LA CULTURE : UNE MARCHANDISE PAS COMME LES AUTRES?
|
|
- Georges Ricard
- il y a 9 ans
- Total affichages :
Transcription
1 in CLT/CIC/BCI/CMM/DOC.FINAL LA CULTURE : UNE MARCHANDISE PAS COMME LES AUTRES? Colloque d experts sur la culture, le marché et la mondialisation organisé en collaboration avec la Commission nationale française pour I UNESCO avec le soutien des Gouvernements canadien et fraryais (Maison de I UNESCO, 14 et 15 juin 1999) _ DOCUMENT FINAL I Le thème avait été choisi tout particulièrement pour faire suite à certaines des recommandations du Plan d action approuvé par la Conférence intergouvernementale sur les politiques culturelles pour le développement (Stockholm, Suède, 30 mars-2 avril 1998) et afin de prendre en compte les incidences des nouvelles donnes internationales sur les biens culturels. La réunion s est déroulée en anglais et en français Trois tables rondes avaient été prévues. Elles ont été composées chacune d un pane1 de spécialistes internationaux qui sont intervenus en premier pendant une dizaine de minutes puis ont échangé avec le public. Un dialogue sur le droit d auteur a également eu lieu. Le colloque a réuni 250 participants : des experts des différentes régions du monde, des délégués permanents et d autres membres des délégations permanentes des Etats membres auprès de l Organisation, des observateurs ainsi que des représentants d organisations intergouvernementales et non gouvernementales intéressées et des membres du Secrétariat de 1 UNEsco. I/ Programme et iutervenants (pages 2 à 7) II/ Conclusions du Rapporteur général (pages 7 à 12)
2 Il Programme et intervenant-s Lundi 14 iuin : 9h. : Ouverture des travaux : Allocutions de : Mme Milagros DEL CORRAL, représentant le Directeur général de I UNESCO, M. Jean FAVIER, membre de l Institut de France, Président de la Commission nationale française pour 1 UNESCO et de S.Exc. M. Jacques DEMERS, auprès de l UNESC0, Ambassadeur, délégué permanent du Canada en présence de S.Exc. M. Jean MUSITELLI, Ambassadeur, délégué permanent de la France auprès de 1 UNESCO. 9h30 : Première table ronde sur : «Entre logique économique et logique de la création : comment considérer les biens culturels?» Obiectifs : définir la place de la culture dans une économie de plus en plus intégrée et mondialisée ; rechercher un terrain d entente et de prospérité entre 1 art et 1 industrie., Démarche : délimiter la problématique de la rencontre, dans le secteur des arts, de la culture et des industries qui s y rapportent; examiner les défis auxquels sont conjï-ontés les pouvoirs publics, les créateurs, l ensemble des professionnels comme aussi le secteur privé ; étudier certains exemples. Intervenants : M. Ivan BERNIJXR (Canada), Professeur de droit international public à la Faculté de droit de l Université Laval de Québec, ancien Doyen et ancien Directeur du Centre québécois de relations internationales. Ancien membre du Comité consultatif canadien sur le commerce international. Membre du Groupe de consultation sectorielle sur les industries culturelles du Ministère des affaires étrangères et du commerce international du Canada ainsi que de groupes spéciaux bi-nationaux faisant suite à l Accord de libre-échange entre le Canada et les Etats-Unis. Auteur de nombreux ouvrages. le Dr Harald BÜCHEL (Autriche), Directeur général de BMG Ariola Austria, ancien «Managing Director» du groupe national autrichien de la Fédération internationale de l industrie phonographique (IFPI), de ses filiales : sociétés de droit d auteur pour le disque et la vidéo (LSG et VBT) et de la «chat-t-compiling entity Austria Top-40». NI. Jorge DA CUJYHA LIMA (Brésil), Directeur et Président de TV Cultura, écrivain et journaliste, ancien Secrétaire des Communications et Secrétaire de la Culture de 2
3 . 1 Etat de Sao Paulo, puis Directeur du journal Ultima Hora, Directeur-fondateur du magazine Senhor-Vogue et Président de la Fondation Casper Libero qui administre la radio, la télévision et la Faculté de communication du même nom. M. Bill MERICIN (Etats-Unis), Président-Directeur général de Stategic Policy Inc. (Washington) ; il a représenté pendant quinze ans le gouvernement américain dans la négociation des accords commerciaux, notamment ceux relatifs aux produits culturels. M. Antonio RUDDER (Barbade), Président du Comité consultatif sur la culture et le commerce de la Barbade, musicien, peintre et administrateur culturel, ancien directeur du Bureau du tourisme de la Barbade, ancien président de la corporation des musiciens et des artistes du spectacle de la Barbade et ancien directeur de la Fondation nationale de la culture. Actuel président ou directeur de nombreuses sociétés comme l Association des compositeurs, auteurs et éditeurs de la Barbade. Modérateur: M. Jacques RIGAUD, Président-Directeur général de la Compagnie luxembourgeoise de télédiffusion - Radio-Télé Luxembourg (CLT-RTL )(France). Ancien collaborateur de Jacques Duhamel, ministre français de la culture, ancien sousdirecteur général de l UNESC0, président fondateur d ADMICAL (Association pour le mécénat industriel), auteur d ouvrages tels que «la culture pour vivre» et, en dernier lieu «l exception culturelle». 14h30 : Deuxième table ronde sur : «Les biens culturels et l internationalisation du marché : comment promouvoir la diversité culturelle» Obiectifs: Démarche : pratiquer l ouverture économique et faire bénéficier toutes les cultures du développement des moyens de communication ; éviter les risques d uniformisation et renforcer le pluralisme, en tenant compte des paramètres économiques et technologiques proposer des modalités pour renforcer et améliorer les échanges dans le domaine culturel, en tenant compte des décisions économiques internationales et des négociations en cours, des instruments existants et de pratiques suivies avec succès dans les différentes régions du monde Intervenants : M. Férid BOUGHEDIR (Tunisie), cinéaste et critique cinématographique, membre du jury du Festival de Cannes, professeur à l Université de Tunis, il a écrit de nombreux ouvrages sur l histoire des cinémas d Afrique noire, du Maghreb et du Proche-Orient et réalisé en particulier deux longs métrages documentaires : «Caméra d Afrique» et «Caméra arabe». Il a organisé un débat sur «l exception culturelle» en marge du Festival de Carthage. M. BEN ZULU (Zimbabwe), Directeur du Fonds pour le développement de l écriture cinématographique africaine (N The African Script Development Fund», Harare ), Cette démarche sera complétée, s agissant des aspects juridiques des NTIC, dans le cadre du dialogue sur le droit d auteur 3
4 ancien Directeur exécutif de l association Media pour le Développement (<< Media for Development Trust D) et businessman dans le domaine du marketing et de la publicité. Il a enseigné le marketing à la «Graduate School of Business» de l Université du Zimbabwe. M. Péter INKEI (Hongrie), Directeur de l Observatoire international sur le financement de la Culture en Europe centrale et orientale de Budapest, chargé d un projet d Open Society Znstitute portant sur la législation dans le domaine du livre, ancien Secrétaire d Etat adjoint aux affaires culturelles, précédemment directeur général adjoint de la maison d édition de l Académie des Sciences puis chef de l Office des publications du Ministère de la culture et de l éducation.et enfin représentant en Europe centrale de sociétés américaines et britanniques dans le domaine de l édition. M. Isanori ISOMURA (Japon), Président de la Maison de la culture du Japon à Paris ; il a occupé pendant trente-huit ans de nombreuses fonctions éditoriales, à Tokyo, Washington ou Paris, puis de direction générale, pour l Europe, l information et l administration à la NHK (télévision publique japonaise). M. Hector MUNRO (Royaume-Uni), Directeur de la promotion des exportations du British Council, Londres - chargé en particulier de la promotion des industries de création britanniques à l étranger. Son action dans le domaine des industries culturelles ou «de création» a commencé avec la fondation de festivals locaux et s est poursuivie avec sa participation à des projets éducatifs et culturels produits par le British Council dans les différents pays. M. Jack R4LITE (France), journaliste, Ancien Ministre, Sénateur-Maire d Aubervilliers, fondateur des Etats généraux de la culture, ardent opposant au projet d Accord multilatéral pour l investissement. Mme Bonnie RICHARDSON (Etats-Unis), Vice-Présidente pour le commerce et les affaires fédérales de l Association américaine du Film (c< Motion Picture Association of America», Washington). Elle travaille avec les agences fédérales à la réduction des barrières commerciales et à l amélioration de la protection de la propriété intellectuelle pour la production américaine dans le domaine cinématographique, télévisuel et les industries locales de la vidéo. Auparavant, elle travaillait pour le U.S. Trade Representative s Ofice en tant que directeur du Service des négociations. Elle a été le chef des négociateurs américains pour l accès au libre marché, dans le cadre de l Uruguay Round. Elle a aussi mené des négociations avec le Japon. Modérateur: M. Robert PILON (Canada), Vice-Président pour les Affaires publiques de l Association québécoise du disque, du spectacle et de vidéo. Economiste et sociologue, il a enseigné l économie notamment à l Université du Québec, à Montréal. Il a été directeur de la recherche économique pour la commission d enquête sur l avenir de la radiodiffusion canadienne et il a été membre du cabinet de Mme Flora McDonald, Ministre des Communications du Canada
5 17h45 : Dialogue sur : «L-e Droit d auteur/copyright, à l heure des nouvelles technologies : peut-on réconcilier les traditions juridiques?» Au cœur de la problématique de la réunion et notamment du concept «d exception culturelle», réside la question du droit d auteur. Le développement de la numérisation et des produits multimédias et l essor d Internet modifient aujourd hui les conditions d utilisation et d exploitation des œuvres. Le débat et la recherche de nouvelles nonnes internationales ont déjà eu lieu. Cependant, l application des dispositions approuvées ne fait que commencer et la source des divergences fondamentales de conception, dont les discussions nées de l entrée dans l ère de la numérisation n ont fait que fournir une nouvelle illustration, demeure. En effet, c est depuis 1 origine qu au niveau international, deux conceptions coexistent et parfois s affrontent: celle du «copyright», qui privilégie les avantages commerciaux et celle du «droit d auteur» d inspiration personnaliste qui met en avant les droits moraux individuels. Au-delà des textes de compromis, peut-on espérer une synthèse des idées? Intervenants : M. Antonio MILLE (Argentine), Juriste international, Fondateur de «El Estudio Millé», Vice-Président du Committee R - Computer and Technology Law, International Bar Association IBA - Business and Law Section. M. Ndéné NDIAYE (Sénégal), Magistrat des Cours et tribunaux du Sénégal puis directeur général du Bureau sénégalais du droit d auteur et président du Comité permanent de l OMP1, Conseiller juridique de la Confédération internationale des sociétés d auteurs et de compositeurs - CISAC. Modératrice : Mme Milagros DEL CORRAL, Directrice de la Division de la créativité, des industries culturelles et du droit d auteur et de l office des éditions de I UNESCO, ancienne Directrice des Bibliothèques du Ministère de I Education de l Espagne et ancienne Secrétaire générale de la Fédération des éditeurs espagnols. Mardi 15 iuin : 9h : Troisième table ronde sur : «Politiques publiques et Strat&@es d action : comment faire vivre la culture» Obiectifs : associer tous les partenaires de l action publique au développement de la culture plurielle dans le monde en mutation ; sensibiliser les décideurs et les citoyens pour provoquer un renforcement de la culture en rapprochant les interventions Démarche : examiner le processus qui doit permettre à l action de trouver sa cohérence, des interventions internationales aux politiques nationales et régionales, des initiatives gouvernementales aux non - gouvernementales, avec 1 appui des créateurs, des autres 5
6 professionnels et du public ; faire le point sur les avantages et les inconvénients des principales mesures face aux facteurs économiques. Intervenants : Mme Carmen BARVO (Colombie), Directrice du CERLALC - Centro regional para el fomento del libro en America latina y el Caribe, de Bogota) jusqu en juin 1999 ; précédemment manager de la Libretia National de Colombie, libraire et éditrice puis directrice dans d importantes maisons d éditions. Mme Claire DENIS (France), cinéaste. Sa filmographie commence en 1988 avec son célèbre «Chocolat» qui sera suivi d autres succès comme «S en fout la mort», «US Go Home», «Boom-Boom», «J ai pas sommeil» ou «Nénette et Boni» en Mme Mira NAIR (Inde), cinéaste vivant actuellement en Afrique du Sud. Son premier film mondialement connu a été le documentaire «Salaam Bombay» en Cette indienne née près de Calcutta qui a intégré l Université de Delhi et découvert le théâtre en Inde avant de le retrouver aux Etats-Unis,où elle poursuivra ses études à Harvard, est devenue célèbre par le cinéma : son œuvre est largement interculturelle. M. Ken STEIN (Canada), Premier Vice-Président pour les affaires de réglementation professionnelle (<< Corporate and Regulatory Affairs >>) de la Shaw Communications Inc, qui est une compagnie canadienne de communication dont la fonction est de promouvoir les services de la télévision câblée, il est aussi membre du Bureau de l Association canadienne de la télévision par câble (<< Canadian Cable Television Association >>) et président du Groupe consultatif du secteur des industries culturelles du Ministère du commerce international (ou extérieur) - SAGIT. Il a participé au développement des logiciels et des projets de marketing de l industrie et a passé quinze ans au service du gouvernement canadien. S.Exc. Mme Aminata TRAORE (Mali), Ministre de la Culture et du Tourisme, docteur en sociopsychologie, ancienne directrice de recherche au ministère de la planification de la Côte d ivoire puis responsable de projets au PNUD, à I UNICEF et au FNUAP. Le regard qu elle porte sur la culture et le développement, elle l a présenté dans le livre qu elle a récemment publié (<< L étau >l). Celui-ci a été qualifié de «cri d alarme» pour l Afrique. M. José Luis VASCONCELOS (Portugal), producteur de cinéma qui a collaboré avec V.O. Films de Paulo Branco à la réalisation de douze longs métrages puis fondé «Opus Filmes» ce qui lui a permis de produire une dizaine de films célèbres comme «O testamento do Senhor Napumocento» qui obtiendra de nombreux prix. Il a organisé le premier Festival international du cinéma du Cap Vert. Intervention, après les membres du panel, de M. Federico MAYOR, Directeur général de I UNESCO. Modératrice : Mme Milagros DEL CORRAL 6
7 12h : Conclusions du Rapporteur général du colloque (cf. infra) Le Rapporteur général, M. Jacques RENARD (France) a choisi le ministère de la culture dès sa sortie de 1 Ecole nationale d administration. Il y a côtoyé tous les domaines : ensembles architecturaux, théâtre, musique, arts plastiques, archives. Ancien membre du cabinet de M. Jack Lang, Ministre de la Culture, il a aussi participé à de nombreux travaux du Conseil de l Europe. Professeur associé à l Université Pierre Mendès-France de Grenoble, il a écrit «L élan culturel». 12h 30 : Séance de clôture : Interventions de : S.Exc. Mme Sheila COPPS, Ministre du Patrimoine canadien et de S.Exc.Mme Catherine TRAUTMANN, Ministre de la Culture et de la Communication de la France. II/ Conclusions du Rapporteur général, - Ce colloque se situe dans le cadre des travaux déjà engagés par I UNESCO : le rapport de la Commission mondiale de la culture et du développement, présidée par M. Javier Perez de Cuellar, «Notre diversité créatrice» et la Conférence intergouvernementale sur les politiques culturelles pour le développement (Stockholm, 1998) dont le Plan d action pose en afirmation et non pas sous forme de question, 1 idée que les biens et les services culturels «doivent être pleinement reconnus et traités comme étant des marchandises pas comme les autres». Plus généralement, la présente réunion a pris place à un moment où les industries culturelles sont reconnues comme étant constitutives d enjeux majeurs, ce qui n était peut-être pas autant le cas il y a encore dix ou vingt ans : enjeux économiques, enjeux politiques, enjeux culturels, enjeux relatifs au statut de l œuvre de l esprit dans ce cadre, tant il est vrai que les industries de l imaginaire, du contenu, du savoir, de l innovation, de la création sont bel et bien les industries de l avenir, à l aube du 21è siècle, y compris d ailleurs en termes d emplois et de croissance économique. 7
8 Il convient de rappeler les principes et les objectifs qui ont sous-tendu les travaux : l importance de la dimension culturelle du développement, celle de la préservation des identités culturelles, celle de la coopération culturelle internationale et du dialogue des cultures, et aussi l idée que 1 entrée dans la société de 1 information, la prise en compte des nouvelles technologies, constitue un des enjeux majeurs des politiques culturelles d aujourd hui et plus encore de demain. Le premier débat avait pour obiet de s interroger sur ce qu est un bien culturel. Un certain consensus semble bien s être dégagé pour reconnaître «l essentielle dualité» des produits culturels, - et cela, en particulier, à la suite des propos de A4. Ivan Bemier - : les biens culturels sont à la fois des objets de commerce et des biens qui véhiculent des valeurs, des idées, du sens, et c est pour cela qu on peut parler d une spécificité des biens culturels. Certes, l on pourrait dire qu un bien culturel, ce n est pas d abord une marchandise, mais avant tout une ceuvre, une création, avec ce que cela suppose d audace, de prise de risque. Mais, dès lors que l on parle d industries culturelles, il faut bien admettre que ces biens sont produits, difisés, exploités, selon une logique aussi économique et dans le cadre du marché. Donc, il n est pas illégitime d en reconnaître la dimension économique. Les biens culturels sont des «marchandises» mais ccpas comme les auires». S agit-il de mettre l accent sur le premier volet de cette fo/mule ou sur le second? Il est clair ici que les sensibilités, les traditions, les approches, selon les pays, ne sont pas exactement les mêmes et les propos tenus pas les uns ou par les autres l ont montré de manière évidente. C est pourquoi, plusieurs intervenants ont évoqué la différence de vocabulaire, voire de philosophie, qui est ainsi induite par l emploi du mot «culture» comprise comme «la haute culture» ou par celui d «entertainment», de divertissement. Cependant un deuxième consensus paraît être ici apparu : cette distinction n est peut-être plus aussi valable aujourd hui qu autrefois parce que dans la société de l infomzation, la «haute culture» devient accessible au plus grand nombre et parce qu une grande partie de la culture acquise par les individus provient désormais des produits culturels de masse.. La notion «d exception culturelle» a été évoquée. L on pouvait en attendre des oppositions tranchées qui ne sont toutefois pas apparues. M. Jack Ralite en a fait un brillant plaidoyer mais il est particulièrement notable que Mme Bonnie Richardson ait considéré que, dès lors que par ce terme on entend que la culture n est pas seulement de l économie ou de l économique, elle pouvait être d accord avec le concept. 8
9 Le débat a aussi pemzis d aborder 1 enjeu des négociations commerciales internationales et de la place que doivent y avoir ou pas les produits culturels. Le General Agreement on Tariffs and Trade (GATT), il y a quelques années, le projet «d Accord multilatéral sur 1 investissement» (AM), hier, 1 Organisation mondiale du commerce (OMC) et son prochain cycle, demain, ont été mentionnés. A propos de la place des biens culturels, les échanges ont porté sur les stratégies possibles à cet égard : faut-il exclure complètement les biens culturels de ces négociations, au risque de leur isolement? Faut-il les inclure mais en refusant qu aucun engagement ne soit pris en ce qui concerne en particulier le secteur audiovisuel et cinématographique - comme cela s est passé au moment du GAlT, avec l a$finnation de l exception culturelle -? Faut-il se battre pour le maintien du «statu quo» ou bien demander, pour 1 avenir, que les nouveaux services soient traités de la même facon? Faut-il, comme 1 a proposé M. Bill Merkin, mettre en place des règles spécifiques dans les négociations internationales de I OMC, ou bien aller jusqu à 1 élaboration de conventions internationales particulières pour les produits culturels susceptibles de préserver la diversité culturelle, ainsi que l a affirmé M. Kenneth Stein? Telles sont quelques unes des stratégies possibles, entre lesquelles il n appartenait pas au colloque de trancher. Le deuxième débat portait sur la mondialisation et la promotion de la diversité culturelle. Lu mondialisation peut avoir des effets positifs sll-r, la vie culturelle parce qu elle multiplie les échanges de biens et de services et qu elle profite aussi aux consommateurs, utilisateurs, ou citoyens, dès lors que ceux-ci ont un plus large accès aux biens culturels. Elle peut aussi avoir des effets négatifs quand elle s accompagne du processus qui est celui de la dérégulation des marchés et de la concentration économique avec la double menace qui en découle : la domination de pays forts sur les autres ou la domination d entreprises multinationales puissantes sur des entreprises locales, nationales ou indépendantes. La mondialisation menace-t-elle les identités culhirelles? Oui, dès lors qu elle engendre la standardisation culturelle. Toutefois, on a pu parler, avec A4. Isanori Isomura, de culture «hybride», «syncrétique», «nomade», qui, peut-être, est en train de naître sous nos yeux, révélant pour chaque individu, une pluralité d appartenances. Cela rejoint une réflexion plus générale : la culture est au fond la dialectique de l universel et du particulier. Il faut présewer les identités mais éviter la dérive «identitaire», incitant à l exclusion de l autre, qui est l exact contraire de la promotion de l identité, et il faut aussi offrir aux femmes et aux hommes des valeurs et des références communes, mais sans oublier les spécificités léguées par le temps, sans oublier l histoire, sans oublier la mémoire, sans oublier le respect des identités. Sur ce point, des opinions divergentes se sont exprimées. Ainsi, pour Mme Richardson, 9
10 rn 1 internationalisation des marchés encourage la diversité culturelle parce que la technologie facilite celle-ci, que la demande croissante des publics est ellemême toujours plus diversifiée. Pour d autres, la diversité culturelle est toujours plus menacée parce que les échanges sont fondamentalement inégaux en raison des rapports de force économiques. Plusieurs participants venant de pays en développement en ont parlé avec cœur et conviction, soulignant les dificultés qui sont les leurs : M. Jorge Da Cunha Lima, M. Férid Boughédir et M. Ben Zulu. M. Peter Inkei est intervenu dans le même sens à propos des pays de 1 Europe centrale et orientale. Quelques propositions concrètes ont été présentées sous fome d idées plutôt que de projets : M. Boughédir a suggéré un financement obligatoire des productions aficaines par les diffuseurs envoyant des images en Afrique par satellite ou par câble. M. Stellio Faranjis2 a suggéré un «chèque-livre» pour les jeunes africains, un «label» de 1 UNESCOpour ceux qui créent de nouvelles technologies prenant en compte le pluralisme linguistique et une «radio» de 1 UNESCO d#ùsant de la chanson de sources d#!rentes, par satellite. Le dialogue sur la propriété intellectuelle a «opposé» ou plutôt «concilié» les deux protagonistes qui ont, en effet, manifesté leur plein accord. Trois conclusions s en dégagent : tout d abord, les différences de philosophies entre le «droit d auteur» et le «copyright» demeurent évidentes ; d un côté, le droit civil occidental, de l autre la Common Law, mettant en avant, le premier, la protection de l auteur, la seconde, celle de l œuvre et, à travers elle, celle du public, des utilisateurs ; ensuite, cependant, cette différenciation tend à s estomper par évolution progressive des systèmes juridiques, à la fois sur le plan interne et par l effet de conventions internationales (OMPI, «accord sur les aspects des droits de la propriété intellectuelle qui touchent au commerce» ou accord TRIPS) ; enfin, l avènement du numérique incite également au dépassement de ce dualisme initial : le développement d Internet, des réseaux en ligne, suppose une harmonisation des droits, l adoption d une attitude plus réaliste. Il faut donc concilier la double exigence : respect du droit des auteurs et des droits voisins, ce qui suppose de réafinner leur droit exclusif) et large accès aux œuvres pour le public. Il convient d ajouter que cela suppose la mise en place de systèmes juridiques et techniques eficaces de lutte contre la piraterie. La dernière table ronde portait sur les politiques publiques : comment faire vivre la culhlre? Le débat a davantage porté sur l environnement, les préalables que sur les objectifs, les orientations ou les modalités de l action publique. Il est clair que les approches apparaissent différentes entre les pays * Secrétaire général du Haut conseil de la langue française
11 industrialisés et les pays en développement. Mme Aminata Traoré et Mme Mira Nair ont souligné la nécessité du «développement endogène» : la recherche de la quête par soi-même de ce que sont les valeurs culturelles et des systèmes d action publique qui peuvent en découler. Mme Traoré a évoqué trois axes : construire une «nouvelle vision» -rejoignant les propos de M. Ben Zulu sur la ré-appropriation d un système de valeurs spécifique ; la préservation des biens culturels pour créer une «nouvelle modernité» ; 1 appui direct à la créativité artistique en tenant compte de la situation matériellement, financièrement, très mauvaise des artistes et des auteurs. M. Federico Mayor a souligné l importance de la démocratie, non seulement à l échelle nationale mais aussi internationale. Puisqu il s agit de la «centralité» de la culture et, de façon induite, des actions publiques qui peuvent en découler, celles-ci ne vont pas, c est une condition préalable, sans cette exigence, partout, en tout lieu, de la démocratie. Parmi les autres observations : il faut en toute occasion, dans les pays industrialisés comme dans les pays en développement, essayer d associer le public et les partenaires privés, les entreprises mais aussi les artistes, les auteurs, les producteurs ; il doit y avoir concertation - les politiques publiques ne se décrètent pas : il faut associer tous ces acteurs de la vie culturelle, de sorte que vive ou naisse, tine société civile autonome et riche ; dès lors que des politiques publiques sont jugées nécessaires, il convient que celles-ci soient volontaristes. Ainsi Mme Claire Denis a-t-elle rappelé l importance d une telle politique en citant le cas de la France et de la politique conduite depuis plusieurs dizaines d années en faveur du cinéma ; la coopération internationale et 1 aide aux pays en développement doivent porter non seulement sur la réalisation ou le financement ponctuel de projets tels qu un film, mais plus encore sur le soutien à la création d éléments structurants dans les pays pour leur permettre de construire leur propre industrie culhirelle. Dans l avenir, des thèmes connexes pourraient être abordés plus en détail : celui de la diversifkation et de la clarification des niveaux de responsabilité publique - local, national, international -, celui non plus de 1 opportunité mais de la qualité de 1 action publique - car celle-ci a pour but de contrebalancer les e#ets des forces du marché mais elle doit aussi savoir s adapter, s améliorer, être pertinente. ***
12 , En conclusion, il est très souhaitable que se développe et même s intensifie cette fonction de forum sur ces sujets que peut remplir I UNESCO. Il s agit de fournir une base de réflexion commune à partir de points de vues, d opinions qui ne! sont pas forcément les mêmes. M. Jacques Rigaud a souligné qu il s agissait non seulement de l affaire des gouvernements, mais aussi de celle de la communauté des artistes, des intellectuels, des producteurs, de tous les partenaires de la création et de la vie culturelle. Le rôle de 1 UNESCO, a-t-il dit, est aussi de servir à ce que l ensemble de ces partenaires s expriment, prennent la parole et participent au processus de décision dans ces domaines. Dans cet esprit, trois types de débats à venir peuvent être suggérés, dont 1 UNESCO pourrait souhaiter prendre 1 initiative : celui sur les stratégies à adopter dans les négociations internationales ; celui sur les contenus, les modalités de l action publique ; celui par secteurs (le livre, le cinéma, le disque n ont pas tout-à-fait la même économie) ou par grandes régions du monde. Il est essentiel de réfléchir non seulement aux négociations qui se préparent dans le proche avenir mais aussi, dans la perspective à peine plus lointaine de l entrée dans le 21è siècle, à la manière dont l aveni; peut être inventé en conciliant deux aspirations : celle à 1 unité et celle à la diversité : «Regarder le long terme, c est déjà le changer» (Gaston Berger)..^
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détailLA CULTURE CIVILISTE : OBSTACLE OU ATOUT POUR FAIRE DES AFFAIRES?
«Vingt-deuxièmes Entretiens» du Centre Jacques Cartier Rhône-Alpes, 28 novembre 2 décembre 2009 LA CULTURE CIVILISTE : OBSTACLE OU ATOUT POUR FAIRE DES AFFAIRES? Responsables scientifiques : France Barreau
Plus en détailClick to edit Master title style
Le Service des délégués commerciaux MAECI: Orientation et rôle Investissement étranger direct (IED) Anderson Blanc Délégué commercial Click to edit Master title style Investissement & Innovation Coordonnateur
Plus en détailLA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LES FESTIVALS D ARTS
DOSSIER D INFORMATION N 4 LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LES FESTIVALS D ARTS INTRODUCTION Les festivals d arts visent à célébrer la richesse et la diversité des cultures dans le monde en réunissant des
Plus en détailCANDIDAT JAPONAIS AU POSTE DE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL
CANDIDAT JAPONAIS AU POSTE DE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL Dr. Sawako TAKEUCHI Docteur es Ingénierie, l Université de Tokyo et Docteur es Sciences économiques Ancien conseiller du Premier Ministre du Japon sur la
Plus en détailLa promotion de la pluralité linguistique dans l usage des nouvelles technologies de l information et de la communication
Intervention de M. Khamsing Sayakone, Président de la section Lao de l APF à la 32 ème session de l APF (30juin-3 juillet 2006, Rabat, Maroc) (31 La promotion de la pluralité linguistique dans l usage
Plus en détailLe Québec, terre de traduction
Le Québec, terre de traduction S il est un endroit au monde où les traducteurs ont un marché établi, c est bien le Canada. Et le Québec, au sein du Canada, jouit d une situation encore plus privilégiée.
Plus en détailI ON S S IR E OI R ULT U R A MO S AV LE LIVRE, AU CŒUR DE LA CULTURE. Plan d action sur le livre
P A HI S S S T C R I ON M Ê IR E ULT U R A MO V ÉM E O IR E UR S AV OI R E LE LIVRE, AU CŒUR DE LA CULTURE Plan d action sur le livre OCCUPATION : DÉVOREUSE DE LIVRES VOTRE LIBRAIRE, AUTEUR DE PETITS BONHEURS
Plus en détail4 avril. Formation IDSE 2012 10 mai 2012
4 avril 203 Formation IDSE 2012 10 mai 2012 La politique de responsabilité sociétale de Vivendi, enjeux et gouvernance Pascale Thumerelle Directrice de la responsabilité sociétale d entreprise (RSE) Webinaire
Plus en détailLe Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:
1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence
Plus en détailLa diversité culturelle en question (s)
1 Université de Versailles-St-Quentin-en-Yvelines Colloque international organisé par la Chaire Jean Monnet et le service culturel de l Université La diversité culturelle en question (s) 14 et 15 novembre
Plus en détaille QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise
POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société
Plus en détailInviter au plus vite tous les acteurs de la création, de l'édition, de la diffusion et de la lecture à des «États généraux du livre et de la lecture».
Eléments pour une politique en faveur du livre et de la lecture Par Aurélie Filippetti, députée de Moselle, responsable du pôle Culture, audiovisuel, médias dans l équipe de campagne de François Hollande.
Plus en détailLA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015
LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,
Plus en détailTROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE
ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE
Plus en détailLa Réunion, terre d images et de tournages
TOP RÉSA 2011 / 20-23 SEPTEMBRE 2011 À PARIS www.regionreunion.com La Réunion, terre d images et de tournages LA RÉUNION AU PATRIMOINE MONDIAL DE L HUMANITÉ cirques, pitons, remparts Terre d images Terre
Plus en détail19, Rue du Lac El Biban - Lac 2-1053 Les Berges du Lac Tél.: 71 244 151 - www.haica.tn - contact@haica.tn
19, Rue du Lac El Biban - Lac 2-1053 Les Berges du Lac Tél.: 71 244 151 - www.haica.tn - contact@haica.tn La régulation de l audiovisuel La régulation de l audiovisuel a pour objectif de garantir la liberté
Plus en détailÀ DISTANCE LE MBA MANAGER DE PROJET CULTUREL. www.groupeeac.com
LE MBA MANAGER DE PROJET CULTUREL & PATRIMOINE AUDIOVISUEL CINÉMA SPECTACLE VIVANT MUSIQUE ART & PATRIMOINE AUDIOVISUEL CINÉMA TACLE VIVANT MUSIQUE ART & PATRIMOINE AUDIOVISUEL CINÉMA SPECTACLE VIVANT
Plus en détailAPPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE
1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir
Plus en détailPAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE
Note Conceptuelle PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE La Tunisie renouvelle son engagement pour le développement et la prospérité de l'afrique et des pays arabes, par l'organisation de la 8ème édition de
Plus en détailGroupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement
Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE
Plus en détailIntroduction en sciences de la communication: les grands secteurs de la communication
PETER STOCKINGER, PU Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO) Introduction en sciences de la communication: les grands secteurs de la communication (Cours ICL 2A 01 c) Communication,
Plus en détaildevant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable
VERSION DÉFINITIVE Allocution prononcée par Anthony Ariganello, CGA Président-directeur général CGA-Canada devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable Toronto (Ontario) Le 20 octobre
Plus en détailCadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités
Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session
Plus en détailSaint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.
Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche
Plus en détailProtection vs. Innovation ouverte : Comment concilier l innovation et l accès aux nouvelles technologies pour tous?
Protection vs. Innovation ouverte : Comment concilier l innovation et l accès aux nouvelles technologies pour tous? Salle Notre-Dame des Victoires, 09 septembre 2014 16h30 18h Intervenants: Dominique Buendé,
Plus en détailCLIPSAS. COLLOQUE et ASSEMBLEE GENERALE 2015. Hasbrouk Heights (New Jersey) 28-31 mai 2015
CLIPSAS COLLOQUE et ASSEMBLEE GENERALE 2015 Hasbrouk Heights (New Jersey) 28-31 mai 2015 Henri SYLVESTRE Grand Secrétaire aux Affaires Extérieures Adjoint 00 33 6 86 36 66 18 hd.sylvestre@wanadoo.fr Association
Plus en détailSynthèse de la CNCH du 19 juin 2008
ACTIONS EN MATIÈRE D'INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES DU MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION Synthèse de la CNCH du 19 juin 2008 LE CONTEXTE La Commission nationale Culture-Handicap La
Plus en détailLa gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies
La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies Atelier n 15 Organisateurs : Conseil de l Europe (Centre d expertise sur la réforme de l administration locale
Plus en détailSondage d opinion sur les livres, les longs métrages, les périodiques canadiens et les œuvres musicales
Sondage d opinion sur les livres, les longs métrages, les périodiques canadiens et les œuvres musicales Sommaire exécutif Préparé pour le ministère du Patrimoine canadien 4 septembre 2012 Date d attribution
Plus en détailPRÉSENTATION DU PROGRAMME 2014
PRÉSENTATION DU PROGRAMME 2014 10 ANS DE CULTURE CÉLÉBRÉ AVEC LA NATURE! Grâce à votre fidèle participation et celle de plus de 100 institutions culturelles, le programme Cultivez le Jour de la Terre célébrera
Plus en détailTechnologies de l information
7a Technologies de l information Nouvelles technologies de l information : une clé pour apprendre à l âge adulte? 321 Thème 7 Education des adultes, culture, médias et nouvelles technologies Fascicules
Plus en détailDossier de présentation
Dossier de présentation Lundi 23 mars Salle du Conseil GRAND LYON Contacts Sophie DUBOUX - Solid Arté Géraldine DALLAIRE ADECC 04 72 07 70 24 Entrepreneur.culturel@gmail.com www.journee-entrepreneur-culturel.fr
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailLE CIRQUE DU SOLEIL EN BREF
LE CIRQUE DU SOLEIL EN BREF De la vingtaine de saltimbanques qui le constituaient à ses débuts en 1984, le Cirque du Soleil est une entreprise québécoise de divertissement artistique de haute qualité qui
Plus en détailCommentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel
Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la
Plus en détailIvan Bernier. 1. L apport de la première réunion à l instauration d une dynamique de négociation.
La première réunion d experts gouvernementaux sur l avant-projet de convention sur la protection de la diversité des contenus culturels et des expressions artistiques de l UNESCO : Les implications pour
Plus en détailRéférentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique
Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique I Contexte du métier 1. Définition Les professeurs de musique diplômés d'état sont chargés
Plus en détailVoici la version officielle de sa carrière professionnelle. Maintenant parlons de Peter Mortimer, l homme.
FONDS COGECO DE DÉVELOPPEMENT D ÉMISSIONS COGECO PROGRAM DEVELOPMENT FUND 2009 // RAPPORT ANNUEL // ANNUAL REPORT Hommage à Peter Mortimer // 1937-2009 Un ardent défenseur de l industrie nous a quittés
Plus en détailAgenda 21 de la culture du Québec
Agenda 21 de la culture du Québec Table des matières 2 Contexte 4 Introduction 8 Principes pour guider l action 10 Objectifs 11 Partie 1 : L action culturelle dans une perspective de durabilité 12 Partie
Plus en détailPourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques?
Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Rencontre professionnelle 4 Ont participé à cet atelier : David ALCAUD,
Plus en détailCOMMISSION DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS DE L OCEAN INDIEN
COMMISSION DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS DE L OCEAN INDIEN COMMISSION DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS DE L OCEAN INDIEN Procès verbal n 47 Comité des experts 07 et 08 décembre 2009 Djibouti Palace Kempinski
Plus en détailProfession Culture Langue. Invitation Conférence ASCI 2015. Genève, 22.09.15, 14h00 17h45
Invitation Conférence ASCI 2015 Genève, 22.09.15, 14h00 17h45 Profession Culture Langue La communication interne et intégrée : comment maîtriser les langues pour surmonter les barrières culturelles et
Plus en détailCAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS
CAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS Projet de loi no 27 Loi sur l économie sociale Mémoire présenté au ministère des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire dans le cadre
Plus en détailMaster Etudes françaises et francophones
Master Etudes françaises et francophones 1. modèle scientifique et profilage des contenus de la filière / Présentation et spécificités de la filière Les études romanes à Leipzig sont considérées comme
Plus en détailÉvaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration
Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d admini istration Mai 2012 1 Le programme de maîtrise en administration des affaires, cheminement coopératif (MBA Coop) de la Faculté d administration
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailMASTER DE PRODUCTION ET GESTION DE PROJETS EUROPÉENS EN ARTS DE L ECRAN
MASTER DE PRODUCTION ET GESTION DE PROJETS EUROPÉENS EN ARTS DE L ECRAN Porteur de Projet : Francis GAST, Directeur de la Faculté des Arts Université de Strasbourg OBJECTIFS Le MASTER DE PRODUCTION ET
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailUNE COMPÉTITION INTERNATIONALE DE FILMS CORPORATE (La première édition se concentrera sur les pays francophones)
27 au 30 mai 2015 1 UN ÉVÉNEMENT MAJEUR DE LA COMMUNICATION DES ENTREPRISES, DES INSTITUTIONS DU SECTEUR PUBLIC ET DES COLLECTIVITES LOCALES UNE COMPÉTITION INTERNATIONALE DE FILMS CORPORATE (La première
Plus en détailRapport sommaire. Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental
Rapport sommaire Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental Buenos Aires, Argentine 1-3 décembre 2000 Au cours des dix dernières années, le Canada a joué un rôle
Plus en détailInnovation & Internationalisation (I²)
Partenariats d intérêt mutuel bien compris, tout azimut Les inter-pme panafricaines et internationales réalisées massivement Innovation & Internationalisation (I²) L Afrique se tire elle-même du marécage
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailQui fait quoi sur internet?
Ans Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2015 8, avril 2015 www.ftu.be/ep Qui fait quoi sur internet? Analyse des inégalités sociales dans l utilisation d internet
Plus en détailComment offrir un EMBA à l étranger?
ENTRETIEN Comment offrir un EMBA à l étranger? Gaëtan Tremblay s entretient avec Benoît Bazoge, Directeur du MBA pour cadres, ESG UQAM, en mars 2008. Gaëtan Tremblay (GT) Quel programme votre école de
Plus en détailBureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)
Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE) Février 2008 SOMMAIRE Communiqué de presse de synthèse... 3 1. Le Bureau d accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)........
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détailCulture Sector. United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization
United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization Culture Sector 10 Contrats pour la musique écrit par JEAN VINCENT en collaboration avec GERARD LOUISE Maquette et design : Christine Hengen
Plus en détailLe droit d auteur dans un environnement numérique : les positions de l IFLA et de l UNESCO 1
Le droit d auteur dans un environnement numérique : les positions de l IFLA et de l UNESCO 1 Das Urheberrecht in einer digitalen Umwelt: die Positionen der IFLA und der UNESCO Jean-Philippe Accart Information
Plus en détailAprès la crise et si le meilleur était à venir?
Colloque AGRICA mercredi 24 juin 2009 Après la crise et si le meilleur était à venir? VOS NOTES ANIMATION DES DEBATS Nathalie LEVY Journaliste-présentatrice, Nathalie Lévy présente en direct «Info 360»
Plus en détailToronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :
Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du
Plus en détailFORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE
FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE La fracture agricole mondiale : «Ouvrir des perspectives pour les espaces en développement» 4 et 5 février 2005 Rapport - ATELIER 2A Thème : Les modèles économiques
Plus en détailCi-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture.
Masters culture Ci-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture. activités culturelles anthropologie métiers
Plus en détailCertification universitaire en gestion internationale (Université Laval)
Curriculum vitae SERGE A. KABLAN Professeur Département de management Faculté des sciences de l'administration Pavillon Palasis-Prince 2325, rue de la Terrasse Bureau 1658 Université Laval Québec (Québec)
Plus en détaildécembre 2009 Prix de l Action entreprise diversités Première édition En partenariat avec
décembre 2009 et Première édition En partenariat avec Information/secrétariat NORA COMMUNICATION e-mail : prix.diversites@nora-communication.fr Tél. : 01 53 30 91 20 Les objectifs du Prix L e Prix de l
Plus en détailRAPPORT MUNICIPAL N 99 AU CONSEIL COMMUNAL
RAPPORT MUNICIPAL N 99 AU CONSEIL COMMUNAL Réponse à la motion de M. le Conseiller communal Tefik Rashiti "Nyon zone hors AGCS" Délégué municipal : Monsieur Daniel Rossellat Nyon, le 4 mai 2009 Monsieur
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailDémarche & ses étapes (information) III. Présentation des orientations et des actions du schéma de développement culturel d Alsace Bossue 2014-2016
SCHÉMA DE DÉVELOPPEMENT CULTUREL D ALSACE BOSSUE 2014-2016 RESTITUTION AUX ACTEURS MARDI 26 NOVEMBRE 2013 à LORENTZEN DÉROULÉ DE LA SOIRÉE I. Introduction II. Démarche & ses étapes (information) III. Présentation
Plus en détailLes contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial
Note conceptuelle Forum Social Mondial 2015 - Tables rondes Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial
Plus en détailEdition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section J Division 60
Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section J Division 60 60 PROGRAMMATION ET DIFFUSION Cette division comprend les activités d édition de chaines
Plus en détailArchives audiovisuelles des musiques et traditions du monde : page 2 Fonds documentaire Ibn Battuta, XXe siècle : page 4
Archives audiovisuelles des musiques et traditions du monde : page 2 Fonds documentaire Ibn Battuta, XXe siècle : page 4 Page 1 Archives audiovisuelles des musiques et traditions du monde Projet en réseau
Plus en détailRecherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux
Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux ADARUQ - Novembre 2013 RRI : Un aperçu «Habiliter, faciliter, créer des liens» Habiliter les
Plus en détailPolitique de sécurité de l information
5, Place Ville Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 Téléc. 514 843.8375 www.cpaquebec.ca Politique de sécurité de l information Émise par la Direction, Gestion des
Plus en détailCurriculum vitae. 2010 Vice-président en cours AADM (Association des avocats en défense de Montréal, Canada) Conseiller (2009-2010)
Curriculum vitae Me Alexandre Bergevin BERGEVIN ET ASSOCIÉS, s 338, rue Saint-Antoine Est Montréal (Québec) H2Y 1A3 (T) 514-759-6862 (F) 514-866-2929 Courriel: abergevin@aadm.ca Site Web: http://www.droit-criminel.com/
Plus en détailASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS
Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la
Plus en détailORGANISATION MONDIALE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE GENÈVE COMITÉ PERMANENT DU DROIT D AUTEUR ET DES DROITS CONNEXES
OMPI SCCR/19/13 ORIGINAL : Français, anglais, arabe, chinois, espagnol, portugais et russe DATE : 11 décembre 2009 ORGANISATION MONDIALE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE GENÈVE F COMITÉ PERMANENT DU DROIT
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailwith the support of EFMET cooperation partners:
Recommandations à la Commission Européenne sur le rôle de l enseignement musical et de la formation musicale professionnelle dans le nouveau programme européenne pour la culture with the support of EFMET
Plus en détailDjembé Faré, musiques et danses d Afrique 16, rue des Vernes, CH 1217 Meyrin. Canton et République de Genève. Statuts et règlement intérieur
Canton et République de Genève Statuts et règlement intérieur 1 Statuts de 1) Nom et siège de l association. Djembé Faré, musiques et danses d Afrique. Sous le nom de «Djembé Faré, musiques et danses d
Plus en détailAgence du patrimoine immatériel de l État
Agence du patrimoine immatériel de l État Les richesses de l immatériel sont les clés de la croissance future Rapport de la commission de l économie de l immatériel 2006 Le mot du directeur général L APIE
Plus en détailInfo-commerce : Incertitude économique mondiale
Info-commerce : Incertitude économique mondiale avril 2012 Panel de recherche d EDC Résultats du sondage de février 2012 Faits saillants Même si les É.-U. restent une importante destination commerciale,
Plus en détailE-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL
E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL Bill Pattinson Division de la politique de l information, de l informatique et de la communication
Plus en détailParmi les nombreuses expériences qui transforment
DES ÉTUDES À L ÉTRANGER Parmi les nombreuses expériences qui transforment votre curriculum vitae de petit franchouillard en celui de véritable citoyen du monde, le passage par un séjour d études est une
Plus en détailCOMMUNIQUÉ LA CULTURE AUTREMENT. Pour diffusion immédiate
COMMUNIQUÉ Pour diffusion immédiate Télé-Québec lance une plateforme culturelle sur le Web La Fabrique culturelle : le seul espace public collectif dédié à la culture au Québec 11 mars 2014 Montréal La
Plus en détailPrésentation du projet de la médiathèque de Mauguio
Présentation du projet de la médiathèque de Mauguio Ce projet nous donne l opportunité de tester des scénarios auxquels nous réfléchissons depuis l ouverture de notre portail en octobre 2008 et la mise
Plus en détailDISCLAIMER: As Member States provide national legislations, hyperlinks and explanatory notes (if any), UNESCO does not guarantee their accuracy, nor
2 STATUTS DE LA FONDATION DU PATRIMOINE TITRE II ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DE LA FONDATION Article 6- Organes Les organes de la Fondation sont : - le Conseil de Fondation ; - l Administration général.
Plus en détailSTATUTS du CERCLE DIPLOMATIQUE DE GENÈVE
STATUTS du CERCLE DIPLOMATIQUE DE GENÈVE Art. I Nature juridique Le Cercle diplomatique de Genève est une association au sens de l art. 60 du Code civil suisse, fondée par Assemblée constitutive le 9 juillet
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES
RÉPUBLIQUE DU BÉNIN COUR CONSTITUTIONNELLE REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Article 1 er : Le présent Règlement Intérieur est pris en application des dispositions de la Loi n 90-032
Plus en détailLoïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008
1 Loïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008 L auteur Loïc Blondiaux est professeur des Universités à l Institut
Plus en détailMaster international de Management des Médias à distance. Organisation pédagogique de la formation
Master international de Management des Médias à distance Organisation pédagogique de la formation Session 2014/2015 Table des matières Organisation pédagogique... 1 UE 1 : Histoire, économie et mondialisation
Plus en détailLE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand
LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il
Plus en détailACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE
ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE Madrid, le 14 janvier 1985 ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT
Plus en détailAllocution de Mme Françoise Bertrand Présidente directrice générale Fédération des chambres de commerce du Québec
Allocution de Mme Françoise Bertrand Présidente directrice générale Fédération des chambres de commerce du Québec Comment les entreprises devraient-elles entrevoir l avenir en matière de régime de retraite
Plus en détailIntérêt des membres de la GMMQ, l APASQ, l ARRQ et la SPACQ à adhérer aux projets de régime de retraite et d assurance collective
Intérêt des membres de la GMMQ, l, l et la à adhérer aux projets de régime de retraite et d assurance collective Dossier 77122-013 Février 2007 580, Grande-Allée Est, bureau 580, Québec, Québec G1R 2K2
Plus en détailMaster 2 Concepteur audiovisuel : représentations plurimédia de l histoire, de la société et de la science. Syllabus 2015-2016
Master 2 Concepteur audiovisuel : représentations plurimédia de l histoire, de la société et de la science Syllabus 2015-2016 Intitulés des UE de l'ue Heures encadrées Formes du remploi dans le cinéma
Plus en détailDéclaration d accord pour archivage et exploitation. Informations sur le contenu COMPAGNIE / CHORÉGRAPHE : PRESTATION : CHORÉGRAPHE : Nom :
COMPAGNIE / CHORÉGRAPHE : Nom : Personne de contact : Pays : Informations sur le contenu PRESTATION : Titre de l œuvre : Date et lieu de la représentation (enregistrée sur le support) : Date et lieu de
Plus en détailFORUM KREYOL FASHION DAYS 2015
FORUM KREYOL FASHION DAYS 2015 PROGRAMME MARDI 2 JUIN INAUGURATION OFFICIELLE Pavillon de la Ville de Pointe-à-Pitre Vernissage de l exposition internationale de photographies KFD 2015 MERCREDI 3 JUIN
Plus en détailCONVENTION SUR LA PROTECTION ET LA PROMOTION DE LA DIVERSITÉ DES EXPRESSIONS CULTURELLES
CONVENTION SUR LA PROTECTION ET LA PROMOTION DE LA DIVERSITÉ DES EXPRESSIONS CULTURELLES PRÉAMBULE La Conférence générale de l Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture,
Plus en détail