Classification des risques Rapport d audit Rapport n o 7/14 20 novembre 2014
|
|
- Josephine Dumais
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Classification des risques Rapport d audit Rapport n o 7/14 20 novembre 2014 Diffusion Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière Premier vice-président et chef de la gestion des risques Vice-président, Gestion des risques Vice-président et contrôleur général Directeur de groupe, Gestion du risque de crédit C.c. : Premier vice-président intérimaire, Développement des affaires Premier vice-président, Solutions d affaires et Innovation Premier vice-président et vice-secrétaire, Ressources humaines et Communications Premier vice-président, Assurances Premier vice-président, Affaires générales, et secrétaire Premier vice-président, Financement et Investissements Vice-président, Souscription en assurance crédit Contrôleur général adjoint Directeur de groupe, Comptabilité générale Directeur de programme, COE en classification des risques Directeurs principaux des normes financières, COE en classification des risques Directeur de groupe, Planification stratégique et Relations gouvernementales Directeur principal, Bureau du vérificateur général Directeur, Bureau du vérificateur général Équipe d audit Souhail Sadaka Jordon Alber Muhammad Abid Vice-présidente, Vérification interne Monica Ryan
2 Table des matières Introduction... 3 Objectif et étendue de l audit... 3 Opinion de la Vérification interne... 3 Constatations de l audit et plans d action... 4 Conclusion... 7 Audit sur la classification des risques 20 novembre
3 Introduction La cote de crédit débiteur est liée à plusieurs processus opérationnels, tels que l approbation de crédit, la déclaration des engagements, les provisions pour prêts et la gestion du capital. Par conséquent, notre plan d audit de 2014 visait notamment la méthode d établissement et de maintien des cotes de crédit débiteur d EDC axée sur les cotes internes. Cette méthode est en place depuis juin 2013 pour l Assurance et cautionnement de contrats (CIB) et le Groupe des prêts aux entreprises et du financement sur l actif (CABL), dont la clientèle représente environ 75 % des engagements de crédit. Elle fait appel à huit modèles sectoriels de classification des risques débiteur, et le Comité de classification des risques en assure la supervision. Chaque modèle tient compte de facteurs quantitatifs et qualitatifs, lesquels, tout comme leur pondération, varient en fonction du secteur. Objectif et étendue de l audit De façon générale, cet audit avait pour objectif d évaluer la conception et l efficacité opérationnelle des contrôles internes entourant la méthode de classification des risques axée sur les cotes internes et d en assurer le bon fonctionnement. Les directives de Bâle et les pratiques de l industrie ont servi de référence aux fins de cette évaluation, qui visait le cadre de référence de la méthode, la conception des facteurs qualitatifs et quantitatifs de chaque modèle sectoriel, la validation de chaque modèle et de la méthode dans son ensemble, l établissement et l approbation des profils d évaluation des risques (PER) des débiteurs ainsi que les contrôles d accès à la plateforme de classification des risques, FACT. Le travail d audit sur le terrain s est déroulé de septembre à novembre Opinion de la Vérification interne À notre avis, il existe des possibilités d amélioration des contrôles 1 entourant la méthode de classification des risques axée sur les cotes internes. Il faut renforcer le cadre de référence et certains contrôles opérationnels, notamment en tenant compte des trois points suivants : La Politique de classification des risques n a pas été dûment mise à jour pour tenir compte de la méthode axée sur les cotes internes; diverses questions n y sont pas traitées, comme la responsabilité 1 Nos opinions d audit standards sont les suivantes : - Contrôle rigoureux : Les contrôles clés ont bien été conçus et fonctionnent comme prévu. Des contrôles internes exemplaires sont en place. Les objectifs du processus vérifié seront très probablement atteints. - Bien contrôlé : Les contrôles clés ont bien été conçus et fonctionnent comme prévu. Les objectifs du processus vérifié seront probablement atteints. - Possibilités d amélioration des contrôles : Un ou plusieurs contrôles clés sont absents, ne sont pas bien conçus ou ne fonctionnent pas comme prévu. Il se peut que les objectifs du processus ne soient pas atteints. Du point de vue des finances et/ou de la réputation, l incidence sur le processus vérifié n est pas négligeable. De promptes mesures s imposent. - Non contrôlé : De nombreux contrôles clés sont absents, ne sont pas bien conçus ou ne fonctionnent pas comme prévu. Les objectifs du processus ne seront probablement pas atteints. Du point de vue des finances et/ou de la réputation, l incidence sur le processus vérifié est importante. Des mesures doivent être prises immédiatement. Audit sur la classification des risques 20 novembre
4 des modèles, la validation, les approbations et les exigences de déclaration à la direction et au Conseil. À l adoption de la méthode, en 2013, des ensembles de données externes ont été achetés puis utilisés pour la validation de chaque modèle. Depuis, deux modèles ont été validés de nouveau. Toutefois, pour améliorer les contrôles davantage, il faut mieux définir les paramètres du processus de validation. Pour ce faire, il faut notamment définir la cadence des validations périodiques. De plus, il reste à élaborer un processus visant à valider la méthode axée sur les cotes internes par une seconde classification indépendante des risques débiteur d EDC. Nous avons remarqué des lacunes dans la conception des composantes tant quantitatives que qualitatives des modèles; selon notre examen détaillé, ces lacunes pourraient avoir un effet sur la classification des risques débiteur. Sur le plan quantitatif, les définitions de divers ratios financiers manquent de clarté et ne tiennent pas compte de certains éléments, comme les engagements hors bilan, les montants des facilités demandées et la capitalisation des opérations de crédit-bail. Ensuite, contrairement aux directives de Bâle, l analyse qualitative se fonde sur des renseignements passés sans tenir compte de l avenir. Enfin, l omission de facteurs qualitatifs, comme l état des flottes (modèle Transports) et le risque politique (modèle Industries extractives) pourrait également avoir un effet sur la classification des risques débiteur. À la lumière de ces remarques, le Groupe de la gestion des risques d entreprise d EDC s est engagé à élaborer un plan d action d ici le premier trimestre de Constatations de l audit et plans d action 1. Cadre de référence de la méthode axée sur les cotes internes La Politique de classification des risques, intégrée à la Politique sur la gestion des risques et des capitaux (PGRC), a pour but de définir le processus de mesure du risque de crédit de chacun des débiteurs et des engagements de crédit d EDC. La PGRC et chaque politique qui en fait partie font l objet d un examen annuel, et tout changement qui leur est apporté doit être approuvé par le Comité de gestion des risques (RMC) du Conseil en conformité avec son mandat. Dans le cadre de l audit, nous avons fait les constatations suivantes : La Politique de classification des risques n a pas été dûment mise à jour pour tenir compte de la méthode axée sur les cotes internes; diverses questions n y sont pas traitées, comme la responsabilité des modèles, les processus de validation, les approbations ainsi que les exigences de déclaration à la direction et au Conseil nécessaires à la bonne supervision des activités. Les documents internes concernant la méthode axée sur les cotes internes traitent de l harmonisation de cette méthode avec les directives de Bâle applicables, sans préciser qu elle doit y être conforme. Il reste à établir les critères permettant de confirmer cette harmonisation. Audit sur la classification des risques 20 novembre
5 Pour que le certificat de conformité trimestriel présenté au Conseil par la direction relativement à la Politique de classification des risques conserve sa valeur, il faut régler ces questions. À cet égard, la direction a convenu d élaborer un plan d action détaillé d ici le premier trimestre de Ce plan prévoira l examen complet de la Politique de classification des risques pour veiller à ce qu elle tienne compte des éléments suivants : responsabilité générale de la méthode axée sur les cotes internes, responsabilité liée aux modèles, approbation des modèles, approbation des exceptions en matière de classification des risques, processus de validation et exigences de déclaration. Il tiendra également compte du besoin d établir des politiques complémentaires, notamment sur les modèles et sur la validation. Constatation de l audit Problème majeur 2 Responsable de l intervention Directeur de groupe, Gestion du risque de crédit Date d échéance Premier trimestre de Processus de validation Selon les directives de Bâle et les normes de l industrie, il est nécessaire de valider le système de classification des risques sous-tendant une méthode axée sur des cotes internes. Le processus de validation comprend deux volets : la validation périodique de chaque modèle (à l approbation et par la suite) et les essais continus visant à évaluer l efficacité des modèles et de la méthode dans son ensemble. Dans le cadre de l audit, nous avons pris note des problèmes ci-dessous en ce qui concerne le processus de validation périodique. À l adoption de la méthode, en 2013, des ensembles de données externes ont été achetés puis utilisés pour la validation de chaque modèle. Depuis, deux modèles ont été validés de nouveau. Or, la cadence de validation de tous les modèles n a pas encore été fixée. Il n est pas clair qu une analyse a été menée pour déterminer si les ensembles de données externes étaient raisonnablement représentatifs des débiteurs d EDC. Il n est pas clair que les validations initiale et subséquentes comprenaient une vérification comparative des résultats en fonction d indicateurs externes. Nous avons aussi remarqué qu aucun processus continu n avait été mis en place pour que la méthode axée sur les cotes internes soit validée par une seconde classification indépendante des risques débiteur d EDC. À cet égard, la direction a convenu d élaborer un plan d action détaillé d ici le premier trimestre de Ce plan tiendra compte du besoin d enquêter sur la pertinence et la cohérence des ensembles de données externes par rapport aux débiteurs d EDC et de consigner l information qui en ressort, de s assurer que les validations périodiques comprennent une vérification comparative en fonction d indicateurs externes, de 2 Les constatations d audit sont établies comme suit : Problème majeur : Un contrôle clé est absent, est mal conçu ou ne fonctionne pas comme prévu, et le risque financier et/ou de réputation n est pas négligeable. L objectif du processus sur lequel porte le contrôle ne sera probablement pas atteint. Des mesures correctives s imposent pour que les contrôles soient rentables et/ou que les objectifs du processus soient atteints. Problème modéré : Un contrôle clé est absent, est mal conçu ou ne fonctionne pas comme prévu, et le risque financier et/ou de réputation pour le processus n est pas négligeable. Cependant, un contrôle compensatoire existe. Des mesures correctives s imposent pour éviter de compter uniquement sur les contrôles compensatoires et/ou pour s assurer que les contrôles sont rentables. Problème mineur : Faiblesse dans la conception et/ou le fonctionnement d un contrôle qui n est pas un contrôle clé. Il est peu probable que l atteinte des objectifs soit compromise. Il est recommandé de mettre en place des mesures correctives pour rentabiliser les contrôles. Audit sur la classification des risques 20 novembre
6 définir la cadence des validations périodiques et de l ajuster en cas de changements importants dans un secteur concerné ainsi que d élaborer un processus continu visant une seconde classification indépendante des risques. Constatation de l audit Problème majeur Responsable de l intervention Vice-président, Gestion des risques et directeur de groupe, Gestion du risque de crédit Date d échéance Premier trimestre de Conception des modèles sectoriels Chaque modèle sectoriel s appuie sur une série de facteurs quantitatifs et qualitatifs servant à déterminer les cotes de crédit débiteur. Chaque facteur et sa pondération varient selon le modèle; la pondération des facteurs quantitatifs varie entre 50 % et 70 %, tandis que le reste relève des facteurs qualitatifs. Nous avons noté plusieurs problèmes concernant certains facteurs quantitatifs et qualitatifs de différents modèles. En voici quelques-uns : Contrairement aux directives de Bâle, l analyse qualitative de chaque modèle se fonde sur des renseignements passés sans tenir compte de l avenir. Tous les modèles traitent la diversification géographique et la diversification des recettes comme étant un seul et même facteur qualitatif et non deux facteurs distincts. Les facteurs qualitatifs du secteur des transports ne tiennent pas compte de l état des flottes, qui peut avoir un effet sur la capacité future du débiteur à générer un revenu ou à financer d importants travaux d entretien. Le risque politique peut être considérable dans le secteur des industries extractives, mais il ne figure pas parmi les facteurs qualitatifs qui s y rattachent. Les définitions de plusieurs ratios financiers liés à l aspect quantitatif des modèles manquent de clarté et ne tiennent pas compte de certains éléments, comme les engagements hors bilan, les montants des facilités demandées et la capitalisation des opérations de crédit-bail. L exclusion de ces trois éléments a un effet sur la majorité des ratios de chaque modèle. La direction a convenu d élaborer un plan d action détaillé pour régler ces problèmes d ici le premier trimestre Ce plan tiendra compte du besoin d inclure des renseignements prospectifs dans l analyse qualitative, d inclure les facilités demandées dans l analyse quantitative, de traiter la diversification géographique et la diversification des recettes comme deux facteurs distincts, d ajouter le risque politique et l état des flottes aux facteurs qualitatifs des modèles des industries extractives et des transports, respectivement, ainsi que de rendre plus détaillées les définitions de ratios en y incluant, s il y a lieu, des éléments comme les engagements hors bilan, la capitalisation des opérations de crédit-bail et les montants des facilités demandées. Constatation de l audit Problème majeur Responsable de l intervention Directeur de groupe, Gestion du risque de crédit Date d'échéance Premier trimestre de 2014 Audit sur la classification des risques 20 novembre
7 4. Examen et approbation des PER La classification du risque de chaque débiteur commence par l élaboration d un profil d évaluation du risque (PER). Une fois terminé, chaque PER est approuvé avant que la cote de crédit ne soit entrée dans FACT. Vu l importance que revêt l exactitude de ces renseignements, nous avons mené des essais détaillés sur un échantillon de PER. Nous avons conclu que le processus d approbation de ces profils ne permettait pas toujours de faire la lumière sur les problèmes qui auraient pu influencer la cote de crédit d un débiteur. Plus précisément, nous avons conclu que, dans bien des cas, l information fournie dans le PER n appuyait pas les résultats de l analyse qualitative. En outre, l information financière y était parfois mal classée (p. ex. l intérêt sur les autres obligations portant intérêt figurait sous «autres charges d exploitation»). Enfin, nous avons remarqué l utilisation d anciens états financiers malgré l accessibilité d états financiers plus récents. La direction a convenu d élaborer et de mettre en œuvre des procédures d examen et d approbation de PER plus solides. Constatation de l audit Problème majeur Responsable de l intervention Directeur de groupe, Gestion du risque de crédit Date d échéance Deuxième trimestre de 2015 Conclusion Les constatations de l audit ont été communiquées à la direction, qui les a acceptées et a élaboré des plans d action appropriés. Nous tenons à remercier la direction de son appui tout au long de l audit. Audit sur la classification des risques 20 novembre
Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014
Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014 Diffusion Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière
Plus en détailIntroduction... 3. Objectif et portée de la vérification... 3. Opinion de la Vérification interne... 3
Assurance et cautionnement de contrats (CIB) Octroi de crédit, souscription de prêts, facturation, recouvrement et surveillance Rapport de vérification final Rapport n o 12/13 17 février 2014 Diffusion
Plus en détailCadre de gestion du risque de fraude Rapport d audit Rapport n o 5/14 2 septembre 2014
Diffusion : Cadre de gestion du risque de fraude Rapport d audit Rapport n o 5/14 2 septembre 2014 Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière
Plus en détailÉléments hors bilan Rapport de vérification final Rapport N o 20/12 18 février 2013
Éléments hors bilan Rapport de vérification final Rapport N o 20/12 18 février 2013 Diffusion : Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière
Plus en détailBUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final
BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii
Plus en détailConseil de recherches en sciences humaines du Canada
Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012
Plus en détailVérification des procédures en fin d exercice
Vérification des procédures en fin d exercice DIVERSIFICATION DE L ÉCONOMIE DE L OUEST CANADA Direction générale de la vérification et de l évaluation Décembre 2011 Table des matières 1.0 Résumé 1 2.0
Plus en détailEXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION
EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION I. COMPOSITION ET FONCTIONNEMENT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION 1. Le Comité de la vérification (le «comité»)
Plus en détailCOMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines
COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA Vérification de la gestion des ressources humaines 13 mai 2010 Préparée par le Centre de gestion publique Inc. TABLE DES MATIÈRES 1.0 Sommaire...
Plus en détailCOMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT
COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT Février 2015 Un comité du conseil d administration (le «conseil») du commandité (le «commandité») de Brookfield Renewable
Plus en détailBureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration
Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation
Plus en détailGuide de travail pour l auto-évaluation:
Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation
Plus en détailNOTE D INFORMATION. Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité
Date : Le 28 octobre 2013 NOTE D INFORMATION Destinataires : Institutions financières fédérales Objet : Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité Les cyberattaques sont de plus en plus
Plus en détailBanque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013
Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014
COMMUNIQUÉ PREMIER TRIMESTRE 2014 La Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014 L information financière contenue dans le présent document est basée sur les états financiers
Plus en détailLa stratégie de l entreprise vue par une financière
La stratégie de l entreprise vue par une financière Séminaire sur la transformation des bois résineux au Québec Laurent Pelletier, ing.f Expert-conseil Secteur des produits forestiers Québec 29 Septembre
Plus en détailBanque européenne d investissement. Charte de l Audit interne
Charte de l Audit interne Juin 2013 Juin 2013 page 1 / 6 Juin 2013 page 2 / 6 1. Politique L Audit interne est une fonction essentielle dans la gestion de la Banque. Il aide la Banque en produisant des
Plus en détailObtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION
Obtenir le titre de prêteur agréé La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL aide les Canadiens à répondre à leurs besoins en matière de logement. En tant qu autorité en matière
Plus en détailRecommandation sur les communications à caractère publicitaire des contrats d assurance vie
Recommandation sur les communications à caractère publicitaire des contrats d assurance vie 2015-R-01 du 12 février 2015 1. Contexte Les communications constituent la toute première étape de la relation
Plus en détailServices de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015
Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Mise à jour du Forum conjoint des autorités de réglementation du marché financier Réseau de conciliation
Plus en détailCadre de surveillance
Cadre de surveillance Bureau du surintendant des institutions financières 255, rue Albert, 16 e étage, Ottawa, ON K1A 0H2 Téléphone : 613-990-7788 Télécopieur : 613-952-8219 N o sans frais : 1 800-385-8647
Plus en détailVérification de la sécurité des données fiscales. Rapport final Approuvé par le Comité de vérification interne le 29 juin 2005
Rapport final Approuvé par le Comité de vérification interne le 29 juin 2005 Division de la vérification et de l évaluation Mars 2005 Table des matières Énoncé du vérificateur... 1 I. Introduction...
Plus en détailEPARGNE SELECT RENDEMENT
EPARGNE SELECT RENDEMENT Instrument financier non garanti en capital 1 Durée d investissement conseillée : 6 ans (en l absence d activation automatique du mécanisme de remboursement anticipé) Ce produit
Plus en détailOrgane consultatif indépendant de surveillance de l OMPI
F WO/IAOC/32/2 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 14 AVRIL 2014 Organe consultatif indépendant de surveillance de l OMPI Trente-deuxième session Genève, 17 21 mars 2014 RAPPORT adopté par l Organe consultatif indépendant
Plus en détailCharte du Comité Audit et Risque (CAR) du Conseil d administration de la Banque Cantonale Vaudoise (BCV)
Charte du Comité Audit et Risque (CAR) du Conseil d administration de la Banque Cantonale Vaudoise (BCV) 1. CADRE ET PRINCIPES GÉNÉRAUX Le Comité Audit et Risque (CAR) de la Banque Cantonale Vaudoise (BCV)
Plus en détailLes produits de Bourse UniCredit sur le CAC Ext (Étendu).
EXCLUSIVITÉ UNICREDIT! Les produits de Bourse UniCredit sur le CAC Ext (Étendu). De 8h00 à 18h30, le potentiel des prix et de la liquidité*. CES PRODUITS SONT DESTINÉS À DES INVESTISSEURS AVERTIS. PRODUITS
Plus en détailLa Réserve de Remplacement
La Réserve de Remplacement Guide d utilisation mai 2006 Services familiaux et communautaires Habitation et soutien du revenu Province du Nouveau Brunswick La réserve de remplacement GUIDE D UTILISATION
Plus en détailRéglementation des jeux de casino
Chapitre 4 Section 4.01 Commission des alcools et des jeux de l Ontario Réglementation des jeux de casino Suivi des vérifications de l optimisation des ressources, section 3.01 du Rapport annuel 2010 Contexte
Plus en détailL utilisation du genre masculin dans ce document sert uniquement à alléger le texte et désigne autant les hommes que les femmes
L utilisation du genre masculin dans ce document sert uniquement à alléger le texte et désigne autant les hommes que les femmes Table des matières 1. Objet de la politique... 4 2. Cadre légal et règlementaire...
Plus en détailNORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES
NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES Introduction (Applicable aux audits d états financiers pour les périodes ouvertes à compter du 15 décembre 2009) SOMMAIRE Paragraphe
Plus en détailExamen d'aptitude professionnelle des candidats réviseur d'entreprises. Session ordinaire septembre 2003. Épreuve écrite
6 octobre 2003 Examen d'aptitude professionnelle des candidats réviseur d'entreprises Session ordinaire septembre 2003 Épreuve écrite Vous travaillez dans un cabinet de réviseurs d'entreprises. Vous devez
Plus en détailÉtats financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS
États financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS Au 31 mars 2014 Deloitte S.E.N.C.R.L./s.r.l. 2000 Manulife Place 10180 101 Street Edmonton (Alberta) T5J 4E4 Canada Tél. : 780-421-3611
Plus en détailRésultats financiers et d exploitation du quatrième trimestre et de l exercice 2005
Résultats financiers et d exploitation du quatrième trimestre et de l exercice 2005 16 février 2006 P. 1 Mise en garde - énoncés prospectifs Certains énoncés contenus dans cette présentation concernant
Plus en détailCRÉDIT D IMPÔT POUR LA PRODUCTION DE TITRES MULTIMÉDIAS VOLET GÉNÉRAL INVESTISSEMENT QUÉBEC
CRÉDIT D IMPÔT POUR LA PRODUCTION DE TITRES MULTIMÉDIAS VOLET GÉNÉRAL INVESTISSEMENT QUÉBEC Direction des mesures fiscales TABLE DES MATIÈRES Nature de l aide fiscale... 3 Société admissible... 3 Titre
Plus en détailMISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC
MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC Le 2 décembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Introduction Mesures de relance économique Mesures visant l atteinte et le maintien de l équilibre budgétaire
Plus en détailPOLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT D ACTIONS INCITATIVES
POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT Champ d application de la politique Les options d achat d actions incitatives servent à récompenser les titulaires d option pour les services qu ils fourniront à l émetteur.
Plus en détailPolitique de sécurité de l information
5, Place Ville Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 Téléc. 514 843.8375 www.cpaquebec.ca Politique de sécurité de l information Émise par la Direction, Gestion des
Plus en détailInvestir en vue d'obtenir un revenu d'actions sur les marchés d aujourd hui Juin 2014
Investir en vue d'obtenir un revenu d'actions sur les marchés d aujourd hui Juin 2014 Animatrice : Jennifer McClelland, CFA Vice-présidente et première gestionnaire de portefeuille, Actions canadiennes
Plus en détailGUIDE FISCAL RELATIF AUX CARTES D ACHAT AU CANADA
PRÉPARATION DES DÉCLARATIONS FISCALES GUIDE FISCAL RELATIF AUX CARTES D ACHAT AU CANADA Des conseils simples pour réclamer des crédits de taxe sur intrants à l égard de transactions effectuées au moyen
Plus en détailFIRST ASSET REIT INCOME FUND. Rapport intermédiaire de la direction sur le rendement du Fonds pour la période du 1 er janvier 2013 au 30 juin 2013
FIRST ASSET REIT INCOME FUND Rapport intermédiaire de la direction sur le rendement du Fonds pour la période du 1 er janvier 2013 au 30 juin 2013 Fonds : First Asset REIT Income Fund Titres :, Période
Plus en détailPARTENARIATS POUR LA CRÉATION D'EMPLOIS DE L'ONTARIO EXIGENCES EN MATIÈRE DE VÉRIFICATION ET DE REDDITION DE COMPTES POUR LES BÉNÉFICIAIRES 2014-2015
PARTENARIATS POUR LA CRÉATION D'EMPLOIS DE L'ONTARIO EXIGENCES EN MATIÈRE DE VÉRIFICATION ET DE REDDITION DE COMPTES POUR LES BÉNÉFICIAIRES 2014-2015 1 PARTENARIATS POUR LA CRÉATION D'EMPLOIS DE L'ONTARIO
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailMettez vos bénéfices non répartis à l œuvre
SERVICE FISCALITÉ, RETRAITE ET PLANIFICATION SUCCESSORALE STRATÉGIE PLACEMENTS ET FISCALITÉ N O 11 Mettez vos bénéfices non répartis à l œuvre De nombreux propriétaires d entreprise ont accumulé des sommes
Plus en détailÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE
ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent
Plus en détailASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS
Le 12 septembre 2013 Introduction ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS PRINCIPE DIRECTEUR N O 2 DE L ACFM NORMES MINIMALES DE SURVEILLANCE DES COMPTES Le présent Principe directeur fixe
Plus en détailÉtablissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité
Ébauche de note éducative Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité Commission des rapports financiers
Plus en détailMise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU)
Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) 1. Le MSU est l un des piliers de l Union bancaire européenne 2. La mise en œuvre opérationnelle
Plus en détail5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels. 5.5.5. Autres rémunérations
5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels Sous la direction de son Président, le Conseil d administration évalue régulièrement sa taille, sa composition
Plus en détailIFAC Board. Prise de position définitive. Mars 2012. Norme internationale d audit (ISA)
IFAC Board Prise de position définitive Mars 2012 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 315 (révisée), Compréhension de l entité et de son environnement aux fins de l identification et de l évaluation
Plus en détailAssurances collectives
Assurances collectives Regroupement des organismes nationaux de loisir et de sport du Québec Conditions de renouvellement au 1 er avril 2015 et modification du choix d option Regroupement des organismes
Plus en détailPOLITIQUE GÉNÉRALE D INVESTISSEMENT Ordre des conseillers en ressources humaines agréés
POLITIQUE GÉNÉRALE D INVESTISSEMENT Ordre des conseillers en ressources humaines agréés Présentée par Krzysztof Kuzniar Directeur, finances et administration Le lundi 29 mars 2010 Table des matières 1.
Plus en détailCIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06. Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit.
Tunis, le 20 mai 2011 CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06 Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit. Le Gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie,
Plus en détailFonds de revenu Colabor
États financiers consolidés intermédiaires au et 24 mars 2007 (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie consolidés 4 Bilans
Plus en détailPréavis No 22-2006 au Conseil communal
VILLE DE PULLY Municipalité Direction Administration générale, finances et affaires culturelles Préavis No 22-2006 au Conseil communal Fixation du plafond d endettement et du plafond pour les cautionnements
Plus en détailLIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ
LIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ Avril 2009 Table des matières Préambule... 3 Introduction... 4 Champ d application... 5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour... 6 1. Cadre de gestion de la conformité...
Plus en détailSOMMAIRE MESSAGE DU PRÉSIDENT... 3 RAPPORT DES AUDITEURS... 5 CERTIFICAT DE L ACTUAIRE... 6 ÉTATS FINANCIERS AU 31 DÉCEMBRE 2010 RÉSUMÉ DU BILAN...
RAPPORT ANNUEL 2010 FONDS D ASSURANCE DE LA RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE DE L ORDRE DES ARCHITECTES DU QUÉBEC 740 RUE MAURICE, BUREAU 310, MONTRÉAL (QUÉBEC) H3C 1L5 TÉL. : (514) 842-4979 1-800-842-4979
Plus en détailCADRE D AGRÉMENT APPROCHE STANDARD DU RISQUE OPÉRATIONNEL
CADRE D AGRÉMENT APPROCHE STANDARD DU RISQUE OPÉRATIONNEL Coopératives de services financiers Publication initiale : Décembre 2007 Mise à jour : TABLE DES MATIÈRES 1. Introduction... 3 2. Principes généraux...
Plus en détailCharte d audit du groupe Dexia
Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans
Plus en détailRAPPORT ANNUEL DU COMITE D AUDIT ET DES RISQUES AU CONSEIL D ADMINISTRATION EXERCICE 2012
RAPPORT ANNUEL DU COMITE D AUDIT ET DES RISQUES AU CONSEIL D ADMINISTRATION EXERCICE 2012 Avril 2013 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION.2 AUDIT INTERNE 2 AUDIT EXTERNE.4 GESTION DES RISQUES..5 OPINION GLOBALE
Plus en détailComparaisons internationales de la dette
Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement
Plus en détail1. COMPOSITION ET CONDITIONS DE PREPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL D ADMINISTRATION
RAPPORT DU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION PREVU A L ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE SUR LES CONDITIONS DE PREPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL ET SUR LES PROCEDURES DE CONTROLE
Plus en détailProjet. Politique de gestion des documents et archives. Service du greffe (Avril 2012)
Projet Politique de gestion des documents et archives Service du greffe (Avril 2012) Ensemble des documents, quel que soit leur date, leur nature ou leur support, réunis (élaborés ou reçus) par une personne
Plus en détailL Office national de l énergie a produit la version finale du rapport d audit du programme de gestion de l intégrité d Enbridge.
Dossier Le 31 mars 2015 Monsieur Guy Jarvis Président, Oléoducs Dirigeant responsable aux termes de la Loi sur l Office national de l énergie Pipelines Enbridge Inc. Fifth Avenue Place, bureau 3000 425,
Plus en détailVérification des contrats et processus propres au Service du parc automobile. Déposé devant le Comité de la vérification le 12 mars 2015
Bureau du vérificateur général Vérification des contrats et processus propres Résumé Déposé devant le Comité de la vérification le 12 mars 2015 Cette page a été intentionnellement laissée en blanc. Vérification
Plus en détailRÈGLEMENT. sur la collaboration avec les intermédiaires
RÈGLEMENT sur la collaboration avec les intermédiaires Fédération Internationale de Football Association Président : Joseph S. Blatter Secrétaire Général : Jérôme Valcke Adresse : FIFA FIFA-Strasse 20
Plus en détailAperçu des 37 principes directeurs
Département fédéral des finances DFF Administration fédérale des finances AFF Gouvernement d entreprise de la Confédération Aperçu des 37 principes directeurs Principe n o 1 En principe, il convient d
Plus en détailAPERÇU DES OBLIGATIONS
Avis sur les règles Note d orientation Règles des courtiers membres Destinataires à l'interne : Affaires juridiques et conformité Détail Formation Haute direction Institutions Vérification interne Personne-ressource
Plus en détailASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM
ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE EURO-MÉDITERRANÉENNE GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FINANCEMENT DE L ASSEMBLÉE ET LA RÉVISION DU RÈGLEMENT DE L APEM DMED_PV(2010)1202_1 PROCÈS-VERBAL de la réunion du 2 décembre 2010
Plus en détailGestion des risques de crédit. Termes de référence (TDR)
Séminaire de formation Gestion des risques de crédit organisé par la Banque centrale des Comores (BCC) à l attention des cadres des banques de la place de Moroni Termes de référence (TDR) 1. Contexte La
Plus en détailCONVENTION DE COMPTE DE DEPOT EN DEVISES
La convention de compte de dépôt en devise, ci-après dénommée la «Convention», se compose des présentes Conditions Générales, des Conditions Particulières et des Conditions tarifaires applicables à la
Plus en détailRèglement financier et de Gestion de la F.F.S.B.
Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B. du 26/02/2005 modifié les 15/03/2008, 21/04/2012 et 22/02/2014 I.REGLEMENT FINANCIER PREAMBULE La Fédération Française du Sport Boules, bénéficiant d une
Plus en détailÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2013 CAISSE CENTRALE DESJARDINS
ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2013 CAISSE CENTRALE DESJARDINS TABLE DES MATIÈRES Rapport annuel de la commission de vérification... 57 Responsabilité de la direction à l égard de l information
Plus en détailNorme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie
Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur
Plus en détailPlan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011
Cote du document: EB 2010/101/R.41 Point de l'ordre du jour: 17 b) Date: 9 novembre 2010 Distribution: Publique Original: Anglais F Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour
Plus en détailOptimisation du processus de gestion des plaintes et des commentaires à la SAAQ
Permis Immatriculation Optimisation du processus de gestion des plaintes et des commentaires à la SAAQ Prévention Véhicules lourds Présentation à l ARGP Mars 2012 Victimes d accident Présenté par Nancy
Plus en détailIII.2 Rapport du Président du Conseil
III.2 Rapport du Président du Conseil de Surveillance sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques Rapport du directoire rapports du conseil de surveillance 2012 1 Obligations légales
Plus en détail25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II
25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II Avertissement Cette présentation peut comporter des éléments de projection et des commentaires relatifs aux objectifs et à la stratégie de la Société Générale.
Plus en détailGestion du risque structurel. (Gestion actif-passif) (GAP)
Gestion du risque structurel Chapitre 7 Gestion du risque structurel (Gestion actif-passif) (GAP) Section Sujet traité Page 7000 Résumé 7-2 7100 Grandes lignes de la législation... 7-3 7200 Politique...
Plus en détailWestern Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015
Western Climate Initiative, inc. Budget révisé pour l année civile 2015 et dépenses prévues en 2016 6 mai 2015 Table des matières Introduction... 1 Services de plafonnement et d échange... 2 Système de
Plus en détailDécret n 2008-517 du 20 mai 2008
Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 fixant les modalités d organisation et de fonctionnement des Agences régionales de Développement. RAPPORT DE PRESENTATION En application
Plus en détailHÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS
HÉMA-QUÉBEC ÉTATS FINANCIERS de l exercice terminé le 31 mars 2002 19 TABLE DES MATIÈRES Rapport de la direction 21 Rapport du vérificateur 22 États financiers Résultats 23 Excédent 23 Bilan 24 Flux de
Plus en détailProtocole institutionnel d assurance de la qualité. Université d Ottawa
Protocole institutionnel d assurance de la qualité Université d Ottawa le 28 juin 2011 Table des matières 1. INTRODUCTION...1 1.1 Autorités...1 1.2 Personne-ressource...1 1.3 Définitions...1 1.4 Évaluation
Plus en détailPROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD)
PROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DU RÉGIME R DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD) 1 ICA 15 avril 2008 Le RRMD en chiffres Plus de 500 employeurs 35 900 participants actifs 6 600 retraités 12 000 en 2014 5,5
Plus en détaili) Types de questions Voici les lignes directrices pour chaque type de question ainsi que la pondération approximative pour chaque type :
Raison d être Plan des examens Audit interne et contrôles internes [MU1] 2011-2012 Les examens Audit interne et contrôles internes [MU1] ont été élaborés à l aide d un plan d examen. Le plan d examen,
Plus en détailPolitique de gestion. 5. Déboursés Il doit y avoir deux signataires sur les chèques, dont au moins un membre du conseil d administration.
TROCCA Table Régionale des Organismes Communautaires Chaudière - Appalaches Politique de gestion Voici une liste de points jugés importants pour la gestion de l organisme. La plupart se rapportent à la
Plus en détailCOMPTE DU RÉGIME DE PENSION DE LA GENDARMERIE ROYALE DU CANADA. Comptables agréés Toronto (Ontario) Le 29 avril 2005
Rapport des vérificateurs Au conseil d administration de l Office d investissement des régimes de pensions du secteur public Compte du régime de pension de la Gendarmerie royale du Canada Nous avons vérifié
Plus en détailSommaire. Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos»)
Sommaire Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos») Novembre 2013 Table des matières 1. CONTEXTE ET OBJECTIFS... 3 2. MÉTHODES DE RECHERCHE...
Plus en détailévaluations avec date de calcul à compter du 31 décembre 2014 (mais au plus tard le 30 décembre 2015).
NOTE DE SERVICE À : De : Tous les actuaires des régimes de retraite Bruce Langstroth, président Direction de la pratique actuarielle Manuel Monteiro, président Commission des rapports financiers des régimes
Plus en détailBarème de frais et de commissions
BMO Ligne d action 1 er mai 2015 Barème de frais et de commissions Pour des commissions et des frais concurrentiels, vous pouvez compter sur nous Chez BMO Ligne d action, nous sommes déterminés à fournir
Plus en détailComité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Charte Janvier 2013 La présente publication est disponible sur le site de la BRI (www.bis.org). Banque des Règlements Internationaux 2013. Tous droits réservés.
Plus en détailRapport financier du premier trimestre de 2013-2014
Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE... 55
TABLE DES MATIÈRES TITRE I- LES ÉTATS FINANCIERS...................................... 7 TITRE II- LA FISCALITÉ CORPORATIVE.................................. 55 Table des matières 3 TITRE I LES ÉTATS
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE
22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30
Plus en détailRèglement J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (SaraFlip)
Règlement J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (SaraFlip) Mars 2014 Règlementt Le présent règlement se fonde sur l art. 2 des statuts de J. Safra Sarasin Fondation de libre passage (désignée ci-après
Plus en détailConversion des devises
exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Conversion des devises Octobre 2009 date limite de réception des commentaires : le 15 JANVIER 2010 Le présent
Plus en détailARVIGE RAPPORT DE GESTION. Exercice 2006
ARVIGE RAPPORT DE GESTION Exercice 2006 Le présent rapport a été approuvé par le conseil d administration d ARVIGE qui s est tenu le 24 avril 2007, sur convocation de son Président, Monsieur Yves CHEVILLOTTE.
Plus en détailCADRE DE TRAVAIL. Mai 2008. Autorité des marchés financiers - Mai 2008 Page 1
CADRE DE TRAVAIL Principes à suivre pour les coopératives de services financiers adoptant une approche de notation interne pour le risque de crédit et / ou une approche standard ou de mesure avancée pour
Plus en détailEvaluation des risques et procédures d audit en découlant
Evaluation des risques et procédures d audit en découlant 1 Présentation des NEP 315, 320, 330, 500 et 501 2 Présentation NEP 315, 320, 330, 500 et 501 Les NEP 315, 320, 330, 500 et 501 ont fait l objet
Plus en détailLA SOCIÉTÉ D'ASSURANCE-DÉPÔTS DES CAISSES POPULAIRES
LA SOCIÉTÉ D'ASSURANCE-DÉPÔTS DES CAISSES POPULAIRES États financiers Pour l'exercice terminé le 31 décembre 2008 Table des matières Rapport des vérificateurs 2 États financiers Bilan 3 État des résultats
Plus en détailPolitique de gestion documentaire
Politique de gestion documentaire Responsabilité de gestion : Secrétariat général Date d approbation : 24 avril 1979 C.A. C.E. Direction générale Direction Date d'entrée en vigueur : 24 avril 1995 Date
Plus en détail