Solutionnaire questions théoriques chapitre 9

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Solutionnaire questions théoriques chapitre 9"

Transcription

1 Solutionnaire questions théoriques chapitre Quand le délai de récupération est inférieur à la durée de vie du projet, la VAN est positive pour un taux d*actualisation de 0%. Pour des taux supérieurs à 0%, le délai de récupération reste toujours inférieur à la durée du projet, mais la VAN peut être positive, négative ou nulle. Le résultat de la VAN change si le taux d*actualisation est supérieur, égal ou inférieur au TRI. Le délai de récupération actualisé tient compte des effets de la valeur de l*argent dans le temps. Si k DRA d*un projet est inférieur à la durée de vie du projet, alors la VAN doit être positive. 20. Si l*investissement a une VAN positive. cet investissement a sûrement une VAN positive quand on utilise un taux d*actualisation de 0%. Dans ce cas, le DR est forcément inférieur à la durée du projet. Étant donné que la DRA est calculé avec le même taux d actualisation que la VAN, il est inférieur à la durée de vie de l investissement. Si la VAN est positive, la valeur actualisée des rentrées de flux monétaires est supérieure au coût initial de l investissement. Par conséquent, le RI est plus grand que l unité. Si la VAN est positive pour un certain taux r, alors elle est de zéro pour un taux plus élevé r. Par conséquent, le TRI doit être supérieur au taux minimal demand pour assurer la rentabilité. 21. a) Le délai de récupération est tout simplement un point mort comptable pour une série de flux monétaires. Dans le calcul du DR, on suppose que les flux monétaires sont linéairement distribués tout au long dc l*année et non pas à une date précise. Le DR est une date (un point dans le temps) qui indique quand les rentrées d*argent couvrent l*investissement initial. Pour une limite de temps pi~édéterniinéc, la règle dc décision avec le DR est de choisir les projets pour lesquels le DR est inférieur à cette limite. b) Le problème majeur avec le DR est que cette méthode ne tient pas compte de la valeur de l*argent dans le temps. De plus, le choix d*une durée de temps maximale pour couvrir l*investissement initial est un choix subjectif qui n*est

2 appuyé par aucune règle précise. La méthode du DR s*oriente vers les projets de courte durée. Le DR ignore complètement les flux monétaires après la durée de temps maximale choisie. c) En dépit de ses faiblesses, le DR est utilisé, car 1) il est très simple et facile à appliquer et 2) l*information comptable nécessaire pour le calcul est rapidement disponible. Pour des projets de maintenance, le DR est souvent suffisant et une analyse plus détaillée et approfondie pourrait constituer une perte de temps. Puisque le DR s*oriente vers la liquidité, il est souvent le plus pertinent pour l*analyse de projets à court terme où la gestion de l*encaisse est la plus importante composante. 22. a) Le délai de récupération actualisé est calculé de la même façon que le DR normal; la seule différence est que les flux monétaires sont actualisés. Le DRA fournit une mesure de point mort financier à cause du processus d*actualisation. Au contraire, le DR fournit un point mort comptable, car il utilise la valeur non actualisée de flux monétaires ayant lieu à différents moments dans le temps. La règle de décision pour le DRA est la même qu*avec le DR. Lorsque la limite de temps est prédéterminée, on choisit les projets pour lesquels le DRA est inférieur à cette limite. b) L*inconvénient majeur avec la méthode du DRA est que ce dernier ignore complètement les flux monétaires après la date maximale fixée. Ce faisant, cette méthode privilégie les investissements à court terme. En utilisant le DRA, on pourrait rejeter des projets qui ont une VAN positive ou bien accepter des projets qui nécessitent des sorties d*argent dans le futur et, de ce fait, qui peuvent avoir une VAN négative. c) Le DRA représente une amélioration par rapport au simple DR. En effet, cette première méthode tient compte de la valeur de l*argent dans le temps. Pour des investissements ayant des flux monétaires conventionnels et pour un taux d*actualisation positif, le DRA est toujours plus grand que le DR.

3 23. a) Le taux de rendement comptable moyen~ est une mesure de la rentabilité moyenne comptable pour une période de temps donnée. Le TRCM équivaut au ratio d*une mesure de profit comptable par rapport à une valeur moyenne du bilan pour le projet. Ce manuel calcule le TRCM ainsi: le bénéfice net est divisé par la valeur totale moyenne aux livres. Étant donné une mesure cible dc rentabilité, la règle de décision avec cette méthode est d*accepter les investissements qui ont une rentabilité supérieure à la rentabilité de référence. b) Le TRCM n*est pas une mesure de flux monétaires ni une mesure de valeur au marché, mais plutôt une mesure comptable qui peut avoir peu de liens avec la vraie valeur financière du projet. De plus, le choix de la rentabilité de référence (ou de la rentabilité cible) est encore une fois arbitraire, la valeur de l*argent dans le temps est ignorée. Pour un gestionnaire financier, le fait de se fier exclusivement à des données comptables et de ne pas actualiser des flux monétaires futurs est très problématique. En dépit de toutes ces faiblesses, le TRCM est utilisé en pratique, car 1) l*information comptable est rapidement disponible. 2) les analystes utilisent souvent des ratios comptables dans l*étude de la performance d*une firme et 3) souvent la rétribution des gestionnaires est basée sur l*obtention d*une valeur cible pour des ratios comptables. 24. a) La VAN est tout simplement la valeur actualisée des flux monétaires rattachés à un investissement. En particulier 1a VAN mesure l accroissement (ou la perte) de la valeur de la firme due à l*investissement. La règle de décision avec la VAN est d*accepter tout investissement ayant une VAN positive et de rejeter les projets avec une VAN négative. 2. La VAN est supérieure aux autres méthodes présentées dans ce manuel, car elle n*a pas de faiblesses importantes. Cette méthode permet de classer des projets mutuellement exclusifs et ne présente aucun problème avec les projets de taille et de durée de vie différentes. Le seul inconvénient avec la VAN est qu*elle se base sur des flux monétaires et un taux d*actualisation prévisionnels. Toutefois, il faut admettre que cette faiblesse est commune à toutes les méthodes. Un investissement avec une VAN de 2500$

4 indique que la richesse des actionnaires va augmenter de 2 500$ si le projet est choisi. 25. a) Le TRI est le taux d*actualisation pour lequel la VAN est nulle. Par conséquent, le TRI peut être interprété comme un mesure de point mort de rentabilité financière. La règle de décision avec la méthode du TRI est d*accepter tous les projets ayant un TRI supérieur au taux d*actualisation et de refuser tout projet ayant un TRI inférieur au taux d*actualisation. b) Le TRI est le taux d*intérêt qui rend la VAN d*un projet nulle. Dans toutes les situations. la VAN est préférable au TRI. En effet, le TRI donne des résultats ambigus pour des projets qui n*ont pas de flux monétaires conventionnels, et des problèmes se posent dans le classement de projets mutuellement exclusifs. Néanmoins, pour des projets qui ne correspondent pas à ces cas particuliers, la méthode de la VAN et du TRI sont équivalentes. c) Le TRI est souvent utilisé par les gestionnaires financiers et les analystes, car il est exprimé en termes de rentabilité relative (en pourcentage plutôt qu*en unités monétaires). Le TRI peut être préférable à la VAN quand le taux d*actualisation est inconnu. Dans ce type de situation, le TRI fournit plus d*information sur l*investissement que la VAN. 26. a) L*indice de rentabilité est la valeur actualisée des rentrées d*argent par rapport au coût du projet. Il est équivalent à un ratio bénéfices-coûts, et il donne une mesure de rentabilité relative. La règle décisionnelle avec l*ir est de choisir les projets qui ont un IR plus grand que l*unité. 2. lr = (VAN + Coût) / Coût = 1 + (VAN/Coût). Si une firme a un ensemble de projets avec une VAN positive et qu*elle est assujettie à un rationnement de capital, l*ir est une bonne méthode pour le classement des projets. 27. DR = I/C; -I + C/r = VAN; O = - I + C/TRI ou TRI = C/I. Donc, TRI = l/dr. Pour des projets à long terme avec des flux monétaires relativement constants, plus petit est le DR, plus grand est le TRI.

5 28. VAN A (r = 0%) = 1 900$ > VAN B (r = 0%) =1 500$ VAN b (r=15%) >0; VAN B (r=15%)=0 Pour des taux d*actualisation pertinents, la VAN A est toujours supérieure à la VAN B. Quand les deux VAN sont négatives, le taux correspond à l*intersection des deux profils. Donc, les deux projets sont rejetés. 29. IR = (VAN + Coût) / Coût = 1 + (VAN/Coût); indice VAN = IR a) Pour avoir un DR égal à la durée de vie du projet, étant donné que C est un flux monétaire constant pour N années, C = I / N. 2. Pour avoir une VAN positive, I < C X (VA A r%;n ); donc, C > I/ (VA A r%; n ) c) Bénéfices = C X (VA A r%:n ) = 2 X Coûts = 2I; C2I/(VA A r%; n )

Chapitre 6 - Comment analyser des projets d investissement. Plan

Chapitre 6 - Comment analyser des projets d investissement. Plan Chapitre 6 - Comment analyser des projets d investissement Plan Maximisation et création de valeur Le concept de Valeur Actuelle Nette Les différents types d investissements Les critères du choix d investissement

Plus en détail

- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE

- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE - 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE Objectif(s) : o Choix des investissements et rentabilité économique : Capacité d'autofinancement prévisionnelle ; Flux nets de trésorerie ; Evaluations.

Plus en détail

Annexe A de la norme 110

Annexe A de la norme 110 Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet

Plus en détail

Apllication au calcul financier

Apllication au calcul financier Apllication au calcul financier Hervé Hocquard Université de Bordeaux, France 1 er novembre 2011 Intérêts Généralités L intérêt est la rémunération du placement d argent. Il dépend : du taux d intérêts

Plus en détail

La valeur présente (ou actuelle) d une annuité, si elle est constante, est donc aussi calculable par cette fonction : VA = A [(1-1/(1+k) T )/k]

La valeur présente (ou actuelle) d une annuité, si elle est constante, est donc aussi calculable par cette fonction : VA = A [(1-1/(1+k) T )/k] Evaluation de la rentabilité d un projet d investissement La décision d investir dans un quelconque projet se base principalement sur l évaluation de son intérêt économique et par conséquent, du calcul

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER Objet de la séance 4: définir les termes techniques utilisés par le trésorier

Plus en détail

Modèle de calcul des paramètres économiques

Modèle de calcul des paramètres économiques Modèle de calcul des paramètres économiques selon norme SIA 480 Calcul de rentabilité pour les investissements dans le bâtiment Version 3.2 1. Introduction 1.1 Version Excel Le modèle de calcul a été développé

Plus en détail

La rentabilité d'un investissement informatique

La rentabilité d'un investissement informatique La rentabilité d'un investissement informatique Propriétés Intitulé long Intitulé court Formation concernée Matière Description Exonet sur la gestion financière d'un parc informatique et plus particulièrement

Plus en détail

L évaluation de la rentabilité d un investissement

L évaluation de la rentabilité d un investissement L évaluation de la rentabilité d un investissement Formation des Responsables Énergie de la RBC Céline Martin ICEDD asbl 22 mars 2007 Situation de départ: le cas du remplacement d une chaudière On désire

Plus en détail

Présentation des termes et ratios financiers utilisés

Présentation des termes et ratios financiers utilisés [ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.

Plus en détail

Calcul économique privé

Calcul économique privé Année 2010-2011 Alain Marciano : L analyse coût avantage Licence Sciences Economiques 3, UM1 Plan chapitre Section 1. L agrégation des effets dans le temps : l actualisation Section 2. Les critères complémentaires

Plus en détail

TESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple

TESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple TESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple Un examinateur doit faire passer une épreuve type QCM à des étudiants. Ce QCM est constitué de 20 questions indépendantes. Pour chaque question, il y a trois réponses

Plus en détail

TUTORIAL REUTERS. Utilisation de l'utilitaire de recherche Reuters

TUTORIAL REUTERS. Utilisation de l'utilitaire de recherche Reuters TUTORIAL REUTERS Connexion à Reuters Allez sur https://portal.hpd.global.reuters.com/auth/login.aspx Le login est reut@ensimag.imag.fr, =1 à 5, le et le mot de passe étant ceux qui vous ont été

Plus en détail

ENSIIE. Macroéconomie - Chapitre I

ENSIIE. Macroéconomie - Chapitre I ENSIIE Macroéconomie - Chapitre I Le 13 avril 2013 Table des matières 1 Introduction 2 2 La théorie Keynésienne 3 2.1 Keynes......................................... 3 2.2 Quelques ordres de grandeur.............................

Plus en détail

Note:... Q1 :... Q2 :... Q3 :... Q4 :... Bonus :... Total :...

Note:... Q1 :... Q2 :... Q3 :... Q4 :... Bonus :... Total :... FACUL S HAUS US COMMRCIALS L'UNIVRSI LAUSANN Professeurs :. Andrei C. Bobtcheff Matière : Principes généraux de finance Session : té Informations générales: o ocumentation autorisée. o Calculatrices autorisées

Plus en détail

INSTRUCTIONS RELATIVES

INSTRUCTIONS RELATIVES INSTRUCTIONS RELATIVES AUX TABLEAUX SUR LES SINISTRES ET INDICES DE PERTE Les Tableaux sur les sinistres et indices de perte sont exigés afin de pouvoir constituer une base de données et une présentation

Plus en détail

Yvan Allaire 1, Ph.D., MSRC Professeur émérite, UQÀM. Louis Parent, ing., MBA Analyste financier indépendant Le 17 août 2012

Yvan Allaire 1, Ph.D., MSRC Professeur émérite, UQÀM. Louis Parent, ing., MBA Analyste financier indépendant Le 17 août 2012 Les redevances sur les ressources naturelles selon les partis politiques: qui a raison? Yvan Allaire 1, Ph.D., MSRC Professeur émérite, UQÀM Louis Parent, ing., MBA Analyste financier indépendant Le 17

Plus en détail

BMO Société d assurance-vie. Glossaire d aide juin 2009

BMO Société d assurance-vie. Glossaire d aide juin 2009 BMO Société d assurance-vie Glossaire d aide juin 2009 TABLE DES MATIÈRES Utiliser Recherche rapide pour les comptes indiciels gérés 3 Utiliser Recherche avancée pour les comptes indiciels gérés 4 Trier

Plus en détail

Comment réduire son ISF grâce à l investissement dans les PME

Comment réduire son ISF grâce à l investissement dans les PME Comment réduire son ISF grâce à l investissement dans les PME Plan du guide I- LES INVESTISSEMENTS CONCERNES a) L investissement direct dans une PME b) L investissement grâce à une société holding c) L

Plus en détail

GESTION BUDGETAIRE DES INVESTISSEMENTS LE PLAN DE FINANCEMENT

GESTION BUDGETAIRE DES INVESTISSEMENTS LE PLAN DE FINANCEMENT GESTION BUDGETAIRE DES INVESTISSEMENTS LE PLAN DE FINANCEMENT 1- Présentation. Le budget des investissements est concerné par deux catégories de projets : Les projets importants dont les effets financiers

Plus en détail

ANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE

ANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE Annexe C. Éléments d'analyse financière 143 ANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE Résumé Cette annexe présente quelques éléments comptables qui peuvent servir à l'analyse financière des entreprises.

Plus en détail

Comment évaluer une banque?

Comment évaluer une banque? Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans

Plus en détail

MASTER GESTION DES ORGANISATIONS

MASTER GESTION DES ORGANISATIONS MASTER GESTION DES ORGANISATIONS COURS DE GESTION FINANCIERE CHOIX DE PROJETS ET CHOIX D INVESTISSEMENT ANALYSE CLASSIQUE ET RÉCENTS DÉVELOPPEMENTS VOLUME I THEME 1 : LES FACTEURS D'ACTUALISATION ET DE

Plus en détail

Le taux d'actualisation en assurance

Le taux d'actualisation en assurance The Geneva Papers on Risk and Insurance, 13 (No 48, July 88), 265-272 Le taux d'actualisation en assurance par Pierre Devolder* Introduction Le taux d'actualisation joue un role determinant dans Ia vie

Plus en détail

Théorie Financière 2014-2015

Théorie Financière 2014-2015 Théorie Financière 2014-2015 1. Introduction Professeur Kim Oosterlinck E-mail: koosterl@ulb.ac.be Organisation du cours (1/4) Cours = Théorie (24h) + TPs (12h) + ouvrages de référence Cours en français

Plus en détail

Consommation et investissement : une étude économétrique

Consommation et investissement : une étude économétrique Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Consommation et investissement : une étude économétrique Décembre 1996 Document de travail n 14 Consommation et Investissement : Une

Plus en détail

Deuxième trimestre 2015

Deuxième trimestre 2015 Deuxième trimestre 2015 Contenu Perspectives économiques mondiales Perspectives sur les catégories d'actif Paul English, MBA, CFA vice-président principal, Placements Tara Proper, CFA vice-présidente adjointe,

Plus en détail

L'INTÉRÊT COMPOSÉ. 2.1 Généralités. 2.2 Taux

L'INTÉRÊT COMPOSÉ. 2.1 Généralités. 2.2 Taux L'INTÉRÊT COMPOSÉ 2.1 Généralités Un capital est placé à intérêts composés lorsque les produits pendant la période sont ajoutés au capital pour constituer un nouveau capital qui, à son tour, portera intérêt.

Plus en détail

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est

Plus en détail

Placements sur longue période à fin 2011

Placements sur longue période à fin 2011 Les analyses MARS 2012 Placements sur longue période à fin 2011 Une année 2011 particulièrement favorable aux «valeurs refuges», mais la suprématie des actifs risqués reste entière sur longue période.

Plus en détail

Exercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux»)

Exercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux») Liste des formules (Consultez également «Liste des tableaux») Table des matières LES CALCULS COMMERCIAUX... 4 Le coefficient multiplicateur... 4 Montant de TVA... 4 TVA collectée... 4 TVA déductible...

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/CES/GE.20/2008/3 12 février 2008 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE CONFÉRENCE DES STATISTICIENS EUROPÉENS Réunion

Plus en détail

Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016

Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016 Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016 1. Présentation de la filière Économie et Entreprise La filière «Economie et entreprises» de quatrième année de SciencesPo Strasbourg donne aux étudiants, dans

Plus en détail

a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. 3 étapes de la méthode doivent être distinguées :

a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. 3 étapes de la méthode doivent être distinguées : a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. Nous nous limiterons ici à l'analyse discriminante linéaire et à deux groupes : - linéaire, la variante utilisée par ALTMAN

Plus en détail

La Transparence des Coûts en Microfinance Mise en oeuvre de la Transparence en Afrique de L Ouest

La Transparence des Coûts en Microfinance Mise en oeuvre de la Transparence en Afrique de L Ouest La Transparence des Coûts en Microfinance Mise en oeuvre de la Transparence en Afrique de L Ouest MicroFinance Transparency Initiative sur la Transparence des Coûts en Afrique de l Ouest Juillet 2010 Plan

Plus en détail

Chapitre 4 : cas Transversaux. Cas d Emprunts

Chapitre 4 : cas Transversaux. Cas d Emprunts Chapitre 4 : cas Transversaux Cas d Emprunts Échéanciers, capital restant dû, renégociation d un emprunt - Cas E1 Afin de financer l achat de son appartement, un particulier souscrit un prêt auprès de

Plus en détail

Annexe B : Exemples. Avis de vente aux enchères liées Système de plafonnement et d échange de droits d émission de gaz à effet de serre (GES)

Annexe B : Exemples. Avis de vente aux enchères liées Système de plafonnement et d échange de droits d émission de gaz à effet de serre (GES) Annexe B : Exemples Avis de vente aux enchères liées Système de plafonnement et d échange de droits d émission de gaz à effet de serre (GES) Ce document fournit des exemples sur la façon de déterminer

Plus en détail

Fiche mathématiques financières

Fiche mathématiques financières Fiche mathématiques financières Thème 1 : Les taux d'intérêts simples et composés Taux d'intérêts simples : Les taux d'intérêts simples sont appliqués dans le cas d'emprunts dont la durée est inférieure

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. Avant-propos... Remerciements... CHAPITRE 1 LA COMPTABILITÉ DE MANAGEMENT... 1

TABLE DES MATIÈRES. Avant-propos... Remerciements... CHAPITRE 1 LA COMPTABILITÉ DE MANAGEMENT... 1 TABLE DES MATIÈRES Avant-propos........................................................... Remerciements......................................................... V VII CHAPITRE 1 LA COMPTABILITÉ DE MANAGEMENT................

Plus en détail

Comité sectoriel du Registre national. Avis RN n 01/2013 du 11 décembre 2013

Comité sectoriel du Registre national. Avis RN n 01/2013 du 11 décembre 2013 1/9 Comité sectoriel du Registre national Avis RN n 01/2013 du 11 décembre 2013 Objet : demande d'avis relatif au projet d'arrêté royal autorisant la Banque Nationale de Belgique et les établissements

Plus en détail

ANALYSE D'INVESTISSEMENT IMMOBILIER

ANALYSE D'INVESTISSEMENT IMMOBILIER ANALYSE D'INVESTISSEMENT IMMOBILIER 9 NOVEMBRE 2009 PRÉPARÉ PAR : 9, rue Chayer, Mascouche Québec, J7L 3H9 s.gariepy@devimo.ca 514-282-6669 DEVIMO inc. 16plex Montréal, Québec Sommaire 16plex, Montréal

Plus en détail

Chapitre 1. L intérêt. 2. Concept d intérêt. 1. Mise en situation. Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de :

Chapitre 1. L intérêt. 2. Concept d intérêt. 1. Mise en situation. Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de : Chapitre 1 L intérêt Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de : 1. Comprendre la notion générale d intérêt. 2. Distinguer la capitalisation à intérêt simple et à intérêt composé. 3. Calculer la

Plus en détail

Taux d intérêts simples

Taux d intérêts simples Taux d intérêts simples Les caractéristiques : - < à 1 ans - Rémunération calculée uniquement sur investissement initial. Période de préférence = période sur laquelle on définit le taux de l opération

Plus en détail

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie I. Le financement de l'économie Financement = fait d'apporter des fonds à un individu, une entreprise, ou à soi-même. A) Les différents types de financement

Plus en détail

Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie.

Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. C HAPI TRE 8 Tableau de bord et reporting Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. 1 Principes A Le tableau

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données

Plus en détail

RÉPONSES D'HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION À LA DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS N O 2 DE L'UMQ

RÉPONSES D'HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION À LA DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS N O 2 DE L'UMQ RÉPONSES D'HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION À LA DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS N O 2 DE L'UMQ Page 1 de 7 1. Références : (i) Notes sténographiques du 30 mars 2012, page 56, lignes 8 à 15; (ii) Notes sténographiques

Plus en détail

Comment ouvre-t-on un compte bancaire?

Comment ouvre-t-on un compte bancaire? Comment ouvre-t-on un compte bancaire? Sans compte-chèques, la vie de tous les jours serait bien compliquée. Si la loi accorde à toute personne un droit au compte bancaire, l'ouverture d'un tel compte

Plus en détail

Finance pour Manager non financier. Formation

Finance pour Manager non financier. Formation Page 1/5 Formation Référence : Durée 1 : 2 semaines Date : Du 02 au 13 Novembre 2015 Type de formation : Inter-Entreprise Lieu : INTERNALE CONSULTING-CASABLANCA (MAROC) Prix et modalités de paiement Le

Plus en détail

Enterprise Intégration

Enterprise Intégration Enterprise Intégration Intégration des données L'intégration de données des grandes entreprises, nationales ou multinationales est un vrai cassetête à gérer. L'approche et l'architecture de HVR est très

Plus en détail

Théorie Financière 2. Valeur actuelle Evaluation d obligations

Théorie Financière 2. Valeur actuelle Evaluation d obligations Théorie Financière 2. Valeur actuelle Evaluation d obligations Objectifs de la session. Comprendre les calculs de Valeur Actuelle (VA, Present Value, PV) Formule générale, facteur d actualisation (discount

Plus en détail

LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.

LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches

Plus en détail

Années 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 TOTAL 45 35 38 37 38 Moyenne europ. 42 37 37 36 34 Moyenne mond. 54 55 56 54 52

Années 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 TOTAL 45 35 38 37 38 Moyenne europ. 42 37 37 36 34 Moyenne mond. 54 55 56 54 52 Quelques ratios boursiers couramment utilisés comme données de l élaboration du benchmarking du groupe Total : Total (avant les fusions avec Fina puis Elf) comparé aux moyennes des pétroliers (européenne

Plus en détail

Exercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible»

Exercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible» Exercice du cours Gestion Financière à Court Terme : «Analyse d un reverse convertible» Quand la trésorerie d une entreprise est positive, le trésorier cherche le meilleur placement pour placer les excédents.

Plus en détail

Programmation linéaire

Programmation linéaire Programmation linéaire DIDIER MAQUIN Ecole Nationale Supérieure d Electricité et de Mécanique Institut National Polytechnique de Lorraine Mathématiques discrètes cours de 2ème année Programmation linéaire

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-1008 du 4 septembre 2014 relatif aux contrats comportant des engagements donnant lieu à constitution

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système

Plus en détail

Introduction... 3. 8.1. Définition...3

Introduction... 3. 8.1. Définition...3 Mise en situation... 2 Introduction... 3 8.1. Définition...3 8.2. Services de la GMAO...3 8.2.1. Les formes de GMAO... 3 8.2.2. Augmentation du service rendu... 4 8.2.3. La conception des logiciels de

Plus en détail

Recherches mises en valeur

Recherches mises en valeur Recherches mises en valeur Résumé hebdomadaire de nos meilleures idées et développements au sein de notre univers de couverture La Meilleure Idée Capital One va fructifier votre portefeuille 14 février

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. II. La théorie de la valeur... 20 A. Les notions de base de mathématiques financières... 20 B. Les annuités constantes...

TABLE DES MATIÈRES. II. La théorie de la valeur... 20 A. Les notions de base de mathématiques financières... 20 B. Les annuités constantes... TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 1 La valeur et le temps... 15 I. De la difficulté d estimer la valeur d un bien... 15 A. La valeur est une rente... 16 B. La valeur est un retour sur investissement... 18 II.

Plus en détail

TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES

TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES Coût de revient du produit + Marge du fabricant = Prix de vente HT au distributeur Prix d'achat HT du distributeur + Marge du distributeur =

Plus en détail

Journées d étude n 2 et n 3. Actualisation, VAN, TRI, Emprunts, Emprunts obligataires

Journées d étude n 2 et n 3. Actualisation, VAN, TRI, Emprunts, Emprunts obligataires Journées d étude n 2 et n 3 1/22 Actualisation, VAN, TRI, Emprunts, Emprunts obligataires Chapitre 2 : L actualisation et VAN d un investissement. I L actualisation (Rappels) A L actualisation d un capital

Plus en détail

LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES

LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES Séminaire - Atelier La mesure des performances des compagnies d assurances 1 ère communication Généralités sur les processus d évaluation des activités

Plus en détail

Résumé de l étude. Citoyenneté et participation. Les motivations à participer TABLEAU - PRINCIPALES MOTIVATIONS À PARTICIPER AUX

Résumé de l étude. Citoyenneté et participation. Les motivations à participer TABLEAU - PRINCIPALES MOTIVATIONS À PARTICIPER AUX Table des matières Recherche et rédaction Rock Beaudet Frédéric Lapointe de Asynchrolab Comité de suivi de l étude Steve Francoeur Nicolas Fournier Julie Richard Niki Messas Coordination Caroline Rioux

Plus en détail

La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France

La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France Devant la multiplication des défaillances d entreprises au cours des années 80 et début des années 90, la Banque de France a produit des travaux

Plus en détail

COLLOQUE SUR LA RETRAITE ET LES PLACEMENTS AU QUÉBEC L INVESTISSEMENT GUIDÉ PAR LE PASSIF

COLLOQUE SUR LA RETRAITE ET LES PLACEMENTS AU QUÉBEC L INVESTISSEMENT GUIDÉ PAR LE PASSIF COLLOQUE SUR LA RETRAITE ET LES PLACEMENTS AU QUÉBEC L INVESTISSEMENT GUIDÉ PAR LE PASSIF LE 20 NOVEMBRE 2014 Sébastien Naud, CFA, M.Sc. Conseiller principal L investissement guidé par le passif Conférenciers

Plus en détail

LE CAPITAL INVESTISSEMENT

LE CAPITAL INVESTISSEMENT LE CAPITAL INVESTISSEMENT Le capital investissement consiste à prendre une participation en capital dans des entreprises non cotées sur des marchés boursiers. L objectif est de financer les différents

Plus en détail

Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité

Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité Ébauche de note éducative Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité Commission des rapports financiers

Plus en détail

1. Réponse de Nathalie COULAUD, journaliste au PARTICULIER

1. Réponse de Nathalie COULAUD, journaliste au PARTICULIER ARC / DOSSIER DU MOIS DE NOVEMBRE 2009/ www.unarc.asso.fr Les trois qualités et les trois défauts des syndics selon Au cours de notre Salon «indépendant», nous avons eu une conférence passionnante sur

Plus en détail

Analyse et conception des Systèmes d Information. La démarche Merise : La Maintenance

Analyse et conception des Systèmes d Information. La démarche Merise : La Maintenance Analyse et conception des Systèmes d Information La démarche Merise : La Maintenance Place, spécificité, objectifs et principes directeurs Niveaux et catégories de maintenance Formes de maintenance Déroulement

Plus en détail

Le financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple

Le financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple Le financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple Laurent Batsch ahier de recherche n 2005-01 Le financement adossé est une des modalités de financement de l investissement

Plus en détail

INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE

INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE Avril 2013 EVALUATION D ENTREPRISE 1 Introduction en bourse Une introduction en bourse est avant tout une opération financière. Les avantages financiers de

Plus en détail

Membre du INVESTISSEMENT PME FIP FRANCE. Financer les PME. favorise la croissance

Membre du INVESTISSEMENT PME FIP FRANCE. Financer les PME. favorise la croissance Membre du FIP FRANCE INVESTISSEMENT PME Financer les PME favorise la croissance Présentation du FIP FRANCE INVESTISSEMENT PME Dans le contexte économique actuel, nous pensons que les PME françaises ont

Plus en détail

EXCEL: Les fonctions financières

EXCEL: Les fonctions financières EXCEL: Les fonctions financières Excel regroupe des fonctions de plusieurs types. Ce chapitre reprend une partie des fonctions financières: emprunts, taux d'intérêt, amortissement. Sans les voire toutes,

Plus en détail

LA MESURE DES GRANDEURS ET LE CHOIX DES CRITÈRES

LA MESURE DES GRANDEURS ET LE CHOIX DES CRITÈRES LA MESURE DES GRANDEURS ET LE CHOIX DES CRITÈRES H. PREVOT L'article qui suit a suscité quelques remous pour ou contre parmi les membres de son comité de lecture. La meilleure façon d'en juger est de le

Plus en détail

Rapport sur la performance du Capital Investissement en France

Rapport sur la performance du Capital Investissement en France Rapport sur la performance du Capital Investissement en France 2001 Sommaire 1 - Introduction 3 2 - Synthèse 4 3 - Performance du Capital Investissement par année 6 4 - Performance sur les cinq dernières

Plus en détail

Mémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains.

Mémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. Mémoire d actuariat - promotion 2010 La modélisation des avantages au personnel: complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. 14 décembre 2010 Stéphane MARQUETTY

Plus en détail

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires

Plus en détail

Identifiant unique : N CIN Etablissement universitaire Gouvernorat Délégation

Identifiant unique : N CIN Etablissement universitaire Gouvernorat Délégation Identifiant unique : N CIN Etablissement universitaire Gouvernorat Délégation M O N E N T R E P R I S E P L A N D A F FA I R E S P R O M O T E U R S T R U C T U R E D A P P U I D A T E : M O I S / A N

Plus en détail

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1

Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 L utilisation des indicateurs de performance ne peut se faire de manière pertinente

Plus en détail

Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe

Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe La fin de l'année, pour les trésoriers, rime avec synthèse comptable. Trois documents doivent être produits. Les deux premiers (bilan et compte

Plus en détail

ANALYSE D'ÉTATS FINANCIERS PAR RATIOS POUR LE P.-D.G. DE PME

ANALYSE D'ÉTATS FINANCIERS PAR RATIOS POUR LE P.-D.G. DE PME ANALYSE D'ÉTATS FINANCIERS PAR RATIOS POUR LE P.-D.G. DE PME Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction

Plus en détail

La valeur actuelle d'un élément de parc informatique

La valeur actuelle d'un élément de parc informatique La valeur actuelle d'un élément de parc informatique Propriétés Intitulé long Intitulé court Formation concernée Matière Présentation Notions du programme Description Exonet sur la gestion financière d'un

Plus en détail

DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE DES RÉSULTATS

DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE DES RÉSULTATS Deuxième étude d impact quantitative sur le risque de marché Sommaire des résultats Comité mixte BSIF, AMF et Assuris Janvier 2011 DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE

Plus en détail

Rapport S 1.5 «Taux d'intérêt en EUR»

Rapport S 1.5 «Taux d'intérêt en EUR» Rapport S 1.5 «Taux d'intérêt en EUR» Banque centrale du Luxembourg Sommaire 1 Introduction...4 1.1 Population déclarante...4 1.2 Périodicité et délai de communication...4 1.3 Les sous-tableaux...5 2 Les

Plus en détail

DOMAINE : économie et gestion comptable

DOMAINE : économie et gestion comptable CONCOURS DE L'AGREGATION INTERNE «ECONOMIE ET GESTION» SESSION 2002 EPREUVE PORTANT SUR LES TECHNIQUES DE GESTION ET COMPORTANT DES ASPECTS PEDAGOGIQUES DOMAINE : économie et gestion comptable Durée de

Plus en détail

CHAPITRE 4 MARCHES et EPARGNE

CHAPITRE 4 MARCHES et EPARGNE CHAPITRE 4 MARCHES et EPARGNE Section 1. Les marchés de capitaux I. Le marché financier Dans un sens plus étroit, c'est le marché où s'échangent les titres à moyen et long terme (valeurs mobilières) contre

Plus en détail

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,

Plus en détail

MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II

MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II Sommaire 1.Les Tourelles en quelques mots... 2 2. Le CNAM en quelques mots... 3 3. Objectifs de la formation... 4 4. Poursuites

Plus en détail

RÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Août 2000

RÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Août 2000 A Hydro-Québec Requête R-3401-98 RÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Original : 2000-11-21 HQT-13, Document 1.1.2 (En liasse) 1 1. PRINCIPES ET RÈGLES DE FACTURATION INTERNE

Plus en détail

La crise n'a pas entamé la générosité des belges

La crise n'a pas entamé la générosité des belges INSTITUT POUR UN DÉVELOPPEMENT DURABLE Institut pour un Développement Durable Chaussée de Chastre, 113 B-5140 Sombreffe Tél : 0484.109.764 E-mail : idd@iddweb.be La crise n'a pas entamé la générosité des

Plus en détail

BTS OPTICIEN LUNETIER Economie et Gestion de l Entreprise SESSION 2012

BTS OPTICIEN LUNETIER Economie et Gestion de l Entreprise SESSION 2012 BTS OPTICIEN LUNETIER Economie et Gestion de l Entreprise SESSION 2012 Note : ce corrigé n a pas de valeur officielle et n est donné qu à titre informatif sous la responsabilité de son auteur par Acuité.

Plus en détail

CONTENTEUX N 1961 Maison pour personnes âgées «Retraite de la Combe» 1 04, quai Clemenceau, 69300 Caluire

CONTENTEUX N 1961 Maison pour personnes âgées «Retraite de la Combe» 1 04, quai Clemenceau, 69300 Caluire CONSEIL SUPERIEUR DE L'AIDE SOCIALE Section permanente CONTENTEUX N 1961 Maison pour personnes âgées «Retraite de la Combe» 1 04, quai Clemenceau, 69300 Caluire Au nom du peuple français, La section permanente

Plus en détail

A. Le contrôle continu

A. Le contrôle continu L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat

Plus en détail

CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX. Corrigés des cas : Emprunts

CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX. Corrigés des cas : Emprunts CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX Corrigés des cas : Emprunts Remboursement par versements périodiques constants - Cas E1 Objectifs : Construire un échéancier et en changer la périodicité, Renégocier un emprunt.

Plus en détail

S e r v i r l e s clients actuels de maniè r e e f f ic a ce grâce a u «Co n s u m er Insight»

S e r v i r l e s clients actuels de maniè r e e f f ic a ce grâce a u «Co n s u m er Insight» Siège mondial : 5 Speen Street Framingham, MA 01701 États-Unis P.508.935.4400 F.508.988.7881 www.idc-ri.com S e r v i r l e s clients actuels de maniè r e e f f ic a ce grâce a u «Co n s u m er Insight»

Plus en détail

Gestion de la Relation Client (GRC)

Gestion de la Relation Client (GRC) Techniques de DM pour la GRC dans les banques Page 2 I.1 Introduction La gestion de la relation client est devenue un processus essentiel dans les institutions bancaires. Ils essaient toujours d améliorer

Plus en détail

Info-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015

Info-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015 www.pwc.com/ca/insurance Info-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015 Puisque divers points de vue sont analysés lors des réunions de l IASB, et qu il est souvent difficile de décrire

Plus en détail

Contenu Stratégie de placement Perspectives économiques Perspectives sur les catégories d'actif PERSPECTIVES DE 2015

Contenu Stratégie de placement Perspectives économiques Perspectives sur les catégories d'actif PERSPECTIVES DE 2015 PERSPECTIVES DE 2015 Contenu Stratégie de placement Perspectives économiques Perspectives sur les catégories d'actif Paul English, MBA, CFA vice-président principal, Placements Tara Proper, CFA vice-présidente

Plus en détail