Le Rhône, fleuve aménagé
|
|
- Serge St-Amand
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 21
2 Le Rhône, fleuve aménagé Appelé Rotten dans la première partie de son cours, le Rhône naît des eaux de fonte du glacier de la Furka dans le canton du Valais en Suisse. Il parcourt 300 km avant d atteindre le lac Léman. Le Rhône français, du Léman à la Saône, dans un parcours sinueux, traverse les massifs du Jura et des Préalpes avant de rejoindre la plaine de l Ain. À Lyon, le fleuve se heurte à la barrière rocheuse du Massif Central qui l oblige à modifier la direction de son cours suivant un axe nord-sud qu il ne quittera plus jusqu à son delta, la Camargue. Le bassin du Rhône est remarquable par la diversité des climats - montagnard, océanique, Le glacier de la Furka, comme la plupart des autres glaciers alpins, a fortement régressé depuis 150 ans à cause du changement climatique. continental, méditerranéen - qui influencent son fonctionnement. Le Rhône est une voie de communication majeure, aménagée pour optimiser sa navigation, dès la première moitié du XIX e siècle. Depuis 1934, la navigabilité, l hydro-électricité et l utilisation des eaux pour l irrigation ont été développées. Le Rhône est un fleuve aménagé, endigué, canalisé, dont le cours naturel est depuis longtemps détourné. LE SAVIEZ-VOUS? Aujourd hui, sur le Rhône français, on dénombre 22 centrales hydro-électriques, 16 réacteurs nucléaires et 19 écluses permettant une navigation fluviale sur près de 300 km. CARTE D IDENTITÉ Embouchure du Rhône, chargé de sédiments glaciaires, dans le lac Léman, côté Suisse. Source : glacier de la Furka, Alpes suisses Embouchure : mer Méditerranée Longueur : 810 km Débit moyen annuel : m 3 /s Surface du bassin versant : 0,1 million de km² Pays : Suisse, France Une lône est un bras abandonné ou secondaire du Rhône. Elles résultent pour la plupart d une déconnexion artificielle suite aux travaux de correction du fleuve. Elles sont alimentées en eau par la nappe alluviale ou directement par le fleuve en période de crue. L Ain, la Saône, l Isère et la Durance, les quatre affluents majeurs du Rhône drainent 60 % des eaux du bassin. Confluence du Rhône (à droite) et de la Saône (à gauche) à Lyon. La température du Rhône et de ses affluents a augmenté sensiblement ces 40 dernières années. Ces modifications sont dues au changement climatique, à des écoulements moins vifs et au rejet d eau chaude des centrales thermiques et nucléaires. Le Rhône rejette 54 milliards de m 3 d eau par an, soit 20 % des apports fluviaux en Méditerranée 22
3 Un fleuve complexe Les affluents du Rhône présentent des débits mensuels très variés. Certains, alimentés par la fonte des neiges, ont un fort débit en été, d autres, alimentés surtout par les pluies, ont un régime important en automne et en hiver. Les apports de ces rivières pèsent différemment sur les écoulements, les crues et les basses eaux du Rhône, suivant le lieu et la saison. Différentes crues peuvent intervenir dans le bassin en hiver et en automne : «océaniques» dans le nord du bassin, «cévenoles» et «méditerranéennes extensives» dans le sud, ces deux dernières étant extrêmes Le bassin du Rhône reçoit de fortes précipitations, près de mm de moyenne annuelle. Dans les Alpes, on relève des précipitations supérieures à 3 m par an, majoritairement sous forme de neige. et soudaines. Si elles se produisent en même temps ou à quelques jours d intervalle, une crue «généralisée» apparaît, souvent dévastatrice, comme en Selon les chercheurs, il est difficile d apprécier l impact du changement climatique sur le bassin du Rhône. Distinguer cette influence d autres facteurs comme les activités humaines et les modifications de l environnement est complexe. Il est cependant avéré que les températures augmentent, que l évaporation est plus importante et que la fonte des neiges est plus précoce. Les organismes scientifiques (Irstea, CNRS, Météo-France, Universités ou grandes écoles) se coordonnent depuis des années sur toute une série de programmes étudiant la ressource en eau et l impact du changement climatique. Ces projets de modélisations hydroclimatiques, allant de Gewex-Rhône à l actuel programme «Modélisation du Rhône» permettent de montrer la sensibilité du système aux fluctuations d origine humaines et naturelles. Débits moyens mensuels Source : banque hydro L Isère est un affluent alimenté par les eaux de fonte des neiges et des glaciers, la Saône est un cours d eau strictement à régime pluvial. Les débits de chacune ces rivières seront très différents en fonction des saisons. Du fait de régimes hydrologiques contrastés de ses divers sous-bassins et des différents climats qu il traverse, le Rhône est un fleuve à écoulement complexe, qui peut connaître des épisodes de crues ou de basses eaux à plusieurs moments dans l année. À partir de Valence, le Rhône et ses affluents sont affectés par le climat méditerranéen, dont les averses automnales entraînent des crues fréquentes, comme ici sur les Gardons. Les quais du Rhône à Lyon en Cette crue généralisée a provoqué plus d un milliard d euros de dégâts, faisant de cet épisode une des inondations les plus dommageables en France. Les chercheurs prévoient une hausse de la température de l air de 1 à 3 C, une évolution incertaine des précipitations en hiver (-10 à +10 %) et une baisse de 5 % de la pluviométrie en été. Ils n ont cependant pas dégagé une tendance claire de l évolution des crues. La Camargue est extrêmement vulnérable aux inondations du Rhône car sa topographie est plate et peu élevée. Elle peut être inondée en cas de rupture de digue, comme ici en décembre Le fleuve a atteint un débit exceptionnel de m 3 /s en décembre
4 Un fleuve anesthésié La matière en mouvement dans les rivières se compose de limons et argiles en suspension, de sables, graviers et galets charriés au fond du lit. Dans le cas du Rhône, le transport des sédiments fins en suspension et du sable s est réduit depuis un siècle, mais reste important. Celui des graviers et galets par charriage s est presque arrêté. Ainsi, seuls les sables, limons et argiles façonnent la plaine et atteignent actuellement l embouchure du Rhône. Les aménagements «Girardon», conçus pour augmenter la profondeur du chenal navigable, ainsi que les grands barrages réservoirs, retiennent une grande partie des sédiments en suspension et des sables. Les apports de galets et graviers par les affluents sont stoppés par les extractions massives de granulats. Avec la raréfaction des apports de graviers et sa chenalisation, le fleuve est aujourd hui figé, son lit et ses rives n évoluent plus, ne se reconstruisent plus. Les gestionnaires du fleuve travaillent actuellement sur le démantèlement des aménagements «Girardon» pour limiter le niveau des crues, stimuler le transport de sédiments et favoriser les écosystèmes en réhabilitant les bras morts du Rhône, les lônes et les milieux riverains terrestres. L Observatoire des Sédiments du Rhône (OSR) est une plate-forme de recherche pluri-partenariale. Sa vocation est de produire sur le long terme des connaissances scientifiques interdisciplinaires permettant de mieux comprendre la dynamique du système et d éclairer les opérateurs publics. Partenaires : Zone Atelier bassin du Rhône, OHM Vallée du Rhône, gestionnaires du fleuve, services d État, Agence de l Eau, Compagnie Nationale du Rhône, EDF, régions riveraines du fleuve, Instituts de recherche. Le transit de sédiments fins en Arles est estimé à 10 millions de tonnes/an, contre 20 millions de tonnes/an dans les années 1950 et peut-être 30 millions de tonnes/an à la fin du 19 e siècle. Digues basses longitudinales Accumulation des galets Digue basse Epis plongeants Mis en place entre 1880 et 1920, le système Girardon, constitué de tenons, traverses et digues basses réduit la largeur du fleuve tout en l approfondissant. Ces aménagements ont eu pour conséquences d augmenter la période de navigation mais aussi d inciser significativement le lit, de réduire la diversité des fonds, de favoriser le dépôt de limons et de sables sur les rives, d aggraver l effet des crues à l aval et d isoler les bras secondaires du Rhône. À partir de Lyon, le Rhône a fait l objet d aménagements successifs pour la protection contre les inondations, la navigation et l hydroélectricité. Ceux-ci ont modifié le transport sédimentaire du fleuve et plus généralement sa géométrie et son fonctionnement. La côte de la Camargue recule car les apports de matière solide du fleuve sortent directement dans la mer par les bras extérieurs du delta, la Camargue étant endiguée et isolée. Les apports solides des affluents ont été réduits par 5 principalement suite aux prélèvements de granulats, notamment à leur embouchure, à certains aménagements hydroélectriques et à la réduction des débits, qui limite la capacité de transport. Aux Saintes-Maries de la Mer, en Camargue, le blockhaus allemand construit à l origine sur le haut de plage est actuellement immergé, ce qui permet d évaluer le recul de la côte. Le barrage de Génissiat retient plus de 12 millions de m 3 de sédiments divers 24
5 Retour aux sources Avec plus d un siècle d aménagements, le Rhône est passé d un système à plusieurs chenaux à un fleuve canalisé. Les enjeux de la restauration sont multiples : réintroduire et améliorer le transport des sédiments grossiers, remettre en eau et reconnecter les bras abandonnés (lônes), augmenter le débit dans les tronçons court-circuités, réhabiliter les habitats fluviaux et restaurer les axes de migration des poissons. Les lônes, coupées de la dynamique fluviale par des digues et la régulation des débits, se comblent de sables et de limons, conduisant à la formation de plans d eau isolés, de mares et de fossés. Curer leur lit et supprimer partiellement les digues favorise les écoulements, recréant une diversité d habitats typique des plaines alluviales. D autres bras du lit historique, ou «vieux Rhône», ne recevaient plus qu une fraction de leur débit initial. Le débit dans ces tronçons court-circuités est augmenté afin d améliorer le fonctionnement écologique et de retrouver un fleuve «vif et courant». Ces actions contribuent à rétablir une continuité écologique et favorise l accès des poissons sur une plus grande partie du bassin. Il est essentiel de suivre et d analyser les effets de la restauration pour l étendre à d autres sites du bassin du Rhône, tout en tenant compte de l impact des activités humaines et du changement climatique sur ces nouveaux habitats. RhônEco (suivi scientifique de la restauration du Rhône) est un programme animé par la ZABR (Zone Atelier Bassin du Rhône) dans le cadre du plan Rhône. RhônEco est axé sur le suivi écologique des Vieux Rhône et de leurs annexes restaurées. C est un programme de recherche qui s inscrit sur le long terme et dont les objectifs sont d analyser les effets écologiques de la restauration, d évaluer la capacité à les prédire, et de contribuer ainsi à la définition du potentiel écologique du fleuve. Avant Depuis 1995, un programme de restauration hydraulique et écologique est mis en œuvre, pour recréer des habitats et tenter de réhabiliter une biodiversité caractéristique des grands fleuves médio-européens (Rhin, Rhône Après et Danube). Depuis l augmentation du débit réservé de 10 à 100 m 3 /s, en 2000, dans le Vieux-Rhône de Pierre-Bénite, l abondance relative de certaines espèces de poissons (ablette, hotu, vandoise) a augmenté significativement (en moyenne de 42 %). Les lônes sont restaurées par curage des sédiments et ouverture à l aval et à parfois l amont. Restauration avant/après de la lône de Ciselande dans le secteur de Pierre Bénite, au sud de Lyon. Les débits du vieux Rhône ont été réduits (de 80 à 98 %) pour alimenter, par un canal de dérivation, des usines hydroélectriques. Vieux Rhône de Chautagne à droite et canal à gauche. Les aménagements et les barrages sur le fleuve ont fragmenté l espace aquatique. Les déplacements des poissons migrateurs en ont été limités, comme dans le cas de l alose feinte du Rhône. Le plan de Gestion des Poissons Migrateurs mis en place en 1993 permet la réouverture progressive des axes de migrations. L apron, seule espèce endémique du bassin, n est plus recensée dans le Rhône et n est présente aujourd hui que dans quelques affluents. La réhabilitation du vieux Rhône contribue à la sauvegarde de centaines d espèces animales et végétales 25
Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron
PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité
Plus en détailLA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ
avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailL ENERGIE HYDRAULIQUE FICHE TECHNIQUE.
L ENERGIE HYDRAULIQUE FICHE TECHNIQUE. I. PRINCIPE L énergie hydroélectrique nécessite un cours d eau ou une retenue d eau. La centrale exploite l énergie potentielle créée par le dénivelé de la chute
Plus en détailLa menace des ruptures de digues
CTC Rhône moyen 3 mai 2010 Fiabilisation des digues sur le Rhône moyen La menace des ruptures de digues Plusieurs brèches apparues dans les digues de Camargue lors des crues de 1993, 1994, 2002 et 2003
Plus en détailEnsemble, renouvelons la puissance hydroélectrique française
Ensemble, renouvelons la puissance hydroélectrique française 2 Corbara, Italie L hydroélectricité en France une énergie décisive 2 e source de production d électricité après le nucléaire 14 % de la production
Plus en détailVANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS
La Directive Cadre sur l Eau (DCE, n 2000/60/CE) fixe comme objectif pour 2015 l atteinte du bon état ou du bon potentiel écologique des eaux de surface. Ces états écologiques sont appréciés par la qualité
Plus en détailL ombre commun dans le canton de Vaud
Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557
Plus en détailLes technologies IT au service de la. Application àl ORBE. Présentation: Dr Philippe Heller
Les technologies IT au service de la prévision de débitd Application àl ORBE Présentation: Dr Philippe Heller ARPEA AG 2014 1 EIA FR -- e-dric.ch -- EPFL Trépied EPFL Apprendre et innover e-drich Mettre
Plus en détailLes barrages sont-ils un bien pour l environnement?
Octobre 2014 Les barrages sont-ils un bien pour l environnement? Document rédigé par Bernard Chocat (LGCIE INSA Lyon) L essentiel Depuis l origine de la civilisation les hommes ont tenté de contrôler les
Plus en détailcollection mise au point état initial et prévision d impact dans les documents d incidences milieu aquatique
collection mise au point milieu aquatique état initial et prévision d impact dans les documents d incidences 1 PRINCIPES DE LA DEMARCHE.. 10 1.1. CHAMP D APPLICATION.... 12 1.2. UNE DEMARCHE EN QUATRE
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailTrading in the rain 1
1 «Echangeons sous la pluie» 1 Note d étude n 9, juin 2006 Katia Houpert Tél. : 01 58 50 41 77 katia.houpert-e@caissedesdepots.fr Ariane De Dominicis Tél. : 01 58 50 98 20 ariane.dedominicis@caissedesdepots.fr
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailRestauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014
Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est
Plus en détailLE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détail«tous POUr LA LOire» Jeu de rôle et de simulation pour apprendre à gérer le fleuve ensemble
«tous POUr LA LOire» Jeu de rôle et de simulation pour apprendre à gérer le fleuve ensemble Malle pédagogique sur la dynamique fluviale du bassin de la Loire LPO Auvergne - ecoumène SOMMAIRE PRéSENTATION
Plus en détailLes macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH
Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et
Plus en détailLe contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2
Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:
Plus en détailAnalyse des processus de sédimentation dans le lit majeur et les annexes fluviales
Analyse des processus de sédimentation dans le lit majeur et les annexes fluviales du RCC de Péage de Roussillon Rapport final Réalisation H. Piégay, M. Bertrand, B. Raepple, G. Seignemartin, H. Parmentier
Plus en détailLOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage
LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES drainage Micro Drainage QUELS SONT LES DOMAINES D APPLICATION DE XPSWMM? Gestion des eaux pluviales: Modélisation
Plus en détailLa gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques
La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques Par Philippe PARENT Institution des Wateringues Par Philippe PARENT Institution
Plus en détailwww.cpie.fr La morphologie des cours d eau Sensibiliser des usagers des cours d eau à l entretien des berges CPIE Bugey-Genevois
www.cpie.fr DOSSIER CPIE EN ACTION Sensibiliser des usagers des cours d eau à l entretien des berges CPIE Bugey-Genevois La morphologie des cours d eau (hydromorphologie) Principes physiques, approche
Plus en détailAPPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.
APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins
Plus en détailRéunion publique/téléconférence
Réunion publique/téléconférence Dorval Cornwall Kingston Watertown Oswego Burlington Rochester Kingston/Oswego Téléconférence: 1-877-413-4814 486 9841 (français) 447 9980 (anglais) Appeler entre 18h45-18h55
Plus en détailMANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU
MANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU Philippe Adam et Nicolas Debiais Jean-René MALAVOI Ingénieur Conseil DIRECTION DE L EAU, DES MILIEUX AQUATIQUES ET DE L AGRICULTURE (DEMAA) SERVICE
Plus en détailRESUME NON TECHNIQUE DE L ETUDE D IMPACT
E1 RESUME NON TECHNIQUE DE L ETUDE D IMPACT 28 E1 RESUME NON TECHNIQUE DE L ÉTUDE D IMPACT 28 1. - PRESENTATION DE L OPERATION 2. - APPRECIATION DES IMPACTS DU PROGRAMME 3. - AUTEURS DES ETUDES 4. - ETAT
Plus en détailL eau va-t-elle manquer?
Mai 2014 L eau va-t-elle manquer? L essentiel Document rédigé par Bernard Chocat (LGCIE INSA Lyon) Relecteurs : Vazken Andréassian (IRSTEA), Elodie Brelot (GRAIE), Nicolas Chantepy (Agence de l'eau Rhône
Plus en détailMorcellement du paysage
Morcellement du paysage L indicateur «Morcellement du paysage» montre comment le paysage en dessous de 100 mètres est morcelé par des barrières artificielles telles que des routes ou des zones d habitation.
Plus en détailCISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro
CISSE INF EAU N 13 Bulletin d information du bassin de la Cisse 1er trimestre 2015 Votre Cisse Inf eau change de style Après 2 ans et demi d existence, et pour anticiper l évolution de la chartre graphique
Plus en détail3Typologie des opérations. 1Postulats et principes. 2Les principaux dysfonctionnements MANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU
MANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU 1Postulats et principes généraux des opérations de restauration 2Les principaux dysfonctionnements à l origine des opérations de restauration 3Typologie
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailPlan de bassin d adaptation au changement climatique dans le domaine de l eau BASSIN RHÔNE-MÉDITERRANÉE
Plan de bassin d adaptation au changement climatique dans le domaine de l eau BASSIN RHÔNE-MÉDITERRANÉE Mai 2014 Ce document a été rédigé par un groupe technique composé de la DREAL délégation du bassin
Plus en détailRéponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de Mme Christina Meissner : Vidange de Verbois : le moratoire n'était-il qu'un leurre?
Secrétariat du Grand Conseil QUE 115-A Date de dépôt : 2 octobre 2013 Réponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de Mme Christina Meissner : Vidange de Verbois : le moratoire n'était-il qu'un
Plus en détailLe Haut Ellé. Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët. Département 56
Le Haut Ellé Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët Département 56 Présentation L'Ellé regroupe tous les niveaux techniques, ainsi l'ellé peut être divisée en trois tronçons
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailSommaire 3.4. CRUE SUR UN PETIT BASSIN VERSANT... 19 3.6. INTUMESCENCE - DYSFONCTIONNEMENT D OUVRAGES HYDRAULIQUES...22
Préambule La collection des guides de l ASN regroupe les documents à destination des professionnels intéressés par la réglementation en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection (exploitants, utilisateurs
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône.
DOSSIER DE PRESSE L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône 17 novembre 2014 Surveiller la radioactivité dans l environnement : les attentes
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détail0.721.191.631. Traité entre la Suisse et l Autriche-Hongrie 2 pour le redressement du Rhin dès l embouchure de l Ill jusqu au lac de Constance 3
Traduction 1 0.721.191.631 Traité entre la Suisse et l Autriche-Hongrie 2 pour le redressement du Rhin dès l embouchure de l Ill jusqu au lac de Constance 3 Conclu le 30 décembre 1892 Approuvé par l Assemblée
Plus en détailMémoire de Fin d Etudes Ingénieur ENGEES
Ecole Nationale du Génie de l Eau et de l Environnement de Strasbourg ANALYSE DES IMPACTS DES ETIAGES DE LA RIVIERE MONTMORENCY SUR LES USAGES DE LA RESSOURCE EN EAU Mémoire de Fin d Etudes Ingénieur ENGEES
Plus en détailPhoto : archbould.com. Faits éclairants à propos de l électricité
Photo : archbould.com Faits éclairants à propos de l électricité Comment produit-on l électricité? Il est difficile d imaginer notre maison sans électricité. Il n y aurait pas de télévision, d ordinateur
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailL eau invisible 1 Tous les sols contiennent-ils de l eau?
L eau invisible 1 Tous les sols contiennent-ils de l eau? Les sols reçoivent de l eau provenant de différents flux, et une partie de l eau arrivant dans le «compartiment» sol y est retenue. Ainsi, la pluie
Plus en détailNOMENCLATURE DES OPERATIONS SOUMISES A AUTORISATION OU A DECLARATION EN APPLICATION DES ARTICLES L. 214-1 A L. 214-3 DU CODE DE L ENVIRONNEMENT
NOMENCLTURE ES OPERTIONS SOUMISES UTORISTION OU ECLRTION EN PPLICTION ES RTICLES L. 214-1 L. 214-3 U COE E L ENVIRONNEMENT TBLEU E L RTICLE R. 214-1 U COE E L ENVIRONNEMENT (PRTIE REGLEMENTIRE) Consolidée
Plus en détailRenaturation de l embouchure de la Broye
AquaVision Engineering Sàrl Constructions Hydrauliques pour un Développement Durable Chemin des Champs-Courbes 1 CH-1024 ECUBLENS Tel. +41 21 691 45 13 / Natel: +41 79 775 17 61 www.aquavision-eng.ch,
Plus en détailRôle des centrales de pompage-turbinage dans l approvisionnement en électricité
Rôle des centrales de pompage-turbinage dans l approvisionnement en électricité Document connaissances de base, état: octobre 2013 1. Synthèse Contrairement aux simples centrales à accumulation, les centrales
Plus en détailEric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle
Eric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle 7ème Journée de restitution des résultats de l Observatoire du Patrimoine Naturel Marais poitevin jeudi
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailPascale Biron, Thomas Buffin-Bélanger, Marie Larocque, Joanna Eyquem, Claude Desjarlais
Pascale Biron, Thomas Buffin-Bélanger, Marie Larocque, Joanna Eyquem, Claude Desjarlais Bandes riveraines restreintes, beaucoup de stabilisation Rivière Yamachiche: champ de maïs sans bande riveraine Rivière
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailRessources en eau. Résumé du deuxième Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau
Ressources en eau Résumé du deuxième Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau Un résumé réalisé par L'EAU est essentielle à la survie et au bien-être de l homme et
Plus en détailRESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE
MÉMOIRE DEPOSE AU BUREAU D AUDIENCES PUBLIQUES SUR L ENVIRONNEMENT (BAPE) DANS LE CADRE DES AUDIENCES PUBLIQUES POUR LES PROJETS DE RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE
Plus en détailModélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé
1 TGR Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé Simon Munier Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l'environnement (AgroParisTech)
Plus en détail1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES
1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE Codes entités aquifères Code entité V1 Code entité V2 concernées (V1) ou (V2) ou secteurs hydro à croiser : 532a 532b Type de masse d'eau souterraine : Imperméable
Plus en détailCréation d une base de données sur les ouvrages hydrauliques à l échelle du bassin versant de la Vilaine
UNIVERSITE RENNES 2 HAUTE-BRETAGNE Département de Géographie Master 2 Géographie et Aménagement Spécialité Gestion Spécialité de Gestion l Environnement de l Environnement Création d une base de données
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailO r l é a n s V a l d e L o i r e
Orléans Val de Loire vivre en zone inondable Dans l agglomération d Orléans, il est conseillé de prendre comme niveau d eau : les Plus Hautes Eaux Connues (PHEC) pour les crues de type C et D, 0,50 m pour
Plus en détailDes îlots de verdure. sur les TOITURES
Des îlots de verdure sur les TOITURES L augmentation des surfaces imperméables, comme les routes, les parkings, les bâtiments et la raréfaction des espaces verts en ville est un constat indéniable. Les
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailBILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.
Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailPrésenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF
Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailLes besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire
Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailDe la qualité des milieux aquatiques dépendent de nombreux services rendus à la société
Pourquoi restaurer? 2 De la qualité des milieux aquatiques dépendent de nombreux services rendus à la société L essentiel Les sociétés dépendent des fleuves et des rivières en bon état pour assurer leur
Plus en détailLE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS. Présentation des enjeux du secteur
LE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS Présentation des enjeux du secteur Avec des taux d accès proches de 100 %, les enjeux de l eau et l assainissement en Jordanie ne sont pas l accès
Plus en détailCOMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides»
COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» - 1-4 AVRIL 2013 MALICORNE-SUR-SARTHE COMPTE-RENDU DE REUNION Ordre du jour 1. Qu est ce qu un SAGE? Quel est le
Plus en détailRivière Romaine, rivière d eaux vives. André Charest et Yann Troutet
Rivière Romaine, rivière d eaux vives André Charest et Yann Troutet «Les transformations qui toucheront la Romaine n auront pas d effet notable sur l offre ni sur la pratique d activités de canotage et
Plus en détailSchéma Directeur d Aménagement et de Gestion des Eaux 2016-2021 Bassin Artois-Picardie Districts ESCAUT ET SAMBRE
Direction Régionale de l'environnement de l'aménagement et du Logement Nord Pas de Calais Délégation de bassin Artois Picardie Schéma Directeur d Aménagement et de Gestion des Eaux 2016-2021 Bassin Artois-Picardie
Plus en détailMême ordinairement tranquille, un cours d'eau peut en quelques heures, se
Même ordinairement tranquille, un cours d'eau peut en quelques heures, se révéler un grand danger : un risque souvent imprévisible et qui engendre parfois de nombreuses victimes et des dégâts importants.
Plus en détailStratégie de gestion du bassin hydrographique du Bas-Rideau Résumé
Stratégie de gestion du bassin hydrographique du Bas-Rideau Préparé pour: Préparé par: Robinson Consultants Inc. Consulting Engineers Aquafor Beech Limited Projet No.02048 Septembre 2005 Introduction Depuis
Plus en détailRADIOACTIVES AUX PROBLÈMES DE DYNAMIQUE FLUVIALE
ÉTUDE CRITIQUE D UN ESSAI D APPLICATION DES MÉTHODES RADIOACTIVES AUX PROBLÈMES DE DYNAMIQUE FLUVIALE par J. TRICART Directeur du Centre de Géographie Appliquée, assisté de J. M. AVENARD et de A. R. HIRSCH
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailLA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT. L essentiel
Certu Centre d études sur les réseaux, les transports, l urbanisme et les constructions publiques LA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT Principes, méthodes et outils pour une meilleure intégration dans le cycle
Plus en détailGestion et pérennité des réseaux d assainissement Evolutions normatives en matière de contrôle et conséquences. Jeudi 4 décembre 2014 POLLUTEC LYON
Gestion et pérennité des réseaux d assainissement Evolutions normatives en matière de contrôle et conséquences Jeudi 4 décembre 2014 POLLUTEC LYON Intervenant René-Claude Fouilloux Accompagner les maîtres
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailSITUATION DE LA RESSOURCE EN EAU DANS LA DROME
SITUATION DE LA RESSOURCE EN EAU DANS LA DROME Bulletin trimestriel d août 2013 - Situation été - L Observatoire de l eau informe sur la situation de la ressource dans la Drôme au cours de l été Pluviométrie
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour
Plus en détailENQUÊTE PUBLİQUE RÉALİSATİON D'AMÉNAGEMENTS DE STABİLİSATİON DU TRAİT DE CÔTE A LA GUÉRİNİÈRE ET L'ÉPİNE (SECTEUR DES ÉLOUX) Exposé
ENQUÊTE PUBLİQUE RÉALİSATİON D'AMÉNAGEMENTS DE STABİLİSATİON DU TRAİT DE CÔTE A LA GUÉRİNİÈRE ET L'ÉPİNE (SECTEUR DES ÉLOUX) 1. Etat des lieux 2. Causes 3. Le projet 4. Conclusion, proposition Exposé «La
Plus en détailSchéma général d assainissement du Grand Lyon
Schéma général d assainissement du Grand Lyon 2015-2027 ORIENTATIONS ET ENJEUX Introduction générale Le Code général des collectivités territoriales oblige les collectivités de plus de 2 000 habitants
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailRivière Saint-Charles Tronçon 2 Ville de Québec
Rivière Saint-Charles Tronçon 2 Ville de Québec Mise à jour des cotes de crues Rapport final Pour plus de renseignements, contactez la Direction de l expertise hydrique du Centre d expertise hydrique du
Plus en détailMÉMO 2010. Compagnie Nationale du Rhône
MÉMO 2010 Compagnie Nationale du Rhône I barrage-usine de génissiat I SOMMAIRE 06 I 19 CARTE D IDENTITÉ 22 I 25 LE DÉVELOPPEMENT DURABLE AU CŒUR DES MÉTIERS DE LA CNR 28 I 33 UNE ENTREPRISE INTÉGRÉE 36
Plus en détailLA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX
SMART WATER NETWORKS LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX Les défis posés au gestionnaire du système d assainissement La sécurité des biens et des personnes Anticiper et limiter les risques de débordements
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détailALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS
ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS Utilisation du radar HYDRIX et de la plateforme RAINPOL sur la commune d ANTIBES JUAN-LES-PINS European Local Authorities Rencontres
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,
Plus en détailNOTE DU SECRÉTARIAT TECHNIQUE DU SDAGE QU EST-CE QUE LE BON ÉTAT DES EAUX?
NOTE DU SECRÉTARIAT TECHNIQUE DU SDAGE QU EST-CE QUE LE BON ÉTAT DES EAUX? Mars 2011 Crédit photos : F. Abraham, F. Barratier, A. Cabot, L. Cadilhac, C. Lasnier, R. Lengereau, T. Marguet, M. Martini, B.
Plus en détail