FICHE N III-2.5 Surveillance de la qualité de l'eau

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1 Plan qualité FICHE N III-2.5 Surveillance de la qualité de l'eau L objectif de cette fiche est de caractériser la pollution par les pesticides, qualitativement (type de molécules retrouvées) et quantitativement (nombre de molécules, fréquences de détection, concentrations) dans l espace et le temps (avec une localisation et une fréquence adaptées) et d en tenir compte pour l interprétation des facteurs à l origine de la pollution. Après avoir analysé les résultats déjà disponibles et évalué leur pertinence, le prestataire proposera le cas échéant un programme de mesures adapté aux objectifs du diagnostic. Sources indicatives de données de qualité de l eau : Agences de l Eau Rhône Méditerranée & Corse et Loire-Bretagne, ARS, CROPPP, IFEN (statistiques), distributeurs d eau (auto-surveillance), programme local,... Collecte de rapports et chiffres, listes SIRIS des petites régions agricoles (SRAL, ARS) Visites de captages, stations en exutoire de (Sous-) Bassins, terrain. Eaux superficielles Il n existe pas de base de données nationale opérationnelle à ce jour mais une base de données bassin gérée par chaque agence de l eau qui centralise ses données et celles des structures locales. Une banque de donnée nationale sur la qualité des eaux de surface continentales (Naades) est en cours de développement. Eaux souterraines La bases de données nationales ADES centralise toutes les données des agences de l eau, des collectivités locales telles que les Conseils généraux et les résultats des analyses du contrôle sanitaire sur les eaux brutes réalisées par l ARS. Contrôle sanitaire Données du contrôle sanitaire réalisé par l ARS Les données eau potable (Eaux brutes RP* et RS*, P*, D*) sont compilées dans la banque SISEAUX des ARS et mises à disposition du public sur le site eaufrance *Schéma du contrôle sanitaire Données d auto-surveillance sur les captages AEP Il est nécessaire de conserver la prise de contact avec les distributeurs d eau, car pour le moment les données ne sont pas mises à dispositions sur la base ADES.

2 Plan qualité La dégradation de la qualité de l'eau se constate et elle peut éventuellement s'expliquer. Cependant, le constat de la pollution nécessite une acquisition de données qui demande un investissement important tant technique, sur le terrain, que financier. La mesure de la qualité est une démarche incontournable dans le cadre d un diagnostic comme d un plan d actions : c est un indicateur d état et de pression, essentiel pour l élaboration et le suivi d un plan d actions. 1 - Localisation des points de suivi Avant de mettre en place un réseau de suivi local pour établir un diagnostic et un plan d action, il est important de connaître les données déjà disponibles. Il existe différents types de réseaux de suivi des pesticides dans l eau : Le réseau sanitaire sur eau brute (entrée usage AEP) mis en œuvre par l ARS dont la fréquence d analyse varie en fonction de l origine de l eau (eau superficielle ou eau souterraine) et du débit prélevé au captage (ou du nombre d habitants desservis) ; Le programme de surveillance mis en place au niveau national à partir de 2007 sur les eaux superficielles et souterraines pour répondre aux exigences de la Directive Cadre sur l eau (DCE). Ce programme est coordonné en Rhône-Alpes par les agences de l eau Rhône Méditerranée Corse et Loire Bretagne : Réseau de Contrôle de Surveillance (RCS) : il a pour objectif d évaluer l état général des masses d eau et ne cible donc pas de façon préférentielle les secteurs soumis à un impact quelconque. Ce réseau pérenne est constitué de sites représentatifs de diverses situations de chaque bassin. Réseau de Contrôle Opérationnel (RCO) : il a pour objectif de suivre les masses d eau présentant un risque de non atteinte du bon état et d évaluer l efficacité des mesures engagées dans le cadre du Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) sur ces sites. Seuls les paramètres posant problème sont analysés. Ce réseau a vocation à s interrompre dès que l objectif de bon état aura été atteint sur la masse d eau. Les réseaux complémentaires mis en place par les Conseils Généraux ; Les réseaux locaux et temporaires mis en place dans le cadre des diagnostics et des plans d actions de lutte contre les pollutions par les pesticides. Les réseaux de suivi locaux seront constitués de façon à être complémentaires aux réseaux existants. Pour les cours d eau, il conviendra d'établir au moins un point de mesure en fermeture de chacun des bassins versants principaux, en veillant à ne pas les positionner trop près de la confluence pour éviter les phénomènes de reflux. Pour les lacs, il est suggéré de positionner pour la première année - au minimum une mesure au point de plus grande profondeur du plan d eau. Selon la superficie et la spécificité du plan d eau, un point de suivi supplémentaire pourra être ajouté. La sélection des points de suivi résulte d hypothèses basées sur des connaissances concernant les caractéristiques du milieu, l occupation des sols et les pratiques phytosanitaires. En effet, les points doivent être représentatifs des principaux milieux et systèmes de cultures de la zone d étude. Il s agit de situer les points en exutoire de zones estimées comme particulièrement susceptibles d émettre des pollutions dans les eaux.

3 Plan qualité Pour cela, une carte d occupation des sols est nécessaire pour positionner les points de suivi (ex : 1 point en exutoire de la zone de cultures légumières, de la zone de grandes cultures, de la zone d arboriculture hors noix ) 2 - Mise en place d un programme de prélèvement dans le cadre d un réseau local Le protocole de prélèvement doit préciser le planning prévisionnel des prélèvements, les modalités techniques de prélèvements, ainsi que le stockage et le transport des échantillons jusqu au laboratoire d analyse Planning prévisionnel Pour les eaux superficielles, la fréquence des prélèvements préconisée est de 4 (à 5) prélèvements minimum par an. Les dates et lieux de prélèvement sont à relier aux périodes et lieux d application des substances, aux périodes de précipitations et d écoulements d eau excédentaire (saisonnalité des pics de contamination). De façon générale, les périodes de transferts importants se situent après les périodes d applications et lors de la reprise automnale des écoulements : l effort d analyse doit donc se situer à l intérieur de ces périodes sensibles. Pour les eaux souterraines, les périodes et le nombre de prélèvements minimum par an, doivent être définis en fonction de la vitesse de renouvellement de la nappe, de la période de début et de fin de recharge. Un minimum de 1 à 2 prélèvements par an est recommandé Modalités techniques de prélèvements Pour les cours d'eau : Le prélèvement doit être effectué à une profondeur d environ 30 cm sous la surface et à environ 50 cm au dessus du fond, sinon à mi-profondeur, en évitant de prélever le film de surface. Pour les lacs : Sur chacun des points de mesures, il est conseillé de réaliser un prélèvement intégré (correspondant à 2,5 fois la transparence mesurée au disque de Secchi) et un prélèvement à 1 m du fond. Pour les eaux souterraines, il faut s interroger sur la représentativité de l eau prélevée en profondeur ; l évolution de la contamination est plus lente, sauf en cas de circulation préférentielle et rapide de l eau depuis la surface ; l étanchéité de l ouvrage est éventuellement à contrôler et le prélèvement doit être effectué en régime de pompage établi. Le préleveur se référera aux recommandations du laboratoire d analyse, ainsi qu aux préconisations du guide des prescriptions techniques AQUAREF (juin 2011). Ce guide a pour objectif d harmoniser au niveau national la mise en œuvre des prestations concernant la réalisation de prélèvements, la mesure in situ, les analyses et la restitution des données pour le support eau et sédiments du programme de contrôle de surveillance (CS), de contrôle opérationnel (CO), de

4 Plan qualité contrôle d'enquête (CE) et de contrôle additionnel (CA). Il couvre les eaux superficielles (cours d eau, plan d eau à l exception des eaux littorales et eaux de transition), les eaux souterraines et les sédiments Flaconnage et acheminement des échantillons Les flacons sont fournis par le laboratoire d analyse qui veillera à adapter la nature des flacons aux types de substances. Les échantillons doivent être conservés au maximum 24 heures après leur prélèvement, avant remise au laboratoire. Ils seront conservés à une température de 5 ± 3 C. Se référer au guide des prescriptions techniques AQUAREF (juin 2011) Types d analyse et substances analysées Les analyses seront réalisées sur eau brute. En fonction de l objectif du programme, il est possible d opter pour le suivi de substances spécifiques (établies à partir des listes SIRIS) ou pour un suivi multi-résidus plus large (400 à 500 molécules environ) mais qui doit être complété par l analyse de certaines substances largement utilisées et non prises en compte dans la multi-résidus. C est le cas de l aminotriazole, du glyphosate (et son métabolite l AMPA), des ammoniums quaternaires (dont le diquat et le paraquat), des dithiocarbamates (métabolites du manèbe et mancozèbe) Des analyses supplémentaires peuvent aussi être réalisées pour distinguer le métolachlore du S-metolachlore et le mecoprop du mecoprop-p. Le coût des analyses de pesticides varie dans le temps et d un laboratoire à l autre. Le tableau ci-dessous représente les coûts indicatifs HT pour des analyses en eaux superficielles (hors frais de transport). Il est établi à partir de données fournies par des laboratoires basés en Rhône-Alpes. Multi-résidus (400 à 500 molécules) 1 échantillon 150 à 300 aminotriazole 1 échantillon 50 glyphosate + AMPA 1 échantillon 50 Ammoniums quaternaires (dont diquat, paraquat) 1 échantillon 50 Dithiocarbamates (métabolites du manèbe et mancozèbe) 1 échantillon 50 S-metolachlore 1 échantillon 100 mecoprop-p 1 échantillon 100 Le choix définitif des molécules à rechercher sera fonction de l'objectif de l'étude, des caractéristiques du milieu, des pressions exercées. Cependant, l analyse multi-résidus complétée par l analyse de l aminotriazole, du glyphosate (et de l AMPA) sont souvent conseillées dans un premier temps car cela permet d avoir une vue d ensemble sur les substances présentes pour un coût par substance relativement concurrentiel. Une connaissance plus fine des substances utilisées sur le bassin versant concerné et détectées permet à terme de cibler les substances recherchées.

5 Plan qualité Afin de pouvoir comparer les analyses du réseau de suivi avec celles réalisées par les bassins Rhône Méditerranée Corse et Loire Bretagne et/ou les collectivités (conseils généraux...), il est également intéressant de se baser sur les listes des pesticides suivis en ESO (eaux souterraines) et ESU (eaux superficielles) au niveau des bassins. Le positionnement de l'ensemble des points de suivi, les molécules à rechercher, et les modalités de prélèvement (mode, fréquence, stockage, transport) seront validés par le comité de suivi ou comité de pilotage local qui prendra soin de s'informer des points de mesures existants dans la région. L analyse multi-résidus : L analyse multi-résidus permet d évaluer un maximum de substances en associant une extraction la plus large possible (multi ph) à une multidétection. Les molécules ainsi détectées appartiennent à des groupes d usage très divers comme les herbicides, les insecticides, les fongicides, L application en routine permet d analyser plus de 500 molécules avec des limites de quantification qui varient entre 0,005 et 0,1 µg/l. Ce type d analyse présente cependant certaines limites en termes de précision par rapport à une analyse ciblée sur une seule substance. L aminotriazole : L aminotriazole (ou amitrole) est un herbicide non sélectif à action systémique, largement utilisé. Très soluble dans l eau, il est employé pour détruire les mauvaises herbes à enracinement profond dans les cultures telles que les vignes et les vergers. Il est souvent utilisé en synergie avec le thiocyanate d ammonium qui accroît son effet herbicide. Il est très difficile à analyser dans l eau du fait de sa forte solubilité. Le glyphosate : Le glyphosate est le composant actif de nombreux désherbants. C est un herbicide non sélectif, à action systémique appartenant aux désherbants organiques de synthèse. Utilisé en agriculture mais aussi en zones non agricoles, la politique de substitution des molécules interdites a entraîné une recrudescence de son utilisation. En effet, le glyphosate est jugé plus faiblement toxique, cependant ses effets à longs termes sur les organismes et l environnement restent méconnus. Dans le sol, le glyphosate est fortement adsorbé et rapidement dégradé par voie microbienne en Acide AminoMéthylPhosphonique (AMPA), son métabolite qui est beaucoup plus stable. L analyse du glyphosate et de son métabolite, l AMPA, pose problème du fait de leur caractère fortement hydrosoluble. Fiche III-3 Modalités de sous-traitance 4 - Exploitation des résultats d analyses Pour chaque point de mesure, les informations minimales à récupérer sont les suivantes (en italique l information obligatoire) : Lieu de prélèvement, date et heure de prélèvement, propriétaire de la donnée, date d analyse, substances (et métabolites) analysées, résultat de la mesure, limite de quantification du laboratoire, laboratoire d analyse, méthode analytique, rendement d extraction (cf. bulletin d analyse), mesure des débits de cours d eau dans la période couverte par les prélèvements (à défaut, mesure de la hauteur d eau en un point fixe), propriétaire de l ouvrage pour les captages.

6 Plan qualité L exploitation des résultats d analyses peut se faire selon différentes méthodologies. Nous sommes actuellement en phase de transition. Depuis plusieurs années il est proposé d utiliser le SEQ Eau, outil national développé pour les eaux superficielles et souterraines, qui s appuie sur 5 classes de qualité. Pour les eaux souterraines, seule la version 0 existe. Pour les eaux superficielles, il est conseillé d utiliser la version 2 du SEQ qui intègre un paramètre global «autres substances» en plus de la soixantaine de substances de la version 1. Sur le bassin RM&C, il est actuellement proposé d utiliser le SEEE (Système d Evaluation de l Etat des Eaux). En effet, l agence de l eau RM&C a opté depuis l adoption du SDAGE 2009 pour cette présentation. Un outil informatique SEEE est en cours de développement au niveau national. Cet outil n est toutefois pas encore opérationnel et ceci pour un délai indéterminé. L agence de l eau RM&C propose donc d assurer la fourniture des résultats traités selon le SEEE sous condition que : - les données ESO soient bancarisées dans ADES - les données ESU soient bancarisées dans la banque Agence de l Eau Pour cela les données doivent être transmises à l agence en format XML EDI-Laboratoire. Les laboratoires accrédités sont en mesure de fournir ce type de fichiers. Il est conseillé de prévoir un traitement des données recueillies par sous-bassin, puis par substance, par année, voir par période. L exploitation des résultats peut être calée sur l exploitation faite par la DREAL Rhône-Alpes dans le cadre de la valorisation des données régionales pesticides (sous la forme d un rapport) : répartition des substances actives par groupe d usage (herbicides, insecticides, fongicides, ) ; fréquence de quantification des substances actives les plus fréquentes (exemple : les 10 premières), évolution par station du nombre de substances quantifiées et de la somme des concentrations des substances quantifiées ; liste des substances retrouvées, Il peut être intéressant d estimer les flux des substances passant au point exutoire du bassin (en g/ha, en taux de «fuites»). Cette donnée très pertinente se calcule lorsqu on dispose des débits des cours d eau durant la période de transfert. Dans le cas de résultats anormaux, le prestataire recherchera auprès des partenaires institutionnels (DDT, DREAL, ARS, DRAAF/SRAL, DGCCRF, ONEMA, Fédérations,...) si des incidents ou accidents mettant en cause des produits phytosanitaires ont été signalés.

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