Le revenu agricole régional baisse à cause du recul des prix de la plupart des productions, malgré des rendements souvent élevés

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1 Agreste Champagne-Ardenne n 5- Octobre 2015 Analyse des comptes de l agriculture champardennaise en 2014 En 2014, le revenu net d exploitation par actif non salarié baisse de 13,3 % en valeur courante (non corrigée de l inflation) par rapport à l année précédente. Il progresse de 23,2 % en France métropolitaine. Il atteint dans la région euros par actif non salarié toutes orientations techniques confondues. Cette évolution s explique par la baisse de la valeur de production, les charges restant stables. Une vendange moins abondante est responsable du recul de la valeur des vins de Champagne. Les prix de la plupart des produits animaux et végétaux sont en retrait plus ou moins marqué, sauf pour le lait. Les consommations intermédiaires baissent de 1,9 % en raison de la diminution du coût des engrais et des aliments du bétail. La hausse des principales autres charges reste contenue en Le revenu agricole régional baisse à cause du recul des prix de la plupart des productions, malgré des rendements souvent élevés En 2014, le revenu net d exploitation agricole (RNEA) en Champagne- Ardenne recule de 12,1 %. Il progresse de 23,2 % en France métropolitaine. La valeur de production baisse de 3,4 % en Champagne- Ardenne. Elle augmente de 1,3 % en France. Les charges évoluent peu dans la région (- 0,4 %). Elles régressent de 2 % en France. Les consommations intermédiaires baissent respectivement de 1,9 % et 3,5 %. Le RNEA régional se situe à 1,209 milliard d euros, soit 166 millions de moins qu en Il représente 10 % du résultat national en 2014 contre 14 % l année précédente. Ramené à l unité de travail non salarié, il s établit à euros contre euros en France toutes orientations technico-économiques confondues. Il recule de 13,3 % dans la région mais progresse de 28,2 % en France. La hausse de production en grandes cultures ne compense pas toujours la baisse des prix de volume Production hors subvention de prix de valeur Productions végétales 103,1 93,1 96,0 dont blé tendre 101,0 85,4 86,3 orges 111,2 88,3 98,2 oléagineux 125,0 86,7 108,4 protéagineux 130,9 92,8 121,5 betteraves industrielles 111,7 86,0 96,1 pommes de terre 113,3 59,1 67,0 vins d appellation 96,7 100,9 97,6 Productions animales 102,0 98,2 100,2 dont lait et produits laitiers 105,4 106,3 112,1 gros bovins 99,4 90,8 90,3 Production de services 100,3 101,1 101,4 Ensemble 102,9 93,9 96,6 MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORET Direction régionale de l alimentation, de l agriculture et de la forêt de Champagne-Ardenne Service régional de l information statistique et économique

2 La valeur totale de la production baisse de 3,4 % En 2014, la valeur totale de production se monte à 5,228 milliards d euros. Elle représente 7,1 % de la valeur de production nationale. Elle diminue de 3,4 % en valeur courante, résultat d une progression de 2,9 % des volumes et d une baisse de 6,1 % des prix. Ce constat s explique par une vendange inférieure à celle de 2014 et un repli de la valeur de la plupart des produits sauf pour le lait et les oléoprotéagineux. La viticulture contribue pour près de 50 % de la valeur régionale La viticulture représente 49,6 % de la valeur de production régionale en Elle est inférieure de 2,4 % à sa valeur de 2013, les volumes diminuant de 3,2 %. Hors viticulture d appellation, la production hors subvention régresse de 4,4 %, la hausse des volumes de 8,2 % ne compensant pas la chute des prix de 12,1 %. Production de céréales et d oléoprotéagineux en hausse, mais des prix en baisse La production de blé augmente légèrement (+ 1 %), résultat d une baisse des surfaces de 4,9 % et d un rendement supérieur de 5 q/ha. La production globale d orges progresse de 11,2 % en volume, 9,2 % pour les escourgeons et 12,4 % pour les orges de printemps. Ces évolutions sont dues à une hausse du rendement de 7 q/ha pour les orges d hiver et à un bond des surfaces de 10,1 % pour les orges de printemps. La production d oléagineux, en presque totalité du colza, augmente de 25 %, essentiellement à cause d un rendement supérieur de près de 9 q/ha. Celles de protéagineux progresse de 31 %, les surfaces augmentant de 34 %. En 2014, la parité euro-dollar handicape les blés français à l exportation pendant le premier semestre. Le cours du blé évolue assez peu jusqu à la fin de la campagne. La situation en Ukraine semble n avoir aucun impact durable sur le marché du blé. Les blés français trouvent difficilement preneur à l exportation et la demande intérieure reste modeste. La nouvelle campagne s annonçant prometteuse, la perspective de rendements élevés ne fait pas remonter les prix. Courant août, des conditions climatiques exceptionnelles provoquent la germination des grains sur pied ou en silo. Les aptitudes boulangères d une forte proportion de la récolte sont compromises. Il s ensuit un effondrement des cours et un arrêt des exportations. Dès octobre, une parité euro-dollar plus favorable aux blés français relance quelque peu les exportations. Les prix commencent à remonter. Les problèmes climatiques des grands bassins de production, contrariant les semis d hiver, entretiennent cette tendance haussière qui se maintient jusqu à la fin de l année. Sur l année, le prix moyen des céréales baisse de 13,5 % par rapport à Le blé perd 14,6 % et les orges 11,7 %. Le prix des oléagineux recule de 13,3 % et celui des protéagineux de 7,2 %. La valeur de production hors subvention régresse de 13,7 % pour le blé et de 1,8 % pour les orges. Elle augmente de 8,4 % pour les oléagineux et de 21,5 % pour les protéagineux. Repli pour les betteraves et pour les pommes de terre En 2014, la production totale de betteraves progresse de 11,7 % en volume. Les surfaces augmentent de 3,6 % par rapport à la campagne précédente. Le rendement régional moyen s établit à 98 t/ha, soit 11 t/ha de plus qu en Les prix d acompte (ne tenant pas compte du complément de prix) sont reconduits pour la fabrication de sucre, mais baissent pour les autres utilisations de la betterave. L ensemble du poste «pommes de terre» perd un tiers de sa valeur, à cause d une chute des prix de 41 %, malgré une hausse des volumes de 13,3 %. Les cours se sont révélés catastrophiques pour les variétés de consommation. En revanche, les pommes de terre de féculerie enregistrent une hausse des prix de 11,8 % par rapport à La moitié de la valeur de production vient du Champagne Valeur hors subventions des principales productions régionale, en pourcentage du total Vins d appellation Céréales, oléoprotéagineux Lait et produits laitiers Plantes fourragères (y c. luzerne) Betteraves industrielles Services Gros bovins Pommes de terre Maraîchage et horticulture Autres produits animaux % du total hors viticulture % du total toutes productions Autres produits végétaux % /5

3 Amélioration pour le lait, recul pour la viande bovine Les productions animales restent stables en valeur (+ 0,2 %), résultat d une hausse des volumes de 2 % et d une baisse des prix de 1,8 %. La valeur du poste «gros bovins» diminue de 9,7 %, les volumes évoluant peu. Les productions laitières s accroissent de 12 % en valeur, conjugaison d une hausse des prix de 6,3 % et des volumes de 5,4 %. La production porcine perd 8,3 % en valeur en raison de la baisse des prix. La valeur régionale de la production de volailles perd 6,1 % correspondant à la baisse des prix. Celle de la production d œufs gagne 3,3 %, en raison de la progression des volumes. La production totale de services augmente de 1,4 %, les volumes restant stables. Maintien des subventions Le montant total des subventions (aides aux exploitations et aides aux productions) se monte à 536 millions d euros en 2014, soit un de plus qu en La baisse des subventions d exploitation est compensée par la hausse des subventions aux produits, due aux nouvelles aides aux pommes de terre de fécule et à la luzerne déshydratée. Le taux de soutien à la production défini comme le rapport des subventions à l ensemble des montants perçus par les producteurs (production augmentée de l ensemble des subsides) s établit en 2014 à 9,3 %. Il était de 9 % en Cette évolution s explique par la baisse de la valeur de production. Stabilité pour les charges L ensemble des charges reste stable en Champagne-Ardenne (- 0,4 %). Il baisse de 2 % en France. Le montant total des consommations intermédiaires atteint 2,597 milliards d euros, soit 1,9 % de moins que l année précédente. Elles représentent 49,7 % de la valeur de production contre 48,9 % en Les prix baissent en moyenne de 3,9 %. Les charges de culture représentent 29,5 % du total des consommations intermédiaires contre 30,2 % l année précédente. Le poste «engrais» régresse en valeur de 8,4 %, conséquence d une baisse des prix de 10 %. Avec 12,4 % du total, il figure au troisième rang des consommations intermédiaires. Les produits phytosanitaires et le poste «semences» évoluent peu (respectivement + 0,8 % et - 0,8 %). Les dépenses liées à l élevage représentent 18,8 % de l ensemble des consommations intermédiaires. Les aliments du bétail forment le deuxième poste des consommations intermédiaires avec 17,6 % du total. Il baisse en valeur de 8,8 %. Les dépenses vétérinaires reculent en valeur de 7,6 %. Le poste «autres services» (voir définitions) occupe le premier poste des consommations intermédiaires avec 17,9 % du total en Il augmente de 3,7 % par rapport à l année précédente. Les dépenses en produits pétroliers reculent de 5,3 %. Parmi les autres charges, les frais de personnel et les fermages enregistrent une hausse de 2,6 % et de 3,5 %. Les intérêts baissent de 5,7 %. La consommation de capital fixe (voir définitions) reprend sa progression en 2014 après avoir fléchi en Elle augmente de 2,2 %. Elle représente 17 % du total des charges. Les composantes de la valeur de production hors subvention dans les départements champardennais (Millions d euros) Ardennes Aube Marne Haute- Marne Champagne- Ardenne Céréales 134,30 223,48 356,33 99,80 813,90 Oléoprotéagineux 30,33 78,43 122,18 53,90 284,84 Betteraves industrielles 23,15 54,42 129,08 0,18 206,83 Pommes de terre 9,58 77,09 67,11 0,05 153,83 Maraîchage et horticulture 13,58 40,19 86,27 10,79 150,82 Plantes fourragères (y c. luzerne) 75,81 33,97 67,16 56,89 233,83 Vins d appellation 0,00 551, ,53 4, ,91 Autres produits végétaux 3,91 14,35 5,26 0,23 23,75 Gros bovins 84,70 17,07 24,42 65,22 191,42 Lait et produits laitiers 99,79 28,79 28,00 97,10 253,69 Autres produits animaux 36,28 25,22 39,33 17,26 118,09 Services 30,07 44,03 101,81 26,57 202,49 Production hors subvention 541, , ,49 432, ,39 3/5

4 Baisse des engrais et des aliments, hausse des services Evolution de la valeur des consommations intermédiaires entre 2013 et 2014 Services de travaux agricoles Entretien du matériel Autres services Entretien des bâtiments Autres consommations intermédiaires Produits de protection des cultures Semences et plants Total consommations intermédiaires Produits pétroliers Dépenses vétérinaires Engrais Aliments animaux % Définitions Le poste «autres services» regroupe principalement l ensemble des honoraires de services aux entreprises (en particulier comptablilité-gestion, conseil et diverses prestations assurées par les centres de gestion), des frais de location immobilière ou de machines, de poste et de télécommunications, d abonnements informatiques ou autres, d assurances (liste non exhaustive). Consommation de capital fixe : dépréciation du matériel (machines et outils, bâtiments, matériels de transport, de culture, installations d élevage) liée à l usure normale et à son obsolescence. Les produits progressent moins vite que les charges L ensemble des charges a progressé de 34,1 % en valeur réelle depuis 2000 soit à un rythme annuel de 2,1 %, qu il s agisse des consommations intermédiaires ou des autres charges. Le total des produits (valeur de production + subventions) s accroît à un rythme annuel de 0,8 %, soit 11,5 % depuis Le revenu net d entreprise agricole (RNEA) a diminué à un rythme annuel moyen de 2,7 % en valeur réelle sur la période Tendance à la baisse du RNEA en valeur réelle milliards d euros 6,5 6,0 5,5 5,0 4,5 4,0 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0, Résultat net d exploitation agricole Autres charges Consommations intermédiaires Source : Agreste, Comptes de l agriculture 2000 à 2014, Retraitement Srise 2014 Méthodologie Les comptes de la branche «agriculture» concernent le processus de production agricole engagé au niveau de l ensemble des exploitations, ainsi que les activités de transformation qui en découlent et qui sont réalisées sur l exploitation, et les activités utilisant l exploitation et ses moyens de production (services). L activité «Vins de Champagne» traitée dans les comptes se limite à la production de raisin des exploitations viticoles et à la production de bouteilles finies des «récoltants-manipulants», c est-à-dire des viticulteurs vinifiant tout ou partie du raisin qu ils produisent. L activité des Maisons de Champagne n est pas abordée dans les comptes de la branche «agriculture». Elle est considérée comme une activité de transformation à part entière et relève des comptes des industries agricoles et alimentaires. 4/5

5 (Millions d euros courants) Les comptes de l agriculture en Champagne-Ardenne 2011 définitif 2012 définitif 2013 semi-définitif 2014 provisoire Production au prix producteur = (1) + (2) + (3) 5 525, , , ,39 Productions végétales (1) 4 817, , , ,71 dont blé tendre 541,76 546,23 555,27 478,74 orges 263,80 381,10 257,69 252,98 oléagineux 333,42 332,99 239,33 259,42 protéagineux 22,47 27,02 20,93 25,42 betteraves industrielles 265,10 237,98 215,32 206,83 pommes de terre 189,63 266,85 229,61 153,83 vins d appellation 2 757, , , ,01 Productions animales (2) 526,68 543,30 562,27 563,20 dont lait et produits laitiers 236,70 215,63 226,53 253,69 gros bovins 167,26 201,60 212,12 191,42 Production de services (3) 181,34 190,04 199,65 202,49 + Subventions sur les produits = (4) + (5) 25,59 20,48 20,60 28,55 Subventions sur les produits végétaux (6) 9,54 4,62 3,78 12,32 Subventions sur les produits animaux (7) 16,05 15,86 16,82 16,23 = Production au prix de base 5 550, , , ,94 - Consommations intermédiaires 2 330, , , ,87 Charges de cultures 668,84 762,85 799,41 765,61 dont semences et plants 125,48 137,05 124,32 123,33 engrais et amendements 323,99 392,17 416,68 381,81 produits phytosanitaires (protection des cultures) 219,37 233,63 258,40 260,47 Charges d élevage 439,15 468,16 534,96 488,35 dont aliments pour animaux 404,47 434,11 501,87 457,78 dépenses vétérinaires 34,68 34,05 33,09 30,57 Produits pétroliers 164,97 198,45 188,00 178,11 Entretien du matériel et des bâtiments 190,31 211,52 216,76 225,33 Services de travaux agricoles 168,74 165,12 186,40 194,30 Autres services aux entreprises 427,64 440,63 448,82 465,48 Autres consommations intermédiaires 270,47 257,16 272,55 279,68 = Valeur ajoutée brute 3 220, , , ,07 + Subventions d exploitation et autres subventions 503,40 525,11 514,06 507,14 - Impôts fonciers et autres impôts 58,03 61,29 62,17 61,33 - Consommation de capital fixe 744,63 775,16 757,33 773,99 = Résultat net agricole 2 921, , , ,89 - Charges salariales 574,23 577,98 629,14 645,34 - Charges locatives 281,35 298,79 311,04 321,93 - Intérêts d emprunts 166,50 174,33 164,92 155,52 = Revenu net d entreprise agricole (RNEA) 1 899, , , ,10 Résultat agricole/actif total (milliers d euros) 73,36 59,49 63,36 57,56 RNEA/actif non salarié (milliers d euros) 87,07 59,41 65,66 56,95 Source : Agreste, Comptes de l agriculture 2011 à 2014, Retraitement Srise Service régional de l information statistique et économique de Champagne-Ardenne Complexe agricole du Mont-Bernard Châlons-en-Champagne Cedex Tél : Fax : Direction régionale de l alimentation, de l agriculture et de la forêt de Champagne-Ardenne Directeur régional : S. Chagnard Directeur de publication : J.P. Jactat Agreste Champagne-Ardenne n 5 - Octobre 2015 Mél : srise.draaf-champagne-ardenne@agriculture.gouv.fr Site internet : Rédacteur en chef : S. Skrabo Rédaction : M. Tison Composition : M. Lallement Dépôt légal : à parution -ISSN : Prix : 3,00 euros Agreste 2015

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