Antibiotiques "Microbes en questions" Exposition Contact presse Caisse Assurance Maladie de la Côte-d'Or (Cpam 21) Guillaume Jenet

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1 Antibiotiques "Microbes en questions" Exposition Contact presse Caisse Assurance Maladie de la Côte-d'Or (Cpam 21) Guillaume Jenet

2 2 Sommaire Communiqué de presse page 3 L'exposition page 5 Expliquer pourquoi «les antibiotiques, c'est pas automatique»! page 7 Les messages de santé publique page 9 Les partenaires de «Microbes en questions» page 11 Annexes Consommation d'antibiotiques : chiffres clés Le programme de l Assurance Maladie pour un bon usage des antibiotiques : développement et perspectives page 13

3 3 Communiqué de presse Dijon, le 16 janvier Une exposition originale et pédagogique pour toute la famille Un voyage dans le monde de l infiniment petit Du 17 janvier au 8 mars 2009, au Jardin des sciences de Dijon, Savez-vous que plus de milliards de bactéries vivent dans notre corps? Heureusement, la plupart sont inoffensives, voire nous protègent. D autres nous rendent malades. Mais comment nos défenses naturelles agissent-elles dans ce cas? Qu est-ce qu un microbe? Pourquoi tombe-t-on malade? Quand doit-on prendre des antibiotiques? Pourquoi a-t-on de la fièvre?... L hiver est la saison idéale pour trouver des réponses à ces questions. Ainsi, l Assurance Maladie de la Côte-d'Or et la Ville de Dijon se sont associées pour proposer aux petits et aux grands l exposition «Microbes en questions», une exposition qui leur permet de mieux apprendre comment fonctionne notre corps, les petites maladies de l hiver (rhume, angine, rhino-pharyngite ) et le rôle des antibiotiques. Voyage dans le monde de l infiniment petit, l exposition «Microbes en questions» propose des réponses simples, illustrées et ludiques sous forme de panneaux pédagogiques et d ateliers interactifs (atelier lavage des mains, jeux, film ). Elle a été conçue pour les enfants (à partir de 8 ans) et pour toute la famille. Une bonne idée de sortie pour les longs après-midis d hiver! Pourquoi une exposition sur les microbes? Présentée à l initiative de l Assurance Maladie de la Côte-d'Or, avec la participation de la Ville de Dijon et de son Jardin des sciences, «Microbes en questions» s inscrit dans le cadre de son programme pour un bon usage des antibiotiques, conduit depuis 2002 et incarné par la campagne «Les antibiotiques, c est pas automatique». En Bourgogne, le niveau de prescription d antibiotiques chez les jeunes de moins de 15 ans reste supérieur à la moyenne nationale. A la clé, le développement de bactéries résistantes aux antibiotiques. Il est donc important de poursuivre la sensibilisation à un meilleur usage des antibiotiques pour mieux comprendre «pourquoi» les antibiotiques, c est pas automatique! L objectif de «Microbes en questions» est d allier le divertissement à la vulgarisation scientifique pour expliquer les mécanismes des petites maladies de l hiver (angines, otites, rhumes ), le rôle des microbes et le mode d action des antibiotiques à partir de questions concrètes de la vie quotidienne comme «Les virus et les bactéries c est quoi?», «Les microbes, mon corps et la maladie, comment ça marche?», «Et les médicaments dans tout ça?».

4 4 Inaugurée pour la 1ère fois en 2005 à la Cité des Sciences et de l Industrie à Paris, «Microbes en questions» s installe aujourd hui à Dijon, au cœur de la ville et de son Jardin des sciences, durant sept semaines. «Microbes en questions» pour les scolaires et les «nounous» Parce que les habitudes en matière de santé se prennent dès le plus jeune âge, à l occasion de l exposition «Microbes en questions», l Assurance Maladie de la Côte-d'Or et la Ville de Dijon ont décidé de mener une action particulière de sensibilisation vers les élèves des écoles primaires (CM1 et CM2) et des collèges (6 ème, 5 ème ) du Grand Dijon. Des visites guidées avec des animateurs sont proposées, sur inscription préalable, les lundis, jeudis et vendredis jusqu au 20 février Les professionnels de la petite enfance sont en premier lieu concernés par les petites maladies de l enfance. Ainsi, il est important de favoriser la bonne compréhension des attitudes à mettre en œuvre. A l occasion de «Microbes en questions», trois soirées «spéciales assistantes maternelles» sont donc proposées aux nounous du département les 29 janvier, 9 février et 19 février, de 19h à 21h (inscription préalable). Après une visite de l exposition, une projection de film est prévue avec interviews d assistantes maternelles et de pédiatres, suivie d échanges avec un médecin généraliste. Informations pratiques, du 17 janvier au 8 mars 2009 Jardin des Sciences Pavillon de la Grande Orangerie Parc de l Arquebuse 14, rue Jehan de Marville Dijon Horaires d ouverture : Mercredi, samedi et dimanche, de 14h à 18h Du 21 février au 8 mars 2009 (vacances scolaires) : ouverture tous les jours (sauf le mardi), de 14h à 18h Entrée libre. Possibilité de visites guidées pour les groupes scolaires et les assistantes maternelles, sur réservation auprès du Jardin des sciences au Renseignements : Téléphone : Internet : (rubrique assurés > votre caisse > actualités) Contacts presse : Assurance Maladie de la Côte-d'Or Guillaume Jenet Tél guillaume.jenet@cpam-dijon.cnamts.fr Jardin des sciences Ville de Dijon Christine Thiry-Gallemard Tél cthiry@ville-dijon.fr

5 5 L exposition 5 univers thématiques, pour partir à la découverte du corps humain et du mécanisme des petites maladies de l hiver Partir à la découverte du corps humain grâce à de grands panneaux colorés et illustrés, pour comprendre le mécanisme des petites maladies de l hiver Univers n 1 : «Les microbes et moi, et moi, et moi» Deux types de microbes sont présents dans notre corps : les bactéries et les virus. Tous ne sont pas «méchants», au contraire! Qui sont-ils? Comment vivent-ils? A quoi servent-ils? Des réponses surprenantes à découvrir Univers n 2 : «Quand je ne suis pas malade» Savez-vous que nous disposons de barrières naturelles de protection contre les attaques microbiennes? Il s agit de la peau et des muqueuses. Comment agissent ces barrières? Qu est-ce que le système immunitaire? Univers n 3 : «Quand je suis malade» Malgré nos barrières naturelles de protection, parfois nous tombons malade. Les enfants sont très sensibles aux petites maladies de l hiver (angines, otites, bronchites ), c est normal car leur système immunitaire se construit. Quelles sont ces maladies infectieuses de la petite enfance? Comment le corps réagit? Univers n 4 : «Quand je guéris» Que faire en cas de mal de gorge, de toux ou de fièvre? D ailleurs, pourquoi a-t-on de la fièvre? Savez-vous que certaines infections guérissent toute seules sans médicament? Le médecin peut nous prescrire des médicaments pour soulager les symptômes associés (toux, nez qui coule ). Quels sont les médicaments qui soulagent et ceux qui soignent? Pourquoi les antibiotiques, c'est pas automatique? Quels sont les risques liés à un mauvais usage des antibiotiques? Univers n 5 : «Quand je veux éviter d être malade» Il existe des gestes simples pour se protéger les infections et éviter de tomber malade. Des règles simples d hygiène existent. Comment bien se laver les mains? Quel est le rôle des vaccins?

6 6 Des jeux et des ateliers, pour les enfants «Microbes en questions» a été conçue pour les enfants à partir de 8 ans. A l entrée de l exposition, un quiz est remis à chaque enfant. Les réponses sont à trouver dans les panneaux de l exposition. En fin de parcours, une surprise attend les enfants qui auront répondu aux 10 questions... Des ateliers interactifs sont proposés tout au long des différents univers thématiques (vue de microbes au microscope, jeu sur la fièvre, atelier lavage des mains et brossage des dents ) pour faire participer les enfants. Les ateliers «Microbes en questions» fonctionnent les mercredis, samedis et dimanches de 15h à 16h30, en présence d un animateur. Enfin, pour savoir pourquoi les antibiotiques, c est pas automatique, l émission «C est pas sorcier!» (célèbre programme pour la jeunesse dédié à la découverte scientifique et partenaire permanent de l exposition), propose aux visiteurs son émission spéciale sur les antibiotiques (durée : 26 mn).

7 7 Expliquer «pourquoi les antibiotiques, c est pas automatique!»» Réalisée à l initiative de l Assurance Maladie de la Côte-d'Or, l exposition «Microbes en questions» s inscrit dans le cadre de son programme pour un bon usage des antibiotiques, incarné par la campagne «Les antibiotiques, c est pas automatique». Cette campagne porte aujourd hui ses fruits puisque la consommation d antibiotiques a diminué de 24% depuis 2002 en Bourgogne. Mais la vigilance reste de mise car le niveau de prescription d antibiotiques chez les jeunes de moins de 15 ans reste toujours supérieur à la moyenne nationale dans notre région. Cette surconsommation d antibiotiques explique aujourd hui le développement de bactéries devenues résistantes à l action des antibiotiques, notamment chez les jeunes enfants. Des visites guidées pour les groupes scolaires et les assistantes maternelles La mobilisation des enfants, des parents, mais aussi des prescripteurs et des professionnels de la petite enfance est un objectif prioritaire de l Assurance Maladie pour amener à mieux utiliser les antibiotiques. Pour cela, plusieurs actions ciblées de sensibilisation se dérouleront autour de l exposition «Microbes en questions», à destination de ces publics. Des visites réservées aux scolaires Outre son ouverture au public les mercredis, samedis, et dimanches après-midis, l exposition «Microbes en questions» s adresse aux élèves des classes de CM1, CM2, 6 ème et 5 ème. Des visites guidées par des animateurs de l Assurance Maladie et du Jardin des sciences sont ainsi proposées aux enseignants et à leurs classes en semaine, sur inscription. Près de 30 classes du Grand Dijon se sont déjà inscrites! Des soirées spéciales pour les nounous! Les assistantes maternelles sont une cible clé dans la pédagogie du bon usage des antibiotiques auprès des enfants mais aussi des parents. Elles représentent aujourd hui le deuxième mode de garde en France. Grâce à leur expérience de la petite enfance, elles ont très souvent un rôle de conseil auprès des parents. Ainsi, pour être aussi complet que pédagogique, l Assurance Maladie de la Côte-d'Or a choisi d inviter les assistantes maternelles de Côte-d'Or à participer à des soirées spéciales pour leur faire découvrir l exposition. Cette visite sera suivie de la projection d un film spécialement créé à leur attention à partir d échanges entre des pédiatres et des assistantes maternelles, et d un débat avec un médecin généraliste. Renseignements et inscriptions : Jardin des sciences ( ) ou (rubrique assurés > votre caisse > actualités).

8 8 Les enfants, gros consommateurs d antibiotiques Cette mobilisation autour des enfants et des acteurs scolaires et de la jeunesse s explique par la forte exposition des jeunes enfants aux antibiotiques. En effet, les enfants de moins de 6 ans sont très souvent malades. Ces infections, inconfortables pour les petits malades et parfois inquiétantes pour leurs parents doivent être dédramatisées! Il est prouvé qu elles sont nécessaires car elles leur permettent de fabriquer et de renforcer leur système immunitaire. Pourtant, elles sont encore trop souvent traitées par des antibiotiques, qui n ont aucune efficacité mais qui renforcent les résistances bactériennes. En effet, en moyenne, 7 fois sur 10, les antibiotiques ne servent à rien car la majorité des infections de l'enfant est d'origine virale! Or, les antibiotiques ne tuent que les bactéries, pas les virus! Les jeunes enfants sont les premiers concernés par l antibiothérapie et donc par la montée des bactéries résistantes liée à un mauvais usage des antibiotiques. Antibiotiques : encore des idées reçues tenaces! Les Français se posent beaucoup de questions sur leur santé. Dans un premier temps, la campagne «Les antibiotiques, c est pas automatique» a contribué à faire reculer le noyau dur des idées reçues : plus des 2/3 1 estiment être mieux informés sur les bactéries résistantes et l utilité des antibiotiques pour lutter contre les bactéries et non les virus. Cependant, il leur reste à concrétiser leur compréhension du problème par des actes au quotidien car le nombre de personnes déclarant ne pas savoir quand et pourquoi prendre des antibiotiques a augmenté. Le baromètre grand public 2 sur les connaissances et les attitudes des Français vis-à-vis des antibiotiques mené en 2007 indique des signes de relâchement et des idées reçues tenaces : 34% des Français pensent encore en 2007 que les antibiotiques permettent d être sur pied plus vite 45% pensent en 2007 que quelle que soit l infection, les antibiotiques font baisser la fièvre Seuls 46% des Français savent que 7 à 8 infections ORL sur 10 sont virales et se soignent sans antibiotiques Le fait que les idées reçues sur l automaticité des antibiotiques reculent est un résultat positif, mais il faut maintenant donner aux Français des repères quant à l usage précis de ces médicaments. L exposition «Microbes en questions» se positionne précisément dans cette démarche, en faisant connaître le processus d infections bactériennes comme les petites maladies de l hiver des enfants. 1 Source : enquête barométrique d Ipsos en décembre Baromètre grand Public de la campagne «Antibiotiques», connaissances et attitudes, mars 2007, Ipsos Santé.

9 9 Les messages de santé publique Quand c est viral = pas d antibiotiques Les antibiotiques permettent de guérir de nombreuses infections, mais pas toutes! Ils n agissent pas sur les virus. Par ailleurs, ils n ont pas d influence directe sur la fièvre et les autres symptômes causés par l infection. Ils n évitent pas non plus la contagion et n enrayent pas les infections à répétition Infections ORL et bronchiques des jeunes enfants = antibiotiques pas systématiques Rhinopharyngites, angines, bronchites nos enfants ont fréquemment des infections car ils construisent petit à petit leurs défenses. A chaque nouvelle maladie, ils affûtent un peu plus leurs défenses pour lutter contre les microbes. Si l antibiotique peut être un remède très efficace, il est bien souvent inutile pour traiter les maladies courantes de l hiver chez les jeunes enfants. En effet, en moyenne, 7 fois sur 10, les antibiotiques ne servent à rien car la majorité des infections de l enfant est d origine virale! Or, les antibiotiques ne tuent que les bactéries! Utilisés à mauvais escient et en trop grande quantité, l antibiotique perd progressivement son efficacité, face à des bactéries qui apprennent à résister à son action. Les infections virales guérissent d elles même en 1 à 2 semaines mais, en attendant, on peut soulager les symptômes. Le lavage de nez, notamment, facilite la respiration de l enfant, gênée en cas d obstruction nasale. Les médicaments antipyrétiques font baisser la fièvre et améliorent le confort de l enfant. Mauvaise utilisation des antibiotiques = baisse de l efficacité des traitements Si on utilise trop souvent et abusivement des antibiotiques, leur efficacité sera moins bonne car les bactéries s habituent à leur action et apprennent progressivement à résister aux antibiotiques. Elles deviennent résistantes aux antibiotiques. A cause de ce phénomène qui touche notamment les enfants, certaines maladies deviennent aujourd hui plus difficiles à guérir et pourraient ne plus être soignées du tout, demain

10 10 4 conseils pour préserver l efficacité des antibiotiques ❶ Prendre les antibiotiques uniquement sur avis médical. ❷ Respecter scrupuleusement la prescription médicale qui précise la dose, le rythme des prises et la durée du traitement. ❸ Limiter la transmission des germes par des règles d hygiène élémentaires comme se laver les mains avant et après les repas, après être allé aux toilettes, avant de toucher un nourrisson ❹ Se faire vacciner lorsque cela est possible. Informations et conseils complémentaires :

11 11 Les partenaires de «Microbes en questions» Améliorer la santé des côtes-d oriens : une priorité de l Assurance Maladie Réalisée à l initiative de l Assurance Maladie de la Côte-d'Or, l exposition «Microbes en questions» s inscrit dans le cadre de son programme pour un bon usage des antibiotiques, conduit depuis 2002 et incarné par la campagne «Les antibiotiques, c est pas automatique». Cette campagne porte ses fruits puisque la consommation d antibiotiques a diminué de 24% depuis 2002 en Bourgogne. Mais la vigilance reste de mise car le niveau de prescription d antibiotiques chez les jeunes de moins de 15 ans reste toujours supérieur à la moyenne nationale dans notre région! Cette surconsommation d antibiotiques explique aujourd hui le développement de bactéries devenues résistantes à l action des antibiotiques, notamment chez les jeunes enfants. Au côté de ses partenaires, la Caisse d Assurance Maladie de la Côte-d'Or reste donc mobilisée pour promouvoir et améliorer la santé des côtes-d oriens. La santé, l engagement de la Ville de Dijon En 2002, Dijon a adhéré au réseau des villes santé de l'organisation Mondiale de la Santé et a souscrit ainsi à la charte «Santé pour Tous». Le service Dijon Ville Santé mène depuis 2002, avec la collaboration de partenaires locaux, des actions de sensibilisation et de prévention auprès des dijonnais. A travers son soutien à cette exposition présentée par l'assurance Maladie, la Ville de Dijon donne à chacun les moyens d'accéder à sa santé et d'être acteur de celle-ci. Aujourd hui, l exposition «Microbes en questions» invite les dijonnaises et les dijonnais au Jardin des sciences de la ville pour un voyage dans le monde de l infiniment petit afin de mieux comprendre pourquoi nous tombons malade l hiver et comment l éviter. Exposition de portée nationale, «Microbes en questions» a déjà conquis un large public dans plusieurs villes de France (Cité des Sciences et de l Industrie à Paris, Pavillon des Sciences à Montbéliard, Lyon, Nice, Bordeaux, Limoges, Poitiers ).

12 12 Ils soutiennent «Microbes en questions» : Production de l exposition : «Microbes en questions» a été réalisée à l initiative de l Assurance Maladie, avec le concours scientifique de l Institut Pasteur, et coproduite par le Pavillon des Sciences de Montbéliard et l Union régionale des Caisses d Assurance Maladie de Franche-Comté. Remerciements : Etudiantes de 2 ème année du BTS Economie sociale et familiale du Lycée Les Arcades de Dijon. Inspection académique de la Côte-d'Or.

13 13 Annexes Consommation d antibiotiques : chiffres clés En France : Depuis le lancement du programme «Les antibiotiques, c est pas automatiques» en 2002, le nombre de prescriptions d antibiotiques en France a reculé de 23,4%, soit 26,8 millions de traitements évités et 850 millions d euros de dépenses évitées. Ce résultat témoigne de la capacité des Français à adopter des comportements de santé plus raisonnables. Cette évolution suit une tendance de - 4,5% de consommation en moyenne par année depuis 2002, avec un pic de - 6,3% en La surconsommation d antibiotiques chez les enfants de 0 à 5 ans baisse de 34,3%, soit 6,4 millions de traitements évités. Mais elle reste encore importante sur cette tranche d âge. En Bourgogne et en Côte-d'Or : En cumulé, depuis 2002 (sur la période hivernale d octobre 2002 à mars 2007), tous âges confondus, la consommation d antibiotiques a diminué de 24% en Bourgogne. Pour les moins de 15 ans, la baisse cumulée est de 36%. Sur l année 2007, la Bourgogne est la première région de France sur la baisse des montants remboursés d antibiotiques (- 3,4% contre - 0,3% pour la France) et la Côte-d Or, le premier département de France sur ce même indicateur (- 5%). La baisse de la consommation d antibiotiques s est poursuivie en Sur les neuf premiers mois de l année 2008, la consommation (en nombre de boîtes prescrites et remboursées) a diminué de -1,6%. Les montants remboursés diminuent de - 8,3%. De résultats encourageants, mais la mobilisation pour le bon usage doit se poursuivre! En 2007, le nombre de prescriptions d antibiotiques par bourguignon de 15 ans ou moins restait toujours supérieur à la moyenne nationale (0,81 contre 0,75 de moyenne nationale)

14 14 Le programme de l Assurance Maladie pour un bon usage des antibiotiques : développement et perspectives : expérimentation du test de diagnostic rapide de l angine en Bourgogne Bien avant le lancement de la campagne «Les antibiotiques, c est pas automatique», la Bourgogne s est penchée sur le problème de santé publique posé par un mauvais usage des antibiotiques. Dès 1999, l Assurance Maladie et les professionnels de santé de la région se sont mobilisés pour tester le test de diagnostic rapide de l angine (TDR), généralisé depuis à toute la France et devenu un véritable outil d aide à la prescription pour les médecins. Ce test permet de déterminer, très facilement et instantanément, si l angine est d origine virale ou bactérienne, et si un antibiotique est nécessaire ou pas. A l époque, 800 médecins généralistes de la région (représentant patients) avaient participé à l expérimentation : casser les idées reçues sur les antibiotiques En 2002, l Assurance Maladie lance un vaste programme national pour lutter contre l usage inapproprié d antibiotiques. Aider les médecins dans leur pratique, faire la pédagogie du bon usage chez les patients, déconditionner le «réflexe antibiotique», tels ont été les objectifs du programme, incarnés notamment par la campagne télévisée «Les antibiotiques, c est pas automatique». Durant les deux premières années, ce programme a été suivi d effets concrets et mesurables : une baisse de 12,8% de la consommation entre octobre 2002 et octobre : installer durablement le bon usage Quatre principes majeurs guident la conduite de ce programme dans sa deuxième phase : Réaffirmer l importance de l enjeu de santé publique (lutter contre le développement des bactéries résistantes aux antibiotiques). Continuer à donner de nouveaux repères aux patients (création de l exposition «Microbes en questions»). Faciliter la pratique des médecins (mise à disposition d outils d aide à la pratique comme le test de diagnostic rapide de l angine). Continuer les actions dans l entourage des jeunes enfants (organisation de tables rondes avec les professionnels de la petite enfance pour identifier les solutions permettant d encourager un recours raisonné aux antibiotiques dans l accueil des enfants en butte aux infections courantes : un nouvel élan pour poursuivre l effort pédagogique L Assurance Maladie repart en campagne et renforce ses actions. Le programme s articule autour de trois axes : Poursuivre la pédagogie du bon usage des antibiotiques auprès du grand public et installer un nouveau repère (pour cela, l Assurance Maladie explique désormais que : «l'antibiotique est inutile quand l'infection est virale, utile quand elle est bactérienne». Ré-impliquer les professionnels de santé dans le bon usage des antibiotiques (visites des délégués de l Assurance Maladie, mise à disposition d outils d aide à la prescription). Sensibiliser les assistantes maternelles pour en faire un nouveau public relais auprès des parents de jeunes enfants (réalisation et diffusion d un DVD spécialement créé pour les nounous, pour leur donner des repères sur les infections courantes des jeunes enfants).

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