LES COMPLICATIONS FONCTIONNELLES DE LA CHIRURGIE DE L INCONTINENCE URINAIRE D EFFORT FÉMININE
|
|
- Nathalie Desjardins
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES COMPLICATIONS FONCTIONNELLES DE LA CHIRURGIE DE L INCONTINENCE URINAIRE D EFFORT FÉMININE Rapport du Congrès Dr Mélanie CAYRAC Pr Jérôme RIGAUD
2 Prévalence en France Introduction Entre 15 et 85 ans : 17% (5,35 Millions) Dont 1,54 Millions ont des fuites quotidiennes Augmentation avec : l âge, le BMI et le nb d enfants Bedretdinova, Eur Urol 2015 Chirurgie de l Incontinence en France Etude à partir de la base de données nationale (CCAM) 2002 : procédures 2013 : procédures (- 17,3 %) Malaterre, Prog Urol 2015
3 Burch (1961) TVT (1996) TOT (2001) Mini-bandelette (2006)
4 Données PMSI ~ Bandelettes Sous-Urétrales / an Total TVT TOT
5 Taux de Continence Nombre d études Continence à 1 an Continence à 5 ans Burch % 70 % TVT % % TOT % % Mini-sling % - Ford, Cochrane (TVT-TOT) 2015 Nambiar, Cochrane (Mini-sling) 2014 Lapitan, Cochrane (Burch) 2012
6 Résultats Fonctionnels Burch Ouvert = Burch Coelio Burch = Bandelette sous Urétrale TVT = TOT TOT in-out = TOT out-in TVT >> Mini-bandelette (RR=2,08) TOT >> Mini-bandelette (RR=2,55) Ford, Cochrane (TVT-TOT) 2015 Nambiar, Cochrane (Mini-sling) 2014 Lapitan, Cochrane (Burch) 2012
7 Taux de Complications des Bandelettes sous-urétrales Complications chirurgicale ou urologique à 3 mois Etude du Medicare : 12,5 % Anger, Obstet Gynecol 2007 Taux de ré-intervention à distance 2,5% pour trouble de vidange ou érosion Nguyen, Obstet Gynecol 2012 Unger, Int Urogynecol J 2015
8 Facteurs de Risques de Complications des bandelettes sous-urétrales Pas lié au volume d activité chirurgicale Haut volume : augmentation de la prise en charge associé de prolapsus Anger, J Urol 2007 Pas lié à une chirurgie associé Bandelette seul + / - Prolapsus Chai, Urology 2012 Pas lié au type de bandelette TVT vs TOT Ford, Cochrane (TVT-TOT) 2015 Complications différentes selon TVT vs TOT Biardeau, Prog Urol 2015 Petri, Int Urogynecol J 2012
9 Classification des Complications Haylen, Int Urogynecol J 2011
10 OBJECTIF DU RAPPORT
11 Mise au point sur les complications fonctionnelles des bandelettes sous-urétrales pour prise en charge d une incontinence urinaire isolée et de première intention Incidence Mécanismes physiopathologiques Prise en charge diagnostique et thérapeutique Comparaison des différents abords Les questions actuelles
12 MATÉRIEL ET MÉTHODES
13 Revue de la littérature Incidence des complications Etudes Prospectives +/- randomisées Prise en charge des complications Etudes prospectives et rétrospectives Comparaison Trans-obturatrice / Rétro-pubienne / Mini-bandelette
14 PUBMED Complication, female, urinary incontinence, surgery Restriction Human, Female, English, French Sélection des abstracts Inclusion: Bandelette Sous-Urétrale Exclusion: Prolapsus associé, vessie neurologique
15 Complications fonctionnelles des BSU Complications précoces (< 6 sem) Rétention aigue post-op Dysurie Douleur immédiate Complications tardives (> 6 sem) Troubles mictionnels induits dits «de novo» Syndrome obstructif HAV de novo Majoration de l HAV Infections urinaires à répétition Algies chroniques Troubles de la fonction sexuelle
16 Obstruction Précoce Chronique Plan Hyperactivité vésicale (HAV) De novo Majoration d une HAV pré-existante Douleur Aigüe Chronique Troubles de la fonction sexuelle Infections urinaires à répétition
17 OBSTRUCTION
18 Taux d Obstruction Rétention < 6 sem Rétention > 6 sem Reprise au Bloc Burch 17 % 7,6 % 0 % TVT 3,1 % 2,7 % 1,2 % TOT 2,3 % 2,4 % 1,1 % Mini-sling 2,1% 3,3 % 1,9 % Schimpf, American Journal of Obstetrics & Gynecology 2014 Ford, Cochrane (TVT-TOT) 2015 Nambiar, Cochrane (Mini-sling) 2014
19 Obstruction / Voie d abord Burch >> Bandelette sous Urétrale TVT (7,2%) >> TOT (3,9%) RR=0,53 In-out (6,9%) >> Out-in (4%) RR=1,74 Mini-sling = TOT NS Mini-sling = TVT NS Schimpf, American Journal of Obstetrics & Gynecology 2014 Ford, Cochrane (TVT-TOT) 2015 Nambiar, Cochrane (Mini-sling) 2014
20 Obstruction Mécanisme de la continence Créer un obstacle à l effort «Kinking» urètre moyen Compression urètre moyen Si bandelette trop serrée Obstacle est permanent Erosion urétrale Infection urinaire Troubles mictionnels Dysurie, Hyper-Activité Vésicale Dobberfuhl, World J Urol 2015 Tse,, BJU Int 2011
21 Définition de l obstruction Pas de consensus Débitmétrie (Qmax) Pression vésicale au débit max Résidu post-mictionnel < 15 ml / sec > 20 cm d H2O > 50 ml Rodrigues, Int Urogynecol J 2013 Tse,, BJU Int 2011 Dobberfuhl, World J Urol 2015 Viereck,, Int Urogynecol J 2013
22 Nomogramme Obstruction Femme Liverpool Dysurie de la femme: Miction lente et/ou incomplète Haylen, Neurourol Urodyn, 2010 Blaivas, Neurourol Urodyn 2000
23 Causes Obstruction Œdème, inflammation Bandelette trop serrée (et/ou trop proche du col) Hypo-contractilité vésicale Facteurs prédictifs de l obstruction Interrogatoire non suffisant Age > 75 ans (discuté) Débitmétrie (Qmax) < 15 ml/sec pré-opératoire Résidu post-mictionnel pré-opératoire Kim, Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol 2013 Hong, J Urol 2003
24 Modifications Urodynamiques Pas de facteur prédictif sur le BUD pré-op Méta-analyse; BUD pre-op (n=388) vs pas de BUD (n=387) Mais exclusion si résidu > 150 ml!!! Burch (BUD pré-op et à 2 ans chez 329 patients) Diminution significative du Qmax (3,6 ml/sec) Pas de variation de la pression vésicale au Qmax Bandelette sous-urétrales (n=136 et n=103) Diminution significative du Qmax (7 à 13 ml/sec) Augmentation de la pression vésicale au Qmax Rachaneni, BJOG 2015 Kraus, Urology 2011 Scheiner Int Urogynecol J 2012 Lukacz, Int Urogynecol J 2004
25 Echographie Trans-labiale Echographie de la bandelette Position par rapport au col vésical Angle entre les 2 jambages Distance bandelette - urètre Distance bandelette - symphyse TVT vs TOT Proximité du col vésical Angle des jambages Distance urètre-bandelette «kinking» urétral TVT TOT TVT < TOT (surtout au repos) TVT = TOT TVT > TOT (surtout à l effort)
26 Echographie Trans-labiale Echographie et troubles fonctionnels Responsabilité de la Bandelette si déformation au repos Obstruction: Diminution distance urètre-bandelette (3mm) Mal position: proximal (obstruction) distal (hyper-activité) repos poussée Tunitsky Female Pelvic Med 2015 Lin Ultrasound Obstet Gynecol 2012 Chantarasorn Int Urogynecol J 2011 Viereck Int Urogynecol J 2013 Long Acta Obstetricia et Gynecologia 2008
27 Rétention post-opératoire Auto-sondage ou sonde pendant 2 semaines Mobilisation précoce de la bandelette (< J10) Reprise des mictions sans altérer la continence Timing de la chirurgie 4 semaines Nguyen, Urology 2005 Attendre trop longtemps Diminution du résultat fonctionnel à distance Inconfort pour la patiente Geste chirurgical plus difficile Unger Int Urogynecol J 2015 Leng J Urol 2004
28 Prise en charge de l Obstruction Geste chirurgical Incision simple ou bilatéral Excision de la bandelette Urétrolyse Facteurs prédictif d échec de la ré-intervention Incontinence pré-opératoire Age > 58 ans Pas de facteur urodynamique pré-reprise Si échographie normale Pas d amélioration après la section Amélioration % Incontinence % Unger, Int Urogynecol J 2015 Viereck, Int Urogynecol J 2013 Patel Nature Reviews 2012 Tse, BJU Int 2011 Roupret, Eur Uro 2010 McCrery Int Urogynecol J 2007 Gamé Prog Urol 2006 Sweeney, Curr Urol Rep 2005 Clifton J Urol 2014 Aponte J Urol 2013 Yoost Int Urogynecol 2011 Mouracade Prog Urol 2010
29 Interrogations?? Symptomatique ou urodynamique? Débit et résidu post-opératoire systématique? Hypocontractilité ou bandelette trop serrée? Quelle surveillance si traitement médical? Détendre tout de suite ou attendre (délai?)?
30 HYPER-ACTIVITÉ VÉSICALE HAV de Novo Majoration d une HAV dans l IUM
31 HYPER-ACTIVITÉ VÉSICALE HAV de Novo Majoration d une HAV dans l IUM
32 Incidence (BSU) Urgenturie ou IUU de novo à court terme (12 mois) 8,35 % voie RP = voie TO RR 0.98 Analyse de 31 RCTs voie TO in-out = out-in RR 1.1 Analyse de 3 RCTs Ford AA et al, Cochrane 2015 Urgenturie ou IUU de novo à long terme (>12 mois) 15% voie RP = voie TO Analyse de 4 RCTs Comparable à la colposuspension en voie ouverte Ford AA et al, Cochrane 2015 HAD de novo 8% voie RP = voie TO RR 1.00 Analyse de 4 RCTs Ford AA et al, Cochrane 2015 HAV de novo voie RP 6,9% > voie TO 5,3% OR=1.41 p=0.046 Analyse de 21 RCTs Schimpf MO, AJOG, 2014
33 Incidences (minibandelettes) Sur urgenturie de novo Minibandelette 22% >>> TVT 9% RR 2.39 Analyse de 3 RCTs Minibandelettes = TOT 10% RR 1.41 Analyse de 8 RCTs TVT-Secur = MiniArc U-type = H-type TVT-Secur Ajust = MiniArc Analyse 3 RCTs Analyse 2 RCTs 1 seule RCT Nambiar A et al, Cochrane 2014
34 FDR de développer une HAV de novo Zéro FDR Cho et al, INJ 2010 Cliniques Dépression OR 2.64 Rickey M et al, Adv Urol, 2013 Antécédent de BSU OR 3.69 Lee JK et al, IUJ, 2013 Antécédent de chirurgie du prolapsus OR 2.45 Lee JK et al, IUJ, 2013 Urodynamiques HAD (non sympto) au BUD pré-op OR 1.99 Lee JK et al, IUJ, 2013 Insuffisance sphinctérienne OR 3.94 Lee JK et al, IUJ, 2013 Tendance pour le chirurgien à plus serrer la BSU s il a notion de l IS pré-op???
35 Hyperactivité vésicale 4 groupes étiologiques Idiopathique Causes locales >>> Irritation vésicale ou urétrale Infection urinaire Polype ou lithiase vésicale Érosion urétrale ou vésicale d une BSU Inflammation de voisinage : diverticule sigmoïdien, salpingite Obstruction : sténose, prolapsus, tumeur, BSU Béance cervico-urétrale Psychologique Influence du conscient et de l inconscient Émotions Phobies Réflexes conditionnés Traits hystériques Troubles neurologiques centraux Atteinte des voies ou des centres de contrôle de la vessie AVC Maladie de Parkinson SEP Lésion médullaire traumatique
36 Etiologies de l HAV après BSU Infection urinaire : 7,4% -17,4% Obstruction sous-vésicale : 1,9% - 19,7% Érosion vésicale ou urétrale: 0,5% - 5% «Idiopathique» : 0-28 % Abraham N et al, Curr Urol Rep 2014? Funeling urétral? Fulford SC et al, J Urol 1999 Dénervation partielle du détrusor? Mills IW et al, J Urol 2000 Position trop distale de la BSU? Dietz et al, Acta Obstet Gynecol Scand. 2004
37 Prise en HAV de novo charge complet Bilan de base Idiopathique Vessie hypocont Obstruction Érosion Infection urinaire basse Règles hygièno-diét Rééducation +- Estrogènes locaux Neurostim tibiale post Anticholinergiques Auto-sondages échec? Chirurgie de BSU? échec ATB prophylaxie obstruction? ATB Infections urinaires basses récidivantes échec Traitement de 2 ème int Botox Neuromodulation sacrée
38 Anticholinergiques et BSU 45 à 50% de mauvaises répondeuses aux AC Serati M et al, Eur Urol 2013 Significativement moins efficaces sur les symptômes d HAV de novo «idiopathique» que l HAV idiopathique Serati M et al, J Urol 2014 FDR d échec de la solifénacine 5mg/j - BSU - Nombre élevé d urgences / 24h - Sévérité des scores OABq-SF et USS Étude prosp monocentrique 120 patientes HAVi 110 patientes «HAVi» de novo (TVT-O) Exclusion : HAD préop, IUM, synd obst, Diabète, AVC, radiothé, prolapsus, infection urinaire à répétition, CI aux AC, ATCD de prise d AC Ttt: Solifénacine 5mg/j pdt 12 sem
39 Traitement de 2 ème int et BSU Neuromodulation sacrée 1 étude après chir IUE 2/3 de bonnes répondeuses FDR identifiés de mauvaise réponse: âge > 55 ans Temps > 4 ans entre la chir de l IUE et le test de neuromodulation Mauvaise activité des muscles du plancher pelvien Sherman ND et al, AJOG 2005 Botox intra-détrusorien 1 seule étude Prospective comparative HAVi de novo / HAVi 100 UI en 20 points d injections Environ 40 % de patientes sèches dans les 2 groupes à 12 semaines Pas de diff sign Miolta et al, IUJ 2015 Mais! Après PVS ou Burch Pas d étude sur la neuromodulation après BSU
40 Chirurgie de BSU pour HAV sur obstruction Technique non standardisée Section simple médiane ou latérale Résection partielle Ressaut + Amélioration 60% sur l HAV Dépend du délai entre chirurgie index et reprise! Section simple médiane Récidive IUE 20-30% en moyenne, mais pouvant aller jusqu à 70%! Viereck et al, IUJ 2013 Unger et al, IUJ 2015
41 Question sur l HAV de novo «idiopathique» Bilan complet normal Irritation du détrusor par la BSU? Est-ce un début d obstruction qui s ignore? Si HAV de novo réfractaire Va-t-on jusqu au ttt de 2 ème intention? Va-t-on préférer une chirurgie de BSU avant? Pas de réponse dans la littérature
42 HYPER-ACTIVITÉ VÉSICALE HAV de Novo Majoration d une HAV dans l IUM
43 BSU et IUM 2010 Taux de guérison subjective globale : 56,4% à 35 mois de suivi médian Taux de guérison sur la composante urgenturie et IUU : 30 à 85% (dégradation des résultats avec le temps ) Taux de guérison sur la composante IUE : 85 à 97% voie TO = voie RP OR=0.9 Analyse de 5 RCTs
44 BSU et majoration de l HAV L aggravation des symptômes de l HAV est retrouvée chez environ 10% des patientes après BSU Choe JH et al, J Urol 2008 Segal JL et al, Obstet gynecol 2004 Kulseng-Hanssen S et al, IUJ 2008 La persistance des urgenturies ou l apparition d IUU de novo est la cause majeure d insatisfaction des patientes après BSU Aigmueller T et al, Int Urogynecol J Lee JK et al, IUJ, 2013 Lee JK et al, BJOG 2011
45 FDR cliniques de persistance ou majoration de l HAV après BSU Âge Lee JK et al, BJOG 2011 Nycturie Tondalaya et al, AJOG 2008 Gamble TL et al, AJOG 2008 Malek JM et al, IUJ 2015 Tondalaya et al, AJOG 2008 Gamble TL et al, AJOG 2008 HAV sévère, prédominante Lee JK et al, BJOG 2011 ATCD de chirurgie de l IUE Lee JK et al, BJOG 2011
46 PCUM basse? Paick J et al, J Urol 2004 Houwert RM et al AJOG 2009 Lee JK et al, BJOG 2011 Cap vésicale Max Basse Gamble TL et al, AJOG 2008 Howert RM et al, AJOG 2009 Tondalaya et al, AJOG 2008 Qmax bas Basu M, Duckett, Int Urogynecol J Pelvic Floor Dysfunct 2007 HAD Duckett J et al, Int Urogynecol J 2008 Lee JK et al, BJOG 2011 Paick JS et al. Int Urogynecol J Pelvic Floor Dysfunct Choe JH et al,. J Urol 2008 Bas volume de remplissage lors des 1ères CNID Pdet élevée FDR urodyn de persistance ou majoration de l HAV après BSU Panayi DC et al, Neurourol Urodynam 2009 Panayi DC et al, Neurourol Urodynam 2009 Alperin M et al, Neurourol Urodyn 2008
47 HAV pré-existante et BSU Résultats sur l HAV 50-60% d amélioration ( altération avec le temps ) 30-40% de persistance 10% d aggravation Prise en charge thérapeutique Idem à l HAV de novo Anticholinergique, TENS Botox, Neurostimulation Chirurgie de la BSU? Jain P et al, UIJ 2011 Zyczynski HM et al, obstet gynecol 2015 Choe JH et al, J Urol 2008 Segal JL et al, Obstet gynecol 2004 Kulseng-Hanssen S et al, IUJ 2008
48 DOULEUR
49 Douleur aigüe Exclusion des douleurs «organiques» Erosion vésicale ou urétrale (Douleur per-mictionnelle) Erosion vaginale (Douleur lors des rapports sexuels) Douleur post-opératoire aigüe Hématome post-opératoire 10 à 25 % Douleur post-op entre 2 à 52 semaines Durée moyenne de 8 semaines Douleur post-opératoire après TOT 32 % dans les 2 semaines (EVA > 3 et < 6) Giri, BJU Int 2005 Ford, Cochrane (TVT-TOT) 2015 Neuman, J Minim Invasive Gynecol Nov 2011
50 Incidence des Douleurs Chroniques Douleur Inguinale Douleur Mb Inf Burch 1,1 % - TVT 1,5 % 0,6 % TOT 6,5 % 16 % Mini-sling 0,6 % 1,6 % Schimpf, American Journal of Obstetrics & Gynecology 2014 Ford, Cochrane (TVT-TOT) 2015 Nambiar, Cochrane (Mini-sling) 2014
51 Douleur / Voies d abord Burch << Bandelette sous Urétrale TOT (6,6%) >> TVT (1,4%) RR=4,12 In-out (9,2%) >> Out-in (8%) RR=1,15 TVT-Secur (0,5%) << TOT (7,1%) RR=0,14 TVT-Secur = TVT NS Schimpf, American Journal of Obstetrics & Gynecology 2014 Ford, Cochrane (TVT-TOT) 2015 Nambiar, Cochrane (Mini-sling) 2014
52 Bilan Etiologique des Douleurs Douleur Chronique Post-Opératoire Dans les suites d une chirurgie Evolution depuis au moins 2 mois Exclusion d une cause organique Exclusion d une douleur pré-existante Macrae, IASP 1999 Bilan étiologique Examen clinique Cystoscopie +/- Bilan Urodynamique Pas d intérêt de l EMG Exclusion d une érosion Vaginale ou Urinaire (Douleur lors de la miction)
53 Douleur Neuropathique Douleur type neuropathique (DN4) Territoire systématisé neurologique Allodynie Pas de déficit moteur Douleur obturatrice ++ et/ou pudendale
54 Douleur Myofasciale Recherche d une zone gâchette Douleur / tension musculaire +/- diffuse Muscle releveur de l anus Muscle obturateur interne Douleur non systématisée
55 Test d Infiltration Lidocaïne (Xylocaïne*) ou Ropivacaïne (Naropéine*) Infiltration sur une zone gâchette ++ Infiltration nerveuse Evaluation du score EVA avant et après
56 Prise en Charge Médicale Post-opératoire immédiat Ablation précoce dans les 15 jours Pas de donnée scientifique Traitement antalgique Majorité résolutive dans les 8 semaines Antalgique, AINS, TENS, médicament douleur neuropathique Prise en charge algologique globale (Rééducation, Psycho, ) Infiltration locale Pas d effets durable dans le temps Duckett, Int Urogynecol J 2013
57 Prise en Charge Chirurgicale Voie d abord TVT: Abord laparoscopique exclusif TOT: Abord vaginal +/- racine de la cuisse Type de geste Douleur Myofasciale Section et ablation partielle de la bandelette Douleur Neuropathique Ablation complète de la bandelette du côté douloureux Libération nerf obturateur par voie laparoscopique Rigaud, J Urol 2008 Unger, Int Urogynecol J 2015 Roupret, Eur Urol 2010 Viereck, Int Urogynecol J 2013
58 Libération nerf obturateur Ablation TOT
59 Incision / Ablation de la bandelette Prise en charge dans une équipe spécialisé Délai de 6 mois 1% des patients Duckett, Int Urogynecol J 2013 Résultats à distance de la chirurgie (n=32 cas) Délai Pose Dépose 36 mois Amélioration des douleurs 69 % Récidive de l incontinence 22 % Pas de différence TVT/TOT et délai des symptômes Rigaud, J Urol 2010
60 Interrogations?? «Avant d être chronique, la douleur est aigüe» Prévention de la douleur post-opératoire Patiente douloureuse en pré-opératoire Peur de l acte, anxiété TOT chez la sportive, fibromyalgique? Prise en charge D abord retirer la bandelette (épine irritative) puis réfléchir? Attendre avec un traitement médical premier? Aléa thérapeutique ou «faute» médicale?
61 TROUBLES DE LA FONCTION SEXUELLE
62 IU et fonction sexuelle dysfonctions sexuelles Trouble de l intérêt / de l excitation sexuelle Trouble de l orgasme Douleurs génitopelviennes / trouble de la pénétration DSM 5, 2013 Absence d homogénéité des études! Biais nombreux :. Définitions. Type de population. Type d incontinence. Association fréquente au prolapsus. Questionnaires validés ou non Questionnaires PISQ-12 Rogers, 2003 Pelvic Organ Prolapse/Urinary Incontinence sexual Function Questionnaire 12 items 3 domaines: Comportemental et émotionnel: fréquence des RS, libido, intensité des orgasmes Physique: dyspareunie, crainte de l incontinence coïtale Partenaire FSFI Rosen, 2000 Female Sexual Function Index 19 items 6 domaines: PISQ-31 Rogers, 2001 PISQ-IR Rogers, IUGA, 2013 ICIQ- FLUTS sex Désir Excitation Lubrification Orgasme Satisfaction Douleur
63 IUE et fonction sexuelle Facteur âge! Facteur Couple! Seules 32% des femmes de + de 60 ans sont sexuellement actives, et, parmi elles, 55% sont en couple. Diokno et al, Arch Intern Med 1990 Altération de la fonction sexuelle : 19 à 50% des patientes avec IU Chen J et al, Curr Urol Rep % des patientes avec TUBA Salonia A et al, BJU Int 2004 Plaintes retrouvées: Incontinence per-coïtale 10 à 50% Diminution de la libido 20 à 40 % Anxiété per-coïtale 50 à 70 % Dyspareunie 40 à 50 % Handa et al, AJOG 2004
64 Impact du traitement par BSU sur la fonction sexuelle 2011 Inchangée 56.7% Améliorée 33.9% Détériorée 9.4% Facteur pronostique d amélioration= IU per coïtale voie TO = voie RP Jha S et al, J Sex Med 2012 voie TO in-out = voie TO out-in Abdel-Fattah M et al, BJOG 2010
65 Etiologiques de l altération de la fonction sexuelle après BSU Appréhension de la reprise des rapports sexuels liée à la présence d un corps étranger intra vaginal Impression de rétrécissement vaginal Persistance d une IU per-coïtale IUU de novo Zyczynski HM et al, AJOG, 2012 Dyspareunie de novo Filocamo MT et al, J Sex Med 2011 Diminution de la sensibilité Sècheresse vulvo-vaginale
66 Hypothèses physiopath de l altération de la fonction sexuelle Troubles de l innervation et de la vascularisation de la paroi vaginale ant et potentiellement du point G Fibrose et diminution d élasticité de la paroi vaginale ant Effet direct sur l innervation et la vascularisation clitoridienne Etude anatomique Sur bassins et reconstruction 3D Lésion du nerf dorsal du clitoris après passage TVT Pas de lésion après passage du TVT-O..mais dist moy de 9 mm >>>> lésion théoriquement possible Bekker MD et al, J Sex Med 2012 Etudes avec Echo-doppler Altération des flux vasculaires si TVT Etude pilote prospective comparative (42 TVT / 63TOT ) Détérioration de sensibilté et tumescence clitoridienne 11.5% après TOT et 10% après TVT-O Caruso et al, J Urol 2007 Elzevier et al, J Sex Med 2008
67 Incidences Voie RP 0,00% Voie TO 0,16% MiniBandelette 0,74% Dyspareunie de novo Schimpf MO, Am J Obstet Gynecol, 2014 Voie TO = voie RP A 24 mois, les taux de dyspareunie sup et prof était faibles. Pas de chiffre! Ford AA et al, Cochrane 2015 TVT = minibandelette 1 seule RCT (Abdelwahab 2010) TVT 3,4% (1/29) / minibandelette TVT-secur 10% ( 3/30) Pas de différence significative Nambiar A et al, Cochrane 2014
68 Etiologies Dyspareunie superficielle Para uretral Banding Corde douloureuse à la palpation des CSD vaginaux Par rétraction prothétique Voie TO exclusivement Cholhan H et al, AJOG, 2010 Erosion des CDS vaginaux latéraux Exposition prothétique médiane (cicatrice) Érosion vaginale 2,09% Voir TO = voie RP Ford AA et al, Cochrane 2015
69 Prise en charge Dyspareunie superf de novo Bilan Clinique+++ Érosion vaginale Corde douloureuse Petite taille Chirurgie de BSU oestrogénothérapie échec Chirurgie de BSU Résection partielle Résection complète Résection partielle Résection complète Section latérale Littérature insuffisante pour recommander l une ou l autre des techniques Chirurgie de BSU pour Dyspareunie de Novo : Amélioration de la fonction sexuelle mais non dans tous les domaines Kuhn A et al, Surg. Endosc Risque de récidive d IUE de 30 à 60% Basu M et al, Eur. J. Obstet. Gynecol. Reprod. Biol Viereck V et al, IUJ, 2013 Résultat sur la résolution de la dyspareunie non garanti ( environ 80%) Unger CA et al, IUJ, 2015 Viereck V et al, IUJ, 2013
70 Hispareunia Dyspareunie masculine après pose de BSU chez la partenaire Brubaker, Int Urogynecol J Pelvis Floor Dysfunct, 2006 Liée à une exposition prothétique Responsable de troubles de la fonction sexuelle masculine Trouble du désir Trouble de l érection Trouble de l éjaculation Et lésions péniennes! Troubles améliorés significativement après traitement le l érosion prothétique Mohr et al, J Sex Med, 2011
71 INFECTIONS URINAIRES À RÉPÉTITION RECURRENT URINARY TRACT INFECTION (UTIS)
72 Définition Recurrent urinary tract infections (UTIs): At least three symptomatic and medically diagnosed UTI in the previous 12 months. The previous UTI(s) should have resolved prior to a further UTI being diagnosed. Haylen B et al, IUGA-ICS, Neurourol. Urodynam 2010 Pas de méta analyse 2,3% à 12 mois Gehrich A et al, Military medicine 2014 Nygaard I, Int Urogynecol J, 2011 Voie TO 3,4% = Voie RP 5,4% Incidence NS Brubacker et al, TOMUS study, AJOG 2011
73 Facteurs de risque Chez les patientes naïves Zéro FDR Gehrich A et al, Military medicine 2014 Chez les patientes qui ont des infections récidivantes pré-op Infections urinaires récidivantes pré-opératoires Nygaard I, Int Urogynecol J, 2011 Guldberg R et al, BMJ Open, 2014
74 Etiologies Obstruction sous-vésicale 2/3 des UTIs ont une obstruction chronique Viereck et al, Int UrogynecolJ, 2013 Nygaard I, IUJ 2011 Erosion vésicale ou urétrale
75 Prise en charge Infection urinaire à répétition Post-BSU Bilan de base Débitmétrie, RPM urétrocysto Obstruction chronique Érosion Pas de cause identifiée Chirurgie de BSU Chirurgie de BSU Section Résection Delorme E, Hermieu JF, Prog Urol 2010 ATB prophylaxie Monuril 1/sem Pas de preuve Amélioration > 85% après section simple Viereck et al, Int Urogynecol J, 2013 Unger et al, Int Urogynecol J, 2015? échec
76 Question Que dire aux patientes ayant déjà des UTIs préexistantes à la BSU? Majoration? Ou pas? Biais Chirurgie concomitante du prolapsus Faible nombre de patientes Pas que des BSU Nygaard I, IUJ 2011 patientes de la TOMUS study et SISTE study 87 patientes (7%) avaient des UTIs avant l intervention ( FDR = diabète) En post-op: >>> Pour l instant, manque de preuve quant à la Biais seul l âge est un FDR significatif de persistance des UTIs 11% majoration ont eu une ou persistance pas des UTIs Pas de preuve d infection U!!! des UTIs par la dans BSU les 12 mois post-op Critère : utilisation d ATB Pas d info sur urodynamique Pas d info sur les symptômes urinaires Guldberg R et al, BMJ Open, % des patientes prenaient régulièrement des ATB pour suspicion d UTI avant la chirurgie de l IUE. 17% ont continué à prendre des ATB plusieurs fois dans les 12 mois postop (Considérées comme UTIs).
77 CONCLUSIONS
78 Take Home Message Complications fonctionnelles fréquentes (12 %) Différentes entre les voies d abords Dysurie TVT > TOT HAV TVT = TOT Douleur TVT < TOT Dyspareunie TVT TOT Infection TVT =TOT Information++ de ces risques aux patientes
79 Take Homme Message Complications fonctionnelles parfois très invalidantes et plus invalidantes que l IUE initiale! Savoir les repérer dans les plaintes des patientes Ecouter les patientes! Mini-invasive mini effets secondaires
80 Take Home Message Responsabilité du geste opératoire Geste sur la bandelette précoce? Pas de perte de temps! Surtout dans les troubles obstructifs et HAV! Être assez systématique dans le bilan
81 Explorations de base Clinique Interrogatoire Calendrier mictionnel Recherche d érosion vaginale Recherche de prolapsus Trophicité Calibrage de l urètre Test du ressaut Examen neuropérinéal ECBU, cyto U Urodynamique Débimétrie: dysurie? RPM? Cystomano: HAD? Profilo: apparition d une IS? Courbe pression /débit: hypocontractilité vésicale? Imagerie Échographie vésicale ( contenu et paroi vésicale ) et rénale Échographie translabiale : position de la BSU Urétrocystoscopie recherche d érosion urétrale ou vésicale
82 Explorations de base Obstruction Clinique Interrogatoire Calendrier mictionnel Recherche d érosion vaginale Recherche de prolapsus Trophicité Calibrage de l urètre Test du ressaut Examen neuropérinéal ECBU, cyto U Urodynamique Débimétrie: dysurie? RPM? Cystomano: HAD? Profilo: apparition d une IS? Courbe pression /débit: hypocontractilité vésicale? Imagerie Échographie vésicale ( contenu et paroi vésicale ) et rénale Échographie translabiale : position de la BSU Urétrocystoscopie recherche d érosion urétrale ou vésicale
83 Explorations de base HAV Clinique Interrogatoire Calendrier mictionnel Recherche d érosion vaginale Recherche de prolapsus Trophicité Calibrage de l urètre Test du ressaut Examen neuropérinéal ECBU, cyto U Urodynamique Débimétrie: dysurie? RPM? Cystomano: HAD? Profilo: apparition d une IS? Courbe pression /débit: hypocontractilité vésicale? Imagerie Échographie vésicale ( contenu et paroi vésicale ) et rénale Échographie translabiale : position de la BSU Urétrocystoscopie recherche d érosion urétrale ou vésicale
84 Explorations de base douleur Clinique Interrogatoire Calendrier mictionnel Recherche d érosion vaginale Recherche de prolapsus Trophicité Calibrage de l urètre Test du ressaut Examen neuropérinéal ECBU, cyto U Urodynamique Débimétrie: dysurie? RPM? Cystomano: HAD? Profilo: apparition d une IS? Courbe pression /débit: hypocontractilité vésicale? Imagerie Échographie vésicale ( contenu et paroi vésicale ) et rénale Échographie translabiale : position de la BSU Urétrocystoscopie recherche d érosion urétrale ou vésicale
85 Explorations de base dyspareunie Clinique Interrogatoire Calendrier mictionnel Recherche d érosion vaginale Recherche de prolapsus Trophicité Calibrage de l urètre Test du ressaut Examen neuropérinéal ECBU, cyto U Urodynamique Débimétrie: dysurie? RPM? Cystomano: HAD? Profilo: apparition d une IS? Courbe pression /débit: hypocontractilité vésicale? Imagerie Échographie vésicale ( contenu et paroi vésicale ) et rénale Échographie translabiale : position de la BSU Urétrocystoscopie recherche d érosion urétrale ou vésicale
86 Explorations de base IUTs Clinique Interrogatoire Calendrier mictionnel Recherche d érosion vaginale Recherche de prolapsus Trophicité Calibrage de l urètre Test du ressaut Examen neuropérinéal ECBU, cyto U Urodynamique Débimétrie: dysurie? RPM? Cystomano: HAD? Profilo: apparition d une IS? Courbe pression /débit: hypocontractilité vésicale? Imagerie Échographie vésicale ( contenu et paroi vésicale ) et rénale Échographie translabiale : position de la BSU Urétrocystoscopie recherche d érosion urétrale ou vésicale
87 Chirurgie de BSU si nécessaire Type fonction de l indication Rétention aigue post-opératoire détendre HAV /obstruction chronique section Douleur ablation complète Dyspareunie par effet corde section Dyspareunie par exposition ablation partielle Érosion vésicale ou urétrale ablation partielle ou complète Information loyale Pas de geste endoscopique à minima! Prévenir du risque d échec de cette chirurgie de BSU (60 à 80 %) Prévenir du risque de récidive d incontinence urinaire (20%) Adresser en centre référent si besoin
88
89
90
Incontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris
Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détailurinaire féminine à l effort de la femme
Evaluation clinique préopératoire d une incontinence urinaire féminine à l effort de la femme Jean-François HERMIEU Service d Urologie CHU Bichat 46, rue Henri Huchard 75018 Paris E mail : jean-francois.hermieu@bch.aphp.fr
Plus en détailLa déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure
Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact
Plus en détailL Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien
L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus
Plus en détailTRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne
TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Dr. René Yiou Service d urologie et département d anatomie CHU Henri Mondor 51, avenue du Maréchal de-lattre-de-tassigny 94010 Créteil Tel: 0149812559 Fax: 01.49.81.25.52 Email: rene.yiou@hmn.ap-hop-paris.fr
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM
LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailDIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :
DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La
Plus en détailCésarienne pour toutes
Césarienne pour toutes Méthodologie Revue de la littérature : - PUBMED de 2003 à nos jours - Mots clefs: urinary incontinence AND cesarean section (210 publications) fecal incontinence AND cesarean section
Plus en détailMédicaments : Oestrogènes. IUE féminine. Quelle place pour les différents traitements? Les alpha stimulants. Médicaments : Oestrogènes.
IUE féminine Quelle place pour les différents traitements? Médicaments : Oestrogènes Effet des oestrogènes sur épithélium et plexus veineux de l urètre Améliore sécheresse et trophicité des tissus Quelle
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailLa vessie neurogène (VN)
La vessie neurogène (VN) Dr. Eugenia Luca, Service de Paraplégie CRR Sion, le 26.03.2015 Introduction Les troubles urinaires associés aux maladies neurologiques sont fréquentes et d expression polymorphe.
Plus en détailEXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE
EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE Pr Claude Hocké Pôle Gynécologie- Obstétrique-Reproduction Hôpital Pellegrin CHU Bordeaux 1 INTERROGATOIRE IL RESTE FONDAMENTAL ET PEUT ÊTRE DIVISÉ
Plus en détailIncontinence urinaire de la femme
1 Incontinence urinaire de la femme un problème de santé publique Docteur Jean-Louis GARIN Médecine Physique et RéadaptationR Centre Hospitalier Général G de Longjumeau 2 Trois périodes p critiques Le
Plus en détailRééducation de la rééducation de l Incontinence Urinaire de l homme : Résultats. Guy Valancogne
Rééducation de la rééducation de l Incontinence Urinaire de l homme : Résultats Guy Valancogne Depuis la fin des années 90 : études pour le cas spécifique de l incontinence masculine, - certaines d entre
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailLe traitement médical de l incontinence urinaire féminine. Pr A.PIGNE C.E.E.G 75005 PARIS France
Le traitement médical de l incontinence urinaire féminine Pr A.PIGNE C.E.E.G 75005 PARIS France QUALIFIER l incontinence urinaire d effort (IUE) fuites involontaires, non précédée du besoin d uriner, à
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailFonctions du plancher pelvien :
le point sur Fonctions du plancher pelvien : de la phase expulsive à la consultation du post-partum Rev Med Suisse 2011 ; 7 : 2078-83 S. Meyer C. Achtari Pr Sylvain Meyer Département de gynécologie et
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailSUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES
SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES
Plus en détailIncontinence urinaire en gériatrie. DR Depireux urologue DR Noël l interniste
Incontinence urinaire en gériatrie DR Depireux urologue DR Noël l interniste Vieillissement Variabilité interindividuelle des effets du vieillissement. Aboutissement à un groupe hétérogh rogène du point
Plus en détailAvant-propos. Cordialement, (Au nom du Groupe de Défense des Patientes (GDP))
Avant-propos Comme toute personne engagée dans un programme sur l incontinence ne le sait que trop bien, l incontinence urinaire à l effort (IUE) est une pathologie qui touche des millions de femmes dans
Plus en détailTroubles mictionnels de la femme. Dysurie, urgenturies, douleurs vésicales
Dysurie, urgenturies, douleurs vésicales Xavier Deffieux Service de Gynécologie Obstétrique et de Médecine de la Reproduction Hôpital Antoine Béclère, Clamart Module 5 Gynécologie générale Troubles mictionnels
Plus en détailE x t rait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétri q u e
CNGOF_MAJ_TITRES.qxp 17/12/09 17:26 Page 1 (1,1) COL L ÈGE N ATIONAL DES GYNÉ COLOGUES E T OBS TÉ TRICIENS FR A NÇ A IS Président : Professeur J. L a n s a c E x t rait des Mises à jour en Gynécologie
Plus en détailB. BOQUET, F. DEMARIA, J. ROSENBLATT, R. PORCHER, JM. JOUANNIC, JL. BENIFLA Hôpital Rothschild, 33 Bd de Picpus 75012 PARIS
ETUDE PRELIMINAIRE DU SPHINCTER URETHRAL CHEZ LA PARTURIENTE Caractérisation anatomique et fonctionnelle du sphincter uréthral par une évaluation échographique 3D et urodynamique en pré et post-partum
Plus en détailKEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile
L incontinence : une maladie très fréquente D après le Pr François Haab, chirurgien urologue, coordinateur du centre d explorations périnéales de l hôpital Tenon (Paris) Des solutions adaptées à chaque
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailIncontinence urinaire : trop souvent taboue
Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :
Plus en détailRÉSUMÉ DES RECOMMANDATIONS
NOUVELLE PROPOSITION DE RECOMMANDATIONS POUR L INCONTINENCE URINAIRE Le comité des recommandations de l AUC a travaillé à l établissement de nouvelles recommandations et à la mise à jour des précédentes.
Plus en détailIncontinence urinaire du post-partum : l évoquer dans la consultation suivant l accouchement
Incontinence urinaire du post-partum : l évoquer dans la consultation suivant l accouchement Isabelle Aubin UFR Paris 7 Cinq propositions pour une meilleure prise en charge en médecine générale de l incontinence
Plus en détailIncontinence urinaire de la femme: quelle est la marche à suivre au cabinet du médecin de famille?
Incontinence urinaire de la femme: quelle est la marche à suivre au cabinet du médecin de famille? Jörg Humburg Frauenklinik, Kantonsspital Bruderholz Quintessence P L incontinence urinaire de la femme
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailREEDUCATION DU POST-PARTUM
Communauté Périnatale de l Agglomération Versaillaise Association Loi 1901 n 0784014641 29 rue de Versailles - 78150 Le Chesnay Tel : 01.39.43.12.04 Fax : 01.39.43.13.58 E-Mail : cpav@medical78.com Web:
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailRecommandations pour la prise en charge rééducative de l incontinence urinaire non neurologique de la femme
Progrès en urologie (2010) 20 Suppl. 2, S104-S108 Recommandations pour la prise en charge rééducative de l incontinence urinaire non neurologique de la femme Guidelines for rehabilitation management of
Plus en détailGamme PHENIX Portable. Toute l électrothérapie dans un portable
Gamme PHENIX Portable Toute l électrothérapie dans un portable PHYSIO PHYSIOSTIM URO Les exclusivités de la gamme PHENIX Portable PHYSIO PHYSIOSTIM URO Les PHENIX Portable sont les seuls appareils portables
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailMise au point sur l IRM l troubles de la statique pelvienne chez la femme
Mise au point sur l IRM l et les troubles de la statique pelvienne chez la femme V.FAUTH P.MESTDAGH M.COSSON J.P.LUCOT E.PONCELET Service d imagerie d médicalem Hôpital Jeanne de Flandres - CHRU Lille
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailL INCONTINENCE URINAIRE : conséquences
Cette présentation a été effectuée le 26 novembre 2013, au cours de la demi-journée «Reconnaître l'incontinence comme un problème de santé publique: à quand au Québec?» dans le cadre des 17es Journées
Plus en détailRecommandations pour la pratique de l imagerie dans l évaluation d une incontinence urinaire féminine non neurologique
Pelvi-Périnéologie (2009) 4:291-303 DOI 10.1007/s11608-009-0274-5 PRATIQUE MÉDICALE / MEDICAL PRACTICE Recommandations pour la pratique de l imagerie dans l évaluation d une incontinence urinaire féminine
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailPérinée Obstétrique - Sexualité
Université Montpellier I FACULTÉ de MÉDECINE Montpellier - Nîmes Périnée Obstétrique - Sexualité!"#$%$&'(&")%(*+,+-&+&"." P. MARES MARSEILLE 2012 L accouchement et la naissance Marqueurs de qualité mortalité
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailGrossesse et complications périnéales de l accouchement chez la neurologique Xavier Deffieux
Grossesse et complications périnéales de l accouchement chez la neurologique Xavier Deffieux Chirurgie Gynécologique Hôpital Antoine Béclère, Clamart Université Paris Sud Problématique La pathologie neurologique
Plus en détaild une Dr Ei Eric Peterman
d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailL Hyperactivité Vésicale Iatrogène
QUID 2014 L Hyperactivité Vésicale Iatrogène EDITIONS SARBAKANE CHAPITRE 1 Classification des hyperactivités vésicales Pr. Gérard Amarenco Service de Neuro-Urologie, Hôpital Tenon, APHP 4, Rue de la Chine,
Plus en détailIncontinence urinaire de la femme
300-A-10 Incontinence urinaire de la femme S. Conquy, D. Amsellem-Ouazana Handicap social majeur, concernant tous les âges de la vie de la femme, l incontinence urinaire recouvre des tableaux cliniques
Plus en détailRAPPORT SUR LE THEME DE L INCONTINENCE URINAIRE
RAPPORT SUR LE THEME DE L INCONTINENCE URINAIRE Ministère de la Santé et des Solidarités Avril 2007 Rapport remis à Monsieur Philippe BAS Pr François HAAB Université Paris VI, Hôpital Tenon, Paris SOMMAIRE
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailFaut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA?
Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? (césarienne élective = césarienne pratiquée "à froid", en dehors du travail) C Dageville réanimation néonatale,
Plus en détailChapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ². José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ² José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Nature des variables
Plus en détailSection de médecine clinique Département de Gynécologie- Obstétrique Service d obstétrique
UNIVERSITE DE GENEVE FACULTE DE MEDECINE Section de médecine clinique Département de Gynécologie- Obstétrique Service d obstétrique Thèse préparée sous la direction du Professeur Olivier Irion SANTE DES
Plus en détailRééducation périnéologique dans les troubles de la statique pelvienne Indications et principes de rééducation JP. DENTZ Cds-Mk Paris
Rééducation périnéologique dans les troubles de la statique pelvienne Indications et principes de rééducation JP. DENTZ Cds-Mk Paris Illustration : Max Claude Cappelletti Le plancher pelvien LA STATIQUE
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailPage 1/15 - L incontinence urinaire en détail
02/01/2013 L incontinence urinaire en détail En France, 3 millions de personnes souffrent d'incontinence, qu'elle soit urinaire ou fécale. Ce dossier présente les causes de cette affection, les divers
Plus en détailSexualité et VIH. Dr F.Lallemand Hôpital St Antoine-Paris
Sexualité et VIH Dr F.Lallemand Hôpital St Antoine-Paris Introduction 1 Forte prévalence de dysfonctionnements Davantage de données concernant les hommes homosexuels ou bisexuels Pauvreté des informations
Plus en détail«Docteur, j ai la prostate!»
«Docteur, j ai la prostate!» Texte D r Alain BITTON Urologue FMH Genève Conception et graphisme Comic Brains, Pécub Introduction 1 «Docteur, j ai la prostate! Pour moi, ce sera une opération au laser comme
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailLa Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
La Société de Pharmacie de Lyon, le 17 novembre 2011 Le risque thrombo-embolique : actualités thérapeutiques et sa prise en charge La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détail«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»
Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent
Plus en détailContact SCD Nancy 1 : memoires@scd.uhp-nancy.fr
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailSolva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale
Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Cours de la formation continue dans les thérapies manuelles Pour ceux qui veulent ajouter des techniques efficaces,
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD
ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détail