Exercices d application

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Exercices d application"

Transcription

1 Exercices d application 5 minutes chrono! 1. Mots manquants a. mécaniques (et non «électromagnétiques» : cette erreur est corrigée dans le manuel élève) b. logarithme c. spatiaux d. ultraviolets e. énergies ; accélérateurs de particules 2. QCM a. Ondes radio. b. Ultraviolet c. N a pas d unité. La magnitude fait intervenir un rapport entre énergies ou entre amplitudes. d. Augmente d une unité si l énergie libérée au foyer est multipliée environ par 30. La valeur exacte est e. Flux de particules. On fait une distinction entre les rayonnements électromagnétiques et les particules qui arrivent de l espace. f. Infrarouge. Le rayonnement thermique émis par les objets froids a son maximum dans l infrarouge. g. Arrêté par l atmosphère. En l absence d atmosphère (et en particulier de la couche d ozone), toute vie serait rendue impossible par les rayonnements ultraviolets de courtes longueurs d onde. h. Le point de la surface terrestre à la verticale du foyer. Ne pas faire la confusion entre foyer et épicentre. D autre part, on parle de dégâts pour les réalisations humaines. Ils dépendent de l occupation du sol ainsi que de sa structure : les dégâts ne sont pas les plus importants à l épicentre. Compétences exigibles 3. a. Les planètes et les astéroïdes ; les poussières interstellaires. b. Le Soleil ; les étoiles chaudes. c. Le rayonnement fossile de l Univers ; les radiosources lointaines (il s agit probablement d ondes émises par des particules chargées fortement accélérées, par la présence d un trou noir par exemple) ; l hydrogène interstellaire émet une onde radio de fréquence caractéristique. 4. Sources naturelles : rayonnement cosmique ; on peut aussi citer les particules α et β produites par la radioactivité. Sources artificielles : accélérateurs de particules. 5. De la bouche à l émetteur : onde sonore. De l émetteur au récepteur (via les antennes) : onde radio. Du récepteur à l oreille du correspondant : onde sonore. Nathan / 15

2 6. Léo sera «traversé» par les ondes électromagnétiques provenant d émetteurs de stations de radio et de télévision, de satellites GPS et de télécommunications ainsi que par des particules issues du rayonnement cosmique et de la radioactivité naturelle. 7. a. Récepteur radio ; tous les appareils de communication sans fil (téléphone sans fil ou téléphone portable) ; appareils fonctionnant en wi-fi ; appareils télécommandés (jouets, systèmes de fermetures à distance) ; etc. b. Appareil photo : barrière optique (porte d ascenseur) ; déclenchement automatique des feux de croisement ; etc. c. Capteur de signal de télécommande d un téléviseur ; détecteur d alarme antivol ; etc. 8. L astronomie spatiale permet de capter des ondes qui sont arrêtées par l atmosphère comme les infrarouges et les ultraviolets. On peut donc détecter et étudier des objets ou des phénomènes qui ne sont pas observables en astronomie terrestre : nuages de poussières et étoiles qui y sont dissimulées, étoiles très chaudes ou très froides non observables en lumière visible mais observables respectivement en ultraviolet et en infrarouge. Le professeur pourra aussi évoquer d autres rayonnements (X et gamma) produits par les phénomènes les plus violents de l Univers tels que ceux provoqués par la présence d un trou noir supermassif ou la formation d une hypernova. Compétences générales 9. a. Faire la somme des produits nf et diviser par le nombre de comptages, soit 100. Résultat : 14,3. b. C est la valeur la plus fiable pour décrire les résultats des mesures. 10. a. La magnitude est représentée ici sur une échelle linéaire ; l amplitude est représentée sur une échelle logarithmique : la distance entre les graduations est la même pour des valeurs qui sont dans le même rapport. On évitera l erreur de dire que les distances sont portées sur une échelle logarithmique car le critère précédent ne se vérifie pas. b. On trace le segment représenté en rouge sur la figure ci-dessous. On trouve une magnitude de 5,55. c. Pour le même séisme, la magnitude a la même valeur. On trace le segment joignant la graduation 500 km de l échelle des distances avec la graduation 5,55 de l échelle des magnitudes (segment bleu). On trouve une amplitude juste un peu inférieure à 7 mm. Nathan / 15

3 a. M2 M1 log 7, b. 3 ( M2 M1) , a. Un objet coloré absorbe une partie des radiations reçues. La couleur est le résultat de la superposition des radiations réémises. b. Le pigment fluorescent réémet une lumière visible alors qu il reçoit un rayonnement non visible ultraviolet : la longueur d onde de la lumière réémise est supérieure à la longueur d onde du rayonnement excitant cette fluorescence. 13. a. Pour trouver la durée d un créneau, il faut faire la mesure sur plusieurs intervalles consécutifs. Sur le manuel, l échelle donne 1 mm pour 0,33 ms. Un créneau court correspond à 1 (7 0,33) 1,2 ms. 2 Un créneau long correspond à 1 (26 0,33) 2,1 ms. 4 b. Il faut diminuer la durée d acquisition (1,2 ms par exemple) sans changer le nombre de points de mesure. Remarque : le créneau court de 1,2 ms, tel que la tension soit 0,6 V pendant 0,6 ms puis 0 V pendant 0,6 ms, correspond au 0 en binaire. Le créneau long de 2,1 ms, tel que la tension soit 0,6 V pendant 0,6 ms puis 0 V pendant 1,5 ms, correspond au 1 en binaire. Ainsi, le signal du schéma correspond au nombre binaire suivant, en 10 bits : Nathan / 15

4 Exercices de méthode 14. Exercice résolu. 15. b. n c. Nombre de coups attendu : 100 n 1,1 10. d. La moyenne des écarts à la moyenne est nulle. On pourra donner une justification de l expression de l écart-type pour caractériser la dispersion des résultats. Il faut empêcher que les écarts à la moyenne par excès compensent les écarts par défauts. On peut penser à utiliser la valeur absolue mais il s agit d une grandeur peu commode dans les calculs. L élévation au carré est la solution satisfaisante. e. s exp = 12,3. Un fichier Excel est disponible dans le Manuel Numérique Enrichi. Il donne le détail du calcul et complète le résultat avec une évaluation de l incertitude avec un niveau de confiance de 95 %. Extrait de ce tableau Excel : Ecart type expérimental : s exp = racine (Σ (Δ n)² / N-1) = 12,3 Incertitude type : s=racine(1/n) * s exp = 2,05 Incertitude de mesure : k facteur d'élargissement ΔM=k*s pour un niveau de confiance 95 % k = 2 ΔM = 4,1 M= 112 ± a. Au cours de la réaction nucléaire décrite, des noyaux d atomes (ici, noyaux d atomes d hydrogène) s associent pour former des atomes plus lourds. Il s agit d une réaction de fusion. b. Les neutrinos proviennent des réactions nucléaires qui se produisent au cœur du Soleil comme il est indiqué à la ligne 2. C est donc de cette région qu on peut obtenir des renseignements à partir de l étude des neutrinos solaires. c. D après la ligne 3 du texte, le nombre de noyaux d hélium formés est la moitié du nombre de neutrinos émis. d. On fait interagir les neutrinos avec une grande quantité de matière comme l indique la phrase «les détecteurs sont de grands réservoirs contenant des milliers de m 3 d eau». Le professeur pourra faire remarquer que la probabilité d interaction est extrêmement faible pour un seul neutrino mais le nombre de neutrinos est, lui, extrêmement grand. Cependant, le nombre d interactions observées n est que de quelques évènements par jour. Nathan / 15

5 Exercices d entraînement 17. a. UV A : ce sont les ultraviolets solaires ayant les plus grandes longueurs d onde, de 400 nm à 315 nm. UV B : ultraviolets solaires de longueurs d onde moyennes, de 315 nm à 280 nm. UV C : ultraviolets solaires de courtes longueurs d onde, de 280 nm à 100 nm. b. Ce classement correspond à une dangerosité croissante mais à un pouvoir pénétrant dans la peau décroissant. c. Effets utiles : - UV A : bronzage ; - UV B : synthèse de la vitamine D, effets bénéfiques sur certaines pathologies de la peau ; - UV C (avec sources artificielles) : effets germicides. Effets néfastes : - UV A : vieillissement de la peau, favorisent l apparition de cancers de la peau, dangereux pour les yeux des jeunes enfants ; - UV B : coups de soleil, vieillissement de la peau, cancers de la peau, dangereux pour les yeux ; - UV C : très nocifs mais n atteignent pas le sol. d. Les ultraviolets sont essentiellement absorbés par la couche d ozone. e. Les UVA sont les moins absorbés, ils représentent 95 % des ultraviolets atteignant les sols (cette proportion est due à la différence d absorption par l atmosphère mais aussi à la différence d émission par le Soleil). 18. a. Au rayonnement infrarouge. b. La longueur d onde du maximum d émission (située dans l infrarouge) augmente avec la température. L image indique par des fausses couleurs la température des différentes zones filmées et permet de repérer les personnes fiévreuses. 19. a. M 2 M 1 = log 100 = 2. b. M 2 M 1 = 2 log100 1,3. 3 A2 c. A = 1, d. 1 3 ( 4) , e. L échelle logarithmique permet de réduire l échelle des valeurs caractérisant les séismes possibles. 20. a. Les neutrons sont produits par interaction de particules alpha avec une cible de béryllium. b. L interaction des neutrons avec de la paraffine produit une émission de protons. C est la détection de ces protons qui constitue une détection indirecte des neutrons incidents. c. Neutrons et photons sont des particules neutres. d. L hypothèse d un rayonnement gamma aboutissait au non-respect de la conservation de l énergie. Nathan / 15

6 21. a Le personnage représente un observateur terrestre. La figure dessinée sur le cylindre représente la Voie Lactée, c est à dire la Galaxie vue par l observateur terrestre. b. La bande sombre est due à des poussières intersidérales abondantes dans le plan galactique. c. Les nuages de poussières sont bien observables en infrarouge (suivant la longueur d onde, on peut observer le nuage lui-même ou bien les zones de la Galaxie dissimulées par celui-ci dans le domaine visible). 22. Sur le spécimen, les ordonnées du spectre sont rognées, elles sont bien visibles dans le manuel élève. a. Qualités de la méthode : grande sensibilité et non destructive. b. Il faut donner aux particules l énergie suffisante pour interagir avec les atomes de la cible. c. Une source radioactive ne permet pas de contrôler les énergies des particules ainsi que leur nombre. d. On retrouve sur le graphique des pics pour les énergies des photons émis qui correspondent à celles données pour le plomb : il s agit du massicot. 23. a. La figure de cet exercice 23 page 27 est remplacée sur le manuel élève par la figure correspondant à celle de la simulation : La simulation est disponible sur le site compagnon Nathan, dans le Manuel Numérique Enrichi et à l adresse internet suivante : b. Dans le référentiel terrestre, le socle, le cylindre et les masses sont mobiles. c. Dans le référentiel du socle, le socle et le cylindre sont immobiles ; la masse est mobile. d. Si l amortissement est trop grand, la masse serait rigidement liée au support et elle serait immobile par rapport au cylindre enregistreur, on n enregistrerait aucun signal. e. Un sismographe doit être sensible et reproduire fidèlement le mouvement du sol (à un facteur de proportionnalité près). f. Pour connaître complètement le mouvement d un point du sol, il faut enregistrer les coordonnées de la position ou de la vitesse dans les trois directions de l espace. Nathan / 15

7 a. La source d énergie est le rayonnement des étoiles chaudes. b. L état fondamental est l état d énergie le plus bas de l atome. Les atomes excités ont une énergie supérieure à celle de l état fondamental. c. L atome passe d un niveau d énergie à un niveau inférieur. hc d. λ avec = 13,6 ev = 13,7 1, J, soit = 91,4 nm. Cette limite est dans le domaine de l ultraviolet ; le texte indique que le gaz est excité par le rayonnement ultraviolet des étoiles voisines. 2. a. La lumière est renvoyée dans toutes les directions. b. L image est prise en infrarouge, lumière invisible. L image est restituée en fausses couleurs. c. Le nuage est beaucoup plus visible sur la photographie c ; il apparaît beaucoup plus d étoiles sur la photographie d. Sur la photographie c, les étoiles situées à l intérieur du nuage sont dissimulées par celui-ci. Sur la photographie d, le nuage de gaz n émet probablement pas (ou peu) dans le domaine infrarouge concerné. De plus, les infrarouges ne sont pas diffusés et le rayonnement infrarouge des étoiles cachées par la poussière dans le domaine visible peut traverser celle-ci. d. Ces étoiles sont trop froides pour émettre dans le domaine visible ; leur rayonnement thermique se produit dans l infrarouge, elles sont visibles sur la photographie d. 3. a. La première phase est la contraction de la matière due à l interaction gravitationnelle. b. L énergie produite par une étoile en activité est due à la fusion nucléaire. c. Pour que la fusion nucléaire puisse se produire, il faut que la température dépasse 10 MK. Exercices de synthèse 25. a. Chaque seconde, il y a autant de neutrinos qui traversent la surface de la sphère de rayon r que de neutrinos émis. On pourra utiliser comme argument que tous les neutrinos qui sont émis à la même vitesse à un instant donné atteignent en même temps la surface de la sphère de rayon r. Remarque : les neutrinos se déplacent tous à la vitesse de la lumière mais ceci ne constitue pas une condition nécessaire pourvu qu on puisse admettre que l émission se produit de façon uniforme au cours du temps. b. L émission des neutrinos se produit de façon identique dans toutes les directions, autrement dit, le nombre de neutrinos qui traversent la sphère de rayon R se répartit uniformément sur cette surface : le nombre n de neutrinos traversant la surface s en 1 seconde est proportionnel à s : s n N S en appelant S l aire de la sphère de rayon R et N le nombre de neutrinos émis par le soleil en une seconde. s n N 4π R² c. Le calcul donne 70 milliards de neutrinos par seconde, ce qui est compatible avec la valeur annoncée, 65 milliards, compte tenu du fait que le nombre de neutrinos émis est fourni avec un seul chiffre significatif. Nathan / 15

8 a. La force électrique. b. Le proton doit être accéléré à chaque passage. Il doit donc à chaque fois se diriger le l électrode - vers l électrode +. Il faut que la tension change de signe à chaque traversée. c. Le champ magnétique permet de courber la trajectoire. d. La courbure de la trajectoire permet de faire effectuer plusieurs passages dans le champ électrique ce qui fait chaque fois gagner de l énergie au proton. 2. a. L énergie déposée est l énergie que les protons cèdent à la matière environnante. b. L énergie déposée est utilisée pour arracher des électrons aux atomes. c. L énergie déposée par les protons est en grande partie déposée en profondeur là où elle est utile tandis que l énergie du rayonnement électromagnétique diminue dès la pénétration dans le tissu. Il perd de l efficacité pour la zone à traiter et la plus grande partie de son énergie agit sur les cellules saines. d. L énergie du faisceau modulé est déposée sur une plus grande épaisseur mais il y a plus d énergie perdue sur le trajet. Le faisceau modulé pourra agir sur toute l épaisseur de la tumeur e. La tumeur traitée se trouve à environ 25 cm de profondeur. f. Il faut mesurer la largeur du «plateau» : on trouve environ 3,5 cm. 3. a. Puisque le proton fournit de l énergie au milieu traversé, son énergie diminue.b. L énergie du proton est due ici à sa vitesse : donc celle-ci diminue. c. L énergie déposée est plus grande en fin de parcours donc lorsque la vitesse est la plus faible : le pouvoir ionisant diminue si sa vitesse augmente a. Les particules qui produisent un signal sont des particules électriquement chargées. b. À énergies égales, le signal ne dépend pas du type de particule. c. Les porteurs de charges sont : - des électrons qui se dirigent vers l électrode + ; - des ions positifs qui se dirigent vers l électrode. d. L amplitude du signal augmente avec l énergie de la particule. 2. a. Les chocs de la particule incidente arrachent des électrons aux atomes rencontrés. b. Les particules produites par un choc sont accélérées par le champ électrique et peuvent à leur tour interagir avec d autres atomes. Il y a un effet avalanche. 3. Le signal produit à chaque fois la plus grande amplitude possible. On ne peut plus distinguer les énergies. 4. a. «Le passage d une particule à proximité d un fil d anode déclenche dans celui-ci un signal» : cela signifie que, si on sait repérer le fil émettant un signal, on sait aussi que, à l instant où le signal est émis, la particule est à proximité de ce fil. b. En combinant les informations données par plusieurs fils, on peut connaître les positions successives de la particule. En utilisant un grand nombre de fils, on peut obtenir une grande précision dans le suivi de la trajectoire. c. On peut attendre une réponse où l on relie l importance du signal avec l énergie de la particule (en réalité, la proportionnalité est entre la quantité d électricité détectée et l énergie de la particule). Nathan / 15

9 28. Rédiger une synthèse de documents On attend ici que soient respectées les trois parties du sujet : une présentation de la méthode, un développement de l utilisation de la thermographie dans le domaine du bâtiment et enfin une vue d ensemble des difficultés d interprétation d une image thermique. Les éléments suivants doivent apparaître dans la rédaction de la synthèse (les expressions surlignées ou une formulation équivalente sont exigibles). Présentation de la méthode : l élève doit montrer qu il a compris qu un corps, aux températures concernées, émet un rayonnement thermique dont la longueur d onde du maximum d émission correspond à l infrarouge et dépend de la température. On enregistre, avec un capteur approprié, une image infrarouge des objets observés. Cette image doit être restituée en fausses couleurs, chaque couleur correspondant à un domaine de longueur d onde IR associé lui-même à une température. Application au domaine du bâtiment : la méthode est utilisée pour étudier les déperditions d énergie des bâtiments en vue d étudier la qualité de leur isolation thermique ou d en réparer des défauts. On devra préciser que la méthode est aussi utilisée pour détecter d autres défauts : les fuites d eau ou de canalisations de chauffage ainsi que les défauts des circuits électriques (on pourra citer et interpréter le document 5 où l on constate une surchauffe sur le fil central). Difficultés d interprétation : Il existe une relation entre la température et le rayonnement thermique dans le cas idéal du «corps noir». On doit apporter une correction pour tenir compte de l écart entre le comportement des matériaux avec celui du corps noir. D autre part, le rayonnement enregistré n est pas uniquement constitué par le rayonnement thermique de l objet étudié, il faut tenir compte aussi du rayonnement provenant de l environnement et réfléchi ou diffusé par le matériau photographié. À ce sujet, on devra évoquer l exemple fourni par le document 6 : l image de la verrière ne fourni aucun renseignement sur la paroi photographiée parce que le rayonnement enregistré provient de la réflexion par le verre du ciel ou d un mur voisin. Nathan / 15

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources

Plus en détail

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

TD 9 Problème à deux corps

TD 9 Problème à deux corps PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile

Plus en détail

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent

Plus en détail

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,

Plus en détail

Fluorescent ou phosphorescent?

Fluorescent ou phosphorescent? Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester

Plus en détail

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles

Plus en détail

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand Quelques liens entre l'infiniment petit et l'infiniment grand Séminaire sur «les 2» au CNPE (Centre Nucléaire de Production d'électricité) de Golfech Sophie Kerhoas-Cavata - Irfu, CEA Saclay, 91191 Gif

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

Panorama de l astronomie

Panorama de l astronomie Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

Principe et fonctionnement des bombes atomiques

Principe et fonctionnement des bombes atomiques Principe et fonctionnement des bombes atomiques Ouvrage collectif Aurélien Croc Fabien Salicis Loïc Bleibel http ://www.groupe-apc.fr.fm/sciences/bombe_atomique/ Avril 2001 Table des matières Introduction

Plus en détail

Étude et modélisation des étoiles

Étude et modélisation des étoiles Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur

Plus en détail

1S9 Balances des blancs

1S9 Balances des blancs FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le

Plus en détail

8/10/10. Les réactions nucléaires

8/10/10. Les réactions nucléaires Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que

Plus en détail

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les

Plus en détail

La sécurité des biens et des personnes Comment se protéger des intrusions?

La sécurité des biens et des personnes Comment se protéger des intrusions? Etablir un croquis du circuit d alimentation énergétique et un croquis du circuit ACOT-02 1/4 Problématique : Nous connaissons ce qu est un système d alarme, sa fonction et les différents éléments qui

Plus en détail

NUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES

NUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES NUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES P. Sogorb I. INTRODUCTION Les milliards d étoiles qui forment les galaxies, baignent dans un milieu interstellaire qui représente, dans le cas de notre Galaxie, 10

Plus en détail

Équivalence masse-énergie

Équivalence masse-énergie CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en

Plus en détail

P17- REACTIONS NUCLEAIRES

P17- REACTIONS NUCLEAIRES PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules

Plus en détail

La physique nucléaire et ses applications

La physique nucléaire et ses applications La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension

Plus en détail

RDP : Voir ou conduire

RDP : Voir ou conduire 1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle

Plus en détail

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L

Plus en détail

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du

Plus en détail

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse

Plus en détail

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)

Plus en détail

a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov

a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA 3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière

Plus en détail

Le satellite Gaia en mission d exploration

Le satellite Gaia en mission d exploration Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Secrétariat d Etat à la formation, à la recherche et à l innovation SEFRI Division Affaires spatiales Fiche thématique (16.12.2013)

Plus en détail

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est

Plus en détail

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S FICHE Fiche à destination des enseignants TS 35 Numériser Type d'activité Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences

Plus en détail

Mise en pratique : Etude de spectres

Mise en pratique : Etude de spectres Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La

Plus en détail

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008 GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère

Plus en détail

Panneau solaire ALDEN

Panneau solaire ALDEN SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition

Plus en détail

ÉNERGIE : DÉFINITIONS ET PRINCIPES

ÉNERGIE : DÉFINITIONS ET PRINCIPES DÉFINITION DE L ÉNERGIE FORMES D ÉNERGIE LES GRANDS PRINCIPES DE L ÉNERGIE DÉCLINAISONS DE L ÉNERGIE RENDEMENT ET EFFICACITÉ DÉFINITION DE L ÉNERGIE L énergie (du grec : force en action) est ce qui permet

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:

Plus en détail

Les objets très lointains

Les objets très lointains Les objets très lointains Lorsque les étoiles sont proches il est possible de mesurer la distance qui nous en sépare par une méthode dite abusivement directe, la trigonométrie, qui permet de déduire les

Plus en détail

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants & INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre

Plus en détail

Lycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC

Lycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir

Plus en détail

C3. Produire de l électricité

C3. Produire de l électricité C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres

Plus en détail

5 >L énergie nucléaire: fusion et fission

5 >L énergie nucléaire: fusion et fission LA COLLECTION > 1 > L atome 2 > La radioactivité 3 > L homme et les rayonnements 4 > L énergie 6 > Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 > Le cycle du combustible nucléaire 8 > La microélectronique

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

PHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1

PHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente

Plus en détail

Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies

Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Ariane Lançon (Observatoire de Strasbourg) en collaboration avec: Jean-Luc Vergely,

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault

Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324

Plus en détail

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

Présentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012

Présentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012 Présentation du programme de physique-chimie de Terminale S applicable en septembre 2012 Nicolas Coppens nicolas.coppens@iufm.unistra.fr Comme en Seconde et en Première, le programme mélange la physique

Plus en détail

Pour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire

Pour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire Pour un bronzage sage Guide pour un utilisateur averti de banc solaire -18 C est surtout durant les longs mois d hiver que le manque de soleil incite les amateurs de soleil à aller le chercher ailleurs

Plus en détail

RAPPORT D INTERVENTION

RAPPORT D INTERVENTION R PRESTATAIRE DE SERVICES RAPPORT D INTERVENTION N 7445 Rédigé par Eric TANGUY Céline LETORT Intervention du 23/07/2010 Affaire Nature de l intervention Toiture contrôlée Intervention à la demande de Résidence

Plus en détail

Centrale d Alarme 32 zones sans fils

Centrale d Alarme 32 zones sans fils Centrale d Alarme 32 zones sans fils Ultra facile à installer et à programmer Sans fil : Aucune connexion nécessaire!!! Nombreux capteurs différents disponibles : permet de détecter une intrusion par infrarouge,

Plus en détail

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité? EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie

Plus en détail

Vie et mort des étoiles. Céline Reylé Observatoire de Besançon

Vie et mort des étoiles. Céline Reylé Observatoire de Besançon Vie et mort des étoiles Céline Reylé Observatoire de Besançon Qu est-ce qu une étoile? Sphère de gaz hydrogène (¾) hélium (¼) pèse sur le centre qui est alors chauffé E. Beaudoin Sphère de gaz hydrogène

Plus en détail

Le pâle écho lumineux du Big Bang vu par le satellite Planck

Le pâle écho lumineux du Big Bang vu par le satellite Planck Le pâle écho lumineux du Big Bang vu par le satellite Planck Alain Riazuelo Institut d astrophysique de Paris riazuelo AT iap.fr Gap, 21 août 2014 Préc. Suiv. FS Fin Plan 1. Introduction (rapide!) à la

Plus en détail

Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle

Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. Durant la vie de l

Plus en détail

L ÉLECTRICITÉ C EST QUOI?

L ÉLECTRICITÉ C EST QUOI? L ÉLECTRICITÉ C EST QUOI? L électricité est le moyen de transport de l énergie! L électricité, comme l énergie, est présente dans la nature mais on ne la voit pas. Sauf quand il y a un orage! L électricité

Plus en détail

Les Contrôles Non Destructifs

Les Contrôles Non Destructifs Les Contrôles Non Destructifs 1 Méthodes de maintenance MAINTENANCE d'après l'afnor CORRECTIVE PREVENTIVE PALLIATIVE Dépannage (Défaillance partielle) CURATIVE Réparation (Défaillance totale) SYSTEMATIQUE

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

SYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières

SYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières Physique Générale SYSTEME DE PARTICULES DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) TRAN Minh Tâm Table des matières Applications de la loi de Newton pour la rotation 93 Le gyroscope........................ 93 L orbite

Plus en détail

Science et technologie : Le truc de Newton

Science et technologie : Le truc de Newton Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie

Plus en détail

CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES

CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES Le cœur du produit de pointe que nous avons étudié et réalisé pour le secteur médical est représenté par le nouveau thermostat électronique HACCP, de série

Plus en détail

THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES.

THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES. THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES. 1. LES SPECTRES D EMISSION. 1.1. SPECTRES CONTINUS D ORIGINE THERMIQUE. Spectres d émission successifs d un corps porté à des

Plus en détail

FORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE

FORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE Comment une étoile évolue-t-elle? Comment observe-t-on l'évolution des étoiles? Quelques chiffres (âges approximatifs) : Soleil : 5 milliards d'années Les Pléiades : environ 100 millions d'années FORMATION

Plus en détail

A) Les réactions de fusion nucléaire dans les étoiles comme le Soleil.

A) Les réactions de fusion nucléaire dans les étoiles comme le Soleil. INTRODUCTION : Un enfant qui naît aujourd hui verra s éteindre une part importante de nos ressources énergétiques naturelles. Aujourd hui 87% de notre énergie provient de ressources non renouvelables (Charbon,

Plus en détail

Origine du courant électrique Constitution d un atome

Origine du courant électrique Constitution d un atome Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité

Plus en détail