Présentateurs : Sandra Boivin B.Sc. inf., DESS-PCI. Nadine Sicard médecin- conseil. 21 novembre décembre 2013
|
|
- Melanie Juneau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Présentateurs : Sandra Boivin B.Sc. inf., DESS-PCI Nadine Sicard médecin- conseil 21 novembre décembre
2 Objectifs d apprentissage Connaître le contenu des articles de la réglementation qui adresse les responsabilités des exploitants au regard de la prévention et du contrôle des infections Connaître les rôles et responsabilités des différents partenaires impliqués dans la gestion de la prévention des infections dans les Résidences privées pour aînés (RPA) : exploitants, CSSS, agences et DSP 2
3 Objectifs d apprentissage Être en mesure d utiliser le Guide de prévention des infections dans les résidences privées pour aînés comme référence de base en PCI être en mesure d identifier les pratiques de base à utiliser dans les RPA être en mesure d identifier les précautions additionnelles à appliquer lors d éclosions des infections les plus fréquemment rencontrées dans les RPA notamment la grippe et les gastro-entérites Intégrer une préoccupation de surveillance d éclosions de maladies infectieuses dans le soutien à domicile dispensé par les CSSS 3
4 Plan de la présentation Présentation des rôles et des responsabilités Présentation des différents chapitres du guide et de leurs contenus Application de certaines mesures en présence d éclosions 4
5 Chapitre 1 Rôles et responsabilités 5
6 Réglementation sur la certification des RPA Volonté sociale et politique d améliorer la qualité des services et la sécurité des résidents Changements très importants, qui visent principalement des secteurs autres que la PCI Dossier porté principalement par les services sociaux, les responsables de la certification et les exploitants 6
7 Étapes de l adoption du règlement 30 novembre 2011 : la «Loi modifiant diverses dispositions législatives en matière de santé et de services sociaux» est sanctionnée Les articles 7 à 10, 21 et 23 de cette loi modifient les pouvoirs réglementaires du gouvernement concernant les RPA prévus à la LSSSS 13 mars 2013 : entrée en vigueur du «Règlement sur les conditions d obtention d un certificat de conformité et les normes d exploitation d une résidence privée pour aînés» 7
8 Aspects touchés par le nouveau règlement Catégories de RPA Qualités d une personne qui demande une attestation temporaire de conformité Critères sociosanitaires auxquels doit se conformer l exploitant pour être titulaire d un certificat de conformité Normes et conditions auxquelles doivent satisfaire les membres du personnel et les bénévoles : Formation requise Conditions de sécurité Antécédents judiciaires Certains articles du règlement ne s appliquent pas aux RPA qui accueillent moins de 6 personnes ou qui ont moins de 10 chambres. Le règlement ne s applique pas aux RPA de moins de 6 personnes liées 8
9 Aspects du nouveau règlement en lien avec la santé publique Critères sociosanitaires, applicables à toute résidence Article 17 : procédures en cas de danger pour la vie et l intégrité, décès, absence inexpliquée et chaleur accablante Article 18 : Guide de PCI Article 19 : l exploitant doit s assurer que les membres du personnel attestent par écrit avoir pris connaissance des procédures et du guide 9
10 Compétences en PCI pour les préposés Article 23 : Tous les préposés en RPA devront maîtriser un certain nombre de compétences un an après la date d entrée en fonction dont : ( ) savoir appliquer les pratiques de base pour prévenir les infections et la contamination Plusieurs modalités seront disponibles : Formation dans une commission scolaire Formation en cours d emploi (FORMAREZ) Bilan des acquis (équivalences) Entrée en vigueur de l article 23 : 1 er novembre
11 Normes d exploitation Applicables à toute résidence : Article 39 : L exploitant d une RPA doit conclure avec l instance locale du territoire ( ) une entente établissant les modalités de dispensation des services de santé et des services sociaux Article 41 : L exploitant d une RPA doit permettre aux résidents de recevoir en tout temps des visiteurs 11
12 Guide de prévention des infections et réglementation Article 18 : L exploitant doit faire connaître aux membres de son personnel le «Guide de prévention des infections dans les résidences privées pour aînés» publié par la Direction générale de la santé publique du ministère de la Santé et des Services sociaux Article 19 : L exploitant doit s assurer que les membres du personnel attestent par écrit avoir pris connaissance des procédures et guide visés respectivement aux articles 17 et 18 12
13 Rôles et responsabilités de l ASSS, de la DSP et des CSSS Doivent être établis régionalement en fonction de l organisation des services et des mandats respectifs Au niveau provincial, on ne prévoit pas établir de modèles ou de directives en ce qui a trait aux rôles et responsabilités (outre les cadres législatifs et organisationnels existants) 13
14 Chapitre 2 Notions de base en maladies infectieuses 14
15 Chapitre 2 Principaux symptômes Différence entre colonisé et infecté Chaîne de l infection Transmission des micro-organismes Évaluation des facteurs de risque Caractéristiques personnelles Caractéristiques du micro-organisme Caractéristiques liées à l environnement Caractéristiques individuelles 15
16 Principaux symptômes Fièvre et frissons Changement de comportements 16
17 Colonisé et infecté Lorsqu un agent infectieux n entraine pas de symptôme, on dit que la personne est colonisée ex. : un porteur SARM Lorsqu il y a des signes et symptômes, on dit que la personne est infectée ex. : gastro-entérite, pneumonie 17
18 Chaîne de transmission des infections PRESENCE D UN MICRO-ORGANISME Bactérie, virus, parasite, champignons TRANSMISSION DU MICRO-ORGANISME Par contact avec une personne ou l environnement contaminé. Par gouttelettes (toux et éternuement). Par les voies aériennes. Par un véhicule commun (aliment). HOTE (PERSONNE RECEPTIVE) Toute personne à risque de contracter une infection. 18
19 Transmission des micro-organismes Transmission par contact Contact direct : peau à peau Contact indirect : via des objets Transmission par gouttelettes Qui viennent en contact avec une muqueuse Voyagent sur une distance d environ 2 mètres Transmission aérienne Microgouttelettes Restent en suspension dans l air 19
20 Évaluation des facteurs de risque de maladies infectieuses Caractéristiques personnelles pouvant augmenter le risque de transmission Incontinence ou selles non contenues Diarrhée Écoulement nasal, toux, expectorations, etc. Caractéristiques du micro-organisme qui augmentent le risque de transmission d une infection Capacité de survivre dans l environnement (C. difficile) Son pouvoir infectieux, sa virulence 20
21 Évaluation des facteurs de risque de maladies infectieuses Caractéristiques liées à l environnement qui augmentent le risque de transmission Matériel de soins partagé et non désinfecté Chambres et toilettes partagées Nombre de résidents Caractéristiques individuelles qui augmentent le risque d acquisition d une infection Âge Présence de plaies, de cathéters : IV, urinaire Certaines maladies graves ou un système immunitaire affaibli 21
22 Chapitre 3 Pratiques de base 22
23 Pratiques de base Hygiène des mains Hygiène et étiquette respiratoire Port de l équipement de protection Manipulation sécuritaire du linge souillé et des déchets Nettoyage et désinfection du matériel de soins et de l environnement Manipulation sécuritaire des objets piquants tranchants 23
24 Hygiène des mains Deux méthodes : Eau et savon Si mains visiblement souillées En présence de diarrhée associée au C. difficile Lors de gastro-entérite d allure virale Solution hydro-alcoolique (SHA) Méthode rapide et efficace à privilégier le reste du temps 24
25 Hygiène et étiquette respiratoire Hygiène respiratoire Se couvrir la bouche et le nez avec un mouchoir Jeter le mouchoir Tousser ou éternuer dans le pli du coude Hygiène des mains Étiquette respiratoire En présence de fièvre ET de toux Port du masque lors de visite dans un établissement de santé 25
26 Équipement de protection Blouse à manches longues Masque de protection Protection oculaire Gants 26
27 Manipulation sécuritaire du linge souillé et des déchets Ne pas déposer la literie souillée sur les surfaces Ne pas déposer de culotte d incontinence souillée sur les surfaces Mettre les déchets dans les endroits prévus à cet effet 27
28 Nettoyage et désinfection du matériel de soins et de l environnement Eau de javel Bon désinfectant domestique Peu couteux Facile d utilisation 28
29 Appareils, équipements et matériels de soins Doivent être nettoyés et désinfectés entre chaque utilisation ex. : le glucomètre 29
30 Manipulation sécuritaire des objets piquants tranchants Bacs jaunes Bien connaître le processus de récupération Respecter le niveau de remplissage Intervention rapide lors d accident Appliquer les premiers soins 30
31 Produits et articles de soins d hygiène personnelle Ne doivent pas être partagés! 31
32 Manipulation des aliments Les manipulateurs d aliments qui présentent des signes et symptômes d infection entérique doivent être retirés de cette tâche ex. : gastro-entérite, retrait jusqu à 48h après la fin des symptômes 32
33 Chapitre 4 Maladies infectieuses fréquemment observées 33
34 Éclosions de maladies infectieuses Éclosion = deux cas ou plus qui ont un lien entre eux OU un nombre de cas qui est supérieur à ce qui est normalement attendu Éclosion = mise en place de mesures pour contrôler la situation 34
35 Éclosions de maladies infectieuses Signalement des situations exceptionnelles (ou hors de contrôle) à la direction de santé publique de votre région selon les modalités établies par le CSSS et la DSP exemples de situations à déclarer: taux d attaque, morbidité, mortalité Dans le cadre de la loi sur la santé publique, art. 94, les directeurs d établissements qui constituent des milieux de travail ou des milieux de soins. peuvent signaler aux directeurs de santé publique les situations ou ils ont des motifs de croire qu il existe une menace à la santé des personnes un professionnel de la santé peut aussi signaler une telle situation. 35
36 Diarrhée associée au Clostridium difficile Évaluation des causes de la diarrhée Prise d ATB Hospitalisation récente Laxatif Autres médications Diète Hygiène des mains avec eau et savon Hygiène et salubrité avec de l eau de javel Salle de bain, toilette, etc. 36
37 Diarrhée Toilette= résident avec la diarrhée Chaise d aisance = résident sans diarrhée 37
38 SARM/ERV Pratiques de base Hygiène des mains Hygiène respiratoire 38
39 Gale Diagnostic médical pour confirmer Précautions contact en attendant d avoir le diagnostic Respecter les consignes d application pour le traitement Passer la balayeuse sur tous les meubles en tissus autant dans la chambre du résident que dans les aires communes Laver l environnement avec de l eau savonneuse Une gale norvégienne (croutée) : gale commune aggravée 39
40 Gastro-entérite (d allure virale) Évaluation de la diarrhée Prise d ATB Hospitalisation récente Laxatif Autres médications Diète Précautions contact jusqu à 48h après la fin des symptômes Retrait des manipulateurs d aliments symptomatiques jusqu à 48h après la fin des symptômes Attention personnel d agence de placement 40
41 Grippe Hygiène et étiquette respiratoire Précautions gouttelettes et contact Mettre en place les mesures rapidement Signaler à la DSP selon les critères et modalités établies (ex. taux d attaque, morbidité, mortalité) Une éclosion se termine 10 jours après le début des symptômes du dernier cas 41
42 Punaises de lit Ce n est pas une maladie infectieuse c est une nuisance Si présence de punaises de lit contacter un exterminateur certifié Site web : ndex.php?hygiene_et_salubrite 42
43 Zona Réactivation de la varicelle Pratiques de base S assurer de couvrir les plaies 43
44 Annexes Travaux de construction et de rénovation Qualité de l air intérieur Entreposage et manipulation des aliments Entretien des humidificateurs portatifs et refroidisseurs d eau Affiches sur les précautions additionnelles Techniques d hygiène des mains Port du masque de protection et hygiène respiratoire Liste d activités nécessitant des gants 44
45 Merci à Mme Marie-Josée Boulianne, responsable du groupe de travail Aux membres du groupe de travail M Daniel Bolduc pour avoir partagé son canevas de présentation 45
46 Questions? 46
Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailPROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES
PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES Janvier 2009 TABLE DES MATIÈRES Page Préambule 3 1. Dotation en personnel 4 1.1 Compétences du personnel 4 1.2 Fonctions
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES
1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailEnsemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola
Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente
Plus en détailCe que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)
Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que
Plus en détailJASP 2010 Québec 24 novembre 2010
Direction de santé publique L'éthique pour guider la réflexion et influencer l'élaboration des politiques publiques favorables à la santé: le cas des logements insalubres à Montréal JASP 2010 Québec 24
Plus en détailRhume ou grippe? Pas d antibiotiques!
Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas
Plus en détailPandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009
Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil
Plus en détailEXPERTISE DU RÉSEAU FADOQ EN MATIÈRE DE RÉSIDENCES POUR AÎNÉS... 2
TABLES DES MATIÈRES EXPERTISE DU RÉSEAU FADOQ EN MATIÈRE DE RÉSIDENCES POUR AÎNÉS... 2 1. LA DÉFINITION D UNE RÉSIDENCE POUR PERSONNES ÂGÉES ET LES DISPOSITIONS AU BAIL.... 4 A) "PERSONNES DE 65 ANS ET
Plus en détailVotre bébé a besoin de soins spéciaux
Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailMesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement
MESURES DE PRÉVENTION POUR LES ÉTABLISSEMENTS OFFRANT DE L HÉBERGEMENT Les travailleurs œuvrant dans les établissements de santé ou communautaire offrant de l hébergement sont susceptibles d être confrontés
Plus en détailCOLLABORATEURS CLINIQUES
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE QUÉBEC CONCEPTION Véronique Roberge, Infirmière clinicienne COLLABORATEURS CLINIQUES Céline Bergeron, Infirmière clinicienne spécialisée Sylvie Côté, Assistante infirmière
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.
Plus en détail1.2.1 Enlever et disposer, en tant que déchets de fientes de pigeon, tous les matériaux et les débris des surfaces situées dans la zone des travaux.
TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON TABLE DES MATIÈRES PAGE TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON... 1 1 GÉNÉRALITÉS... 1 1.1 CONDITIONS GÉNÉRALES ET TRAVAUX CONNEXES... 1 1.2 DESCRIPTION DES
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires
Marché de service CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES Transports sanitaires - Etablissement contractant : CENTRE HOSPITALIER 858 rue des Drs. Devillers 02120 GUISE 03.23.51.55.55 03.23.51.55.35 Procédure
Plus en détailFICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL
LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailBOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA
BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailLES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE
LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailLes Mesures Additionnelles aux Précautions Standard
Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures
Plus en détailCHAMBRE D AGRICULTURE DE LA SEINE-MARITIME Chemin de la Bretèque BP59 76 232 Bois-Guillaume - Bihorel Cedex NETTOYAGE ET ENTRETIEN DES LOCAUX
CHAMBRE D AGRICULTURE DE LA SEINE-MARITIME Chemin de la Bretèque BP59 76 232 Bois-Guillaume - Bihorel Cedex NETTOYAGE ET ENTRETIEN DES LOCAUX Règlement de consultation Date limite de réception des offres
Plus en détailOSIRIS GRIPPE A H1N1
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE État-major opérationnel OSIRIS OSIRIS INFORMATION ÉTAT-MAJOR OPÉRATIONNEL POLICE Genève, le 13 mai 2009 Rapport mensuel Avis de précaution Message urgent GRIPPE A H1N1 Recommandations
Plus en détailLOI ALUR : Quoi de nouveau dans les copropriétés?
LOI ALUR : Quoi de nouveau dans les copropriétés? La loi du 24 Mars 2014 dite «loi ALUR», publiée au J.O. du 26/03/2014 a apporté quelques modifications notables dans le domaine du droit de la copropriété.
Plus en détailDÉMARRER UNE ENTREPRISE OBLIGATIONS LÉGALES ET PROFESSIONNELLES DE L INFIRMIÈRE AUXILIAIRE
DÉMARRER UNE ENTREPRISE OBLIGATIONS LÉGALES ET PROFESSIONNELLES DE L INFIRMIÈRE AUXILIAIRE Rédaction et révision Georges Ledoux, avocat Diane Levasseur, directrice du Service des relations professionnelles
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe
Plus en détailRapport d hygiène pour le département du service d ambulance
Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent
Plus en détailLes risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013
Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes
Plus en détailPrecor MD EC. CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE Empêche l'émergence des puces adultes à l intérieur des bâtiments
2013-06-24 2012-4592 Carton October 2008 Precor MD EC CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE Empêche l'émergence des puces adultes à l intérieur des bâtiments COMMERCIAL AVERTISSEMENT: IRRITANT POUR LES YEUX ET LA PEAU
Plus en détailProtection du personnel
PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects
Plus en détailRÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE
RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE Directives pour: Economes Cuistots Personnel auxiliaire cuisine Personnel auxiliaire d'entretien par Luk Wullaert Federaal Agentschap voor de Veiligheid van de Voedselketen
Plus en détailLES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015
LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant
Plus en détailPrécautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux
Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et
Plus en détailRestauration d entreprise
A s s o c i a t i o n d e s R e s p o n s a b l e s d e S e r v i c e s G é n é r a u x F a c i l i t i e s M a n a g e r s A s s o c i a t i o n Restauration d entreprise L article R. 4228-19 du Code
Plus en détailLA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION
LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION
Plus en détailSoins d'hygiène corporelle de l'adulte : Aide à la toilette partielle au lavabo et au lit du visage et des mains
Soins Soins d'hygiène corporelle de l'adulte : Aide à la toilette partielle au lavabo et au lit du visage et des mains LP Louis Blériot 2 BAC Pro ASSP Situation professionnelle Situation n 6 Fonction Compétence
Plus en détailMODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :
1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailCOMMUNE DE GRESY-SUR-AIX
COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX Marché public pour la restauration scolaire (du 01/09/2015 au dernier jour précédent la rentrée scolaire 2016, renouvelable une fois) Date et heure limite de réception des offres
Plus en détailCONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES
CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique
Plus en détailMunicipalité de la paroisse de Saint-Lazare
Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA PAROISSE DE SAINT-LAZARE M.R.C. DE VAUDREUIL-SOULANGES RÈGLEMENT NUMÉRO 627 RÈGLEMENT VISANT À INTERDIRE L UTILISATION
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailSTAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE
FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012
Plus en détailMESURES PRÉVENTIVES Pour les travailleurs qui peuvent entrer en contact avec des punaises de lit.
MESURES PRÉVENTIVES Pour les travailleurs qui peuvent entrer en contact avec des punaises de lit. Introduction Au cours de la dernière décennie, il y a eu une augmentation exponentielle du nombre d infestation
Plus en détailPRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES. Plan d action 2010-2015 État d avancement des travaux Bilan et faits saillants
PRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES État d avancement des travaux Bilan et faits saillants Août 2013 Édition : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux
Plus en détailVulcano Pièges Fourmis
FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges
Plus en détailDésinfectez et dites adieu aux microbes et aux infections
Désinfectez et dites adieu aux microbes et aux infections P armi les activités régulières d un service de garde, il y a la désinfection des jouets 1. La technique que vous utilisez est-elle efficace? Les
Plus en détailENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX
ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX Bionettoyage REGARD A., LYON Juillet 2010 Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailgale - Brochure d information -
gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailCONDITIONS GENERALES D ACHAT
CONDITIONS GENERALES D ACHAT Article 1 ACCEPTATION/ ACCUSE DE RECEPTION Sauf accords contraires et écrits entre AIRMETEC et le fournisseur, les présentes conditions s appliquent impérativement, à l exclusion
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailSommaire de la séquence 7
Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,
Plus en détailEntretien des différents locaux
Fiche Pratique Entretien des différents locau Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des contraintes du contete. Cependant,
Plus en détailfientes dans votre lieu de travail? Méfiez-vous!
fientes Des de pigeon dans votre lieu de travail? Méfiez-vous! Des cas de maladies ont déjà été rapportés chez des travailleurs dont les lieux de travail étaient souillés par des fientes de pigeon. Apprenez
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DE JUMIÈGES
RÈGLEMENT INTÉRIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DE JUMIÈGES I - RÈGLES GÉNÉRALES Article 1 - Le restaurant scolaire n a pas un caractère obligatoire, il a pour objet d assurer, dans les meilleures conditions
Plus en détailQuestionnaire de souscription Responsabilité Civile Professionnelle A2D ASSURANCES Beauté - Esthétique
Vous:Le souscripteur/l'assuré: Questionnaire de souscription Responsabilité Civile Professionnelle A2D ASSURANCES Beauté - Esthétique Personne physique Nom : Prénom : Statut : Libéral Salarié Personne
Plus en détailDES PÈLERINS SE RENDANT À LA MECQUE
DES PÈLERINS SE RENDANT À LA MECQUE Pour accomplir votre pèlerinage, vous devez acheter votre voyage auprès d un opérateur immatriculé au registre des opérateurs de voyages et de séjours tenu par Atout
Plus en détailFORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE
FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la
Plus en détailAssurance de soins de longue durée
Assurance de soins de longue durée Feuille de renseignements à l intention du conseiller ne pas remettre au demandeur Ce que vous devez faire avant de remettre un formulaire de demande de règlement au
Plus en détailPrévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME
Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Équipe: Dr Elise Seringe elise.seringe@sap.aphp.fr Ivana Novakova ivana.novakova@sap.aphp.fr 01 40 27 42 53 arlin.idf@sap.aphp.fr C CLINs de FRANCE
Plus en détailPUNAISES DE LIT. prévention et intervention
PUNAISES DE LIT prévention et intervention À quoi ressemble la punaise de lit? La punaise de lit, aussi appelée punaise, est un insecte brunâtre visible à l œil nu qui mesure de 4 à 7 millimètres. Elle
Plus en détailRapport de mission - Urgence Afrique Niou Burkina Faso
Rapport de mission - Urgence Afrique Niou Burkina Faso Catherine, 48 ans, infirmière, 2 ème mission avec Urgence Afrique. Programme et Objectifs de la mission Prévu Au départ : Mission santé au Centre
Plus en détailCOMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE
COMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE Le présent règlement définit les relations entre les enfants, les accompagnateurs et le personnel du restaurant scolaire. Il a pour finalité de
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailPour la création d une maison d assistants maternels
CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Mars 2011 CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Le Code de l Action Sociale et des Familles
Plus en détailGUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES. Agissons contre l herpès
GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES Agissons contre l herpès L Herpès : une maladie très répandue En France, on estime qu environ 10 millions de personnes sont porteuses du virus de l herpès à
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ
Conforme au règlement (CE) n 1907/2006 (REACH), Annexe II France 1. FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ BOSTIK COLLE CARRELAGE MURS ET PLANS DE TRAVAIL INTERIEUR IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailPaquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires
Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Applicable au 1 er janvier 2006 Objectif : Etablit les règles générales en matière d hygiène, est directement applicable
Plus en détailFICHE DE DONNEE SECURITE
Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit
Plus en détailVotre installation septique l essentiel à savoir!
Votre installation septique l essentiel à savoir! Saviez-vous que... les eaux usées des résidences non raccordées à un réseau d égout doivent être évacuées et traitées par une instal lation septique aussi
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailCertification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique
Ministère de la Santé et des Services sociaux Direction générale des services sociaux, Direction des dépendances et de l itinérance Certification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailGUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX 3.08
ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX 3.08 Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des contraintes du contete. Cependant,
Plus en détailCentre SSR - EHPAD La Chimotaie B.P. 10014 85613 CUGAND Montaigu Cedex
Centre SSR - EHPAD 85613 CUGAND Montaigu Cedex SSR (orientation en rééducationréadaptation) SSR (orientation en cancérologie et soins palliatifs) SSR polyvalents Secrét. Médical : 02.51.45.68.23 Secrét.
Plus en détailHygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail
GUIDE PRATIQUE Guide des bonnes pratiques pour les restaurateurs Hygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail Restaurateurs Quelles Restaurateurs sont vos obligations? Quelles sont
Plus en détailREGLEMENT DE FONCTIONNEMENT Maison d Assistantes Maternelles Bout choux
REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT Maison d Assistantes Maternelles Bout choux Za coutelouche 22650 Ploubalay Tel : 02/96/27/24/55 Les assistantes maternelles s engagent à veiller au bien être des enfants, à
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G
KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE Impasse Manificat ECOLE MATERNELLE ET ELEMENTAIRE ALICE SALANON ECOLE PRIMAIRE SAINTE ANNE
REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE Impasse Manificat ECOLE MATERNELLE ET ELEMENTAIRE ALICE SALANON ECOLE PRIMAIRE SAINTE ANNE Approuvé par délibération du Conseil Municipal du 29 juin 2015 Chaque
Plus en détail