ALLERGIE RESPIRATOIRE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ALLERGIE RESPIRATOIRE"

Transcription

1 ALLERGIE RESPIRATOIRE Catherine NEUKIRCH Service de Pneumologie et Allergologie INSERM U700 Hôpital Bichat, Université Paris 7

2 Enquête allergologique chez l asthmatique : oui! Cause allergique retrouvée : % des asthmatiques HAS 2006 Polysensibilisations : 73 % des allergies respiratoires Migueres 2011 Mais la pratique de l enquête allergologique manque chez 60 % environ des adultes avec asthme persistant Busse JACI 2005 Il est recommandé de faire une enquête allergologique chez tout asthmatique > 3 ans Conf. Expert Asthme et Allergie. Rev Mal Respir 2007

3 Enquête allergologique Asthme léger à sévère Enquête allergologique, pourquoi? : Eviction des allergènes toujours Désensibilisation parfois Traitement anti-ige asthme sévère Si allergie retrouvée : prise en charge globale de l allergie respiratoire «United Airway disease»

4 Marche allergique Rhinite chez l adulte et apparition de l asthme Association forte entre rhinite et incidence cumulée de l asthme Etude longitudinale ECRHS sur 10 ans n= 7622 n=140 asthme Risque incidence de l asthme : 3,26 (2,01-5,30) RA n= ,36 (1,51-3,67) RNA n=1629 Shaaban. Lancet 2008

5 Prévalence sensibilisation ECRHS I Adultes ans n= centres 15 pays Acariens Graminés Chat Bouleau Alternaria Bousquet. Allergy 2007

6 Exacerbations d asthme et exposition aux pollens de graminés chez les enfants Saison graminés Australie Nov 2003 n = 2559, < 15 ans Recours aux urgences J0 et J+1 Indépendant tempêtes Risque dès 20 grains/m3 Relation dose-réponse Erbas. Clin Exp All 2012

7 Sensibilisation aux moisissures et asthme Etude ECRHS : sensibilisation aux moisissures atmosphériques (Alternaria, Cladosporium) : FdR d asthme sévère OR 2,34 (CI 1,56-3,52) N = 1132 Adultes ans Sensibilisation à Alternaria 9 % asthme léger (n=564) 14 % asthme modéré (n=333) 17 % asthme sévère (n =235) Zureik BMJ 2002

8 Enquête allergologique Interrogatoire Tests cutanés Biologie / IgE spécifiques Tests de provocation Pour traitement adapté selon l allergie

9 Interrogatoire évoquant l allergie Association de la rhinite/conjonctivite à l asthme Symptômes rythmés par l exposition aux allergènes Début classique dans l enfance Terrain atopique personnel / familial F. aggravants/triggers : RGO /Aspirine /Sinusite/ stress Allergie alimentaire associée / Sd oral de Lessof Préciser l environnement Domestique Professionnel Loisirs

10 Interrogatoire Toujours d actualité! Policier Recommandé d interroger le patient sur son environnement : domestique, prof, de loisirs Exposition croissante aux allergènes Changements climatiques /saisons polliniques (bouleau) Plantes vertes (Ficus, Yucca, palmier) Mahillon Allergy 2006 Conditions logement / aération, climatisation, expos poussière Exposition animaux familiers /infestations : souris /rats/ blattes Exposition à des nouveaux allergènes Activités de loisirs (pêche, équitation ) voyages (acariens tropicaux ) NAC (gerbilles, chinchilla, lapins, poissons, iguanes ) Mode écologique (oreillers en sarrasin), Coccinelles (Harmonia aryxidis) Nakazawa. JACI 2007,Goetz. 2009

11 TC : 1 ère étape après l interrogatoire Prick-tests cutanés aux pneumallergènes cariens, pollens, phanères animales, blatte, latex (10-15 par séance) moisissures : alternaria, aspergillus, cladosporium, botrytis, stemphylium Avec témoin positif / témoin négatif Lecture à 20 minutes (érythème/ papule/ prurit) Surveillance médicale +++ 0,03 % de réactions systémiques Sensibilité 80 % spécificité % Arrêt des anti-h1 (5 jours), psychotropes (2 jours) Pas d arrêt des corticoides (per os ou injectables) Positivité = sensibilisation IgE-médiée «Confronter à l interrogatoire pour le diagnostic d allergie»

12 Tests cutanés lecture immédiate

13 IgE monospécifiques Ne pas demander en 1ère intention, en pratique, si la clinique est confirmée par les TC Sensibilité et spécificité entre 85 et 95 % Correlation entre IgE et prick-tests = % Attention si IgE totales > 2000 UI/ml (DA, parasitose, ) Demander le dosage (maximum 5 IgE remboursés) : - si discordance entre clinique et TC - allergène particulier (moisissures / professionnel) - si TC non interprétables : - prise de certains traitements (anti-h1) - eczéma / dermographisme - avant une désensibilisation - Intérêt : non dangereux

14 IgE monospécifiques IgE spécifiques : extraits globaux Source allergénique hétérogène, différents composants Les extraits naturels complets permettent de mesurer les IgE de tous les composants de la source et détectent une sensibilisation avec efficacité et une grande sensibilité IgE spécifiques de composants allergéniques : allergènes natifs et allergènes recombinants Détection des IgE de façon plus ciblée pour le diagnostic Recombinant : proteine allergisante mieux caractérisée, standardisable, obtenue à partir de E coli, virus = Production à grande échelle par génie génétique

15 Tests biologiques De la source allergénique aux composants

16 Composants allergéniques Nouvelles applications cliniques : - étude des réactivités croisées versus co-sensibilisation - évaluer le risque de sévérité, selon les positivités IgE - pour une meilleure prise en charge : Guide l immunothérapie Conseils d éviction des allergènes adaptés Conseils diététiques, Indication des tests de provocation Trousse d urgence

17 Composants allergéniques Acariens nderp1, rderp2 : spécifiques d espèce. Allergènes majeurs Si sensibilisation : bons patients candidats pour ITS rderp10 : tropomyosine : croisé invertébrés (crevette, blatte..) Aspergillus Asthmes sensibilisés Aspergillus rasp f1, rasp f3 En faveur ABPA: rasp f4, rasp f6, si IgE Totales > 1000 UI/L. Spécificité 100%, sensibilité 64 % Crameri. International Immunology 1998, GERMOP 2002 Casaulta Pediatric Allergy Immunol 2005 Controversé Oliveira Respir Med 2007

18 Composants allergéniques Pollen de bouleau Composant spécifique rbetv1 (pr PR10) allergène majeur : ITS Réactivité croisée, Sensible à la chaleur et à la digestion Réactivité croisée rbet v2 : profiline, allergène mineur Animaux Composants spécifiques chat : rfel d 1, rfel d 4 Sérumalbumines : chez tous les mammifères, forte homologie inter-espèces : nfel d 2, ncan f 3

19 Biopuce ISAC Technique micro-array. Biopuce à proteines Lames contenant 4 séries de spots. 0,5 ml sérum Révélation AC anti-ige fluorescent Unités ISU (Isac Standardised Unit) Mesures IgE spécifiques de 112 composants allergéniques, natifs et recombinants : Pneumallergènes, trophallergènes, latex, venins Indiqué pour profil complet de réactivité IgE des sensibilisations complexes (= polysensibilisés) Distinguer une sensibilisation vraie (composants spécifiques) / des allergènes croisants / pan-allergènes Melioli Curr Opin 2012, Sastre Clin Exp All 2010

20 Allergies alimentaires croisées en cas d allergie respiratoire : exemples Acariens et invertébrés : crevette, blatte, escargot (tropomyosines) Pollens de bouleau et végétaux (50-70%) proteines PR10 : pomme, pêche, cerises, abricot, noisette Pollens d armoise et céleri, carotte, fenouil Latex et avocat, banane, kiwi, châtaigne

21 Test multiallergénique dépistage Test qualitatif Phadiatop : OUI Si prick-tests ne sont pas possibles 1 ère intention Mélange multiallergénique pneumallergènes (sauf blatte / latex / moisissures / cyprès?) Spécificité % Sensibilité > 90 % VPP et VPN : 90-95%. Halvorsen 2009 Si positif : poursuivre l enquête allergologique Test quantitatif par allergène : NON (CLA) : problèmes de reproductibilité

22 IgE totales : NON Mauvais test de dépistage de l allergie chez asthmatique (SPLF 2007) Spécificité et sensibilité % NON recommandé en pratique SAUF : avant traitement anti-ige suspicion ABPA Recherche d une éosinophilie Existe dans l asthme allergique et non allergique = non spécifique

23 Test de provocation spécifique Exceptionnel actuellement! Nasal, bronchique, conjonctival En milieu hospitalier Allergènes particuliers Protocoles de recherche Pathologie professionnelle

24 Pourquoi le bilan allergologique? Profil de sensibilisation asthmatiques A confronter avec la clinique 1- Mesures d éviction des allergènes Eviction des acariens Lutte contre humidité / aération / housses Ménage régulier, lavage literie >60 C Eviction du chat (difficile ) / Eviction moisissures, blattes Conseillère en environnement 2 - Indication ITS : asthme léger contrôlé 3 - Indication anti-ige : asthme sévère

25 Immunothérapie : ITS Indication désensibilisation : rhino-conjonctivite sévère mal contrôlée Attention! asthme bien contrôlé (VEMS > 70-80%) - mono allergie : acariens / pollens / (chat) Respect des contre-indications Cardiopathie sévère, traitements béta-bloquants, Maladies auto-immunes, asthme non contrôlé mauvaise compliance, psychopathie Surveillance des effets secondaires

26 Immunothérapie : traitement étiologique Traitement curatif : efficacité à court terme Réduction score symptômes, score médicamenteux, HRB spécifique et non spécifique, seuil de réactivité cutanée, médiateurs inflammatoires bronch et nasaux Diminution exacerbations dans asthme partiel contrôlé? Traitement préventif : efficacité à long terme Prévention de apparition de nouvelles sensibilisations chez l enfant asthmatique DesRoches JACI 1997 Prévention de l apparition de l asthme chez les enfants avec rhinite aux pollens Jacobsen Allergy 2007 : Protocole GAP : enfants rhinite pollens : résultats 2016

27 Méta-analyse ITS sous cutanée dans l asthme Abramson Cochrane Database études randomisées et contrôlées N=3792 asthmatiques. 42 acariens, 27 pollens, 10 chats, 2 cladosporium, 2 latex, 6 allergènes multiples Diminution des symptômes asthme et du traitement Amélioration de HRB spécifique, et non spécifique Pas d influence sur le VEMS Efficacité pour les ACARIENS et POLLENS Non concluant pour les phanères animales et les mélanges d allergènes Mais hétérogénéité des études +++

28 Méta-analyse désensibilisation sublinguale aux acariens dans l asthme Effets sur les recours aux traitements Compalati Allergy 2009

29 Méta-analyse désensibilisation sublinguale aux acariens dans l asthme Effets sur les symptômes Compalati Allergy 2009

30 European Phase 2: MT-02 MT-02 : MITIZAX sur l asthme allergique Asthme avec corticoides inhalés < 800 µg budesonide. N=604 Sous groupe de patients partiellement contrôlés Dose 6 DU Asthme partiellement contrôlé CSI > 400 µg/j ACQ : Changement vs baseline de la dose nécessaire de CSI journalière pour obtenir le contrôle 1 (μg; moy ±95% CI) µg 50 % baisse CSI sous MITIZAX -325 µg -500 Population entière Virchow et al. EAACI-WAO 2013: Abstract 1304 Sous groupe partiellement contrôlé 31

31 Etude MITRA (MT-04) : comprimé acarien dans l asthme partiellement contrôlé Randomisation Fin d étude Chez l adulte : µg budesonide (GINA 2-4) ACQ 1 à 1,5 VEMS > 70 % Critère principal : délai d apparition 1 ère exacerbation 12 DU (n=266) n=800 6 DU (n=266) Placebo (n=266) Aout 2011 Période 1 : Screening Période 2 : Maintenance Oct 2012 Période 3 : Réduction des CSI Avr S 8-12 M 6 M 50% réduction CSI 100% réduction CSI

32 (Probabilité de ne pas avoir une exacerbation) MITRA (MT-04) : Résultat critère principal : oui! p<0.05 Placebo 6DU 12DU Période 1 screening 5-7 sem 3 3 Randomisation Période 2 Maintenance Période mois CSI 50% réduction (days) CSI 100% réduction Fin de l étude

33 % patients Etude PAT : désensibilisation réduit le risque d apparition d asthme 10 ans de suivi (N =117) Pas d asthme N=48 N=16 ITS Odds ratio 2.5 Asthme N=29 N=24 Controls Jacobsen. Allergy 2007

34 Protocole GAP GRAZAX : comprimé graminés Rhinite pollens. Prévention de apparition asthme? n= 812 Enfants de 7-12 ans. 63% garçons Randomisation Fin du traitement Fin de l étude GRAZAX Placebo Screening Périodes de traitement (3 ans) suivi (2 ans) Résultats : 2016 Durham. JACI 2012

35 Mécanismes immunologiques ITS Burks JACI 2013

36 Mécanismes immunologiques ITS Burks JACI 2013

37 Conclusion Modification du mode de vie : exposition allergènes +++ Développement considérable des techniques in vitro, mais limites : coût, et interprétation. Confronter les résultats avec l histoire clinique qui détermine le diagnostic final allergologique Hamilton 2010 Il faut traiter la rhinite allergique, chez l asthmatique Traitement corticoides locaux, anti-h1, Anti-LT Discuter l indication de la désensibilisation Meilleures études d efficacité, prévention de l asthme Nouvelle galénique ITS comprimé:bien tolérée, efficace La désensibilisation, c est maintenant!

Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011

Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011 Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria Michel Miguéres AART, janvier 2011 Allergènes répandus Pouvoir pathogène élevé Éviction difficile voire impossible ITS peut être considérée Quels

Plus en détail

F.Benabadji Alger 22.11.13

F.Benabadji Alger 22.11.13 F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes

Plus en détail

Réintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV

Réintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:

Plus en détail

ALLERGIES ET HYPERSENSIBILITES item 113. ALLERGIES RESPIRATOIRES item 115

ALLERGIES ET HYPERSENSIBILITES item 113. ALLERGIES RESPIRATOIRES item 115 Collège des Enseignants de Pneumologie Référentiel pour la préparation de l ECN Dr Bourdin (Montpellier), Pr Godard (Montpellier) Pr Charpin (Marseille), Pr Tillie-Leblond (Lille) Pr Raherison (Bordeaux),

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. C est aujourd hui qu on traite demain : la rhinite allergique aux pollens de graminées

DOSSIER DE PRESSE. C est aujourd hui qu on traite demain : la rhinite allergique aux pollens de graminées DOSSIER DE PRESSE C est aujourd hui qu on traite demain : la rhinite allergique aux pollens de graminées Novembre 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 L allergie aux pollens en 5 chiffres p. 4 La prise en charge

Plus en détail

Allergologie en pratique

Allergologie en pratique 2-0093 Allergologie en pratique M. Raffard, H. Partouche L incidence des maladies allergiques est en constante augmentation. Pour expliquer ce phénomène, on discute des modifications du style de vie dans

Plus en détail

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA. COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste

Plus en détail

Le bouleau. Lisez attentivement cette fiche si vous êtes allergique au pollen de bouleau

Le bouleau. Lisez attentivement cette fiche si vous êtes allergique au pollen de bouleau Le bouleau Lisez attentivement cette fiche si vous êtes allergique au pollen de bouleau EN BREF Le bouleau fait partie de la famille des bétulacées. Très répandu en France, il domine dans le nord du pays.

Plus en détail

L allergie aux pollens de graminées. Lisez attentivement cette fiche si vous souffrez d allergie aux pollens de graminées

L allergie aux pollens de graminées. Lisez attentivement cette fiche si vous souffrez d allergie aux pollens de graminées L allergie aux pollens de graminées Lisez attentivement cette fiche si vous souffrez d allergie aux pollens de graminées QU EST-CE QUE L ALLERGIE? L allergie est due à une réactivité anormale du système

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

INDICATIONS DU DOSAGE DES IGE SPÉCIFIQUES DANS LE DIAGNOSTIC ET LE SUIVI DES MALADIES ALLERGIQUES. Mai 2005

INDICATIONS DU DOSAGE DES IGE SPÉCIFIQUES DANS LE DIAGNOSTIC ET LE SUIVI DES MALADIES ALLERGIQUES. Mai 2005 INDICATIONS DU DOSAGE DES IGE SPÉCIFIQUES DANS LE DIAGNOSTIC ET LE SUIVI DES MALADIES ALLERGIQUES Mai 2005 La Haute Autorité de santé diffuse un document réalisé par l Agence nationale d accréditation

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Allergie et intolérance alimentaires

Allergie et intolérance alimentaires Allergie et intolérance alimentaires En collaboration avec la Commission de spécialité de la Société Suisse d Allergologie et d Immunologie (SSAI) Auteurs Pr Werner J. Pichler, Policlinique d allergologie

Plus en détail

Centre Suisse pour l allergie, la peau et l asthme Allergie et intolérance alimentaires

Centre Suisse pour l allergie, la peau et l asthme Allergie et intolérance alimentaires Centre Suisse pour l allergie, la peau et l asthme Allergie et intolérance alimentaires En collaboration avec la Commission de spécialité de la Société Suisse d Allergologie et d Immunologie (SSAI). Allergie

Plus en détail

ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant

ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage

Plus en détail

Patho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme

Patho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes

Plus en détail

GUIDE INFO-ASTHME. www.pq.poumon.ca

GUIDE INFO-ASTHME. www.pq.poumon.ca GUIDE INFO-ASTHME Siège social 855, rue Sainte-Catherine Est, bureau 222, Montréal QC H2L 4N4 Tél.: (514) 287-7400 ou 1 800 295-8111 Téléc.: (514) 287-1978 Courriel: info@pq.poumon.ca Internet: www.pq.poumon.ca

Plus en détail

Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org.

Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les maladies invalidantes Repères sur l asthme généralités

Plus en détail

Des déficiences présentes

Des déficiences présentes Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

F M C. Le test de provocation conjonctival : recommandations pratiques pour le diagnostic. des conjonctivites allergiques

F M C. Le test de provocation conjonctival : recommandations pratiques pour le diagnostic. des conjonctivites allergiques J Fr. Ophtalmol., 2006; 29, 7, 837-846 2006. Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés REVUE GÉNÉRALE Le test de provocation conjonctival : recommandations pratiques pour le diagnostic des conjonctivites

Plus en détail

Asthme de l enfant de moins de 36 mois RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES

Asthme de l enfant de moins de 36 mois RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Février 2008 Asthme de l enfant de moins de 36 mois : diagnostic, prise en charge et traitement en dehors des épisodes aigus RECOMMANDATIONS Mars 2009 Avec le partenariat

Plus en détail

Mieux vivre avec votre asthme

Mieux vivre avec votre asthme Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193

Plus en détail

Nouveautés dans Asthme & MPOC

Nouveautés dans Asthme & MPOC Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier

Plus en détail

ALLERGIES ALIMENTAIRES : Etat des lieux et propositions d orientations. Carine DUBUISSON Sébastien LA VIEILLE Ambroise MARTIN

ALLERGIES ALIMENTAIRES : Etat des lieux et propositions d orientations. Carine DUBUISSON Sébastien LA VIEILLE Ambroise MARTIN ALLERGIES ALIMENTAIRES : Etat des lieux et propositions d orientations Carine DUBUISSON Sébastien LA VIEILLE Ambroise MARTIN Janvier 2002 Les auteurs tiennent à remercier pour leurs suggestions et la lecture

Plus en détail

MedActuel DPC votre développement professionnel continu vol. 12 n o 8 25 avril 2012

MedActuel DPC votre développement professionnel continu vol. 12 n o 8 25 avril 2012 MedActuel DPC votre développement professionnel continu vol. 12 n o 8 25 avril 2012 La faculté de médecine de l Université Laval Le Collège québécois des médecins de famille DPC et spécialités L immunothérapie

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

Tout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie

Tout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.

Plus en détail

Réactivité croisée entre allergènes alimentaires d origine végétale - Impact clinique du diagnostic moléculaire

Réactivité croisée entre allergènes alimentaires d origine végétale - Impact clinique du diagnostic moléculaire Réactivité croisée entre allergènes alimentaires d origine végétale - Impact clinique du diagnostic moléculaire 1 Auteur : Jan Hed, MD, PhD Professeur d immunologie clinique Institut Karolinska, Stockholm,

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation

Plus en détail

Les mises au point de l'ifn

Les mises au point de l'ifn Les mises au point de l'ifn Octobre 2008 N 2 Pascale Dumond, Gisèle Kanny Médecine interne, Immunologie clinique et allergologie Centre hospitalier universitaire de Nancy Hôpital Central 54035 Nancy cedex

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

Les conditions de sécurité pour la réalisation des tests de provocation en allergologie Safety conditions for allergic challenge tests realization

Les conditions de sécurité pour la réalisation des tests de provocation en allergologie Safety conditions for allergic challenge tests realization Revue française d allergologie et d immunologie clinique 47 (2007) 323 332 http://france.elsevier.com/direct/revcli/ Revue critique Les conditions de sécurité pour la réalisation des tests de provocation

Plus en détail

Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot

Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Service de Pneumologie, CHU Côte de Nacre Centre de compétence régionale de l HTAP UMR INSERM 1086 «Cancers et Préventions», Université

Plus en détail

La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique

La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face

Plus en détail

ARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF

ARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF ARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF DE GESTION DES PATIENTS ALLERGIQUES AVANT INJECTION DE PRODUIT DE CONTRASTE IODÉ D Geffroy¹, A Pipet², F Wessel², G Mineur¹, P Meingan¹, I Doutriaux¹, C Labbe¹, S Houdebine¹,

Plus en détail

Les voies aériennes unifiées la rhinite et son lien avec l asthme: mythe ou réalité?

Les voies aériennes unifiées la rhinite et son lien avec l asthme: mythe ou réalité? L E S V O I E S A É R I E N N E S Les voies aériennes unifiées la rhinite et son lien avec l asthme: mythe ou réalité? par Jacques Bouchard Vous êtes en train de pousser votre panier d épicerie. Eh oui,

Plus en détail

Et si c était le logement?

Et si c était le logement? LES MALADIES de cette famille sont communes, mais peu de médecins pensent à faire le lien avec le logement. Pourtant, la mauvaise qualité de l air de l habitat est courante et constitue le problème environnemental

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE

PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total

Plus en détail

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

Polyarthrite rhumatoïde et biologie

Polyarthrite rhumatoïde et biologie Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des

Plus en détail

Protéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,

Protéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

PRESCRIRE DANS L APLV?

PRESCRIRE DANS L APLV? QUEL LAIT PRESCRIRE DANS L APLV? Dr Avigael Benhamou Senouf Chef de clinique Allergologie pédiatrique Genève, Suisse RAPPEL APLV Prévalence en France: 2-3 % des nourrissons et 1% des enfants scolarisés

Plus en détail

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES

METHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Restauration collective. quelques aspects réglementaires

Restauration collective. quelques aspects réglementaires Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient

Plus en détail

Hypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test.

Hypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test. Hypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test. Cherih C 1, Bernede A 1, Breton AL 1, Pralong P 1-3, Nicolas

Plus en détail

allergologie professionnelle Allergie respiratoire professionnelle dans l'industrie agroalimentaire

allergologie professionnelle Allergie respiratoire professionnelle dans l'industrie agroalimentaire allergologie professionnelle Allergologie-pneumologie professionnelle Allergie respiratoire professionnelle dans l'industrie agroalimentaire AUTEUR : J.M. Renaudin, hôpital E. Durkheim, épinal Dans l industrie

Plus en détail

DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! INSTITUT FRANÇAIS SOLEIL & SANTÉ. www.ifss.fr

DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! INSTITUT FRANÇAIS SOLEIL & SANTÉ. www.ifss.fr DIAGNOSTIC SOLAIRE ÉVALUEZ VOTRE SENSIBILITÉ ET VOTRE RISQUE AU SOLEIL! Association de médecins, de scientifiques et de spécialistes des UV, l Institut Français Soleil & Santé (IFSS) a pour vocation de

Plus en détail

Exemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE

Exemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?

Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques

Plus en détail

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.

Plus en détail

DOSSIER - AEROSOLTHERAPIE PAR NEBULISATION

DOSSIER - AEROSOLTHERAPIE PAR NEBULISATION Novembre 2008 ; N 19 ARTICLE COMMENTE NSCLC Meta-Analyses Collaborative Group. Chemotherapy in addition to supportive care improves survival in advanced non small-cell lung cancer: a systematic review

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT

Plus en détail

LECTURE CRITIQUE 1 ER PAS

LECTURE CRITIQUE 1 ER PAS 1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre

Plus en détail

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal

Plus en détail

newsletter Edito Avril Patrick Alexandre Président du Directoire

newsletter Edito Avril Patrick Alexandre Président du Directoire newsletter Avril Edito Patrick Alexandre Président du Directoire SUPERGENERIQUES Développement et élargissement du portefeuille de supergénériques QUATRE MEDICAMENTS Méthotrexate, Adrénaline, Sumatriptan,

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac

Plus en détail

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans? Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et

Plus en détail

Objectifs pédagogiques Lecture critique d article

Objectifs pédagogiques Lecture critique d article Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire

Plus en détail

5 rue Marteville 35000 RENNES 5. Allergology Unit Hospital Bld Dr Lacroix - 11100 NARBONNE

5 rue Marteville 35000 RENNES 5. Allergology Unit Hospital Bld Dr Lacroix - 11100 NARBONNE Prévalence de la sensibilisation à l arachide dans une population de 4137 sujets consultant en allergologie Enquête du Réseau Allergo-Vigilance en 2002 Morisset M 1, Moneret-Vautrin DA 1, Kanny G 1, Rance

Plus en détail

Avis 17 octobre 2012

Avis 17 octobre 2012 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 17 octobre 2012 BETESIL 2,25 mg, emplâtre médicamenteux Boite de 8 emplâtres médicamenteux en sachets (CIP : 34009 377 977 4 0) Laboratoire GENEVRIER DCI Code ATC (2012)

Plus en détail

Traitement des hépatites virales B et C

Traitement des hépatites virales B et C Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)

Plus en détail

Communiqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE

Communiqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

PROGRAMME (Susceptible de modifications)

PROGRAMME (Susceptible de modifications) Page 1 sur 8 PROGRAMME (Susceptible de modifications) Partie 1 : Méthodes des revues systématiques Mercredi 29 mai 2013 Introduction, présentation du cours et des participants Rappel des principes et des

Plus en détail

Recommandations pour la prévention et la prise en charge de la rhinite allergique professionnelle

Recommandations pour la prévention et la prise en charge de la rhinite allergique professionnelle Recommandations pour la prévention et la prise en charge de la rhinite allergique professionnelle Jacques Ameille 1, Alain Didier 2, Elie Serrano 3, Frédéric de Blay 4, Olivier Vandenplas 5, André Coste

Plus en détail

Le Psoriasis Qui est touché?

Le Psoriasis Qui est touché? LE PSORIASIS 1 Le Psoriasis Qui est touché? De 2 à 5 % de la population française soit2 à 3 millionsde personnes en France Deux "pics" de survenue : à l'adolescence et vers la soixantaine Parfois sur des

Plus en détail

MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques

MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques

Plus en détail

Allergies par piqûres et morsures d arthropodes hématophages

Allergies par piqûres et morsures d arthropodes hématophages Allergies par piqûres et morsures d arthropodes hématophages Une superproduction coproduite par MM. les Dr : E. BEAUDOUIN : Service d Allergologie, CH Jean Monet, Épinal ; UF d Allergologie CH, Remiremont

Plus en détail

TRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D.

TRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D. TRAITEMENT DE LA MPOC Présenté par : Gilles Côté, M.D. Département clinique de médecine générale Avril 2001 TRAITEMENT DE LA MPOC I- INTERPRÉTATION DES TESTS DE FONCTION RESPIRATOIRE II- PRISE EN CHARGE

Plus en détail

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines 18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs

Plus en détail

HYPERSENSIBILITES ALIMENTAIRES ALLERGIQUES CHEZ L ENFANT : DIAGNOSTIC, TRAITEMENT ET CONSEILS DU PHARMACIEN.

HYPERSENSIBILITES ALIMENTAIRES ALLERGIQUES CHEZ L ENFANT : DIAGNOSTIC, TRAITEMENT ET CONSEILS DU PHARMACIEN. UNIVERSITE DE LIMOGES FACULTE DE PHARMACIE ************ ANNEE 2012 THESE N HYPERSENSIBILITES ALIMENTAIRES ALLERGIQUES CHEZ L ENFANT : DIAGNOSTIC, TRAITEMENT ET CONSEILS DU PHARMACIEN. THESE POUR LE DIPLOME

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

L ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES

L ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES L ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES Etudes d évaluation économique ou avec des données de recours aux soins Recommandation de santé publique Document de travail Service

Plus en détail