Bilan Maïs Grain Gilles ESPAGNOL Avec la collaboration des Ingénieurs Régionaux Maïs d ARVALIS-Institut du végétal,
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- Jean-René Martin
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2 Bilan Maïs Grain 2013 Gilles ESPAGNOL Avec la collaboration des Ingénieurs Régionaux Maïs d ARVALIS-Institut du végétal,
3 Un début de cycle difficile Les pluies abondantes de l hiver et du printemps ont retardé les semis qui sont parfois réalisés dans des parcelles à structures de sol dégradées Les cumuls exceptionnels de précipitations qui se sont abattues entre le 10 mai et le 10 juin dans le Sud de la France ont repoussé les semis et créé des situations d hydromorphie préjudiciables. Les températures froides de cette séquence ont eu des conséquences négatives directes et indirectes. Elles ont retardé le cycle des cultures et affecté l efficience de la photosynthèse durant la période de croissance des feuilles et tiges. Elles ont limité les évaporations qui auraient assaini les sols, mais aussi allongé l exposition des parcelles aux ravageurs et compétition des adventices. 11/12/2013 3
4 Un début de cycle difficile Il a fallu attendre début juillet pour retrouver un régime de températures permettant de neutraliser une partie des retards de végétation qui s étaient creusés au fil des jours. La difficulté de réapprovisionnement en semences de variétés plus précoces n a pas toujours permis d ajuster les durées de cycle à ces conditions exceptionnelles qui ont affecté les parcelles de l Aquitaine et du Centre-Est. La qualité des lots de semences a aussi été mise à l épreuve en 2013 sous l effet des températures froides de la levée au stade 8 feuilles, se traduisant par quelques pertes de densités et des hétérogénéités de développement. 11/12/2013 4
5 Un début de campagne difficile pour le maïs Déficits de températures et précipitations abondantes Selon les dates de semis et les régions, les déficits de cumuls de températures des cultures sont estimés entre 80 degrés-jours pour les semis les plus précoces et 300 degrés-jours pour les semis de fin mai. Concernant la pluviométrie sur la période de semis, les cumuls enregistrés du 21 mars au 25 mai correspondent à peu près au double des médianes. 11/12/2013 5
6 Des cultures en retard Les températures élevées du mois de juillet ont permis de neutraliser une partie du retard des maïs constaté fin juin. Concernant les précipitations, elles furent globalement peu abondantes en juillet, après un printemps généreux. Toutefois, les orages de fin juillet et début août, accompagnés de quantités de pluies très variables selon les situations, sont intervenus durant la période qui encadre la floraison. Les cultures en sec dans ce contexte de pluies faibles et aléatoires sont néanmoins soumises à des déficits hydriques dans la plupart des régions. 11/12/ 6
7 Les retards à maturité 11/12/2013 7
8 Des contraintes hydriques pendant le remplissage des grains 11/12/2013 8
9 Les sommes de températures Figure 1 : Ecarts cumulés de sommes de températures en 2013 par rapport à une année normale pour un semis au 11 avril (médiane ) Ecart à la médiane cumulé en degrés-jours AMBERIEU LYON SAINT QUENTIN STRASBOURG CAEN BEAUVAIS 0 BREST ORLEANS -50 ANGERS NIORT -100 PAU TOULOUSE avr. 21-avr. 1-mai 11-mai 21-mai 31-mai 10-juin 20-juin 30-juin 10-juil. 20-juil. 30-juil. 9-août Source des données journalières : Météo France 19-août 11/12/ août 8-sept. 18-sept. 28-sept. 8-oct. 18-oct. 28-oct. Axe de la médiane
10 Les cumuls de précipitations Figure 2 : Ecarts cumulés de précipitations en 2013, entre le 1er mars et le 31 octobre par rapport à une année normale (médiane ) Ecart à la médiane cumulé en mm Stations AMBERIEU CLERMONT- FERRAND CAEN BEAUVAIS STRASBOUR G ORLEANS mars 11-mars 21-mars 31-mars Source des données journalières : Météo France 10-avr. 20-avr. 30-avr. 10-mai 20-mai 30-mai 9-juin 19-juin 29-juin 9-juil. 19-juil. 29-juil. 8-août 18-août 28-août 7-sept. 17-sept. 27-sept. 7-oct. 17-oct. 27-oct. ANGERS BREST MARANS 11/12/ PAU MONT DE MARSAN LYON TOULOUSE NIORT Axe de la médiane
11 Les Surfaces de maïs Semences de la campagne 2013 Maïs Grain : hectares Des surfaces non semées ( hectares) dans le Sud Ouest essentiellement Maïs Semence Un plan de production prévisionnel record de hectares mais ensemencés Des besoins importants en Europe et en constante augmentation à l image des surfaces de maïs et de la demande du marché 11/12/
12 Rendements /Régions Moyenne Rdts Qx/ha Rendement 2012 Qx/ha Rendement 2013 Qx/ha Nord-Picardie-Normandie Bretagne Pays de Loire Poitou Charentes Champagne-Ardennes Alsace-Lorraine Bourgogne-Franche Comté Rhône-Alpes Provence- Corse Languedoc Roussillon Auvergne-Limousin Ile de France Centre Midi-Pyrénées Aquitaine /12/ Moyenne
13 Problématiques du début de campagne Pertes de potentiel liées aux semis tardifs (30% dans les situations extrêmes). Dégâts de Limaces dans de nombreuses régions. Désherbages difficiles à maitriser Dégâts d oiseaux et de corvidés La pression taupin déjà présente peut s accentuer avec le retour aux conditions plus favorables (températures du sol plus élevées en surface) Des dégâts de mildiou pour les parcelles inondées avec des maïs. 11/12/
14 Les difficultés en région Des difficultés marquées en Sud Aquitaine, Midi Pyrénées, Rhône Alpes essentiellement Sud aquitaine : La Chalosse, les Coteaux du Béarn, de Bigorre, les Gaves en situation très difficile En Midi Pyrénées, le Gers, l Ariège et les Hautes Pyrénées En Rhône Alpes: l Ain et en particulier les Dombes et la Bresse Champagne Ardennes: des cultures inondées à ressemer Grêle sur une diagonale partant de La Vendée, Touraine, Beauce et sud Ile de France 11/12/
15 Contexte économique de la campagne 2013 Réseau des Fermes types Arvalis et traitement AGPM Réseau de fermes types construit pour l étude Maïs Grain 2020 (AGPM ARVALIS) Construction des fermes types à dires d experts Actualisation annuelle des éléments techniques et économiques Prévisionnel 2013 réalisé à partir des évolutions IPAMPA (Indice de Prix d Achat des Moyens de Production Agricole) et ajustement des éléments techniques avec le réseau d ingénieurs régionaux d ARVALIS La prospective 2013 a été réalisée sur 8 exploitations types réparties sur le grand Sud-Ouest (Aquitaine, Midi-Pyrénées, Poitou-Charentes), l Alsace et la région Centre.
16 Objectif : Couvrir les principaux bassins de production de maïs grain
17 DÉFINITION DU COÛT DE PRODUCTION COMPLET EXPLOITATION ( /T) /t Le coût de production complet rémunère l ensemble des facteurs de production mobilisés Foncier Il permet d apprécier la pérennité de l exploitation Foncier : Tout fermage Le coût de production cash comptabilise l ensemble des charges réellement décaissées Une méthode identique qui permet de comparer la production d une région à une autre Fermage réel Coût complet : «pérenniser» Coût trésorerie : «Cash» Autres ch. fixes Main d œuvre Méca Séchage Intrants Autres charges fixes Assurances, Divers frais de gestion Rémunération des capitaux propres Salaires charges sociales "MSA exploitant" Rémunération de la MO familiale Mécanisation Amortissement technique, Entretien réparations, fuel Travaux par tiers Frais financiers Méca irrigation Séchage Intrants Irrigation (énergie, taxes sur l eau) Engrais, amendements Produits phytosanitaires Semences Capital remboursé
18 Campagne 2013 : Année noire pour le maïs français Les rendements : Globalement en baisse Difficultés plus marquées dans le Sud-Ouest Les prix de vente : Récolte mondiale record, concurrence de la Mer Noire Une baisse des prix de vente de 30% par rapport à l an dernier Les charges : En hausse continue depuis 2010 (date de création de l observatoire) + 5% sur les charges opérationnelles depuis l an dernier, + 25% depuis 2010 du fait de l augmentation du coût des engrais et du poste séchage (humidités à la récolte élevées cette année)
19 Des prix de vente en baisse de 30 % /t Evolution des prix de ventes ( /t) Observatoire AGPM / ARVALIS
20 Des chiffres d affaires en baisse de 35% Evolution des produits bruts (Base 2010) Fermothèque ARVALIS, Traitement AGPM) Effet cumulé de : L évolution des rendements L évolution des prix de vente Variation du chiffre d affaire 2013 par rapport à à /ha selon les fermes types
21 La hausse des charges se poursuit! Charges opérationnelles : + 25% depuis 2010 La fertilisation 30 à 40 % des charges opérationnelles Augmentation conjoncturelle du prix d achat des engrais Azote : +30 à + 40 % depuis 2010 Le séchage 20 à 30 % des charges opérationnelles Augmentation conjoncturelle du coût du séchage Humidité à la récolte élevée en 2013 Une hausse des charges complète estimée à 250 /ha depuis 2010, soit une baisse de compétitivité de l ordre de 25 /t! Evolution des charges complètes totales (Base 2010) Fermothèque ARVALIS, Traitement AGPM Variation 2013 par rapport à 2010 Charges opé à /ha Charges totales à /ha
22 Coûts de production complet 2011 : Les bons rendements compensent la hausse des charges 2013 : La hausse des charges, les moins bons rendements, l humidité à la récolte pénalisent la compétitivité du maïs français Un coût de production complet supérieur aux prix de marché Un coût de production cash également supérieur aux prix de marché Evolution des coûts de production complets (Base 2010) Fermothèque ARVALIS, Traitement AGPM
23 Une trésorerie 2013 dépendante des aides PAC Les DPU constituent un filet de sécurité en 2013 Marges nettes cash + DPU ( /ha) Fermothèque ARVALIS, Traitement AGPM
24 La pérennité des systèmes mise à mal en 2013 Marges nettes complètes + DPU ( /ha) Fermothèque ARVALIS, Traitement AGPM
25 Bilan Maïs Fourrage 2013 Bertrand CARPENTIER Avec la collaboration des Ingénieurs Régionaux Maïs d ARVALIS-Institut du végétal, d Alexis FERARD ARVALIS-Institut du végétal (La Jaillière 44) et de Denis HOFFMANN - Germ Services (Montardon 64).
26 Place du Maïs Fourrage : MF en % de la SAU
27 Maïs Fourrage 2013 Bilan national Une année climatique chahutée, 1 Un mois de mai frais et pluvieux >>> deux vagues de semis et des pertes à la levée 2 De fortes températures fin juillet début août, avec ou sans déficit de pluviométrie estivale 3 un coup de vent le 27 juillet aux conséquences limitées 4 Un automne doux mais des chantiers de récolte perturbés par la pluie Et ce, avec des différences régionales
28 Une année chahutée 2013 : un excédent de température dans l Ouest, un déficit dans le Sud
29 Une année chahutée Nord et Nord-Est : un excès de pluviométrie durant les chantiers d ensilage >>> problème de portance des sols, et des retards à la récolte
30 MAÏS FOURRAGE 2013 Bilan national Un cru correct mais hétérogène en rendement et en qualité 1 des chantiers de récolte sur plus de dix semaines au niveau national - assez précoce dans l Ouest car une maturité accélérée - tardif dans beaucoup de régions pour les semis de mai (et de juin) - étalés dans le temps pour cause de pluie et d attente de retour de portance des sols - et tardivement en saison, au-delà du 15 octobre 2 des rendements corrects à bons, mieux qu attendus au 1 er septembre grâce à un automne doux et une bonne composante «grain» 3 des valeurs énergétiques satisfaisantes, des teneurs en amidon correctes, des qualités «tige+feuilles» en retrait pour les récoltes tardives Hétérogénéité : nécessité de faire des analyses
31 Maïs Fourrage 2013 Composition chimique et valeur énergétique moyennes ( source GERM Services 64) ET 2013 Nombre d échantillons % MS Amidon (%MS) Sucres solubles (% MS) Dig. enzymatique (%) MAT (%MS) DiNAG (indice) UFL (/kgms)
32 Teneur en amidon + 3pt de teneur en amidon par rapport à 2012 (+5pt en Bzh/Pdl) Grande disparité de teneur en amidon analyse fortement conseillée!
33 Digestibilité de la partie «tige+feuilles» Un fourrage avec une partie «tige+feuilles» en moyenne assez digestible mais avec une grande diversité de qualité NB : 1 point de dmona c est environ 0,015 UFL et 0,015 UEL
34 Valeur énergétique calculée (INRA 2007) De bonnes valeurs énergétiques en moyenne (0,91 UFL) mais avec quelques échantillons particulièrement faibles
35 Valeur d encombrement calculée (Arvalis) A quelques exceptions : les MF en silo présentent de bonnes valeurs d encombrement >>> ingestibilité plus élevée que l année dernière >>> Gestion des stocks
36 Composante "tige+feuille" : DMO non amidon % MF 2013 : dans un graphique amidon/ DMO non amidon ,0 UFL Composante "grains" : amidon % 0,8 UFL 0,9 UFL Un «nuage» très dispersé axé sur 0.91 UFL, mais quelques points qui décrochent
37 Tenir compte de la teneur en amidon de la ration Interactions digestives (UF) 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5 Estimation des interactions digestives (fourrages-concentrés) Cabon G. et Soulard J., , Teneur en amidon de la ration (g/kgms) Au dessus de 22% d amidon : >>> gaspillage de 1 UF par tranche de 3 points de teneur en amidon Avec les maïs riches en grains : veiller à la teneur en amidon de la ration : Jouer la complémentarité ensilage de maïs/herbe pour «diluer» l amidon Adapter le type/quantité de concentré de production en fonction de la qualité du maïs
38 2013 : ce qu il faut retenir A la récolte Très grande diversité dans les maïs récoltés sur les critères «teneur en amidon» et «%MS plante entière» Des maïs plus riches en énergie qu en 2012 (+ amidon et = DMOna) Maïs plus ingestibles qu en 2012 Des maïs de bonne qualité et des rations ajustables plus facilement 38
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