DÉVELOPPEMENT DES PLANTATIONS FORESTIÈRES EN AFRIQUE ~ CONDITIONS CADRES NÉCESSAIRES
|
|
- Marie-Madeleine Bessette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DÉVELOPPEMENT DES PLANTATIONS FORESTIÈRES EN AFRIQUE ~ CONDITIONS CADRES NÉCESSAIRES Espace Fréjorgues Ouest, 60 rue Henri Fabre Mauguio Gd Montpellier - France Tél : +33 (0) Fax : +33 (0) frm@frm-france.com 75, avenue des Champs-Élysées Paris - France Tél. : +33 (0) Fax : +33 (0) info@rougier.fr
2 SOMMAIRE 1. Q u e l l e vision d e l a f o r ê t p r o d u c t ive d e d e m a i n e n Afrique? 2. P o u r q u o i l a L i g n i c u l t u r e, c u l t u r e i n t e n s ive d e l arbre? 3. R ô l e d e s p l a n t a t i o n s f o r e s t ières 4. L e s plantations f o r e s t i ères e n A f r i q u e 5. R ô l e e t p l a c e d e s É t a t s a f r i c a ins d a n s l e d é v e l o p p e ment d e s p l a n t a t i o n s 6. C o m p r e n d r e l e s e n j e u x f i n a n c i e rs d e s p l a n t a t i o n s 7. E x e m p l e d e 3 p a y s q u i s e lancent d a n s l e d é v e l o p p e m e n t d e s p l a n t a t i o n s
3 1. QUELLE VISION DE LA FORÊT PRODUCTIVE DE DEMAIN EN AFRIQUE?
4 1. QUELLE VISION DE LA FORÊT PRODUCTIVE? FORÊT DE PRODUCTION DOMAINE RURAL Régénération naturelle (au besoin assistée) Régénération artificielle (= plantation) Intensification des investissements Intensification culturale Concession forestière Périmètre de reboisement Petite plantation privée Périmètre agroindustriel Agroforesterie Périmètres industriels Plantations privées associées aux Périmètres industriels Concessions forestières mixtes (new concept) Espace sréservés aux populations rurales Cultures durables de l arbre à objectifs multiples
5 2. POURQUOI LA LIGNICULTURE, CULTURE INTENSIVE DE L ARBRE?
6 2. POURQUOI LA LIGNICULTURE? Parce que la productivité des plantations forestières intensives dans les zones tropicales est 20 à 100 fois supérieure à celle des forêts naturelles. Parce que les besoins en bois dans le monde sont croissants et que les forêts naturelles sous aménagement durable ne peuvent couvrir ces besoins. Parce que l économie de cueillette dans les forêts naturelles les menace et qu il est nécessaire de les protéger en couvrant les nouveaux besoins en bois par des plantations. Parce que l investissement forestier dans des plantations intensives est plus rentable, et permet d industrialiser la filière et d augmenter les productivités.
7 3. RÔLE DES PLANTATIONS FORESTIÈRES
8 3. RÔLE DES PLANTATIONS FORESTIÈRES «Un pays forestier demain, c est un pays qui développe des plantations forestières» Le Brésil, 1 er pays forestier de la planète, l a bien compris! L Amazonie, avec plus de 350 millions d hectares de forêts naturelles, produit moins de 10 millions de m 3 de bois. Alors que près de 4 millions d hectares de plantations forestières produisent plus de 100 millions de m 3 de bois chaque année. D autres pays ont choisi cette voie!
9 3. RÔLE DES PLANTATIONS FORESTIÈRES Surface de plantations industrielles en 2012
10 3. RÔLE DES PLANTATIONS FORESTIÈRES Surface en 2012 par région
11 3. RÔLE DES PLANTATIONS FORESTIÈRES Surface en 2012 et prévisions de croissance
12 3. ÉTAT DES PLANTATIONS FORESTIÈRES INDUSTRIELLES Evolution de l offre et de la demande
13 4. LES PLANTATIONS FORESTIÈRES EN AFRIQUE
14 4. LES PLANTATIONS FORESTIÈRES EN AFRIQUE Le rendez-vous manqué des années 70! Pourtant plusieurs grands projets de plantations papetières : Congo : UAIC Gabon : Sogacel Cameroun : Cellucam Côte d Ivoire : San Pédro Et une forte R&D : Au Congo sur l Eucalyptus (création de l E. urograndis) En Côte d Ivoire sur les plantations de bois d œuvre et de Teck
15 4. LES PLANTATIONS FORESTIÈRES EN AFRIQUE Les raisons de cet échec : Ressources naturelles forestières à l époque abondantes et accessibles. Filière des bois tropicaux de forêt naturelle très rentable. Faible compétitivité des bois de plantation d Afrique sur les marchés mondiaux et nécessité de très gros investissements industriels jugés non rentables. Absence d analyse au départ du marché des bois des plantations. Fort risque dans les investissements long terme.
16 4. LES PLANTATIONS FORESTIÈRES EN AFRIQUE Les raisons d espérer aujourd hui en Afrique : Il existe de grandes surfaces foncières non mises en valeur, libres d autres spéculations (agricole en particulier). On observe une amélioration du climat des affaires avec d importants investissements long terme un peu partout sur le continent. Des exemples de programmes de plantation réussis existent : o Filière bois de Teck en Côte d Ivoire o Plantations clonales d Eucalyptus urograndis au Congo o Nombreux exemples de périmètres industriels en Afrique australe et du Sud
17 4. LES PLANTATIONS FORESTIÈRES EN AFRIQUE Cest le bon timing pour se lancer dans le développement de plantations en Afrique Des pays comme la Côte d Ivoire, le Libéria et le Ghana ont perdu plus de 80% de leur surface de forêt naturelle. Dans le Bassin du Congo, le business modèle des forêts naturelles est à bout de souffle. La demande de bois de plantation sur l Afrique se fait sentir. L industrialisation de la transformation du bois requiert une matière première abondante, homogène et à bas prix pour plus de productivité et de rentabilité.
18 5. RÔLE ET PLACE DES ÉTATS AFRICAINS DANS LE DÉVELOPPEMENT DES PLANTATIONS
19 5. RÔLE ET PLACE DES ETATS Fondamental pour renforcer le climat des affaires et mettre en place des mesures incitatives aux investissements dans les plantations. Essentiel pour sécuriser l accès au foncier : o Clarification du droit de propriété o Établissement de baux long terme Le rôle de l État c est aussi : o Partenaire économique aux côtés des investisseurs privés o Investisseur (cas PFM au Gabon) o Créer un fonds d investissement spécialisé, d intervenir dans la mise en place des garanties, etc o Garant des solutions de valorisation de la matière première sur les marchés locaux et à l exportation
20 6. COMPRENDRE LES ENJEUX FINANCIERS DES PLANTATIONS
21 7. ENJEUX FINANCIERS Niveau macroéconomique Dans le monde, 2 à 3 millions de nouvelles plantations forestières intensives réalisés chaque année, ce qui représente : à euros par Ha d investissement, soit => 4 à 9 milliards d euros d investissement De plus, il existe environ 55 millions d ha de plantations intensives à travers le monde (selon le rapport INDUFOR), ce qui représente : 100 à 200 euros par Ha et par an en frais de gestion et de protection, soit: => 5.5 à 11 milliards d euros pour couvrir les frais de gestion
22 7. ENJEUX FINANCIERS Niveau microéconomique (du projet de plantations) : Les enjeux financiers sont variables selon les projets et dépendent de plusieurs critères, notamment : o le marché visé o l essence plantée o la durée de rotation o la qualité du foncier o la localisation du foncier o la taille de la plantation A noter que ces critères interagissent entre eux.
23 7. ENJEUX FINANCIERS Niveau microéconomique Avec en moyenne des coûts d installation des plantations situés entre 2000 et 3000 /ha, la question fondamentale est la durée de rotation de la plantation qui correspond à la durée de mobilisation de ce capital et ainsi à son coût. Celui-ci est variable en fonction des acteurs porteurs de projet et des pays ou zone géographique où se situent les projets. La question de l appréciation du risque du projet par les financeurs et du rendement minimum attendu (afin de couvrir cette prise de risque) est ainsi essentielle
24 7. ENJEUX FINANCIERS Niveau microéconomique En réalité, pour déterminer les enjeux financiers, il faut répondre aux questions suivantes : o Pourquoi planter (quels marchés visés)? o Quoi planter (quelles essences)? o Où le planter (importance du foncier et de la logistique)? o En combien de temps (question de la durée de rotation et «d attente» avant la coupe)?
25 7. ENJEUX FINANCIERS PLANTATION INTENSIVE BOIS D INDUSTRIE A COURTE ROTATION : TRITURATION, PANNEAUX, CHARBON DE BOIS, PLANTATION INTENSIVE BOIS D ŒUVRE POUR UNITÉ DE SCIAGE, DÉROULAGE 6 ans Cycle de production 15 à 20 ans 30 m 3 /ha/an Productivité moyenne 12 m 3 /ha/an ha Surface du périmètre ha /ha entre 5 et 10% /ha 87.5 M Investissement initial (mise en place de la plantation) Coût de gestion/protection (en % investissement initial) Financement total par Ha (hors coût financier) Financement total du projet (hors coût financier) /ha entre 5 et 10% /ha 73 M
26 7. ENJEUX FINANCIERS Niveau microéconomique Le risque étant corrélé avec le temps, les critères et niveau de rentabilité à retenir vont dépendre de chaque projet et des intérêts particuliers des promoteurs. Le secteur des plantations forestières étant un secteur amont de la filière industrie bois, l enjeu financier de ces plantations se mesure aussi et surtout en comparaison avec le cout d installation des unités de transformation en aval.
27 7. EXEMPLE DE 3 PAYS QUI SE LANCENT DANS LE DÉVELOPPEMENT DES PLANTATIONS
28 6. EXEMPLE DE 3 PAYS Au CONGO Le CONGO a mis en place le Programme National d Afforestation et de Reboisement (PRONAR) dont l objectif est le développement d un million d hectares de plantation en 10 ans
29 6. EXEMPLE DE 3 PAYS Au GABON Le GABON développe actuellement une Stratégie Nationale de Reboisement et est associé à la mise en œuvre du projet pilote des Plantations Forestières de la Mvoum o Exploitation des anciennes plantations d Okoumé o Reboisement des surfaces exploitées
30 6. EXEMPLE DE 3 PAYS En CÔTE d IVOIRE La CÔTE d IVOIRE dispose déjà de près de ha de plantations et promeut actuellement les Partenariat Public-Privé (PPP) pour la relance des plantations forestières Les contrats PP P prévoient : oconcession de Forêts Classées à un opérateur privé. o Gestion, puis exploitation des reboisements existants. o Réalisation de nouveaux reboisements privé ou public-privé.
31 Merci de votre attention LIGNAFRICA SERVICES Espace Fréjorgues Ouest, 60 rue Henri Fabre Mauguio Gd Montpellier France Tél : +33 (0) Fax : +33 (0) contact@lignafrica.com
RENCONTRES REGIONALES POUR L AVENIR DU BOIS EN BRETAGNE. Thématique : Projets d entreprise et accès aux financements
RENCONTRES REGIONALES POUR L AVENIR DU BOIS EN BRETAGNE Thématique : Projets d entreprise et accès aux financements Introduction: objectifs et cadre général (1/2) ATELIERS REGIONAUX THEMATIQUES Objectifs
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE
NOTE INTERNE DIRECTION DE L INTERNATIONAL ET DE L UNIVERSITE POLE AFRIQUE ET MEDITERRANEE DECEMBRE 2014 ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE Bpifrance accompagne le développement des entreprises
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailOn the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun
On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailProgramme Agroforesterie 2006/08. Groupe de Travail GT1
Mission DAR Année et N du projet : 2005 N 321 Programme Agroforesterie 2006/08 Groupe de Travail GT1 Outils d aide à la décision en agroforesterie Responsable de groupe : Christian Dupraz (INRA) R 1.2
Plus en détailProgramme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun. Le 5 novembre 2013
Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun Le 5 novembre 2013 Plan de la présentation 1. Contexte du Programme 2. Objectifs et méthode du Programme 3. Activités prévues dans
Plus en détail1ER CONGRÈS DES FORÊTS COMMUNALES D'AFRIQUE CENTRALE DU 03 AU 06 MAI 2011
1ER CONGRÈS DES FORÊTS COMMUNALES D'AFRIQUE CENTRALE DU 03 AU 06 MAI 2011 Jean Claude Stone Njomkap Département Recherche/ Développement des projets Secrétariat du RAFM jc.njomkap@africanmodelforests.org
Plus en détailDEVALUATION DU FRANC CFA ET EXPORTATIONS DES BOIS DES PAYS AFRICAINS DE LA ZONE FRANC
NOTES ET DOCUMENTS DEVALUATION DU FRANC CFA ET EXPORTATIONS DES BOIS DES PAYS AFRICAINS DE LA ZONE FRANC Jean BAKOUMA CREDES, Université de Nancy 2 et INRA-EPAF, Nancy Depuis la fin des années 90, l ampleur
Plus en détailFONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES
FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus
Plus en détailREDD-plus. Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques.
REDD-plus Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques novembre 2009 Programme de Conservation des Forêts Le mécanisme REDD-plus
Plus en détailLa production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone
La production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone Jessica François, Mathieu Fortin et Anthony Dufour Journées CAQI les 8 et 9 avril 2014, Gembloux,
Plus en détailMACHINES A BOIS FRANCAISES : Le Groupe FINEGA affirme son ambition
MACHINES A BOIS FRANCAISES : Le Groupe FINEGA affirme son ambition Avec les rachats des sites GILLET-RENNEPONT, MEM et des actifs de la société SEGEM intervenus au cours de l année 2013, le Groupe FINEGA
Plus en détailMichel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011
Présentation par Michel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011 STANDARD DE GESTION FORESTIÈRE FSC FOREST STANDARD SHIP COUNCIL Historique du FSC Créé en 1993 suite au Sommet de la terre de Rio
Plus en détailATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC
Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires
Plus en détailCERTIFICATION FORESTIERE FSC. Guide simplifié pour les différents acteurs
CERTIFICATION FORESTIERE FSC Guide simplifié pour les différents acteurs 1 Présentation de l équipe Réalisation: CIEFE: Centre International d Etudes Forestières et Environnementales (Cameroun) IMAFLORA:
Plus en détailConnaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détail7 SOURCES DE RENDEMENT Où placer son argent aujourd hui?
7 SOURCES DE RENDEMENT Où placer son argent aujourd hui? Que vous soyez investisseur, CGP ou CIF, cet ebook est pour vous! Face à la baisse des taux de rendement des Livrets A, des contrats d assurance
Plus en détailImpacts socioéconomiques des investissements chinois en Afrique : études de cas au Cameroun et au Gabon
Réunion de concertation du PFBC sur le dialogue avec la Chine Douala, 28 janvier 2013 Impacts socioéconomiques des investissements chinois en Afrique : études de cas au Cameroun et au Gabon Samuel Assembe
Plus en détailContinent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses
Tribune Paris, le 19 janvier 2015 Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses Par Gildas de Muizon (Directeur associé)
Plus en détailL implantation des banques marocaines en Afrique
L implantation des banques marocaines en Afrique L intégration de l économie marocaine à l économie mondiale est désormais une évidence qui fait l unanimité, le dynamisme de cette intégration a été rendu
Plus en détailEncouragement de l Investissement et mobilisation des compétences marocaines du Monde
Encouragement de l Investissement et mobilisation des compétences marocaines du Monde Marwan Berrada Chef du Service des études et de l action économique Ministère Chargé des Marocains Résidant à l Etranger
Plus en détailRéunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010
CEA-AN/AH/FD/10/3 Nations Unies Commission économique pour l Afrique Bureau pour l Afrique du Nord Réunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010 LE
Plus en détailPrésentation du nouveau programme de remboursement de taxes foncières. novembre 2014
Présentation du nouveau programme de remboursement de taxes foncières novembre 2014 Progamme de remboursement de taxes foncières 1. Contexte général; 2. Résumé de l ancien programme; 3. Présentation du
Plus en détailLe PROGRAMME ENVIRONEMENT D INTERPOL
Le PROGRAMME ENVIRONEMENT D INTERPOL INTERPOL Organisation International de Police Criminelle crée en 1923 siège a Lyon ( France).190 pays membres, 6 BR( Bureau Régional), 1 Bureau de liaison a Bangkok
Plus en détailRéseau Forêts et Commerce d Afrique Centrale (CAFTN) pour la Foresterie Responsable
Réseau Forêts et Commerce d Afrique Centrale (CAFTN) pour la Foresterie Responsable En quoi consiste le CAFTN? Cadre de partenariat avec les entreprises forestières dans le but de promouvoir la foresterie
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailTERANGA CAPITAL. Véhicule d investissement dédié aux TPE-PME du Sénégal. Présentation à l Atelier FIDA. 5 Décembre 2014.
TERANGA CAPITAL Véhicule d investissement dédié aux TPE-PME du Sénégal Présentation à l Atelier FIDA 5 Décembre 2014 Olivier Furdelle VISION, MISSION ET OBJECTIFS La vision de TERANGA CAPITAL est de soutenir
Plus en détailQuelques données : Domaines & Patrimoine. Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise. Membre de l ASFFOR.
1 2 Quelques données : Domaines & Patrimoine Membre de Adhérent à : l ASFFOR Membre de l ASFFOR Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise 10 11 salariés 7000 8 500 ha ha gérés 12 13 groupements
Plus en détailEVOLUTIONS RECENTES DU CONTRÔLE DE GESTION LOCAL. L exemple de Strasbourg
1 EVOLUTIONS RECENTES DU CONTRÔLE DE GESTION LOCAL L exemple de Strasbourg 2 Sommaire 1. Un contrôle de gestion historiquement tourné vers le contrôle des satellites 2. L essor du contrôle de gestion interne
Plus en détailEvaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood
Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)
Plus en détailSystème de suivi et de monitoring pour un projet foyers améliorés
Système de suivi et de monitoring pour un projet foyers améliorés Nathalie WEISMAN Conférence WACA - Ouagadougou, 24 Avril 2013 Quelques chiffres sur EcoAct Historique : 2005 Création d EcoAct 2006 Création
Plus en détailLa nécessité d une législation européenne contre le commerce de bois illégal et pour une utilisation durable des ressources forestières
La nécessité d une législation européenne contre le commerce de bois illégal et pour une utilisation durable des ressources forestières L exploitation illégale et abusive des forêts par l industrie forestière
Plus en détailRépublique de Turquie Ministère Des Forêts et Des Affaires D eaux La Direction Générale de la Lutte Contre la Désertification et L érosion
République de Turquie Ministère Des Forêts et Des Affaires D eaux La Direction Générale de la Lutte Contre la Désertification et L érosion Projet de développement des capacités des Pays les moins avancés
Plus en détailUn projet Bois Energie Citoyen?
Un projet Bois Energie Citoyen? Filière bois énergie : les attendus les entrants Filière usuelle : circuit long Filière d avenir : circuit court Chaîne de production d énergie thermique HQE : Analyse systèmique
Plus en détailLA BEI EN AFRIQUE DE L OUEST
LA BEI EN AFRIQUE DE L OUEST APPUI AU DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE BEI Bureau Régional Afrique de l Ouest Cotonou, 16 décembre 2014 1 1 La BEI Instruments et Conditions 2 Activité et portefeuille 3 Stratégie
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailENTREPRENEURS EN AFRIQUE
Entrepreneurs ENTREPRENEURS EN AFRIQUE Entrepreneurs Campus France Agence nationale qui a une double tutelle Ministère des affaires étrangères et du développement international Ministère de l éducation
Plus en détailDUXTON ASSET MANAGEMENT
DUXTON ASSET MANAGEMENT Afrique : Un élément clef dans un (ou environnement) agricole global et diversifié Point de vue des investisseurs sur les potentialités de l agriculture africaine et problèmes à
Plus en détailEtude de l importance économique et sociale du secteur forestier et faunique dans les Etats d Afrique Centrale
Résumé exécutif Etude de l importance économique et sociale du secteur forestier et faunique dans les Etats d Afrique Centrale Cas du Cameroun Richard Eba a Atyi, Guillaume Lescuyer et Jonas Ngouhouo Poufoun
Plus en détailAtelier Payer pour l environnement? Le mécanisme REDD+ et les PSE permettront-ils de s attaquer aux causes sous-jacentes de la déforestation?
Efficacité de REDD+ et le rôle des PSE Atelier Payer pour l environnement? Le mécanisme REDD+ et les PSE permettront-ils de s attaquer aux causes sous-jacentes de la déforestation? Thomas Sembres, Facilité
Plus en détailComment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude
Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau
Plus en détailPROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA (AMO) PHASE II 2013-2016 FINANCEMENT C2D
MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL MINISTERE DE L ELEVAGE, DES PÊCHES ET DES INDUSTRIES ANIMANES PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailMonaco s engage contre la déforestation
Compte rendu des deux réunions sur l élaboration de la Charte sur le Bois en Principauté Contexte des réunions Deux réunions de travail ont été organisées le jeudi 1 er juin et le mercredi 6 juin 2011
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailSOLIRA Solaire investissement local Rhône Alpes. Solaire investissement local Rhône Alpes
Solaire investissement local Pourquoi? Face aux menaces sur la planète : bouleversements climatiques, tensions autour des ressources, fin programmée des énergies fossiles, accroissement des risques nucléaires...
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailPRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC
PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailChristophe SANNIER christophe.sannier@sirs-fr.com
Systèmes d Information à Référence Spatiale Utilisation d un Estimateur de Régression avec des Données Landsat pour l Estimation de l Etendu et des Changements du Couvert Forestier du Gabon de 1990 à 2010
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détaildiffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique
les services d'orange pour l agriculture en Afrique ce catalogue a pour objectif d éclairer sur les méthodes développées par Orange pour améliorer la productivité dans le monde rural 2 sommaire 1 2 3 l'apport
Plus en détailPerte de superficies ayant fait l objet de traitements sylvicoles
OBJET : Perte de superficies ayant fait l objet de traitements sylvicoles Numéro de la politique : FMB 017 2006 Numéro du dossier : 836 00 0003 Date d entrée en vigueur : 1 er septembre 2006 Date de révision
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailTHEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE
RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse
Plus en détailLes facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux
Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle
Plus en détailTitle Dialogue HerePublic-Privé pour des Secteurs Spécifiques: L Industrie Agroalimentaire
Investment Climate l World Bank Group Title Dialogue HerePublic-Privé pour des Secteurs Spécifiques: L Industrie Agroalimentaire Nuts & Bolts Technical Guidance for Reform Implementation World Bank Group
Plus en détailAttijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance
Attijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance En bref : Président Directeur Général: Mohamed EL KETTANI Siège Social : 2. Bd Moulay Youssef - BP: 11141 20000 Casablanca - Maroc Capital:
Plus en détailSommaire. Présentation OXIA. Le déroulement d un projet d infogérance. L organisation du centre de service. La production dans un centre de service
Mars 2012 Sommaire Présentation OXIA Le déroulement d un projet d infogérance L organisation du centre de service La production dans un centre de service 2 Fournisseurs Technologies Banque & Finance Telecom
Plus en détailSEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES POTENTIEL AGRICOLE ASSURABLE ET PERSPECTIVES D EVOLUTION
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMNET RURAL SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES POTENTIEL AGRICOLE ASSURABLE ET PERSPECTIVES D EVOLUTION Communication
Plus en détailProgramme interreg Eco Fab. Rencontre avec Woodnet 28 juin 2011. Compte rendu réalisé par
Programme interreg Eco Fab Rencontre avec Woodnet 28 juin 2011 Compte rendu réalisé par Contexte : Le projet ECO FAB vise à créer un groupe de réflexion transmanche destiné à la création de réseaux thématiques
Plus en détailSEMINAIRE CASCADe. Du 17 au 21 novembre 2008 Cotonou, Bénin Rendez vous à 8h30, le lundi 17 novembre à l Hôtel du Lac, Rue de l'hôtel du Lac, Cotonou
Objectifs du séminaire SEMINAIRE CASCADe Le séminaire CASCADe de Cotonou a pour objectif principal de consolider l'expertise MDP et Marché Volontaire du Carbone au Bénin. Les objectifs finaux du séminaire
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS
ROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS Plan de Communication Opérationnel de l Agence du Bassin Hydraulique du Loukkos 1 PLAN 1. Analyse de l environnement 2. l environnement externe
Plus en détailProjet Nador West Med
ROYAUME DU MAROC Projet Nador West Med NOTE DE PRESENTATION SOMMAIRE Mai 2014 Sommaire EXECUTIVE SUMMARY 3 PARTIE I - PRESENTATION GENERALE DU PROJET NWM 5 1. Positionnement stratégique du Projet 2. Composantes
Plus en détailATELIER REGIONAL DEVELOPPEMENT DURABLE EN AFRIQUE CENTRALE. Yaoundé - CAMEROUN 22-24 Juillet 2014!
ATELIER REGIONAL DEVELOPPEMENT DURABLE EN AFRIQUE CENTRALE Yaoundé - CAMEROUN 22-24 Juillet 2014 Session 3.2 : Les financements CLIMATIQUES Lier l atténuation des effets des Changements Climatiques à la
Plus en détailGUIDE PRATIQUE des opérateurs privés. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT BOAD - Guide pratique GUIDE PRATIQUE DESTINE AUX OPERATEURS ECONOMIQUES PRIVES 1. PRESENTATION La Banque Ouest
Plus en détail1 Le chauffage des serres agricoles
1 Le chauffage des serres agricoles 1.1 Introduction Les serres offrent aux maraîchers et aux horticulteurs la possibilité de maîtriser le climat (température, humidité et lumière) et de produire, au moment
Plus en détail«Le point de vue d un opérateur eco citoyen»
Opérations photovoltaïques sur bâtiments publics «Le point de vue d un opérateur eco citoyen» Philippe VACHETTE, 6 mai 2010, LYON Energie Renouvelable Citoyenne Nos motivations Développer la production
Plus en détailExemple et réflexion sur l utilisation de données satellitaires
Exemple et réflexion sur l utilisation de données satellitaires Données Global Forest Change Détection des coupes rases non reboisées Importance et répartition des coupes définitives Le renouvellement
Plus en détailAtelier de réflexion et de validation du projet du système de veille/observatoire des réformes foncière et forestière au Cameroun
Atelier de réflexion et de validation du projet du système de veille/observatoire des réformes foncière et forestière au Cameroun AKONO du 30 au 31 Juillet 2015 Termes de Références Introduction Au Cameroun,
Plus en détailLA DEFENSE / SEINE ARCHE OIN LA DEFENSE
LA DEFENSE / SEINE ARCHE Le périmètre d intervention de l EPAD créé en 1958, est devenu périmètre d Opération d Intérêt National en 1983. Celui-ci a été scindé en deux le 19 décembre 2000 entre d une part
Plus en détailIMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT
IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT D ODIENNE (CECO) PRESENTATION DE MONSIEUR TOURE GAOUSSOU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE LA CAISSE D EPARGNE
Plus en détailMarchés immobiliers : conjoncture et perspectives
Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives CB Richard Ellis 16 septembre 2008 Contexte économique Environnement international o L économie mondiale tourne au ralenti (incertitudes financières, inflation,
Plus en détailQuelles sont les conditions sociales favorisant les stratégies d'intensification écologique? Petit tour d'horizon international...
Quelles sont les conditions sociales favorisant les stratégies d'intensification écologique? Petit tour d'horizon international... Véronique LUCAS Angers Entretiens de l'aei 29/10/2010 Mon regard particulier
Plus en détailPrincipales aides financières au Développement Export
Principales aides financières au Développement Export Retrouver en page 5 " L appui régional aux Projets Stratégiques d Entreprises" > Régionales Programme ASTREE / Aide Stratégique Régionale à l Entreprise
Plus en détailPlateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité
Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations
Plus en détailPÉRENNISER LA PERFORMANCE
PÉRENNISER LA PERFORMANCE La recherche de performance est aujourd hui au cœur des préoccupations des organisations : succession des plans de productivité et de profitabilité, plans de reprise d activités,
Plus en détail«La gestion externalisée des contrats et sinistres dans l industrie de l assurance»
«La gestion externalisée des contrats et sinistres dans l industrie de l assurance» FANAF 2014 Ouagadougou www.theoreme.fr Présentation Max de Font-Réaulx Président de la société Théorème (www.theoreme.fr)
Plus en détailLES DÉFIS DE L EXPANSION
LES DÉFIS DE L EXPANSION DU MONDE 49 e ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES ÉLEVEURS DE PORCS DU QUÉBEC JEAN-LOUIS ROY, 28 MAI 2015 L ESPACE AGRICOLE GLOBAL JEAN-LOUIS ROY, MAI 2015 Tous les pays du monde 1,35 milliards
Plus en détailL INVESTISSEMENT DES CABINETS D AVOCATS EN AFRIQUE
L INVESTISSEMENT DES CABINETS D AVOCATS EN AFRIQUE Dans un contexte de plus en plus mondialisé où la stratégie internationale prend une importance grandissante, l implantation sur le continent africain
Plus en détailPrésentation du stand de la CoVe à l occasion de la foire Saint-Siffrein
Présentation du stand de la CoVe à l occasion de la foire Saint-Siffrein Service Communication Samedi 24 novembre 2012 ! AGIR EN FAVEUR DU DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE L action en faveur du développement économique
Plus en détailMINISTÈRE DES EAUX ET FORÊTS. Le nouveau Code forestier ivoirien
REPUBLIQUE DE Côte d ivoire MINISTÈRE DES EAUX ET FORÊTS Le nouveau Code forestier ivoirien LOI N 2014-427 DU 14 JUILLET 2014 2 L ASSEMBLEE NATIONALE a adopté, LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE promulgue la
Plus en détail«La Fiscalité Forestière» FOGEFOR 15 novembre 2014. Ph. LADEN C.R.P.F. de Lorraine Alsace Aurélien HAAZ Expert Forestier
«La Fiscalité Forestière» FOGEFOR 15 novembre 2014 Ph. LADEN C.R.P.F. de Lorraine Alsace Aurélien HAAZ Expert Forestier Spécificités forestières : Phases d investissements lourdes et longues Risques (sanitaires,
Plus en détailOpérateur de projets de développement durable
Opérateur de projets de développement durable Octobre 2014 Aperçu du Groupe Planetic! Groupe d entreprises créé en 2009 à Paris 50 collaborateurs Filiales pays au Congo-B (2010) et au Maroc (2013) Filiale
Plus en détailPEFC Gestion durable des forêts. PEFC Belgium asbl Thomas Davreux 26 novembre 2014
PEFC Gestion durable des forêts PEFC Belgium asbl Thomas Davreux 26 novembre 2014 1 Agenda Origines de la certification forestière L organisation PEFC Le standard PEFC Certifications PEFC PEFC en Belgique
Plus en détailL affacturage en Afrique : Opportunités et défis
L affacturage en Afrique : Opportunités et défis Par B.O. Oramah Vice président (développement commercial et financement de projet d'entreprise) Banque Africaine d'import-export Présenté au séminaire 2014
Plus en détailALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L
ALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L OCCASION DE LA CEREMONIE DE REMISE DE DIPLÔMES Dakar,
Plus en détailQUATRIEME SESSION PLENIERE DE LA PLATEFORME DE PARTENARIAT PUBLIC-PARTENARIAT RAPPORT DE SYNTHESE DE LA SESSION PLENIERE
QUATRIEME SESSION PLENIERE DE LA PLATEFORME DE PARTENARIAT PUBLIC-PARTENARIAT 30 mars - 1 er avril 2015 ESPACE LATRILLE EVENTS, ABIDJAN RAPPORT DE SYNTHESE DE LA SESSION PLENIERE La 4 ème session plénière
Plus en détailRéseau de foresterie pour le développement rural
Réseau de foresterie pour le développement rural Réseau de foresterie pour le développement rural document du réseau 24e hiver 98/99 Conception de stratégies participatives pour les projets de foresterie
Plus en détail