DIU de rythmologie et stimulation cardiaque. Titre : Cas cliniques et interprétation de tracés «tachycardies supraventriculaires»
|
|
- Paule Beaudet
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DIU de rythmologie et stimulation cardiaque Titre : Cas cliniques et interprétation de tracés «tachycardies supraventriculaires» Orateur : Béatrice BREMBILLA-PERROT Le 26 janvier 2012
2 Cas cliniques et interprétation de tracés «tachycardies supraventriculaires» Béatrice Brembilla-Perrot Nancy
3 Homme de 45 ans admis pour T
4 Eléments de diagnostic d une T Contexte clinique (âge, ATC, cardiopathie) Largeur des QRS Régularité (fréquence) Présence ou non d une activité atriale et sa morphologie Effets des médicaments (ATP) Signes intercritiques (ECG en RS)
5
6 * Diagnostic: - BBG ralentisseur (inconstant; c est VA qui s allonge), - BBD non ralentisseur, - alternance électrique (non spécifique), - A derrière les QRS= tachycardie jonctionnelle utilisant un faisceau de Kent LG pour sa conduction rétrograde * Traitement: Crise: striadyne (éviter vérapamil car WPW possible) Puis évaluation en RS (Kent antéro?); si oui ou crises récidivantes ablation privilégiée (sinon bbl, flec)
7
8
9 Adolescent de 10 ans admis pour dyspnée et tachycardie chronique
10 1 Diagnostic: Tachycardie régulière Activité A visible derrière le QRS: - 1 /1 - VA constant - Morphologie P - D2, D2, D3: jonctionnelle Kent latent? ou TRIN P D1= Kent latent G (TA G non exclue) 2 Traitement: enfant jeune= tt médical d abord (flec, bbl, amiodarone ) Si après 13/15 ans, tjs symptomatique, envisagez ablation KLG
11
12 1 Diagnostic: Tachycardie régulière à QRS fins - activité A non visible - QRS large à l arrêt non précédé d une onde P (=ESV) - Aspect de BBD I en TSV typique d une TRIN (r = A dans la fin du QRS) 2 Traitement Abstention (une crise): expliquer manœuvres X Ablation voie lente si TSV récidivantes et mal tolérées
13 58 ans ATC AVC
14 Diagnostic TSV régulière à QRS fins A peut-être visible en D3 après le QRS Dégénérescence en tachycardie irrégulière à QRS larges = WPW Risque FA 5 à 10 % Conduite à tenir: Vérapamil, digoxine interdits (risque FV) Ablation F de Kent mais: L ablation du F de Kent ne fait pas toujours disparaître le risque de FA après 50 ans
15 Sujet de 23 ans se plaignant d accès de palpitations mal tolérés
16 Diagnostic Tachycardie régulière 110/min Activité A négative en D2, D3 VF visible au milieu= - tachycardie atriale (à évoquer chez le sujet âgé) - TRIN avec BAV 2/1 vers le V (excluant un Kent) - Passage en 1/1 avec A dans le QRS typique de la TRIN Conduite à tenir: 1 crise= abstention (manœuvres X); crises récidivantes mal tolérées= ablation voie lente
17 Femme de 80 ans; 2 T
18 Diagnostic 2 TSV: 1 ère TSV: BBD puis fins même fréquence, A dans le QRS= TRIN typique 2 ème TSV: P- D3 juste avant QRS= TSV avec RP long - TRIN typique + TA ou Kent latent - TRIN typique et atypique Traitement: Idem TRIN (ablation si crises mal tolérées malgré bbl)
19 ATP
20 Diagnostic Tachycardie régulière à QRS fins très rapide ATP (ou manœuvres X)= flutter A sous jacent = Flutter 1/1 Conduite à tenir Eviter AA cl I; bbl à privilégier Ablation fl (flutter mal toléré ou récidivant)
21 Jeune patient se plaignant de malaises avec palpitations
22 ECG normal au début; PR à 0.14 BAV 1 (PR 0.48) à la suite d une augmentation du cycle = - Trouble de conduction - Ou double voie nodale? (voie rapide, voie lente)
23 Déclenchement d une TSV avec BAV 2/1 transitoire vers les V= TRIN
24 Rassurer Expliquer manœuvres X Expliquer l intérêt de l ablation de la voie lente en cas de crises récidivantes ou mal tolérées et ses risques
25 D1 D2 D3 Vr Vl Vf V1 V2 V3 V4 V5 V6 Sujet de 39 ans admis pour syncope avec palpitations
26 Une tachycardie syncopale doit faire l objet d investigations ECG subnormal: PR assez court ESA bizarre!!
27 D1 V1 Exploration transoesophagienne
28 Diagnostic Kent LG non visible sur ECG en RS sauf sur l ESA TAD En cas de suspicion de S de préexcitation V: manœuvres X et/ou EE: peuvent dévoiler WPW Conduite à tenir Tachycardie syncopale+ K antéro= ablation En cas de refus: flécaïne±bbl
29 Sujet de 50 ans traité pour des ES admis pour une tachycardie mal tolérée
30 tachycardie à QRS larges avec retard gauche : -TV - ou TSV + aberration de conduction - ou flutter 1/1 Conduite à tenir : manœuvres X et en cas d échec striadyne - Si la tachycardie s arrête ou se ralentit=tsv - Sinon suspecter une TV
31 Après ATP
32 Flutter (1/1) Le diagnostic doit être évoqué chez un sujet qui prend un AA (stt cl 1) Les critères ECG pour différencier TV/TSV ne sont pas valables dans le fl 1/1 L EEP ne permet pas de reproduire un fl 1/1 (mais permet de déclencher une TV) Echocardiographie et épreuve d effort nécessaires après la régularisation et à distance de celle-ci. Si le diagnostic de flutter 1/1 a été porté (apparition d un flutter après striadyne), indication d ablation du flutter.
33
34 Tachycardie à QRS larges et fins La patiente a 50 ans, ne prend pas d AA mais vient d arrêter des bbloquants ATC CAV opéré = - Bitachycardie - TA sur Kent G - TA ou flutter à conduction 1/1
35
36 Diagnostic Flutter 1/1 compliquant l évolution d une cardiopathie congénitale Diagnostic: ATP mise en évidence du flutter Conduite à tenir: ATP: flutter sous jacent Prévention: ablation isthmique
37 homme 24 ans, sans histoire clinique connue, admis pour palpitations mal tolérées
38 Diagnostic: tachycardie à QRS larges évocatrice d une TV: Cependant une TV à QRS aussi larges, retard droit peu fréquente dans ce contexte (TV Belhassen QRS proche 0.12) Evoquer un autre diagnostic= Tachycardie antidromique Conduite à tenir Tachycardie mal tolérée mais bonne tolérance hémodynamique Tenter une injection d amiodarone; (Flecaïne si on est sur de l absence de cardiopathie); En milieu hospitalier: sonde (diagnostic) échec= sédation et cardioversion Par la suite, si le diagnostic de syndrome de Wolff- Parkinson-White est confirmé, indication d ablation du faisceau de Kent
39 D1 V1 A noter l aspect différent de l ECG en tachycardie de celui en RS Pourquoi?
40 2 Kents? Non: - en tachycardie =préexcitation max - en RS= passage par voies normales et le Kent D où préexcitation peu marquée si K LG
41 Patiente de 55 ans; Mal d Ebstein admise pour une Tachycardie régulière à 180/min à QRS larges survenue à l effort; régularisation spontanée
42
43 Diagnostic: TA 2/1 Probable TA 1/1 à l effort Conduite à tenir: Anticoagulation Tentative de traitement médical (amiodarone± régularisation médicale) Cartographie et ablation en cas de rechute
44 La même patiente: aspect sous isuprel (TA 1/1)
45 CMD évoluée Stade IV NYHA; ATC hyperthyroïdie cordarone
46 D1 D3 VF V1 V6 Oe
47 Diagnostic: Inversion de fil ou tachycardie atriale G 2/1? TA G Traitement - Anticoagulation - Tentative de régularisation (overdrive ou choc) - Sujet < 70/75 ans: tentative ablation et discuter def/resynchro - Sujet > 70/75 ans: resynchro; ablation His
48 Homme de 80 ans; dyspnée d effort Bradycardie connue
49
50 Devant tout patient (âgé) symptomatique se méfier de la présence d une tachycardie atriale Conduite à tenir Idem (anticoagulation; réduction médicamenteuse et/ou électrique)
51 Patiente de 75 ans admise pour malaises ATC AVC
52
53 Toute TSV est associée avec un risque de FA > population Surtout connu pour les TSV +WPW Vrai aussi pour les TRIN (ici avec BBD) Donc toute FA chez un sujet jeune ayant des ATC de tachycardies doit faire rechercher ce diagnostic Le risque FA persistera chez sujets > 50 ans après ablation de la TRIN
Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailNotions d ECG. Définition. Compétences à acquérir
Notions d ECG 1 Compétences à acquérir Réaliser un ECG 12 dérivations Placer les électrodes d un monitoring Lire un ECG normal Reconnaître et d agir face aux troubles du rythme et de conduction les plus
Plus en détailCas clinique: Mr A.M. 1940 A.M. 1940. A.M. 1940;Resynchro avant-après. Resynchronisation avant et après 12 mois: RX thorax.
Cas clinique: Mr A.M. 1940 A.M,1940, 2 ans près son infarctus malaise lors d une marche, syncope et choc électrique Infarctus antérieur : FEVG 30% Coro:Recanalisation / l IVA ECG: sinusal QRS 0.10, inf.
Plus en détailSTIMULATION CARDIAQUE DU SUJET AGE
STIMULATION CARDIAQUE DU SUJET AGE STIMULATION CARDIAQUE DU SUJET AGE INTRODUCTION REPARTITION DES PATIENTS 2003 % 100 80 60 40 60,10% 39,90% 59,10% 40,90% 20 0 77,4 ans 80 ans 78,1 ans 80,6 ans primo-implantations
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailTRONC COMMUN SOINS CRITIQUES : Cardiologie - Document du participant Module 2 DIRECTION DES SOINS INFIRMIERS ET DES REGROUPEMENTS CLIENTÈLES
TRONC COMMUN SOINS CRITIQUES : Cardiologie - Document du participant Module 2 DIRECTION DES SOINS INFIRMIERS ET DES REGROUPEMENTS CLIENTÈLES Tous droits réservés, CHUM, août 2014 1 Situation infirmière
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailPratique de la défibrillation cardiaque implantable
Pratique de la défibrillation cardiaque implantable Springer Paris Berlin Heidelberg New York Hong Kong Londres Milan Tokyo Pierre Bordachar Wilhelm Fischer Stéphane Garrigue Sylvain Reuter Philippe Ritter
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailGUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Troubles du rythme ventriculaire graves chroniques
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Troubles du rythme ventriculaire graves chroniques Juillet 2009 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2, avenue du Stade-de-France
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailL E.C.G. pour les nuls
MODULE SOINS INTENSIFS PRISE EN CHARGE DU BDS EN SI Le monitoring cardiaque Ferron Fred version_3_2011 1 Saunders Nursing Survival Guide ECGs and the Heart Elsevier à consommer sans modération. L E.C.G.
Plus en détailCaractéristiques techniques
Défibrillateur Philips HeartStart OnSite Caractéristiques techniques Défibrillateur Modèle Gamme de défibrillateur Éléments livrés Type d onde Énergie Intervalle entre chocs Délivrance rapide du choc Instructions
Plus en détailLa fibrillation auriculaire : au cœur du problème
La fibrillation auriculaire : au cœur du problème Cette brochure a été spécialement conçue pour les personnes souffrant de fibrillation auriculaire (FA), un trouble souvent décrit comme un rythme cardiaque
Plus en détailLIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches
LIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches Denise Hébert, chargée de projet UCCSPU Février 2006 Le langage et
Plus en détailJournées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS
Surveillance des pace makers et des défibrillateurs Journées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS La stimulation cardiaque La stimulation cardiaque Historique
Plus en détail7. TECHNIQUES EN RYTHMOLOGIE
chap7-cardio-2012-10pg_cardio-2011-demeester 04/10/12 15:37 Page1 7. TECHNIQUES EN RYTHMOLOGIE La rythmologie est la spécialité de la cardiologie qui étudie les troubles du rythme. Les examens ou techniques
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailComplexe. Guide à l intention des patients et des familles 40, RUE RUSKIN, OTTAWA ON K1Y 4W7 T 613.761.5000 WWW.OTTAWAHEART.CA UOHI 82 (07/2015)
Ablation Complexe Guide à l intention des patients et des familles UOHI 82 (07/2015) 40, RUE RUSKIN, OTTAWA ON K1Y 4W7 T 613.761.5000 WWW.OTTAWAHEART.CA VEUILLEZ APPORTER CE GUIDE À L INSTITUT DE CARDIOLOGIE
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détail236 - FIBRILLATION AURICULAIRE JM Fauvel 2009
236 - FIBRILLATION AURICULAIRE JM Fauvel 2009 Plan 1. Généralités 2. Définition et aspect électrocardiographique 2.1. La fibrillation auriculaire (FA) 2.2. Les ventriculogrammes 2.3. Arythmies associées
Plus en détailTROUBLES DU RYTHME ARYTHMIES, TACHYCARDIES,FIBRILLATIONS, EXTRASYSTOLES, BRADYCARDIES
TROUBLES DU RYTHME CHANGER LEUR ÉVOLUTION ARYTHMIES, TACHYCARDIES,FIBRILLATIONS, EXTRASYSTOLES, BRADYCARDIES La Fédération Française de Cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation et gestes
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailfréquence - Stimulateur chambre ventriculaire Indications retenues : est normale Service Attendu (SA) : Comparateu retenu : Amélioration Nom de marque
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 01 juillet 2014 CONCLUSIONS ELUNA 8 SR-T, stimulateur cardiaque implantable simple s chambre
Plus en détailLes défibrillateurs cardiaques implantables
Les défibrillateurs cardiaques implantables Etudes d'évaluation économique Etudes d'évaluation technologique Avant-propos Cette étude a été réalisée, à la demande de la Caisse Nationale de l'assurance
Plus en détailLogiciel NorthEast Monitoring, Inc. Holter LX Analysis. Mode d emploi international
Logiciel NorthEast Monitoring, Inc. Mode d emploi international Version française (French version) NorthEast Monitoring, Inc. 141 Parker Street, Suite 111 Téléphone : [+1] 978-46 Maynard, MA 01754 USA
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailItem : Souffle cardiaque chez l'enfant
Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires Date de création du document 2011-2012 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Généralités...
Plus en détailNouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1
Nouveaux Anti-thrombotiques Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Classification Antithrombines directes o Ximélagatran EXANTA o Désirudine
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailLa fibrillation auriculaire
La fibrillation auriculaire La fibrillation auriculaire (FA ) est l arythmie la plus fréquente. Le système de conduction auriculoventriculaire (A-V) est bombardé de stimulis électriques amenant une réponse
Plus en détailSW012. Logiciel d installation de la fonction d alerte d intégrité de la sonde ventriculaire droite. Manuel de référence
Logiciel d installation de la fonction d alerte d intégrité de la sonde ventriculaire droite Manuel de référence 0123 2008 Les dénominations suivantes sont des marques commerciales de Medtronic : CareAlert,
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Guide du parcours de soins Titre cardiopa GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Insuffisance cardiaque Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France - F 93218 Saint-Denis
Plus en détailAVIS DE LA CNEDiMTS 09 juillet 2013. Prestation associée aux systèmes de télésurveillance des défibrillateurs cardiaques implantables
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 09 juillet 2013 CONCLUSIONS Prestation associée aux systèmes de télésurveillance des défibrillateurs
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailLes algorithmes indispensables ou utiles en stimulation DDD (R)
Les algorithmes indispensables ou utiles en stimulation DDD (R) DIU Rythmologie/Stimulation cardiaque 2013 A Da Costa, CHU Saint Etienne Fonctionnalités indispensables ou utiles en stimulation DDD 1. Hémodynamique
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailPrise en Charge de la Fibrillation Auriculaire
Prise en harge de la Fibrillation uriculaire Prise en harge de la Fibrillation uriculaire: recommandations ES 2010 et 2012. Traduites pour le site de la cardiologie francophone par les Drs arlos El-Khoury
Plus en détailQui doit-on resynchroniser en 201 3?
Qui doit-on resynchroniser en 201 3? H. HIRECHE Ṣ. COMBES,A. BOUZEMAN,B. CASTEIGT,F.JOURDA, R. PROVIDENCIA,N. COMBES,J.-P,ALBENQUEȘ. BOVEDA, Départementde rythmologie, Clinique Pasteur,Toulouse La thérapie
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailProtocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires
1 Protocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires Dans la grande majorité des cas, les syndromes fémoro-patellaires (SFP) guérissent avec un traitement médical bien conduit. Pour être efficace,
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailEURO DEFI PADS 52502000IU9I 2012/10
EURO DEFI PADS 52502000IU9I 2012/10 PLAQUES MULTI-FONCTIONS JETABLES EURODEFIPADS NOTICE D UTILISATION DESCRIPTION DU PRODUIT Les plaques multifonctions jetables EURODEFIPADS sont composées de deux électrodes
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailLes Nouveaux AntiCoagulants Oraux
Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailReprise du travail après un événement cardiaque
Reprise du travail après un événement cardiaque Regard du médecin du travail Fabrice Locher Rôle et Missions du médecin du travail «Rôle exclusivement préventif consistant à éviter toute altération de
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailJEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER
JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailLe chemin d un prompt rétablissement
Le chemin Un guide d information à l intention des patients cardiaques et de leur famille. www.fmcoeur.ca Le chemin Une raison motive Le chemin comme titre du présent guide. Vous venez tout juste de subir
Plus en détailLe traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien
Folia veterinaria Le traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien Les principaux traitements à instaurer chez le chien insuffisant cardiaque sont passés en revue en insistant sur les critères de
Plus en détailLES PATIENTS PORTEURS D UN DEFIBRILLATEUR IMPLANTABLE SE SENTENT-ILS BIEN INFORMES?
ECNAS SAINT AUBAIN SAINTE ELISABETH Section Soins infirmiers Place Louise Godin, 15 5000 Namur www.saint-aubain.be LES PATIENTS PORTEURS D UN DEFIBRILLATEUR IMPLANTABLE SE SENTENT-ILS BIEN INFORMES? Travail
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailConseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation
Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation automatisée externe par le public Conférence d Experts Coordonnateur : Pr P
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailInsuffisance Cardiaque de l Adulte.
Insuffisance Cardiaque de l Adulte. Pr. Laurent FOURCADE, Service de Cardiologie, HIA Laveran, Marseille. IFSI Croix Rouge, Marseille, 25 mars 2013 Plan I - Insuffisance cardiaque chronique.définitions.généralités,
Plus en détailNAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.
NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailRèglement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités
Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités SECTION I DISPOSITION GÉNÉRALE 1. En vue de l'exercice des activités visées
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailPertes de connaissance brèves de l adulte : prise en charge diagnostique et thérapeutique des syncopes
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Pertes de connaissance brèves de l adulte : prise en charge diagnostique et thérapeutique des syncopes RECOMMANDATIONS Mai 2008 L argumentaire scientifique et la synthèse
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailComment évaluer. la fonction contractile?
Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailLITHIASE URINAIRE USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091. Uroscan. Rx abdominal
USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091 Catégorie de personnes visées : usager pour lequel un diagnostic clinique de lithiase urinaire a été évoqué par son médecin traitant Indication : répondre
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012
DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts
Plus en détail