 2 Schéma d interprétation d un profil de sismique réflexion au niveau de la dorsale médio-atlantique au Sud des Açores Dans cette coupe schématique de l axe d une dorsale médio-océanique, les annotations correctes sont : A) - A = rift, B = chambre magmatique, C = basaltes en coussins, D = gabbros, E = péridotite. B) - A = rift, B = chambre magmatique, C = basaltes en coussins, D = basaltes en filons, E = gabbros. C) - A = vallée d effondrement, B = chambre magmatique, C+D+E= croûte océanique. D) - A = vallée d effondrement, B = péridotite fondue, C = sédiments, D = basaltes, E = gabbros. QUESTION N 3 Au niveau d une dorsale, la fusion de la péridotite du manteau produit du magma à l origine de la lithosphère océanique. A) - Le magma produit a la même composition que la péridotite B) - Le magma produit est de composition basaltique C) - Le magma a pour origine une fusion totale de la péridotite D) - Le magma a pour origine une fusion partielle de la péridotite QUESTION N 4 A l aplomb d une dorsale, la fusion de la péridotite est due à une : A) - remontée de l asthénosphère à l aplomb de la dorsale B) - forte augmentation de la température sous la dorsale C) - augmentation de la pression et de la température de la péridotite D) - diminution de la pression de la péridotite.

3 QUESTION N 5 Une roche volcanique : A) - a été mise en place lors du refroidissement rapide d'un magma B) - est entièrement cristallisée C) - est de texture microlitique D) - constitue la partie supérieure de la coûte océanique QUESTION N 6 Le gabbro de la croûte océanique : A) - a été mis en place lors du refroidissement rapide du magma B) - est entièrement cristallisé C) - présente des gisements en forme de coussins D) - a la même composition chimique que la péridotite. QUESTION N 7 Enregistrement des ondes sismiques d un séisme profond dont l épicentre est situé à égale distance des stations sismographiques des Fidji et de Tonga (modifié) Les résultats peuvent s interpréter de la façon suivante, les ondes P ont : A) - circulé plus vite entre le foyer et la station Tonga qu entre le foyer et la station Fidj B) - circulé plus lentement entre le foyer et la station Tonga qu entre le foyer et la station Fidji C) - rencontré un milieu plus chaud entre le foyer et la station Tonga D) - rencontré un milieu plus froid entre le foyer et la station Tonga

4 QUESTION N 8 Enregistrement des ondes sismiques d un séisme profond dont l épicentre est situé à égale distance des stations sismographiques des Fidji et de Tonga (modifié) La répartition des foyers des séismes anciens est un argument en faveur : A) - de la présence d une dorsale B) - de la présence d une limite de plaque C) - du plongement d une plaque sous une autre D) - du coulissage d une plaque par rapport à une autre

5 QUESTION N 9 Un modèle global : la tectonique des plaques (modifié) Dans le modèle global de la tectonique des plaques : A) - il existe différents types de frontières définies par les mouvements relatifs des plaques B) - les frontières de divergence sont des zones de rapprochement : ce sont les dorsales où il y a création de lithosphère océanique. C) - les frontières de coulissage se localisent au niveau de failles transformantes : il y a création et disparition de lithosphère. D) - en permanence, la lithosphère océanique est produite dans les zones de convergence et détruite au niveau des zone de divergence..

6 QUESTION N 10 Un modèle global : la tectonique des plaques (modifié) Dans le modèle global de la tectonique des plaques : A) - la limite continent - océan n'est pas forcément une limite de plaques B) - dans une zone de subduction, les matériaux de la lithosphérique océanique s incorporent au manteau C) - le volcanisme de point chaud est un volcanisme localisé en frontière de plaques D) - au niveau des zones de subduction la lithosphère continentale s'enfonce dans l asthénosphère

7 QUESTION N 11 «La convection mantellique, moteur de la tectonique des plaques» Planet-Terre.ens-lyon, conférence Pierre Thomas (labo des Sciences de la Terre, ENS Lyon) Au niveau d'une dorsale océanique, la vitesse de propagation des ondes sismiques: A) - est ralentie, on parle alors d'anomalie positive. B) - est ralentie, on parle alors d'anomalie négative. C) - est accélérée, on parle alors d'anomalie positive. D) - est accélérée, on parle alors d'anomalie négative.

8 QUESTION N 12 «La convection mantellique, moteur de la tectonique des plaques» Planet-Terre.ens-lyon, conférence Pierre Thomas (labo des Sciences de la Terre, ENS Lyon) Au niveau d'une dorsale, à profondeur équivalente, la valeur des isothermes: A) - est supérieure à celle de la moyenne terrestre. B) - peut être supérieure ou inférieure à celle de la moyenne terrestre, cela dépendant directement du type de dorsale. C) - est identique à celle de la moyenne terrestre. D) - est inférieure à celle de la moyenne terrestre.

9 QUESTION N 13 convection mantellique, moteur de la tectonique des plaques» Planet-Terre.ens-lyon, conférence Pierre Thomas (labo des Sciences de la Terre, ENS Lyon) D'après le document 1: A) - une lithosphère plus chaude s'enfonce dans un manteau plus froid au niveau de la zone de subduction située à l'ouest de l'amérique du Sud. B) - il y a présence d'un matériel plus chaud sous la dorsale située au large des côtes sud-américaines. C) - la température est plus élevée à 100 km de profondeur au niveau de la dorsale qu'à une profondeur équivalente au niveau des continents D) - la température est plus élevée à 100 km de profondeur au niveau de la dorsale qu'à une profondeur équivalente au niveau de la zone de subduction. «La

10 QUESTION N 14 Au niveau d'une dorsale, les foyers sismiques sont essentiellement localisés: A) - le long du plan de subduction. B) - le long des failles transformantes qui décalent les tronçons d'une même dorsale. C) - à des profondeurs comprises entre 300 km et 670 km. D) - à des profondeurs situées au niveau des 100 premiers km. QUESTION N 15 Lorsqu'on s'éloigne perpendiculairement de l'axe d'une dorsale: A) - la densité de la lithosphère augmente progressivement. B) - la température de la lithosphère diminue progressivement. C) - la lithosphère subit une subsidence progressive. D) - la quantité de sédiments situés à sa surface diminue progressivement. QUESTION N 16 La lithosphère océanique: A) - est plus épaisse au niveau d'une dorsale et plus mince au niveau d'une zone de subduction. B) - est renouvelée au cours des temps géologiques. C) - est "créée" au niveau des dorsales D) - est "détruite" au niveau des zones de subduction. QUESTION N 17 Le magma basaltique émis au niveau d'une dorsale: A) - peut donner naissance à des roches différentes. B) - provient de la péridotite du manteau sous-jacent. C) - provient du noyau externe liquide. D) - est à l'origine des basaltes en coussins.

11 QUESTION N 18 Tectonique des plaques/etat de la matière fusion-cristallisation/fusion expérimentale péridotite sèche Banque de schémas-ac Dijon (Alain Galien) D'après les données du document 2: A) - la péridotite est solide à 80 km de profondeur sous la dorsale. B) - la péridotite de la lithosphère océanique n'est jamais en fusion totale. C) - un magma peut se former dans les zones de subduction à partir de la fusion de la péridotite sèche. D) - la péridotite sèche ne peut rentrer en fusion partielle qu'au niveau des dorsales.

12 QUESTION N 19 Tectonique des plaques/etat de la matière fusion-cristallisation/fusion expérimentale péridotite sèche Banque de schémas-ac Dijon (Alain Galien) D'après les données du document 2: A) - à 80 km de profondeur, la température du manteau au niveau de la plaine abyssale est d'environ 1200 C. B) - la température du manteau au niveau d'une dorsale est toujours inférieure à celle observée à profondeur équivalente au niveau d'une zone de subduction. C) - la température de la lithosphère océanique est constante, et ce quelle que soit la profondeur. D) - lorsque la pression baisse au niveau du manteau, la température augmente.

13 QUESTION N 20 Anomalies magnétiques et vitesses de formation des fonds océaniques Site: ombre.petit.pied.net D'après le document 3: A) - on peut estimer que la vitesse moyenne bilatérale de la dorsale Atlantique est d'environ 20 km par million d'années, soit 2 cm par an. B) - on peut estimer que la vitesse moyenne bilatérale de la dorsale Atlantique est d'environ 40 km par million d'années, soit 4 cm par an. C) - on peut observer que la dorsale Est-Pacifique est plus "rapide" que la dorsale Atlantique. D) - la vitesse des deux plaques, sur lesquelles les forages ont été effectués, est relativement constante dans le temps.

14 QUESTION N 21 Conditions expérimentales de fusion de la péridotite et géothermes D'après l'étude du document ci-dessous, on peut dire que : A) - la fusion de la péridotite dépend uniquement de la température B) - une péridotite exposée à une pression de 5 GPa et à une température de 2000 C est sous forme liquide C) - la péridotite du manteau peut entrer en fusion à l'aplomb des dorsales D) - le gradient géothermique est plus faible au niveau des zones de subduction

15 QUESTION N 22 Coupe dans la zone de subduction d'amérique du Sud (Pérou-Chili) réalisée avec le logiciel Sismolog D'après l'étude du document ci-dessous, on peut dire que : A) - la lithosphère continentale plonge sous la lithosphère océanique B) - la lithosphère océanique plonge dans le manteau asthénosphérique C) - il s'agit d'une marge active D) - le plan de Wadati Benioff montre que les séismes sont d'autant plus violents qu'ils sont profonds QUESTION N 23 Un carottage dans la croûte océanique montre la succession de roches suivantes, de la surface vers la profondeur : A) - Granite - Basalte - Gabbro B) - Basalte - Gabbro - Péridotite C) - Gabbro - Basalte - Péridotite D) - Sédiments océaniques - Basalte - Gabbro QUESTION N 24 Au niveau d'une dorsale : A) - la lithosphère est épaissie, du fait de la remontée d'une grande quantité de matériau d'origine mantellique B) - on observe une remontée de l'asthénosphère vers la surface C) - la péridotite du manteau subit une diminution de pression, qui entraine sa fusion partielle D) - de la lave s'épanche en continu

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

L E BILAN DES ACTIVITÉS

L E BILAN DES ACTIVITÉS L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,

Plus en détail

Thème Le domaine continental et sa dynamique

Thème Le domaine continental et sa dynamique Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels

Plus en détail

Géodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1

Géodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Géodynamique 2014 Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Pré-requis: Bases en cinématique des plaques, géophysique, géologie sédimentaire,

Plus en détail

Documents sur la patrie tectonique de Madagascar Clé USB avec logiciel Audacity et base de données sismiques en ligne : Sismos à l Ecole

Documents sur la patrie tectonique de Madagascar Clé USB avec logiciel Audacity et base de données sismiques en ligne : Sismos à l Ecole Laboratoire de Sciences de la Vie et de la Terre Mise à l épreuve de l idée d une dérive des continents Première S Au début du XXe siècle, les premières idées évoquant une mobilité horizontale des continents

Plus en détail

Séquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques

Séquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Séquence 5 Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Sommaire 1. Le recyclage de la lithosphère océanique 2. Le premier modèle de la tectonique des plaques

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

Séquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1.

Séquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1. Séquence 1 Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale Objectifs Cette séquence permettra de caractériser la croûte continentale du point de vue

Plus en détail

GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités

GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités Google Earth est un logiciel, permettant une visualisation de la Terre (et d autres astres!) avec un assemblage de photographies aériennes

Plus en détail

Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013.

Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013. Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013. 1 Localisation géographique. C est là! 2 Sommaire. 1 Le contexte géologique. 11 Les Canaries, volcanisme

Plus en détail

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):

Plus en détail

Que savons-nous de notre planète?

Que savons-nous de notre planète? Que savons-nous de notre planète? par Jacques Deferne et Nora Engel Née en même temps que le Soleil de la contraction d'un immense nuage d'hydrogène, d'hélium et de poussière, la Terre est la seule planète

Plus en détail

Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan :

Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan : Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques 1 Un cycle de la matière qui conditionne la chimie des océans et le climat La Terre, notre planète bleue (Figure 1), est constituée

Plus en détail

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction

Plus en détail

Les calottes polaires Isostasie Champ de température

Les calottes polaires Isostasie Champ de température 1 M2R STUE / Cours «Neige et Glace» Les calottes polaires Isostasie Champ de température F. Parrenin Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement Grenoble 2 L'isostasie sous-glaciaire Rigidité

Plus en détail

L océan, un Eldorado pour les ressources du futur?

L océan, un Eldorado pour les ressources du futur? Les ressources minérales du futur sont-elles au fond des mers? «Il existe au fond des mers des mines de zinc, de fer, d argent, d or, dont l exploitation serait très certainement praticable.» Jules Verne

Plus en détail

IFFO-RME. Informations. Si la France est un pays de. LLa terre a tremblé le 21 novembre 2004 en Guadeloupe et aux Saintes, www.iffo-rme.

IFFO-RME. Informations. Si la France est un pays de. LLa terre a tremblé le 21 novembre 2004 en Guadeloupe et aux Saintes, www.iffo-rme. 4 Informations Brèves L y était En partenariat avec l, l association Prévention 2000 organise une grande commémoration de la crue de la Loire de 1856 sous la forme d une rencontre francophone des «Ambassadeurs

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

La Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous

La Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de

Plus en détail

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est

Plus en détail

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL BACCALAURÉAT GÉNÉRAL Session 2013 SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE Série S Durée de l épreuve : 3 heures 30 coefficient : 8 ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ L usage de la calculatrice n est pas autorisé. Dès

Plus en détail

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,

Plus en détail

Chapitre 5 Mesures géophysiques

Chapitre 5 Mesures géophysiques Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable

Plus en détail

Où sont les Hommes sur la Terre

Où sont les Hommes sur la Terre Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains

Plus en détail

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée

Plus en détail

Activité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique

Activité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,

Plus en détail

LA PARTIE EXTERNE DE LA TERRE EST FORMÉE DE PLAQUES DONT LES MOUVEMENTS PERMANENTS TRANSFORMENT LA SURFACE DU GLOBE.

LA PARTIE EXTERNE DE LA TERRE EST FORMÉE DE PLAQUES DONT LES MOUVEMENTS PERMANENTS TRANSFORMENT LA SURFACE DU GLOBE. LA PARTIE EXTERNE DE LA TERRE EST FORMÉE DE PLAQUES DONT LES MOUVEMENTS PERMANENTS TRANSFORMENT LA SURFACE DU GLOBE. 3 - La partie externe de la Terre est formée de plaques mobiles 4 - Les mouvements des

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations

Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations Symposium Infra - Direction de la maintenance du réseau : Régis Ambert, Division Ingénierie de la Maintenance de la Voie

Plus en détail

Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT

Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT L EXPERIENCE NNE Àla Compagnie Centrale de Réassurance -Algérie ALGERI E I- Brève présentation

Plus en détail

Ywood Les Docks Libres à Marseille

Ywood Les Docks Libres à Marseille Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 1 Ywood Les Docks Libres à Marseille Stéphane Bouquet NEXITY / YWOOD FR-Paris, Marseille 2 Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 5 ème Forum International

Plus en détail

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire?

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire? Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

L Ecole et observatoire des sciences de la Terre

L Ecole et observatoire des sciences de la Terre L Ecole et observatoire des sciences de la Terre Michel GRANET LabEx G-EAU-THERMIE PROFONDE JOURNÉE DE LANCEMENT 14 Juin 2012 Un peu d histoire des sciences de la Terre à Strasbourg Quelques dates clés

Plus en détail

Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal

Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014

Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr

Plus en détail

Base de données de la sismicité historique de la Nouvelle-Calédonie, Wallis et Futuna et site internet associé

Base de données de la sismicité historique de la Nouvelle-Calédonie, Wallis et Futuna et site internet associé Base de données de la sismicité historique de la Nouvelle-Calédonie, Wallis et Futuna et site internet associé Rapport final BRGM/RP-54376-FR décembre 2005 Base de données de la sismicité historique de

Plus en détail

B- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements

B- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements B- Météorologie Nuages Brouillard Les brouillards côtiers sont du type: R : brouillard d'advection Il y a brouillard dès que la visibilité est inférieure à: R : 1 km Les facteurs favorisant l'apparition

Plus en détail

Réalisation d un zonage sismique de la plaque caraïbe préalable aux choix de scénarios de tsunamis aux Antilles françaises. Rapport intermédiaire

Réalisation d un zonage sismique de la plaque caraïbe préalable aux choix de scénarios de tsunamis aux Antilles françaises. Rapport intermédiaire Réalisation d un zonage sismique de la plaque caraïbe préalable aux choix de scénarios de tsunamis aux Antilles françaises Rapport intermédiaire BRGM/RP-55376-FR Mai 2007 Mots clés : zonage, séismes,

Plus en détail

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation

Plus en détail

Discovering Hidden Value

Discovering Hidden Value Discovering Hidden Value A la découverte de la valeur cachée Consultation pour les Opérations de Forage Proposées en Offshore Marocain 2013 Qui est Cairn Energy? Cairn est une société de pétrole et de

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie

Plus en détail

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats 6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.

Plus en détail

Aquitaine Thermographie

Aquitaine Thermographie Recherches de fuites par thermographie infrarouge Aquitaine Thermographie La thermographie La thermographie est une technologie précise et efficace, un allié fiable dans le domaine du bâtiment, de la maintenance

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Séminaire OSPHARM. Au Costa Rica. Du DIMANCHE 17 au lundi 25 novembre 2013. 9 jours / 7 nuits

Séminaire OSPHARM. Au Costa Rica. Du DIMANCHE 17 au lundi 25 novembre 2013. 9 jours / 7 nuits Séminaire OSPHARM Au Costa Rica Du DIMANCHE 17 au lundi 25 novembre 2013 9 jours / 7 nuits 1 Le Costa Rica Merveilleux jardin tropical, blotti entre Caraïbe et Pacifique, le Costa Rica n en finit pas de

Plus en détail

SYSTEMES D ALERTE SISMIQUE

SYSTEMES D ALERTE SISMIQUE SYSTEMES D ALERTE SISMIQUE Fusce vitae purus sed lectus egestas dignissim. Morbi in pede a justo posuere ornare. Préparons nous d autres séismes arrivent! Page 5 Mots Clés : Alerte Spécifique : Système

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

Le polissage par laser

Le polissage par laser B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques

Plus en détail

Chapitre 15 - Champs et forces

Chapitre 15 - Champs et forces Choix pédagogiques Chapitre 15 - Champs et forces Manuel pages 252 à 273 Après avoir étudié les interactions entre deux corps en s appuyant sur les lois de Coulomb et de Newton, c est un nouveau cadre

Plus en détail

8/10/10. Les réactions nucléaires

8/10/10. Les réactions nucléaires Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que

Plus en détail

Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault

Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324

Plus en détail

PROTECTION DEs MAINs ET DEs BRAs INfORMATIONs TEChNIquEs

PROTECTION DEs MAINs ET DEs BRAs INfORMATIONs TEChNIquEs Les accidents qui touchent les mains sont la première cause d accidents avec arrêt de tra- tuer tous les gestes de notre quotidien et sont également un outil essentiel dans notre travail. Préservons-les,

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES

Plus en détail

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques

Plus en détail

Questionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE

Questionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008 GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère

Plus en détail

Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales

Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales Richard Biancale Conseil Scientifique du GRGS Observatoire de Paris, 10 avril 2008 L état de l art des modèles CHAMP: modèles 50 fois moins précis que

Plus en détail

La gestion du risque chez AXA

La gestion du risque chez AXA Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La

Plus en détail

CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE

CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE Motivé par le développement durable je voulais absolument trouver la méthode pour me fabriquer un chauffe eau solaire. J ai donc décidé moi aussi de m investir dans

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS

RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS a RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS Synthèse de l'inventaire des accidents pour le secteur d'activité de la société MARIE DIDIER AUTOMOBILES Il ressort de l inventaire des accidents technologiques

Plus en détail

n 180 secousses sismiques et équipements électriques photographie Eric MELMOUX

n 180 secousses sismiques et équipements électriques photographie Eric MELMOUX n 180 photographie secousses sismiques et équipements électriques Eric MELMOUX Ingénieur diplômé en 1981 de l INSA de LYON option génie mécanique, il obtient la même année un DEA "vibrations". Après 10

Plus en détail

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme

Plus en détail

LA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS

LA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS > LA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS Opération collective MI-SISBOIS Petit déjeuner thématique du 13 février 2013 / REMIREMONT Baptiste MORON - CRITTBOIS En partenariat avec: Financé par: L

Plus en détail

Étude et modélisation des étoiles

Étude et modélisation des étoiles Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

Les effets de température

Les effets de température Les effets de température 1. Introduction La chaleur issue du combustible est transférée au caloporteur (eau) grâce au gradient de température qui existe entre ces deux milieux. Combustible Gaine Eau Profil

Plus en détail

Par Christophe Sireix / Prothésiste Dentaire

Par Christophe Sireix / Prothésiste Dentaire ADJOINTE CAD/CAM Par Christophe Sireix / Prothésiste Dentaire 16 Tech. Dent. N 342-06/15 L ASIGA pro075 Une mini imprimante très précise L imprimante ASIGA pro075 utilisée dans notre centre est une machine

Plus en détail

L énergie dans notre quotidien

L énergie dans notre quotidien 4 5 6 7 8 L énergie dans notre quotidien QUE SAIS-TU SUR L ÉNERGIE? Sur ton cahier de sciences, essaie de répondre par VRAI ou FAUX aux phrases ou expressions qui suivent. A. 1. Nous utilisons de plus

Plus en détail

Comment optimiser la performance énergétique de son logement?

Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

C3. Produire de l électricité

C3. Produire de l électricité C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres

Plus en détail

MASTER 2 Recherche - Sciences de la Terre, Lyon, option Terre et Planetes (PCTP) Année 2013-14 - Semestre d'automne

MASTER 2 Recherche - Sciences de la Terre, Lyon, option Terre et Planetes (PCTP) Année 2013-14 - Semestre d'automne MASTER 2 Recherche - Sciences de la Terre, Lyon, option Terre et Planetes (PCTP) Année 2013-14 - Semestre d'automne mise à jour : le 06/12 Semaine # 8h - 9h 9h - 10h 10h - 11h 11h - 12h 14h - 15h 15h -

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

Que sont les sources d énergie renouvelable?

Que sont les sources d énergie renouvelable? Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables

Plus en détail

Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker

Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker DeCarvalho Adelino adelino.decarvalho@iutc.u-cergy.fr septembre 2005 Table des matières 1 Introduction

Plus en détail

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température

Plus en détail

Contrôle non destructif Magnétoscopie

Contrôle non destructif Magnétoscopie Contrôle non destructif Magnétoscopie Principes physiques : Le contrôle magnétoscopique encore appelé méthode du flux de fuite magnétique repose sur le comportement particulier des matériaux ferromagnétiques

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6 Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline

Plus en détail

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions

Plus en détail

Travaux Pratiques. Sondage Radar de Vénus

Travaux Pratiques. Sondage Radar de Vénus Travaux Pratiques Sondage Radar de Vénus Introduction Vénus est la deuxième planète en partant du Soleil. Elle se trouve entre Mercure et la Terre. Vénus est une planète tellurique tout comme la Terre.

Plus en détail

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Généralités. Front froid

Généralités. Front froid Apprendre : Les masses d'air, les fronts Tester : Les dictons Pratiquer : Prévoir le temps Prévoir : Les dictons mois par mois Généralités Deux masses d'air de température différente qui se rencontrent,

Plus en détail

L hygiène en restauration

L hygiène en restauration L hygiène en restauration Remise directe au consommateur Avertissement : les fiches présentées dans cette rubrique ont valeur de première information synthétique et ne tiennent pas compte des spécificités

Plus en détail

Monitoring et suivi du comportement des chaussées

Monitoring et suivi du comportement des chaussées Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction

Plus en détail