Fixation des dunes et reboisement avec le filao (Casuarina equisetifolia) dans la zone du littoral nord du Senegal
|
|
- Marie-Anne Lanthier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Fixation des dunes et reboisement avec le filao (Casuarina equisetifolia) dans la zone du littoral nord du Senegal Daniel Maillyl, Papa ~diaye~, Hank A. ~argolis~f~ et Marius Pineau4 The Forestry Chronicle Downloaded from pubs.cif-ifc.org by on 02/16/18 Le littoral nord du SCnCgal est le site d'un programme de consenation du milieu qui vise la fixation des dunes littorales et la protection des zones de culture contre les effets ncfastes du vent. Le filao (Casuarina equisetifolia), un arbre fixateur d'azote originaire d'occanie et du Sud-Est asiatique, est l'essence privilcgice pour la fixation des dunes. Depuis un peu plus d'une quarantaine d'anntes, les superficies reboisces le filao totalisent pas moins de ha et sa croissance rapide, particulibrement dans les bas-fonds de dunes, en font une source potentielle de bois dans la zone. Parallblement aux travaux de fixation des dunes littorales, les efforts de reboisement ont port6 sur plus de 2380 ha de dunes intcrieures et plus de 4350 ha de dunes stabilistes. Ainsi, malgrc la scvtrit6 des conditions climatiques des dernibres annces, les programmes de fixation de dunes s'avbrent une rcussite remarquable par rapport aux objectifs initiaux et repdsentent un apport indkniable dans la lutte contre la dksertification. Introduction A l'instar de la majoritt des pays sahbliens, le SCnCgal est confront6 B un double dcfi au plan forestier: celui de protkger des Ccosystkmes fragiles et celui de rkpondre aux besoins de sa population (7,5 millions d'habitants) en bois. Au cours des dernikres annces cependant, les conditions clirnatiques ont contribuc B rendre plus sensibles les milieux naturels. SimultanCment, les pressions exercces sur ces Ccosystkmes se sont intensifices suite?i l'accroissement de la population et B l'utilisation de pratiques allant B l'encontre de la conservation du milieu. Aussi, les efforts de reboisement (environ ha ax1) ne suffisent pas i compenser les dtgradations multiples dont sont l'objet les formations arborces et qui affectent environ ha an-l (Buttoud 1989). Devant la demande accrue en matikre ligneuse que les formations naturelles ne peuvent combler, les plantations forestikres constituent une source vers laquelle les populations pourraient se tourner pour satisfaire leurs besoins. Panni celles-ci, les plantations de filaos (Casuarina equisetifolia Forst. & Forst.) offrent un potentiel relativement intcressant. InitiCes il y a un peu plus d'une quarantaine d'annks, ces plantations font partie d'un programme de conservation du milieu qui vise la fixation des dunes vives du littoral et la protection des zones de culture contre les effets ncfastes du vent. Elles totalisent aujourd'hui plus de ha et reprksentent un apport indtniable 'Addresse actuelle: Department of Forest Sciences, Faculty of Forestry, University of British Columbia, Main Mall, Vancouver, B.C. Canada V6T 124. 'Projet de Conservation des Terroirs du Littoral-Sud, Ministere du DBveloppement Rural et de I'Hydraulique Direction des Eaux, For&, Chasses et de la Conservation des Sols, B.P. 432, Thibs, SBnBgal, Afrique de l'ouest. 3~entre de Recherche en Biologie Forestihre, Facult6 de Foresterie et de Gkomatique, Universit6 Laval, Ste-Foy, QuB., Canada G1K 7P4. 4D6Partement des Sciences Forestikres, Facult6 de Foresterie et de Ghnatique, UniversitB Laval, Ste-Foy, Qu6., Canada GlK 7P4. The northern coast of Senegal is the site of a conservation program with the objective of stabilizing shifting sand dunes in order to protect adjacent agricultural fields against the detrimental effects of wind. Casuarina equisetifolia ("filao"), a nitrogen-fixing tree species indigenous to Oceania and southeast Asia, is the favored species for these dune stabilization efforts. Over the past 40 years, the total area reforested with C. equisetifolia amounts to more than 9700 ha. Due to its rapid growth, particularly in the inter-dune depressions, it is seen as a potential source of wood for the region. Additionally, reforestation efforts have also been directed towards the semi-fixed dunes (2380 ha) and the fixed dunes (4350 ha) lying further inland. Thus, despite the severity of the climatic conditions of recent years, Senegal's dune fixation program is clearly a success in respect to its initial objectives and represents an important step forward in the fight against desertification. dans la lutte contre la dtsertification (due au climat) et la dksertisation (due B l'action hurnaine). Le but de cet article consiste donc B situer dans un contexte gcographique et historique l'origine des plantations de filaos au SCnCgal. Il vise Cgalement B exposer les techniques utdikes au niveau des projets de fixation des dunes vives du littoral, B presenter un bilan des r6absations dkoulant de ces projets, et B dsumer l'expertise acquise en amcnagement des plantations de filaos dans le contexte gcncral de la conservation des terroirs du littoral nord scncgalais. La region naturelle des Niayes Les plantations de filaos foment une bande de 400 mktres de largeur en bordure de mer le long du littoral nord du SCnCgal. Elles servent B protcger les Niayes, un territoire de 10 B 15 km de largeur, reconnu cornme un milieu propice aux cultures maraichkres (Fig. l). S'Ctendant sur une superficie de plus de km2 entre Dakar et St-Louis, cette rdgion contribue B elle seule a des deux tiers de la demande nationale en produits maraichers (Blouin 1990). Elle permet B plus de personnes de vivre presque exclusivement des retombtes Cconomiques assocites B ce secteur d'activitks. Bien que propice aux activitcs de maraichage, la rigion des Niayes est d'abord et avant tout caractcrisce par des formations de dunes sableuses recouvrant l'ensemble du territoire. I1 en rcsulte un syst2me de dunes littorales constituc de dunes blanches ou vives et de dunes jaunes semi-fixdes ainsi qu'un syseme dunaire continental form6 par des dunes "rouges" fixks. Les dunes blanches se dcveloppent par l'apport de sable en provenance de la haute plage. Les dunes jaunes sont constituks essentiellement de sols peu CvoluCs d'apport Colien ayant subi une certaine Cvolution pcdogcnctique. Enfin, les dunes "rouges" sont constitutes de sols ferrugineux tropicaux peu ou pas lessivk ou sols ~ di~~,, et de sols hy~morphes waignien 1965). A l'interface des dunes semi-fixkes et fixkes apparaissent des &pressions humides hautement fdes, les niayesl qui s76,firent 282 MAUJUIN 1994, VOL. 70, NO. 3, THE FORESTRY CHRONICLE
2 Figure 1. Carte de la r6gion des Niayes (SCnCgal). entre les ondulations sableuses et qui correspondent soit B des interdunes, soit B des traces d'anciens rkseaux hydrographiques (Fig. 2). C'est autour de ces cuvettes et chenaux B nappe phrkatique subaffleurante que s'est dkveloppke la culture maraichkre qui singularise la rkgion des Niayes. Celle-ci se distingue kgalement par des conditions bioclimatiques et hydriques exceptionnelles. Ainsi, de dhmbre B rnai, lorsque souffle l'aliz.6 maritime, la rkgion jouit d'un climat frais, humide et trks diffkrent de celui des rkgions intkrieures soumises durant B l'harmattan, vent sec et chaud de secteur est. I1 en rksulte des conditions particulikrement favorables B la culture des lkgumes de saison skche (octobre B mai). Le maintien des ressources en eau est la condition essentielle de survie de l'activitc maraichkre dans la zone. L'kquilibre reste prkcaire et incertain dans la mesure oh il est sournis B I'kvolution imprkvisible du rkgime pluviomktrique. Les prkcipitations moyennes annuelles ont continuellement chutk dans cinq villes de la rkgion des Niayes de 1950 B 1979, alors qu'on observait une lkgkre reprise durant la pkriode 'Selon Tmhain (1940), le mot "niaye" est synonyme de palmier B huile (Elaeis guineensis) en ouolof, langue parlee au StnCgal. Par extension, on a baptist5 de ce nom les boqueteaux de palmiers huile clui - situt5s entre ~ ak& et ~ompc&l puis, tout le district. 2 ~ destruction a progressive de ;es formations v6gt5tales qui prit de I'ampleur B la suite de la premikre guerre mondiale, t5tait en relation avec le dt5veloppe ment de la ville de Dakar, devenue capitale de I'Afrique Occidentale Frangaise en pour les villes de Dakar, Kkbkmer et Saint-Louis (Fig. 3). Sous l'effet de ces dkficits pluviomktriques, auxquels se surimpose une couverture vkgktale trop peu dense pour Stre efficace, on assiste B la progression des sables vers l'intkrieur du pays (Blouin 1990). En raison de la forte instabilitk des ensembles dunaires, la migration des dunes atteint dans certains cas, m an-'. Jl s'ensuit une altkration et un rktrkcissement des potentialitks en terre et en eau des sites propices au maraichage, en plus d'une dkgradation continue des formations naturelles. Selon Raynald (1963), les formations forestikres qui occupaient jadis la region sud des Niayes se rapprochaient des for& sempervirentes ou semi-dkcidues propres au savanes guinkosoudaniennes. Les dunes vives, bien ktaient maintenues en place en raison de l'abondance de la vkgktation herback et buissonnante prot6geant tout l'arribre-pays. D'a@s Giffard (1974), ce sont les dkboisements effectuks au dkbut du si&1e2, de meme que les &gradations wcasionn& par le piktinement et le surp2turage du cheptel permanent ou en transhumance (desertisation) qui amorckrent le phknomkne de dksertification. Fuisque le maintien du couvert vkgktal est intimement lik aux pressions exercks sur le milieu p& les activitks humaines, l'exploitation anarchique de la vkgktation dans cette zone est entourent les kmes littoram venue exacerber une situation dkjb dklicate (Blouin 1990). Premihres interventions C'est pour faire face B la disparition progressive de la vkg6 tation naturelle et conskquemment, aux risques d'ensevelisse- MAYIJUNE 1994, VOL. 70, NO. 3, THE FORESTRY CHRONICLE 283
3 Cuvette maraichbre acte d'ensevelissement 'avancte des dunes vives The Forestry Chronicle Downloaded from pubs.cif-ifc.org by on 02/16/18 Figure 3. Fluctuations pluviom~~ques pour,-inq,,illes de la region des Niayes entre 1950 et Caractbristiques de croissance du filao L'utilisation du filao Ctait justifice en raison de sa capacite de croissance dans des conditions particulikres: proximit6 de la mer, effets des vents violents charges d'embruns, presence d'un sol sablonneux peu fertile et sans cohesion, et resistance 2 un ensablement partiel. Il faut ajouter B cela sa capacite de fixer l'azote atmosphkrique par l'entrernise d'une symbiose racinaire avec un actinomyckte filamenteux du genre Frankia (National Research Council 1984). Le filao possue tgalement la capacitc d'ktablir des symbioses racinaires avec des champignons endo- et ectomycorhizateurs qui lui permettent de coloniser des sols trks pauvres et de croitre dans des conditions difavorables (Maggia 1991). De plus, son systkme racinaire est parfois caract6rist par la presence de racines groupkes ou de racines dites "protcoi'des" (Diem et al. 1981). Ces dernikres, stirnulees par des deficiences en certains oligoelements, foment alors un rtseau dense de radicelles B la surface du sol qui favorisent l'absorption des elements nutritifs, en particulier dans les sols B faible teneur en phosphore (National Research Council 1984; Racette et al. 1990). Convenablement inoculc avec Frankia, le filao a un pouvoir fixateur d'azote trks tlevc: de 40 a 100 kg ha-l an-', d'oh son in@t en agroforestde et dans la restamation des milieux &grad& (Dommergues 1990; Maggia 1991). La croissance en hauteur du filao peut atteindre 50 m, mais se situe gcn6ralement entre 15 et 25 m (National Academy of ment des niayes que les autorites gouvernementales entreprirent ds de etion de des dunes ulves. lg259 Sciences 1980) Dms les oopicales humides, la prole Service de 1' Agriculture proceda au reboisement d'un ductivite des plantations de filaos est generalement m&mum perimktre auteur du lac Youi (au sud des Nia~es) menace vers de 7-10 ans, avec un accroissement annuel rnoyen d'ensevelissement. L'essence retenue pour les travaux de protection fut le fi1a09 un des d'ausfr&e, lon re@ouve le film & prorirmte de lamer dans les secteurs halayes par la du SU~-ES~ asiatique et des hes du pacifique3, introduit au Part bfise maritime et sur Ies SOIS profonds et pauvres, B condition que la nappe Forestier de ~ a nen n 1908~ ~ (Maheut et Dornmergues 1959). ohreatiaue ne descende Das.. olus de trois mktres de la surface du sol. Quelques plus tad, ces plantations 6taient eies-m6mes i ~ pa& e forestier est situe B Hann, en banlieue de Dakar. menacees de disparition par l'avmcee des sables. L~ service S~elon Monod (1951), I'introduction du filao au Senegal pourrait remonter aussi loin qu'en 1824 puisqu'il figm dans le C&gue des Phes de la P@ink?re dkida d'intervenir en 1948 et proceda au reboisement du Gouvemement au Sinkgal de Richard-Toll, date du 15 juillet 1824, d'un front de 04 km de longueur et largeur de 200 mk-s D'autre paa, Chevalier (1909, cit6 par Moncd, 1951) pensait que I'introduction autour du lac Youi. du filao au Senegal remontait seulement B MAVJUIN 1994, VOL. 70, NO. 3, THE FORESTRY CHRONICLE
4 de l'ordre de 6-10 m3 ha-' pour des densit6s de plantation variant de B tiges ha-' (Pandey 1987). En dtpit de ces qualit6s, le filao est une essence de courte longtvit6 (30-40 ans) qui ne rejette pas de souche en peuplement. De plus, ttant donnt que cet arbre ne se rtgtnkre pas naturellement sous son propre couvert, son utilisation rend les operations de fixation des dunes trks cofiteuses. Toutefois, des essais systtmatiques portant sur 27 espkces vtgttales difftrentes entrepris B la mcme tpoque &montr&rent que le filao ttait la seule esp6ce apte B fixer adtquatement les dunes vives malgrt les tentatives B partir de plants, de semis, de boutures et de plants repiquts (Maheut et Dommergues 1959; Adam 197 1). Encore aujourd'hui, le filao est l'essence priviltgite pour la fixation des dunes vives. Force est de constater que les succbs obtenus au niveau des projets de fixation des dunes sont imputables B l'utilisation judicieuse d'une essence bien adaptte au milieu. Toutefois, il convient d'ajouter B cela le savoir-faire des forestiers stntgalais qui ont su dtvelopper au fil des anntes, des techniques adaptees B un milieu a priori hostile aux efforts de revitalisation. Techniques de fixation des dunes Protection initiale Le principe fondamental de la fixation des dunes littorales est d'empzcher le sable de se dtplacer durant un laps de temps suffisamment long pour permettre aux plantations de s'y ttablir. On y parvient en installant en premier lieu un rkseau de protection constitut de brise-vent artificiels dont le but est de stabiliser temporairement les sables dunaires. Ce rtseau est mis en place en deux ttapes: dans un premier temps (i.e. environ un an avant la plantation), une palissade ou "contredune" de 1 m de haut est installte B une distance d'environ 70 m de la ligne des hautes marks. Elle favorise la formation d'une dune bordibre qui permet de retenir le sable durant la premibre annte de la plantation. Toutefois, cette protection est incapable de contenir B elle seule les mouvements de sable sur toute l'ttendue de reboisement (Maheut et Dommergues 1959). On prockde donc dans un deuxibme temps B la mise en place d'un rtseau de protection constitut de fascines disposces perpendiculairement aux vents dominants. Cette opkration a lieu gkntralement avant la plantation, de novembre B juin selon l'ampleur des sites B reboiser. La distance entre les fascines est de 20 m sur les pentes faibles (0 B 5%). Dans le cas des pentes suptrieures B 5%, cet espacement est ramen6 B m et la protection est de type croiste (FA0 1981). Les fascines, d'une hauteur de 50 cm en moyenne, sont confectionnks par les paysans B partir de branchages de "nger" (Guiera senegalensis), tresses sur des piquets d'euphorbe (Euphorbia balsamifera). Un autre type de fascine B base de materiel synthttique est tgalement utilist (Andtkt-Lengui et Dommergues 1983). Techniques de plantation Les travaux de ptpinikre sont initics une fois l'installation du kseau de protection complttk, habituellement vers les mois de janvier et ftvrier. L'objectif est de produire suffisamment de semis de filaos pour rtpondre aux besoins d'une seule saison de plantation. Pour ce faire, on a recours B deux types de ptpinikre: une ptpinibre permanente (environ plants at-') qui a pour but de ravitailler en plants dans un rayon d'action constant, et dite 'tolante" (environ plants an-') installte sur le chantier et qui est dtplacte en fonction des secteurs B reboiser. Les semences utilistes pour la production des semis sont prtlevtes sur des arbres matures et bien formts durant le mois de dtcembre. Les semis sont tlevts dans des gaines de polytthylbne de 80 p d'6paisseu.r environ, remplies d'un melange de sable et de terreau ou de tourbe. Le repiquage a lieu aprbs 4 B 6 semaines de croissance, lorsque les plants atteignent 10 cm de hauteur. Les arrosages, ltgers et quotidiens, sont effectuts manuellement B partir de puits creusts sur le site mcme de la p6pinikre. L'inoculation des semis avec l'actinomyc&e ~rankia~ a lieu lorsqu'ils atteignent 8 B 10 cm de hauteur environ (FA0 1981). La technique utilik wnsiste B broyer des nodules pkiev& au niveau des racines de filaos dans les anciennes plantations, puis B les tremper pendant quatre B cinq jours dans I'eau d'arrosage (toutefois, une autre forme d'inoculation B partir d'inoculum pur obtenu en laboratoire, semble Ctre prtconis& aujourd'hui (Sougoufara et al. 1992)). Aprbs deux semaines environ, les jeunes plants traitts avec cette solution prtsentent des nodositts au niveau des racines secondaires (FA0 1981). Aprbs 4 B 5 mois de croissance, les semis ont une cinquantaine de centimbtres de hauteur. Les premikres plantations (Fig. 4) ont lieu lorsque le cumul pluviomttrique atteint 50 mm environ. Les plantations sont rtalistes en quinconce B des tcartements de 2,5 X 2,5 m gtntralement (1 600 plants hav1). Une fois plantts, les semis ne sont plus arrosks et dtpendent pour leur survie de I'humidit6 contenue dans le sol et des embruns marins. ~tant donnt la nature du sol (sablonneux et dtnudt), les activitts de reboisement prtsentent peu de difficultts sur le terrain et peuvent Ctre effectutes trks rapidement (20 hectares par jour en moyenne). Quelques semaines aprks la plantation, les jeunes arbres demeurent vulntrables et des dkhaussements se produisent sous l'effet des sables superficiels poussts par le vent (Adam 1971). Toutefois, les taux de survie enregistrts aprks un an oscillent autour de 80 h 90% en gtneral. Les superficies plantks ont une largeur moyenne de 200 m, la longueur variant selon les objectifs annuels fixes au niveau des projets de fixation de dunes. Projets de fixation des dunes Bien que les premiers efforts de stabilisation des dunes vives remontent B 1925, ce n'est qu'en 1948 que le Service Forestier &cide d'intervenir massivement devant une situation jug& alarrnante (Maheut et Dommergues 1959). Les premiers boisements ont pour but de limiter le dtplacement des sables dans la zone du Cap-Vert par la crtation d'un abri vtgttal large de 200 m et long de 30 km entre Malika et Kayar (Fig. 1). Au total, plus de 5 13 ha ont ttt reboists en filao entre 1948 et 1959 (tableau 1). Malgrt ces efforts et ceux apportts par d'autres travaux de protection7, il faut attendre l'annte 1972 pour voir surgir de %elon Maggia (1991), aucune plante actinorhizienne n'existe naturellement au Sknkgal. Le Frankia aujourd'hui prksent dans ce pays serait d'origine australienne et aurait kt6 import6 avec les premiers plants de C. equisehifolia dks la fin du mime sikle. La premikre inoculation B l'aide de broyat de nodules a kt6 faite en 1976 (Projet de fixation des dunes de Kkbkmer). La premihre inoculation avec des cultures pures de Frankia remonte B 1984 et consiste k utiliser des inoculums polymkriques (Sougoufara et al. 1989). 7~'autre chantiers de reboisement sont en opkration durant cette pkriode. Par exemple, plus de 750 ha de dunes inerieures, voisines de dkpressions cultivables de la dgion de Thiks, sont reboiskes entre 1957 et 1967 avec pour seule es+e l'anacardier (Anacardium occidentale). De 1965 B1%7, un programme de 260 ha fut exkcutk sous forme de brise-vent autour de lacs et de petits massifs dans la kgion du CapVert, avec comme principales esp&ces le niaouli (Melaleuca leucadendron) et l'eucalyptus (Eucalyptus camaldulensis). MAYIJUNE 1994, VOL. 70, NO. 3, THE FORESTRY CHRONICLE 285
5 Figure 4. Travaux de reboisement avec le filao sur dune vive. A I'arrikre plan, une plantation de filaos %gee de 7 ans. Au premier plan, des semis de filaos prcts B Ctre plant&. The Forestry Chronicle Downloaded from pubs.cif-ifc.org by on 02/16/18 Tableau 1. Superficies plant6es (ha) avec C. equisetifolia sur dunes littorales vives (SCnCgal) de 1948 h 1991 Secteur Annee Sud Centre Nord Total Sources: Archives des projets de fixation des dunes; Maheut et Dommergues nouvelles initiatives de fixation des dunes avec le filao. Toutefois, devant I'ampleur du programme B rtaliser, le gouvemement stntgalais demanda l'assistance du Programme des Nations Unies pour le Dtveloppement (PNUD) en 1973 afin de poursuivre ses efforts. L'annte 1975 est marqute par la crtation dans le secteur centre des Niayes (Fig. I), du Projet de Fixation des Dunes de Ktbtmer, co-finance par le PNUD et le gouvernement du Stntgal. Panni les objectifs du projet, on compte notamrnent la reconstitution et la consolidation du couvert vtgttal (fixation des dunes vives), la crtation d'un rtseau de brise-vent protecteur des cultures maraichbres et l'introduction d'espbces forestibres favorisant l'amtlioration des sols et la production de fourrage atrien (FA0 1981). Ce projet est suivi en 1979 par le Projet Autonome de Fixation des Dunes du Gandiolais, couvrant le secteur nord des Niayes (Fig. 1). Co-financt par 1'ACDI (Agence Canadienne pour le Dtveloppement International), ce projet opbre au nord du projet de KtMmer tout en poursuivant les memes objectifs. Deux ans plus tard, le Projet de Fixation des Dunes de Kayar, cefinand par I'USAID (United States Agency for International Development), dtmarre dans la partie mtridionale des Niayes, au sud du projet de Ktbtmer, toujours avec les memes objectifs. En 1988, 1'ACDI prend la relbve du projet PL 480 de 1'USAID au sud qu'elle fusionne avec le Projet de Fixation des Dunes du Gandiolais au nord pour former le Projet de Conservation des Terroirs du Littoral. Bilan des rkalisations Dunes littorales Depuis 1948, les travaux de protection entrepris au sein des difftrents projets de fixation des dunes ont permis le reboisement de plus de ha de dunes littorales avec le filao (tableau 1). En 1982, un des objectifs du gouvernement est atteint, B savoir la crtation d'un front vert continu large de 200 m 286 MAVJUIN 1994, VOL. 70, NO. 3, THE FORESTRY CHRONICLE
6 reliant Dakar 21St-Louis (1 80 km), entikrement rkalisk avec le filao. ActuelIement, les travaux de reboisement sur dunes vives se poursuivent h un rythme d'environ 700 ha par annk pour I'ensemble des projets (tableau 1). L'impact des plantations de filaos se rnanifeste de diverses faqons. En plus de constituer un Ccran physique efiicace destin6 h freiner B'avancke des sables, la bande reboiske a favoris6 le retour de nombreuses familles de paysans qui avaient autrefois desert6 Ea kgion. L'influence des plantations est pdsente dans toute la zone (Fig. 51, ce que signda avec eloquence Giffard en 1974: "le voyageur qui traverse le district ne peut manquer dlappr&cier les transformations apportkes au paysage par l'introduction des arbres; d'avion, le contraste entre secteurs reboists, secteurs cultiv6s et secteurs dkgradis est encore plus saisissant". Dunes intkrieures et dunes stabilis4es ParaIElement aux travaux de fixation des dunes vives, les projets ont entrepris le rehisement de plus de ha de dunes intkieures (secceurs sud et centre; tableau 2). Les principales essences utilisces sont l'eucalyptus (Eucalyptus camaldulensis), les acacias originaires d' Austratlie (Acacia hlosericea et A. mmida) et 1' anacardier (dnmardium occidentale). De plus, des actions de reboisement sur dunes stabilisks (secteurs sud et centre) ont &ti entreprises et totalisent envimn ha (tableau 2). Les principales es@ces employks sont les acacias (Acacia albida, R tortifis, A. hobsericen), l'eucalyptus (E. carnalrdulensis), ainsi que Prosopis julijbra, Pourpartia birrea et Babnites aegyptiaca (FA0 I983). Enfin, des travaux de protection des axes mutiers (108 km) et de protection rapprochke des cuvettes dch?res (976 km) ont 136 rhlisks, avec essentiellement les rn&mes esptxes. Foresterie rurale er reboisements communautaires Les ophtions de reboisement dans la zone des Niayes, conduites juqu'ici en kgie, se hmsfenmt tirnidernent et d'une manik ponctuelle aux populations (Blouin 1990). Dans ce contexte, le su& des activitk de protaction et de mnstitution du milieu de vie passe par la responsabilisation des populations males vis-i-vis de la gestion des ressources nabmlles. Four y parvenit, chaque projet Clabore un volet de foresterie rurde, lequel vise une plus grande participation des populations. Actuellement, cette implication prmd diverses fortnes dont la promotion de groupements organis& (groupements de femmes, de jeunes) dans Ia gestion collective des pkpinikres et des boisements villageois. La selection d'espkces ligneuses djversifi&s et la rkintroduction d'essences lmales moins sensibles i la skheresse sont favorisk. Au total, les supehcies reboides sous fome de plantations villageoises sycli.vent h plus de 906 ha (tableau 2). Parmi les espkes les plus utilisks, mentionnons l'anacardier, le psopis, l'eucalyptus, les acacias, et diverses es* i usages multiples. Croissaace, rendement et d6veloppernent des plantations de filaos La croissance du filao le long du littoral nod senegalais est tres bonne, compte tenu de la dyerit6 du milieu. Elle se traduit sur le terrain par des diffkrences de rendement selon Ia position microtopographiqne occupee par les plantations (Ndiaye 1990; Ndiaye et al. 1993). Les rneilleurs rendernem observks se trouvent dans les bas-fonds 0i.1 l'on enregistre un accroissernent annuel rnoyen maximum (a.a.m.m.) de l'ordre de 4.2 m3 ha-' an-" 18 ans, suivis des flancs de dunes (a.a.m.m. de 2.0 m3 ha-' an-' i 29 ans) et enfin des sommets de dunes (a.a.m.m. de 1.7 m3 ha-' an-'?i 30 as). La croissance en hauteur (Fig. 6) est maximum vers 1' dge de 7 ans (entre 1.1 MAYIJWE 1984, VOL. 70, NO. 3, THE FORESTRY CHRONICLE 287
7 Tableau 2. Superficies planties (ha) sur dunes intirieures. sur dunes stabilisk. alantations de vrotection et alantations villa~eoises devuis 1975 Protection des Plantations Protection rapprochie Dunes int6rieures Dunes stabilisees axes routiers villageoises des cuvettes Ola) (ha) Oun) (ha) maraichhres (km) Secteur Annie Sud Centre Nord Sud Centre Nord Sud Centre Nord Sud Centre Nord Sud Centre Nord Total Sources: Archives des projets de fixation des dunes; FA0 1981; FA et 1.6 m an-'). Selon Hodges et Geary (1985), les plantations de filaos pourraient constituer une des sources les plus productives de bois dans le nord du SCnCgal si elles Ctaient amtnagtes adkquatement. Jusqu'B prcsent, elles n'ont fait l'objet d'aucune intervention sylvicole B grande Cchelle. Les plus vieilles plantations sont maintenant 2gCes de 46 ans et prisentent des signes de dcgcncrescence. D'autre part, l'absence de rcgcncration naturelle dans le sous- Cage pose le problbme de la succession des peuplements de films. La prcsence d'une Cpaisse couche de litibre non-dccomposce explique en partie les dficultcs d'ctablissement de la rcgcncration naturelle sous le couvert des plantations. En raison d'une combinaison de conditons tcologiques particulibres (nature du sol, absence de pluie durant la majeure partie de l'annk et proximitt de la nappe phreatique), les processus de dccomposition de la litibre et d'incorporation de la matibre organique dans le sol mintral sont trbs lents. ConsCquernment, on observe dans les bas-fonds un patron d'accumulation de litibre au sol semblable B celui gkntralement observe en for& borkale. Les rcsultats d'une ttude rtcente dcmontrent que la matibre organique s'accumule B un rythme d'environ 3.3 Mg ha-' at-' dans la couverture morte, soit un total de 120 Mg ha-' aprbs 34 ans (Madly et Margolis 1992, 1994). De la mcme fiipn, l'azote et les principaux ClCments nutritifs s'y accumulent jusqu'au moment de la sinescence des arbres. La quantitb d'azote dans la couverture morte et dans le sol mincral augmente B un taux d'environ 75 kg ha-' an-', ce qui indique un taux apprkciable de fixation d'azote. Enfin, il faut souligner que l'essentiel du capital en ClCments nutritifs au niveau du sol est localis6 dans la couverture morte et dans les tout premiers centimbtres du sol rnincral, ce qui tcmoigne de l'importance de protkger et de conserver cet interface fragile lors des opcrations de rccolte et de remplacement des anciennes plantations. AmCnagement des plantations et utilisations du filao L'amtnagement Cventuel des secteurs reboiscs dans la r6gion des Niayes pose le problbme du r6le unique de protection jouc jusqu'ici par les plantations de filaos. MalgrC tous les efforts accomplis depuis une quarantaine d'annces, les superficies reboisces ne suffisent pas B freiner totalement la progression des sables dunaires. ~'autre art, dans un contexte de &%faction L. des ressources ligneuses, les pressions exercces sur ces plantations se font de plus en plus sentir. Devant ce phknombne, les forestiers sinkgalais sont confrontcs B un dcfi de taille: celui d'amenager les plantations de filaos sur une base de dcveloppement durable. Pour faire face B cette situation, le gouvemement du SCnCgal (Direction des Eaux, ForCts, Chasses et de la Conservation des Sols) a entrepris l'tlaboration d'un plan d'amknagement des plantations de filaos. Ce dernier prcvoit l'exploitation et le remplacement des vieilles plantations dcpcrissantes de mcme que l'amknagement des jeunes plantations. Pour les vieilles plantations, le dcfi consiste B rkup6rer le bois dans les peuplements qui sont en dcgcncrescence tout en assurant la ptrennitc de la protection. Pour les jeunes plantations, il s'agit de tirer profit des sites les plus productifs que sont les cuvettes en y pratiquant notarnment des Cclaircies intermtdiaires avant la coupe finale. Le taux de mortalit6 relativement Clevt dans les jeunes plantations suggbre qu'une premibre Cclaircie entre 1'2ge de 7 et 13 ans pourrait contribuer B diminuer la mortalitt naturelle due B la compctition entre les arbres tout en fournissant des produits pouvant contribuer B rcduire le dcficit en bois de feu scvissant dans les environs. Des expcriences conduites en Inde ont perrnis de conclure que des plantations de filaos ayant des densitcs initiales de tiges ha-' pouvaient Ctre Cclaircies dbs l'2ge de 7 ans et rccoltces B l'2ge de 15 ans sans perte de production (Singh et al. 1983). Dans tous les cas cependant, les activitks d'amknagement devront laisser intacte une mince frange en bordure de mer oi~ les arbres ont une forme arbustive dtcoulant de l'effet des vents violents chargts d'embruns. Ce front de verdure buissonnant joue un r6le d'ccran protecteur contre l'avancte des sables et permet aux jeunes arbres plantis sous sa protection de croitre avec un stress rcduit. 288 MAYJUIN 1994, VOL. 70, NO. 3, THE FORESTRY CHRONICLE
8 Figure 6. Filaos 5g6s de sept ans ayant une hauteur d'environ 8 m. The Forestry Chronicle Downloaded from pubs.cif-ifc.org by on 02/16/18 D'autre part, les rksultats obtenus B partir des 6tudes de croissance apportent un nouvel &lairage sur la probl6matique de l'am6- nagement des plantations de filaos. Ainsi, la croissance plus lente des arbres au niveau des flancs et des sommets de dunes (a.a.m.m. B 29 et 30 ans respectivement) suggkre que l'sge d'exploitation des plantations croissant sur ces sites devrait se situer autour de 30 B 40 ans, ind6pendamment des objds vids, i.e. production de bois et protection des cuvettes maraichkres contre l'envahissement des sables dunaires. Par contre, dans le cas des plantations situ6es dans les bas-fonds de dunes (a.a.m.m. B 18 ans), deux sc6narios d'ambnagement sont envisageables: 1) une dur6e de rotation d'environ 18 ans dans le cas oh le principal objectif est la production de bois; 2) une durce de rotation de ans dans le cas oh l'objectif principal est 17am61ioration des sols et la protection du milieu. Le plan d'amknagement pr6voit Cgalement l'utilisation du bois de filao sous toutes ses formes. Des Ctudes seront toutefois nkcessaires ah de lui trouver les meilleurs dcbouch6s possible~. Parmi ceux-ci, mentionnons la production de charbon de bois. En effet, le filao posskde un bois lourd et compact qui est considcr6 come l'un des meilleurs bois de feu au monde (National Academy of Sciences 1980). 11 est Cgalement possible d'envisager la production de bois d'oeuvre. De couleur rouge-brun et vein6 de noir, le bois du filao posdde un aspect esth6tique indkniable. Toutefois sa transformation pr6sente des inconvknients majeurs (gauchissement, fentes) et devra faire l'objet d'essais technologiques et d'usinage. Perspectives d'avenir Le filao a bien r6pondu au r6le de stabilisateur de dunes qui lui a 6tC assign6 lorsqu'il a kt6 plant6 le long du littoral nord sdntgalais. Son implantation, suivie d'un programme de fixation de dunes int6rieures et de dunes stabiliskes, est un succks B plusieurs tgards et tkmoigne d'une excellente -trise des techniques de protection et de conservation du milieu. D'ailleurs, les succks obtenus avec les plantations de filaos ont inspir6 un nouveau projet d'envergure internationale, mis en place dans le cadre de l'observatoire du Sahara et du Sahel (OSS). Ainsi, le "Projet de fixation de l'azote Maghreb, Moyen Orient et Sahel" (FAMMOS) am pour objectif le revedssement des zones &ti& africaines par l'6largissement de l'aire des cas- en fique, de Dakar au Djibouti. En ce qui a trait au devenir des plantations de fdaos au S6n6gal, il faut souligner que malgr6 tous les efforts dcploy6s jusqu'h maintenant, les derniers relev6s effectucs dans la zone indiquent que la progression des sables n'est pas entikrement jugulce et que certains habitats sableux ne bcn6ficiant pas ou peu de protection continuent de progresser vers l'int6rieur (Blouin 1990). Face B cette pmbl~que complexe, il est B souhaiter que l'ensemble des intervenants du milieu (les paysans, les services de d6veloppement et de vulgarisation, les associations et groupements vdlageois, les organisations non gouvernementales et les bailleurs de fonds) unissent leurs efforts dans la poursuite des activit& de protection, de gestion et de conservation du milieu. Cette collaboration est indispensable si l'on veut pr6server les acquis issus de cette remarquable r6ussite que constituent les programmes de fixation des dunes vives par le filao. Remerciements Les auteurs tiennent B remercier les personnes suivantes pour leur contribution B la rkalisation de cet article: les responsables des projets inmenant dans la zone pour la collecte des stalistiques MAYIJUNE 1994, VOL. 70, NO. 3, THE FORESTRY CHRONICLE 289
9 concernant les plantations, Jean-Louis Blouin pour sa collaboration (discussions et photographie airienne), Jean LeBorgne pour les statistiques concernant la pluviomi&ie au Sinigal, ainsi que MM. Laurent Maggia et M. Steeve Pepin pour leurs cornmentaires constructifs sur une version antirieure du manuscrit. RCfCrences Adam, J.G Les dunes maritimes de l'af?que occidentale, la fixation des dunes de Dakar. In: Hehu, J.-M., (Editeur), Colloques Phytosociologiques: I. La vtgttation des dunes maritimes. J. Cramer, Vaduz, Liechtenstein, pp And6k6-Lengui, M.A. et Y. Dommergues Coastal sand dune stabilization in Senegal In: Midgley, S.J., J.W. Turnbull et R.D. Johnson (&tern). Casuarina ecology, management and utilization. Proceedings of an International Workshop, Canberra, Australia, August 1981, Blouin, J.-L RCsumC. In: Inventaire biophysique de la rcgion des Niayes - Synthhe. RCpublique du SCnCgal, Minist2re du D6veloppement Rural et de I'Hydraulique, Direction des Eaux, For&, Chasses et de la Conservation des Sols et Dryade. Conservation des Terroirs du Littoral (Projet No ), 262 pp. Buttoud, G Les produits forestiers dans 1'Cconomie africaine. Coll. Techniques Vivantes, Presses Univ. de France, 321 pp. Chevalier, A Les vtgctaux utiles de 1'Afrique tropicale fran~aise. Tome 1. p.24. In: Monod, T. (1951). Un catalogue des plantes de Richard-Toll (SCnCgal) en Bull. IFAN T23, S6r. A (4): Diem, H.G., I. Gueye, V. Gianinazzi-Pearson, J.A. Fortin et Y.R. Dommergues, Ecology of VA mycorrhizae in the tropics: the semi-arid zone of Senegal. Acta Oecologica 2 (16) No 1: Dommergues, Y.R Casuarina equisetifolia: an old-timer with a new future. NFT Highlights No , Nitrogen Fixing Tree Association, Hawaii, U.S.A. 2 pp. FAO Fixation des dunes, protection des niayes et des sols diors de la grande dte. S6ntgal. Manuel de reboisement FO: DPFAFfl41308, FO: DPlSENl731012, Rapport technique 1. PNUD, Rome, 34 pp. FAO Fixation des dunes, protection des niayes et des sols diors de la grande c6te. StnCgal. Conclusions et recommandations du projet. FO: DPIFAFl741308, FO: DPlSENf73/012, Rapport terminal. PNUD, Rome, 32 pp. Gflard, P.-L L'arbre dans le paysage stnkgalais: sylviculture en zone tropicale skche. C.T.F.T., Dakar, 273 pp. Hodges, C.S. et T.F. Geary Technical assistance on mortality of Casuarina equisetifolia planted on coastal sand dunes in Senegal. A technical assistance program for AID'S forestry development activities. USAIDIUSDA. 10 pp. Maggia, L Diversit6 gcnctique de Frankia, symbionte de Casuarina equisetifolia L. JOHNSON en Afrique de I'Ouest (SCntgal et Gambie). Thhse de Doctorat de 19Universitt de Paris VII. &itions de l'orstom, Collection: Travaux et documents microcditcs, 153 pp. Maheut, J. et Y. Dommergues La fixation par le reboisement des dunes de la presqu'ile du Cap-Vert et l'tvolution biologique des sols. Bois For. Trop. 63: Maignien, R Carte pcdologique du StnCgal au Notice explicative. Orstom, Centre de Dakar-Hann, 63 pp. Mailly, D. et HA. Margolis Forest floor and mineral soil development in Casuarina equisetifolia plantations on the coastal sand dunes of Senegal. For. Ecol. Manage. 55: Mailly, D. et HA. Margolis Comgendurn. For. Ecol. Manage. (sous presse). Monod, T Un catalogue des plantes de Richard-Toll (Stntgal) en Bull. I.F.A.N. T23, SCr. A (4): National Academy of Sciences Firewood crops: shrub and tree species for energy production. National Academy Press, Wash., D.C., 237 pp. National Research Council Casuarinas: nitrogen-fixing trees for adverse sites. Innovations in tropical reforestation. National Academy Press, Wash., D.C. 118 pp. Ndiaye, P ~tude des caracttristiques de croissance du Casuarina equisetifolia Forst; dans la zone du littoral nord du StnCgal. Mtmoire de maitrise, Ecole des Graduts, Universit6 Laval, ~ukbec, 87 pp. Ndiaye, P., D. Mailly, M. Pineau et H.A. Margolis Growth and yield of Casuarina equisetifolia plantations on the coastal sand dunes of Senegal as a function of microtopography. For. Ecol. Manage. 56: Pandey, D Modkle de rendement pour les reboisements tropicaux. Unasylva : Racette, S., I. Louis et J.G. Torrey Cluster root formation by Gymnostoma papuanum (Casuarinaceae) in relation to aeration and mineral nutrient availability in water culture. Can. J. Bot. 68: Raynald, A Flore et vtgctation des environs de Kayar (SCnCgal): de la c6te au lac Tanma. Ann. Fac. Sci. Univ. Dakar 9: Singh, S.P., R.S. Sharma et R.C. Jain Effects of spacing and thinnings in Casuarina stands. Indian Forester 109 (1): Sougoufara, B., H.G. Diem et Y.R. Dommergues Response of field-grown Casuarina equisetifolia to inoculation with Frankia strain ORS entrapped in alginate beads. Plant and Soil 118: Sougoufara, B., L. Maggia, E. Duhoux, et Y.R Dommergues Nodulation and N2 fixation in nine Casuarina clone-frankia strain combinations. Acta Oecol. 13(4): Trochain, J Contribution B 1'Ctude de la vcgttation du SCn6gal. Mtm. Inst. Frang. Afr. Noire, No 2. Lib. Larose, Paris, 433 pp. MAIIJUIN 1994, VOL. 70, NO. 3, THE FORESTRY CHRONICLE
CLIQUEZ ET MODIFIEZ LE TITRE
IUFRO International Congress, Nice 2015 Global challenges of air pollution and climate change to the public forest management in France Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque Manuel Nicolas
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailSystèmes sylvopastoraux. Pour un environnement, une agriculture et une économie durables
Caractérisation morphobiologique écologique d'une espèce pastorale de Tunisie présaharienne (Periploca angustifolia Labill.). Implications pour l'amélioration pastorale Ferchichi A. Systèmes sylvopastoraux.
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailPRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC
PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailObjectifs présentés. Discussion générale
Risque de feux et productivité forestière, de part et d autre de la limite nordique d attribution des forêts dans un contexte de changements climatiques Sylvie Gauthier Collaborateur : Yves Bergeron, Martin
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailLa Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt
La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées
Plus en détailPLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR
NOTE AU LECTEUR Dans le cadre de notre certification forestière à la norme du Forest Stewardship Council de la Seigneurie de Perthuis, nous vous présentons un résumé du plan général d aménagement forestier
Plus en détailOn the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun
On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans
Plus en détail1ER CONGRÈS DES FORÊTS COMMUNALES D'AFRIQUE CENTRALE DU 03 AU 06 MAI 2011
1ER CONGRÈS DES FORÊTS COMMUNALES D'AFRIQUE CENTRALE DU 03 AU 06 MAI 2011 Jean Claude Stone Njomkap Département Recherche/ Développement des projets Secrétariat du RAFM jc.njomkap@africanmodelforests.org
Plus en détailLa question sociale globale et les migrations. Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010
La question sociale globale et les migrations Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010 1. Nous connaissons un moment sans précédent de victoire contre la pauvreté 2.
Plus en détailBiomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution?
C est correct. La scie mécanique fonctionne au biocarburant. Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution? Evelyne Thiffault David Paré Jacques Morissette Sébastien Dagnault Ressources naturelles
Plus en détailRESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE
RESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE Johanna GRANDA (1), Alain ARNAUD (1) et Azzédine BOUDIAF (2) (1) ALTAMIRA INFORMATION S.L.,
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détail1 Le chauffage des serres agricoles
1 Le chauffage des serres agricoles 1.1 Introduction Les serres offrent aux maraîchers et aux horticulteurs la possibilité de maîtriser le climat (température, humidité et lumière) et de produire, au moment
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE
1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de
Plus en détailINVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD
INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Programme des Nations Unies pour le développement LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Les élections
Plus en détailLes sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?
Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la
Plus en détailCadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale
Agriculture and Agri-Food Canada Agriculture et Agroalimentaire Canada Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale Les initiatives environnementales Eau Nutriments,
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailModélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Plus en détailRenewable Energy For a Better World. Transforming Haïti s energy challenges into wealth and job creating opportunities ENERSA
Renewable Energy For a Better World Transforming Haïti s energy challenges into wealth and job creating opportunities COMPANY PROFILE Haiti's only designer and MANUFACTURER of solar panels and solar appliances
Plus en détailEvaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood
Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)
Plus en détailLA STRATEGIE CARBONE DU GROUPE OCP Saïd Mouline Conseiller du Président CONFERENCE NATIONALE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES AU MAROC: DEFIS ET OPPORTUNITES RABAT, 11-12 février 2009 50% des réserves du Monde
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailEXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions
Prop. 11.33 EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II Autres propositions A. Proposition Transférer Eunymphicus cornutus cornutus de l'annexe II à l'annexe I. La perruche de la chaîne a
Plus en détailPerte de superficies ayant fait l objet de traitements sylvicoles
OBJET : Perte de superficies ayant fait l objet de traitements sylvicoles Numéro de la politique : FMB 017 2006 Numéro du dossier : 836 00 0003 Date d entrée en vigueur : 1 er septembre 2006 Date de révision
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailFORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE
FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE La fracture agricole mondiale : «Ouvrir des perspectives pour les espaces en développement» 4 et 5 février 2005 Rapport - ATELIER 2A Thème : Les modèles économiques
Plus en détailMichel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011
Présentation par Michel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011 STANDARD DE GESTION FORESTIÈRE FSC FOREST STANDARD SHIP COUNCIL Historique du FSC Créé en 1993 suite au Sommet de la terre de Rio
Plus en détailLe drone en forêt : Rêve ou réalité de performance?
Le drone en forêt : Rêve ou réalité de performance? Denis Cormier, ing.f., M.Sc. et Udaya Vepakomma, PhD Colloque 2015, Ass. forestière Vallée du St-Maurice 5 mai 2015, Golf Le Mémorial, Shawinigan Agenda
Plus en détailAnnexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets
Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités
Plus en détail========================
RESEAU DES FEMMES AFRICAINES POUR LE DEVELOPPEMENT DURABLE EN REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE (REFADD/RCA) BP : 242/BANGUI Tel :(00236)75 03 77 26 Email : bata_gbako@yahoo.fr ======================== Projet
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailImproving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises
Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises Workshop on Integrated management of micro-databases Deepening business intelligence within central banks statistical
Plus en détailLIDO DU PETIT ET DU GRAND TRAVERS A MAUGUIO-CARNON
Prix 2013 «Infrastructures pour la Mobilité et Biodiversité» LIDO DU PETIT ET DU GRAND TRAVERS A MAUGUIO-CARNON Aménagement et renaturation d un site naturel remarquable Psammodrome d Edwards Une dégradation
Plus en détailDonneurs vivants Risques à long terme. Cours de transplantation Univ. Montréal et McGill 5 avril 2013
Donneurs vivants Risques à long terme Michel R. Pâquet MD, PhD Unité de Transplantation Le Centre Hospitalier de l Université de Montréal Hôpital Notre-Dame Montréal Hôtel-Dieu Hôpital Notre-Dame Cours
Plus en détailDernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives
Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les... 1 sur 2 2008-09-18 13:54 Sujet : Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives De : Guy Guilbert
Plus en détail* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy.
(< Le chez soi pour nous, c'est l'eau 11 Cet entretien a été réalisé chez les Tamashek par J.-M. Yung le 30 novembre 1988, et traduit U au pied de la dune n. Il nous a impressionné. Le choix des extraits
Plus en détailMarteloscope Gounamitz 2
Marteloscope Gounamitz 2 Description du dispositif Michel Soucy et André Cyr Faculté de foresterie, Université de Moncton, Campus d Edmundston Jean-Martin Lussier Centre canadien sur la fibre de bois,
Plus en détailAM Terrasses. Fabricant de terrasses bois CATALOGUE TERRASSES M O B I L - H O M E - R E S TA U R A N T S - P I S C I N E - S U R M E S U R E
AM Terrasses Fabricant de terrasses bois CATALOGUE TERRASSES M O B I L - H O M E - R E S TA U R A N T S - P I S C I N E - S U R M E S U R E AM CATALOGUE Terrasses TERRASSES Fabricant de terrasses bois
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailSEMINAIRE CASCADe. Du 17 au 21 novembre 2008 Cotonou, Bénin Rendez vous à 8h30, le lundi 17 novembre à l Hôtel du Lac, Rue de l'hôtel du Lac, Cotonou
Objectifs du séminaire SEMINAIRE CASCADe Le séminaire CASCADe de Cotonou a pour objectif principal de consolider l'expertise MDP et Marché Volontaire du Carbone au Bénin. Les objectifs finaux du séminaire
Plus en détailde stabilisation financière
CHAPTER 108 CHAPITRE 108 Fiscal Stabilization Fund Act Loi sur le Fonds de stabilisation financière Table of Contents 1 Definitions eligible securities valeurs admissibles Fund Fonds Minister ministre
Plus en détailChangement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française
Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailProfils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012
T1.3 (Tropics) Diurnal cycle of cloud cover in the tropical regions: combined use of geostationary satellite, A-Train measurements and lidar/radar ground station measurements. Coordination : G. Sèze (LMD)
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détailRENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL
Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter
Plus en détail1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T
1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T 2. RECHERCHE DE SITES 2.1 Les objectifs 2.2 Les contraintes environnementales liés à l aménagement du territoire liées au transport liés aux documents d urbanisme 3.
Plus en détailRèglement type relatif à l abattage d arbres
Règlement type relatif à l abattage d arbres INTRODUCTION «Une municipalité ou une MRC peut régir ou restreindre la plantation ou l'abattage d'arbres afin d'assurer la protection du couvert forestier et
Plus en détailRésumé du rapport final du Projet ECDD
Résumé du rapport final du Projet ECDD Janvier 2010 avril 2013 A propos du projet ECDD Le projet ECDD a été mis en œuvre par la Bristol Conservation & Science Foundation (une unité opérationnelle de Bristol,
Plus en détailFormulaire d'adhésion PEFC
Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre
Plus en détailLes compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailweber.cel bordure (procomix)
Κ. ΚΑΛΦΙΔΗΣ ΕΠΕΞΕΡΓΑΣΜΕΝΑ ΔΟΜΙΚΑ ΥΛΙΚΑ ΤΕΧΝΙΚΑ ΚΟΝΙΑΜΑΤΑ ΚΑΘΗΓ. Δ. ΕΥΡΙΓΕΝΗ 15 (ΚΕΡΑΜ. ΑΛΛΑΤΙΝΗ) ΤΚ 542 49 ΘΕΣ/ΝΙΚΗ ΤΗΛ / FAX: 2310-330 003 e-mail: info@weberkalfidis.gr www.weberkalfidis.gr Το έντυπο
Plus en détailANNEXE 1-A UNOPS BUREAU DES SERVICES D APPUI AUX PROJETS DES NATIONS UNIES INDICATEURS DES PERFORMANCES DU PROJET
ANNEXE 1-A UNOPS A. ETAT D EXECUTION DES RECOMMANDATIONS DE LA MISSION DE SUPERVISION DU MOIS DE SECTION II : RECOMMA NDATIONS DE LA MISSION N. ET ACTIONS ENTREPRISES PAR LE PROJET RECOMMANDATIONS SITUATION
Plus en détailTOSSA DE MAR ITINÉRAIRES ET PARCOURS
FR OFICINA DE TURISME OFFICE DE TOURISME MUNICIPAL Avinguda del Pelegrí, 25 - Edifici La Nau 17320 Tossa de Mar Costa Brava Girona Spain Tel. +34 972 340 108 email: info@infotossa.com www.infotossa.com
Plus en détailPrise en main par Guy BIBEYRAN Chevalier médiéval époque XIII / XIV siècle métal 75mm Atelier Maket Référence AM75-010 Sculpteur: Benoit Cauchies
Prise en main par Guy BIBEYRAN Chevalier médiéval époque XIII / XIV siècle métal 75mm Atelier Maket Référence AM75-010 Sculpteur: Benoit Cauchies Cette prise en main est destinée à ceux qui voudraient
Plus en détailTHE SEPARATION OF A TRACER FOR THE RADIOCHEM1CAL ANALYSIS OF RADIUM 226.
CEA-R 2419 - BUTAYE Michel ISOLEMENT D'UN TRACEUR POUR L'ANALYSE RAJDIOCHIMIQUE DU RADIUM 226. 223 Sommaire.- Ce rapport décrit une méthode d'isolement du Ra à partir d'un minerai d'uranium et son utilisation
Plus en détailBulletin n 6 LA MALADIE DU ROND
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS COMMISSION D'ÉTUDES DES ENNEMIS DES ARBRES, DES BOIS ABATTUS ET DES BOIS MIS EN ŒUVRE Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND On appelle «maladie du
Plus en détailFlood risk assessment in the Hydrographic Ebro Basin. Spain
Flood risk assessment in the Hydrographic Ebro Basin. Spain Évaluation du Risque d Inondation dans la Démarcation Hydrographique de Congrès SHF, Evénements extrêmes fluviaux et maritimes, Paris, 1-2 février
Plus en détailRapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)
Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de
Plus en détailL offre de master orientée «forêt»
L offre de master orientée «forêt» à AgroParisTech Nancy JD Bontemps, H Wernsdörfer, AgroParisTech - centre de Nancy jdbontemps.agroparistech@gmail.com Holger.wernsdorfer@agroparistech.fr CAQSIS 2014,
Plus en détailREDD-plus. Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques.
REDD-plus Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques novembre 2009 Programme de Conservation des Forêts Le mécanisme REDD-plus
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailCONVENTION PORTANT CREATION DE L'AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE
CONVENTION PORTANT CREATION DE L'AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE 1,._.1... _._~--~------ / Les Etats Africains Sahélo- sahariens soussignés, Burkina Faso; La République de Djibouti; L'Etat
Plus en détailSpecial Operating Agencies Designation Regulation, amendment. Règlement modifiant le Règlement sur la désignation des organismes de service spécial
THE SPECIAL OPERATING AGENCIES FINANCING AUTHORITY ACT (C.C.S.M. c. S185) Special Operating Agencies Designation Regulation, amendment LOI SUR L'OFFICE DE FINANCEMENT DES ORGANISMES DE SERVICE SPÉCIAL
Plus en détailCadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces
Banque de terres Simon Ouellet Agent de développement rural Un outil pour le développement territorial CLD des Collines-de-l Outaouais Emmanuel Roy Agent de développement écologique Cadre légal des CLD
Plus en détailPREFECTURE DE LA LOZERE
SOUS-PREFECTURE DE FLORAC POLE DE DEFENSE DES FORETS CONTRE L INCENDIE PREFECTURE DE LA LOZERE Arrêté préfectoral n 2015071-0002 - du 12 mars 2015 relatif à la prévention des incendies de forêts dans les
Plus en détailServices à la recherche: Data Management et HPC *
Services à la recherche: Data Management et HPC * Pierre-Yves Burgi et Jean-François Rossignol Division informatique (DINF) * HPC = High-Performance Computing Réunion CIF Sciences du 6.12.11 1/19 Contenu
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailExemple et réflexion sur l utilisation de données satellitaires
Exemple et réflexion sur l utilisation de données satellitaires Données Global Forest Change Détection des coupes rases non reboisées Importance et répartition des coupes définitives Le renouvellement
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailIndustrial Phd Progam
Industrial Phd Progam Catalan Government: Legislation: DOGC ECO/2114/2012 Modification: DOGC ECO/2443/2012 Next: Summary and proposal examples. Main dates March 2013: Call for industrial Phd projects grants.
Plus en détailFONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES
FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus
Plus en détailINTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre
INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le
Plus en détailUne planète. Six engagements.
Une planète. Six engagements. Nous ne pouvons plus continuer ainsi L humanité est confrontée à son plus grand défi Chaque jour, notre planète se réveille avec 200 000 nouvelles bouches à nourrir. 1 Chaque
Plus en détailMise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien. 10 Septembre 2012
Mise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien 10 Septembre 2012 Les défis de la chaine de la logistique du transport maritime Danielle T.Y WONG Director Logistics Performance
Plus en détailÉtude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique
Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une
Plus en détailAdhésif structural pour le collage de renforts
Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à
Plus en détailIntervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***
Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention
Plus en détailUNIVERSITE D ANTANANARIVO FACULTE DES SCIENCES DEPARTEMENT DE BIOLOGIE ET ECOLOGIE VEGETALES
UNIVERSITE D ANTANANARIVO FACULTE DES SCIENCES DEPARTEMENT DE BIOLOGIE ET ECOLOGIE VEGETALES Mémoire pour l obtention de Diplôme d Etudes Approfondies (D.E.A.) en Biologie et Ecologie Végétales Option
Plus en détail