THESE DOCTEUR EN MEDECINE

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1 UNIVERSITE HENRI POINCARE, NANCY 1 FACULTE DE MEDECINE DE NANCY 2007 N THESE Pour obtenir le grade de DOCTEUR EN MEDECINE Présentée et soutenue publiquement Dans le cadre du troisième cycle de Médecine Générale par Nicolas MATHIS Le 3 Décembre 2007 ETAT DES LIEUX SUR LA SITUATION DES CARENCES AMBULANCIERES DANS LE DEPARTEMENT DE LA MEUSE EN AMONT DE LA CONVENTION TRIPARTITE SAMU SDIS ATSU Examinateurs de la thèse : Monsieur A. BELLOU Professeur Président Monsieur P-E. BOLLAERT Professeur Juge Monsieur H. LAMBERT Professeur Juge Monsieur F. BRAUN Docteur en Médecine Juge Monsieur F. GALMICHE Docteur en Médecine Juge

2 UNIVERSITÉ HENRI POINCARÉ, NANCY 1 FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY Président de l'université : Professeur Jean-Pierre FINANCE Doyen de la Faculté de Médecine : Professeur Patrick NETTER Vice-Doyen de la Faculté de Médecine : Professeur Henry COUDANE Assesseurs : du 1 er Cycle : du 2 ème Cycle : du 3 ème Cycle : de la Vie Facultaire : M. le Professeur François ALLA M. le Professeur Jean-Pierre BRONOWICKI M. le Professeur Marc BRAUN M. le Professeur Bruno LEHEUP DOYENS HONORAIRES Professeur Adrien DUPREZ Professeur Jean-Bernard DUREUX Professeur Jacques ROLAND ========== PROFESSEURS HONORAIRES Jean LOCHARD René HERBEUVAL Gabriel FAIVRE Jean-Marie FOLIGUET Guy RAUBER Paul SADOUL Raoul SENAULT Jacques LACOSTE Jean BEUREY Jean SOMMELET Pierre HARTEMANN Emile de LAVERGNE Augusta TREHEUX Michel MANCIAUX Paul GUILLEMIN Pierre PAYSANT Jean-Claude BURDIN Claude CHARDOT Jean-Bernard DUREUX Jean DUHEILLE Jean-Marie GILGENKRANTZ Simone GILGENKRANTZ Pierre ALEXANDRE Robert FRISCH Michel PIERSON Jacques ROBERT Gérard DEBRY Michel WAYOFF François CHERRIER Oliéro GUERCI Gilbert PERCEBOIS Claude PERRIN Jean PREVOT Jean FLOQUET Alain GAUCHER Michel LAXENAIRE Michel BOULANGE Michel DUC Claude HURIET Pierre LANDES Alain LARCAN Gérard VAILLANT Daniel ANTHOINE Pierre GAUCHER René-Jean ROYER Hubert UFFHOLTZ Jacques LECLERE Francine NABET Jacques BORRELLY Michel RENARD Jean-Pierre DESCHAMPS Pierre NABET Marie-Claire LAXENAIRE Adrien DUPREZ Paul VERT - Bernard LEGRAS Pierre MATHIEU Jean-Marie POLU - Antoine RASPILLER Gilbert THIBAUT Michel WEBER Gérard FIEVE Daniel SCHMITT Colette VIDAILHET Alain BERTRAND Hubert GERARD Jean-Pierre NICOLAS - Francis PENIN Michel STRICKER Daniel BURNEL Michel VIDAILHET Claude BURLET Jean-Pierre DELAGOUTTE Jean-Pierre MALLIÉ Danièle SOMMELET Professeur Luc PICARD Professeur Guy PETIET ========== PROFESSEURS DES UNIVERSITÉS PRATICIENS HOSPITALIERS (Disciplines du Conseil National des Universités) 42 ème Section : MORPHOLOGIE ET MORPHOGENÈSE 1ère sous-section : (Anatomie) Professeur Jacques ROLAND Professeur Gilles GROSDIDIER Professeur Pierre LASCOMBES Professeur Marc BRAUN 2 ème sous-section : (Cytologie et histologie) Professeur Bernard FOLIGUET 3 ème sous-section : (Anatomie et cytologie pathologiques) Professeur François PLENAT Professeur Jean-Michel VIGNAUD ème Section : BIOPHYSIQUE ET IMAGERIE MÉDICALE 1 ère sous-section : (Biophysique et médecine nucléaire) Professeur Gilles KARCHER Professeur Pierre-Yves MARIE Professeur Pierre OLIVIER 2 ème sous-section : (Radiologie et imagerie médicale) Professeur Luc PICARD Professeur Denis REGENT Professeur Michel CLAUDON Professeur Serge BRACARD Professeur Alain BLUM Professeur Jacques FELBLINGER Professeur René ANXIONNAT 2

3 44 ème Section : BIOCHIMIE, BIOLOGIE CELLULAIRE ET MOLÉCULAIRE, PHYSIOLOGIE ET NUTRITION 1 ère sous-section : (Biochimie et biologie moléculaire) Professeur Jean-Louis GUÉANT Professeur Jean-Luc OLIVIER Professeur Bernard NAMOUR 2 ème sous-section : (Physiologie) Professeur Jean-Pierre CRANCE Professeur François MARCHAL Professeur Philippe HAOUZI 3 ème sous-section : (Biologie Cellulaire (type mixte : biologique) Professeur Ali DALLOUL 4 ème sous-section : (Nutrition) Professeur Olivier ZIEGLER ème Section : MICROBIOLOGIE, MALADIES TRANSMISSIBLES ET HYGIÈNE 1 ère sous-section : (Bactériologie virologie ; hygiène hospitalière) Professeur Alain LOZNIEWSKI 2 ème sous-section : (Parasitologie et mycologie) Professeur Bernard FORTIER 3 ème sous-section : (Maladies infectieuses ; maladies tropicales) Professeur Thierry MAY Professeur Christian RABAUD ème Section : SANTÉ PUBLIQUE, ENVIRONNEMENT ET SOCIÉTÉ 1 ère sous-section : (Épidémiologie, économie de la santé et prévention) Professeur Philippe HARTEMANN Professeur Serge BRIANÇON Professeur Francis GUILLEMIN Professeur Denis ZMIROU-NAVIER Professeur François ALLA 2 ème sous-section : (Médecine et santé au travail) Professeur Guy PETIET Professeur Christophe PARIS 3 ème sous-section : (Médecine légale et droit de la santé) Professeur Henry COUDANE 4 ème sous-section : (Biostatistiques, informatique médicale et technologies de communication) Professeur François KOHLER Professeur Éliane ALBUISSON ème Section : CANCÉROLOGIE, GÉNÉTIQUE, HÉMATOLOGIE, IMMUNOLOGIE 1 ère sous-section : (Hématologie ; transfusion) Professeur Christian JANOT Professeur Thomas LECOMPTE Professeur Pierre BORDIGONI Professeur Pierre LEDERLIN Professeur Jean-François STOLTZ Professeur Pierre FEUGIER 2 ème sous-section : (Cancérologie ; radiothérapie) Professeur François GUILLEMIN Professeur Thierry CONROY Professeur Pierre BEY Professeur Didier PEIFFERT Professeur Frédéric MARCHAL 3 ème sous-section : (Immunologie) Professeur Gilbert FAURE Professeur Marie-Christine BENE 4 ème sous-section : (Génétique) Professeur Philippe JONVEAUX Professeur Bruno LEHEUP ème Section : ANESTHÉSIOLOGIE, RÉANIMATION, MÉDECINE D URGENCE, PHARMACOLOGIE ET THÉRAPEUTIQUE 1 ère sous-section : (Anesthésiologie et réanimation chirurgicale) Professeur Claude MEISTELMAN Professeur Dan LONGROIS Professeur Hervé BOUAZIZ Professeur Paul-Michel MERTES 2 ème sous-section : (Réanimation médicale) Professeur Henri LAMBERT Professeur Alain GERARD Professeur Pierre-Édouard BOLLAERT Professeur Bruno LÉVY 3 ème sous-section : (Pharmacologie fondamentale ; pharmacologie clinique) Professeur Patrick NETTER Professeur Pierre GILLET 4 ème sous-section : (Thérapeutique) Professeur François PAILLE Professeur Gérard GAY Professeur Faiez ZANNAD

4 49 ème Section : PATHOLOGIE NERVEUSE ET MUSCULAIRE, PATHOLOGIE MENTALE, HANDICAP et RÉÉDUCATION 1 ère sous-section : (Neurologie) Professeur Gérard BARROCHE Professeur Hervé VESPIGNANI Professeur Xavier DUCROCQ 2 ème sous-section : (Neurochirurgie) Professeur Jean-Claude MARCHAL Professeur Jean AUQUE Professeur Thierry CIVIT 3 ème sous-section : (Psychiatrie d'adultes) Professeur Jean-Pierre KAHN Professeur Raymund SCHWAN 4 ème sous-section : (Pédopsychiatrie) Professeur Daniel SIBERTIN-BLANC 5 ème sous-section : (Médecine physique et de réadaptation) Professeur Jean-Marie ANDRE Professeur Jean PAYSANT ème Section : PATHOLOGIE OSTÉO-ARTICULAIRE, DERMATOLOGIE et CHIRURGIE PLASTIQUE 1 ère sous-section : (Rhumatologie) Professeur Jacques POUREL Professeur Isabelle VALCKENAERE Professeur Damien LOEUILLE 2 ème sous-section : (Chirurgie orthopédique et traumatologique) Professeur Daniel MOLE Professeur Didier MAINARD Professeur François SIRVEAUX Professeur Laurent GALOIS 3 ème sous-section : (Dermato-vénéréologie) Professeur Jean-Luc SCHMUTZ Professeur Annick BARBAUD 4 ème sous-section : (Chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique) Professeur François DAP ème Section : PATHOLOGIE CARDIORESPIRATOIRE et VASCULAIRE 1 ère sous-section : (Pneumologie) Professeur Yves MARTINET Professeur Jean-François CHABOT Professeur Ari CHAOUAT 2 ème sous-section : (Cardiologie) Professeur Etienne ALIOT Professeur Yves JUILLIERE Professeur Nicolas SADOUL Professeur Christian de CHILLOU 3 ème sous-section : (Chirurgie thoracique et cardiovasculaire) Professeur Jean-Pierre VILLEMOT Professeur Jean-Pierre CARTEAUX Professeur Loïc MACE 4 ème sous-section : (Chirurgie vasculaire ; médecine vasculaire) ème Section : MALADIES DES APPAREILS DIGESTIF et URINAIRE 1 ère sous-section : (Gastroentérologie ; hépatologie) Professeur Marc-André BIGARD Professeur Jean-Pierre BRONOWICKI 2 ème sous-section : (Chirurgie digestive) 3 ème sous-section : (Néphrologie) Professeur Michèle KESSLER Professeur Dominique HESTIN (Mme) Professeur Luc FRIMAT 4 ème sous-section : (Urologie) Professeur Philippe MANGIN Professeur Jacques HUBERT Professeur Luc CORMIER ème Section : MÉDECINE INTERNE, GÉRIATRIE et CHIRURGIE GÉNÉRALE 1 ère sous-section : (Médecine interne) Professeur Denise MONERET-VAUTRIN Professeur Denis WAHL Professeur Jean-Dominique DE KORWIN Professeur Pierre KAMINSKY Professeur Athanase BENETOS - Professeur Gisèle KANNY Professeur Abdelouahab BELLOU 2 ème sous-section : (Chirurgie générale) Professeur Patrick BOISSEL Professeur Laurent BRESLER Professeur Laurent BRUNAUD Professeur Ahmet AYAV

5 54 ème Section : DÉVELOPPEMENT ET PATHOLOGIE DE L'ENFANT, GYNÉCOLOGIE-OBSTÉTRIQUE, ENDOCRINOLOGIE ET REPRODUCTION 1 ère sous-section : (Pédiatrie) Professeur Pierre MONIN Professeur Jean-Michel HASCOET Professeur Pascal CHASTAGNER Professeur François FEILLET Professeur Cyril SCHWEITZER 2 ème sous-section : (Chirurgie infantile) Professeur Michel SCHMITT Professeur Gilles DAUTEL Professeur Pierre JOURNEAU 3 ème sous-section : (Gynécologie-obstétrique ; gynécologie médicale) Professeur Michel SCHWEITZER Professeur Jean-Louis BOUTROY Professeur Philippe JUDLIN Professeur Patricia BARBARINO Professeur Bruno DEVAL 4 ème sous-section : (Endocrinologie et maladies métaboliques) Professeur Georges WERYHA Professeur Marc KLEIN Professeur Bruno GUERCI ème Section : PATHOLOGIE DE LA TÊTE ET DU COU 1 ère sous-section : (Oto-rhino-laryngologie) Professeur Claude SIMON Professeur Roger JANKOWSKI 2 ème sous-section : (Ophtalmologie) Professeur Jean-Luc GEORGE Professeur Jean-Paul BERROD Professeur Karine ANGIOI-DUPREZ 3 ème sous-section : (Chirurgie maxillo-faciale et stomatologie) Professeur Jean-François CHASSAGNE ========== PROFESSEURS DES UNIVERSITÉS 64 ème Section : BIOCHIMIE ET BIOLOGIE MOLÉCULAIRE Professeur Sandrine BOSCHI-MULLER ========== MAÎTRES DE CONFÉRENCES DES UNIVERSITÉS - PRATICIENS HOSPITALIERS 42 ème Section : MORPHOLOGIE ET MORPHOGENÈSE 1ère sous-section : (Anatomie) Docteur Bruno GRIGNON Docteur Thierry HAUMONT 2 ème sous-section : (Cytologie et histologie) Docteur Edouard BARRAT Docteur Françoise TOUATI Docteur Chantal KOHLER 3 ème sous-section : (Anatomie et cytologie pathologiques) Docteur Béatrice MARIE Docteur Laurent ANTUNES ème Section : BIOPHYSIQUE ET IMAGERIE MÉDICALE 1 ère sous-section : (Biophysique et médecine nucléaire) Docteur Marie-Hélène LAURENS Docteur Jean-Claude MAYER Docteur Pierre THOUVENOT Docteur Jean-Marie ESCANYE Docteur Amar NAOUN ème Section : BIOCHIMIE, BIOLOGIE CELLULAIRE ET MOLÉCULAIRE, PHYSIOLOGIE ET NUTRITION 1 ère sous-section : (Biochimie et biologie moléculaire) Docteur Jean STRACZEK Docteur Sophie FREMONT Docteur Isabelle GASTIN Docteur Marc MERTEN Docteur Catherine MALAPLATE-ARMAND 2 ème sous-section : (Physiologie) Docteur Gérard ETHEVENOT Docteur Nicole LEMAU de TALANCE Docteur Christian BEYAERT Docteur Bruno CHENUEL 4 ème sous-section : (Nutrition) Docteur Didier QUILLIOT Docteur Rosa-Maria RODRIGUEZ-GUEANT

6 45 ème Section : MICROBIOLOGIE, MALADIES TRANSMISSIBLES ET HYGIÈNE 1 ère sous-section : (Bactériologie Virologie ; hygiène hospitalière) Docteur Francine MORY Docteur Christine LION Docteur Michèle DAILLOUX Docteur Véronique VENARD 2 ème sous-section : (Parasitologie et mycologie) Docteur Marie-France BIAVA Docteur Nelly CONTET-AUDONNEAU Docteur Marie MACHOUART ème Section : SANTÉ PUBLIQUE, ENVIRONNEMENT ET SOCIÉTÉ 1 ère sous-section : (Epidémiologie, économie de la santé et prévention) Docteur Alexis HAUTEMANIÈRE 4 ère sous-section : (Biostatistiques, informatique médicale et technologies de communication Docteur Pierre GILLOIS ème Section : CANCÉROLOGIE, GÉNÉTIQUE, HÉMATOLOGIE, IMMUNOLOGIE 1 ère sous-section : (Hématologie ; transfusion) Docteur François SCHOONEMAN 2 ème sous-section : (Cancérologie ; radiothérapie : cancérologie (type mixte : biologique) Docteur Lina BEZDETNAYA épouse BOLOTINE 3 ème sous-section : (Immunologie) Docteur Anne KENNEL Docteur Marcelo DE CARVALHO BITTENCOURT 4 ème sous-section : (Génétique) Docteur Christophe PHILIPPE ème Section : ANESTHÉSIOLOGIE, RÉANIMATION, MÉDECINE D URGENCE, PHARMACOLOGIE ET THÉRAPEUTIQUE 1 ère sous-section : (Anesthésiologie et réanimation chirurgicale) Docteur Jacqueline HELMER Docteur Gérard AUDIBERT 3 ème sous-section : (Pharmacologie fondamentale ; pharmacologie clinique) Docteur Françoise LAPICQUE Docteur Marie-José ROYER-MORROT Docteur Nicolas GAMBIER ème Section : RHUMATOLOGIE 1 ère sous-section : (Rhumatologie) Docteur Anne-Christine RAT ème Section : DÉVELOPPEMENT ET PATHOLOGIE DE L ENFANT, GYNÉCOLOGIE-OBSTÉTRIQUE, ENDOCRINOLOGIE ET REPRODUCTION 5 ème sous-section : (Biologie et médecine du développement et de la reproduction) Docteur Jean-Louis CORDONNIER ========== MAÎTRES DE CONFÉRENCES 5 ème section : SCIENCE ÉCONOMIE GÉNÉRALE Monsieur Vincent LHUILLIER ème section : SCIENCES DU MÉDICAMENT Monsieur Jean-François COLLIN ème section : MÉCANIQUE, GÉNIE MÉCANIQUE ET GÉNIE CIVILE Monsieur Alain DURAND ème section : GÉNIE INFORMATIQUE, AUTOMATIQUE ET TRAITEMENT DU SIGNAL Monsieur Jean REBSTOCK Monsieur Walter BLONDEL 6

7 64 ème section : BIOCHIMIE ET BIOLOGIE MOLÉCULAIRE Mademoiselle Marie-Claire LANHERS Monsieur Franck DALIGAULT ème section : BIOLOGIE CELLULAIRE Mademoiselle Françoise DREYFUSS Monsieur Jean-Louis GELLY Madame Ketsia HESS Monsieur Pierre TANKOSIC Monsieur Hervé MEMBRE Monsieur Christophe NEMOS Madame Natalia DE ISLA ème section : PHYSIOLOGIE Monsieur Nguyen TRAN ème section : BIOLOGIE DES POPULATIONS ET ÉCOLOGIE Madame Nadine MUSSE ème section : BIOLOGIE DES ORGANISMES Madame Tao XU-JIANG ======== MAÎTRES DE CONFÉRENCES ASSOCIÉS Médecine Générale Professeur associé Alain AUBREGE Docteur Francis RAPHAEL Docteur Jean-Marc BOIVIN Docteur Jean-Louis ADAM Docteur Elisabeth STEYER ======== PROFESSEURS ÉMÉRITES Professeur Michel BOULANGE Professeur Alain LARCAN - Professeur Daniel ANTHOINE Professeur Paul VERT - Professeur Pierre MATHIEU - Professeur Gilbert THIBAUT Mme le Professeur Colette VIDAILHET Professeur Alain BERTRAND - Professeur Jean-Pierre NICOLAS Professeur Michel VIDAILHET Professeur Marie-Claire LAXENAIRE - Professeur Jean-Marie GILGENKRANTZ Mme le Professeur Simone GILGENKRANTZ - Professeur Jean-Pierre DELAGOUTTE Professeur Danièle SOMMELET Professeur Luc PICARD - Professeur Guy PETIET ======== DOCTEURS HONORIS CAUSA Professeur Norman SHUMWAY (1972) Université de Stanford, Californie (U.S.A) Professeur Paul MICHIELSEN (1979) Université Catholique, Louvain (Belgique) Professeur Charles A. BERRY (1982) Centre de Médecine Préventive, Houston (U.S.A) Professeur Pierre-Marie GALETTI (1982) Brown University, Providence (U.S.A) Professeur Mamish Nisbet MUNRO (1982) Massachusetts Institute of Technology (U.S.A) Professeur Mildred T. STAHLMAN (1982) Wanderbilt University, Nashville (U.S.A) Harry J. BUNCKE (1989) Université de Californie, San Francisco (U.S.A) Professeur Théodore H. SCHIEBLER (1989) Institut d'anatomie de Würtzburg (R.F.A) Professeur Maria DELIVORIA-PAPADOPOULOS (1996) Université de Pennsylvanie (U.S.A) Professeur Mashaki KASHIWARA (1996) Research Institute for Mathematical Sciences de Kyoto (JAPON) Professeur Ralph GRÄSBECK (1996) Université d'helsinki (FINLANDE) Professeur James STEICHEN (1997) Université d'indianapolis (U.S.A) Professeur Duong Quang TRUNG (1997) Centre Universitaire de Formation et de Perfectionnement des Professionnels de Santé d'hô Chi Minh-Ville (VIÊTNAM) 7

8 A NOTRE MAITRE ET PRESIDENT DE JURY Monsieur le Professeur A. BELLOU Professeur de Médecine Interne, Gériatrie et Biologie du Vieillissement, Vous nous avez fait le très grand honneur de présider cette thèse. Nous avons apprécié au cours de nos études la qualité de votre enseignement. Nous vous sommes reconnaissants de vos conseils et de votre disponibilité. Veuillez trouver ici l expression la plus sincère de notre admiration et de nos remerciements. 8

9 A NOTRE MAITRE ET JUGE Monsieur le Professeur P-E. BOLLAERT Professeur de Réanimation Médicale, Nous sommes très sensibles à l honneur que vous nous faites en acceptant de juger notre travail. Nous avons apprécié au cours de nos études la qualité de votre enseignement. Nous tenons à vous remercier et à vous exprimer notre profond respect. 9

10 A NOTRE MAITRE ET JUGE Monsieur le Professeur H. LAMBERT Professeur de Réanimation Médicale, Officier dans l Ordre des Palmes Académiques, Vous nous faites le grand honneur de faire partie de notre jury. Nous avons eu le bonheur de bénéficier de votre enseignement à jamais gravé dans nos mémoires. Veuillez trouver ici l expression de notre respect et de notre profonde gratitude. 10

11 A NOTRE JUGE ET DIRECTEUR DE THESE Monsieur le Docteur F. BRAUN Praticien Hospitalier, Urgentiste, Vous êtes à l origine de ce travail. Pour l honneur que vous nous faites en acceptant de siéger dans notre jury de thèse, Veuillez trouver ici l expression de notre respect et de notre profonde gratitude. 11

12 A NOTRE JUGE Monsieur le Docteur F. GALMICHE Médecin Chef du Service Départemental d Incendie et de Secours de la Meuse, Nous vous sommes très reconnaissants de juger notre travail. Veuillez trouver ici l expression de notre haute considération. 12

13 A LA MEMOIRE DE MON GRAND-PERE HENRI EN MEMOIRE DE MES GRANDS-PARENTS SUZANNE ET JEAN A MA GRAND-MERE JULIETTE En témoignage de mon affection. A MES PARENTS Qui m ont permis de devenir ce que je suis aujourd hui. En témoignage de ma profonde affection et de mon infinie reconnaissance. Avec tout mon amour. A MON FRERE OLIVIER En témoignage de mon immense tendresse. A sa femme Sandra A KAREN Pour son amour, son soutien et son aide précieuse. A ses parents. A MA FAMILLE A TOUS MES AMIS 13

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15 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION L Aide Médicale Urgente et les transports sanitaires Organisation des transports sanitaires dans l Aide Médicale Urgente 24 A. La mission des SDIS 24 B. La mission des ambulanciers privés 25 C. La garde ambulancière 26 D. De la mission du SAMU à la situation de carence 27 E. Le financement des situations de carence et sa définition Réglementation relative aux véhicules affectés aux transports sanitaires terrestres 31 A. Les catégories de véhicules Les véhicules médicalisés Les véhicules non médicalisés 33 B. La réglementation relative à chaque catégorie de véhicules Aspect extérieur des véhicules affectés aux transports sanitaires 33 a) Catégories A, C et D 33 b) Catégorie B Le matériel embarqué 34 a) Catégories A, C et D 34 b) Catégorie B 35 C. L équipage Les catégories de personnels 37 a) Le conducteur ambulancier de catégorie

16 b) Le conducteur ambulancier de catégorie 3 38 c) La catégorie 1 38 d) La catégorie L équipage de chaque véhicule La convention tripartite 41 A. Contenu de la convention tripartite 41 B. Modalités d évaluation 42 II. SITUATION DU DEPARTEMENT Géographie Démographie Répartition des sociétés d ambulances privées Répartition des moyens de transport du SDIS 58 III. ETUDE Objectifs Matériel et méthode 63 A. Dossiers étudiés 63 B. Méthodologie Résultats 65 A. Analyse générale Analyse de la population N = Répartition par mois Répartition par jour de la semaine Répartition par heure d appel 68 16

17 5. Analyse par origine de l appel Répartition par pathologie dominante Analyse par motif de la carence Analyse de la répartition horaire des situations de carence selon la période de garde ou non 70 B. Période de Garde médicale N= Répartition des situations de carence par secteur de garde Analyse des motifs de carence hors choix du régulateur : proportion par secteur de garde Analyse des motifs de carence (hors choix du régulateur) par tranche horaire 73 C. Analyse hors période de garde N= Analyse par canton Analyse des motifs de carence par tranche horaire (hors choix du régulateur) 75 D. Analyse des situations de carence par choix du régulateur Analyse par tranche horaire Analyse par type de pathologie dominante Comparaison du type de pathologie avec les carences hors choix du régulateur Analyse des situations de carence en fonction du régulateur 79 IV. DISCUSSION Matériel et méthode Discussion des résultats de l étude 80 A. Données générales 80 B. Période de la garde ambulancière 81 C. En dehors de la période de garde 82 17

18 D. Discussion sur les situations de carence par choix du régulateur 82 E. Les attentes de la convention tripartite 83 CONCLUSION 85 BIBLIOGRAPHIE 87 TABLE DES ILLUSTRATIONS 91 ANNEXES 93 Annexe 1 : Abréviations 94 Annexe 2A : Projet de convention tripartite : Appel reçu par le «18» 95 Annexe 2B: Projet de convention tripartite : Cas Particuliers 96 Annexe 2C : Projet de convention tripartite : Analyse des situations particulières rencontrées 98 Annexe 3 : Projet de convention tripartite : Appel reçu par le C.R.R.A Annexe 4 : Fiche de régulation du Centre

19 INTRODUCTION Les carences ambulancières posent le problème de l organisation des transports sanitaires terrestres. Les Services d Aide Médicale Urgente, les Services Départementaux d Incendie et de Secours et les sociétés d ambulances privées sont les principaux intervenants de cette organisation. Au niveau national, dans un souci de clarification des missions de chacun des intervenants, et avec pour objectif une diminution de ces situations de carence, il a été décidé que des conventions tripartites entre les SAMU, les SDIS et les ATSU doivent être élaborées. Les particularités propres à chaque département doivent être identifiées afin de les intégrer au sein de cette convention. Celles de la Meuse sont principalement liées à la faible densité de population. Un certain nombre de critères a été identifié afin de permettre l analyse de l évolution des situations de carence et de vérifier l adéquation de cette convention. Cependant, il parait nécessaire de dresser un état des lieux avant l entrée en vigueur de la convention tripartite afin d optimiser sa conception et de pouvoir apprécier les premiers résultats de sa mise en application. 19

20 I. CADRE REGLEMENTAIRE 1. L Aide Médicale Urgente et les transports sanitaires Le 6 janvier 1986, le parlement a adopté la Loi n relative à l Aide Médicale Urgente et aux transports sanitaires ; l Article 2 stipule que : «L Aide Médicale Urgente a pour objet, en relation avec les dispositifs communaux et départementaux d organisation des secours, de faire assurer aux malades, blessés et parturientes, en quelque endroit qu ils se trouvent, les soins d urgence appropriés à leur état». Sont alors créées des unités appelées SAMU qui participent à la mise en place de l Aide Médicale Urgente (1). Dans chaque département, le Préfet ou son représentant préside un comité ayant pour objet d organiser et de faire appliquer l Aide Médicale Urgente. Sa composition est définie par l Article R du Code de la Santé Publique (2) initialement créé par le Décret n du 30 novembre 1987 (3) et modifié en Il se compose : - De membres de droit : le directeur départemental des affaires sanitaires et sociales, le médecin inspecteur de la santé, le directeur départemental du service d'incendie et de secours, le médecin-chef départemental du service d'incendie et de secours ; - De quatre représentants des collectivités territoriales : deux conseillers généraux désignés par le conseil général, deux maires désignés par l'association départementale des maires ou, à défaut, élus par le collège des maires du département, convoqué à cet effet par le commissaire de la 20

21 République, à la représentation proportionnelle à la plus forte moyenne, sans adjonction ni suppression de noms et sans modification de l'ordre de présentation ; - De membres désignés par les organismes qu'ils représentent : un médecin représentant le conseil départemental de l'ordre des médecins, un médecin conseil désigné par le médecin conseil régional du régime général d'assurance maladie, trois représentants des régimes obligatoires d'assurance maladie désignés respectivement par la caisse primaire d'assurance maladie, la caisse de mutualité sociale agricole et la caisse mutuelle régionale d'assurance maladie maternité des travailleurs non salariés des professions non agricoles, dans le ressort desquelles siège le comité départemental ; un représentant du conseil départemental de la Croix Rouge française ; un représentant de l'union régionale des caisses d'assurance maladie ; un médecin représentant l'union régionale des médecins exerçant à titre libéral ; un pharmacien représentant le conseil régional de l'ordre des pharmaciens ou, dans les départements d'outremer, la délégation locale de l'ordre des pharmaciens ; - De membres nommés par le Préfet ainsi que leurs suppléants : un médecin responsable de SAMU et un médecin responsable de SMUR du département, un directeur de centre hospitalier doté de moyens mobiles de secours et de soins d'urgence, un représentant de l'organisation la plus représentative de l'hospitalisation publique, le commandant du corps de sapeurs-pompiers le plus important du département, un médecin d'exercice libéral pour chacune des organisations représentatives au niveau national désigné sur proposition des instances localement compétentes, un représentant de chacune des associations de permanence des soins lorsqu'elles interviennent dans le dispositif de permanence des soins au niveau départemental, un pharmacien d'officine pour chacune des organisations représentatives au 21

22 niveau national, représentées dans le département ou, à défaut, dans la région, désigné sur proposition des instances localement compétentes ; deux représentants des organisations d'hospitalisation privées les plus représentatives au plan départemental, dont un représentant les établissements privés de santé mentionnés à l'article L ; quatre représentants des organisations professionnelles nationales de transports sanitaires les plus représentatives au plan départemental ; un représentant de l'association départementale de transports sanitaires d'urgence la plus représentative sur le plan départemental ; deux praticiens hospitaliers sur proposition des organisations représentatives au niveau national des médecins exerçant dans les structures des urgences hospitalières ; un médecin sur proposition des organisations représentatives au niveau national des médecins exerçant dans les structures de médecine d'urgence des établissements privés de santé, lorsqu'elles sont représentées dans le département ; un représentant des associations d'usagers. Le sous-comité des transports sanitaires est constitué sous la présidence du commissaire de la République ou de son représentant, par les membres du comité départemental suivants : le médecin inspecteur de la santé, le médecin responsable du SAMU, les trois représentants des trois régimes d'assurance, le directeur départemental du service d'incendie et de secours, le médecin-chef départemental du service d'incendie et de secours, le commandant du centre de secours de sapeurs-pompiers le plus important du département, les quatre représentants des organisations professionnelles de transports sanitaires désignés, le directeur d'un établissement hospitalier public assurant des transports sanitaires, le représentant de l'association départementale des transports sanitaires, ainsi que de quatre membres désignés par leurs pairs au sein du comité départemental : deux représentants des collectivités 22

23 territoriales, un médecin d'exercice libéral et un directeur d'établissement d'hospitalisation privé assurant des transports sanitaires. Les missions et l organisation des unités participant au service d Aide Médicale Urgente sont définies par le Décret n du 16 décembre 1987 (4). Il stipule entre autres que les SAMU ont pour mission d assurer une écoute médicale permanente, de déterminer et de déclancher, dans le délai le plus rapide, la réponse la mieux adaptée à la nature des appels ainsi que d organiser, le cas échéant, le transport dans un établissement public ou privé en faisant appel à un service public ou à une entreprise privée de transports sanitaires. Il établit également une mission de formation et d enseignement aux professions médicales, paramédicales et aux professionnels du transport, ainsi qu une mission de formation des secouristes. 23

24 2. Organisation des transports sanitaires dans l Aide Médicale Urgente La Circulaire n 151 du 29 mars 2004 relative au rôle des SAMU, des SDIS et des ambulanciers dans l Aide Médicale Urgente (5) est venue compléter la Circulaire du 18 septembre 1992, relative aux relations entre le service départemental d incendie et de secours et les établissements publics hospitaliers dans la gestion quotidienne des secours (6). Elle précise le domaine de compétence de chaque structure ainsi que les relations qui les lient. A. La mission des SDIS Conformément à l Article 2 de la Loi n du 3 mai 1996 (7), les victimes d accidents ou de sinistres et leur évacuation relèvent des services d incendie et de secours lorsque leur état nécessite un secours d urgence ou lorsque l intervention nécessite un secours en équipe (sauvetage, soustraction à un danger ou à un risque). La mission du SDIS est ainsi définie par l Article L du Code Général des Collectivités Territoriales : «Les secours d urgence aux personnes victimes d accidents, de sinistres ou de catastrophes ainsi que leur évacuation» (8). Les missions confiées aux services d incendie et de secours consistent donc à délivrer des secours d urgence lorsque l atteinte à l individu est caractérisée par un dommage corporel provenant d une action imprévue et soudaine, d une cause ou d un agent agressif extérieur. Le lieu d intervention, s il ne constitue pas un élément prépondérant dans l attribution des missions, reste déterminant en ce qui concerne les demandes d intervention sur la voie publique et dans les lieux publics présentant par leur 24

25 nature un risque d aggravation ou de pauvreté des informations transmises lors de l alerte. La rapidité requise dans ces circonstances peut justifier un envoi immédiat des moyens secouristes des services d incendie et de secours. Le SDIS dispose d un Service de Santé et de Secours Médical qui, conformément à l Article R du Code Général des Collectivités Territoriales (9), participe aux missions de secours d urgence et à l Aide Médicale Urgente. Dans le cadre de l Aide Médicale Urgente, le médecin régulateur du SAMU peut s adresser au SDIS afin de solliciter les moyens du SSSM. B. La mission des ambulanciers privés Au terme de l Article L du Code de la Santé Publique (10), les transporteurs sanitaires assurent : «Tout transport d une personne malade, blessée ou parturiente, pour des raisons de soins ou de diagnostic, sur prescription médicale ou en cas d urgence médicale, effectué à l aide de moyens de transports terrestres, aériens ou maritimes spécialement adaptés à cet effet». Dans le cadre de leur participation à l Aide Médicale Urgente, les ambulanciers privés sont chargés d assurer, dans des délais estimés par le médecin régulateur comme étant compatibles avec l état du patient, la prise en charge et le transport des patients vers les établissements de santé conformément à la décision du médecin régulateur et au libre choix du patient. 25

26 C. La garde ambulancière Le Décret n du 23 juillet 2003 relatif à l'organisation de la garde départementale assurant la permanence du transport sanitaire et modifiant le Décret n du 30 novembre 1987 relatif à l'agrément des transports sanitaires terrestres (11) stipule : «Afin de garantir la continuité de prise en charge des patients pendant les périodes définies par arrêté du ministre chargé de la santé, une garde des transports sanitaires est assurée sur l'ensemble du territoire départemental». La garde ambulancière est ainsi rendue légalement obligatoire. Toutes les entreprises doivent y participer ; toutefois la fréquence de leur participation est liée à leurs moyens opérationnels. Ceux-ci sont appréciés selon la taille de l'entreprise, le nombre de salariés «roulants» équivalents temps plein et du nombre de véhicules de catégorie A ou C. Pendant la garde, toutes les demandes de transports sanitaires urgents sont impérativement adressées au SAMU-Centre 15. En effet, cette centralisation permet au médecin régulateur d'établir une priorité dans la prise en charge des transports, en fonction de l'état de santé du patient. Le médecin régulateur fixe le délai de départ des moyens ambulanciers à l'entreprise. Pendant la garde, l'entreprise de garde s'engage à réserver un ou plusieurs véhicules et leurs équipages aux demandes de transports urgents adressées par le SAMU. Elle doit tenir informé le Centre de Réception et de Régulation des Appels médicaux du SAMU de leur départ en mission et de l'achèvement de celle-ci. 26

27 La garde s'effectue les samedis, dimanches et jours fériés de 8 heures à 8 heures le lendemain matin, et les autres jours de la semaine de 20 heures à 8 heures le lendemain matin (12). Dans la mesure du possible et afin d'assurer des délais d'intervention identiques dans l'ensemble du secteur, il est recommandé de localiser la garde dans un local situé le plus au centre du secteur. Cette localisation dans un lieu unique doit permettre aux équipages de garde d'être constamment prêts à intervenir, et donc de garantir au SAMU une intervention immédiate (13). D. De la mission du SAMU à la situation de carence Le médecin régulateur est chargé d évaluer la gravité de la situation et de mobiliser l ensemble des ressources disponibles (médecins généralistes, SMUR, ambulances) et, si besoin, de solliciter auprès du SDIS ses moyens, en vue d apporter la réponse la plus appropriée à l état du patient et de veiller à ce que les soins nécessaires lui soient effectivement délivrés. A cet effet, le médecin régulateur coordonne l ensemble des moyens mis en œuvre dans le cadre de l Aide Médicale Urgente. Il vérifie que les moyens arrivent effectivement dans les délais nécessités par l état de la personne concernée et assure le suivi des interventions. La détermination par le médecin régulateur de la réponse la mieux adaptée se fonde sur trois critères : - L estimation du degré de gravité avérée ou potentielle de l atteinte à la personne concernée ; - L appréciation du contexte ; - L état et les délais d intervention des ressources disponibles. 27

28 La régulation médicale supervise le suivi des différentes phases de la prise en charge de la personne concernée. En dehors des évacuations et des transports effectués en tant que prestataires des Services Mobiles d Urgence et de Réanimation, les sapeurs pompiers n ont pas pour mission de réaliser des transports sanitaires. Ces derniers n interviennent pour réaliser des transports sanitaires non médicalisés qu exceptionnellement, en cas d indisponibilité des ambulanciers privés et à la demande du SAMU. La carence est avérée quand les ambulanciers sont dans l impossibilité de répondre à la demande de transports sanitaires faite par le Centre 15, faute de moyens matériels ou humains mobilisables dans des délais compatibles avec l état de santé du patient. L indisponibilité des ambulanciers privés doit nécessairement être constatée au préalable par le médecin régulateur du Centre 15. La régulation médicale du Centre de Réception et de Régulation des Appels est en effet un préalable indispensable à tout envoi de moyens de transports sanitaires d urgence. E. Le financement des situations de carence et sa définition L Article 124 de la Loi du 27 février 2002 (14) complète l Article L du Code Général des Collectivités Territoriales de la manière suivante : «Les interventions effectuées par les services d incendie et de secours à la demande de la régulation médicale du Centre 15, lorsque celle-ci constate le défaut de disponibilité des transporteurs sanitaires privés, et qui ne relèvent 28

29 pas de l Article L , font l objet d une prise en charge financière par les établissements de santé, sièges des Services d Aide Médicale Urgente». «Les conditions de cette prise en charge sont fixées par une convention entre le service départemental d'incendie et de secours et l'hôpital, siège du Service d'aide Médicale Urgente, selon des modalités fixées par arrêté conjoint du ministre de l'intérieur et du ministre chargé de la sécurité sociale». Le constat du nombre d interventions effectuées par le SDIS pour carence doit être dressé contradictoirement et partagé par les deux parties. Il doit également faire l objet d une communication suivie d une discussion en sous-comité des transports sanitaires du Comité Départemental de l Aide Médicale Urgente, de la Permanence des soins et des transports Sanitaires en présence de l Agence Régionale de l Hospitalisation. Le coût forfaitaire par intervention est fixé à 90 euros pour 2005 (15). Il est révisable tous les ans par arrêté conjoint des ministères de la santé et de l intérieur. Au titre des modalités relatives à la facturation des missions réalisées par le SDIS, la définition de la carence est la suivante : «Toute mission devant être effectuée par les structures privées et effectuée par le SDIS constitue une carence, autorisant un dédommagement du SDIS par l hôpital siège du SAMU». Sur la voie publique, aucune carence ne peut être envisagée. Elle ne peut être envisagée que lors des missions réalisées hors voie publique et hors «prompt secours». Constituent une carence, toutes les interventions réalisées par le SDIS et incombant en première intention aux ambulances privées, les interventions réalisées par le SDIS pour transport vers une structure d accueil psychiatrique, 29

30 les interventions dans les locaux des forces de l ordre, milieu carcéral, structure médicale. La carence regroupe deux types de situations pour lesquelles les moyens SDIS sont engagés : - D une part la carence «avérée», lorsque le SAMU constate une indisponibilité des ambulanciers privés ; - D autre part la carence par «choix du régulateur», regroupant les indisponibilités techniques de réponse des ambulanciers privés (délai, problème de matériel) et l ensemble des interventions effectuées par le SDIS de la compétence des ambulances privées. 30

31 3. Réglementation relative aux véhicules affectés aux transports sanitaires terrestres La Loi du 6 janvier 1986 et ses Décrets d application ont donné un cadre juridique nouveau aux transports sanitaires. Ces dispositions ne se limitent pas aux véhicules mais concernent également le personnel et le local. Il existe quatre catégories de véhicules sanitaires qui peuvent se répartir en deux sous-groupes : les véhicules dits «médicalisés» (Catégorie A, B et C) et les véhicules dits «non médicalisés» (Catégorie D). Chaque catégorie dispose de son propre dispositif de caractéristiques techniques et le matériel obligatoire à bord (16,17). A. Les catégories de véhicules 1. Les véhicules médicalisés La catégorie A est constituée par les véhicules ambulances appartenant au SAMU-SMUR et par les véhicules catégorisés Ambulances de Secours et de Soins d Urgence (ASSU) des entreprises de transports sanitaires. Affectées uniquement à l Aide Médicale Urgente, les ASSU doivent assurer le transport en position allongée et l installation du patient de manière à ce que l équipage puisse effectuer si besoin des soins d urgence. La catégorie B correspond aux Véhicules de Secours aux Asphyxiés et aux Blessés (VSAB) et aux Véhicules de Secours et d'assistance aux Victimes (VSAV) des sapeurs-pompiers. Ces personnels et véhicules relèvent du ministère de l Intérieur qui fixe par arrêté les normes minimales relatives à 31

32 cette catégorie (18). La cellule est équipée de un ou deux brancards. Le brancard principal repose, par l intermédiaire de glissières, sur un bâti qui doit pouvoir être facilement déplacé latéralement même en charge, pour réaliser la zone de soins, y compris quand la cellule est dotée d un deuxième brancard et que celui-ci n est pas utilisé. La catégorie C, «les ambulances», est réservée au transport sanitaire d un patient unique. Les transports simultanés ne sont autorisés que pour une mère et son nouveau-né, ou pour les nouveau-nés d une même fratrie. Outre l impossibilité pour ces véhicules de participer à l Aide Médicale Urgente, les différences les plus prégnantes par rapport aux véhicules de catégorie A se situent au niveau de la cellule sanitaire du véhicule. Les ASSU, catégorie A, doivent disposer d une cellule suffisamment vaste pour qu un adulte puisse se tenir debout. Il doit être possible de circuler des deux côtés du brancard et à la tête du patient afin de permettre la pratique des gestes de réanimation respiratoire. Quant à la cellule sanitaire des ambulances, catégorie C, celle-ci doit être suffisamment vaste pour qu un accompagnateur, dont le siège est prévu, puisse se tenir assis à côté du patient de façon à assurer sa surveillance durant le transport. Donc ces deux véhicules se distinguent par la possibilité pour l un d effectuer des soins et pour l autre d accomplir une fonction de surveillance du transporté. 32

33 2. Les véhicules non médicalisés Il n existe qu une seule catégorie de véhicules non médicalisés : les Véhicules Sanitaires Légers (Catégorie D). Les VSL sont exclusivement réservés aux transports sanitaires de malades en position assise au nombre maximal de trois. B. La réglementation relative à chaque catégorie de véhicules 1. Aspect extérieur des véhicules affectés aux transports sanitaires a) Catégories A, C et D Le signe caractérisant les transports sanitaires agréés est représenté par une croix régulière à 6 branches, l'une étant placée dans la position verticale s inscrivant dans un cercle théorique de 0.2 mètre de rayon minimum, et de 0.25 mètre maximum avec comme largeur la moitié de la longueur. La couleur de cet insigne est bleue. Les véhicules doivent être impérativement de couleur blanche. Des mentions obligatoires sont également prévues par la réglementation concernant le lettrage apposé sur les véhicules (nom commercial, adresse et téléphone ). Les mentions obligatoires doivent en principe figurer trois fois, mais le nom commercial peut figurer en moindre nombre. Des mentions complémentaires sont tolérées mais limitées à l activité du transporteur. Les caractères doivent être inférieurs à la dimension des mentions obligatoires. Ces mentions complémentaires sont maximum au nombre de deux. 33

34 b) Catégorie B Le V.S.A.V. doit être extérieurement de couleur rouge incendie selon la norme NF X , à l exception des pare-chocs et du pavillon qui doivent être de couleur blanche. Le véhicule doit porter les indications suivantes : Sur les faces latérales au niveau de la ceinture et au centre du panneau la mention : «véhicule DE SECOURS ET D ASSISTANCE AUX VICTIMES» en lettres bâton blanches, majuscules de 80 mm de hauteur minimum. Au dessus de cette mention, et au niveau des vitres latérales, le logo «18». Une signalisation complémentaire conforme aux prescriptions définies en annexe de la Notice d information Technique n 330 (18). 2. Le matériel embarqué a) Catégories A, C et D Il existe un matériel commun aux ASSU et aux ambulances. Chacun des véhicules est doté : - d un dispositif mobile d oxygénothérapie homologué, comprenant au moins deux bouteilles d oxygène d un mètre cube normobare chacune, portables, dont l une au moins, aisément accessible, munie d un débitmètre gradué en litres d oxygène par minute, faisant corps avec un manodétendeur ; - d un insufflateur manuel homologué pouvant être utilisé en cas d urgence ; - d un dispositif mobile d aspiration de mucosités homologué. En outre, les véhicules de catégorie A doivent comporter plusieurs dispositifs porte perfusions, un lavabo et son réservoir d alimentation en eau, un pré équipement électrique permettant le fonctionnement des appareils nécessaires 34

35 aux soins de réanimation et un pré-équipement pour le matériel de radiocommunication. Quant aux ambulances, un seul dispositif permettant de recevoir un flacon de perfusion de 0.5 litre est requis. Le nécessaire de secourisme d urgence est commun aux trois catégories de véhicules étudiées sauf pour le matériel d immobilisation qui n est pas obligatoire pour les VSL. Ce nécessaire se décompose en trois catégories de matériel : - les pansements et protections : pansements, compresses, draps et champs stériles, gants, solution antiseptique, Clamp de Barr, couverture isotherme. Tous ces éléments sont repris dans l Annexe I de l'arrêté du 20/03/90 modifié par l'arrêté du 7 février 2005 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations affectés aux transports sanitaires terrestres ; il précise également leur quantité et leur type (15,16). - Le matériel d immobilisation comprend des attelles pour membres inférieurs et supérieurs et des colliers cervicaux antiflexion de trois tailles différentes. - La troisième catégorie de matériel est qualifiée de divers. On y trouve une paire de ciseaux universels bout mousse, une pince à écharde, une canule oropharyngée, une canule de bouche à bouche, un rasoir de sûreté, du sucre en morceaux, un stylo et un carnet, des sacs poubelle de 10 litres, un bassin et un urinal. b) Catégorie B Il se compose du matériel des différentes catégories suivantes : -Oxygénothérapie : d un volume minimum de 4000 litres d oxygène dont au minimum 2000 litres en bouteilles portatives d au moins 5 litres ; - Équipement de relevage et de brancardage du patient : Un brancard principal, un portoir de type cuiller, un matelas à dépression, un dispositif de transport d un patient en position assise, un portoir souple ou 35

36 matelas de transfert, un plan dur avec ou sans têtière d immobilisation et brides de sécurité ; - Immobilisation des extrémités et du rachis cervical : Un dispositif de traction des membres inférieurs, un jeu d attelles pour fractures de membres, un lot de colliers cervicaux, un dispositif d immobilisation en extension de la partie haute du rachis ; - Ventilation / Respiration : Deux insufflateurs manuels complets adultes avec masques, deux insufflateurs manuels complets enfants avec masques, un dispositif d aspiration de mucosités électrique avec sondes d aspiration, un dispositif d aspiration de mucosités mécanique avec sondes d aspiration ; - Dispositifs de diagnostic : Un appareil à tension manuel, un oxymètre (en option), un stéthoscope, un thermomètre frontal hypotherme et un normotherme, une lampe diagnostic ; - Circulation : Un dispositif pour permettre l administration de liquide chauffé (en option), un dispositif pour perfusion sous pression portable (en option), deux supports à soluté ; - Dispositifs de réanimation : Un moyen de défibrillation, soit un défibrillateur automatique externe ou moniteur défibrillateur ; - Bandage et matériel d hygiène : Deux draps, deux couvertures bactériostatiques, un lot de matériel pour le traitement des plaies, un lot de matériel pour le traitement des brûlures thermiques et chimiques, un récipient pour réimplantation permettant de maintenir la température intérieure à pendant 2 heures, un haricot, un sac à vomissements, un bassin, un urinal (non en verre), deux couvertures de survie, deux draps de survie (usage unique), une boite avec au moins une 36

37 centaine de gants en latex non stériles et de tailles différentes, ces matériels pouvant être doublés en vue d être conditionnés dans un dispositif portable ; - Matériel de protection et de sauvetage : Un matériel de nettoyage et de désinfection immédiate des personnels et du matériel, un coupe ceinture de sécurité, deux triangles de pré-signalisation, trois projecteurs, un extincteur, un lot de sauvetage (en option) et un détecteur de monoxyde de carbone. C. L équipage Le Décret du 30 novembre 1987 relatif à l agrément des transports sanitaires terrestres mentionne les personnes composant les équipages des véhicules spécialement adaptés au transports sanitaires terrestres (19). 1. Les catégories de personnels Les catégories de personnels sont définies par l Article R du Code de la Santé Publique relatif aux transports sanitaires. Il existe quatre catégories de personnels : a) Le conducteur ambulancier de catégorie 4 Il doit être titulaire du permis de conduire B depuis plus de deux ans, validé pour la conduite ambulance. L aptitude physique est validée par un examen médical auprès d un médecin agréé. Une attestation est alors délivrée par le Préfet : attestation dite «R.127» en référence à l ancien article du Code de la Route qui conditionnait son obtention suite à l accord d une commission médicale. Cet article est aujourd hui remplacé par les Articles R et R du Code de la Route. Le conducteur doit également être vacciné contre la tuberculose, le tétanos, la diphtérie, la poliomyélite, l hépatite B et être à jour de ses rappels. 37

38 Le conducteur ambulancier est le second membre de l équipage de l ambulance. b) Le conducteur ambulancier de catégorie 3 En plus des conditions liées au permis de conduire et à la vaccination, il doit être titulaire du Brevet National de Secourisme (BNS), ou du Brevet National des Premiers Secours (BNPS), ou de l Attestation de Formation aux Premiers Secours (AFPS) ou de la carte d auxiliaire sanitaire (médecins, sages-femmes, chirurgiens dentistes et infirmiers). La personne de catégorie 3 peut conduire les VSL ou être le second membre de l équipage d une ambulance. c) La catégorie 1 Cette catégorie correspond au titulaire du Diplôme d Ambulancier (ancien Certificat de Capacité d Ambulancier). Il est obligatoirement présent dans l équipage de l ambulance. Il peut conduire un VSL. Les titulaires sont soumis aux mêmes conditions de permis de conduire et de vaccination que les autres catégories. Le diplôme d ambulancier est délivré par le directeur régional des affaires sanitaires et sociales aux candidats déclarés admis par un jury nommé par le préfet de région, sur proposition du directeur régional des affaires sanitaires et sociales. L ensemble de la formation comprend 18 semaines, soit 630 heures d enseignement théorique et clinique en institut de formation et en stage, réparties comme suit (20) : - Enseignement en institut de formation : 13 semaines, soit 455 heures ; - Enseignement en stage clinique et en stage en entreprise : 5 semaines, soit 175 heures. La participation à l ensemble des enseignements est obligatoire. L enseignement en institut de formation comprend des cours, des travaux 38

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