QATAR. Relations commerciales de la Belgique avec le Qatar

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "QATAR. Relations commerciales de la Belgique avec le Qatar"

Transcription

1 QATAR Relations commerciales de la Belgique avec le Qatar

2 Francisco Anzola CC BY 2.0

3 TABLE DES MATIÈRES 1. LA POSITION DE LA BELGIQUE COMPARÉE À CELLE DES PAYS VOISINS ET DE L UE EXPORTATIONS IMPORTATIONS 5 2. LA POSITION DU QATAR COMPARÉE À CELLE DES PAYS VOISINS (2013) 6 3. RELATIONS COMMERCIALES BILATÉRALES ÉCHANGES DE MARCHANDISES Exportations Importations ÉVOLUTION GÉNÉRALE DE LA BALANCE COMMERCIALE DES BIENS À L ISSUE DES NEUF PREMIERS MOIS DE Exportations Importations ÉCHANGES DE SERVICES Exportations Importations ÉVOLUTION GÉNÉRALE DE LA BALANCE COMMERCIALE DES SERVICES À L ISSUE DES NEUF PREMIERS MOIS DE Exportations Importations INDICATEURS ÉCONOMIQUES DU QATAR NOTES MÉTHODOLOGIQUES CONCEPT INDICE DES PRIX À L IMPORTATION ET À L EXPORTATION SOURCES CONTACTS 22 3

4 QATAR RELATIONS COMMERCIALES DE LA BELGIQUE AVEC LE QATAR 1 LA POSITION DE LA BELGIQUE COMPARÉE À CELLE DES PAYS VOISINS ET DE L UE 1.1 EXPORTATIONS Les exportations européennes (EU-28) de marchandises à destination du Qatar se sont chiffrées à EUR 6,2 milliards en La Belgique représentait 2,6 % de celles-ci et se classait 8 e pays européen. Le Royaume-Uni s est emparé de la 1ère place avec 25,8 %, devant l Allemagne (20,1 %) et l Italie (17,5 %). Entre 2012 et 2013, alors que les ventes européennes à destination du Qatar ont progressé de 2,4 %, les ventes belges ont quant à elles reculé de 7,5 %. Les exportations du Royaume- Uni ont grimpé de 10,2 %, tandis que celles de l Allemagne et de l Italie ont augmenté de respectivement 6,5 % et 4,9 %. Les exportations belges vers le Qatar ont diminué en 2013 alors que la moyenne européenne a augmenté. Notre pays a donc perdu des parts de marché au Qatar. ÉVOLUTION DES EXPORTATIONS À DESTINATION DU QATAR EN MILLIONS DE VARIATION EN % PART EN % 1. ROYAUME-UNI 1.441, ,9 10,2 25,8 2. ALLEMAGNE 1.160, ,4 6,5 20,1 3. ITALIE 1.025, ,2 4,9 17,5 8. BELGIQUE 170,9 158,0-7,5 2,6 TOTAL EU , ,2 2,4 100,0 Oyoyoy, Flickr.com, CC BY-SA 2.0 4

5 1.2 IMPORTATIONS Les importations européennes (EU-28) en provenance du Qatar se sont chiffrées à EUR 9,2 milliards en La Belgique représentait 14,1 % de ces importations et se classait 3 e pays européen. La première place était occupée par le Royaume-Uni avec 28,2 %, suivi par l Italie (20,0 %). Les achats européens en provenance du Qatar ont diminué de 11,2 % entre 2012 et 2013, alors que les exportations belges ont reculé de 4,7 %. Les importations du Royaume-Uni ont quant à elles baissé de 24,9 % et celles de l Italie de 22,3 %. Les importations belges de marchandises ont reculé moins fortement que la moyenne européenne. Notre part de marché a donc progressé en ÉVOLUTION DES IMPORTATIONS EN PROVENANCE DU QATAR EN MILLIONS DE VARIATION EN % PART EN % 1. ROYAUME-UNI 3.440, ,4-24,9 28,2 2. ITALIE 2.359, ,4-22,3 20,0 3. BELGIQUE 1.355, ,1-4,7 14,1 TOTAL EU , ,8-11,2 100,0 5

6 QATAR RELATIONS COMMERCIALES DE LA BELGIQUE AVEC LE QATAR 2 LA POSITION DU QATAR COMPARÉE À CELLE DES PAYS VOISINS (2013) CLIENT > EXPORTATIONS AU DÉPART DE LA BELGIQUE FOURNISSEUR > IMPORTATIONS À DESTINATION DE LA BELGIQUE ARABIE SAOUDITE 29 E CLIENT EUR 1.826,8 millions 30 E FOURNISSEUR EUR 1.487,8 millions QATAR 88 E CLIENT EUR 158,0 millions 35 E FOURNISSEUR EUR 1.291,1 millions BAHREÏN 108 E CLIENT EUR 65,6 millions 72 E FOURNISSEUR EUR 193,8 millions Le fichier des exportateurs de l Agence pour le Commerce extérieur, qui compte plus de sociétés, recense entreprises belges exportant vers le Qatar. On dénombre en outre entreprises manifestant des signes d intérêt pour ce marché. De plus amples renseignements à ce propos peuvent être obtenus auprès de Mme. I. Delvoy, tel.: ; ingrid.delvoy@abh-ace.be. 6

7 Oyoyoy, Flickr.com, CC BY 2.0 7

8 QATAR RELATIONS COMMERCIALES DE LA BELGIQUE AVEC LE QATAR 3 RELATIONS COMMERCIALES BILATÉRALES 3.1 ÉCHANGES DE MARCHANDISES En 2013, le Qatar a été le 88 e client en importance de la Belgique, après le Koweït, mais devant Malte. Les exportations belges à destination du Qatar se sont chiffrées à EUR 158,0 millions en 2013 contre EUR 170,9 millions en 2012, soit une régression de 7,5 %. Le Qatar s est classé en 2013 comme le 35 e fournisseur de la Belgique, derrière la Thaïlande et devant la Hongrie. Les importations belges en provenance du Qatar ont régressé de 4,7 %, de EUR 1.335,0 millions en 2012 à EUR 1.291,1 millions en La part du pays dans les importations belges totales a atteint 0,4 %. L évolution des relations commerciales entre la Belgique et le Qatar durant la période est présentée ci-dessous. ÉVOLUTION DES ÉCHANGES DE MARCHANDISES DE LA BELGIQUE AVEC LE QATAR EN MILLIONS DE EXPORTATIONS 340,3 205,7 163,0 170,9 158,0 IMPORTATIONS 1.194, , , , ,1 BALANCE COMMERCIALE -854, , , , ,1 EXPORTATIONS : VARIATION EN % 5,3-39,6-20,7 4,8-7,5 IMPORTATIONS : VARIATION EN % 18,4 9,6 21,6-14,9-4,7 La balance commerciale avec le Qatar est tradionnellement négative et affichait en 2009 un déficit de EUR 854,4 millions. Celuici s est creusé en 2011 et en 2012, atteignant respectivement EUR ,7 millions et EUR ,5 millions. Il s est ensuite allégé en 2012 à ,1 millions. Cette année-là, les exportations ont augmenté tandis que les importations ont baissé. Vu que les achats ont reculé plus que les ventes en 2013, le déficit s est allégé pour atteindre EUR ,1 millions. 8

9 VARIATION DES EXPORTATIONS ET DES IMPORTATIONS (EN VALEUR) 18,4% 21,6% EXPORTATIONS IMPORTATIONS 5,3% 9,6% 4,8% -4,7% -20,7% -14,9% -7,5% -39,6% Le graphique ci-dessus montre que les importations belges en provenance du Qatar ont augmenté de 18,4 % en Après un ralentissement de croissance à 9,6 % en 2012, une dernière augmentation a été observée en 2011 (+21,6 %). Cette progression était due principalement aux achats croissants de produits minéraux. La diminution des importations de cette section de marchandises en 2012 et 2013 a entraîné une chute des importations globales belges en provenance du Qatar au cours des deux dernières années, de respectivement 14,9 % et 4,7 %. Les exportations belges vers le Qatar ont quant à elles été sujettes à de nombreuses variations ces dernières années. Après une hausse de 5,3 % en 2009, elles ont diminué de 39,6 % en 2010, suite à la crise mondiale économique et financière. Elles ont subi une nouvelle chute de 20,7 % en 2011 et ont renoué avec la croissance en 2012 (+4,8 %). Cette recrudescence reste un fait isolé, les exportations ayant à nouveau diminué de 7,5 % en

10 QATAR RELATIONS COMMERCIALES DE LA BELGIQUE AVEC LE QATAR EXPORTATIONS Les exportations belges à destination du Qatar sont composées pour plus d un quart de produits chimiques. Avec un total de EUR 46,6 millions, ce groupe de produits représentait 29,5 % des exportations. Les ventes concernaient principalement les vaccins humains et les médicaments constitués de produits mélangés entre eux ou non, préparés à des fins thérapeutiques ou prophylactiques. Les machines et appareils (principalement les sous-sections fils, câbles et autres conducteurs électriques et pompes à air ou à vide, compresseurs d air ou d autres gaz et ventilateurs ) représentaient une part de 24,5 % des exportations totales, soit un montant de EUR 38,7 millions. Les instruments d optique complètent le podium avec une part de 11,2 %, équivalant à un montant de EUR 17,7 millions. Les autres sections d exportation présentant une part supérieure à 5 % étaient : les matières plastiques : EUR 9,3 millions, soit une part de 5,9 % ; les produits alimentaires : EUR 8,7 millions, soit une part de 5,5 % ; le matériel de transport : EUR 8,3 millions, soit une part de 5,2 % et les métaux non précieux : EUR 8,2 millions, soit une part de 5,2 %. LES EXPORTATIONS BELGES (EN %) À DESTINATION DU QATAR, CLASSÉES PAR PRINCIPAUX GROUPES DE PRODUITS (EN VALEUR -2013) 1,6% 1,7% 5,2% 5,2% 9,7% 29,5% PRODUITS CHIMIQUES MACHINES ET APPAREILS INSTRUMENTS D OPTIQUE MATIÈRES PLASTIQUES 5,5% PRODUITS ALIMENTAIRES 5,9% 11,2% 24,5% MATÉRIEL DE TRANSPORT MÉTAUX NON PRÉCIEUX OUVRAGES EN PIERRE, PLÂTRE, CIMENT PRODUITS DU RÈGNE VÉGÉTAL AUTRE 10

11 VARIATION DES EXPORTATIONS BELGES À DESTINATION DU QATAR CLASSÉES PAR PRINCIPAUX GROUPES DE PRODUITS (EN VALEUR ET EN QUANTITÉ) 2012/ ,2% Produits chimiques -32,2% Machines et appareils 119,2% Instruments d'optique -27,3% Matières plastiques 25,8% Produits alimentaires -51,5% -30,0% Matériel de transport Métaux non précieux 52,8% Ouvrages en piere, plâtre, ciment -45,6% -7,7% Produits du règne végétal Biens non classés VALEUR QUANTITÉ Parmi les 10 sections de produits les plus importantes, celle des instruments d optique a enregistré la progression la plus forte. Les ventes de cette section, qui consistaient principalement en instruments et appareils pour la médecine, la chirurgie, l art dentaire et l art vétérinaire et articles et appareils orthopédiques, ont augmenté de 119,2 % en 2013, en valeur. La progression des quantités nettement plus forte que celle des valeurs signifie une baisse du prix unitaire. La valeur des produits chimiques, le groupe de produits le plus important, a progressé de 56,2 % en 2013, après une chute de 29,1 % en D autres progressions sont à mettre à l actif des produits alimentaires et des ouvrages en pierre, en plâtre et en ciment. Les ventes de ces deux sections ont crû de 25,8 % et 52,8 % respectivement. Le net recul du matériel de transport (- 51,5 %) était principalement dû aux exportations, moins importantes dans les sous-sections automobiles et autres véhicules à moteur principalement conçus pour le transport de personnes, tracteurs et parties et accessoires de véhicules à moteur. Les autres diminutions variaient de -7,7 % (produits végétaux) à -45,6 % (autres marchandises non classées). En 2013, les exportations de 6 des 10 sections principales ont baissé, ce qui explique la diminution globale des exportations belges vers le Qatar (- 7,5 %). 11

12 QATAR RELATIONS COMMERCIALES DE LA BELGIQUE AVEC LE QATAR IMPORTATIONS En 2013, les produits minéraux représentaient une part de 77,3 % dans les importations belges vers le Qatar. Les achats de cette section, qui consistent principalement en gaz de pétrole et autres hydrocarbures gazeux ont atteint cette année EUR 998,1 millions. Deux autres sections représentaient une part supérieure à 1 % : les matières plastiques (sous-section principale : polymères de l éthylène, sous formes primaires ), qui atteignent en 2013 EUR 161,7 millions, soit 12,5 % des importations totales de marchandises et les produits chimiques (sous-sections principales) qui représentaient EUR 129,1 millions, soit une part de 10,0 % dans les importations belges depuis le Qatar. LES IMPORTATIONS BELGES (EN %) EN PROVENANCE DU QATAR, CLASSÉES PAR PRINCIPAUX GROUPES DE PRODUITS (EN VALEUR- 2013) 0,2% 12,5% 10,0% 77,3% PRODUITS MINÉRAUX MATIÈRES PLASTIQUES PRODUITS CHIMIQUES AUTRES 12

13 VARIATION DES IMPORTATIONS BELGES EN PROVENANCE DU QATAR CLASSÉES PAR PRINCIPAUX GROUPES DE PRODUITS 2012/2013 (EN VALEUR ET EN QUANTITÉ) -11,8% Produits minéraux 45,5% Matières plastiques 16,0% Produits chimiques VALEUR QUANTITÉ La diminution de 4,7 % des importations totales belges de marchandises depuis le Qatar en 2013 est avant tout due à la faible prestation de sa section principale, les produits minéraux. Les achats de ce groupe de produits ont chuté de 11,8 %, après un déclin de 20,3 % l année précédente. La valeur des produits chimiques, enfin, a progressé de 16,0 %. L année précédente, sa croissance était de 29,0 %. Cette évolution est le résultat des importations accrues des soussections engrais minéraux ou chimiques azotés et hydrocarbures cycliques. La valeur des matières plastiques, la 2 e section la plus importante, a par contre augmenté de 45,5 % en 2013, après une croissance de 30,8 % en

14 QATAR RELATIONS COMMERCIALES DE LA BELGIQUE AVEC LE QATAR 3.2 ÉVOLUTION GÉNÉRALE DE LA BALANCE DES BIENS À L ISSUE DES NEUF PREMIERS MOIS DE EXPORTATIONS Les exportations belges à destination du Qatar se sont chiffrées au terme des 9 premiers mois de 2014 à EUR 143,4 millions, soit un bond de 35,6 % comparé à la même période en Au terme de la période sous revue, la section des machines et appareils garde la première place avec EUR 42,7 millions soit une part de 29,8 %. Les exportations de ce groupe de produits ont bondi de 54,4 %. Avec une part de 18,0 %, les produits chimiques reculent sur la 2 e marche du podium. Cette section a représenté EUR 25,7 millions, soit une croissance de 22,2 % par rapport à la même période de l année précédente. Avec EUR 15,1 millions, le matériel de transport a complété le top 3 en 2014 (9 premiers mois). Grâce à une hausse de 126,3 %, les exportations de cette section ont représenté une part de 10,5 % IMPORTATIONS Selon les données disponibles pour 2014 (9 premiers mois), les importations belges en provenance du Qatar se sont chiffrées à EUR 736,9 millions, contre EUR 922,0 millions en 2013, soit une diminution de 20,1 %. La section des produits minéraux a confirmé sa première place avec une part de 80,9 %. Les importations de cette section ont diminué de 16,3 % par rapport à 2013 à EUR 596,1 millions. Les produits chimiques ont occupé la deuxième place avec une part de 9,8 %. Entre 2013 et 2014 (9 premiers mois), les importations de cette section ont baissé de 29,8 %. Les matières plastiques s emparent de la 3 e place, avec une part de 9,2 %. Les achats de ce groupe de produits ont reculé de 36,2 % pour atteindre EUR 67,5 millions. 14

15 3.3 ÉCHANGES DE SERVICES En 2013, les exportations belges de services vers le Qatar ont représenté EUR 188,7 millions, soit 0,2 % du total des exportations belges de services. Le pays est le 38 e client de la Belgique, se classant entre la Corée du Sud et la Slovaquie. Les exportations belges de services ont augmenté de 1,9 % par rapport à Les importations belges de services en provenance du Qatar ont totalisé quant à elles EUR 63,3 millions, soit une progression de non moins de 126,7 % par rapport à Avec une part de 0,1 % du total des importations belges de services, le Qatar a été en 2013 le 60 e fournisseur de services de la Belgique, derrière le Kenya, mais devant l Ethiopie. L évolution des échanges de services entre la Belgique et le Qatar pour la période est présentée ci-dessous. ÉVOLUTION DES ÉCHANGES DE SERVICES DE LA BELGIQUE AVEC LE QATAR EN MILLIERS DE EXPORTATIONS IMPORTATIONS BALANCE COMMERCIALE EXPORTATIONS : VARIATION EN % 112,4 27,1 1,9 IMPORTATIONS : VARIATION EN % 93,3-1,2 126,7 La balance commerciale des services avec le Qatar a toujours penché en faveur de la Belgique, grâce à la supériorité des exportations face aux importations. Le surplus de la balance des services, qui atteignait EUR 117,4 millions en 2011, s est élargi en 2012 jusqu à EUR 157,2 millions. Cette annéelà, les exportations ont augmenté, au contraire des importations qui ont fléchi. En 2013, les importations ont progressé de manière plus significative que les exportations, ce qui a réduit le solde de la balance à EUR 125,4 millions. La situation favorable de la période contraste avec la balance commerciale des biens, qui était négative pour notre pays ces dernières années. 15

16 QATAR RELATIONS COMMERCIALES DE LA BELGIQUE AVEC LE QATAR Someformofhuman EXPORTATIONS Avec une part de 46,7 %, le transport a devancé les autres types de services à l exportation. Les autres services liés au commerce ont suivi, avec une part de 27,9 %. Ce groupe de services comprend entre autres services de négoce international, services de locationexploitation, services juridiques, de comptabilité, de conseil en gestion et de relations publiques, audit, comptabilité et fiscalité, ainsi que services de publicité, d études de marché et de sondages d opinion. Les communications, enfin, s emparent de la 3 e place avec une part de 16,4 %. En 2013, les progressions les plus significatives ont été enregistrées par les services de communication. Les exportations de cette rubrique ont grimpé de EUR 20,0 millions en 2012 à EUR 30,9 millions en 2013, soit une croissance de 54,5 %. Les autres services liés au commerce (+12,5 %) et le trafic touristique (+19,6 %) étaient les deux autres sections du top 5 à enregistrer des progressions de leurs exportations. L augmentation des trois sections précitées et des autres services s est avérée juste suffisante pour compenser le recul des services de transport (-4,9 %) et de construction (-61,5 %). Par conséquent, les exportations totales de services belges vers le Qatar ont progressé de 1,9% en LES EXPORTATIONS BELGES À DESTINATION DU QATAR, CLASSÉES PAR PRINCIPAUX GROUPES DE SERVICES EN MILLIERS DE PART (EN %) 2013/2012 VAR. (EN %) TRANSPORT ,7-4,9 AUTRES SERVICES LIÉS AU COMMERCE ,9 12,5 COMMUNICATIONS ,4 54,5 CONSTRUCTION ,5-61,5 TRAFIC TOURISTIQUE ,0 19,6 SERVICES RESTANTS ,5 24,6 TOTAL ,0 1,9 16

17 3.3.2 IMPORTATIONS Avec une part de 75,0 %, le transport a largement devancé les autres types de services à l importation. Cette catégorie comprend entre autres les transports maritimes, aérien, ferroviaire, routier et fluvial. Les services de communication et le trafic touristique se sont partagé la 2 e et la 3 e place avec des parts respectives de 16,2 % et 3,8 %. La forte croissance des services de transport (+214,0 %) et l importance de cette section ont permis aux importations belges de services vers le Qatar de progresser de 126,7 % en Les autres sections du top 5 ayant enregistré une croissance sont les services de communications (+46,9 %) et les autres services liés au commerce (+5,1 %). La baisse du trafic touristique et de la construction, de respectivement 10,1 % et 37,5 %, ont seulement et une influence très limitée sur le résultat global. LES IMPORTATIONS BELGES EN PROVENANCE DU QATAR, CLASSÉES PAR PRINCIPAUX GROUPES DE SERVICES EN MILLIERS DE PART (EN %) 2013/2012 VAR. (EN %) TRANSPORT ,0 214,0 COMMUNICATIONS ,2 46,9 TRAFIC TOURISTIQUE ,8-10,1 AUTRES SERVICES LIÉS AU COMMERCE ,8 5,1 CONSTRUCTION ,1-37,5 SERVICES RESTANTS ,1 36,1 TOTAL ,0 126,7 17

18 QATAR RELATIONS COMMERCIALES DE LA BELGIQUE AVEC LE QATAR 3.4 ÉVOLUTION GÉNÉRALE DE LA BALANCE DES SERVICES À L ISSUE DES NEUF PREMIERS MOIS DE EXPORTATIONS Les exportations belges de services à destination du Qatar se sont chiffrées à l issue des 9 premiers mois de 2014 à EUR 152,0 millions, soit une augmentation de 1,5 % comparativement à 2013 (même période). A l issue des neuf premiers mois de 2014, les exportations de la section transports ont diminué de 10,0 %. Les services de ce groupe représentent une part de 38,7 %, soit EUR 58,8 millions. Les autres services liés au commerce s emparent de la 2 e place avec une part de 30,7 %. Cette section a généré un montant de EUR 46,7 millions. Les exportations ont connu au terme des neuf premiers mois de 2014 une croissance de 32,3 %. Avec EUR 18,6 millions, les services de communication compètent le top 3. Leurs exportations ont reculé de 20,8 % et représenté une part de 12,3 % IMPORTATIONS Selon les données disponibles pour 2014 (9 premiers mois), les importations de services en provenance du Qatar s élevaient à EUR 38,1 millions, soit une diminution de 15,1 % par rapport à 2013 (EUR 44,9 millions). Au terme des neuf premiers mois de 2014, la section transports conserve sa place de leader avec une part de 62,5 % et un montant de EUR 23,8 millions (-25,3 %). Les communications se classent 2 e avec une part de 13,3 % et une valeur de EUR 5,1 millions. Leurs importations ont reculé de 38,5 %. Les autres services liés au commerce accrochent la 3 e place avec 11,1 %. Les achats de ce groupe de services ont évolué de 358,5 % à EUR 4,2 millions. Spetsnaz1991 CC BY

19 4 INDICATEURS ÉCONOMIQUES DU QATAR PRINCIPAUX INDICATEURS (ESTIMATIONS ) PIB AUX PRIX DU MARCHÉ 213,1 milliards USD TAUX DE CROISSANCE DU PIB 5,5 % INFLATION 3,1 % EXPORTATIONS DE BIENS (FOB) IMPORTATIONS DE BIENS (FOB) BALANCE COMMERCIALE (FOB) POPULATION 12,7 milliards USD 39,6 milliards USD -26,9 milliards USD 2,1 millions CHÔMAGE 0,3 % PRINCIPAUX CLIENTS EN % DU TOTAL PRINCIPAUX FOURNISSEURS EN % DU TOTAL JAPON 26,7 ETATS-UNIS 14,2 CORÉE DU SUD 19,0 E.A.U. 11,1 INDE 12,1 ARABIE SAOUDITE 8,6 SINGAPOUR 5,7 ROYAUME-UNI 6,4 PRINCIPAUX PRODUITS EXPORTÉS GAZ NATUREL PRODUITS PÉTROLIERS ENGRAIS PRINCIPAUX PRODUITS IMPORTÉS MACHINES ET MATÉRIEL DE TRANSPORT BIENS ALIMENTAIRES PRODUITS CHIMIQUES Source: Viewswire 19

20 QATAR RELATIONS COMMERCIALES DE LA BELGIQUE AVEC LE QATAR 5 NOTES MÉTHODOLOGIQUES 5.1 CONCEPTS Deux concepts peuvent être utilisés pour l agrégation des statistiques sur le commerce de marchandises : le concept national et le concept communautaire. L Agence pour le Commerce extérieur utilise les données de type concept communautaire car c est celui utilisé par Eurostat. Les statistiques ainsi fournies sont comparables aux données des autres pays européens ainsi qu aux publications de l Union européenne. La définition de chacun des concepts est donnée ci-dessous : LE CONCEPT NATIONAL Dans le but notamment d assurer la cohérence entre, d une part, les chiffres du commerce extérieur et, d autre part, ceux de la balance des paiements et des comptes nationaux, la plupart des statistiques du commerce extérieur sont établies selon le concept national. Ce concept diffère à plusieurs titres du concept communautaire. L une des principales différences réside dans le fait que les données selon le concept national ne tiennent pas compte des opérations à l importation et à l exportation réalisées par des non-résidents assujettis à la TVA en Belgique et dans lesquelles aucun résident n intervient. Les opérations suivies de retours de marchandises ne sont pas non plus prises en compte. LE CONCEPT COMMUNAUTAIRE Les exportations extracommunautaires et expéditions intracommunautaires comprennent toutes les marchandises qui quittent la Belgique avec une destination définitive, en ce compris celles préalablement mises en libre pratique et ensuite expédiées vers un autre État membre pour mise en consommation. Toutes les marchandises en rapport avec le perfectionnement actif et passif (exportations temporaires et réexportations) sont aussi prises en compte. Les importations extracommunautaires et arrivées intracommunautaires comprennent toutes les marchandises qui entrent en Belgique pour mise en consommation, ainsi que celles qui sont seulement mises en libre pratique. Toutes les marchandises en rapport avec le perfectionnement actif et passif (importations temporaires et réimportations), en ce compris les sorties d entrepôt pour importation (mais non les entrées en entrepôt) sont prises en compte. 20

21 5.2 INDICE DES PRIX À L IMPORTATION ET À L EXPORTATION Le tableau ci-dessous présente l évolution de l indice du prix unitaire des marchandises à l importation et l exportation pour la Belgique (avec le monde). Cet indice permet d analyser l évolution générale du prix des marchandises. Cela permet donc une mise en perspective de l évolution globale des importations et des exportations de la Belgique, en identifiant la part qui est due à l évolution des prix (et donc la part qui est due à l évolution des quantités). Il s interprète comme suit : en moyenne, si un produit avait une valeur de EUR 100 à l exportation en 2010, ce même produit avait une valeur de EUR 108,5 en De façon similaire, si un produit avait une valeur de EUR 100 à l importation en 2010, ce même produit avait une valeur à l importation de EUR 110,6 en INDICE DU PRIX UNITAIRE DES EXPORTATIONS ET DES IMPORTATIONS BELGES TOTALES (2010=100) EXPORTATIONS IMPORTATIONS ,9 81, ,4 83, ,2 81, ,1 80, ,4 82, ,0 88, ,4 92, ,7 93, ,6 100, ,0 92, ,0 100, ,9 108, ,3 111, ,5 110,6 Source : Eurostat 21

22 QATAR RELATIONS COMMERCIALES DE LA BELGIQUE AVEC LE QATAR 6 SOURCES Banque Mondiale Banque Nationale de Belgique CIA World Factbook Direction Générale Commerce, Commission Européenne Eurostat, Commission Européenne Credendo Group Organisation Mondiale du Commerce 7 CONTACTS SERVICE STATISTIQUES Christelle Charlier Directeur christelle.charlier@abh-ace.be Sammy Sioen Gestionnaire statistiques sammy.sioen@abh-ace.be Dennis Gijsbrechts Gestionnaire statistiques dennis.gijsbrechts@abh-ace.be David Leffler Assistant david.leffler@abh-ace.be 22

23 Francisco Anzola CC BY 2.0

24 Agence pour le Commerce extérieur Rue Montoyer Bruxelles Agence Wallonne à l Exportation et aux Investissements étrangers Place Sainctelette Bruxelles Bruxelles Invest & Export Avenue Louise 500, boîte Bruxelles Flanders Investment and Trade Boulevard du Roi Albert II, Bruxelles Bien que tout ait été mis en oeuvre afin de fournir une information précise et à jour, ni l Agence pour le Commerce extérieur, ni ses partenaires (Agence wallonne à l Exportation et aux Investissements étrangers, Bruxelles Invest & Export et Flanders Investment & Trade) ne peuvent être tenus responsables d erreurs, d omissions et de déclarations mensongères. Ils ne peuvent non plus être tenus responsables d utilisation ou d interprétation des informations contenues dans cette étude, qui ne vise pas à délivrer des conseils. DATE DE PUBLICATION: JANVIER 2015 ÉDITEUR: MARC BOGAERTS AUTEUR: SAMMY SIOEN GRAPHISME ET RÉALISATION: CIBLE COMMUNICATION ( IMPRIMÉ SUR DU PAPIER CERTIFIÉ FSC CETTE ÉTUDE EST ÉGALEMENT DISPONIBLE SUR LE SITE INTERNET DE L AGENCE POUR LE COMMERCE EXTÉRIEUR: REPRODUCTION AUTORISÉE MOYENNANT MENTION DE LA SOURCE

GHANA. Les relations commerciales de la Belgique avec le

GHANA. Les relations commerciales de la Belgique avec le Les relations commerciales de la Belgique avec le GHANA Cette note est également disponible sur le site internet de l Agence pour le Commerce extérieur : www.abh-ace.be P a g e 1 TABLE DES MATIÈRES 1 La

Plus en détail

Notice méthodologique

Notice méthodologique Version intégrale Notice méthodologique 1. Base 1.1 Publications La Banque nationale de Belgique (BNB) publie, pour le compte de l Institut des comptes nationaux (ICN), les statistiques du commerce extérieur

Plus en détail

Le commerce extérieur de la Suisse en 2013

Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l

Plus en détail

Institut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2015-01

Institut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2015-01 Institut des comptes nationaux Statistique du commerce extérieur Bulletin mensuel 2015-01 Contenu de la publication Les règlements européens cités dans la notice méthodologique en fin de publication prescrivent

Plus en détail

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale) 55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États

Plus en détail

Le marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013

Le marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale

Plus en détail

Institut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2012-12

Institut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2012-12 Institut des comptes nationaux Statistique du commerce extérieur Bulletin mensuel 2012-12 Contenu de la publication Les règlements européens cités dans la notice méthodologique en fin de publication prescrivent

Plus en détail

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1 Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada

Plus en détail

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,

Plus en détail

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011 BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats

Plus en détail

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Institut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2013-04

Institut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2013-04 Institut des comptes nationaux Statistique du commerce extérieur Bulletin mensuel 2013-04 Contenu de la publication Les règlements européens cités dans la notice méthodologique en fin de publication prescrivent

Plus en détail

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005. Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs

Plus en détail

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun)

LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun) LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun) Afin de faciliter l application du tarif extérieur commun (application des mêmes droits de douane quelque soit le point d entrée de la marchandise sur

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

L Épargne des chinois

L Épargne des chinois L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48

Plus en détail

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

BASE DE DONNEES - MONDE

BASE DE DONNEES - MONDE BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar

Plus en détail

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre

Plus en détail

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît

Plus en détail

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

Chapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont :

Chapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont : I) La chaine logistique internationale. A. Le concept de logistique. Chapitre 2 : La logistique. Les activités de logistique et de transport permettent de gérer l ensemble des flux de matières et de produits,

Plus en détail

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données

Plus en détail

FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE

FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE - Occasions d affaires et secteurs d intérêt - Chambre canadienne allemande de l industrie et du commerce à Montréal Montréal 24

Plus en détail

Réduction d impôts pour l achat d un véhicule électrique

Réduction d impôts pour l achat d un véhicule électrique L UNION FAIT LA FORCE Réduction d impôts pour l achat d un véhicule électrique et/ou pour l installation d une borne de rechargement Revenus 2010 et 2011 (exercices d imposition 2011 et 2012) Mesures applicables

Plus en détail

INVESTIR EN FRANCE s 2015 mar Réalisation :

INVESTIR EN FRANCE s 2015 mar Réalisation : INVESTIR EN FRANCE LA FRANCE RÉUNIT TOUTES LES CONDITIONS DE SUCCÈS POUR VOTRE INVESTISSEMENT Une grande économie au cœur de l Europe, une porte d accès vers la Méditerranée et l Afrique : 5 e économie

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES

ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE

Plus en détail

Ordonnance sur la statistique du commerce extérieur

Ordonnance sur la statistique du commerce extérieur Ordonnance sur la statistique du commerce extérieur 632.14 du 12 octobre 2011 (Etat le 1 er janvier 2012) Le Conseil fédéral suisse, vu l art. 15, al. 1, de la loi du 9 octobre 1986 sur le tarif des douanes

Plus en détail

Lecture commentée du rapport 2004 de la Banque Nationale

Lecture commentée du rapport 2004 de la Banque Nationale Fondation Travail-Université Chaussée de Haecht, 579 1030 - BRUXELLES PG/BL/B.1.4./04052005/05.035. Lecture commentée du rapport 2004 de la Banque Nationale François MARTOU 1. L environnement international

Plus en détail

Réunion d actionnaires Investir. Paris, 02 juillet 2015

Réunion d actionnaires Investir. Paris, 02 juillet 2015 Réunion d actionnaires Investir Paris, 02 juillet 2015 CHIFFRES CLÉS DU GROUPE BIC 1 979,1 M de chiffre d affaires en 2014 Plus de 10 milliards d unités vendues en 2014 17 438 employés* Plus de 4 millions

Plus en détail

Investissement étranger à la Bourse de Casablanca

Investissement étranger à la Bourse de Casablanca Investissement étranger à la Bourse de Casablanca Juin 2014 Page 1 898 SYNTHESE En 2013, le nombre des investisseurs étrangers en actions cotées à la Bourse de Casablanca a enregistré une hausse ; il est

Plus en détail

Présentation Macro-économique. Mai 2013

Présentation Macro-économique. Mai 2013 Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%

Plus en détail

TD n 1 : la Balance des Paiements

TD n 1 : la Balance des Paiements TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.

Plus en détail

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues

Plus en détail

La balance des paiements et la position

La balance des paiements et la position La balance des paiements et la position extérieure globale selon le BPM6 1. Introduction La balance des paiements de la Belgique est l état statistique qui récapitule de façon systématique les transactions

Plus en détail

Exercice d imposition 2013 - Revenus 2012

Exercice d imposition 2013 - Revenus 2012 L UNION FAIT LA FORCE Service Public Fédéral FINANCES LA DEDUCTION D INTERET NOTIONNEL: un incitant fiscal belge novateur Exercice d imposition 2013 - Revenus 2012 www.invest.belgium.be 2 Contenu 4 De

Plus en détail

la voie bilatérale reste la meilleure option

la voie bilatérale reste la meilleure option WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire

Plus en détail

Crédit hypothécaire : croissance durable

Crédit hypothécaire : croissance durable Union Professionnelle du Crédit Communiqué de presse Crédit hypothécaire : croissance durable Bruxelles, le 6 mai 2011 Au cours du premier trimestre de 2011, 24 % de crédits hypothécaires de plus ont été

Plus en détail

Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011

Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 366 Novembre 2012 Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2011, le prix du gaz a augmenté dans tous

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1. Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie

Plus en détail

Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux

Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux 7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour

Plus en détail

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à :

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à : Le Manitoba en bref Le Manitoba : Province du Canada depuis 1870. Manitoba signifie «lieu où vit l Esprit» dans les langues des peuples autochtones de la province. Chef politique : Premier ministre (Greg

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

oobservatoire du numérique OBSERVATOIRE DU NUMÉRIQUE CHIFFRES CLÉS MAI 2014

oobservatoire du numérique OBSERVATOIRE DU NUMÉRIQUE CHIFFRES CLÉS MAI 2014 oobservatoire du numérique OBSERVATOIRE DU NUMÉRIQUE CHIFFRES CLÉS MAI 2014 oobservatoire du numérique USAGES DES TIC - ENTREPRISES ÉQUIPEMENT NUMÉRIQUE Utilisation des TIC en 2013 des entreprises France

Plus en détail

Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions

Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions 27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que

Plus en détail

Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE

Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le

Plus en détail

2 analyses. Encadré 2.1 : Répartition géographique des investissements de portefeuille du luxembourg 106. bulletin bcl 2010 3 97

2 analyses. Encadré 2.1 : Répartition géographique des investissements de portefeuille du luxembourg 106. bulletin bcl 2010 3 97 analyses 2 2 analyses 1 La position extérieure globale du Luxembourg 98 1.1 Introduction 98 1.2 La position nette par catégorie d actifs : vue d ensemble 99 1.3 La position d investissements directs 11

Plus en détail

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé

Plus en détail

Table des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1

Table des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle

Plus en détail

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s

Plus en détail

TABLEAUX STATISTIQUES

TABLEAUX STATISTIQUES Continentalisation Cahier de recherche 9-9 Décembre 199 ----------------------------- COMMERCE, CROISSANCE ET EMPLOI : LE CAS DU MEXIQUE TABLEAUX STATISTIQUES Afef Benessaieh et Christian Deblock Groupe

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42

Plus en détail

L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal

L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal Plan Quelques faits stylisés caractéristiques de la France, de l

Plus en détail

Délais de paiement : Le grand écart

Délais de paiement : Le grand écart Délais de paiement : Le grand écart Conférence de Presse, Paris, le 28 juin 2012 Ludovic Subran, Chef Economiste Arnaud Roger, Directeur des Indemnisations Maxime Lemerle, Responsable des Etudes Macroéconomiques

Plus en détail

Retour à la croissance

Retour à la croissance Après une forte amélioration de ses résultats au T4 2010 et la finalisation de ses programmes d investissement et de réorganisation, Eurofins réaffirme ses objectifs à moyen terme 28 janvier 2011 A l occasion

Plus en détail

Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT

Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT CONTEXTE GÉNÉRAL L amélioration de la compétitivité logistique des flux import-export, en termes de développement

Plus en détail

L importance des investissements publics pour l économie. Analyse thématique Finances locales

L importance des investissements publics pour l économie. Analyse thématique Finances locales L importance des investissements publics pour l économie Analyse thématique Finances locales Belfius Research Mars 2015 Introduction En septembre 2014, les normes SEC 2010 1 ont été appliquées intégralement

Plus en détail

Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire

Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire Circulaire relative aux conditions d exportation en vue d être conforme aux exigences spécifiques des pays tiers au niveau des limites maximales

Plus en détail

OBSERVATION ET STATISTIQUES

OBSERVATION ET STATISTIQUES COMMISSARI GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 461 Novembre 2013 Prix du gaz et de l électricité en France et dans l Union européenne en 2012 OBRVION ET STISTIQU ÉNERG En 2012, le prix du gaz a augmenté

Plus en détail

rapport CCE 2015-1250

rapport CCE 2015-1250 rapport CCE 2015-1250 La conjoncture économique dans la distribution Avril 2015 CCE 2015-1250 Rapport sur la conjoncture économique dans la distribution Avril 2015 Personnes de contact Gautier Gérome

Plus en détail

INFORM OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE JUSTE COMBINAISON

INFORM OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE JUSTE COMBINAISON 2 2002 INFORM INFORMATIONS FINANCIÈRES ESSENTIELLES POUR LES CAISSES DE PENSION OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE

Plus en détail

C O M M U N I Q U É D E P R E S S E

C O M M U N I Q U É D E P R E S S E C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits

Plus en détail

Les comptes nationaux et le SEC 2010

Les comptes nationaux et le SEC 2010 Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction

Plus en détail

Le FMI et son rôle en Afrique

Le FMI et son rôle en Afrique Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

Les pièges de la TVA intracommunautaire

Les pièges de la TVA intracommunautaire Les pièges de la TVA intracommunautaire Ordre des Experts-comptables Paris Ile de France Commission Europe 28 novembre 2006 Olivier BOURDEAU Avocat à la Cour Hervé KRUGER Expert-comptable PRESENTATION

Plus en détail

Commerce. Marchandises. et de services : Tendances statistiques et problèmes de mesure. Croissance des services

Commerce. Marchandises. et de services : Tendances statistiques et problèmes de mesure. Croissance des services CAHIERS STATISTIQUES «Aucune nation n a jamais été ruinée par le commerce» Commerce de marchandises et de services : Tendances statistiques et problèmes de mesure Par Andreas Lindner, Bill Cave, Lydia

Plus en détail

Âge effectif de sortie du marché du travail

Âge effectif de sortie du marché du travail Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci

Plus en détail

Taux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque

Taux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque 168/2014-4 Novembre 2014 Risque de pauvreté ou d'exclusion sociale dans l'ue28 Plus de 120 millions de personnes menacées de pauvreté ou d exclusion sociale en 2013 Soit près d une personne sur quatre

Plus en détail

Nouvellesperspectives politiqueset économiques en Europe

Nouvellesperspectives politiqueset économiques en Europe Nouvellesperspectives politiqueset économiques en Europe 11 mars 2015 Didier REYNDERS Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires étrangères et européennes - 1 - Table des matières I. Situation économique

Plus en détail

Recensement triennal sur l activité du marché de change et des produits dérivés

Recensement triennal sur l activité du marché de change et des produits dérivés Recensement triennal sur l activité du marché de change et des produits dérivés 1 Le cadre de l analyse L analyse présente se base sur des données réunies dans le cadre du recensement triennal de la Banque

Plus en détail

Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011

Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011 Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011 Les bénéficiaires de retraites Nombre de retraités, selon les différents régimes (COR janvier 2010) : 16 millions dont : 11,3 millions :

Plus en détail

Chiffre d'affaires par ligne de services

Chiffre d'affaires par ligne de services Troisième trimestre 2010 des revenus: EUR 1.210 millions Réservez au projet de loi: 90%, même par rapport au troisième trimestre 2009, 2010 Cash Flow Opérationnel s'élève à EUR 83 millions dans les neuf

Plus en détail

PRESCRIPTIONS IMPORTATION EN SUISSE DE VÉHICULES À MOTEUR ROUTIERS ET REMORQUES PRIVÉS

PRESCRIPTIONS IMPORTATION EN SUISSE DE VÉHICULES À MOTEUR ROUTIERS ET REMORQUES PRIVÉS PRESCRIPTIONS IMPORTATION EN SUISSE DE VÉHICULES À MOTEUR ROUTIERS ET REMORQUES PRIVÉS 1. Obligation d annoncer à la douane Celui qui importe en Suisse un véhicule non dédouané doit l annoncer spontanément

Plus en détail

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ

Plus en détail

Baromètre Responsabilité Sociale et Environnementale du Secteur Automobile

Baromètre Responsabilité Sociale et Environnementale du Secteur Automobile Baromètre Responsabilité Sociale et Environnementale du Secteur Automobile TNS Automotive PRINCIPAUX RESULTATS Contacts TNS Sofres: Muriel GOFFARD 01 40 92 27 47 muriel.goffard@tns-sofres.com Définir la

Plus en détail

GMC Inspire HybridMail

GMC Inspire HybridMail GMC Inspire HybridMail Gérez vos courriers d un simple clic depuis le bureau Réalisez immédiatement 60 % d économies 2 3 Supprimez les coûts cachés Alors que la plupart des entreprises doivent faire face

Plus en détail

AS Equities Opportunity Switzerland (CHF)

AS Equities Opportunity Switzerland (CHF) AS Investment Management (CHF) Rapport annuel 2011 Philosophie d investissement AS Equities - Opportunity Switzerland est un fonds long-short en actions suisses, avec une faible corrélation au marché suisse.

Plus en détail

Banque de la République d Haïti. Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000

Banque de la République d Haïti. Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000 Banque de la République d Haïti Bulletin Statistique 36 Juillet - Septembre 2000 Table des matières Avertissement...5 I- Statistiques monétaires et financières Tableau 1.1 Principaux indicateurs monétaires...10

Plus en détail

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010 75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en

Plus en détail

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable

Plus en détail

I- Le système déclaratif de l Administration douanière belge

I- Le système déclaratif de l Administration douanière belge Rabat, le 16/11/2011 ans le cadre des missions d études prévues dans le jumelage entre l Office des Changes et les institutions françaises partenaires, une visite d étude a été effectuée en Belgique du

Plus en détail

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident

Plus en détail

Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012

Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012 Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012 Juin 2012 Sextant Expertise 27, Boulevard des Italiens 75002 Paris Tél. : 01 40 26 47 38 www.sextant-expertise.fr Société inscrite à l ordre des

Plus en détail

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d

Plus en détail

L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge

L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge 1. Sécurité d approvisionnement Le taux de dépendance énergétique de la Belgique est plus important que la moyenne européenne. Ainsi en 2011, le taux

Plus en détail

Le Marché du à la consommation en Europe à fin 2007

Le Marché du à la consommation en Europe à fin 2007 Le Marché du Crédit à la consommation en Europe à fin 7 Une étude de SOFINCO Evry, le juin 8 Nicolas Pécourt Le crédit à la consommation en Europe Synthèse (/) Cette étude porte sur le marché du crédit

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION

REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION Regards sur l éducation Rapport intermédiaire Mise à jour des indicateurs relatifs

Plus en détail

Qu est-ce que la compétitivité?

Qu est-ce que la compétitivité? Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il

Plus en détail